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Français première

bac de français s’organise en deux épreuves :


-une écrite coeff.5

commentaire littéraire ou dissertation


le commentaire littéraire va porter sur un texte de l’un des 4 objets
d’études ( le théatre du 17ème au 21ème, le roman et le récit du Moyen-Age au
21ème, la poésie 17ème , la littérature d’idées du 16ème au 18ème)
il ne peux en aucun cas porter sur un textte qui appartienne aux œuvre
intégrale au programme

la dissertation porte obligatoirement sur un des 4 objets d’études et sur une


des 4 œuvres intégrales au programme étudiés en classe la dissertation se
nourrit d’exemple précis de l’oeuvre intégrale et du parcours associé au
moyen de citation apprise par coeur

-une orale coeff.5

sur 16 textes

Ier objet d’’étude du littérature d’idée 16ème au 18ème siècle

*Séance 1 biographie et siècle de la Bruyère

littérature d’idée du 16ème au 18ème siècle


parcours associé à la Comédie social œuvre étudié :les caractère de la
Bruyère

ecrivain moraliste = morale leçon de vie

1 seule œuvre → des caractères / les mœurs

les défaults detester par la 1G1 l’hypocrisie mensonge se montrer partial


aigreur infidèle jalousie
séance 2 analyse développer sur la remarque 12 livre V

les caractère la bruyère


Théodecte:une comédie minutes

intro cette remarque 12 a été ajouté à la 5ème éditions:il s’agit d’un


portrait caricaturale (péjoratifs) dont le public mondin de l’époque raffoler
(jeux de portraits)cf références au misentrhope

il s’agissait de ce qu’on appelle le jeux des portrait à ce sujet on peut faire


référence au misenthrope de Molière (II sc.4) ou Célimène croque le
portrait d’un certain nombre de courtisant de sa connaissance.
Comme la Bruyère elle le fait pour piquer l’intérêt/curiosité d’un public de
connaisseur

l’anecdote est raconter par un «je» et ce présente donc comme une


anecdote vécue par le moraliste c’est anecdote ce présente également
comme une comédie minute selon le critique L Van Deft.

La bruyère empreinte la même entrer et sortie de scène qu’au théâtre

la remarque est délimiter par l’entrée de scène du personnage et par la


sortie d’un autre, elle est composé comme une scène de théâtre dans
laquelle l’auteur donne à entendre et à voir le personnage principal.
Dans cette anecdote le moraliste n’apporte pas de morale explicite mais
cette au lecteur/spectateur de la déduire.
Le récit de l’arrivé fracassante de Théodecte en une seul phrase (l.122 à
l.130) au rythme coupé et hacher (accumulation, énumération sous forme
de gradation, proposition indépendante juxtaposées)

(fragment 58) p34


Vous le croyez… il s’agit d’un paradoxe (elle n’est pas une maxime suite à
l’utilisation du pronom Vous)

séance 3;L5 Q1 et Q2 p 57
dans ces observations sur l’homme en société la Bruyère dans le livre 5
développe un certain nombre de Maxime qui vont de la plaisanterie au
jugement sévère dans lequelles on retrouves des sarcasme des constat
virulent des paradoxes des jugements catégorique sur des contemporain
-[58] (Livre 5) il s’agit d’un paradoxe
-procédé qui relève de l’antithèse le paradoxe met la lumière de l’un et le
mensonge de l’autre
[68] cette maxime relève d’un jugement catégorique sur ces contemporain
Q2 dans le livre 5 et dans les caractère en générale la bruyère tente de
montrer ceux comment l’homme doit se comporter en société pour
répondre à l’idéal de « l’honnête homme »

- selon la bruyère l’honnete homme doit faire preuves d’une certaine


fiabilité [20]
L’honnête homme doit faire preuve de modestie et d’humilité [21]

[23][33] il faut savoir parler à propos au moment opportun en fessant


preuve de modestie/sans se vanter

[26][60]27][35] il faut rester simple et accessible à autrui (l’on voit des


gens brusque […] qui vous expédie ensuite et ne songe qu’à ce dégager de
vous) [60], il faut se garder de faire preuve d’agressivité dans ces propos
« ils sont piquant et amère… jusqu’à leurs salive[26] dans ce fragment la
Bruyère les épingles par une pointe « ils leurs serait utile d’être née muet
ou stupide » il faut également savoir recevoir des compliments [35]
-il faut se montrer polit et courtois en toute circonstance quelque soit son
interlocuteur [30] dans se fragment la Bruyère prends exemple sur Montai
en le citant c’est ce que l’on appelle un argument d’autorité qui rend
crédible son propos il faut tenir compte de faire passer le peux des autres et
être à l’écoute d’autrui
-il faut se garer de se moquer d’autrui [54] à [57] il faut être capable de
tolérance en particulier savoir pardonner aux autres les petits défauts
-même si la langue de la Bruyère peut nous déstabiliser une fois cette
barrière passer la Bruyère reste un auteur d’actualité
question 4 et 5 page 77)

4) comment comprenez-vous le substantif « fable » ligne 39.


je vois ce substantif comme un journal intime on nous cite
« j’ai compris combien l’écriture, mon écriture était liée à elle à ses
fictions »(ligne 31,32) , « la vie était devenue si lourde qu’il lui avait fallut
s’en échapper , où sa douleur n’avait pu s’exprimer que par la fable »
avec beaucoup de problème l’échappatoire fut l’écriture

5)quelle réflexion cet extrait permet-il sur l’écriture biographique


elle exprime que les fables et l’écriture sont des problèmes personnelles
qui ont besoin d’être exprimer

séance 4 sujet de dissertation méthode de la dissertation

les caractère de la Bruyère

sujet de dissertation : Doris Kirsch écrit dans la Bruyère « le style cruel »


que le moraliste «nous révèlent ce qu’il y a derrière les apparence ou selon
sa propre image, il nous fait aller dans les coulisses du théâtre pour nous
montrer tout les moyens mécaniques qui crée la bonté d’un spectacle » en
quoi cette citation s’appuie t’elle sur votre lecture des caractères ?

Vous répondrez à cette question dans un devoir ou un développement


structuré. Votre travaille prendra appuie sur les caractères sur les textes et
documents du parcours associés et sur votre culture personnel

séance 5
dans ces fragment la Bruyère reproche à ses contemporain et surtout au
courtisant d’estimer la valeur d’un homme selon sa fortune et non selon
son mérite confusion entre mérite et fortune pour la remarque 15 à 21 les
remarques entre Sozine arthure et tout les personnages citer ils ont tous
acquis leurs fortune récemment généralement par la force (Crézus et
Sozine) ils méprisent les autres homme (champagne et Sorus) et certain
sont proche de l’églis (arthure et sozine ) tous représente des parvenue
analyse linéaire
introduction cf page 79
1. on les nomes les précieux
2. on litt le texte en quoi ce portait dresse t’il une satire des précieux
nous monterons comment à travers de ce texte le moraliste montre un
portait satiriste et dépressieux

