Machine Translated by Google

Ann Ig 2019 ; 31 : 436­448 est ce que je :10.7416/ai.2019.2305

L’environnement hospitalier comme réservoir de transmission

croisée : procédures de nettoyage et de désinfection
C. Protano1, V. Cammalleri1 , V. Romano Spica2 , F. Valériani2 , M. Vitali1

Mots clés : Infections nosocomiales, environnement hospitalier, hygiène des mains, désinfection
Parole chiave : Infezioni correlate all'assistenza, ambiente ospedaliero, igiene delle mani,
disinfezione

Abstrait
Arrière­plan. Les infections nosocomiales (IAS) représentent un problème sérieux pour la santé publique, car elles augmentent les
taux de morbidité et de mortalité, représentent un fardeau financier important et contribuent de manière significative à la résistance
aux antimicrobiens.
Méthodes. Le but de cette revue était d'étudier la littérature sur les IAS, avec une référence particulière aux environnements
hospitaliers et au rôle des procédures de nettoyage et de désinfection. Les environnements hospitaliers constituent un réservoir
essentiel de transmission croisée des IAS, et l'application de procédures appropriées liées à l'hygiène des mains et à la désinfection/
stérilisation des surfaces et des instruments restent des stratégies clés pour contrôler les IAS.

Résultats. Différentes procédures, en fonction du risque lié à l'acte de soins, sont recommandées pour l'hygiène des mains : lavage
à l'eau et au savon, friction antiseptique avec des désinfectants à base d'alcool, lavage antiseptique et chirurgical des mains. Les
surfaces environnementales peuvent être traitées avec différents produits, les plus utilisés étant les désinfectants à base de chlore
et polyphénoliques. Le retraitement des instruments est lié à leur utilisation selon la classification de Spaulding. De plus, des
preuves scientifiques ont démontré la grande pertinence des « bundles » (petit ensemble de pratiques réalisées ensemble) dans
le contrôle des IAS.
Conclusions. Le programme de recherche devrait inclure l'amélioration de procédures préventives efficaces et bien connues et le
développement de nouveaux ensembles consacrés aux procédures à haut risque et à des micro­organismes spécifiques.

Introduction au moment de l'admission. Ces infections augmentent

les taux de morbidité et de mortalité et représentent
Les infections nosocomiales (IAS) restent un une charge financière non négligeable ; de plus, ils
sujet de grande préoccupation pour la santé publique. contribuent de manière significative à la résistance
Ces infections, déjà connues sous le nom de aux antimicrobiens (1). En ce qui concerne leur
«nosocomiales» ou «hospitalières», sont définies fréquence, l'Organisation mondiale de la santé (OMS)
comme des infections qui surviennent chez des a estimé qu'à l'échelle mondiale, les IAS constituent
patients au cours du processus de soins dans un les effets indésirables les plus fréquents lors de la
hôpital ou dans d'autres établissements de santé, absents prestation de soins et qu'aucun pays n'a été évalué.
ou en incubation.

1
Département de santé publique et de maladies infectieuses, Université La Sapienza de Rome, Rome, Italie
2
Unité de Santé Publique, Département du Mouvement, Sciences Humaines et de la Santé, Université de Rome « Foro Italico », Rome,
Italie
Machine Translated by Google
Nettoyage et désinfection en milieu hospitalier
capable d'éliminer complètement ce problème.
Ainsi, chaque année, des centaines de millions de
personnes sont touchées par des IAS dans le
monde (2). Selon les Centers for Diseases Control
(CDC) d’Atlanta, chaque jour, environ un patient
hospitalisé sur 31 souffre d’au moins une IAS. Au
cours de l'année 2015, 3 % des patients hospitalisés
aux États­Unis ont présenté une ou plusieurs IAS,
pour un total de 687 000 cas ; environ 72 000
patients hospitalisés atteints d'IAS sont décédés
pendant leur hospitalisation (3).
Sur la base de grandes études menées aux États­
Unis et en Europe, l'incidence des IAS variait de
130 à 203 épisodes pour 1 000 jours­patients et
l'incidence cumulée regroupée était d'environ 170
épisodes pour 1 000 jours­patients chez les
patients adultes à haut risque dans les pays industrialisésle(4).
Concernant la fréquence actuelle des IAS, dans
les pays européens, la prévalence varie de 7,6% à
10,3%, mais ce pourcentage est fortement lié à des
variables d'influence telles que la dimension de
l'hôpital, le type de service, les jours d'hospitalisation étude italienne, réalisée en 2011 dans certains
et les mesures préventives. De plus, la prévalence
évolue d’un pays européen à l’autre et varie au fil
des décennies (5). En effet, la prévalence des IAS
estimée au cours des années 1995­2010 variait
considérablement selon les pays européens : au
Royaume­Uni, elle était d'environ 9,0 %, tandis
qu'en Allemagne elle était d'environ 3,6 %, en Italie
de 6,7 %, en France de 4,4 %, en Espagne de 8,8
%. %, aux Pays­Bas 7,2% et en Suisse 8,8% (4).
En outre, une étude réalisée sur les IAS grecques
a démontré que 10 % des patients hospitalisés
souffraient d'une IAS et que de nombreuses
infections étaient déterminées par des opportunistes
et/ou des résistants aux antibiotiques.
ou des agents pathogènes (6). Dans la même
période, les pays à revenus faibles et intermédiaires
présentaient une prévalence allant de 5,7% à 19,1%.
En particulier, la prévalence la plus élevée a été
récupérée en Albanie (19,1 %), suivie du Mali (18,7
%), de la Tunisie (17,9 %), du Brésil (14 %), de la
Turquie (12,5 %), de l'Indonésie (7,1 %) et du
Ghana (6,7 %). ) (4). En outre, une étude réalisée
en Inde, dans un hôpital de soins tertiaires, a
rapporté une prévalence des IAS égale
437
à 11,7% (7). Cependant, ces données ne peuvent
pas être considérées comme totalement exactes
car, en général, il est difficile d'estimer la fréquence
réelle des IAS. De plus, dans les pays à revenu
faible ou intermédiaire, une surveillance régulière
des IAS est difficile à réaliser et les études
consacrées à cette question manquent.
En ce qui concerne la situation italienne,
certaines données proviennent de recherches spécifiques.
Une étude multicentrique, menée en 2004 par
l'Institut national italien de la santé sur 50 hôpitaux
pour un total d'environ 6 000 patients, a révélé que
plus de la moitié des patients étudiés avaient eu
une infection pendant leur hospitalisation. Le sud
de l'Italie et les grandes îles italiennes présentaient
le plus grand pourcentage d'IAS (48 %), suivis par
nord et le centre de l'Italie (respectivement 30 %
et 22 %) (8). Ces pourcentages sont plus élevés
que ceux rapportés par d'autres études et données
internationales, probablement en raison d'une
définition différente du « cas d'IAS ». Une autre
hôpitaux siciliens, a rapporté une prévalence des
IAS égale à 3,2 pour 100 patients, comparée à une
prévalence nationale égale à 6,3 pour 100 patients
(9).
