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CE : Affiches / la UNE du magazine
CO : Sons : musique, chanson
CE : Article de la presse, texte
Oral spontané
Oral formel, oral institutionnel ou oral scriptural
Écrit oralisé exposé
Types d`activités :
Étapes EO
Cet outil permet de visualiser la position du groupe par rapport à certains sujets : un test collectif.
Un repère orthonormé est dessiné sur le sol avec des propositions au bout de ses axes :
- légitime/pas légitime
- Je participe/ je ne participe pas
- Oui, Non, je ne sais pas, 50%/50%
- Souvent, jamais, de temps en temps
L'animateur pose des questions). Chaque participant va se positionner dans l'espace en fonction de ce qu'il pense. L'animateur
demande à certaines personnes d'exprimer pourquoi elles se sont positionnées à l'endroit où elles sont. En fonction de ce
qu'exprime la personne, les autres participant-e-s ont la possibilité de se repositionner. Il n'y a pas de débats, ce sont des points
de vue différents qui s'expriment.
Il est important de formuler les propositions liées aux axes sans jugement de valeur pour ne pas considérer que ce soit bien ou
mal quand on se positionne à un endroit.
Variante : Le petit AXE. Sur une feuille au milieu de la table, un repère est dessiné avec des propositions à chaque bout. Chaque
participant colle une gommette la/le représentant à l'endroit où elle/il se positionnerait par rapport aux axes du repère.
Structure de base: Donner aux élèves une question ou un problème général susceptible d'aboutir à de nombreuses idées
différentes, écrire des idées sur des notes post-it (une idée par note) et les placer sans arrangement particulier sur un mur, un
tableau blanc ou un papier graphique. Une fois que beaucoup d'idées ont été générées, demandez aux élèves de les regrouper
dans des catégories similaires, puis d'étiqueter les catégories et de discuter de la raison pour laquelle les idées s'y rattachent, de
la manière dont les catégories se rapportent les unes aux autres, etc.
Variante : Certains enseignants demandent aux élèves d'effectuer une grande partie de cet exercice, d'enregistrer leurs idées et
de les classer par catégories, sans parler au début. Dans d'autres variantes, les participants sont invités à regrouper les idées
dans de nouvelles catégories différentes après le premier tour de l'organisation. Souvent, cette activité est un bon exercice de
pré-écriture, après quoi les étudiants écrivent une sorte d'analyse ou de prise de position.
SPEED DATING
Structure de base: Les élèves forment deux cercles, un cercle intérieur et un cercle extérieur. Chaque étudiant à l'intérieur est
jumelé avec un étudiant à l'extérieur; ils se font face. L'enseignant pose une question à l'ensemble du groupe et les binômes
discutent de leurs réponses les uns avec les autres. Ensuite, l'enseignant indique aux élèves de faire la rotation: Les élèves du
cercle extérieur se déplacent d'un espace vers la droite pour se tenir devant une nouvelle personne (ou assis, comme ils le sont
dans la vidéo). Maintenant, l'enseignant pose une nouvelle question, et le processus est répété.
Variante: Au lieu de deux cercles, les élèves peuvent aussi former deux lignes droites qui se font face. Au lieu de «tourner» pour
changer de partenaire, une ligne glisse sur un point et le reste sur la fin revient au début de la ligne. Certains enseignants
utilisent cette stratégie pour que les élèves enseignent un contenu à leurs camarades, ce qui en fait moins une stratégie de
discussion et davantage un format d'enseignement par les pairs. En fait, plusieurs de ces protocoles pourraient également être
utilisés pour l'enseignement par les pairs.
Variante : Les élèves se déplacent et cherchent un autre élève avec qui ils ont 5 points communs et 3 points divergents.
Exemples : âge, lieu de domicile, langues parlées, groupes de musique, activités musicales, instrument, maison de jeunes,
vacances, matières préférées ou détestées, livres, CD, films, jeux, plats, couleurs, animaux, peinture, etc.… Puis on procède à la
mise en communet chaque couple doit se présenter en respectant la prise de parole successive.
Une quescussion est un type de discussion qui est conduite entièrement sous forme de questions. Elle s'est avérée très utile en
explorant une série de sujets, particulièrement les controversés, et en exécutant des travaux dans des groupes plus ou moins
nombreux.
Dans de grands groupes, elle est particulièrement utile parce qu'elle permet à beaucoup de participant-e-s d'apporter de brèves
contributions sans l’intervention de l’animatrice-teur, et parce que l'exercice peut être utilisé à plusieurs fins.