de la ligne 40 à 48 nous présenterons le premier mouvement à savoir un


dialogue sur le vif

le second mouvement l 48 à 54 nous présente la caricature du précieux

le troisième mouvement l 54 à 59 le conseille du moraliste

I le premier mouvement
dans ce fragment la Bruyère écrit sous la forme d’un dialogue une scène
comme prise sur le vif : le lecteur entre in média res dans un échange déjà
commencer entre Acis et le Narrateur la première proposition qui est une
interrogative direct « que dite vous ?» l 40 constitue une réponse à une
parole qui vient sans doute d’être prononcer par Acis la Bruyère emprunte
se procéder au théâtre dans laquelle lors de la scène d’exposition
le spectateur attrape comme en cours de route une conversation entre les
personnages. Celui la lui donne l’illusion de pénétrer lui même dan,s l’une
des anti chambre de Versailles et d’assister a un échange entre 2 courtisant
ceux qui donne au texte toute sa vivacité la Bruyère est le principale
locuteur de se cours échange. Dès la première prise de parole d’Acis nous
ne connaissons que la réaction d’incompréhension qu’elle produit chez la
Bruyère c’est se que souligne l’accumulation d’interrogative direct
ainsi que l’emploie de la forme négative. Toute les réplique d’Acis sont
ainsi passer sous silence par un effet d’ellipse « j’y suis encore moins »
L.41 le comparatif « moins » suggèrent qu’une deuxième formulation faite
par Acis aussi incompréhensible que la première outre l’éllipse, la Bruyère
privent Acis de parole par des jeux de reformulation et de discours
relativiser (l.41-42) qui privent le lecteur d’entendre la tournure langagière
d’Acis tournure précisément mise en cause par le moraliste/la Bruyère
la Bruyère se joue ici du beau parleur qui dans cette extrait en ai pour ses
frais puisque jamais on entends ce qu’il dit. Le caractère excessivement
compliqué des tournures de phrases d’Acis est mis en valeurs par la
succession d’interrogative qui elle même souligne les réactions
d’incompréhension de son interlocuteurs à savoir la Bruyère la gradations
montre que le propos d’Acis est compliqué ici l’auteur joue sur la fonction
métalinguistique du langage : à savoir se comprendre bien présisement la
multiplication des formes interrogative et l’emploie de la gradation «j’y
suis encore moins » suggèrent que le propos d’Acis loin de gagner en
clarté s’opacifie de plus en plus le lecteur quand a lui s’interroge car les
questions successive mette en place un véritable suspense et le verbe
«deviner » (l.41) évoque l’idée d’un mystère à élucider par l’effet d’un
contre point spirituelle le moraliste nous révèlent enfin le contenue
informatif des propos d’Acis : la pluie et le beau temps « il fait froids il
pleut il neige). Le lecteur est déçue par cette effet de déception le moraliste
souligne le caractère très creux des réflexions d’Acis

II mouvement ligne 48 à 54 : la caricature du précieux


après avoir souligner le caractère très creux des propos d’Acis la Bruyère
va développer un portrait très caricaturale

phoebus est le nom latin du dieu apollons dans l’antiquité le culte


d’Apollon était réputé comme religions à mystère et les réponse donner
par les oracles était particulièrement complexe et énigmatique par ailleurs
phoebus est une figure de style qui consiste à obscurcir en travaillant trop
sa forme et la bruyère ici joue sur la polysémie du mot phoebus et cette
périphrase péjoratif est particulièrement efficace pour décrire les précieux
comme dans la plupart de ces portrait la bruyère ne dénonce pas un
individue précis mais évoque un type sociale réduit à une simple
caractéristique ici il s’agit de dénoncer la complexité outré et ridicule des
précieux c’est précisément ce que l’on appelle une caricature. Dans ce
portrait d’Acis le pluriel « vous et vos semblables » ainsi que la périphrase
les diseurs de phoebus sont très efficaces

à travers ce dialogue imaginaire avec un précieux la Bruyère ménage


comme dans le premier mouvement un effet d’annonce : »une chose vous
manque » (ligne 48) ne peut qu’éveiller la curiosité de son interlocuteur de
part par le caractère du mot indéfinie du mot « chose » et par l’affirmation
du « manque » hors les propositions qui suivent immédiatement cette
expression ne fournissent pas plus d’explications dans ce passage le
moraliste attire la curiosité en mettant en valeurs la dimension inattendu de
sa révélation imminente. Le mystère grandit et l’attention d’Acis et celle
du lecteur est a son comble. Nouvelle frustration au moment où l’on pense
obtenir la révélation le moraliste choisis au contraire de renouveler
l’affirmation provocatrice « une chose vous manque »(ligne 50-51)

le moraliste donne au contenue de sa paroles une dimension presque


théâtrale il s’agit pour lui de mettre Acis face à ses contradiction et de lui
signifier son caractère flagrant de ses défauts d’où l’emploie des
présentatifs « c’est » x2 « voila la source » « ce n’est pas tout » « il y a »
la fin de la phrase est plus percutent et se fait plus combative le moraliste
révèle dans ce passage qu’il n’a pas qu’un seul défaut à celui e ne pas ce
faire entendre il en a plusieurs et plus grave : son manque
d’intelligence(esprit) et un orgueille aveugle (l’opinion d’en avoir plus que
les autres) la préciosité se révèlent donc être une manifestation particulière
de l’amour propre afin de la combattre le moraliste va asséner des coups
en particulier dans l’énumération final construite dans une gradation et
sure un rythme ternaire dans cette formule avaleur d’accumulation chacun
des noms communs renvoie au champs lexicales de la communication et
les adjectifs ou les proposition subordonné relative (expansion du nom) la
caricature prends ici une dimensions satirique en particulier dans les
termes « galimatias » et la propositions subordonné

III le conseille du moraliste


le fragment commencer comme un fragment de théatre la bruyère reprends
le même posséder en joignant le geste à la paroles : la Bruyère reprends le
même posséder en joignant le geste à la parole: on semble voir 2
personnages dans un décors qui rappelle celui de Versailles grâce à la
mention du mot « chambre » ainsi que « je vous tire par vos habits »
l’emploie de déictique les comédiens en scène vont réagir les comédiens
en scène interagissent : vous abordez cette homme, vous lui tirez l’habit, et
vous lui dite à l’oreille dans ce passage la bruyère ce fait lui même acteur
de cette scène d’où l’emploie du pronom personnelle « je » l’emploie du
pronom personnelle « vous » se réfère bien évidement à Acis mais il peut
donner l’illusion que ces au lecteur qui s’adresse tout ce passe comme si le
lecteur était invité à entrer dans cette chambre de Versailles et a fréquenter
au plus près les courtisans par un effet de zoom presque
cinématographique associé au perception sensoriel c’est à l’oreille d’Acis
et le procéder de la double énonciation que le moraliste livre des conseils
au lecteur il ne faut pas chercher a faire croire qu’on a beaucoup d’esprit et
d’intelligence quand ce n’est pas vrai car on se met en situtations de faire
voire clairement sa bétise alors que si on utilisait un langage plus
claire/plus unie on pourrait la dissimuler

phour le lundi de la rentrée p 244 texte p233-234 commentaire


littéraire Question du II le rédiger sous la même forme qu’un
commentaire littéraire