Même si les données sur la fréquence des IAS
sont hétérogènes, les IAS constituent un problème
mondial et leur fardeau financier ne peut donc être
négligé, tant en termes de coûts directs qu'indirects
(10). Tout d'abord, les IAS peuvent prolonger la
durée des séjours hospitaliers et augmenter les
coûts des soins de santé. Dans une étude
multicentrique menée en Chine, la durée moyenne
d'hospitalisation était de 21 jours chez les patients
atteints d'IAS contre 16 jours en moyenne pour les
patients sans IAS, ce qui entraînait un coût
d'hospitalisation d'environ 700 € de plus pour les
patients atteints d'IAS par rapport à ceux qui ne
sont pas concernés (11). De même, dans d’autres
pays, le HAI détermine les pertes financières
annuelles pertinentes : il a estimé que les seuls
coûts directs s’élevaient à environ 7 milliards
d’euros en Europe et 6,5 milliards de dollars aux
États­Unis (12). En outre, les IAS entraînent
également des coûts indirects tels qu'une perte de productivité de
Machine Translated by Google
438
Un autre problème important lié aux IAS est
leur rôle dans l’apparition de la résistance aux
antimicrobiens. En effet, l’utilisation généralisée
bien connue des antibiotiques a conduit au
développement de micro­organismes résistants,
notamment dans le milieu des soins (13). Aux
États­Unis, par exemple, de nombreux hôpitaux
ont signalé une augmentation des infections
causées par le Staphylococcus Aureus résistant
à la méthicilline (SARM) et le Staphylococcus
Aureus résistant à la vancomycine (VRSA) (14).
De même, une étude récente réalisée sur des
données européennes a démontré que 63,5 %
des infections par des bactéries résistantes aux
antibiotiques étaient associées aux soins de
santé, ce qui suggère que les infections par des
bactéries résistantes aux antibiotiques surviennent
principalement dans les hôpitaux et dans d'autres
contextes de soins de santé ; la situation italienne
est particulièrement préoccupante, car elle
présente le taux de bactéries résistantes aux
antibiotiques le plus élevé que les autres pays
européens (15, 16). En outre, les infections
nosocomiales causées par des micro­organismes
multirésistants surviennent également
fréquemment, ce qui rend le traitement de l'infection plus
Le personnel et l'environnement de santé
représentent les vecteurs de transmission
intermédiaires des infections corrélées aux soins
multirésistants (18). Pour toutes les raisons
évoquées ci­dessus, des stratégies de prévention
appropriées sont nécessaires afin de contrôler la
survenue des IAS.
L'objectif de la présente revue était d'examiner
les données de la littérature sur les infections
nosocomiales, avec une référence particulière à
l'environnement hospitalier et au rôle des
procédures de nettoyage et de désinfection.
L’environnement hospitalier comme
réservoir de transmission croisée
L’organisation « santé » est constituée des
trois éléments fondamentaux suivants : les
structures ou espaces où les soins aux patients
C.Protano et al.
sont emportés, les outils, matériels et dispositifs
utilisés pour prodiguer les soins aux patients et
gérer en toute sécurité le bâtiment, ainsi que les
personnes circulant dans ces environnements
(patients, personnel et visiteurs) (19). Chacun de
ces éléments contribue à augmenter le risque de
contamination microbiologique du milieu
hospitalier et détermine ainsi un réservoir potentiel
de transmission croisée des IAS.
Tout d'abord, les zones et les structures
hospitalières font l'objet de constructions et de
rénovations routinières et extraordinaires, comme
la suppression d'un vieil ascenseur ou le
nettoyage du klaxon de l'ascenseur, qui peuvent
contaminer l'air, l'eau et les surfaces (20, 21).
En outre, les surfaces environnementales, c'est­
à­dire toutes les surfaces qui n'entrent pas en
contact direct avec les patients pendant les soins
(c'est­à­dire les appareils à rayons X, les chariots
ou sols à instruments, les murs, les dessus de
table, etc.), les objets et dispositifs médicaux
utilisés pour les soins aux patients. (c'est­à­dire
les brassards de tensiomètre, les stéthoscopes,
les thermomètres électroniques, les pompes à
difficileet
perfusion etles
plus coûteuxd'hémodialyse)
appareils (17). peuvent
être contaminés et, par conséquent, représentent
un véhicule potentiel de transmission de micro­
organismes (20, 21). Les patients entrent souvent
en contact avec des micro­organismes capables
de résister sur les surfaces et dans les matrices
environnementales (air, eau) pendant une durée
variable (parfois longue). La nature et la quantité
de ceux­ci dépendent des caractéristiques de
l'environnement bâti, de la circulation du
personnel, des patients et des visiteurs, des
conditions climatiques (en particulier la survie de
ces micro­organismes est fortement influencée
par le degré d'humidité), de la présence de
surfaces et équipements constitués de matériaux
qui favorisent la croissance et la survie
microbiennes, de la rapidité avec laquelle ils sont
éliminés de l'air et de la correcte application de
toutes les normes d'hygiène attendues. Il convient
notamment de souligner que les bactéries à
Gram positif survivent plus facilement dans des
environnements (mais aussi sur des surfaces) qui
Machine Translated by Google
Nettoyage et désinfection en milieu hospitalier
sont secs, contrairement aux Gram négatifs (ainsi qu’aux
champignons) qui survivent principalement dans des
environnements sales et humides (22).
Concernant les micro­organismes présents en
milieu hospitalier, il est bien connu que chaque hôpital
possède une « empreinte biologique » particulière ;
cependant, certaines bactéries sont plus présentes et/
ou dangereuses par rapport aux autres. Parmi celles­
ci, Legionella spp. est un micro­organisme pertinent
pour les environnements hospitaliers ; c'est une
bactérie à Gram négatif que l'on retrouve naturellement
dans l'eau chaude et/ou froide ; par conséquent, les
systèmes d'eau, les sols humides, les systèmes de
climatisation, les tours de refroidissement, les spas,
les piscines et les fontaines courent un risque plus
élevé d'être contaminés. Transmission de Legionella
spp. se produit par l’inhalation de gouttelettes
contenant la bactérie. L'accumulation de biofilm
favorise la prolifération des algues et des protozoaires,
fournissant des nutriments essentiels aux légionelles
et interférant avec l'action des désinfectants ; ainsi, la
formation de biofilm est un facteur de risque majeur
pour Legionella
colonisation et survie. Les systèmes de distribution
d’eau des hôpitaux présentent un risque plus élevé
de contamination par Legionella (23, 24).
Environ 28,2 cas de légionellose par million d'habitants
ont été estimés en 2016 en Italie (95 % des cas étaient
d'origine communautaire et 5 % étaient des IAS)
(25). D'autres micro­organismes pertinents
potentiellement présents dans les conduites d'eau et
associés aux IAS sont les mycobactéries. La littérature
scientifique rapporte différentes espèces de
mycobactéries associées aux infections nosocomiales
par transmission hydrique, notamment le complexe
Mycobacterium (M.) avium, M. fortuitum, M. gordonae,
M. marinum, M. scrofulaceum, M. terrae, M. Ulcerans
et M. xenopi, M. chelonae, M. immunogenum, M.
abscessus, M. kansasii, M. Ulcerans, M. Szulgai, M.
simiae, M. palstre. (26). Ces bactéries peuvent
provoquer une maladie pulmonaire à médiation
immunologique ou une infection directe, avec
colonisation des voies respiratoires. Cette dernière
survient principalement mais pas exclusivement chez
des patients préalablement atteints de maladies
pulmonaires structurelles.
439
(c'est­à­dire une maladie pulmonaire obstructive
chronique), qui peut également déterminer le décès
de ces patients (27). Une autre bactérie à croissance
rapide de la même espèce, présente également dans
l'eau du robinet, appelée M. porcinum, peut provoquer
des infections de plaies liées à l'utilisation d'un cathéter
intravasculaire et/ou à une ostéomyélite (28).
