Resume Introduction Au Droit-1

CEJEC JURIS-CONSULTING & SERVICES SARL
Cabinet d’expertise juridique

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
Contacts : (229) 97 64 81 85 / 95 79 58 71 ; E-mail : contact@groupecejec.com
Site web : groupecejec.com
RESUME INTRODUCTION AU DROIT

Le droit est une discipline d’organisation sociale. Il est un art du bon et de l’équité qui signifie
en latin « jus est ars et aequi ».
Le droit est un mot polysémique pouvant se définir sur deux angles : le droit objectif et les droits
subjectifs.
Première partie : Le droit objectif

Le droit objectif est l’ensemble des règles qui régissent la vie en société dont l’inobservation
est sanctionnée par la puissance étatique.
Les sources du droit

Les sources du droit peuvent être rangées en deux catégories : les sources directes et les sources
indirectes.
1- Les sources directes

Les sources directes du droit regroupent la coutume et la loi.
On entend par coutume l’ensemble des pratiques, des habitudes, des usages répétés appliqués
dans une communauté dont l’autorité est reconnue par tous.
La loi peut être définie sur deux sens : la loi au sens strict et la loi au sens large.
Au sens large, la loi est une norme impérative adoptée par un organe étatique compétent (décret,
arrêté décanal, arrêté ministériel).
Au sens strict, la loi est l’ensemble des normes impératives émanant du pourvoir législatif.
Exemple : le code des personnes et de la famille, la constitution, le code pénal.
La procédure d’élaboration de la loi se déroule en cinq étapes :
L’initiative
Elle appartient concurremment au Président de la République sous forme de projet de loi et
aux membres de l’assemblée nationale sous forme de proposition de loi. Le vote
Il s’effectue en session plénière à l’assemblée nationale dont l’adoption varie suivant leurs
formes de lois qu’elle soit ordinaire ou organique.
BSIC BENIN : N° de compte : BJ 107 01104 000100100077 92 Intitulé : CEJEC JURIS-CONSULTING & SERVICES SARL
Votre sécurité juridique, notre priorité

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
On attend par loi ordinaire une loi qui a pour objet de régir les comportements des individus
dans la société. Elle est adoptée à la majorité absolue des membres à la session.
La loi organique est une loi qui complète les dispositions constitutionnelles régissant le
fonctionnement d’une institution de la république. Elle est adoptée à la majorité absolue des
membres composant l’assemblée nationale. Le contrôle de la constitutionalité
C’est la procédure par laquelle le juge constitutionnel déclare une loi votée par l’assemblée
nationale conforme ou non à la constitution. La promulgation
C’est l’acte par lequel le président de la république met en vigueur une loi votée par l’assemble
nationale et conforme à la constitution.
La publication au journal officiel

La publication permet aux citoyens d’être informés des lois promulguées et suit la procédure de
jours francs.
2- Les sources indirectes :
- La jurisprudence : est l’ensemble des décisions concordantes rendues par les tribunaux et
cours dans une matière donnée, à un moment déterminé.
- La doctrine : est l’ensemble des opinions émises par des praticiens de droit.
Le caractère de la règle de droit

• Le caractère général : la règle de droit s’applique à tous ;
• Le caractère permanant : la règle de droit reste en vigueur de son adoption jusqu’à son
abrogation ;
• Le caractère obligatoire et coercitif : la loi s’applique à tous et sa violation engendre des

sanctions.

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
 Les finalités du droit

Il existe deux grandes catégories de finalité du droit : les finalités d’ordre moral et d’ordre social.
Les finalités d’ordre moral regroupent :

 la justice et
 l’équité.
Celles d’ordre social regroupent :
 la paix sociale et
 la sécurisation des transactions.
Sous terme : Les modalités d’application de la loi

Les lois promulguées et publiées au journal officiel suivent deux procédures liées à leur mise
en œuvre : l’application dans l’espace et l’application dans le temps.
I- L’application de la loi dans l’espace