*** correction contrôle sur 15 ***

une dimension universelle à savoir que l’ambitieux ne changera jamais

remarque 74 :
1) il évoque la France, Versailles

l’intérêt est de porter un regard lointain et donc critique sur la société pour
en souligner les absurdité ainsi que la superficialité
l’intérêt de ce fragment est que l’argent détermines le comportement des
gens dans la sociétés
attitude exubérante et impolis du riche
comment la bruyère dans ce texte dénonce t’il le pouvoir de l’argent sur les
comportements sociaux

comment la bruyère souligne t’il le rôle déterminant de l’argent dans les


comportement sociaux
***

séquence 1 séance x
méthode de dissertation
sujet 1 :
Doris Kirsch écrit dans la bruyère où le style cruel que le moraliste nous
révèle ce qu’il y a derrières les apparences ou selon sa propre image, ils
nous fait aller dans les coulisses du théâtre pour nos montrer tous les
moyens mécanique qui créent la beauté d’un spectacle « en quoi cette
citation s’applique-t-elle à votre lectures des caractères »

le moraliste dans les caractères va au-delà des apparences


c’est une métaphore cela renvoie métaphoriquement aux artifices,
stratagème au faux semblant pour trouver leurs semblable et leurs offrir un
beau spectacle certe plaisant mais factice le moraliste dépasse les
apparences et dévoile au lecteur les artifices les stratagèmes aux quelles les
homme recours pour cacher leurs véritable nature leurs intentions et leurs
vrai personnalités

texte 3

question :
se donner en spectacle, se faire admirer = les gens du monde= satisfaction,
Nonchalance, confort

regarder la pièce entrer dans le monde=l’étudiant génial=gêne malaise

voir des gens du monde= les gens vulgaires, les snobs ou les curieux=
fausse aisance, Impolitesse

objet d’étude juste la fin du monde Jean luc lagarce

impression juste la fin du monde film

le film est du réalisateur Xavier Dolan (il a reçu le grand prix au festival de
Canne
Certain passage semble échapper à la compréhension :
la fin porte à confusion
le film est une tragédie → registre tragique
un certain nombres de scènes pose questions, nous échappes au niveau du
sens

juste la fin du monde


séance 2 Analyse sur l’ensemble de la pièce
juste la fin du monde jean luc lagarce
portrait indirect dans la première partie
la pièce de jean luc lagarce développe 3 moyens/procéder qui sont lié à
l’incapacité des membres de cette famille à discuter :
-le begaïment du propos
-la répétitions ou la modification d’une paroles en vue de la
corriger/reformuler
-soliloque long tirade durant lequelle on pourrait croire que le personnage
parle seul sans que les autres ne le lui répondre
-les portrait indirect fait pas un personnage tièrs il montre la manière dont
les autres le perçoive sans qui le sache où qu’il soit présent

I le portrait indirect des femmes


1) portrait de Catherine par Suzanne et (scène 7)
l’impression première que l’on a des Catherine est négatif mais Suzanne
va la réhabilité par le procéder de l’antithèse
-On la croit mal alèse dans cette famille, écraser par Antoine elle énumère
alors tout les fausse idées que l’on à sur elle par intermédiaire d’adjectifs
péjoratifs « Fragile est démunie, tuberculeuse… mais la réalité est
différentes:c’est une femme « simple, claire, précise qui sait décider »
l’énumération se fait positive et rétablie à la fois par la phrase négatif « il
ne faut pas s’y fié » et à l’emploie de la conjonction de coordination
« mais » et elle canalise Antoine

2) le portait de Suzanne par la mère (scène 8)


Celle qui nous donne l’image d’une adolescente attardé présente enfaîte
une profondeur que la mère à su décrypter dans cette scène le portrait est
présenter en 3 temps :
-celle d’une fille rêveuse qui n’as pas connue son frère elle a de Louis une
image faussé et idéaliser pour elle Louis représente l’écrivain celui qui a
réussit et qui est inaccessible pour Suzanne Louis représente une icône
(p81)

-une fille sensible (p83) elle souffre des silences de Louis


-une fille en quête de liberté ou de désire d’ailleurs comme Louis elle rêve
d’un ailleurs idéal

une sœur qui a besoin d’attention elle est en quête de promesse voir même
de mensonge mais que Suzanne refuse

le portrait de la mère fait par Suzanne


les enfants s’expriment peux sur la mère en son absence si bien que la
mère on va la connaître par ses paroles seul Suzanne va ébaucher quelque
trait rapide sur la mère, elle va surtout appuyer sur le faire que la mère
n’est pas responsable du « drame »

II les portrait masculin


le portrait d’antoine apparaît dans plusieurs scène et il est fait par plusieurs
personnages

1 le portrait d’Antoine par Catherine scène 6


une fois n’est pas coutumes dans cette pièce il sembles que les
personnages échanges vraiment et qu’une sorte de complexité née entre
ces deux personnages (Catherine et Louis ) Catherine qui semble avoir
compris que quelque chose de relativement grave ce que suggèrent les
points de suspension à la page 19 et au vers 71 l’échanges est
particulièrement posé et calme le portrait que Catherine dresse d’Antoine
contraste avec ceux que le personnage dresse juste avant : elle se montre
très protectrice :
elle brise le préjuger de Louis « il a du le prévenir contre moi » et dans le
passage du vers 15 au vers 20 elle suggèrent que lorsque Antoine parle de
Louis de toute façon pas souvent ce n’est jamais pour médire dans cette
scène elle évoquent la souffrance d’Antoine « sa vie ce n’est rien pour
vous » et interrogative « vous connaissez sa situation ? » par rapport à
Louis qui lui à « un vrai métier » lui à un travaille médiocre dont il a
vraisemblablement honte c’est ce que souligne la phrase négative « on ne
dit pas vraiment un métiers » emploie de la négation totale renforcer par
l’adverbe vraiment, Catherine semble ignorer ce qu’il fait vraiment «il doit
construire des outils » emploie du modalisateur devoirs l’idée c’est une
suppositions ceux qui sous entends qu’il n’évoque jamais son métiers le
portrait réaliser par Catherine nous suggèrent un Antoine complexer qui
souffre du manque d’intérêts de la part de son aînée apparaît alors un
personnage bcp plus complexe qu’il n’y paraît

II le portrait d’Antoine par la mère scène 8

c’est un homme en colère : il se sent redevable privé de liberté prisonnier


de sa vie qui voudrais changer
-il semble indifférent aux autres et surtout à Louis « il te connaît à sa
manière comme tout et tout le monde »
-il se sent accablé par ses responsabilité il assume le rôle de père
abandonner par Louis charge qu’il considère comme trop lourde mais qu’il
supporte depuis toujours (vers 156-163) il rêve de faire preuve de lâcheté
mais il se l’interdit
/!\essayer de voir quelle portrait que Suzanne et Antoine donne de Louis /!\

analyse linéaire Séance 3 Bac oral le prologue dans sa globalité

introductions JUSTE LA FIN DU MONDE JEAN LUC LAGARCE 1990

intro de l’analyse linéaire :


la pièce juste la fin du monde de Lagarce est daté de Juillet 1990 et à été
écrite durant un séjour à Berlin le texte est refusé par différent commité de
lecture des maisons d’édition et la pièces passe donc inaperçue et ne seras
jamais jouer du vivant de l’auteur la première mise en scène date de 1999
depuis la pièce est jouer au niveau internationale

cette pièce de théâtre raconte le retour de Louis, un dimanche dans la


maison familial qu’il a quitté 12 ans plus tôt pour annoncer à sa mère son
frère et sa sœur qu’il va mourir, cette pièce est écrite comme une longue
poésie en vers libre la syntaxe hésitante ainsi que la mise ne page souligne
la tension qui va régner dans une situation de « crise ». Le prologue
constitue l’ouverture de la pièce et comme dans une tragédie antique un
personnage rentre en scène pour présenter l’intrique de la scène ici Louis
le personnage principale qui a pour rôle d’exposer au spectateur le
contenue de ce qui va suivre et en se sens il joue le rôle du chœurs antique

projet de lecture/ problématique En quoi ce prologue présente t’il le ressort


de l’intrique (les enjeux de la pièce) et l’échec probable de Louis
1er mouvement l’annonce tragique de la mort de Louis vers 1 à 16

