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UGA / Faculté d’Economie de Grenoble / Analyse économique 2 / TD / Section A et Section B / Année 2023 - 2024 1/13

Licence 1 Economie-Gestion / Année 2023 - 2024 / Semestre 2


TD d’Analyse économique / Section A et Section B

SYLLABUS DES 10 SEANCES DE TD

***

Séance 1 / Première partie : organisation et contenu des TD (lecture et commentaires)

I - Planning des séances (10 x 1h30 = 15 heures de TD)

Semaine du : Thèmes
22/01 - Séance 1 Présentation des TD d’AE2 / Emergence de l’économie
comme science

05/02 - Séance 2 Marginalisme (1) : Menger, Jevons

12/02 - Séance 3 Marginalisme (2) : Walras, Marshall

19/02 - Séance 4 Modèle macroéconomique (néo)classique (1)

26/02 – Vacances d’hiver

04/03 - Séance 5 Modèle macroéconomique (néo)classique (2)

11/03 - Séance 6 5 questions à traiter, choisies par l’enseignant(e) parmi


DS en Séance toutes les questions de TD des séances 2 à 5, épreuve en 1h
(1h20 pour les étudiants « tiers-temps »).

18/03 - Séance 7 Modèle macroéconomique keynésien (1)

25/03 - Séance 8 Modèle macroéconomique keynésien (2)

01/04 - Séance 9 Contradicteurs du keynésianisme


Dissertation en Amphi
08/04 - Séance 10 Corrigés des sujets des DS en Séance et de la Dissertation
en Amphi / Croissance vs développement

II - Modalités d’évaluation

. 30% : Préparations écrites à remettre à l’enseignant au plus tard à la fin de chaque séance
(remise en format papier ou en format numérique précisée par l’enseignant(e)).
. 30% : Devoir sur table (« DS ») en séance de travaux dirigés.
. 40% : Dissertation en amphi.

. Bonus pour la participation orale en classe.


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III - Devoir sur table (DS) en séance de travaux dirigés

Le devoir sur table (DS) est effectué par chaque groupe de TD, en 1 heure (1h20 pour les étudiants
« tiers-temps »), normalement dans le créneau horaire habituel qui est le sien, lors de la Séance 6
(semaine du 11 mars 2024).

Ce DS vise à contrôler les connaissances acquises par les étudiants dans les textes de TD des
Séances 2 à 5.

Pour chaque groupe de TD, le sujet du DS est constitué de 5 questions à traiter (sauf indications
contraires de l’enseignant(e) : 4 points par question).
Ces 5 questions sont choisies par l’enseignant(e) parmi les questions de TD figurant dans ce
syllabus pour chacune des séances concernées.

Toute absence à ce DS en séance doit être justifiée.


La non-remise d’un justificatif d’absence interdit l’accès à un éventuel DS, commun celui-ci, de
rattrapage (semaine du 18 mars 2024).

IV - Dissertation en amphi

La dissertation en amphi est une épreuve en 2 heures (plus 40 minutes pour les étudiants « tiers-
temps »).
Cette épreuve intervient au cours de la semaine de la Séance 9, séance évidemment maintenue
(semaine du 01 avril 2024).

Toute absence à cette dissertation en amphi doit être justifiée.


La non-remise d’un justificatif d’absence interdit l’accès à une éventuelle dissertation de rattrapage
(semaine du 08 avril 2024).

Les chargés de cours magistral mettent à disposition, sur Moodle, des conseils et recommandations
pour réussir ce type d’épreuve.
Pour s’y préparer, il appartient aux étudiants de télécharger le ou les fichiers concernés.

Au moment opportun, les chargés de cours magistral indiquent, sur Moodle également, ce que les
étudiants ont à réviser dans l’optique de cette épreuve.

V - Préparations écrites à rendre

Les étudiants préparent chaque séance en répondant, par écrit, aux questions fournies dans ce
syllabus.
Seules les préparations faites individuellement ou en binôme sont acceptées.

Les réponses rédigées par les étudiants s’appuient exclusivement sur les textes retenus pour
chaque séance, et disponibles sur Moodle

Toute réponse fournie en utilisant d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.), est
considérée comme non traitée.

Il en est de même en cas de copiés-collés de passages des textes mis à disposition.


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Toutes les préparations doivent pouvoir être ramassées par l’enseignant(e) au plus tard à la fin de
chaque séance.
Chaque enseignant(e) précise les modalités de ramassage des préparations : fichiers numériques
déposés au préalable sur Moodle par les étudiants, ou préparations manuscrites ou en traitement de
texte remises en fin de séance.