Quel est son but ?
• fournir une situation qui permet aux participant-e-s de poser des questions sur les choses qu’ils/elles comprennent mal
• aborder des sujets d'une manière non-linéaire, en associant des idées à travers plusieurs matières et en mettant en évidence
des avancées questionnables et des idées de fond
• stimuler la formulation et l'examen consciencieux des concepts avant de les exprimer
• prévoir des occasions pour les participant-e-s de clarifier et développer leurs idées sans devoir affronter le jugement des
autres Comment est-ce que je peux le faire ?
L'animateur-trice explique les règles du quescussion, qui sont :
- Tout ce qui est dit doit être sous forme de question.
- Les participant-e-s doivent attendre jusqu'à ce que quatre (ce nombre peut varier avec la taille du groupe) autres
personnes aient parlé avant qu'elles puissent parler de nouveau.
- Pas d’énoncé déguisé (par exemple : Tous les enseignants portent du polyester, n’est-ce-pas ?)
Varinate1 : D`un type d’oral à un autre. Demander aux élèves de regarder un (des) documentaire(s) et d'en restituer le contenu
sous forme de JT / demander aux élèves de regarder/ écouter des nouvelles TV ou radio et d'en restituer/ adapter le contenu
sous forme de témoignage.
Variante 2 : De l'écrit à l’oral. Demander aux élèves de lire une nouvelle (CE) et d'en faire la présentation / lire des recettes de
cuisine pour les présenter à l'oral (émission télévisée culinaire).
PINWHEEL DISCUSSION
La classe est divisée en quatre groupes (ou selon la taille de la classe ou nombre de personnes nécessaire), et les chaises sont
placées en cercle. Au centre du cercle, se trouve un représentant de chaque groupe.
L'enseignant assigne un rôle (un personnage, un auteur etc.) aux étudiants en petits groupes. Un des groupes sont des
provocateurs qui animent des débats.
Donnez aux groupes le temps de discuter de leur texte - le contexte, les caractères, les preuves textuelles importantes et trouver
au moins une question de discussion. Ils doivent également se préparer à répondre à cette question et tout autre comme cet
auteur / personnage. Chacun doit défendre la position de la partie qui lui a été attribuée.
Parlez au Groupe Provocateur et dites-leur que leur travail consiste à faire avancer la discussion et des moyens réfléchis. Cela
signifie poser des questions provocantes, écouter et demander un suivi des questions.
Choisissez un participant de chaque groupe pour participer à la première ronde de discussion. Ils se déplacent vers la place
centrale. Le provocateur ouvre la discussion avec la première question. A un certain point, les étudiants sortent de la discussion
pour être remplacés par un autre membre de leur groupe.
Impliquez les étudiants en dehors du groupe central. Suite à la discussion centrale, ils peuvent publier des commentaires,
rédiger un résumé.
PYRAMID DISCUSSION
Les étudiants réfléchissent sur un énoncé et prennent des notes individuellement. Ils travaillent ensuite avec un collègue afin de
dresser une liste commune de raisons pouvant soutenir la position des deux parties. Ils doivent parvenir à un consensus au sujet
d'une position qu'ils veulent défendre. Ils partagent cette position avec deux autres collègues. Ils effectuent le même processus.
1+1 – 2 min
2+2 – 4 min
4+4 – 8 min
8+8 - 16 min
SOCRATIC SEMINAR
Structure de base: Les élèves se préparent en lisant un texte ou un groupe de textes et en écrivant des questions de discussion
d'ordre supérieur à propos du texte. Le jour du séminaire, les étudiants sont assis en cercle et une question introductive et
ouverte est posée par le professeur ou le responsable de la discussion des étudiants. À partir de là, les étudiants poursuivent la
conversation, s'encourageant les uns les autres à soutenir leurs revendications avec des preuves textuelles. Il n'y a pas d'ordre
particulier dans la façon dont les élèves parlent, mais ils sont encouragés à partager respectueusement la parole avec les autres.
La discussion est censée se dérouler naturellement et les élèves n'ont pas besoin de lever la main pour parler.
Variantes: Si les élèves sont débutants, l'enseignant peut écrire les questions de discussion, ou la création de la question peut
être un effort conjoint. Pour les classes plus grandes, les enseignants peuvent avoir besoin d'organiser des séminaires dans un
arrangement plus semblable à un bocal, divisant les élèves en un cercle intérieur qui participera à la discussion, et un cercle
extérieur qui observe silencieusement, prend des notes, et peut éventuellement échanger des places avec ceux qui sont dans le
cercle intérieur, parfois tous en même temps, et parfois en «tapotant» quand l'envie les frappe.