2ème mouvement l’annonce de l’intrigue et une révélation vouer à


l’échec

I premier mouvement

Tout le monologue du prologue constitué d’une longue phrase est


dominé/rythmé par une reprise anaphorique «l’année d’après» ce
repère temporelle de 4 syllabes Déjà présente dans la didascalie
initiale qui structure les différente partie du prologue elle sert : de
transition pour passer d’une idées à une autre
1.) vers 1 à 4 annonce de la mort prophétique de Louis. Le thème de la
mort est omniprésent et est annoncé dès le début par une figure de style
polyptote « j’allais mourir », « je mourrai » ce verbe repeter deux fois
donne immédiatement le ton du prologue : il sera tragique et pathétique
cette sertitude de la mort est souligner par l’emploie du futur simple au
mode l’indicatif je mourrai
III le portrait de Louis par Antoine et Suzanne dans l’intermède
c’est dans les scènes entres Antoine et Suzanne que le portrait de Louis est
esquissé et comme pour la mère le portrait n’est que très peu développer
-De Louis il voit un être distant et insaisissable énigmatique et mystérieux
le thème de la fuite et de l’absence volontaire est présenter tour à tour par
les deux personnages (scène 4) il est vue par Antoine et Suzanne comme
l’homme malheureux de la famille il devient presque une allégorie de la
souffrance humaine mais surtout et avant tout la souffrance familiale il est
à la fois la cause et la conséquence du drame qui se noues entre les
personnages.
Louis reste une énigme pour son frère et sa sœurs
conclusions les portrait indirect révèle être comme des être tourmenter
l’absence de Louis n’est que la manifestation indirect de l’absence du père
dont souffre tout les enfants et qu’Antoine ne parvient pas à assumer
Lagarce cherche à aussi à montrer que mal grès tout les personnages
s’aime mais sans savoir se le dire il se dispute mais se comprenne
finalement assez bien elle est également renforcer par l’effet de prolepse
crée par la formulation ambiguë de l’expression plus tard l’année d’après
le verbe attendre permet également d’introduire toute une série de
complément qui suggèrent tous l’état morale de Louis un air assez dépité
ce que mettes en valeurs et le sens des verbes et le sens du faite qu’il soit
tous à la négative le repères temporel « de nombreux mois » semble
indiqué le faite que Louis à cesser de vivre depuis quelque mois
le travaille de destruction est en marche on est dans une tragédie et Louis
ne peut que le subir et il en souffre idée de fatalité idée de destin
l’évocation d’une lutte face à une menace supérieurs (vers 11 à 14) par un
effet d’allégorie la mort est présenter comme menaçante : un danger
extrême devient par gradation « l’ennemie qui vous détruirait aussi tôt »
les dernier moment de vie sont présenter comme un véritable combats face
à une force supérieurs le seuls réponses possible à cette menace on ose
bouger le reget « on ose bouger et également à peine » souligne le risque
de réveiller la bête l’adverbe imperceptiblement liés au négation partielle
« sans vouloir faire de bruit » dans ce passage Louis annonce pourtant son
désire de réagir : la répétition du connecteur d’opposition « malgrès tout »
placé en début et en fin de ce passage, en un seul vers annonce une volonté
de réagir. Dans ce passage il oppose la peur a l’expression « prenons ce
risque sans espoir jamais de survivre » ce combat perdu d’avance ne doit
pas l’empêcher de lutter
la mort proche et inévitable de Louis est d’abords présenter comme un
relancement mais la décision de ne pas céder une
annonce de l’intrique une révélation voué à l’échec
une révélation envisager de manière théâtrale la partie centrale du prologue
expose le projet de Louis:le retour auprès des siens et surtout la révélation
ce projet est annoncé par l’emploie du passé simple « je décidais »
qui s’oppose à l’imparfait du prermier mouvement action longue opposé a
action courte et ponctuel et action de premier plan
rupture entre l’inertie du premier mouvement et la décisions de faire/agir
dans le second mouvement l’expression « pour annoncer » est prolonger
par le verbe dire lui même répéter au seins de vers très court comme pour
mettre en valeurs la seul action de la pièce :
-Le spectateur est confronté à un topos qui appartient au genre de
l’épopée : le retour du héro ou celui du retour de l’enfant prodigue.
L’énumération des verbe « retourner », « revenir », « aller » et « faire »
nous indique un départ passé mais aussi un retour au source/ aux origines à
la maison natale qui représente une sorte de protection de refuge la
dernière expressions qui clôt cette énumération est cependant ambiguë du
faite de sa polysémie:sens propre et sans figurée le retour pourrait
représenter un danger mortelle
la révélation est aussi lié à la réputation qu’il pense avoir aux yeux des
autres:l’énumération d’adverbe répéter tel que « lentement »,
« calmement »
et la question rhétoriques « n’ai je pas été toujours un homme posé ?»
répéter et mise en assise tant à monter que le personnage tant à montrer un
rôle il s’attribue le rôle du messager

la révélation ce clôt sur un verbe court « et paraître »(vers 33) et


particulièrement théâtrale et sera repris à la fin du monologue au vers 37.
le termes polycénique confère à la révélation un caractères illusoire : il
s’apprête à jouer un personnage à jouer un rôle pour peut être renaître,, ne
pas mourir dans cette partie Louis en affichant sa résistance à la mort
annonce déjà qu’il va « tricher », qu’il ne sera pas sincère amorçant sans le
savoir la crise familial qui va le sensuivre dans la denriere partie du
prologue du vers 34 jusqu’’à la fin Louis se livre à une
auto-analyse/introspection een essayant d’analyser le bute réel de sa
démarche et essayer d’entre voir le fondement de son état d’esprit il fait un
retour en arrière d’où l’emploie du passé composé
Louis cherche ainsi des explication de son état d’esprit depuis l’enfance
il est également mû par l’idée de volonté il veut contrecarré le destin et il
présente cette volonté à la fois au passé et au présent il va ainsi se
présenter en example face à l’irrémédiable, bien sur le combat est inégale
et perdu d’avance c’est ce que soulinge la seconde fois l’emploie du verbe
paraître vers 37 et ceux ce que souligne également le nom commun
illusion à la vers 41 et son futur combat n’est qu’un leurs égoïste

Dans cette dernière partie du prologue le champs lexical du libre arbitre est
omniprésent mais qui est immédiatement contredit par plusieurs signe de
l’échec avenir on peut relever l’illusion le repère temporelle « une dernière
fois » ainsi que le repère spatial jusqu’a cette extrémité la parenthèse trop
tard et tempi montre qu’il va vers l’inconnue et montre aussi l’idée d’un
renoncement déjà annoncé on peut noter que dans cette dernière partie
l’allitération en « M » est particulièrement présente et suggèrent un
babillage stérile
la négation est une forme de phrase au même titre que la forme
impersonnelle ou la forme emphatique donc elle n’est pas obligatoire à la
différence des types de phrases (déclarative, exclamative, interrogative,
injonctive) exprimer la négation c’est nier un fait

La négation total

exemple page 56 première partie juste la fin du monde vers 12-13 « je ne


me rends pas compte », « je ne suis pas la mieux placé » : Dans ce passage
il s’agit de deux phrases de formes négative construite avec les adverbes
de négations « ne...pas » au vers 16 la négations s’exprime par la négation
« ne...jamais » c’est une négation partielle. On peut remplacer jamais par
un mot positif:Toujours

il y a différente manière d’exprimer la négation :


-Soit par la construction de la phrase on parle alors de négation syntaxique
elle peut porter sur les mots ou sur le vocabulaire on parle alors de
négation lexicale

II la négation syntaxique
elle se forme à l’aide d’adverbe de négation et on distingue la négation
total et la négation partie :
-la négation total c’est l’ensemble de la phrase qui est niés