Normes à respecter pour les préparations en traitement de texte : police de caractères Times New
Roman ; taille 12 minimum ; interligne 1,5 ; justifié (texte aligné à gauche comme à droite de la
page) ; 4 à 5 pages maximum.
Normes à respecter pour les préparations remises sous forme manuscrite : écriture et encre très
lisibles, travail soigné respectueux du lecteur/correcteur, sur feuille doubles, ou feuilles simples
agraphées par les étudiants.
Le non-respect de ces normes est sanctionné.

Les réponses doivent être claires et structurées.


On « aère » ses réponses par des paragraphes courts, des retours à la ligne, des sauts de ligne.
On n’écrit pas « comme on parle ».
On fait des phrases courtes si l’on ne maîtrise pas bien la syntaxe.
On utilise systématiquement le correcteur orthographique en cas de traitement de texte.
Le non-respect répété ou systématique de ces indications est sanctionné.

Chaque préparation ramassée fait l’objet, a minima, d’une lecture rapide par l’enseignant(e) pour
vérifier le sérieux du travail effectué.
Sur l’ensemble du semestre, au moins 3 préparations sont notées, dont une choisie par l’étudiant(e),
qui indique alors sur sa copie sa volonté d’être noté(e).
Pour limiter le relâchement dans le travail au fil du semestre, l’enseignant(e) n’indique pas de note
sur les préparations.
La communication de notes ne se fait que sur demande transmise après publication, par le
secrétariat, des notes de contrôle continu du semestre.

Chaque séance de TD permet aux enseignant(e)s de fournir des éléments de correction des
questions. Mais il n’y a pas de « corrigés types » à attendre de leur part.

Pour chaque question de TD, le « juge de paix » final est le contenu du texte fourni, et lui seul. Pour
maîtriser ce contenu, il faut le lire, le relire et l’étudier avec tout le soin et l’attention qui
s’imposent.
Le copié-collé de corrigés circulant ici ou là ne rend aucun service pour se préparer sérieusement
aux DS, dissertation en amphi et examens.

VI - Assiduité et participation orale en classe

Les travaux dirigés d’Analyse économique visent à approfondir et/ou compléter le cours magistral.
La présence aux séances de TD est donc obligatoire.

Une absence doit être justifiée auprès de l’enseignant(e) aussitôt que l’étudiant(e) revient en TD, en
présentant un justificatif parmi ceux prévus à cette fin.

Au-delà de 2 absences non justifiées, l’étudiant(e) est considéré(e) comme défaillant(e).


Ceci se traduit par une note de contrôle continu égale à zéro, soit 50 % de la note globale en
Analyse économique, matière de coefficient 6.
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L’assiduité ne se résume pas à une simple présence physique, même silencieuse.

Les étudiant(e)s doivent venir en séance avec leurs préparations, et avec le ou les textes qui étaient à
étudier (format numérique ou papier).

Participer en classe suppose de répondre à l’oral aux questions préparées par écrit avant de venir en
séance.
La participation en classe (interventions orales pour répondre aux questions à corriger, ou toute
autre intervention orale jugée pertinente) fait l’objet d’une notation par l’enseignant(e) selon des
modalités qu’il/elle choisit librement.

Cette participation se traduit par un « bonus » inclus, in fine, dans la moyenne de contrôle continu.
Plus on participe, plus le bonus est élevé.

Les comportements inappropriés en classe font d’abord l’objet d’un rappel à l’ordre.
S’ils se renouvellent, ils sont signalés auprès du responsable d’année. Enfin, ils peuvent faire l’objet
d’une exclusion, que l’on soit boursier ou non.

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Séance 1 / Seconde partie : travail en séance (lecture et commentaires de textes)

Cf. page suivante.


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Séance 1 / Seconde partie : travail en séance (lecture et commentaires de textes)

Lecture suivie et commentaires de la fiche 2 (« Histoire rapide de la pensée économique ») et de la


fiche 37 (« L’économie comme science : la naissance d’une conviction ») de l’ouvrage suivant :

Document : Ghislain Deleplace, Christophe Lavialle, Histoire de la pensée économique, Paris


Dunod, 1ère édition, 2008, pp 7-10, 147-150. Documents disponibles sur Moodle.

