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Plan du cours
Introduction générale
Objectifs du cours
Définitions et généralités
INTRODUCTION GENERALE
1. Objectifs
Spécificité et Généralités :
Intégration des sciences de base (mathématiques,
physique, chimie, biologie, statistique) ;
Prise en compte des sciences naturelles (astronomie,
topographie, télédétection, photogramérie, SIG, etc.).
1.1 Définitions
Les extrêmes au sol sont : 1083,8 hPa en Sibérie et 867 hPa dans
un cyclone tropical de l’océan Pacifique. A titre indicatif, 1 mb =
102 Pascals, et 1 hPa = 1 mb ;
1.2 Composition
Remarques :
La proportion d’ozone O3
Exemples :
débris minéraux, végétaux ;
9
2.4.2. L’ensoleillement
2.4.3. Le Rayonnement
2.5.Les précipitations
L'infrarouge
Le domaine de l'infrarouge est relativement étendu puisqu'il couvre les longueurs d'onde de
0,7?m à 100?m. Dans cette fourchette de longueurs d'onde, on distingue généralement quatre types
d'infrarouges qui vont du proche infrarouge à l'infrarouge lointain, en passant par l'infrarouge moyen
et le thermique.
Plus la longueur d’onde est courte plus il y a une grande fréquence où plus une
grande énergie. Et plus la longueur d’onde est longue plus l’énergie est petite.
- φ = la latitude
- t = différence de longitude ou temps
- δ = la déclinaison (saison)
- γ ou h = l’angle d’incidence
- A = lieu considéré
- B = intersection du méridien de la localité A avec l’équateur
- C = lieu où les rayons du soleil sont perpendiculaires à la
surface du sol
- D = intersection du méridien de la localité C avec l’équateur
- O = centre de la terre
- (C) = équateur
- O’ = Pole Nord
- Secteur AOB = φ : latitude A
- Secteur COD = δ : angle d’incidence
S’0 = S0Cosγ
Cosγ = Sinδ + CosφCost
Remarques :
Observations : RA en Ly/jour
Remarques :
Le Pole Sud reçoit un peu plus d’énergie que le Pole Nord à cause
de l’eau (chaleur latente). Les régions équatoriales sont
avantagées par rapport aux régions polaires. Toutefois, pendant
l’été polaire, ces dernières reçoivent plus d’énergie que l’équateur.
Facteurs :
Rappels
2) Approximativement :
La photoionisation
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La photodissociation
a) Diffusion de Rayleigh
c) Diffusion Isotopique
DETAILS ALBEDOS
STRATUS
100 m 0,4
200 m 0,5
300 m 0,6
500 m 0,7 à 0,75
Altostratus 0,4 à 0,7
Tête de Cumulus 0,83
a) Sol nu
Neige fraîche 0,8 à 0,9 ; Neige ancienne 0,5 à 0,7 ; Sol cultivé
0,07 à 0,14
Forêts 0,06 à 0,20 ; Herbes-cultures 0,12 – 0,25 ; Mer 0,05 à
0,40
L’albédo de la mer (eau) varie beaucoup en fonction de la hauteur
du soleil au-dessus de l’horizon ; ainsi que l’agitation de la
surface marine.
Cette loi indique par ailleurs que la puissance émise par le corps
noir à 15 ºC est de 0,390 Kw/m 2. Toutefois, à conditions égales
de température, les corps naturels émettent moins que le corps
noir. Pour une température donnée, on détermine la puissance
émise par les corps naturels en multipliant la puissance émise
par le corps noir, par un coefficient « eT » légèrement inférieur à
l’unité, et variable d’après les corps.
« eT » varie peu. Pour des températures courantes, ses valeurs
sont :
- Surface aquatique calme : 0,94 à 0,96 ; surface glacée : 0,92 à
0,94 ;
- Neige : 0,99 ; surface continentale (en moyenne) : 0,95
- la conduction et la convection ;
- l’évaporation et l’évapotranspiration ;
- la biodégradation de la matière organique (QV : Cimetière) ;
- la condensation par contact (Co) et la conduction dans le sol
(Qg)
3.2. LA TEMPERATURE
3.2.1. INTRODUCTION
A) Définition
La température est une variable très subjective.
C’est l’exemple type de la grotte : en été (saison des pluies dans la
région tropicale), il y fait plus froid que dehors le matin alors
qu’en hivers (saison sèche), et toujours le matin, il y fait plus
chaud que dehors.
Et pourtant, l’air dans la grotte est à une température presque
constante !
B) La mesure de la température
Conversion et Equivalence
1 ºC = 1,8 ºF ; 1 ºF = 0,5556 ºC ; 1 ºK = 1 ºC = 1,8 ºF
ºF = 9/5 ºC + 32 ; ºC = 5/9 (ºF – 32) ; ºK = ºC + 273 ; ºC = ºK –
273
N.B. : Le degré Kelvin (ºK) a la même valeur que le degré
Centigrade (ºC), mais le Zéro de l’échelle Kelvin, ou Zéro Absolu, =
-273 ºC (plus précisément -273,16 ºC) ; en fait, la température à
laquelle la vitesse moléculaire est nulle, et donc où un corps
naturel cesse d’émettre.
Quelques records
1) Facteur astronomique
Rappel :
La terre effectue sa translation en 365 ¼ jours sur une orbite
quasi-circulaire où la distance Terre – Soleil varie de 147 à 152
millions de Km.
a) Eté ; (axe polaire incliné vers le soleil) : le soleil est à midi au-
dessus de la tête de quelqu’un situé au tropique et on a le soleil
de minuit dans l’hémisphère exposée.
