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Cet ouvrage est destiné aux étudiants de deuxième année des classes

préparatoires aux grandes écoles et aux étudiants du tronc commun de


technologie des universités ainsi que les étudiants du semestre 3 des
sciences techniques du système LMD. Il contient des chapitres de cours et
des exercices résolus à la fin de chaque chapitre. Les solutions sont souvent
détaillées et permette à l’étudiant de compléter sa compréhension du cours et
faire soit même son évaluation.
Les deux premiers chapitres traitent les outils mathématiques notamment les
torseurs utilisés pour simplifier l’écriture des équations de la mécanique.
Le chapitre trois décrit l’équilibre statique des solides et les différentes liaisons
entre les solides et les équations qui les régissent.
Le chapitre quatre est consacré à la géométrie des masses donc aux centres
d’inertie et aux tenseurs d’inertie des solides. Savoir utiliser le théorème de
Huygens permet de résoudre un bon nombre de problèmes en mécanique des
solides et vibrations.
Les chapitres cinq, six et sept traitent la cinématique du point matériel et la
cinématique du solide indéformables ainsi que les contacts entre les solides. Le
maniement des angles d’Euler et leur assimilation sont indispensables pour la
compréhension de la mécanique des solides.
Les chapitres huit et neuf décrivent la cinétique et les théorèmes fondamentaux
de la dynamique et le principe de l’action et de la réaction.
Le dernier chapitre traite la dynamique des solides en mouvements de rotation
autour d’un axe et de leur équilibrage statique et dynamique.
De nombreux exercices résolus dans cet ouvrage montrent aussi la manière dont
il faut utiliser les théorèmes généraux de la mécanique et combien il est
important de faire un bon choix des repères pour la détermination des éléments
cinématiques et cinétiques des solides.
La mécanique est la science qui décrit les lois des mouvements et de l’équilibre.
Elle est à la base du dimensionnement des mécanismes, des machines, des
structures, des ouvrages et autres réalisations de l’homme.
tre. Il ne s’agit pas d’un cours complet de mécanique des fluides. Le support complet de mon
cours peut être trouvé à travers :
– les deux ouvrages « Hydrodynamique » et « Hydraulique » de Graf & Altinakar ;
– le manuel de cours « Mécanique des fluides » de Rhyming ;
– le cours « mécanique des fluides : une introduction » par Botsis & Deville ;
– l’ouvrage « Constructions hydrauliques » de Sinniger & Hager.
tous publiés aux PPUR (collection Traités de Génie Civil pour les ouvrages de Graf & Altinakar
et Sinniger & Hager). Un grand nombre des données biographiques données à travers les différents
chapitres sont issues du livre du prof. Willi Hager de l’ETHZ « Hydraulicians in Europe 1800–2000 »
publié par l’International Association of Hydraulic Engineering and Research (Delft, 2003).
J’emploie les notations usuelles modernes :
– les exemples sont le plus souvent introduits à l’aide de « ♣ Exemple. – » et on indique la fin
d’un exemple par le symbole « qed » ⊓⊔ ;
– les parties qui peuvent poser des problèmes d’interprétation sont indiquées par le symbole  dans
la marge ;
– les démonstrations un peu techniques (qui peuvent être sautées en première lecture) sont signalées
par le symbole h ;
– les vecteurs, matrices, et tenseurs sont en gras ;
– les variables scalaires sont en italique ;
– les fonctions, opérateurs, et nombres sans dimension sont en roman ;
– le symbole O (O majuscule) signifie « est de l’ordre de » ;
– le symbole o (o minuscule) signifie « est négligeable devant » ;
– je n’emploie pas la notation D/Dt pour désigner la dérivée particulaire, mais d/dt (qu’il ne
faudra donc pas confondre avec la différentielle ordinaire selon t). Je considère que le contexte
est suffisant pour renseigner sur le sens de la différentielle et préfère garder le symbole D/Dt
pour d’autres opérations différentielles plus complexes ;
– le symbole ∝ veut dire « proportionnel à » ;
– le symbole ∼ ou ≈ veut dire « à peu près

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