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Introduction :
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Problématique et contexte :
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Présentation du thème :
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Programme :
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Programme du Dimanche le 15 Janvier 2017
9h : 1ère Intervention: Présentation du contexte touristique de l’île de
Djerba par M.Hamda ABDELLAOUI, Président de la Fédération
Tunisienne des Agences de Voyage
Intitulée par: “Impact du tourisme sur l’Île de Djerba”
10h20
Débat
:
13h30
Déjeuner
:
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Les travaux de l’atelier :
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1ère intervention intitulée
«Un mode d’occupation d’espace exceptionnel» présenté par M.
Houcine TOBJI, conservateur du Musée de patrimoine à
Guellelah
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En revenant sur l’occupation exceptionnelle du sol, M. Houcine a indiqué que ce
mode d’implantation fait partie de la conception et la gestion de l’espace d u
Djerbien, d’où un équilibre entre l’homme, la nature et l’espace.
M. Houcine a parlé, par la suite, des composantes de la « Houma » :
Le « Menzel » (le terrain qui inclut la ferme et l’habitat et autres composantes)
La « Tabia » (clôture)
Le « Houch » (la maison)
Le « Bir » (le puit)
L’atelier de tissage…
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Aussi, M. Houcine a parlé de la richesse du patrimoine cultuel (important
nombre de Mosquées avec une architecture vernaculaire exceptionnelle),
une richesse de la terre agricole (Autosuffisance : un choix qui s’impose),
richesse de faune et flore à sauvegarder (sites naturels)
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2ère intervention intitulée
«Présentation de l’aménagement du territoire et d’urbanisme de
l’ile de Djerba » présenté parM.Houcine DAGHFAS, architecte en
chef et sous directeur de l’aménagement urbain de la commune de
Djerba Houmt Souk et M. Abdelhamid GHRIBI, Ingénieur urbaniste et
ancien directeur technique de la commune de Djerba Houmt Souk
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Etape I (1963-1984)
Le premier plan directeur, établi en 1963 par le bureau d’étude « Scet
Tunisie », a abordé l’aménagement du territoire insulaire par une approche
globale.
-Le programme d’aménagement Touristique « ITALCONSULT », de 1976…
s’est essentiellement attaché à l’organisation de l’espace de la zone touristique
et à son équipement par l’infrastructure nécessaire à l’exploitation touristique de
l’île.
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Etape II Plan Directeur d’Urbanisme (PDU) de l’île de Djerba1985-1987
L’élaboration du PDU a été confiée à une structure déconcentrée,
dépendante de la Direction de l’Aménagement du Territoire. Le travail réalisé a
permit d’élaborer le Diagnostic et de mettre en évidence des scénarios
d’aménagement à l’échelle de l’île et pour les agglomérations principales.
Malgré la pertinence du dossier, celui-ci n’a pas fait l’objet de concertation
inter- départementale et a été classé sans passer aux phases ultérieures.
Pendant cette période, des études d’élaboration ou de révision de PAU ont été
réalisées pour diverses zones de l’île. L’intervention la plus importante a
touché la zone touristique.
En effet le Plan d’Aménagement de la zone Touristique (PAT) a subi de
profondes modifications qui consistaient en:
-une extension très importante des zones constructibles, souvent au dépend
des dunes et des zones humides, portant la capacité de 15 000 à 60 000 lits
environ.
-une forte densification de l’utilisation du sol (de 50 à 100 Lits/ha)
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L’intervention a été engagée dans un cadre plutôt flou pour les acteurs locaux,
sans clarification des motifs et des objectifs de la révision, démunie du rapport de
présentation nécessaire et s’apparentant plutôt à un énorme morcellement.
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Etape III (1990 à nos jours)
Suite à la refonte du code de l’urbanisme en 1994, l’étude du Schéma Directeur
d’Aménagement (SDA) de l’île de Djerba a été engagée selon les nouvelles modalités
du Code d’Aménagement du Territoire et d’Urbanisme (CATU).
Confiée à « Comète Ing. » en 1996 le périmètre de l’étude du SDA, qui englobait
Zarzis, était mal cadré dés le départ.
Après rectification formelle, le dossier présenté à plusieurs reprises aux autorités
locales et régionales, n’a pas réussi à recueillir le consensus indispensable pour le
passage de l’étude à la phase définitive.
