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nourrisson ;
la normale de 38 à 42°C.
muscles.
spasmodiques.
5.LES PROBLEMES RESPIRATOIRES
en pédiatrie .
moins de 5 ans.
Elle désigne l’inflammation des méninges,
bactériennes.
2- SIGNES CLINIQUES
rachidien (LCR) :
Méningite purulente (le liquide est trouble) : apparaissant
principalement en hiver.
Ce sont les méningites les plus dangereuses dont leurs
conséquences différent en fonction du germe responsable de
la maladie.
95% des méningites en pédiatrie sont dues aux trois germes
(bactéries ) :
LE MENINGOCOQUE
LE PNEUMOCOQUE
L’HÉMOPHILUS fréquent chez le nourrisson
Méningite à liquide clair : les plus fréquentes
calme et obscure.
(0.5mg/kg).
important dans :
La préparation du malade:
ponction.
Lors de la ponction, bien maintenir l’enfant
en bonne position.
ventrale.
6- ROLE INFIRMIER DANS LE TRAITEMENT
ET LA SURVEILLANCE
doses et l’horaire.
périmètre crânien
signes de complications :
Trouble de conscience
Augmentation de PC
Vomissements abondants
I. Définition :
Encéphalites aigues
Abcès de cerveau
2- CONVULSIONS SANS FIEVRE
traumatismes obstétricaux).
Causes tumorales.
II-ROLE INFIRMIER DANS LE DEPISTAGE
Lors de la surveillance d’un enfant malade,
l’infirmier doit reconnaître la survenue d’une crise
convulsive qui se caractérise par :
Perte de connaissance
Révulsion des globes oculaires
Changement brutal du tonus musculaire
(raidissement ou hypotonie).
Secousses musculaires des membres et /ou visage
III- Rôle infirmier devant un enfant qui convulse
1- PENDANT LA CRISE
bouche ouverte.
artérielle
cessation de la crise
Surveiller l’état de conscience, la respiration et
la tension artérielle
(électroencéphalogramme) et TDM
(Tomodensitométrie).
conscience
et des vomissements
INTRODUCTION
augmentation.
Cette affection serait responsable de plus de 18000
Sifflement thoraciques
Hypersécrétion bronchique
3. Mécanisme de la maladie
bronchique".
1. FACTEURS SPECIFIQUES
Tabagisme
Pollution
Sur le plan clinique, on distingue :
la crise simple :
Qui apparaît le plus souvent la nuit et brutalement,
et une dyspnée avec ralentissement expiratoire.
Les signes d'apparition sont la toux et les
sifflements.
La crise passe après inhalation de Béta-2-
mimétiques (broncho-dilatateurs).
Asthme à dyspnée continue : avec un sujet en
permanence essoufflé.
infection ORL.
Le patient peut alors passer à l'état de mal
hospitalisation.
II. ROLE INFIRMIER PENDANT LA CRISE
A/ ACCUEIL ET INSTALLATION
aérée.
l’infirmière doit :
l’environnement de l’enfant.
inlavables.
Éviter l’acquisition d’animaux domestiques
(chien ; chat).
Aérer quotidiennement la chambre de l’enfant et
sa literie.
Traitement de l’allergie :
faut :
mortalité.
tétanos néonatal.
2. Définition
C’est une toxi-infection (maladie infectieuse due à la toxine), d'une
bactérie (bacille de Nicolaïer, clostridium Tetani) qui se
multiplie dans une plaie souillée, se caractérisant par des
contractures douloureuses atteignant tous les muscles du corps et
pouvant être mortelle.
3. Physiopathologie : La bactérie pénètre dans l’ombilic :
avaler)
Raideur de la nuque
Douleurs musculatures
Fièvre
5. MODES DE TRANSMISSION
l’ombilic du nouveau-né.
6. Prévention
infection de l’ombilic.
La déshydratation du nourrisson représente une
de sels minéraux
I-ETIOLOGIES
A-DIGESTIVE
ou virale.
Pathologie gastrœntérite.
déshydratation :
urines (polyurie).
Insuffisance rénale.
II-SIGNES CLINIQUES
Soif vive,
Sécheresse des muqueuses,
Fièvre sans cause infectieuse ce qui donne des
troubles neurologiques (convulsions).
Disparition de la consistance de la peau (hypotonie
musculaire),
Persistance du pli cutané au niveau de l’abdomen,
Absence de larmes lors des pleurs.
III-ROLE INFIRMIER DEVANT UN ENFANT DESHYDRATE
de la gravité de la déshydratation :
de la soif.
associés.
Prendre et surveiller ses constances.
Sanguin, Nfs,...
compris.
Surveiller l’état de l’enfant dans la demi-heure qui
favorablement
médicale.
courbe pondérale.
niveau de l’abdomen.
2- SURVEILLANCE DE LA DIARRHEE
Fièvre.
Convulsions.
Vomissements.
1. Définition :
et le jeune enfant .
du nourrisson.
La diarrhée entraîne une perturbation du cycle
par :
électrolytes.