Concernant ce micro­organisme spécifique, il est
important de noter que, ces dernières années, les
mycobactéries, notamment M. tuberculosis,
deviennent multirésistantes ou pandroguées, ce qui
détermine des maladies infectieuses incurables (29).
Un autre micro­organisme responsable d'un grand
nombre d'IAS est le Clostridium (C.) difficile, une
bactérie Gram positive sporulée, transmise par voie
fécale­orale, de manière directe et indirecte. Les
antibiotiques altèrent souvent la flore intestinale
normale, provoquant une prolifération excessive de
cette bactérie, dont les spores peuvent survivre sur
les vêtements, les surfaces, le corps ou les appareils
des agents de santé pendant une longue période
(jusqu'à cinq mois). Par conséquent, le contact avec
des surfaces, des appareils ou des mains contaminés
augmente le risque d'infection (30). À titre d'exemple,
C. difficile se trouve dans 90 % des toilettes utilisées
par les personnes positives à C. difficile . La prévalence
de C. difficile
la colonisation asymptomatique était environ 10 fois
plus élevée chez les patients hospitalisés (10­
25%) que dans la population en bonne santé (2­3%)
(31). Le risque augmente si l'occupant précédent ou
un colocataire est positif à C. difficile, ou si le
colocataire reçoit un traitement antibiotique (32).
Un autre micro­organisme couramment associé
aux IAS est Klebsiella (K) pneumoniae, une cause de
pneumonie, d'infection du sang, d'infections de plaies
ou de sites opératoires et de méningite. Klebsiella
est normalement présent dans l’intestin humain (où il
ne provoque pas de maladie) et se retrouve donc
souvent dans les selles humaines.
Il est inhabituel que des personnes en bonne santé
contractent des infections à Klebsiella , alors que les
patients risquent de suivre un traitement sous respirateur,
Machine Translated by Google
440
cathéters intraveineux ou subir un traitement antibiotique
prolongé. Il faut également signaler que cette bactérie
a développé une certaine résistance aux carbapénèmes
et aux céphalosporines (33, 34). Par exemple, en 2016
en France, il a été signalé que 29 % des K. pneumoniae
détectés étaient résistants aux céphalosporines de
troisième génération (35).
Une autre bactérie à Gram négatif liée aux IAS est
Acinetobacter (A.) baumannii, un coccobacille anaérobie
capable de coloniser de nombreuses zones du corps
humain telles que l'intestin, la gorge et la peau, et
capable de survivre dans l'environnement même
jusqu'à un mois.
Elle est reconnue comme une cause importante
d’infections respiratoires, urinaires, hématiques et des
plaies associées à un taux de mortalité élevé (36).
A. baumanni est souvent résistant à de nombreux
antibiotiques, ce qui pose un problème sérieux pour le
traitement de ces infections. Il semble que le traitement
le plus efficace soit représenté par les polymyoxines
en monothérapie ou en association avec d'autres
agents. Une méta­analyse récente montre qu'il n'y a
pas d'amélioration des taux de guérison ou de mortalité
lorsque la polythérapie est utilisée par rapport à la
monothérapie, même si les taux d'éradication
microbiologique sont plus élevés (37).
Les problèmes liés au choix thérapeutique le plus
approprié, compte tenu de la résistance croissante de
cette bactérie, jettent les bases de l'étude des mesures
de prévention pour éviter ou limiter la propagation d' A.
baumanni, en accordant une attention particulière à
l'hygiène des mains et à la désinfection de
l'environnement ( 38).
Les bactéries à Gram négatif responsables des
IAS comprennent également Pseudomonas (P.)
aeruginosa, un micro­organisme que l'on trouve
couramment dans l'eau et le sol ou qui est un pathogène
opportuniste des humains, des animaux et des plantes. P. aeruginosa
de bêta­lactamases. De plus, Enterobacter
provoque des IAS notamment chez les sujets déjà
immunodéprimés, notamment s'ils sont ventilés ou
intubés ou traités avec une solution contaminée, et
principalement par
C.Protano et al.
brûlures ou mucoviscidose (39, 40). Sa transmission
est donc à la fois environnementale mais également
par contact direct ou par gouttelettes libérées par la
toux et les éternuements de personnes déjà infectées
(39). En outre, des cas d' infections à Pseudomonas
ont été signalés suite à l'utilisation de bronchoscopes
infectés. Pour cette raison, bien que la surveillance
périodique des endoscopes cliniques ne soit pas
actuellement prescrite comme pratique courante, le
CDC promeut la surveillance culturelle des
duodénoscopes en plus des procédures de retraitement.
C’est pourquoi il est important de promouvoir la
surveillance microbiologique des bronchoscopes afin
de prévenir les infections nosocomiales transmises par
l’utilisation de bronchoscopes infectés (41).
Une cause importante de mortalité dans les
hôpitaux est le Staphylococcus aureus résistant à la
méthicilline (SARM). Auparavant présente uniquement
sous forme d'infections acquises dans les établissements
de santé, une variante associée à la communauté (CA­
MRSA) a également été trouvée (35, 42). En effet, la
bactériémie déterminée par Staphylococcus aureus est
à l'origine de 20 à 30 % de la mortalité hospitalière. Si
malgré une antibiothérapie ciblée, des cultures positives
et de la fièvre sont toujours présentes après 72 à 96
heures, il convient de supposer une complication telle
qu'une endocardite ou une thrombophlébite septique.
Pour cette raison, il est nécessaire de surveiller la
température corporelle et de prélever des hémocultures
toutes les 24 à 48 heures afin d’identifier le foyer le
plus tôt possible et d’agir en faveur de son éradication
(43, 44).
Les autres causes pertinentes d'IAS sont
Enterococcus et Staphylococcus epidermidis, les
mycètes (en particulier Candida
et Aspergillus), le Pneumocoque multirésistant ,
l'Entérocoque résistant à la vancomycine. Parmi les
bactéries Gram­négatives, Escherichia coli et Proteus
mirabilis présentent une résistance à un large spectre
et Citrobacter freundii sont résistants aux
céphalosporines de troisième génération (5). En
particulier, les entérobactéries représentent l'un des principaux
Machine Translated by Google
Nettoyage et désinfection en milieu hospitalier
causes de mortalité hospitalière, car ils provoquent des
infections du sang et leur production à spectre étendu de
β­lactamases complique le traitement antibiotique (45).
De plus, parmi les champignons, Aspergillus
est une cause importante de décès chez les patients
gravement immunodéprimés. L'incidence des infections
nosocomiales causées par Aspergillus a été corrélée à la
contamination des surfaces et de l'air par des agents
pathogènes, suggérant la pertinence des interventions de
contrôle et de surveillance de l'environnement dans les
départements à haut risque, qui devraient rapidement
mettre en évidence un fonctionnement inadéquat des
systèmes de conditionnement et activer les procédures de
nettoyage et de désinfection adéquates pour prévenir la
contamination fongique (46).
Rompre la chaîne de transmission de
IAS en milieu hospitalier par les
procédures de nettoyage et de désinfection
Hygiène des mains
Les mains des opérateurs de soins de santé constituent
le véhicule le plus pertinent pour la transmission des IAS
(47). Ainsi, l’hygiène des mains est la première et
fondamentale action pour gérer leur apparition. A cet
égard, une étude menée en Angleterre a montré que les
patients musulmans se lavent les mains très fréquemment
pour des raisons religieuses par rapport aux patients
appartenant à d'autres religions. Cette différence était
associée à la plus faible incidence d’ infections à C. difficile
chez les patients musulmans (48).