Suggestions de questions

Fiche 2
1. Comment l’activité économique est-elle perçue de l’Antiquité jusqu’à la première moitié du
XVIIIe siècle ; comment s’explique la primauté de l’économique qui s’instaure par la suite ?
2. Quels sont les principaux auteurs et les principales analyses retenus par Deleplace et Lavialle
pour caractériser la succession des approches mercantiliste, classique, marginaliste ?
3. Comment est résumé l’apport de la « Théorie générale » de Keynes ?
4. Quelles sont les divisions théorique puis pratique qui apparaissent ensuite ; quelles sont les
limites de la « synthèse classique » ?
5. Quelles sont les différentes remises en cause subies par la « synthèse classique » ?

Fiche 37
6. Qu’est-ce qui permet le développement de l’analyse économique en tant que corpus théorique ;
quel est, alors, l’objet de l’économie ; comment se construit chacun des courants successifs de
l’analyse économique jusqu’à la rupture néoclassique ?
7. Sur quel modèle la théorie néoclassique est-elle construite ; quelles sont les prétentions de cette
théorie ?
8. Qu’est-ce qui conduit la théorie néoclassique à rapprocher « la science économique » des
sciences dures ?
9. A partir de la fin des années 1960, comment évolue la conception néoclassique de la « science
économique » ?
10. Pourquoi l’analyse économique est-elle, en fait, une science humaine ?
11. Pourquoi l’analyse économique est-elle également une science sociale ?

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Séance 2 / Marginalisme (1) : Menger, Jevons

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu des documents indiqués ci-dessous (disponibles
sur Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas de simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Document 1 : Nicolas Guerrero, Histoire de la pensée économique en 60 auteurs, Paris, Ellipses,


2015, pp 99-103.
Document 2 : Jean-Marc Daniel, Histoire vivante de la pensée économique, Paris, Pearson, 2019,
pp 196-198.

1. Qui est Carl Menger ?


2. Quelle est l’ambition de Menger, que souhaite-t-il révéler ; de quoi s’inspire sa méthode ; quelle
distinction fait-il concernant l’économie, et concernant les rôles respectifs de l’économiste et de
l’homme politique ?
3. Pourquoi Menger s’oppose-t-il à la théorie de la valeur travail des classiques ?
4. Selon Menger, comment les individus font-ils leurs choix de consommation ; dans l’exemple
fourni de « table d’intensité des besoins », comment l’agent économique « rationnel » doit-il
effectuer ses choix ?
5. Pourquoi est-il impossible, selon Menger, de raisonner globalement au niveau d’un pays, et
pourquoi s’oppose-t-il aux tenants de l’école historique allemande ; que recouvre la « querelle des
méthodes » ?
6. Selon Menger, qu’est-ce qui conduit à l’émergence d’une monnaie ?

Document 3 : Nicolas Guerrero, Histoire de la pensée économique en 60 auteurs, Paris, Ellipses,


2015, pp 93-97.
Document 4 : Jean-Marc Daniel, Histoire vivante de la pensée économique, Paris, Pearson, 2019,
pp 185-191.

7. Qui est William Stanley Jevons ?


8. En quoi est-il influencé par Auguste Comte, quelle est sa conception de l’économie ?
9. Quelle est la théorie de la valeur proposée par Jevons ?
10. En quoi cette théorie de la valeur s’inspire-t-elle des travaux de Bentham ?
11. Que recouvre sa théorie du « degré final d’utilité », appelé depuis « utilité marginale » ; qu’est-
ce qui caractérise l’équilibre du consommateur ?
12. Selon Jevons, comment le travailleur « rationnel » doit-il se comporter ?
13. Qu’appelle-t-on le « paradoxe de Jevons » ?

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Séance 3 / Marginalisme (2) : Walras, Marshall

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu des documents indiqués ci-dessous (disponibles
sur Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas de simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Document 1 : Ghislain Deleplace, Christophe Lavialle, Histoire de la pensée économique, Paris,


Dunod, 1ère édition, 2008, pp 83-86.

1. Qui est Léon Walras ?


2. Pour Walras, quels sont les objets de l’économie pure, de l’économie appliquée, de l’économie
sociale ; en quoi cet économiste combine-t-il libéralisme et socialisme ?
3. Considéré comme la référence en microéconomie pour son « économie pure », comment Walras
aborde-t-il l’analyse de tous les phénomènes économiques ?
4. Dans quelle tradition Walras s’inscrit-il ; quelle sera l’influence de ses disciples ; sur quelles
difficultés son analyse bute-t-elle ?
5. Comment Walras définit-il la richesse sociale ; quels sont les quatre facteurs par lesquels sa
théorie de la richesse sociale dépasse les travaux de Jevons et de Menger ?
6. L’exposé de la théorie de l’équilibre général allant du plus simple au plus compliqué, qu’est-ce
qui caractérise « l’économie d’échange pur », qu’est-ce qui caractérise « l’économie de
production » et ce qu’elle implique concernant les services producteurs et la monnaie ?