électrolytes.
En cas de non ou de mal prise en charge du
isolé.
déshydratation, vomissements...
de solution « SRO ».
abdominale.
que :
Atrésie de l’œsophage,
Hernie hiatale,…
4/Vomissements par erreurs alimentaires:
des vomissements.
5/Syndrome de la bande abdominale:
Demander à la mère :
Le caractère d’apparition.
Brûlures importantes.
considérable).
Prématurité.
II-ROLE INFIRMIER DEVANT UN ENFANT HYPOTHERMIQUE
flambée de fièvre .
jeunes mères.
convulsions .
• Signes de déshydratation.
II- ROLE INFIRMIER VIS-A-VIS DES PARENTS
certains cancers.
déficiente.
des hématies.
Classification
la maladie de Biermer
La thalassémie
La maladie de Gilbert
L'ictère du nouveau-né
Incompatibilité materno-foetale
Pour l’ictère à bilirubine conjugué:
Lithiase biliaire
Hépatites virales
Cirrhose du foie
Tumeur hépatique
I/ ROLE INFIRMIER DANS LE DIAGNOSTIC
en néonatologie doit :
Noter l’heure de l’apparition de l’ictère, un ictère
précoce est toujours pathologique.
Noter la coloration des selles
Installer un dispositif de recueil d’urines
Prélever du sang maternel pour confirmer le
groupe et rechercher les agglutinines.
Prélever du sang de l’enfant pour déterminer :
la bilirubine.
Assurer les meilleures conditions d’équilibre
incubateur.
la glycémie.
II/ ROLE INFIRMIER DANS LE TRAITEMENT
A/ TRAITEMENT SYMPTOMATIQUE:
1/ LA PHOTOPTHERAPIE:
l’intervention du foie :
régulièrement
sanguine
Pratiquer le test de COOMBS direct chez l’enfant
Rechercher les agglutinines irrégulières chez la mère
A/ PENDANT LA GROSSESSE:
chez le nouveau-né.
B/ AU COURS DE L’ACCOUCHEMENT:
C/ APRES L’ACCOUCHEMENT:
muqueuses.
le matériel souillé.
II/ ROLE INFIRMIER AUPRES D’UNE INFECTION NEONATALE
1/ ROLE PREVENTIF
A/ PREVENTION PRENATALE:
fébrile
garnitures stériles
B/ PREVENTION PERNATALE:
de couche
l’hygiène
est grave.
chromosome.
secrétions.
Pour que la maladie soit présente, il faut que le
fonctionnement.
La composition du mucus devient de plus
anormales
du tissu pulmonaire.
La conséquence finale est la réduction de la
capacité fonctionnelle du poumon et l’évolution
vers l’insuffisance respiratoire.
Ces mêmes phénomènes surviennent dans le
pancréas. Une des principales fonctions du
pancréas est la digestion des graisse (lipides),
grande source de calories. Ce dysfonctionnement
entraîne une carence calorique qui, si elle n'est pas
compensée, entraîne une insuffisance de la
croissance.
Un autre phénomène également caractéristique est la
Douleurs abdominales .
Reflux gastro-oesophagien.
Un risque de déshydratation.
III- PRISE EN CHARGE DE L’ENFANT
1/ LA PARTICIPATION AU DIAGNOSTIC
Radiographie pulmonaire
Échographie pancréatique
gazométrie.
Étude des selles : apprécie la stéatorrhée et montre
l'absence de trypsine.
transaminases.
d’infections respiratoires.
médicale.
Exercice respiratoire
Une hyperlipidémie
a des œdèmes.
vitamine D et potassium.
1. SYMPTOMES
Une hématurie
Une convulsion,
Une amaurose secondaires à l'hypertension
nerveux).
urines).
Diurétiques
a) LE CONFORT DE L’ENFANT
3. FACTEURS FAVORISANT
Reflux gastro-oesophagien:Prématurité.
Signes de lutte :
Fièvre.
Vomissements.
refroidissement de l’enfant.
route.
Selon le germe responsable de la maladie :
chronique:diabète,HIV.
Manque d’hygiène.
II /ROLE INFIRMIER
importantes.
2. Définition :
La prématurité : c’est la naissance d’un enfant à
moins de 37 semaines de grossesse, comptées à
toxicomanie et tabagisme,
Peser le nouveau-né.
Si problème respiratoire :
Aspirer le nouveau-né
Le mettre sous oxygène
Le mettre sous monitorage cardio-respiratoire
Surveiller sa coloration et sa température
Avertir le médecin en cas d’aggravation
6. RÔLE INFIRMIER DANS LA SURVEILLANCE DU PREMATURE
a) L’ISOLEMENT ET L’ASEPSIE
Dés la réception, le prématuré doit être isolé de tout contact septique dans un
incubateur.
Les biberons doivent être préparés aseptiquement, ainsi que tout matériel
destiné à l’alimentation de ces enfants.
b) LA RESPIRATION
La fréquence respiratoire est de 35 à 40 mouvements par minute.
a) DANS LE TRAITEMENT :