Selon l'OMS (49) et les Centers for Disease Control
and Prevention (CDC) des États­Unis (50), l'hygiène des
mains doit être effectuée selon différentes méthodes en
fonction du risque associé à la procédure de soins elle­
même : lavage à l'eau et au savon, utilisation d'un produit
antiseptique. lavage des mains, friction antiseptique avec
des désinfectants pour les mains à base d'alcool (mousses
ou gels) et lavage chirurgical des mains.
441
L'adhésion aux procédures d'hygiène des mains parmi
le personnel est très variable, allant de 5 % à 89 % dans
le monde, avec une moyenne totale d'environ 38 % (49).
Les agents de santé reconnaissent que le manque de
temps, la surcharge de travail et la bureaucratie excessive
jouent un rôle important dans le non­respect complet des
procédures d'hygiène des mains. Une enquête récente,
réalisée dans un grand hôpital du Vietnam, a mis en
évidence que les principaux obstacles au respect des
directives d'hygiène des mains étaient le manque de
produits adéquats et leur mauvais positionnement, la
surpopulation des patients, la surcharge de travail, les
réactions cutanées provoquées par certains antiseptiques. ,
manque de perception du risque, vieilles habitudes et oubli
(51).
Afin de surmonter ces obstacles à l’hygiène des mains
du personnel soignant, plusieurs produits antiseptiques
permettant de gagner du temps et de soigner la peau sont
disponibles. En particulier, les gels ou les mousses à
base d'alcool additionnés d'émollients et de chlorhexidine
peuvent accroître le respect des procédures d'hygiène des
mains, également parce qu'un rinçage à l'eau n'est pas
nécessaire (52).
Cependant, il est important de souligner que l'utilisation
de ces produits ne peut remplacer l'utilisation et le
changement de gants entre un patient et le suivant.
En outre, des procédures ciblées d’hygiène des mains
sont nécessaires lorsque la présence d’un micro­organisme
spécifique nécessite l’utilisation d’un biocide particulier.
Dans ces cas, un lavage des mains à l’eau et au savon
suivi d’une antisepsie est recommandé (47, 49).
Désinfection des surfaces environnementales
Le rôle des surfaces de soins contaminées sur le
risque d'IAS pour les patients a longtemps été débattu
mais, de nos jours, il est bien reconnu que l'environnement
peut contribuer à la transmission de nombreux micro­
organismes associés aux soins de santé, tels que C.
difficile, la vancomycine. ­entérocoques résistants (ERV),
SARM, etc. En effet, ces bactéries peuvent passer des
patients et du personnel contaminés aux surfaces
environnementales et persister sur ces surfaces pendant
des jours, augmentant ainsi la
Machine Translated by Google
442
possibilité de transmission pour les autres patients.
Pour ces raisons, des preuves scientifiques ont
démontré qu'une désinfection appropriée des
surfaces est une procédure clé pour réduire
l'incidence des IAS (53, 54).
Parmi les désinfectants environnementaux
disponibles, les produits à base de chlore et de
polyphénols sont les plus largement utilisés en
milieu hospitalier (55, 56). Au contraire, les produits
à base d'alcool ne peuvent pas être utilisés sur de
grandes surfaces en raison de leur courte
persistance et du risque pour la sécurité et la santé
résultant de la génération de vapeurs (57).
Concernant les produits à base de chlore,
l'hypochlorite et le dichloroiso­cyanurate de sodium
à des concentrations variées (allant de centaines à
des milliers de ppm) sont utilisés pour contrôler la
contamination microbiologique des couloirs, des
espaces communs, des chambres, des toilettes,
des salles d'opération, etc. l'utilisation de produits
chlorés nécessite généralement un nettoyage
préalable minutieux pour réduire la contamination
des surfaces due à la matière organique qui diminue
la concentration du principe actif. Récemment,
certains produits à base de chlore contenant un
tensioactif ont été mis à disposition (55).
Par ailleurs, les dérivés chlorés peuvent
endommager différents types de matériaux.
L'utilisation de solutions de dichloroisocyanurate de
sodium peut résoudre la plupart de ces problèmes (58).
Les produits basés sur un mélange de deux ou
trois phénols différents additionnés de tensioactifs
(appelés « polyphénols ») peuvent être utilisés pour
la désinfection des surfaces environnementales
dans les mêmes zones du milieu hospitalier.
Les principaux avantages de ces produits, par
rapport à ceux à base de chlore, sont le « one­
step », c'est­à­dire le nettoyage et la désinfection
en un seul traitement, la plus grande persistance
superficielle et l'absence de dommages sur les
surfaces. En revanche, leur spectre d’action est
moins large et ils ne peuvent pas être utilisés à des
concentrations élevées. De plus, les polyphénols
sont reconnus comme décontaminants efficaces
pour les zones environnementales contaminées
par M. tuberculosis (30).
C.Protano et al.
Plusieurs autres technologies se sont révélées
efficaces pour désinfecter les surfaces
environnementales, telles que la vapeur de
peroxyde d'hydrogène, la lumière ultraviolette (UV)
et les surfaces recouvertes de cuivre et d'argent.
Malheureusement, ces techniques ne peuvent pas
être appliquées à de grandes surfaces pour des
raisons technologiques et pratiques. Certains
revêtements antimicrobiens photocatalytiques sont
actuellement reconnus comme utiles pour leur
capacité à favoriser la production d'espèces
réactives de l'oxygène avec des effets antimicrobiens conséque
Plusieurs solutions nanotechnologiques améliorent
cette approche en élargissant la surface
photocatalytique disponible de différents produits
principalement à base de dioxyde de titane.
Une application prometteuse des matériaux
photocatalytiques en milieu hospitalier vise à
prévenir les IAS en réduisant la charge microbienne
dans les environnements intérieurs. Des études
récentes sur les bactéries résistantes aux
antibiotiques ont montré l’efficacité de cette stratégie
pour réduire le risque d’infection à SARM (59).
Désinfection et retraitement des dispositifs médicaux
réutilisables
Selon la recommandation des lignes directrices
du CDC de 2008, le retraitement des dispositifs
médicaux réutilisables doit impliquer un nettoyage
préalable. Ce prétraitement doit être effectué
immédiatement, là où l'instrument est utilisé, pour
éviter le séchage du matériel biologique qui pourrait
entraîner l'échec du processus de retraitement.
Cette procédure préliminaire consiste en un
nettoyage à l'eau et au détergent ou à l'eau et au
détergent enzymatique (60). L'étape suivante
consiste en une stérilisation, une désinfection de
haut niveau ou standard, selon le risque lié à
l'utilisation spécifique du matériel. En tenant compte
de la classification bien connue de Spaulding des
équipements de soins aux patients, le matériel
médical et chirurgical peut être classé comme
critique, semi­critique et non critique (61).