Variantes : Banque de question. Cette forme permet de déblayer une problématique, de l'approfondir, d'en formuler d'autres
plus pertinentes pour le groupe en fonction de ce qu'il a exprimé. Une problématique ou un sujet est proposé à l'assemblée.
Chaque participant prend 5 minutes seul pour écrire une question qui le/la travaille en rapport avec le sujet. Ensuite les
participant-e-s se retrouvent en grand groupe et toutes les questions sont déposées dans un chapeau.
Chaque participant tire alors au sort une des questions (si c'est la sienne, il/elle en prend une autre). Une personne commence
par lire la question qu'elle a piochée. Le but du jeu n'est pas d'y répondre mais d'essayer d'exprimer comment on comprend la
question, les problématiques que cela nous évoque. Les autres écoutent.
Structure de base: Des stations ou des affiches sont installées autour de la salle de classe, sur les murs ou sur les tables. De
petits groupes d'élèves se déplacent d'une station à l'autre en effectuant une sorte de tâche ce qui entraînera une conversation.
Variante: 1. Des groupes d'élèves créent des affiches informatives, puis agissent comme guides ou professeurs, donnant aux
autres étudiants une courte présentation de leur affiche et menant une séance de questions-réponses. Exemple : les stations
peuvent consister en des vidéos didactiques créées par les étudiants eux-mêmes.
Variante: 2. Chat Stations, où l'enseignant prépare des messages de discussion ou des tâches liées au contenu et les installe
autour de la salle.
L'enseignant énonce une affirmation sur un sujet donné. Les étudiants prennent position sur cette affirmation et se dirigent vers
l'un des quatre coins de la classe selon qu'ils sont totalement en accord, en accord, en désaccord ou totalement en désaccord
avec l'énoncé. Les étudiants dans le même coin travaillent ensemble pour présenter des arguments soutenant leur position.
Chaque groupe défend ensuite sa position. Les étudiants peuvent changer de coin si leur opinion change. Chaque groupe écrit
un paragraphe résumant les quatre arguments les plus solides selon eux.
Variante : Chaque groupe passe par chaque coin afin de discuter les différents aspects du problème. Le débriefing collectif est
proposé à la fin de session.
Structure de base: Une déclaration qui a deux réponses possibles - d'accord ou en désaccord - est lue à voix haute. Selon qu'ils
sont d'accord ou non avec cette affirmation, les étudiants se déplacent d'un côté de la pièce ou de l'autre. De cet endroit, les
étudiants se relaient pour défendre leurs positions.
Certains enseignants mettent en place une chaise chaude pour représenter chaque côté, et les élèves doivent se relayer sur le
siège.
LE DÉBAT LINCOLN-DOUGLAS
Une personne en confronte une autre (comme dans les débats politiques). Le temps alloué à chaque partie est limité afin que
chacune puisse présenter son argument de départ, réfuter les objections de son opposant et conclure son argumentation.
Variante : Faire débattre quelques interlocuteurs défendant des opinions franchement différentes. Les autres participants vont
alors se placer derrière celui qui leur parait avancer les arguments convaincants (option : utiliser des papiers de couleur pour
signaler le changement de champs). Cette fluctuation permet à chaque orateur de visualiser la force de conviction sur l`opinion
publique. L`animateur pourra fixer des modalités de débat :
- Reformuler systématique les propos de l`interlocuteur avant d`exprimer son opinion
IMPRO-CLAQUE !
Nombre de joueurs : 10 à 15
Matériel : Liste de thèmes
Déroulement : On joue à deux joueurs à la fois qui seront remplacés à tour de rôle. Les joueurs sont assis en cercle. L’animateur
choisit deux participants qui débuteront l’improvisation. Il leur assigne un thème et les participants débutent un dialogue
improvisé. Lorsque l’animateur tape des mains un des joueurs est alors remplacé. Le remplaçant continue l’improvisation.
PHILIPS 6.6
Variante 2 : Donner et comparer des informations. Dans un groupe chaque élève a un texte différent, par exemple un article de
journal, sur le même évènement. Chacun doit rapporter le contenu de l'article aux autres élèves. Puis ils comparent les versions
et notent les différences.