L’application de la loi dans l’espace suit un principe (A) et admet une exception (B)
A- Le principe de l’application de la loi dans l’espace
Par principe, une loi qui est adoptée par l’Etat s’applique sur toute étendue du territoire de cet
Etat. En effet, le principe de l’application de loi dans l’espace exige que la loi qui est adoptée
soit appliquée dans la situation géographique, la sphère géographique de l’Etat ou de l’autorité
qui là adoptée. Toutefois, ce principe admet une exception qui convient de mettre en exergue.
B- L’exception à l’application de loi dans l’espace

La loi adoptée par un Etat ne doit en principe pas s’appliquer sur le territoire d’un autre sans
porté atteinte à la souveraineté de cet Etat. Mais en cas d’intervention d’un élément d’extranéité,
lorsqu’un sujet, un citoyen d’un Etat résidants sur le territoire d’un autre demande application
d’une loi de son Etat, le juge peut en faire une application. Ainsi donc l’exception au principe
d’application de la loi dans l’espace est le droit international privé. L’application est sollicitée
généralement en cas de mariage, de divorce ou de succession… qui constitue quelques éléments
d’extranéité. Outre l’application de la loi dans l’espace, elle s’applique également dans le temps.
II- Application de la loi dans le temps

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
Contrairement à l’application de la loi dans l’espace, son application dans le temps suit un
principe et admet des exceptions.
A- Le principe de l’application de loi dans le temps

Il est établi par l’article 2 du code civil qui dispose « la loi ne dispose que pour l’avenir ; elle
n’a point d’effet rétroactif ». En effet selon ce principe, une nouvelle loi qui entre en vigueur
n’a pour effet que de régler les situations à venir. Ce principe fait échec à l’application d’une
nouvelle loi à une situation antérieure à son adoption. Néanmoins, il admet 04 exceptions dans
laquelle la nouvelle peut rétroagir.
B- Les exceptions de l’application de la nouvelle loi dans le temps

Le principe de l’application de loi dans le temps admet 04 exceptions dans laquelle la nouvelle
loi peut rétroagir :
• Les interprétatives ;
• Les lois pénales les plus douces ;
• Les lois de procédures ;
• Les lois expressément votées par législateur peut rétroagir.
Article 44 du projet d’acte uniforme portant droit des obligations :

« L’offre devient caduque à l’expiration du délai fixé par son auteur ou à l’expiration d’un délai
raisonnable. Elle devient aussi caduque en cas d’incapacité ou du décès du sollicitant »
I- La caducité de l’offre liée au délai

A- L’expiration du délai fixé par son auteur
B- L’expiration du délai raisonnable
II- La caducité de l’offre liée à la personne du pollicitant
A- L’incapacité du pollicitant
B- Le décès du pollicitant

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
Les rapports entre le droit et les autres disciplines d’organisation sociale

Droit et la religion
L’organisation sociale est régie par des disciplines qui émanent soit de la volonté des individus
vivant dans la société, le droit, ou celle du créateur, la religion.
Le droit est l’ensemble des règles qui régissent la vie en société et dont l’inobservation est
sanctionnée par la puissance étatique tandis que la religion est la croyance en un être suprême
et fondée sur la foi. Ces deux disciplines d’organisation sociale entretiennent des rapports de
convergences mais aussi de divergences.
Les rapports de convergences

Le droit et la religion convergent sur le point de leur but. En effet, le droit vise la justice, l’équité,
la paix sociale et la sécurisation des transactions alors que la religion recherche le bienêtre de
tous les individus vivant dans la société. Les finalités de ces deux disciplines convergent en ce
que ces deux disciplines visent l’organisation sociale, la paix dans la société. Que peuton dire
alors de leur point de divergence. Rapport de divergences
Malgré que les deux disciplines aient les mêmes finalités, elles s’opposent essentiellement sur
deux plans. D’une part, leur émanation ou origine et d’autre part au regard de leur sanction en
cas de violation.
Les règles de droit émanent de la volonté des individus d’organiser la vie en société. Leur
élaboration sur une procédure bien déterminée qui débute par l’initiative et s’achève à la
publication. Tandis que les règles religieuses émanent de la volonté de Dieu, de son intention
d’organiser la vie en société, d’assouvrir son dessein sur l’homme.
La notion du droit énonce qu’en cas d’inobservation des règles régissant la vie en société, la
puissance étatique interviendra pour sanctionner. Un organe étatique, le pouvoir judiciaire est
compétent pour agir dans ce cas. Les sanctions varient qu’elles s’agissent de la répression et de
la réparation. Tandis que la violation des règles religieuses est conditionnée la recherche du

