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DE HAINAUT CONDORCET
2a, rue Paul Pastur
7500 TOURNAI
CHAPITRE IV
DCB IRSG
Année académique 2017 – 2018
TABLE DES MATIERES
I.1 INTRODUCTION ............................................................................................................................... 4
1. Définition et importance ................................................................................................................. 4
2. Quand mesurer les signes vitaux : ................................................................................................... 5
3. Principes généraux à respecter lors de la mesure des signes vitaux: .............................................. 5
4. Retranscription des données : ......................................................................................................... 6
I.2 LA TEMPERATURE ............................................................................................................................ 7
1. Définition : ....................................................................................................................................... 7
2. Objectifs : ........................................................................................................................................ 7
3. Les variations de la température : ................................................................................................... 7
4. Analyse du matériel ...................................................................................................................... 11
5. Les endroits de mesure de la température corporelle .................................................................. 12
6. PROPOSITION DE FICHE DE SOINS : PRISE DE LA TEMPÉRATURE .................................................. 14
1. Définition et importance
Les signes vitaux, c'est à dire:
- la température,
- les pulsations,
- la respiration et
- la tension artérielle
sont des indicateurs de l'état de santé d'un individu.
Leur mesure permet de déterminer:
à L'état de santé habituel d'un patient (valeurs initiales),
à Sa réaction au stress physique ou psychologique,
à Sa réaction au traitement médical ou infirmier.
La mesure des signes vitaux constitue une étape de l'examen physique. Ils peuvent être
complétés par la mesure de la saturation en oxygène, de la diurèse et de l'observation de la
fréquence des selles, du poids, de la taille afin de servir de base à la résolution clinique de
problèmes de santé.
Les compétences de base nécessaires pour mesurer les signes vitaux sont simples mais ne
doivent pas être prises pour acquises. La minutie apportée à l'exécution des techniques de
mesure assure l'exactitude des résultats.
L'infirmier(ère) doit être capable de:
F mesurer correctement les signes vitaux;
F s'assurer de l'appropriation et du bon fonctionnement du matériel;
F comprendre et interpréter les valeurs du patient par sa connaissance:
* des valeurs normales
* des valeurs habituelles du patient
* du diagnostic et du traitement du patient;
F communiquer correctement les résultats obtenus;
F de mettre en œuvre les mesures nécessaires aux besoins du patient.
La feuille de surveillance :
Elle consiste en un formulaire destiné à notifier les résultats des mesures des paramètres
physiologiques.
Un support quadrillé peut parfois permettre la représentation graphique de certains
paramètres, surtout la température et les pulsations.
Actuellement les chiffres sont notés dans différentes colonnes.
Exemples :
Nom du patient Chambre T° Pls TA TA Diurèse Selles Poids
/lit max min
1. Définition :
La température est une : "grandeur physique qui caractérise de façon objective la sensation
subjective de chaleur ou de froid laissée par le contact d'un corps".
La température reflète donc le degré de chaleur de l’organisme. Elle est maintenue
constante grâce à un système de thermorégulation qui permet l’équilibre entre la
production et la déperdition de chaleur.
La température normale se situe entre 36,5°C et 37,5°C
2. Objectifs :
- Évaluer la température d’une personne (utile pour le diagnostic de
certaines pathologies)
- Suivre l’évolution d’une maladie et l’efficacité du traitement entrepris.
- Vérifier le retour à une température normale.
1. Définition :
Les pulsations correspondent aux battements du cœur et des artères (pulsare = frapper).
Leur observation peut se faire par:
- l'ouïe: on écoute alors les bruits du cœur à l'aide d'un stéthoscope à pouls apexien
ou apical ( 5ème espace intercostal gauche).
- le toucher : on palpe le pouls artériel périphérique :
Ø sensation de choc rythmique perçue par la palpation lorsqu’on déprime une
artère superficielle sur le plan osseux.