Variante 3 : Toute la classe bouge. Par groupe, les élèves travaille des aspects différents d`une problématique. Chaque groupe
étudie son sujet. L`enseignant fait changer les participants des groupes dans le sens des aiguilles d’une montre de la manière
que dans chaque groupe se retrouve un rapporteur de chaque sujet. Il faut explique son aspect de question aux autres membres
du groupe. On finalise l`activité par un exercice d`évaluation pour voir si tous les élevés possèdent les connaissances du sujet.
RÉSOLUTION DE PROBLÈMES (problem-solving debate) Les études de cas
Travail par groupe pour trouver la solution d`un problème social, politique, énigme (crimes, roman policier). La liste des
problèmes est à proposer.
Les étapes possibles du travail :
-Analyse de cause racine
- Observer les tentatives de résolution de problème employées jusqu'à maintenant
- Définir ce qu'il faut modifier précisément (objectif réaliste).
- Trouver toutes les solutions imaginables au problème posé sans se soucier du réalisme de ces solutions (brainstorming).
- Évaluer la meilleure solution.
Variante : désignez 3 « experts » qui seront chargés d’apporter des précisions lors du débat : chiffres, pourcentages…
Variante du format : STORYBOARDING METHOD / SCENARIMAGE
TÊTES NUMÉROTÉES.
Les élèves travaillent en équipes de quatre, et chacun porte un numéro de un à quatre. Dans le cas des équipes de trois, donner
deux numéros à un élève. S’il y a un élève en trop, demander à l’élève de déterminer qui lèvera la main en premier.
DÉBAT THÉÂTRALISÉ
Faire un débat, discuter, en attribuant un rôle spécifique à chaque élève. Par exemple dans un débat sur les fast food, les rôles
suivants peuvent être attribués : un diététicien, un patron de MacDonald’s, un jeune, un écologiste etc.
Variante : chaque élève a un carton indiquant le rôle qu'il a à jouer. Personne ne connaît le rôle des autres. Faire des débats et
deviner quel est le rôle de chacun.
CARTES DE DÉBAT
Les participants discutent autour de la question choisie à l'aide des cartes d'intervention (opinions, d`accord, désaccord,
proposer un nouveau argument, répondre, demander, rappeler l`information du texte etc.) qui leur sont distribuées. Chaque fois
que la personne parle, elle laisse sa carte au milieu de la table.
3. Posez sur la table des affirmations (plutôt que des questions) liées au sujet, sans les organiser.
4. Demandez aux élèves, en binômes de discuter de ce qui les fait réagir (je suis d’accord avec ça, pas d’accord avec ça, cette
affirmation pose tel problème, celle-ci et celle-là sont contradictoires…) Attention, il est souvent nécessaire de fixer un objectif
aux apprenants, pour les aider à se lancer : trouver vos points d’accord ou vos points de désaccord fonctionne presque à tous les
coups.
6. C’est à mon avis une méthode qui marche bien dans de petits groupes, et très bien en cours individuel. En effet, si l’apprenant
converse avec vous, vous pouvez facilement le provoquer, l’amener à se contredire, le pousser plus loin dans sa réflexion.
LA LIGNE
Variante : Cette activité peut être utilisée pour évaluer des compétences des participants et former des groupes homogènes
para rapport à ça.
Un trait est dessiné au sol. L'animateur demande aux participants de se positionner de chaque côté en fonction d'une
problématique. Il demande aux participants d'exprimer pourquoi ils ont choisi ce côté. Les participants s`échangent des
expériences et des points de vues.
Variante : Ainsi, une fois l’affirmation énoncée, on forme deux camps : les personnes « d’accord » vont à gauche, les « pas
d’accord » à droite. On donne alors un intervalle de temps à chaque groupe pour réfléchir et construire collectivement des
arguments pour défendre sa position, puis vient le moment où chaque camp présente ses arguments à l’autre groupe. Lorsqu’un
argument est jugé recevable et convainquant par un participant, celui-ci peut changer de camp.
Le but de chacun sera de trouver des arguments pour ramener le plus de monde possible dans son camp. L’animateur doit
veiller à ce que chaque camp s’exprime équitablement et qu’au sein d’un camp la parole circule.
LE GRO’DÉBAT
Phase 1 : Identifier le problème posé: on fait le tour des problèmes en demandant à chacun de s’exprimer sur quel est le
problème posé selon lui ou elle par la phrase posée sur la table.
Phase 2 : Définir l’idéal auquel parvenir. Lors de cette phase, les participants s’engagent dans la projection et s’expriment sur ce
qu’ils attendent dans l’idéal. Il s’agit ici de faire appel à l’imaginaire individuel afin de stimuler la construction d’un idéal collectif.
