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Master : Commerce International

Module : Méthodologie de recherche

Passage du GATT à l'OMC :


Évolution du Commerce International

Réalisé par :
Taher FRIMI
t.frimi01@gmail.com

Enseignante:
MM. Hafssa YERROU

Année universitaire : 2023/2024

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Résumé

Cette recherche vise à examiner la transition du GATT à l'OMC. Elle débute


par une introduction succincte du GATT post-Seconde Guerre mondiale, se
focalisant ensuite sur des moments clés de son évolution tels que le Cycle d’
Uruguay et la fondation de l'OMC en 1995. La Conférence ministérielle, la
structure, et la composition de l'OMC seront également abordées. Nous
explorerons les principes, les rôles, et les récents développements en matière
de règlement des différends. En conclusion, nous mettrons en exergue
l'importance de cette transition dans le contexte du commerce international.
Mots clés
GATT, OMC, Cycle d’Uruguay, Conférence ministérielle

Introduction
Le GATT, acronyme pour « Accord général sur les tarifs douaniers et le
commerce », constitue un accord provisoire visant à régir le commerce
mondial de marchandises, c’est un cadre de négociations crée en 1947, peu
après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le GATT n’est considéré comme
une organisation mais plutôt comme un ensemble de règles - un ensemble de
lois – régissant le commerce international. Cet accord a pour objectif de
promouvoir la libéralisation des échanges, de réduire les barrières douanières,
de limiter les obstacles et de faciliter les échanges. Au départ, les
négociations du GATT étaient principalement axées sur la réduction des taux
de droits applicables aux marchandises, mais elles ont été progressivement
étendues et élargies pour inclure des domaines variés tels que l'agriculture, les
services et la propriété intellectuelle. Les pays contractants ont décidé de se
rassembler d’une manière permanente pour encourager d'autres nations à se
joindre aux négociations. Ces rassemblements étaient organisés sous forme de
cycles de négociations, tels que les cycles de Genève, d'Annecy, de Kennedy,
d'Uruguay, de Marrakech et de La Havane. Cependant, étant donné que le
GATT restait essentiellement un accord entre pays, l'absence d'une hiérarchie
bien structurée et la multiplication des conflits ont rendu inévitable la création
d'une organisation spécialisée dotée d'une personnalité juridique.
Les sections ci-dessous sont réservées pour traiter plus en détail ce qui
précède.

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1. Le GATT, l’ancêtre de l’actuelle OMC
Le GATT était à son huitième cycle de négociations commerciales,
également connu sous le nom d'Uruguay Round. Ces pourparlers, les plus
ambitieux de l'histoire du GATT, se déroulaient sous l'objectif apparent de
réglementer le commerce international il préparait la plus grande révolution.
Suscitant l'enthousiasme des PDG des entreprises qui dominaient l'économie
mondiale. Il convient de noter que, malgré l'apparente fortuite des
événements, rien n'est le fruit du hasard.
1.2. Uruguay Round
L’Uruguay Round est une étape clé dans le développement du GATT, ce
cycle de négociation a duré sept ans de 1986 à 1994. 123 pays ont participé
au Cycle d'Uruguay. C'était une collaboration internationale majeure pour
réformer et élargir les règles du commerce mondial, et qui a abouti à la
création de l’OMC. Pendant l'Uruguay Round, d'importantes négociations
commerciales ont eu lieu, couvrant divers domaines tels que les tarifs
douaniers, les services, la propriété intellectuelle, et l'agriculture.
En seulement deux ans, les participants ont réussi à conclure un accord
portant sur des réductions des droits d'entrée perçus sur les produits tropicaux,
principalement exportés par les pays en développement. De plus, ils ont
convenu que les politiques commerciales des membres du GATT devraient
faire l'objet de rapports périodiques, une initiative visant à accroître la
transparence des régimes commerciaux à l'échelle mondiale. Malgré l'échec
qui semblait inévitable à un moment donné, le cycle d'Uruguay a finalement
conduit à la réalisation de la plus grande réforme du système commercial
mondial.