Ø c'est la perception tactile d'une "onde vibratoire" déclenchée par chaque
systole cardiaque, due au choc du sang sortant du ventricule contre le sang
déjà contenu dans l'aorte.
- Un appareil de mesure électronique à affichage digital.
Un pouls normal est régulier, ample et bien frappé.
Sa valeur normale est de 60 à 80 pulsations/minute chez l’adulte.
2. Objectifs :
- Mesurer la fréquence cardiaque (nombre de battements par minute).
- Apprécier la régularité du rythme cardiaque.
- Apprécier l’amplitude de l’onde artérielle.
- Surveiller l’état de santé d’une personne.
- Déceler des anomalies du fonctionnement de l’appareil cardio-vasculaire.
- Dépister des lésions artérielles occlusives.
- Apprécier les effets d’un traitement médicamenteux.
4.1. La fréquence :
4.2. Le rythme :
à Normal ou régulier : Il s'agit de la succession de battements à intervalles
égaux, réguliers (malgré une éventuelle modification de fréquence).
à Anormal : La dysrythmie se manifeste par des pulsations inégales dans
leur rythme, tantôt lentes, tantôt rapides. Les troubles du rythme se
caractérisent donc par des intermittences.
4.3. L'amplitude :
L'amplitude ou force du pouls dépend du volume de sang éjecté contre la paroi de l'artère
lors de chaque contraction ventriculaire.
à l'amplitude des pulsations dépend de:
• la fréquence et la force de la systole cardiaque
• l'élasticité des parois artérielles et des valvules aortiques
à Normale : Le pouls est plein, facilement palpable
à Anormale : Le pouls peut être difficilement perceptible, faible, ampleur de
la pulsation exagérée, filant,…
1. Définition :
Egalement appelée pression artérielle, elle correspond à la pression selon laquelle le sang
circule dans les artères.
Elle donne deux mesures:
- la pression maximale : indique la mesure de la pression systolique, c'est-
à-dire la pression exercée par le flot sanguin sur les parois artérielles au
moment de la systole, lorsque le ventricule gauche éjecte le sang dans la
circulation (aorte).Elle traduit l'énergie du cœur.
- la pression minimale : indique la mesure de la pression diastolique, c'est-
à-dire la pression exercée par le sang contre la paroi artérielle durant la
diastole, moment de relâchement des ventricules cardiaques (pression la
plus basse et présente en tout temps dans les artères).Elle traduit la
résistance des vaisseaux.
La pression différentielle est la différence numérique entre la pression systolique et la
pression diastolique. Elle représente le volume de sang lancé dans la circulation durant la
systole.
La pression artérielle s'exprime en cm de mercure (Hg) ou en mm de mercure (Hg).
VALEURS NORMALES:
- P.A. max. : 12 à 14 cm Hg ou 120 à 140 mm Hg
- P.A. min. : 7 à 8 cm Hg ou 70 à 80 mm Hg ou = (T.A. max : 2) + 1
- P.A. différentielle : 4 à 7 cm de Hg ou 40 à 70 mmHg
b.2. L'élasticité des parois artérielles
Si l'élasticité diminue, la T.A. augmente à cause de la résistance au passage du
sang à le cœur doit produire plus d'effort.
Exemple: en cas d'artériosclérose (tissu fibreux, moins élastique)
c) FACTEUR SANGUIN :
c.1. La viscosité du sang
Si la viscosité augmente, la T.A. augmente à cause d'une résistance plus
importante à l'effort cardiaque.
5. Analyse du matériel
a. le sphygmomanomètre :
Il est composé d'un manomètre à pression et d'un manchon gonflable = brassard
ou manchette. Le brassard est relié à 2 tubes en caoutchouc. L'un d'eux est relié à
une poire permettant de gonfler et dégonfler le brassard. L'autre est relié au
manomètre. Il existe des brassards de tailles différentes afin de s'adapter à la
grosseur du bras du patient.
Le manomètre anéroïde : jauge circulaire en verre avec une aiguille indiquant la
valeur de la T.A. en mm Hg.