Les principaux griefs consistaient en:
- la prise en comptes insuffisante des spécificités insulaires
- le déficit de coordination avec les organes concernés
- l’utilisation d’une cartographie largement dépassée et d’échelle inadéquate
Les anomalies n’ont pas été corrigées et l’île demeure dépourvue de SDA jusqu’à nos
jours.
En parallèle de nombreuses études d’élaboration ou de révision de PAU ont été
conduites indépendamment les unes des autres. Le partage de l’île en trois communes
étant bel et bien consommé, la coordination intercommunale a du mal à s’établir. La
cohésion territoriale insulaire laisse alors à désirer comme l’illustre la procédure suivie
pour l’approbation du PAT. En effet la partie du PAT située dans la commune de
Midoun a été approuvée par arrêté en 1997 (bien que la procédure d’approbation soit
entachée d’irrégularité) tandis que l’autre partie revenant à Houmt souk demeure à ce
jour non approuvée.
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Par la suite, M. Houcine Daghfas a présenté la répartition des PAU
sur l’île par commune.
SURFACE TOTAL E DE LA
19400 100%
COMMUNE
SURFACE TOTALE DE LA
14400 100%
COMMUNE
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M. Abdelhamid GHRIBI a ensuite souligné les impacts de la gestion
territoriale de l’île jusqu’à présent: explosion du marché foncier, extension
des constructions anarchiques, atteintes au paysage agricole et
minéralisation progressive des zones naturelles … Ainsi, il a cité quelques
orientations possibles assez urgentes : outil d’aménagement adéquat mais
aussi de développement, adaptation de l’île de Djerba au changement
climatique, la mise en place d’une autorité coordinatrice du développement
pour :
-Mettre en place un cadre de cohérence de gestion du territoire pour la
totalité du l’île.
-Assurer une meilleure cohérence entre les différents documents de gestion
des sols dans l’île.
Partant du fait que l’île est une entité géographique les interventions des
aménageurs doivent par conséquent s’inscrire dans un cadre global
incluant tout son espace, en tenant compte de ses contraintes et de ses
potentialités intrinsèques.
Le défaut prolongé d’un schéma directeur d’aménagement pénalise le
développement équilibré de l’île et complique l’action des divers acteurs.
La relance de l’étude dans les meilleurs délais doit être inscrite parmi les
actions prioritaires. La méthodologique à suivre doit promouvoir une
approche décentralisée participative et pluri disciplinaire tenant compte de
la spécificité insulaire. La
Base de données : compléter la photo satellitaire et la cartographie
disponibles. Financement : multipartite, entre administration et coopération
décentralisée (assistance matérielle et immatérielle)
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3ère intervention intitulée
«Nouvelle approche d’élaboration du SDA : cas spécifique de
l’ile de Djerba »présenté parM. Fathi HASSINE, architecte général,
directeur général de l’aménagement du territoire au ministère de
l’équipement
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-Les espaces naturels à protéger;
-La localisation des principales activités économiques et sociales et des
principaux équipements d’intérêt général;
-L’organisation générale de la circulation et des transports avec le tracé des
principales infrastructures, des voies et les moyens de transport en site
propre;
-Les réseaux principaux d’énergie, d’eau, d’assainissement, de
communication et les systèmes d’élimination des déchets.
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Face à tout cela :
Lîle est gérée sur la base d’une multitude de PAU qui couvrent
les villes principales (Houmet-Essouk, Midoun, Ajim, Sedouikech,
Elmay, Guellala, Erriadh, etc..) et la zone touristique, ainsi que les
plus petits noyaux urbains.
Ces PAU sont sensé délimiter les zones urbaines et celles à
urbaniser mais vu la spécificité de l’occupation de l’espace à
Djerba, cette délimitation est très aléatoire.
Les zones non couvertes par les PAU qui sont sensés être gérés
sur la base du RGU qui n’est pas adapté au mode d’occupation
de l’espace à Djerba, le sont sur la base d’une vieille disposition
insérée dans le règlement de voirie de l’île (2500 m2 pour
construire en dehors des zones urbaines).
Rien ne lie les PAU et les autres outils de gestion de l’espace et
les mettent en cohérence . Le SDA élaboré pour Djerba date
d’’une 15ène d’années et est ignoré aussi bien par les
planificateurs que par les gestionnaires de l’espace urbain qui ne
s’en ont pas appropriés.