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
paradis. Ainsi, lorsque les règles religieuses sont violées, la personne fautive n’est sanctionnée
qu’après son décès.
Le droit et la morale
Le droit et la morale comme le droit et la religion entretiennent des rapports de convergences
mais aussi des rapports de divergence.
• Rapports de convergences
La morale est la science qui permet de distinguer le vrai du faux, le bien du mal, ... Elle vise
une paix permanente entre les individus dans la société. Ce but rechercher converge avec celui
du but du droit. Néanmoins, elle s’oppose sur certain plan. Rapport de divergence
La morale énonce que « qui tue par l’épée périra par épée ». La sanction en cas de violation des
règles de la morale émane de la nature. La conscience humaine est dérangée. Cette sanction
s’oppose à celle en cas de violation des règles de droit qui soit est l’emprisonnement ou
l’obligation de réparation.
• Les branches du droit :

Le droit privé est l’ensemble des règles juridiques qui régissent les rapports entre les particuliers
ou avec les collectivités privées (association, société, …) et qui assure prioritairement la
sauvegarde des intérêts individuels. Il comporte le droit civil et le droit commercial.
Le droit public est l’ensemble des règles juridiques qui régissent les rapports de droit entre Etats,
entre Etat et Organisation Internationale ou entre Etat et particuliers. Il régit l’organisation de
l’Etat et des collectivités publiques ainsi que les rapports avec les particuliers. Le droit public
comporte principalement le droit constitutionnel, le droit administratif, les finances publiques
et le droit fiscal, les libertés publiques. Ce droit diffère du droit privé par une finalité différente,
un caractère impératif et les privilèges reconnus à l’administration. Les contraintes possibles et
les juridictions différentes.
• Distinction entre droit international privé et droit international public

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
Le droit international privé est celui qui régit les rapports des particuliers entre eux lorsqu’il
existe un élément étranger tandis que le droit international public considérer comme le droit des
gens contient les règles applicables dans les rapports des Etats entre eux et défini l’organisation,
le fonctionnement, la compétence, et les pouvoir des organisations internationales.
• L’organisation judiciaire au Bénin

Une juridiction est un organe créé par la loi pour trancher des litiges en droit et dont la décision
a une autorité qui s’impose aux parties au litige.
Ainsi, le Benin dispose à son actif des Tribunaux de Première Instance (TPI), des Cours d’appel
et une Cour Suprême pour l’ordre judiciaire de droit commune.
Il existe aussi des juridictions d’exception telles que la Cour de Répression des Infractions
Economiques et du Terrorisme, Haute Cour de Justice, les juridictions commerciales, …
• Les acteurs judiciaires au Bénin

Le système judiciaire au Bénin est animé par des acteurs à divers niveaux que sont les
magistrats, les greffiers et les auxiliaires de justice.
En effet, les magistrats sont des fonctionnaires qui exercent des fonctions d’autorité au nom de
l’Etat. Ils sont formés par l’Ecole Nationale d’Administration et de la Magistrature (ENAM).
Selon l’article 4 de la loi N°2001-37 du 10 juin 2002 portant organisation judiciaire au Benin,
les magistrats sont nommé par décret pris en Conseil des ministres.
Les Greffiers et officiers de justice sont des agents permanant de l’Etat. Ils exercent deux
fonctions essentielles. La première, la plus visible est d’assister les magistrats aux audiences et
dans toutes les procédures contentieuse ou gracieuse. La deuxième fonction est d’assurer
l’ensemble des services administratifs des juridictions.
Les auxiliaires de justice Benin sont les avocats, les huissiers de justice, les notaires et les
commissaires-priseurs.