Conséquences :
- Climats maritimes : hivers plus doux mais plus frais que dans
les climats continentaux.
- fluctuations extrêmes de température beaucoup plus faibles
près des océans que loin sur les continents.
La répartition et la masse des continents viennent donc moduler
la simple décroissance de la température de la température selon
la latitude.
C’est ainsi que par temps froid, quand l’air est clame, la
température que nous ressentons sur la peau, c’est-à-dire le flux
de chaleur sensible est souvent plus élevé que ce qu’indique le
thermomètre (et le contraire est vrai). Donc, toutes les autres
choses égales, plus il vente, plus nous avons froid ; c’est ce que
l’on appelle « facteur rafraîchissant du vent ou indice éolien ».
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4.1 Introduction
L’eau est présente dans l’atmosphère sous forme de la vapeur
d’eau : invisible ; solide : cristaux de glace, liquide : gouttelettes.
La richesse potentielle en vapeur d’eau est pratiquement d’autant
plus grande que la température de l’air est élevée.
La source fondamentale de la vapeur d’eau dans l’air, c’est
l’évaporation quasi permanente à la surface des océans et de
toutes étendues d’eau liquide de façon générale (respiration,
évapotranspiration de la végétation : océan vert). Par conséquent,
la richesse en vapeur d’eau décroît en altitude, soit donc à
mesure que l’on s’éloigne de ces sources.
4.2 Définition et changement de phase de l’eau
1º Quelques définitions
SOLIDE
Sublimation
Congélation
Sublimation
Fusion
Evaporation (vaporisation) GAZ
LIQUIDE
Condensation (Liquéfaction)
A. Cfr. Chap.2
B. Calcul de l’humidité relative (Hr) et de température du point de
rosée (Td) moyennant des abaques.
Exemple graphique (voir annexes). 40 : Hr ? Ts = 20 ºC Ts – Tw =
2 ºC
Lire en abscisse Ts, situer la courbe de la différence entre Ts –
Tw, le croisement de ces deux segments donne Hr ; lire en
ordonnée la valeur, ce qui donne 82 %.
Graphique Td ? Hr = 82 % et la différence entre Ts –Tw = 2 et
Ts = 20 ºC
- lire en ordonnée Hr
- tracer une horizontale jusqu’à la courbe de 20 ºC (Ts)
- lire Td sur l’axe horizontale correspondant ≈ 17 ºC
On trouve en ordonnée la Ts et en abscisse la différence des
températures.
Trouver l’intersection entre les données mesurées.
- Lire Hr en suivant les lignes courbes continues.
- Lire le point de rosée en suivant les traits interrompus.
Par exemple :
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5.1 Définition
980º
990º
900º 1
M
P
Le scalaire |gradP| = = ….hPa/Km
l
N.B. Pareille pour tous les scalaires
- de tº
- de courbe de niveau
- ensoleillement etc.
Signification : plus le gradient est élevé, plus l’intensité est élevée.
La variation horizontale :
Réponse
C’est alors que l’on parle de plus en plus de l’Effet de Serre lequel
n’est donc pas en soi un phénomène nouveau.
A Vent
H.N
B
BP
HP Eq
B A
H.S
HP BP
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Mouvement de la Terre
Déviation de
Coriolis
2ème expérience
Un pilote quittant le pôle Nord, s’il vise droit vers le sud, et pique
directement sur New York, il atterrira plus à l’ouest de la ville.
Une force l’a dévié vers la droite de sa trajectoire initiale.
S’il part du pôle Sud vers Kinshasa et fait la même chose, il
atterrira toujours beaucoup plus à l’ouest mais cette fois-ci, la
force l’a dévié vers la gauche de la trajectoire. Cette force fictive
est appelée de coriolis.
A) Définition
On entant par « circulation atmosphérique », les mouvements
atmosphériques s’étendant sur une partie ou la totalité de la
terre.
La circulation générale étant donc l’ensemble des configurations
de circulations atmosphériques qui s’étendent sur tout le globe
terrestre.
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B) Principe fondamental
C) Type de circulation
1) Circulation Zonale
Elle est moins importante que celle des régions tropicales puisque
le contraste de pression qui l’alimente est relativement faible.
Enfin, toujours en surface, la circulation dans les régions polaires
est particulièrement d’Est.
2) Circulation Méridienne
3) Circulation en altitude
Elle procède de la combinaison de la circulation en surface et de
la thermodynamique de l’air.
Figure nº18 : Circulation générale en altitude (voir lors de l’exposé
en salle)
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6.1 Introduction
p
E0 ta Pour P0 = 700 hpa, t0 = +5º C
ra
td0 = - 6º C
Le 761 indique que rw(P,t) = rw(700,+5) = 7,8g/kg
r = rw(P,t) = rw(700,-6) = 3,5g/kg
Si cette particule se trouve soulevée (détente), la détente
adiabatique (sèche ou Θ) entraîne la saturation ; laquelle entraîne
à son tours la condensation en cas de la poursuite de
l’ascendance mais alors sous la détente pseudoadiabatique ou
adiabatique saturée dite également humide (Θw).
1. Introduction
L’Equateur Météorologique
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Il éclate en :
Les fronts
1. Introduction
2. Définitions
5. Appellation
L’El Niño qui signifie « petit enfant garçon) naît justement de cet
état de lieu, et plus exactement du vent et de l’eau conformément
à la Cellule de Walker. (C’est-à-dire la cellule de Hadley plus celle
de Ferrel).
2. Explications thermodynamiques