L’ensemble de l’île de Djerba a certainement besoin d’un cadre
de cohérence.
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Après la 3ème intervention, M. Faouzi a appelé Mme. Donia
TURKI (Expert PNUD, Architecte de formation) pour présenter le
cadre du projet « Plan de Développement Local de l’Île de
Djerba »
Mme Donia a raconté l’historique du projet : 1er Atelier :
Mobilisation des localités et la société civile à poser les
problématiques.
2ème Atelier : Les participants était appelés à dresser l’arbre
problème-solution ; où ils ont pu identifier des solutions possibles.
3ème Atelier : Le travail consistait à la rédaction des actions
proposées par les participants.
Le projet « Plan de Développement Local de l’Île de Djerba » est
actuellement en phase de rédaction de rapport afin de déterminer
les actions prioritaires et les participants auront d’ici début Février
le Feedback.
Suite à une question posée concernant le critère de choix des
participants, Mme Donia a répondu que le PNUD travaille déjà
sur la zone Médenine Tataouine, et il n’y avait pas vraiment un
critère puisque tout le monde peut participer notamment : la
société civile, les communes, le secteur de l’artisanat, du
tourisme… L’approche intégrée du PNUD n’élimine aucun
secteur.
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La visite guidée
La visite de l’Île de Djerba s’est déroulée comme l’indique l’itinéraire
suivant avec un premier arrêt au Musée de patrimoine de Guellela, un
deuxième arrêt à la Mosquée Sidi Jmour et un dernier arrêt à la Grande
Mosquée (Bou Mesouer)
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Premier arrêt au Musée de patrimoine de Guellelah
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Deuxième journée : Dimanche le 15 Janvier 2017
1èreintervention intitulée :
« Présentation du contexte touristique de l’ile de
Djerba » présenté par :
M. Hamda ABDELLAOUI : président de la fédération
des agences de voyage.
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2èreintervention intitulée :
« Approche comparative de l’aménagement territorial des iles cas de
l’ÎLE-DE-RÈ» présenté par :
M. Bernard WAGON: Architecte-Urbaniste, gheco - France
L’ÎLE-DE-RÈ était reliée au continent par un bac jusqu’à 1990. Elle représentait la
défense de la Rochelle, sa structure de fortification est actuellement inscrite au
patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle se caractérise par son paysage agricole et
son architecture vernaculaire. L’ÎLE-DE-RÈ a vécu un ensemble d’action qui ont
permis la protection de l’Île :
-Classement de Monuments Historiques depuis la fin du 19 ème siècle (Accord du
Ministère de la Culture requis pour toute modification)
-Abords des monuments protégés sur 500 mètres
-1970-1980: les POS (plans d’occupation des Sols)
-1979 : Site Inscrit toute l’île (Avis de l’Architecte des Bâtiments de France requis)
-Ensuite Site classé sur la partie agricole et naturelle (le site ne peut être altéré sans
l‘accord du Ministre de l’Environnement)
-1981: les lois du 7 janvier 1983, du 22 juillet 1983, et la Loi de décentralisation vont
répartir les compétences entre l'État et les collectivités territoriales et instaurer le
transfert de ressources.
-Création des SCOT (Schémas de Cohérence Territoriale), dispositif intercommunal
qui cadre les PLU
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Pendant la présentation de l’ensemble des actions et des lois, M. Bernard
a insisté sur le fait que le Plan d’Occupation du Sol ne doit pas gaspiller le
paysage mais plutôt le préserver. Ensuite, il a fait référence à l’obligation
de concertation afin de respecter la volonté de la commune et de réduire
les intérêts personnels. L’approche de l’introduction du PADD (projet
d’Aménagement et de Développement Durable : énoncé des choix
politiques débattu avant la finition du PLU) est aussi très importante pour
la réduction de la consommation d’énergie non renouvelable dans le
terrain et la protection de la planète.
ECONOMISER L’ESPACE
Les évolutions récentes de la tache bâtie : renforcer les centres anciens
compacts et densifier les extensions récentes plus lâches.
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Densifier dans les « vides » des espaces déjà fortement urbanisés,
tout en préservant des espaces verts et des places publiques.