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
Deuxième partie : Les droits subjectifs

Les droits subjectifs sont l’ensemble des prérogatives que le droit objectif confer à un sujet de
droit.
Ils ont généralement deux sources : l’acte juridique et le fait juridique

• L’acte juridique est toute manifestation de volonté produisant des effets de droit.
Exemple : le contrat, le mariage, le testament.
Le contrat, selon l’article 1101 du code civil de 1804, est « une convention par laquelle une ou
plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner, à faire ou à ne pas fait
quelque chose ».
Selon l’article 1101 du code civil français de 2018, le contrat est « un accord de volonté entre
deux ou plusieurs personnes destinées à créer, à modifier, à transmettre ou à atteindre des
obligations ».
Le mariage selon la doctrine est un acte juridique solennel entre un homme et une femme et qui
établisse entre eux par une union et dont la loi civile règle impérativement les effets de sa
dissolution.
• Le fait juridique est tout évènement susceptible de produit des effets de droit (le décès,
les accidents de circulation, la naissance…)
Les preuves
Elle intervient en cas de saisine des juridictions par une action en justice.
Selon l’article 30 du CPCCSAC (code de Procédure Civile Commerciale Sociale Administratif
et des Comptes) l’action en juste est le droit « le droit pour l’auteur d’une prétention d’être
entendu sur le fond de celle-ci afin que le juge la dise bien ou mal fondé ». A la suite de la saine
de la juridiction, le demandeur doit prouver ses prétentions. On dit en latin « Actori incumbit
probatio » (la charge de la preuve incombe au demandeur). Toutefois, cette charge de la preuve
peut être renversée dans certaines conditions où le défendeur serait appelé à apporter la preuve
de l’exécution de ses obligations. Le patrimoine

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
C’est l’ensemble des biens et des dettes d’une personne considérée comme une universalité de
droit. Il existe deux types de patrimoine : les droits patrimoniaux et les droits extrapatrimoniaux.
On attend par droits patrimoniaux, l’ensemble des droits subjectifs d’une personne ayant une
valeur pécuniaire, pouvant être évaluable en argent (ex : les droits réels et les droits personnels).
Ils sont caractérisés par : la cessibilité, la saisissabilité, la transmissibilité, la presciptibilité.
On entend par droit extrapatrimoniaux, les droits subjectifs ayant des valeurs non pécuniaires,
ne pouvant être quantifiable en argent (ex : la dignité, le droit d’auteur, l’honneur...). Ils sont
caractérisés par : l’incessibilité, l’insaisissabilité, l’intransmissibilité, l’imprescriptibilité. Les
droits réels et les droits personnels
On entend par droit réel le droit qui porte directement sur une chose, un pouvoir dont une
personne est titulaire sur cette chose. Par exemple le droit de propriété est un droit réel, il donne
à son titulaire les pouvoir les plus complet sur une chose. On distingue alors les droits réels
principaux et les droits réels accessoires. Par les droits réels principaux, sont constitués du droit
de propriété et les démembrements de ce droit. Les droits réels accessoires sont des droits réels
sur une ou plusieurs choses appartenant à son débiteur. Ce sont des suretés réelles en ce qu’elle
assure l’exécution de la créance en exerçant un pouvoir sur une chose.
Les droits personnels sont des obligations qui s’exercent contre une personne. C’est e droit
dont une personne appelée le créancier est titulaire contre une autre personne, appelée le
débiteur, lui conférant le pouvoir de contraindre celle-ci à faire ou à ne pas faire quelque chose
à son profit.
Les biens
Le bien est toute chose susceptible d’appropriation. De la summa divisio des biens, on distingue
: les biens meubles et les biens immeubles.
On entend par bien meuble, tout bien qui peuvent être déplacé ou qui peut être déplacé. En autre
terme, ce sont des biens qui se meuvent ou qui peut être mus.