-la négation partielle


il y a trois manière d’exprimer la négation partielle :
-emploie de deux adverbe de négation : ne plus ne guère, ne jamais, ne rien
-pronoms indéfinie + ne : personne ne , aucun ne, rien ne
la négation restrictive :
la négation restrictive correspond à l’adverbe uniquement ou seulement
pour la négation restrictive il ne s’agit pas à proprement parler d’une
négation mais plutôt d’une affirmation exemple : « je ne peux venir que le
lundi » = « je peux venir uniquement/seulement le lundi »

4. La négation explétive :
exemple : « je partirais avant qu’il ne vienne » = « je partirais avant qu’il
vienne »
la différence entre les deux phrases tiens au niveau de langue le ne explétif
appartient au niveau soutenue alors que la phrase sans le ne appartient au
niveau de langue.
Le ne explétif est une fausse négation
II la Négation lexicale (autre procéder pour exprimer la négation)
définition : Dans ce cas c’est un autre mot que le verbe qui est nié
-ajout d’un mot négatif(adverbe, préposition, conj. Coordination)

negation lexicale :
-ajout des mors négatifs :
-Adv, jamais, nom
-préposition;sans.
-conjonction de coordination ; ni
préfixes négatifs ou privatifs :
un/im-
dé/des-
Antonymes :
heureux/malheureux
nuit/soleil
mort/vie
lexique de l’abscence/ du manque
ex:Il manque de force
Il m’a abandonné(e)

crise personnelle : La mort, l’amour, l’abandon


support :
tout les scènes de Louis
scène de Suzanne (3, 11)
dernière scène d’Antoine

1) En relisant les monologue de Louis expliquez quellle peut être la


« crise » qu’il traverse(ou a traversée)
Louis est un personnage qui apparaît dès le prologue comme un
personnage tourmenté qui vit un bouleversement profonds puisqu’il sait
qu’il va mourir « c’est à cet âge que je mourrai ». Pourtant mal grès la
violence de cette situation il présente, comme à son habitude, un caractère
calme «et n’ai-je pas toujours été pour les autres et eux, tout précisément,
n’ai-je pas toujours été un homme posé ? ». Il décide d’ailleurs d’annoncer
la nouvelle « lentement calmement d’une manière posé »(prologue)
Lorsque le rideau s’ouvre on peut imaginer que Louis à déjà franchit les
étapes nécessaire à l’acception de sa situation et qu’il est au moment il a
pris la décision de revenir dans sa famille il est déjà résigner on peut
imaginer que la crise véritable est pour aisni dire passer et cette crise à eu
lieux au moment de l’annonce on peut également imaginer que la crise
véritable à eu lieux au moment où il a décider de quitter sa famille 12 ans
avant à ce moment à la famille représenter pour Louis une source de
Tension
crise personnelle : Suzanne scène 3
la venue de Louis va déclencher d’autre crise personnelle dans la famille
sa jeune sœur Suzanne en quête de liberté et d’une autre vie va se laisser
déborder par ses sentiments : elle ne masque pas son énervement envers
Antoine et sa profonde déception par rapport à l’absence de Louis. Louis
représente pour Suzanne un modèle un idéal à atteindre « nous éprouvons
les uns et les autres ici tu le sait tu ne peux pas ne pas le savoi
r une certaine forme d’admiration » Louis fonctionne comme une sorte de
miroir de la vie qu’elle aussi aimerai mener et sa venue va exacerbé son
sentiment d’être coincé dans la famille on peut dire que Suzanne est en
crise d’adolescence elle rejete ce que représente sa mère et donc les
valeurs familial et elle est souvent dans la confrontation avec sa mère et
avec son frère Antoine

crise personnelle antoine


Antoine est le personnage qui incarne le mieux la crise personnelle dans la
pièce une crise qu’il laisse explosé dans la partie 2 de la scène 3 mais cette
colère masque un profond sentiments de dépression voir même
d’abandon : dans tout ce passage il exprime sa rancoeur à l’égard de son
frère….. à de nombreuse reprise dans cette scène il montre qu’il a souvent
du s’effacer devant son frère plus fragile et plus malheureux que lui « je
suis un mauvais imbécile qui se reproche déjà d’avoir faillit se lamenter »
sa crise est également lier à son sentiment d’infériorité

non seulement il a son sentiment ce malaise ce traduit par le désire


d’Antoine dans venir au mains et au paroxysme de la violence l’emmène à
s’effondre en larme. Comment expliquer cette violence ?
Ce thème est omniprésent est à l’origine même de la pièce puisque qu’elle
est l’intention de Louis sur la famille:c’est pour annoncer sa mort que
Louis décide de retourné dans sa famille
un autre mort plane sur la pièce celle du père qui n’est évoquer qu’au
travers des souvenir de la mère en particulier lorsqu’elle évoque les
dimanche
l’intuition qu’on Antoine et la mère qu’on la mort possible de Louis et en
particulier dans la dernière scène d’Antoine (partie 2 scène 3)

il ne le reverra probablement jamais(vers 214) « et lorsque que tu nous


quittera encore »

symboliquement il est intéressant de noter puisque le personnage semble


s’exprimer d’outre tombe (prosopopée)
nous affirmant avec une certitude déconcertante/ troubelante l’année de
son décès (prologue) et de sa mort « quelque mois plus tard » (épilogue)
(page 125)
par ailleurs la scène 10 de la partie 1 nous souligne le rapport de Louis à la
mort : à la manière d’un enfant Louis avoue avoir espérer que « le reste du
monde disparaîtra avec «Louis»» il raconte ensuite comment il a tenter de
fuir la mort puis comment il s’en est résigner le spectateur n’as aucune
information sur la cause de la mort de Louis qui survient alors que le
personnage est encore jeune. Si la raison de la mort de Louis n’est jamais
donnée c’’est sans doute parce que Lagarce estime dans son journal que
« le Sida n’est pas un sujet » et en effet la pièce ne parle pas d’un
personnage qui viendrait annoncer qu’il vient mourir du sida ainsi elle
prends une valeurs universelle: Elle raconte le parcours d’un homme qui
doit non seulement affronter la mort mais également sa famille qu’il sait
voir pour la dernière fois et cette perspective va faire ressurgir toute les
failles le rapport de Louis à l’amour des siens est très ambiguë car non
seulement il semble en avoir manquer et dans un même temps le rejeter
face à se rapport compliquer à l’amour et il c’est constitué à en croire les
aveux de Louis lui même et le récit de son frère un « masque de
malheurs »(partie 2 scène 3) « tout t’on soit disant malheurs[…] et de
fuir »