L'utilisation de dispositifs critiques assure le contact
avec les tissus stériles et la circulation vasculaire ;
pour cette raison, un traitement de stérilisation est
Machine Translated by Google
Nettoyage et désinfection en milieu hospitalier
indispensable pour ces appareils. En particulier, si
l’instrument critique ne risque pas d’être endommagé
par la chaleur, la vapeur, la pression ou l’humidité, la
stérilisation à la vapeur ou à la chaleur est considérée
comme la procédure de référence. Sinon, d’autres
méthodes à basse température telles que l’utilisation
d’oxyde d’éthylène, de gaz plasma ou d’immersion
dans l’acide peracétique sont recommandées (62).
Les matériels semi­critiques entrant en contact
avec les muqueuses (gastroscopes, instruments de
thérapies respiratoires) nécessitent un traitement de
désinfection de haut niveau.
Même dans ce cas, la stérilisation à la vapeur est la
référence ; comme bon nombre de ces articles sont
sensibles à la température, des procédures de
désinfection de haut niveau basées sur des traitements
chimiques à basse température sont nécessaires (63­
65).
Les matériaux non critiques entrent en contact
avec une peau intacte et, par conséquent, peuvent
être traités par un désinfectant ayant un niveau
d'activité intermédiaire ou faible, aux concentrations
recommandées (66­68).
Dans ce contexte, une attention particulière doit
être accordée aux endoscopes, car leur retraitement
présente de nombreuses limitations en raison de leur
lumière étroite et de leurs multiples canaux internes,
ainsi que de leur rotation à angle droit. Sur ces
surfaces internes, les bactéries sont capables de
former des biofilms. Une récente enquête
multicentrique italienne, impliquant 22 unités
d'endoscopie, a rapporté que tous les hôpitaux
étudiés effectuaient des traitements conformes aux
directives ; en particulier, 55,6 % de ces unités
utilisaient des détergents enzymatiques (tels que
recommandés par les directives internationales) et le
désinfectant le plus utilisé était l'acide peracétique ;
cependant, des différences significatives ont été
constatées en ce qui concerne les contrôles de qualité
périodiques (64, 65). Ce résultat met en évidence la
nécessité d’améliorer les recommandations
d’application de procédures appropriées lors du retraitementsubstantielle des ISO lors de la chirurgie du côlon
Liasses
Le terme « bundle » fait référence à une série de
pratiques utilisées collectivement car, ensemble, elles
ont beaucoup plus de sens.
443
des résultats plus satisfaisants que s'ils l'utiliseraient
individuellement. En particulier, un bundle constitue
une manière structurée d’améliorer les processus de
soins et les résultats pour les patients. Elle repose sur
un ensemble structuré et restreint de pratiques
fondées sur des données probantes (généralement
trois à cinq pratiques) réalisées ensemble et de
manière constante, afin de garantir les meilleurs soins
possibles aux patients (69). Cette approche,
développée en 2001 par l'Institute for Healthcare
Improvement (IHI) aux États­Unis pour améliorer les
résultats pour les patients, a rapidement été adoptée
par d'autres pays dans le monde. Par exemple, le
programme de soins intensifs de la NHS Modernization
Agency au Royaume­Uni propose des offres groupées,
spécifiant leurs éléments caractéristiques par rapport
à une liste de contrôle ou à un ensemble de lignes
directrices : tous les changements sont nécessaires
et suffisants, tous les changements sont basés sur
des preuves de niveau 1, sont acceptés et bien
établis, les changements sont clairs et simples et
impliquent une approche du tout ou rien (70, 71).
Depuis leur introduction, plusieurs offres groupées
ont été développées pour des types spécifiques d’IAS,
de procédures ou d’espèces de micro­organismes à
haut risque. En ce qui concerne le type d'IAS, une
revue systématique récente et une méta­analyse sur
l'association des ensembles fondés sur des données
probantes avec les taux d'infections du site opératoire
(ISO) après un accouchement par césarienne ont
démontré que les ensembles de trois interventions
fondées sur des preuves ou plus réduisaient
considérablement le risque. des SSI (72). En outre,
plusieurs études observationnelles ont mis en
évidence l'importance de l'approche groupée dans la
prévention des ISO après d'autres types d'interventions.
Par exemple, Bert et coll. ont démontré que
l'application d'un ensemble de 5 éléments (calcul de
l'indice de risque d'infection, douche préopératoire,
trichotomie, prophylaxie antibiotique et contrôle de la
température corporelle) est associée à une réduction
de ces dispositifs.
(73). De même, une autre étude observationnelle a
démontré qu'un ensemble comprenant une douche
préopératoire de chlorhexidine, une incision
transversale à l'aine lorsqu'elle est cliniquement
applicable et une douche de chlorhexidine à l'intérieur
Machine Translated by Google
444
deux jours postopératoires au cours desquels les
pansements ont été retirés ont déterminé une
réduction significative des ISO après des procédures
de pontage vasculaire des membres inférieurs (74).
Des offres spécifiques ont été développées pour
d'autres procédures à haut risque, telles que les soins
d'insertion et d'entretien des cathéters centraux chez
les patients néonatals, pédiatriques et adultes en
soins intensifs, qui sont associés à une augmentation
des infections sanguines associées aux cathéters
centraux ; une revue systématique et une méta­
analyse sur cette question ont démontré le rôle
protecteur potentiel des faisceaux de cathéters
centraux (insertion ou entretien, ou les deux)
(75). De plus, les IAS associées aux cathéters
urinaires ont été considérablement réduites grâce à
l'utilisation d'un ensemble « vessie » comprenant
certaines pratiques et mesures connexes telles que
le protocole d'arrêt du cathéter urinaire initié par une
infirmière, les rappels et les invites de retrait du
cathéter urinaire, les alternatives au cathétérisme
urinaire à demeure, surveillance par échographie
vésicale portable, soins et maintenance de l'insertion
(76).
Concernant des micro­organismes spécifiques,
une étude récente a mis en évidence une réduction
significative des infections virales nosocomiales
pédiatriques grâce au développement de pratiques
de prévention ciblées formalisées dans un ensemble
complet de prévention (77). D'autres groupes
spécifiques qui peuvent être cités sont liés aux IAS à
C. difficile , même si jusqu'à présent en cours
d'évaluation (78).
Conclusions
Cette revue montre que l'hygiène des mains, les
procédures de désinfection et les paquets sont des
stratégies essentielles pour l'un des problèmes de
santé publique les plus importants, l'apparition des
IAS. En effet, ce type d’infections n’est pas totalement
maîtrisé, notamment en milieu hospitalier. Il est
essentiel d'améliorer le paradigme des stratégies de
prévention avec une approche intégrée, qui implique
des procédures appropriées.
C.Protano et al.
Compte tenu des facteurs de risque les plus
importants associés aux IAS, l’hygiène et le nettoyage
des mains, la désinfection ou la stérilisation des
surfaces et des instruments sont des opérations de
prévention essentielles. Il est important de noter que
l’application simultanée de procédures/mesures/
techniques appropriées a souvent un effet plus fort
par rapport à l’application d’une seule intervention.
Cette hypothèse est la raison d’être des bundles, un
ensemble de pratiques et de mesures qui doivent être
utilisées simultanément. Étant donné que le risque
d'IAS est différent selon les procédures et les micro­
organismes d'intérêt, l'agenda de recherche devrait
inclure le développement de nouveaux bundles,
spécifiquement consacrés aux procédures et aux
micro­organismes à haut risque.
Riassunto
Ambiente ospedaliero come réservoir per la trasmis­
sione crociata: procédure de pulvérisation et de désinfection
Introduction. Les infections corrélées à l'assistance (ICA)
représentent un problème important de santé publique en
termes d'augmentation des taux de morbidité et de mortalité,
présentent un impact économique important et contribuent
à la résistance antimicrobienne.