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
Il existe 03 catégories des biens meubles : les biens meubles par nature (le cahier, la montre, la
moto…), les biens meubles par anticipation (les céréales, maïs ….), les biens meubles par
détermination de la loi (les actions, les parts sociales…)
On entend par bien immeuble tout bien qui ne se déplace pas ou qui ne peut pas être déplacé.
Il existe 03 catégories des biens immeubles :
• Immeuble par nature (la terre, les arbres, le bâtiment.)
• Immeuble par destination (la lampe, brasseur…). Pour qu’un bien devienne un
immeuble par destination, il faut qu’il remplisse deux conditions cumulatives :
unicité du statut juridique et le lien de destination.

• Immeuble par objet auquel ils s’appliquent. Ils sont des actions immobilières.
 Le testament
Le testament est un acte par lequel le testateur dispose, pour le temps après sa mort, de tout ou
partie de ses biens, et qu’il peut révoquer. Il existe 03 types de testament :
Le testament authentique : c’est celui qui est rédigé par le notaire et signé par le testateur
en présence d’autres notaires ;
Le testament mystique : c’est celui qui est rédigé intégralement par le prestataire
présenté sous plis fermé au notaire qui appose son sceau et sa signature ;
Testament olographe : le mois coûté est rédigé, daté et signé par le prestataire.
 Les droits mobiliers et les droits immobiliers
Les droits mobiliers, l’article 527 du code Civil prévoit deux catégories de meubles : les biens
meubles par natures et les biens meubles par la détermination de la loi. L’article 529 du C.Civ
énumère les droits mobiliers parmi lesquels on a les actions et les actions des intérêts des
associés selon le type de société commerciale.
Les droits immobiliers selon l’article 526 du C.civ sont immeubles, par l’objet auquel il
s’applique, l’usufruit des choses immobilières, les servitudes ou services fonciers, les actions
qui tendent à revendiquer un immeuble. On devrait ajouter le droit d propriété portant sur un

RCCM : RB/COT/20 B 27542 IFU : 3002011696818
immeuble, l’emphytéose (les droits réels principaux sur un immeuble), l’hypothèque (les droits
réels accessoire portant sur un immeuble), l’action pétitoire (tendant à revendiquer la propriété
d’un immeuble), l’action possessoire (par laquelle une personne entend faire cesser le trouble
subit dans sa possession de l’immeuble).

Resume Introduction Au Droit-1

Transféré par

Informations du document

Titre original

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Resume Introduction Au Droit-1

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

CEJEC JURIS-CONSULTING & SERVICES SARL

Cabinet d’expertise juridique

RESUME INTRODUCTION AU DROIT

Première partie : Le droit objectif

Les sources du droit

1- Les sources directes

Votre sécurité juridique, notre priorité

La publication au journal officiel

2- Les sources indirectes :

Le caractère de la règle de droit

• Le caractère obligatoire et coercitif : la loi s’applique à tous et sa violation engendre des

Votre sécurité juridique, notre priorité

 Les finalités du droit

Les finalités d’ordre moral regroupent :

Sous terme : Les modalités d’application de la loi

I- L’application de la loi dans l’espace

B- L’exception à l’application de loi dans l’espace

Votre sécurité juridique, notre priorité

A- Le principe de l’application de loi dans le temps

B- Les exceptions de l’application de la nouvelle loi dans le temps

Article 44 du projet d’acte uniforme portant droit des obligations :

I- La caducité de l’offre liée au délai

Votre sécurité juridique, notre priorité

Les rapports entre le droit et les autres disciplines d’organisation sociale

Les rapports de convergences

Votre sécurité juridique, notre priorité

• Les branches du droit :

• Distinction entre droit international privé et droit international public

Votre sécurité juridique, notre priorité

• L’organisation judiciaire au Bénin

• Les acteurs judiciaires au Bénin

Votre sécurité juridique, notre priorité

Deuxième partie : Les droits subjectifs

Ils ont généralement deux sources : l’acte juridique et le fait juridique

Votre sécurité juridique, notre priorité

Votre sécurité juridique, notre priorité

unicité du statut juridique et le lien de destination.

Votre sécurité juridique, notre priorité

Votre sécurité juridique, notre priorité

Vous aimerez peut-être aussi