Phase 3 Formuler une proposition concrète: On ne se censure pas, on jette plein de pistes de propositions et on va vers de plus
en plus de concret.
PENSER-COMPARER-PARTAGER
• Annoncez une matière ou un problème de discussion à résoudre. (Exemple : Quelles sont les principales différences entre les
cellules végétales et les cellules animales ?)
• Donnez aux participant-e-s au moins 10 secondes pour PENSER à leur propre réponse.
• Demandez aux participant-e-s de former un duo avec la personne assise à côté d’eux pour COMPARER leur réponse ou
solution.
• En conclusion, faites appel aléatoirement à quelques duos pour PARTAGER leurs idées avec le groupe.
• Indiquer les créneaux d’horaires pour chaque étape, afin de vous assurer que les participants sont efficaces et qu’ils/elles
restent centrés sur la tâche.
TABLE RONDE
SIMULATION GLOBALE
Une activité de la production orale plus libre mais à partir de contrainte dans laquelle les apprenants eux-mêmes créent des
évènements et un contexte situationnel
des lieux-thèmes fixes et « clos » : l’île, le village, l’immeuble, une association de quartier, la ferme, le quartier d`une
grande ville, le plateau du cinéma ou de théâtre, l`école, la colonie de vacances,
des lieux-thèmes itinérants : l’expédition, le voyage, l`autocar, l’avion, le train, le grand garage
des lieux-thèmes mixtes : la croisière, le cirque, la guerre,
des lieux-thèmes avec des objectifs précis (cf. FOS) : la conférence internationale, l’entreprise, l’hôtel, hôpital, le
restaurant, le journal, le gouvernement, le salon, l`exposition, la plate-forme pétrolière, le parti politique, le syndicat, le
grand magasin, le supermarché
Variante 1 : modifier le point de vue, époque, situation, personnage, scène finale, dialogues, réinventer une histoire.
Variante 2 : un élève raconte une histoire. Les autres élèves doivent reconstituer l'histoire en remettant des images illustrant
l'histoire dans le bon ordre.
Variante 3 : racontez une courte anecdote aux élèves pas la terminer (visionner une vidéo sans montrer la scène finale). Les
élèves vous posent ensuite des questions pour trouver la fin de l`histoire.
Variante 4 : Les élèves doivent raconter/résumer une histoire en commun, en prenant à tour de rôle la parole. Un élève
commence l'histoire, en utilisant une phrase, un autre élève continue l'histoire avec une autre phrase. L'histoire finit lorsque
tous les élèves ont parlé.
TOUR DE TABLE
Chaque participant s'exprime le temps qu'elle/il veut sur le sujet du débat, à tour de rôle, jusqu'à ce que tout-e-s les participant-
e-s aient pris la parole.
Note : Pas mal, mais ça dépend de la taille de la table
Situation de communication :
Réagir face aux particularités d’une situation de communication (conflits, demander et expliquer des renseignements,
donner des instructions, répondre à une demande, résoudre un problème, convaincre, trouver et donner les infos)
Dialogue improvisé :
Improviser à partir d’une trame, de mots clés
Improviser un jeu de rôle autour d’une situation donnée
Dialogue dirigé :
Ecouter des dialogues et s’en inspirer pour créer des dialogues dans le même contexte ;
Remettre dans l’ordre des parties de dialogues découpées et mises dans le désordre pour travailler la composition des
dialogues;
Compléter des dialogues ;
Reconstruire des dialogues à partir de différentes options (choisir la bonne réplique à une phrase d’un dialogue posée
parmi les trois répliques proposées) ;
Construire des dialogues à partir d’indications données ;
Relancer le dialogue (par exemple : intervenir en cas d’interruption de la communication)
Interpréter des dialogues
Interviewer et répondre à une interview
Simuler un entretien (embauche, négociation, etc.)
Converser au téléphone
Lecture :
• Lire à haute voix avec modèle
• Lire à haute voix sans modèle
• Réciter une poésie
Mise en scène :
• Théâtraliser un dialogue ou un sketch
• Chanter
EO ÉVALUATION______________________________________________________________________________
Images : photo, design, bandes dessines ( mettre en ordre, donner des repliques) , reproductions artistiques ( critiquer,
analyser)
Chaque personne qui parle pose son stylo au milieu de la table, seulement quand tous les stylos sont au milieu on recommence.
Naufrage
Ile déserte
Qui vient diner ce soir ?
VOYAGE EN ORIENT EXPRESS (avec qui partager votre compartiment)
On part en voyage