1 -L yre 5 - Base
La lyre est la partie métallique du La base de la tige relie le pavillon à la
stéthoscope, sur laquelle s'ajuste la tubulure.
tubulure. La lyre est composée de
deux tubes auriculaires, d'un ressort
de tension et d'embouts 6 - Tubulure
auriculaires.
7 - Pavillon
2 -E mbouts auriculaires souples Le pavillon est la partie du
stéthoscope qui se place à l'endroit
3 -T ubes auriculaires. où l'utilisateur veut entendre un
son. Le pavillon du stéthoscope
4 -M
embrane double fréquence contient une membrane sur chacune
Un stéthoscope traditionnel de ses faces. Le côté le plus grand
comporte une cloche et une peut être utilisé pour les patients
membrane. La cloche est utilisée adultes, alors que le côté le plus
avec un faible contact sur la peau petit est particulièrement utile pour
pour entendre les sons de basse les nourrissons ou les patients les
fréquence, alors que la membrane plus maigres, sous les bandages ou
est utilisée avec une pression forte au niveau de la carotide.
pour entendre les sons de haute
fréquence.
F Matériel d’enregistrement automatisé :
En milieu de soins intensifs, au bloc opératoire ou en réanimation, en service de cardiologie
les moniteurs multiparamétriques sont équipés de fonctions permettant la mesure
automatique de la pression artérielle. Ces appareils n’utilisent pas le principe de la méthode
auscultatoire ou palpatoire.
La mesure est oscillométrique. Lorsque le manchon se dégonfle, des oscillations sont
enregistrées par l’appareil.
Le gonflage et le dégonflage sont automatiquement gérés par l’appareil.
1. la méthode auscultatoire :
- s'assurer que le cadran du manomètre soit visible facilement (placé à la verticale et
au niveau des yeux ; de plus, ne pas se tenir à plus d'un mètre du manomètre).
- veiller à ce que la vis ou soupape de la poire soit fermée et que le manomètre
indique bien 0 au départ.
- placer le pavillon du stéthoscope sur l'artère brachiale, au niveau du pli du coude
(avec éventuellement une petite partie du bord du pavillon sous le brassard afin de le
maintenir temporairement) et s'assurer que l'on abolit les faux bruits (éviter tout
frottement des tubes l'un sur l'autre ou sur le pavillon).
- placer les écouteurs du stéthoscope dans les oreilles.
- palper l'artère radiale du bout des doigts tout en gonflant le brassard rapidement
jusqu'à une pression d’environ 20 mm de Hg au-dessus du chiffre où les pulsations
ont cessé d'être perceptibles. (= zone de silence supramaximale).
§ Phase 2 : le brassard continue de se dégonfler. Le sang passe de mieux en
mieux et un bruit est toujours perçu par le stéthoscope.
à nécessité de surveiller le manomètre et d'écouter en même temps
les sons venant du stéthoscope.
à à mesure que l’aiguille redescend, on observe des fluctuations de
celle-ci en même temps que l'opérateur entend le battement du
pouls.
§ Phase 3 : Plus le brassard se dégonfle, moins le bruit est audible par le
stéthoscope, jusqu’au moment où il disparaît: la pression artérielle est
alors lue sur le cadran et définit la pression artérielle diastolique
(minima).
à le dernier bruit entendu, son sourd, correspond donc à la pression
minimale diastolique.
1. Définition :
Une respiration normale est calme, régulière, souple, silencieuse ; elle est libre et aisée
au repos comme à l’effort et revient rapidement au calme lors de période d’émotions.
Elle procure un sentiment de bien être ; la peau et les muqueuses sont rosées.
L’observation de la respiration se fait à la vue, à l’ouïe et au toucher (main sur thorax du
patient) et permet au soignant de déceler toute anomalie au niveau de son rythme, de sa
fréquence et de son amplitude respiratoire.