il porte toute sa vie le sentiment d’être mal aimer. Il avouera lui même que
cette attitude était jouer c’est un rôle qui c’est donner et «c’était tellement
faux / je fessais juste mine de ! » (10.I)
dès le prologue on apprends que Louis à crée son rôle afin de se protéger
et de rester maître de lui même « j’ai toujours voulu, voulu, et décider, en
toute circonstance et d’être responsable de moi même ». Il est trop tard
lorsqu’il revient pour récupérer l’amour des siens après 12 ans d’absence il
est comme mort pour eux si Louis revient près d’eux c’est pour se
donner l’ilusions une dernière fois d’être son propre maître il faut dire que
les sentiments ne sont pas facilement exprimer dans cette famille : on dit
peut de ce que l’on ressent mais Antoine à des souvenir en particulier mais
quand est t’il vraiment ?
Ce qu’il a fait l’amenée jusqu’à s’oublier lui même
Louis rends ce sentiment d’avoir manquer d’amour responsable de ses
lâcheté
tout ce fuit tout en se cherchant car il leurs manque un « lieu commun »
dans lequelle se retrouvé seul Antoine et Suzanne partage ce lieu au seins
de la famille le mot l’abandon revient souvent dans la pièce c’est un thème
récurent et le première abandon c’est d’abords celui de Louis qui as
abandonné sa famille/ les siens une dizaine d’année au par avant sans
jamais revenir les voir ceux qui explique les présentation de la partie 1
scène 1 lorsque Suzanne présente Catherine à Louis : en effet il ne connaît
ni Catherine ni la femme de son frère ni ses propre neveux. Suzanne le lui
reproche assez amèrement dans la scène 3 partie 1 cf. Analyse linéaire:elle
lui reproche d’avoir grandit sans son frère alors qu’elle avait besoin de lui
c’est le même constat pour Antoine cette abandon se teinte d’un sentiment
de trahison : envers sa famille mais également envers sa classe sociale
sentiment d’abandon et de trahison car il a refuser ses responsabilité en
tant que frère aîné, On peut en déduire que Louis est partie à la suite d’une
dispute violente avec sa famille et plus vraisemblablement avec son père et
sans doute concernant un sujet tabou comme l’homosexualité et se rejet
paternel qui pourrait expliquer le sentiment d’être exclu, d’être abandonner
et de manquer d’amour mais Louis aussi à du mal à aimer ceux qui lui sont
proche « vers 62 à 66 scène 2 partie 1 », parce qu’encore une fois les
aînées l’empercherais d’être se personnage solitaire les liens empecherais
la maitrise de sois jusqu’à la maitrise de la mort elle même «la mort aussi,
elle est ma décisions (partie 1 scène 10) aisni paradoxalement Louis ne
demande pas l’amour mais l’abandon à sa solitude et à ses différence à la
possibilité de ne pas aimé ni être aimer par sa propre famille

texte oral blanc


portrait d’Asis photocopie
giton et fédon
la cours des grands – le regards étranger
le coche et la mouche
le prologue (JLSDM)
la première partie (scène 8)

méthode de dissertation
Sujet 1 : La pièce de Jean luc lagarce mets en scène des crise personnelle
autant que familiale. Mais ne pensez vous pas que ces moment de conflit
dramatique dépasse le seul cercle de la famille et revêtent une dimension
plus littéraire
vous répondrez sous la forme d’un devoir organiser en vous appuyant sur
l’œuvre de jean luc lagarce sur le parcours associé et sur votre culture
personnelle
Sujet 2:en quoi le silence de Louis est t’il à l’origine de la crise familial
vous répondrez sous la forme d’un devoir organiser en vous appuyant sur
l’œuvre de jean luc lagarce sur le parcours associé et sur votre culture
personnelle

Analyse linéaire bac Oral – Le fils

1er partie

2eme partie

3eme partie
le réconfort de sophia

intro le fils est une pièce écrite par floriant zeller l’un des auteurs
contemporain les plus jouer dans le monde
cette pièce de théâtre appartient à une trilogie le fils met en scène le
personnage de Nicolas un adolescent de 17 ans qui sombre peu à peu dans
la dépression et que personne dans son entourage ne parvient à nommer
(cf.lien avec Louis qu’il ne parvient pas à dire sa mort prochaine et
irrémédiable). Cette pièce interroge sur les responsabilité de chacun dans
le suicide d’un enfant et mets en lumière l’impuissance d’un père ronger
par un fort sentiments de culpabilité et un sentiment d’impuissance dans la
dernière scène qui est celle de notre extrait Nicolas est mort depuis 3 ans
pourtant Pierre son père continue d’avoir avec lui des conversation
imaginaire avec ce fils qu’il n’a pas pu sauver au moment où s’ouvre notre
extrait Sophia la mère comprends que Pierre vient d’avoir une fois de plus
une conversation imaginaire avec son fils et viens de voir une apparition
fantomatique de son fils Nicolas Sophia tente alors de calmer son marie
qui paraît inconsolable.
Pb : Nous allons voir en quoi dans cette scène les rôles sont ici inversé par
rapport au reste de la pièce : Pierre devient une sorte d’enfant fragile dans
les bras de Sophia nous découperons ce texte en 3 mouvement.
Premier mouvement l’inquiétude de Sophia du début jusqu’a la ligne 135
deuxième mouvement la culpabilité de Pierre et ses remords ligne 135 à
154
troisième mouvement le réconfort de Sophia ligne 155 jusqu’à la fin

la réplique de Sophia qui ouvre notre passage et particulièrement longue et


marqué par une ponctuation expressive à savoir une succession
interrogative dont certaine sont in-verbal lorsqu’elle ne sont constitué que
du prénom Pierre elle mettent en valeurs la profonde inquiétude de Sophia
Dans les didascalie intercalé qui sont nombreuse et particulièrement
longue tout l’attention est mise sur le corps, la gestuelle et révèllent la
profonde douleurs de Pierre qui vient de voir Nicolas sortir de la pièce
dans la dernière didascalie « Pierre craque et se mets à pleurer comme si il
pleurer pour la première fois son corps est secoué par un sanglots très
anciens » Dans ce passage étant donné l’emploie d’un vocabulaire violent
on a l’impression d’une sorte de libération comme si c’était le moment
pour Pierre d’accepter la mort définitif de son fils à la réplique de Sophia
qu’est ce qu’il se passe ? Qu’est ce que tu as ?, Pierre émets une réponse
paradoxale/contradictoire par rapport à l’émotions qu’il vient de
manifester et sa réponse « rien » montre que le personnage est incapable
d’exprimer dans un premier temps ses émotions cette réponse de Pierre fait
écho à la réponse que fessais Nicolas lorsqu’on lui posait la même
question elle permet de faire un liens impliscite entre Pierre et Nicolas,
Sophia comprends bien entendu de quoi il est question preuve en est
l’interrogative « tu pense à Nicolas ? » (ligne 134) en interrogeant ; en
posant cette question elle dit ce que Pierre n’arrive pas à dire lui se
contente d’acquiescer comme le prouve la didascalie(ligne 135)
Dans se premier mouvement toute les émotions de Pierre passe par le
Corps et ne parvient pas à exprimer autrement sa douleurs et Sophia ne
masque pas son inquiétude et pars ses multiple question parvient à Pierre
de se libérer