Méthodes. Le champ d'application de la présente révision
est l'état de la rédaction de la lettre sur l'ICA, en particulier
de l'environnement hospitalier et du déroulement de la
procédure de pulvérisation et de désinfection. L'environnement
médical représente un réservoir essentiel pour la
transmission du lait de l'ICA et l'application de la procédure
relative au lavage des mains et à la désinfection/stérilisation
des surfaces et des instruments de stratégie nécessaires
pour contrôler l'ICA.
Résultats. Pour l'hygiène des mains, vous devez choisir
diverses méthodes en fonction du risque associé à la
procédure d'assistance : lavage à l'eau et à la sapone,
antisétique et chirurgical, frottement avec des désinfectants
à base d'alcool. Les surfaces ambiantes peuvent être
traitées avec divers produits, principalement utilisés comme
désinfectants à base de chlorure et de polyphénol. Le
retraitement des instruments est corrélé à leur utilisation en second lieu
fiction de Spaulding. En outre, les preuves scientifiques ont
démontré l'importance des « bundles » (petits ensembles
de pratiques effectives contemporaines) pour contrôler l'ICA.
Conclusioni. Le programme de recherche pertinent
comprend la mise en œuvre de la procédure, note préventive et lo
Machine Translated by Google
Nettoyage et désinfection en milieu hospitalier
sviluppo di nuovi bundles par procédure avec de hauts risques et/ou
des micro­organismes spécifiques.
Les références
1. Revelas A. Soins de santé – infections associées : un problème
de santé publique. Niger Med J 2012 ; 53(2) : 59­64.
2. Organisation mondiale de la santé (OMS). Le fardeau des
infections nosocomiales dans le monde.
Disponible sur : https://www.who.int/gpsc/count­try_work/
burden_hcai/en/. [Dernière consultation : 20 mai 2019].
3. Centres de contrôle et de prévention des maladies
(CDC). Infections nosocomiales. Disponible sur : https://
www.cdc.gov/hai/data/index.
html. [Dernière consultation : 20 mai 2019].
4. Organisation mondiale de la santé (OMS). Rapport sur le
fardeau des maladies endémiques associées aux soins de santé
Infection dans le monde. Disponible sur:
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/1066
5/80135/9789241501507_eng.pdf;séquence=1.
[Dernière consultation : 20 mai 2019].
5. Épicentre. Infection nosocomiale.
Épidémiologie. Disponible sur : http://www.epi­centro.iss.it/
infezioni­correlate/epidemiologia.
[Dernière consultation : 20 mai 2019].
6. Kouni S, Tsolia M, Roilides E et al. Établir des données de
surveillance des infections sanguines associées aux cathéters
centraux représentatives au niveau national pour les patients
pédiatriques en Grèce. J Hosp Infecter 2019 ; 101(1) : 53­9.
7. Animesh G, Divya CV, Diwakar K Singh, Krutarth B, Maria N,
Srinivas R. Prévalence des infections associées aux soins
de santé dans un hôpital de soins tertiaires Indakshina
Kannada, Karnataka : une étude transversale en milieu
hospitalier. Int J Med Res Santé Sci 2015 ; 4(2) : 317­21.
8. Capozzi C, Capozzi A, Visconti G et al. Les infections
hospitalières : éléments d'épidémiologie et de prévention.
Organisation Sanit 2004 ; 3(4) : 3­26.
9. Agodi A, Barchitta M, Mura I et al. L'engagement du GISIO­
SItI à contraster les infections nosocomiales et l'expérience
des études de prévalence en Sicile. Ann Ig 2018 ; 30(5) :
15­21.
10. De Angelis G, Murthy A, Beyersmann J, Har­barth S. Estimation
de l'impact des infections nosocomiales sur la durée du
séjour et les coûts. Clin Microbiol Infect 2010 ; 16(12) :
1729­35.
445
11. Lü Y, Cai MH, Cheng J et al. Une étude cas­témoins imbriquée
multicentrique sur les coûts d'hospitalisation et la durée du
séjour en raison d'une infection nosocomiale. Antimicrobien
résistant aux infections
Contrôle 2018 ; 7 : 99.
12. Arefian H, Vogel M, Kwetkat A, Hartmann M. Évaluation
économique des interventions pour
Prévention des infections nosocomiales : une revue
systématique. PLoS Un 2016 ; 11(1) : e0146381.
13. Khan A, Miller WR, Arias CA. Mécanismes de résistance aux
antimicrobiens parmi les agents pathogènes nosocomiaux.
Expert Rev Anti Infect Ther 2018 ; 16(4) : 269­87.
14. Bonten MJ. Prévention des infections en unité de soins
intensifs. Curr Opinion Crit Care 2004 ; 10(5) : 364­8.
15. Cassini A, Högberg LD, Plachouras D et al.
Décès attribuables et années de vie ajustées sur l'incapacité
causés par des infections par des bactéries résistantes aux
antibiotiques dans l'UE et l'Espace économique européen en
2015 : une analyse de modélisation au niveau de la
population. Lancet InfectDis 2019 ; 19(1) : 56­66.
16. OCDE. Endiguer la marée des superbactéries : quelques dollars
de plus, Études de l'OCDE sur les politiques de santé,
Éditions OCDE, Paris. Disponible sur : https://
est ce que je.org/10.1787/9789264307599­en. [Dernier
accès : 20 mai 2019].
17. Orsi GB, Giuliano S, Franchi C et al. L'épidémiologie modifiée
des infections sanguines acquises en soins intensifs sur 12
ans dans un hôpital universitaire italien.
Minerve Anestésiol 2015 ; 81(9) : 980­8.
18. Blanco N, O'Hara L, Harris AD. Voies de transmission des
organismes multirésistants en milieu hospitalier : un examen
de la portée. Hôpital de contrôle des infections Epidemiol
2019 ; 40(4) : 447­56.
19. La Commission mixte. Environnement de soins.
Manuel complet d'accréditation pour les soins ambulatoires
(CAMAC). Disponible sur : https://
foh.psc.gov/tjc/environmentofcare.html. [Dernière
consultation : 20 mai 2019].
20. Sehulster L, Chinn RY. Lignes directrices pour l'environnement
Lutte contre les infections mentales dans les établissements de santé :
recommandations du CDC et du Comité consultatif sur les
pratiques de contrôle des infections dans les soins de santé
(HICPAC). MMWR Morb Mortal Weekly Rep 2003 ; 52(10) :
1­42.
21. Olmsted RN. Prévention dès la conception : construction et
rénovation d'établissements de santé pour la sécurité des
patients et la prévention des infections. Infecter Dis Clin N
Am 2016 ; 30(3) : 713­28.
Machine Translated by Google
446
22. Suleyman G, Alangaden G, Bardossy A. Le rôle de la
contamination environnementale dans le
Transmission d'agents pathogènes nosocomiaux et
d'infections nosocomiales. Curr Infecter
Dis Rep 2018 ; 20h12 .
23. Orsi GB, Vitali M, Marinelli L et al. Légionelle
contrôle du système d'eau des bâtiments hospitaliers
vétustes par choc et hyperchloration continue : 5 ans
d'expérience. BMC InfectDis 2014 ; 14 : 394.
24. D'Alessandro D, Fabiani M, Cerquetani F, Orsi GB. Tendance
de la colonisation par Legionella dans l’approvisionnement
en eau des hôpitaux. Ann Ig 2015 ; 27(2) : 460­6.