2. Caractéristiques de la respiration :
1. Définition :
2. Fonctionnement :
a. Rappel physiologique :
Lorsque l'oxygène est distribué aux tissus, le globule rouge est quasi déchargé
en oxygène. L'hémoglobine désoxygénée s'appelle, la déoxyhémoglobine.
b. Fonctionnement :
- Une SpO2 de 98 % signifie que chaque globule rouge est chargé à 98%
d'oxyhémoglobine et de 2% de déoxyhémoglobine.
- Une SpO2 de 98 % ne signifie pas 98% des globules rouges sont chargés en
oxygène.
Le résultat affiché reflète les 3 à 6 dernières secondes de saturation. Il est mis à jours
toutes les demi-secondes.
4. Indications
5. Matériel :
• Appareil de mesure.
• Câble.
• Capteur (Il existe différents modèles)
1. Définition :
Liquide excrété par le rein après filtrage du sang, et rejeté par la vessie.
c) Préparation du matériel
- nécessaire pour le lavage des mains
- feuille de surveillance ou carnet + bic.
- Sachet poubelle ou BR.
- gants à usage unique.
- panne
- bocal gradué pour recueillir les urines lorsqu'on vidange le sac à urines
o pour identifier le bocal de recueil à étiquette autocollante et y indiquer :
§ le nom/prénom du patient
§ le numéro de la chambre et du lit
§ la date et heure de début et de fin de la récolte.
- Spécificité :
o Si PATIENT PORTEUR d’une sonde vésicale à demeure :
§ feuille de cellulose pour déposer le bocal ou la panne par terre
§ compresses stériles + alcool iodé ou Hibitane alcool pour désinfecter
le robinet de vidange du sac collecteur.
o Si PATIENT NON PORTEUR d’une sonde vésicale :
§ Panne propre ou urinal
d) Exécution du soin
5.1. Définition :
Il s'agit de l'étude comparative entre la quantité de liquides entrés dans l'organisme et la
quantité d'urines émises par cet organisme.
ENTREES SORTIES
- boissons - urines
- perfusions IV
- gavage
- alimentation liquide
- liquide de lavage de vessie
TOTAL TOTAL
5.2. Objectifs :
Le bilan urinaire permet d'évaluer le fonctionnement rénal et vésical. Il s'établit sur 24
heures.
5.3. Les différentes étapes :
A. INSTAURER UN BILAN URINAIRE
a. Entrées :
Il est très important d'expliquer au patient et à sa famille l'importance de ce bilan afin
d'obtenir leur collaboration. En effet, il faudra noter tout ce que le patient boira au cours de
ces 24 heures, c'est à dire:
- les boissons mises à la disposition du patient au moment du début du bilan.
exemple: bouteille d'eau de 2 litres dans laquelle il reste 500 ml.
à noter sur la bouteille : date + heure + R = 500 ml
à noter sur la feuille de bilan R = 500 ml bouteille d'eau
- les perfusions en cours :
exemple: 1L de glucosé 5% dont il reste 800 ml
à noter sur la feuille de bilan R = 800 ml G5%
- les gavages en cours :
exemple: 1L de Nutrison dont il reste 200 ml
à noter sur la feuille de bilan R = 200 ml de Nutrison.
Boissons Diurèse
Perfusions Vomissements
Médicaments IV Diarrhée
Redons
BILAN :
- Bactéries mortes 30 %
- Graisses 10 à 20 %
- Matières inorganiques 10 à 20 %
- Protéines 2 à 3 %
- Matières inassimilables et composants des sucs digestifs 30 %
(pigments biliaires et cellules épithéliales défoliées)
1. Fréquence :
La fréquence des défécations est très personnelle : certains individus évacuent leurs
matières fécales 1X / jour, alors que d'autres le font 2 à 3 X par semaine, …
è importance de l'anamnèse lors de l'entrée du patient.
On considère cependant qu’une personne est constipée lorsqu’elle va à selles moins de 3 x
/semaine.