Dans se second mouvement Pierre parvient enfin à exprimer sa douleurs


cette douleurs est particulièrement perceptible par les point de suspension
dans se seconds mouvement Pierre formule un certain nombre de regret
qui sont exprimer dans la répétitions « j’aurai du(x3), j’aurai pu » employé
au conditionnel passé temps et mode qui permet de mettre en valeur les
remords de Pierre ainsi que sa culpabilité dans se second mouvement on
peut remarquer ligne 138 opposé à la ligne 140 le passage du pronom
personnelle indéfinie « on » au pronom personnelle « tu » qui s’adresse
plus directement à Pierre et montre que Sophia tente de le rassurer et que
donc il n’y a rien à regretter c’est également ce que souligne
« rien »(adverbe de négation) « de plus » et « tout » (tout et rien sont des
adverbe de généralité) et montre que Pierre n’aurai pas pu faire plus que ce
qu’il n’a fait et montre donc qu’il n’a pas à se culpabiliser elle le sert
contre elle tentant de le consoler tout en pleurant à chaude larme dans ce
second mouvement déjà on a une inversion des rôles : Pierre nous montre
sa fragilité et se comporte un peu comme un enfant que sa mère tenterait
de consoler : en effet c’est ce que soulignes les didascalies « tout en
pleurant à chaude larme et tentant de le consoler » ces didascalie sont en
rapport avec la gestuelle, le corps et c’est par le corps qu’elle tente de
consoler Pierre. Non seulement elle tente de le réconforter par les geste
mais elle utilise également le verbale, la communication en particulier un
certain nombre de formule rassurante comme « allez, s’il te plaît. » (ligne
141-142) mal grès tout les gestes et mots rassurant de Sophia rien y fait
Pierre est submergé par son chagrin, un chagrin bien trop puissant dans le
passage à l’imparfait des lignes 144 à 147 il évoque de manière
particulièrement émouvante tout ce que Nicolas aurait pu faire, ses qualité
son intelligence et sa sensibilité son successivement mis en avant par
l’adverbe d’intensité « tellement » tout se procéder hyperbolique mets en
avant les qualités de Nicolas et le chagrin de Pierre (portrait mélioratif)
mais aussi les émotions de Pierre cette émotion est également mis en avant
par la répétitions de phrases suspensive qui traduise le chagrin de Pierre
chagrin également souligné dans la didascalie dans la réplique suivante
ligne 149 et plus particulièrement au tout début « tout est de ma faute »
Pierre finit par se condamner, la phrase est au présent et cette phrase ne
laisse aucune place à la contradiction et l’emploie du présent mette en
valeurs la culpabilité de Pierre ainsi que sa responsabilité qui résonne
toujours dans le moment présent. Dans la même réplique, l’interrogative
« mais pourquoi ai-je signer cette décharge » accentue la responsabilité
tragique du père (Pierre) qui en pensant agir par amour à signer l’arrêt de
mort de son fils dans la réplique suivante la phrase « souvient toi de ce que
t’on dit les médecins » traduit dans une forme de discours narrativisé un
passage au quelle les spectateurs n’ont pas pu assister entre les médecins et
Pierre sur Nicolas au cours de la quelle ils ont tenter de déculpabiliser
Pierre, Sophia fait ici appelle à un argument d’autorité. Malgré tout les
effort de Sophia pour apaisé Pierre, ce second mouvement se termine de la
même manière qu’il a commencé par la formulation des même regret :
adverbe de négations suivie du modalisateur devoir au conditionnel passé
sous entendu je n’ai pas été à la hauteur de mon devoir de père

Dans ce troisième mouvement Sophia prends l’initiative du dialogue c’est


elle qui à le dessus elle tente, comme dans le second mouvement, pars ces
paroles et par ces geste d’apaiser Pierre. « calme toi ! »*6, « apaise toi
pense à ton petit garçon», « pense à lui ». De plus à ces impératif s’ajoute
la formule toute faite « aller » qui a pour but de rassure Pierre et lui faire
oublier son chagrin. On peut également noté l’utilisation de l’onomatopée
« chute » cette emploie correspond à l’attitude d’une mère utilisant cette
onomatopée qui l’utiliserai pour réconforté son enfant.
Au verbal comme dans le mouvement précédent s’ajoute également la
gestuelle noté dans les didascalie et qu’on en commun tout les gestes de
Sophia. Tout ces gestes sont ceux d’une mère comme indiqué dans la
comparaison de la didascalie ligne 162. On constate d’une certaine façon
que pierre devient le fils symbolique de Sophia on observe une inversion
des rôles puisque dans tout la pièce Pierre à plutôt représenter la figure
paternel et à eu envers son fils durant la pièce Pierre à tenter de rassurer
tout son entourage dans cette scène c’est Sophia qui rassure Pierre jusqu’à
reprendre mot pour mot l’expression même que Pierre employé dans tout
la pièce tout ira bien mal grès cette dernière réplique le spectateur n’y croit
pas même si la dernière didascalie mentionne que Pierre se calme se
dénouement à une résonance

*** au choix vous choisirait soit le texte de Caligula (CF photocopie) soit
le texte de (Mouawad) page 191 manuelle de français

méthode de dissertation
plan dialétique obligatoire
I) je réponds à la thèse (« la pièce de jean-luc Lagrace met en scène la crise
personnelle autant que familial »)
II) je nuance la thèse par « cependant » ; « néanmoins »
III) Prolongement du I et du II, un élargissement du sujet
(P502 à 508)

Sujet 1 : La pièce de Jean luc lagarce mets en scène des crise personnelle
autant que familiale. Mais ne pensez vous pas que ces moment de conflit
dramatique dépasse le seul cercle de la famille et revêtent une dimension
plus littéraire
vous répondrez sous la forme d’un devoir organiser en vous appuyant sur
l’œuvre de jean luc lagarce sur le parcours associé et sur votre culture
personnelle
I) Analyser le sujet : le sujet s’appuie sur une pièce au programme et sur le
parcours associé le plurielles associé au substantifs « crises » vous invites
à évoqué non seulement la crise personnel de Louis mais également celle
des autres personnages qui sont peut plus marqué encore. Dans juste la fin
du monde les crises familial renvoie toute au tensions perceptible au seins
de la fratries entre Louis et Antoine entre Louis et Suzanne et entre
Suzanne et Antoine, on pourra également se demander le rôle que joue la
mère dans cette situation de crise dans le sujet il faut prêter attention au
connecteur « mais » qui vous oblige à dépasser le seul cadre des crises
familial ou personnel présent dans la pièce pour envisager ces moments de
conflits dans ce qu’ils ont de plus littéraire:appliquer ici au genre théâtrale
suppose que vous réfléchissiez à ceux qui rend ces scène intéressante d’un
point de vue dramatique que nous disent t’elles des personnages qui se
disputent ? En quoi ces scène font t’elle avancer l’action ? Quelle est
l’intérêt de ces scènes de conflit concernant la mise en scène
***
Histoire littéraire sur le théâtre et les crises:Pourquoi le théâtre aime tant
jouer les crises
Depuis ses origines (l’antiquité) le théâtre est le lieu même du conflit et
ces donc en toute logique que le genre théâtrale propose de nombreuse
scène de conflit lié à des enjeux de pouvoir au seins du cercle familial ou à
un cercle plus large à savoir la société voir la politique tout ces conflit
divise les hommes entre eux les théâtre est un lieu de représentation il met
en scène des hommes des l’état le plus humain
***
II) Bâtir le plan

I un théâtre de la crise
1)une pièce faite de crises
2) Le théâtre, le lieu même du conflit
3) le conflit familial ou la question du pouvoir
II) l’enjeu dramatique et scénique des conflit familiaux
1) des moments d’intensité dramatique : Dans ces scènes de conflits ce
son les ressorts comique et tragique qui sont mise en scène
2) les dispute sont révélatrice des personnages dans la mesure où dans ces
scène la parole se libère dans la mesure où dans ces scène la paroles se
libère
la colère du père scène 2 dans le fils
JLFDM tout les aveux que font les personnages
3) les disputes suscite des émotions chez le spectateur
les spécificités du genre théâtrale donne à entendre une voie réel et sonore
crée la fameuse « illusions théâtrale » et fond que les cène de dispute vont
crée une émotions très forte chez le spectateurs on peut également penser à
la détresse de Suzanne détresse perceptible qui reproche à son frère de ne
pas avoir été là pour elle et de les avoirs abandonnées
/!\ la dissertation doit être illustré de citation de l’oeuvre et du parcours
associé /!\
exemple à utiliser : Incendie ou le fils
III) le théâtre, lieux de notre conditions humaines
les scènes de disputes sont une réflexion sur le rapport de force au seins de
la fratrie mais aussi au-delà : le pouvoir étant toujours et nécessairement
une question d’ordre politique pour illustrer le petit 1 du III on peut penser
au reproche que l’on fait à Louis de ne pas avoir assumer son rôle d’aîné à
la mort du père la mère lui rappelle d’ailleurs (partie 1 scène 8)
le pouvoir qu’il a sur son frère et sa sœur et elle lui demande de les
autoriser à vivre
2) les conflits permette de mettre à jours un certains nombres de valeurs et
de principes moraux qui rentre en conflits et se conflit permet de mieux les
dénoncer on peut ainsi penser au conflit larvé(parlé sans en parlé) autours
du prénoms de Louis qui révèlent l’exclussions de Louis au seins de sa
familles à ces choix de vie qui sont sans doute différent par rapport à ceux
dont avait réver sa famille ce conflit autours du prénoms est peut être en
liens avec le faite que Louis n’aura jamais d’enfants, peut être du à son
homosexualité en tout cas le conflit autours du prénoms est en liens avec le
sujet tabou. On peut également penser au comédie de molière qui présente
souvent un jeune couple au prise avec l’autorité parentale dans ses
comédie molière veut dénoncer les mariage arrangé l’autorité patriarcale et
toute ces comédie souligne sont engagement en faveur de l’éducation des
jeunes filles
les scènes de conflit sont un reflet de notre conditions humaine où dans
toute pièces qui met en scène les conflits le dramaturge mettent en scène
des individues incapable de se comprendre et de s’entendre. Toute ses
tensions qu’elle soit explosive ou contenue trahisse la solitude du
personnages sur scène