Document 2 : Ghislain Deleplace, Christophe Lavialle, Histoire de la pensée économique, Paris,


Dunod, 1ère édition, 2008, pp 87-90.

7. Qui est Alfred Marshall ?


8. Selon Marshall, comment évolue la productivité des facteurs de production ; dès lors, si la
consommation repose sur la loi de l’utilité marginale décroissante, sur quelle loi repose la
production ?
9. Du côté de la demande, comment Marshall raisonne-t-il pour montrer que la relation entre le prix
de demande et la quantité est une fonction décroissante ; du côté de l’offre, comment raisonne-t-il
pour montrer que la relation entre le prix d’offre et la quantité est une fonction croissante ?
10. Outre une détermination du prix d’équilibre permettant d’égaliser quantité offerte et quantité
demandée d’un bien, que décrit également la loi de l’offre et de la demande énoncée par Marshall ?
11. En quoi la détermination des prix et des quantités par la loi de l’offre et de la demande est-elle
l’expression d’une économie de marché en concurrence parfaite ?
12. Qu’est-ce que Marshall entend par raisonnement en terme d’équilibre partiel, par raisonnement
en terme de statique comparative ; qu’entend-il par période de marché, courte période, longue
période ?

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Séance 4 / Modèle macroéconomique (néo)classique (1)

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu du document indiqué ci-dessous (disponible sur
Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas de simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Attention : certaines réponses doivent inclure les équations figurant dans le texte.

Document : Jacques Généreux, Economie politique, 3. Macroéconomie, Paris, Hachette, 4e édition,


2004, pp 9-24.

1. Quelle est l’hypothèse centrale de l’approche dite « classique » ou « néoclassique » ?


2. Quelles sont les quatre écoles relevant de cette approche ?
3. Que recouvre l’expression « logique de l’offre » qui caractérise cette approche ?

4. Quelles sont les hypothèses relatives au fonctionnement du marché du travail ?


5. Qu’est-ce qui caractérise l’offre de travail d’une part, la demande de travail d’autre part ?
6. Comment s’opère l’équilibre entre offre et demande de travail ?
7. Du point de vue néoclassique, comment se définissent le chômage volontaire, le chômage
involontaire, le chômage classique, le chômage frictionnel, le chômage structurel, le taux de
chômage « naturel » ?

8. Comment se détermine l’offre globale de biens et services de plein-emploi ?


9. Qu’est-ce que la courbe d’offre globale ; quelle relation y a-t-il entre l’offre globale et le niveau
général des prix, et pourquoi ?
10. Que recouvre la loi des débouchés de Jean-Baptiste Say ; qu’implique-t-elle concernant le
produit intérieur de plein-emploi, l’épargne et l’investissement ?
11. Qu’est-ce qui caractérise la fonction d’épargne ; qu’est-ce qui caractérise la fonction
d’investissement ?
12. Comment s’opère l’équilibre entre l’épargne et l’investissement ?

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Séance 5 / Modèle macroéconomique (néo)classique (2)

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu du document indiqué ci-dessous (disponible sur
Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas de simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Attention : certaines réponses doivent inclure les équations figurant dans le texte.

Document : Jacques Généreux, Economie politique, 3. Macroéconomie, Paris, Hachette, 4e édition,


2004, pp 24-34.

1. Qu’est-ce que la monnaie, quelles sont ses trois grandes fonctions ?


2. Pour les néoclassiques, quel est l’unique motif de demande de monnaie, et pourquoi ?
3. Comment s’écrit, alors, l’équation exprimant la demande de monnaie ?

4. Qu’est-ce que la vitesse de circulation de la monnaie ; comment peut-on l’exprimer en partant de


l’équation de Cambridge ?
5. Dès lors, quelles sont les deux présentations équivalentes de la demande de monnaie ; quels sont
les trois facteurs déterminant cette demande de monnaie ?
6. Pourquoi la demande de monnaie apparaît-elle comme une fonction stable du revenu nominal ;
qu’est-ce que cela implique concernant le taux d’intérêt ?