2. Couleur :
La couleur des fèces normales est brune et est attribuable à deux facteurs :
• la stercobiline et l'urobiline, deux dérivés de la bilirubine (pigment rouge contenu
dans la bile),
• l'action de la flore intestinale normale (bactéries).
La présence d'éléments anormaux peut changer la couleur des selles.
Couleur anormale : Origine :
- noir goudron → présence de sang vieilli (hémorragie digestive haute)
→ présence de sang frais (hémorragie digestive basse,
- rouge
hémorroïdes, …)
→ absence de bile (maladie du foie, de la vésicule
- couleur mastic
biliaire, …)
- verte ou orange → présence d’une infection intestinale
La prise de certains médicaments peut avoir un impact sur la couleur des selles.
4. Odeur
L'odeur des selles provient habituellement de l'action des bactéries intestinales et diffère
normalement d'un individu à l'autre.
Il est important de noter tout changement d'odeur signalé par le patient.
- une odeur putride (nauséabonde, désagréable) pourrait indiquer un trouble digestif.
- une odeur piquante, acide signifie une augmentation de la fermentation.
1. DEFINITION
La douleur est définie comme une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, liée à
une lésion tissulaire existante ou potentielle, ou décrite en terme évoquant une telle lésion.
2. TYPES DE DOULEURS
La douleur est ce que le malade en dit et il est le seul à pouvoir la décrire. On doit donc
s’interdire toute interprétation de l’importance de la douleur et accepter qu’un patient ne
dise pas la même chose à tout le monde. Le vécu de la douleur dépend de la personnalité du
patient, de sa culture, de son éducation, de ses expériences antérieures, de ses émotions.
c) Douleur idiopathique
Sans cause apparente (localisées, muscles, tendons).
d) Douleur psychogène
Somatisation d'un problème psychologique.
e) Douleurs mixtes
Elles sont fréquentes en cancérologie
3. BUTS DE L'ÉVALUATION
ü Identifier les malades douloureux;
ü Améliorer la communication et la relation soignant/soigné. La valeur relationnelle
importante pour le patient qui se sent reconnu dans sa plainte.
ü Prendre la décision thérapeutique adaptée;
ü Contrôler l'efficacité des traitements instaurés. En améliorant ainsi le suivi
thérapeutique, l'évaluation de la douleur participe à la continuité des soins
ü Avoir une cotation de base et une trace d'évaluation de la douleur dans le dossier
patient.
L'auto-évaluation par le patient lui-même est la règle chaque fois que possible, car l'hétéro-
évaluation par le personnel soignant conduit souvent à une sous-estimation.
a) Échelles d'auto-évaluation
Elle doit être présentée à l’horizontale, curseur sur « pas de douleur ». Il faut demander au
patient d’étalonner par rapport à une douleur antérieure et habituelle (exemple: « Quand
vous avez des maux de tête, où vous situez vous ? Et maintenant, la douleur est plus ou
moins forte ? »).
C’est l’échelle la plus utilisée en post-opératoire car les résultats sont plus objectifs, les
réponses possibles sont nombreuses et le patient ne peut pas mémoriser la position
précédente. La position initiale du curseur est importante.
Cette méthode nécessite une bonne coordination motrice du patient et elle est donc
difficilement applicable en post-opératoire immédiat. Elle a d’autres limites d'utilisation : les
patients à faible capacité d'abstraction, mal voyants et les personne âgées.
b) Échelles d'hétéro-évaluation
L’EVALUATION PHYSIOLOGIQUE :
Elle est fondée sur les paramètres respiratoires et hémodynamiques. Cependant, ces
variations ne sont pas spécifiques à la douleur elle-même.
L’EVALUATION COMPORTEMENTALE :
Les échelles comportementales s’utilisent lorsque le patient n’est plus en mesure de décrire
sa douleur ni d’effectuer une auto-évaluation en raison de troubles de la communication ou
de démence évoluée.
• Échelle Doloplus
• Échelle Algoplus
• Échelle ECPA