1980
2011
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M. Bernard WAGON a ensuite mis l’accent sur la population de L’ÎLE-DE-RÈ et
le besoin de logement prévu par le SCOT dont un parc de logements qui est
composé à 61,5 % de résidences secondaires contre 36,3 % de résidences
principales (INSEE).
Les objectifs visés sont :
-d’adapter l’offre de logements au besoin de la population résidente, et
particulièrement des jeunes rétais confrontés aux prix élevés du marché
immobilier de l’Ile ;
-de réduire les potentialités de constructions de résidences secondaires
par le développement d’un parc résidentiel spécifique et maîtrisé.
En corollaire à cette croissance démographique, le SCOT prévoit la création
d’équipements et de services publics, dans le but d’assurer une offre adaptée à
la population résidente actuelle et future.Par ailleurs, M. Bernard a fait
remarquer que le SCOT a développé le niveau d’emplois existants sur l’Ile par
la programmation de zones d’activités artisanales et de services, par le maintien
de l’activité agricole et des activités primaires liées aux marais, et par le
développement d’une stratégie touristique globale définit dans le Schéma de
Développement Touristique.
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PRISE EN COMPTEDURESIDUEL CONSTRUCTIBLE
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Carte des espaces « résiduels» (cents creuses) pour évaluer la capacité
d’accueil (Lacanau, 33)
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M. Bernard a également exposé une autre présentation intitulée « Aire de mise
en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine (A.V.A.P)».
Il lui est apparu important de mettre l’accent sur l’importance de faire connaître
les édifices classés par des panneaux, ainsi que la servitude constituée par la
Zone de Protection Architecturale et Urbaine (ZPPAU).
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Il a ensuite rappelé les critères et les éléments référents le contenu patrimonial, en
prenant en compte de protéger l’architecture vernaculaire par une continuité de style
« On la démolie pas mais on peut la modifier ».
M. Bernard a clôturé son intervention par quelques recommandations:
1-Nommer les éléments historiques majeurs
2-Définir les critères d’intérêt patrimonial
3-Qualifier le patrimoine par type
4-Dresser la carte du patrimoine
5-Evaluer les abords du bâti recensé, les continuités et les entités.
Tout en insistant sur l’importance de communiquer avec la population.
CARTES DE SYNTHESEDU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE
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Le débat :
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Mme Inchirah HABABOU a mis en évidence la valeur très
importante des monuments de l’île de Djerba et a encouragé la
procédure d’un Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur (PSMV).
Par la suite, M. Houcine TOBJI a signalé le problème majeur de
l’intervention superficielle sur le patrimoine ; là où on a tendance à
avoir des pensées nostalgiques de ressusciter l’histoire. Il faut donc, à
son avis, s’inspirer de l’esprit, pas de la forme.
M. Fathi HASSINE a parlé d’une stratégie de développement intégré
à l’île de Djerba basée sur une approche participative qui prendra en
considération la richesse patrimoniale et une implantation touristique
mieux maitrisée. En étant responsable du lancement de l’appel d’offre
de l’élaboration du SDA, M. Fathi HASSINE a exprimé sa volonté de
faire participer l’AAJ à la rédaction des thermes de références du
SDA.
Puis, il a insisté sur la possibilité d’intégrer l’approche de PNUD et les
autres intervenants au projet ainsi que l’obligation d’entrainer l’état à
travailler avec la société civile.
Par la suite, M. le vise président de l’Ordre des Architectes
Tunisiens (OAT) a défini le rôle de l’architecte d’après les articles de
la loi en étant « concevoir le cadre de vie, séjour et activité de l’être
humain », tout en faisant référence à la limitation de ce rôle sur le
plan pratique.
M. Lotfi RJAB est intervenu pour dire que le rôle de l’architecte est, à
son avis, de créer des émotions. Puis, il a signalé l’importance d’agir
sur l’île par rapport l’empreinte écologique tout en ramenant à une
économie verte basée sur la production d’énergie.
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Recommandations :
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Rapport Photographique de l’atelier :
Première journée
Samedi le 14 Janvier 2017
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Photos prises pendant l’intervention de M. Houcine TOBJI
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Photos prises pendant l’intervention de M.
Abdelhamid GHIRBI, et M. Houcine DAGHFAS
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Photos prises pendant l’intervention de M. Fathi HASSINE
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Deuxième journée
Dimanche le 15 Janvier 2017
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Photo de groupe
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