25. Vincenti S, De Waure C, Raponi M et al. Surveillance
environnementale de Legionella spp. colonisation dans
le système d'eau d'un grand hôpital universitaire : analyse
des résultats sur quatre ans sur l'efficacité de la méthode
de désinfection au dioxyde de chlore. Sci Total Environ
2019 ; 657 : 248­53.
26. Pedley S, Bartram J, Rees G, Dufour A, Cotruvo A.
Mycobactéries pathogènes dans l'eau. Un guide sur les
conséquences, la surveillance et la gestion de la santé
publique. Organisation mondiale de la santé et IWA
Publishing, 2004 : 7­9.
27. D'Antonio S, Rogliani P, Paone G. Une épidémie inhabituelle
de mycobactéries non tuberculeuses dans les services
respiratoires des hôpitaux : association avec la colonisation
mycobactérienne non tuberculeuse du réseau
d'approvisionnement en eau des hôpitaux. Int J Mycobac­
teriol 2016 ; 5(2) : 244­7.
28. Brown­Elliott B, Wallace R, Tichindelean C et al. Éclosion de
Mycobacterium porcinum d'origine communautaire et
hospitalière sur cinq ans
Infections liées aux approvisionnements publics en eau. J
Clin Microbiol 2011 ; 49(12) : 4231­8.
29. Montagna MT, Napoli C, Tafuri S et al. Connaissances sur
la tuberculose chez les étudiants de premier cycle en soins
de santé de 15 universités italiennes : une étude
transversale. Santé publique BMC 2014 ; 14 : 970.
30. Agolini G, Protano C, Puro V, Raitano A, Ferraro F, Vitali M.
Antisepsie spécifique et désinfection environnementale
pour prévenir la «diarrhée associée à Clostridium difficile ».
Ann Ig 2009 ; 21(6) : 599­609.
31. Shaughnessy M, Micielli R, DePestel D et al.
Évaluation de l'attribution des chambres d'hôpital et
acquisition d' une infection à Clostridium difficile . Hôpital
de contrôle des infections Epidemiol 2011 ; 32(3) : 201­6.
32. Srinivasa VR, Hariri R, Frank LR et al. Infection à Clostridium
difficile nosocomiale et réservoirs en milieu hospitalier.
C.Protano et al.
Am J Infect Control 2019. pii : S0196­6553­
(18)31158­1. [Epub avant impression].
33. Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
Klebsiella pneumoniae dans les établissements de soins
de santé. Disponible sur:
https://www.cdc.gov/hai/organisms/klebsiella/kleb­siella.html.
[Dernière consultation : 20 mai 2019].
34. Mulani MS, Kamble EE, Kumkar SN et al.
Stratégies émergentes pour lutter contre les agents
pathogènes ESKAPE à l'ère de la résistance aux
antimicrobiens : une revue. Front Microbiol 2019 ; 10 : 539.
35. Opatowski M, Tuppin P, Cosker K et al. Hospitalisations
pour infections liées aux antimicrobiens
bactéries al­résistantes du territoire français
base de données sur les sorties d’hôpital, 2016. Epidemiol
Infect 2019 ; 147 : e144.
36. Duszynska W, Litwin A, Rojek S et al. Analyse des infections
hospitalières à Acinetobacter baumannii chez des patients
traités à l'unité de soins intensifs de l'hôpital universitaire
de Wroclaw, Pologne : une étude rétrospective
monocentrique de 6 ans. Infect Drug Resist 2018 ; 11 :
629­35.
37. Garnacho­Montero J, Timsit JF. Gestion des infections à
Acinetobacter baumannii . Curr Opin InfectDis 2019 ;
32(1) : 69­76.
38. Puro V, Pittalis S, Agolini G et al. Stratégies de prévention et
de contrôle des infections liées aux soins de santé par
Acinetobacter baumannii. Ann Ig 2011 ; 23(6) : 491­504.
39. Lupo A, Haenni M, Madec JY. Résistance aux antimicrobiens
chez Acinetobacter spp. et Pseudomonas
spp. Spectre microbiologique 2018 ; 6(3).
40. Orsi GB, Villari P, Mondillo V et al. Un Pseudomonas
aeruginosa lié à l'expandeur de plasma
épidémie. Scand J Dis infectieux 2006 ; 38(11) : 1085­8.
41. Galdys A, Marsh J, Delgado E et al. Groupes associés au
bronchoscope de Pseudomonas aeruginosa multirésistant
et de Klebsiella pneumoniae résistant aux carbapénèmes .
Hôpital de contrôle des infections Epidemiol 2019 ; 40(1) :
40­6.
42. Wong JW, Ip M, Tang A et al. Prévalence et facteurs de
risque du portage communautaire de Staphylococcus
aureus résistant à la méthicilline dans la région Asie­
Pacifique de 2000 à 2016 : une revue systématique et
une méta­analyse. Clin Epidémiol 2018 ; 10 : 1489­501.
43. Jung N, Rieg S. Essentiels dans la gestion de l'infection
sanguine à S. aureus . Infection 2018 ; 46(4) : 441­2.
44. Huebner NO, Dittmann K, Henck V et al.
Épidémiologie des bactéries multirésistantes
Machine Translated by Google
Nettoyage et désinfection en milieu hospitalier
et Clostridium difficile dans les hôpitaux allemands en 2014 :
résultats d'une prévalence ponctuelle d'une journée à l'échelle
nationale de 329 hôpitaux allemands. BMC InfectDis 2016 ;
16 : 467.
45. Falcone M, Vena A, Mezzatesta ML et al. Rôle de la thérapie
empirique et ciblée chez les patients hospitalisés atteints
d'infections sanguines causées par des entérobactéries
productrices de BLSE. Ann Ig 2014 ; 26(4) : 293­304.
46. Vescia N, député Brenier­Pinchart, Osborn JF, et al.
Validation sur le terrain d'un chiffon à dépoussiérer pour la
surveillance mycologique des surfaces. Am J Infect Control
2011 ; 39(2) : 156­8.
47. Centres de contrôle et de prévention des maladies
(CDC). Hygiène des mains dans les établissements de soins de santé.
Disponible sur : https://www.cdc.gov/handhy­giene/. [Dernière
consultation : 20 mai 2019].
48. Tanner J, Anthony D, Johnson M et al. Clostrid­ium difficile,
ethnicité et religion. J Hosp Infect 2008 ; 68(1) : 90­1.
49. Organisation mondiale de la santé. Lignes directrices de l'OMS sur
l'hygiène des mains dans le cadre des soins de santé, 2009. Disponible
sur:
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/1066
5/44102/9789241597906_eng.pdf?sequence=1.
[Dernière consultation : 20 mai 2019].
50. Boyce J, Pittet D. Lignes directrices pour l'hygiène des mains
dans les établissements de soins de santé : recommandations
du Comité consultatif sur les pratiques de contrôle des
infections dans les soins de santé et du groupe de travail
HICPAC/SHEA/APIC/IDSA sur l'hygiène des mains. Hôpital de
contrôle des infections Epidemiol 2002 ; 23(12 Supplément) : S3­40.
51. Le CD, Lehman EB, Nguyen TH, Craig TJ. Étude de conformité à
l'hygiène des mains dans un grand hôpital central au Vietnam.
Int J Environ Res Santé publique 2019 ; 16 (4) : pi : E607.