7. Comment se détermine et s’exprime l’offre de monnaie ?


8. Comment s’exprime l’équilibre monétaire ; pourquoi s’agit-il d’une tautologie comptable ?

9. Quel est le contenu de l’hypothèse essentielle de la théorie quantitative de la monnaie ; que


recouvre le terme de neutralité de la monnaie ?
10. Que permet d’expliquer « l’effet Pigou » ?
11. Résumer l’approche monétariste de la demande de monnaie.
12. Résumer l’approche monétariste de la neutralité de la monnaie.

13. Résumer l’approche néoclassique de l’équilibre macroéconomique.

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Séance 6 / DS en Séance

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Séance 7 / Modèle macroéconomique keynésien (1)

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu du document indiqué ci-dessous (disponible sur
Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas de simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Attention : certaines réponses doivent inclure les équations figurant dans le texte.

Document : Jacques Généreux, Economie politique, 3. Macroéconomie, Paris, Hachette, 4e édition,


2004, pp 35-54.

1. Qui est John Maynard Keynes ?


2. Selon Jacques Généreux, quel est le véritable changement de méthode introduit par l’approche
keynésienne ?
3. En quoi la logique caractérisant l’approche keynésienne constitue-t-elle une inversion de la
logique caractérisant l’approche (néo)classique ?

4. Comment se définit et se formule la fonction de consommation keynésienne ?


5. Comment se définit et se formule la fonction d’épargne ?
6. Que recouvrent les critères de choix d’investissement que sont le bénéfice actualisé et l’efficacité
marginale du capital (ou taux de rendement interne) ; si l’analyse keynésienne suit la tradition
néoclassique faisant de l’investissement une fonction décroissante du taux d’intérêt réel, comment
peut-on alors représenter la fonction d’investissement ?
7. Keynes raisonne en économie fermée, mais si l’on raisonne en économie ouverte, qu’implique la
prise en compte de la demande extérieure ?

8. Pourquoi, dans l’approche keynésienne, l’équilibre économique entre offre et demande globales
n’est-il pas garanti ; comment se réalise l’équilibre comptable entre offre et demande globales ?
9. Pourquoi un éventuel équilibre économique entre offre et demande globales peut-il malgré tout
être un équilibre de sous-emploi ?
10. Qu’est-ce qui caractérise l’écart inflationniste, et quelle peut en être la cause ?

11. Comment se définit le multiplicateur d’investissement, comment se calcule-t-il en économie


fermée, en économie ouverte ?
12. Si l’on introduit le budget de l’État, en raisonnant en économie fermée, comment se formulent
l’équilibre macroéconomique et le multiplicateur ?
13. En raisonnant en économie fermée, comment se calculent le multiplicateur des dépenses
publiques, des transferts publics, des impôts, d’un budget équilibré, et quels sont leurs effets ?
14. Qu’est-ce qui conditionne l’efficacité du mécanisme multiplicateur ; pourquoi faut-il introduire
la monnaie ?

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Séance 8 / Modèle macroéconomique keynésien (2)

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu du document indiqué ci-dessous (disponible sur
Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas de simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Attention : certaines réponses doivent inclure les équations figurant dans le texte.

Document : Jacques Généreux, Economie politique, 3. Macroéconomie, Paris, Hachette, 4e édition,


2004, pp 54-70.

1. Comment se définit et se formule l’offre de monnaie dans l’approche keynésienne ?


2. Que recouvre la demande de monnaie de transaction, comment peut-elle se formuler ?
3. Que recouvre la demande de monnaie de spéculation, de quoi dépend-elle, comment peut-on la
formuler ?
4. Comment peut s’écrire l’équilibre entre offre et demande de monnaie ; quand la demande de
monnaie de spéculation peut-elle être nulle ; à quoi correspond la situation de « trappe à
liquidité » ?

5. Pourquoi l’approche keynésienne suppose-t-elle un examen simultané de l’équilibre sur le


marché des biens et services et de l’équilibre sur le marché de la monnaie ?

6. De quoi dépend l’offre de travail, pourquoi le salaire nominal est-il rigide à court terme ?
7. Pourquoi, en situation de chômage, la baisse des salaires nominaux est-elle non seulement peu
probable, mais serait, de surcroît, néfaste ?
8. En ne retenant que l’essentiel, en quoi la théorie du salaire d’efficience renforce-t-elle l’idée
selon laquelle la baisse des salaires ne rétablit pas l’équilibre selon le processus supposé par
l’analyse néoclassique ?

9. Comment se résume l’analyse keynésienne en termes d’enchaînement des équilibres, de politique


économique, de méthodologie ?