GRAMMAIRE ORAL ET ÉCRIT DU BAC

I) rappelles
1)définition des propositions
Dans une phrases il y a autant de verbe conjugué que de proposition
/!\ cependant au proposition infinitive et participiale /!\
2) les différentes nature de proposition
-proposition indépendante :
-lorsque qu’une phrase ne contient qu’un seul verbe conjugué c’est
forcément une proposition indépendante
ex:Il n’a pas pu venir au lycée ce matin(1), son bus n’est pas passé(2)
1 : Proposition indépendante juxtaposée
2: Proposition indépendante juxtaposée
-proposition indépendante coordonnée :
ex : Il n’a pas pu venir au lycée ce matin(1) car(2) son bus n’est pas passé
1 : proposition indépendante de coordonnée
2 : Conjonction de coordination
-proposition subordonnée <=> proposition principale

3) la proposition subordonnée
Dans une entreprise un subordonnée c’est quelqu’un qui est sous les ordres
de qlq d’autre même chose pour la grammaire la proposition subordonné
dépends d’une autre subordonnée , la proposition subordonnée seul n’as
aucun sens la proposition principale elle à un sens sans la subordonnée
ex : je ne t’envoie pas l’adresse puisque tu es déjà venue plusieurs fois
chez moi
si j’avais une voix, je ne cesserais de chanter sa beauté et sa douceur
Valentine est très autonome bien qu’elle soit plus jeune que les autres
élèves
pourquoi les appelles t’on proposition subordonné conjonctive ?
Elles sont introduite par un conjonction de coordination
(ex lorsque pour que, que ,puisque)
comment reconnaître une conjonction de subordination ?
90 % sont constitué du mot que
proposition subordonné relative ?
Elles sont introduite par un pronom relatif
qui que quoi dont où lequel laquelle lesquelles…

Dans ce passage qui est l’un des plus long soliloque de la pièce Suzanne à
dresser un portrait de son frère de son frère sans complaisance par ces trois
mouvement qui sont marqué de nombreuse hésitations de Suzanne on
s’aperçoit à la fois des difficulté de communication dans cette famille de
l’admiration porter à Louis mais également d’un portrait ambivalent
de Louis qui demeure pour le spectateur comme pour les siens un
personnage particulièrement énigmatique si la dernière phrase du passagae
sonne comme un couperet, elle contient également en germe la tragédie
avenir et plus particulièrement celle de Louis qui ne parviendras jamais à
dire ce pourquoi il est de retour dans la maison familial

exercice 3 page 445


les différentes proposition subordonner conjonctive circonstanciel
-quand la morte saison d’été fut venu : complément subordonner
conjonctive complément circonstanciel de temps
-lorsqu’il fessait avec Bourdoncle son inspection:complément subordonner
conjonctive CC Temps elle vient compléter le verbe principale
pour que la ventre ne souffrît pas

à engager plus de vendeur qu’il leur en fallait

je souhaite qu’il vienne demain


proposition subordonnée qu’il vienne demain
on entends chantée la voix du poète
on entends = proposition principale
chantée la voix du poète= proposition infinitive

je laisse dormir les enfants


je laisse = proposition principal
dormir les enfants= proposition infinitive
elle contient un infinitif qui à son sujet propre «c’est à dire différent de
celui de la proposition principale »
proposition subordonné participiale
la rue étant désertes il s’avança dans l’impasse prudemment
elle contient un participe présent à son passé un sujet propre

une fois les feuille balayées, il profitèrent du jardin


une fois les feuilles balayées= sujet les feuilles
il profitèrent du jardin = sujet il
complément circonstanciel de temps

l’interrogative bac oral et écrit

***
l’interrogative est un type de phrase au même titre que la déclarative
l’exclamative et l’injonctive
dans l’interrogation on distingue l’interrogation direct et indirect c’est à
dire celle qui relève du discours direct et celle du discours indirect (pensez
aux exercices de transposition du discours direct à l’indirect fait au
collège)
exemple :
discours direct, Interro direct, question direct:
Est-ce que nous allons passer bientôt le bac blanc ?

Discours indirect, interro indirect, question indirect :


Il m’a demandé si nous allions passer le bac blanc bientôt.
si : proposition subordonnée indirect
/!\ au discours indirect on perd le point d’interrogation /!\
direct : Pourquoi étais-tu absent aujourd’hui ?
Indirect : Il m’a demandé pourquoi j’étais absent lundi dernier.
On garde le pourquoi
phrase à passé à l’interrogative indirect :
En quoi ce texte relève t’il du romanesque ?
Nous nous demanderons en quoi ce texte relève du romanesque
ce texte relève t’il du romanesque?
Nous nous demanderons si ce texte relève du romanesque

3. l’interrogation totale et partielle


-lorsque l’interrogation porte sur l’ensemble de la phrase on dit qu’il s’agit
d’une interrogative total et la réponse à la question posé commencera
forcément par oui ou non
portez vous bien ?
Ai-je pas toujours été un homme posé ?
Interro totale / direct

qu’avez vous fait aujourd’hui ?


Où iras-tu ce soir ?
Comment es-tu rentré(e) hier soir ?
Combien as-tu en math ?
L’interrogatif partiel porte sur une partie de la phrases soit le lieu, le temps,
la personne

on ne peut jamais répondre ni par oui ni par non


les niveau de langue
a. l’interrogatif totale
avez vous bien 2 enfants madame ? → nv langue soutenue
Est ce que vous avez bien 2 enfants madame ? → nv langue courant
vous avez bien 2 enfants madame ? → nv de langue famillier
(à l’orale seul l’intonnation nous renseigne sur le faite que ce soit une
interrogation)

le titre de chevalier renvoie à la noblesse quant à manon lescaut son nom


ne comporte pas de particule cela renvoie à des origines populaires
étant donné que les deux personnages sont visiblement issus de millieu
sociaux différent si une histoire d’amour les unis elle sera
vraisemblablement contrarié ou il s’agira d’un amour impossible
comparer le titre complet du roman histoire du chevalier Des Grieux et de
Manon Lescaut avec le titre qui figure sur votre éditions «

lequelle de ces deux titres vous donne d’avantage envie de lire le livre ? <
Pourquoi ?

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