52. Gold NA, Avva U. Désinfectant à l'alcool. [Mise à jour le 23 juin
2018]. Dans : StatPearls [Internet]. Treasure Island (FL) :
StatPearls Publishing, 2018.
53. Weber DJ, Rutala WA, Miller MB et coll. Rôle des surfaces
hospitalières dans la transmission d'agents pathogènes
émergents associés aux soins de santé : norovirus, Clostridium
difficile et espèces d'Acinetobacter .
Am J Infect Control 2010 ; 38(5) : 25­33.
54. Otter JA, Yezli S, GL français. Le rôle joué par les surfaces
contaminées dans la transmission d'agents pathogènes
nosocomiaux. Hôpital de contrôle des infections Epidemiol
2011 ; 32(7) : 687­99.
55. Danseur SJ. Comment évaluons­nous le nettoyage des hôpitaux ?
Une proposition de normes microbiologiques pour l'hygiène
des surfaces dans les hôpitaux. J Hosp Infect 2004 ; 56(1) :
10­5.
447
56. Goddard PA, McCue KA. Des composés phénoliques.
Dans : Bloc SS, éd. Désinfection, stérilisation et conservation.
5e éd. Philadelphie : Lippincott Williams & Wilkins, 2001.
57. Schabrun S, Chipchase L. Les équipements de santé comme
source d'infections nosocomiales : une revue systématique. J
Hosp Infect 2006 ; 63 : 239­45.
58. Coates D. Comparaison des désinfectants à base d'hypochlorite
de sodium et de dichloroisocyanurate de sodium : neutralisation
par sérum. J Hosp Infect 1988 ; 11h60­7 .
59. Kim MH, Lee SG, Kim KS et al. Désinfection de l'environnement
avec photocatalyseur comme mesure complémentaire pour
contrôler la transmission de la méthicilline.
Staphylococcus aureus résistant : une étude de cohorte
prospective dans un contexte à forte incidence. BMC InfectDis
2018 ; 18(1) : 610.
60. Rutala W, Weber D et le Comité consultatif sur les pratiques de
contrôle des infections dans les soins de santé (HICPAC).
Ligne directrice pour la désinfection et la stérilisation dans les
établissements de santé, 2008. Disponible sur : https://
www.cdc.gov/infectioncontrol/
directives/désinfection/. [Dernière consultation : 20 mai 2019].
61. Yoo JH. Examen de la désinfection et de la stérilisation ­ Retour
aux sources. Infecter Chemother 2018 ; 50(2) : 101­09.
62. Rutala WA, Weber DJ. Stérilisation, désinfection de haut niveau
et nettoyage de l'environnement. Infecter Dis Clin North Am
2011 ; 25(1) : 45­76.
63. Rutala WA, Weber DJ. Retraitement des objets semi­critiques :
enjeux actuels et nouvelles technologies. Am J Infect Control
2016 ; 44(5) : 53­62.
64. Cristina ML, Valeriani F, Casini B et al. Procédures de retraitement
et de surveillance des endoscopes : une enquête italienne Ann
Ig 2018 ; 30(5) : 45­63.
65. Valeriani F, Agodi A, Casini B et al. Test potentiel des procédures
de retraitement par réaction en chaîne par polymérase en
temps réel : une étude multicentrique des appareils de
coloscopie. Am J Infect Control 2018 ; 46(2) : 159­64.
66. Rutala WA, Weber DJ. Désinfection et stérilisation dans les
établissements de soins de santé : un aperçu
et Problèmes actuels. Infecter Dis Clin North Am
2016 ; 30(3) : 609­37.
67. Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
Nécessité immédiate pour les établissements de santé de
revoir les procédures de nettoyage, de désinfection et de
stérilisation des dispositifs médicaux réutilisables, 2015.
Disponible sur : http://emergency.cdc.gov/han/han00382.asp
[Dernière consultation : 20 mai 2019].
68. Centre de contrôle et de prévention
Machine Translated by Google
448
Malattié (CCM). Région Émilie­Romagne. Projet
« Prévention et contrôle des infections dans les
organisations sanitaires et sociosanitaires – Projet INF­
OSS ». Disponible sur : http://www.salute.gov.it/imgs/
C_17_
pagineAree_4621_listaFile_itemName_0_file.
pdf. [Dernière consultation : 20 mai 2019].
69. Resar R, Pronovost P, Haraden C, Simmonds T, Rainey T,
Nolan T. Utilisation d'une approche groupée pour
améliorer les processus de soins des ventilateurs et
réduire la pneumonie associée au ventilateur. Jt Comm J
Qual Patient Saf 2005 ; 31(5) : 243­8.
70. Crocker C, Kinnear W. Sevrage de la ventilation : une
approche groupée de soins fonctionne­t­elle ? Infirmières
en soins intensifs intensifs 2008 ; 24(3) : 180­6.
71. Agence de modernisation. Dix changements à fort impact
pour l'amélioration et la prestation des services : un guide
pour les dirigeants du NHS NHS, Londres (2004).
Disponible sur : https://www.england.
nhs.uk/improvement­hub/wp­content/uploads/
sites/44/2017/11/10­High­Impact­Changes.pdf
[Dernière consultation : 20 mai 2019].
72. Carter EB, Temming LA, Fowler S et al.
Bundles fondés sur des preuves et infections du site
chirurgical lors de l'accouchement par césarienne : une
revue systématique et une méta­analyse. Obstet Gynecol
2017 ; 130(4) : 735­46.
73. Bert F, Giacomelli S, Amprino V. L'approche « bun­dle »
pour réduire le site chirurgical
Auteur correspondant : Matteo Vitali, Département de santé publique et des maladies infectieuses, Université La Sapienza de Rome, Piazzale
Aldo Moro 5, 00185 Rome, Italie
e­mail : matteo.vitali@uniroma1.it
C.Protano et al.
taux d’infection. J Eval Clin Pratique 2017 ; 23(3) : 642­7.
74. Hekman KE, Michel E, Blay E Jr, et al. Intervention groupée
d'amélioration de la qualité basée sur des preuves pour
réduire l'infection du site chirurgical dans les procédures
de pontage vasculaire des membres inférieurs.
J Am Coll Surg 2019 ; 228(1) : 44­53.
75. Ista E, van der Hoven B, Kornelisse RF. Efficace
qualité des paquets d'insertion et de maintenance
pour prévenir les infections sanguines associées aux
cathéters centraux chez les patients gravement malades
de tous âges : une revue systématique et une méta­
analyse. Lancet InfectDis 2016 ; 16(6) : 724­34.
76. Sanjay Saint, Russell N. Olmsted, Mohamad G. Fakih
Traduire la recherche sur la prévention des infections des
voies urinaires associées aux soins de santé en pratique
via le Bundle sur la vessie. Jt Comm J Qual Patient Saf
2009 ; 35(9) : 449­55.
77. Hei H, Bezpalko O, Smathers SA, Coffin SE, Sammons JS.
Développement d’un nouvel ensemble de prévention
pour les infections virales nosocomiales pédiatriques.
Hôpital de contrôle des infections Epidemiol 2018 ; 39(9) :
1086­92.
78. Barker AK, Ngam C, Musuuza JS et al. Réduire Clostridium
difficile en milieu hospitalier : un examen systématique
de l'adhésion et de l'efficacité des programmes de
prévention de C. difficile.
Infect Control Hosp Epidémiol. 2017 ; 38(6) : 639­50.