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Séance 9 / Contradicteurs du keynésianisme

La préparation à faire pour la séance implique de répondre à chacune des questions ci-dessous :
1/ D’abord, en reportant dans la copie le numéro et l’énoncé complet de la question à traiter.
2/ Ensuite, en utilisant exclusivement le contenu des documents indiqués ci-dessous (disponibles
sur Moodle).
3/ En sachant donc que la question sera considérée comme non traitée en cas d simple copié-collé
de passages des textes à étudier, ou de recours à d’autres « sources » (Internet, ChatGPT, etc.,).

Document 1 : Marc Montoussé, Isabelle Waquet, « La courbe de Phillips », in 100 fiches de micro
et macroéconomie, Paris, Bréal, 2009, pp 188-189.

1. Quel rôle la courbe de Phillips a-t-elle joué dans la politique économique ?


2. Quelle est la relation mise en évidence par Phillips ?
3. Quelles sont les caractéristiques de la « courbe de Phillips » mise en évidence par Samuelson et
Solow ?
4. Quelles seront les explications, d’une part, et les conséquences, d’autre part, de la mise en
évidence d’une relation inverse entre inflation et chômage ?

Document 2 : Emmanuel Combe, « Les contradicteurs du keynésianisme, de Friedman aux


nouveaux classiques », Cahier Français, n° 250, mars-avril 1997, pp 71-78.

5. Quels sont les trois grands courants pouvant être distingués au sein de la « contre-révolution »
néoclassique ?
6. Quels sont les outils employés par le courant monétariste de Milton Friedman ?
7. Quels sont les arguments employés par le courant monétariste pour remettre en cause la relance
monétaire, la relance budgétaire ; quel est l’apport de l’école des choix publics (public choice) ?
8. Que cherche à montrer le nouvelle économie classique (NEC), que trouve-t-on au fondement de
cette école ?
9. Quels regards la NEC porte-t-elle sur l’arbitrage inflation/chômage, la relance budgétaire, la
politique conjoncturelle, et donc sur la politique à mener ?
10. Que cherche à montrer l’école de l’offre ; en particulier, que cherche à montrer la courbe de
Laffer ; pourquoi cette courbe est-elle contestée ?

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Séance 10 / Corrigés des DS en Séance et Dissertation en Amphi / Etude de texte en séance

I - Corrigés des sujets des « DS en Séance » et de la « Dissertation en Amphi »

II - Lecture suivie et commentaires de texte en séance (si l’on dispose de temps après les
corrigés).

Document : Jacques Généreux, « La croissance n’est pas le développement », in Les vraies lois de
l’économie, Paris, Seuil, Coll. « Points », 2005, pp 247-260. Document disponible sur Moodle.

Suggestions de questions (les étudiants sont invités à lire le texte avant de venir en séance ; ils n’ont
pas de préparation à rendre pour cette séance)

1. Comment Généreux définit-il la croissance économique d’une part, le développement d’autre


part ?
2. Dès lors, quelles sont, selon lui, les trois évidences qui s’imposent ?
3. Pourquoi, jusqu’au XIXe siècle, ces évidences s’imposent-elles à l’esprit des fondateurs de
l’économie politique ?
4. Avant l’essor des paradigmes néoclassique et marxiste, quelle est l’utopie commune aux penseurs
de l’économie, et quelles sont leurs divergences ?

5. Pourquoi le « décor intellectuel » change-t-il au XXe siècle ; que constate-t-on dans les pays
riches ?
6. Qu’est-ce qui conduit à la constitution d’une « économie du développement », que recouvre-t-
elle, qu’en est-il de la distinction entre croissance et développement ?

7. Qu’est-ce qui conduit à la remise en question, dès les années 1970, de la priorité donnée à la
croissance dans les pays communistes, les pays en développement, les pays riches ?
8. Pourquoi la remise en cause de la priorité donnée à la croissance ne se traduit-elle pas dans les
faits, ni dans les années 1970, ni au cours des décennies suivantes ?

9. Qu’est-ce qui conduit à mettre ou remettre progressivement sur le devant de la scène les
questions de « développement humain » et de « développement durable » ?
10. Quels sont les apports des approches théoriques revenant à contester le paradigme néoclassique
du marché efficient ?
11. Que sait-on, aujourd’hui, concernant le développement ?

12. Selon Généreux, quels sont les chemins restant à parcourir pour se libérer de l’idéologie de la
croissance marchande ; dans quels domaines la croissance a-t-elle pourtant, selon lui, un grand
avenir ?

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