2. L’Organisation Mondiale du Commerce


L’OMC, qui signifie « Organisation Mondiale du Commerce », créée à
l’issue de l’Uruguay Round, par les accords de Marrakech en 1994. L’OMC
entre en fonction en 1995. L’OMC est une organisation internationale de
plein exercice, dotée de personnalité juridique. A l’instar du GATT, l’OMC
cherche à réduire les obstacles au libre-échange. L'Organisation Mondiale du
Commerce (OMC) assume la régulation des règles commerciales au niveau
mondial. Elle représente un cadre où les gouvernements négocient des
accords et résolvent leurs différends commerciaux. Fondamentalement axée

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sur la négociation, l’OMC découle en grande partie des négociations issues
du cycle d'Uruguay de 1986 à 1994. Ces négociations ont été initiées en
réponse aux obstacles au commerce que les pays ont rencontrés, contribuant
significativement à la libéralisation des échanges. Ainsi, tout ce que fait
l'OMC, de la définition des règles à la résolution de différends, découle
essentiellement des négociations entre les États membres.
2.1 La structure de l’OMC
L'OMC est composée de la Conférence ministérielle, qui prend des décisions
importantes, du Conseil général qui assure la supervision continue, et de
conseils spécifiques pour les marchandises, les services et la propriété
intellectuelle. Un Comité des négociations conseille sur les accords en cours.
Le Secrétariat, dirigé par le Directeur général, offre un soutien technique.
L'Organe de règlement des différends résout les litiges entre les membres.
Cette structure permet à l'OMC de faciliter les négociations, de surveiller les
politiques commerciales, et de résoudre efficacement les différends selon les
règles établies.

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La structure de l'OMC

https://www.wto.org/french/thewto_f/whatis_f/tif_f/org2_f.htm

2.1.2 Les conférences ministérielles


La conférence ministérielle est l’organe suprême de l’OMC, se réunit
généralement une fois tous les deux ans. Elle réunit l'ensemble des membres
de l'OMC. La conférence ministérielle est habilitée à prendre des décisions
sur toutes les questions liées de tout accord commercial multilatéral. Depuis
sa création –L’Organisation Mondiale du Commerce-, 12 conférences
ministérielles se sont tenues entre 1996 et 2022, sous forme de cycle de
négociations appelés « Trade Round ».
 Singapour 1996
Les membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) se sont réunis
pour la première fois à Singapour. L'objectif principal de ce cycle de

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négociations était d'aborder des aspects tels que l'intégration économique, les
normes fondamentales du travail, le rôle de l'OMC, ainsi que le règlement des
différends.
 Genève 1998
Ce Round a été l'occasion de rendre hommage à la contribution de ce système
au cours des cinquante dernières années, marquées par sa contribution à la
croissance, à l'emploi et à la stabilité, notamment en favorisant la
libéralisation du commerce.
 Seattle 1999
Au tournant du 21e siècle, les représentants de la plupart des gouvernements
mondiaux se sont réunis à Seattle, aux États-Unis, en 1999, afin d'évaluer le
système commercial mondial et de garantir sa dynamique et sa réactivité pour
les années à venir.
 Doha 2001
Le Cycle de Doha, lancé en 2001 lors de la Quatrième Conférence
ministérielle de l'OMC, visait à réformer les politiques agricoles pour un
commerce plus équitable, à libéraliser le commerce des services, et à
introduire des mesures de traitement spécial et différencié pour répondre aux
disparités entre les pays développés et en développement.
 Cancun 2003
L'objectif de cette conférence ministérielle était d'évaluer les progrès des
négociations du Programme de Doha pour le développement.
 Hong Kong 2005
Cette conférence avait pour but de discuter des règles commerciales, de la
facilitation du commerce, ainsi que des modalités relatives au commerce des
produits agricoles et industriels.
 Genève 2009/2011
Ces deux conférences avaient pour objectif de dresser un état des lieux du
système commercial multilatéral, du programme de travail sur le commerce
électronique, des règles d'origine et de la concurrence à l'exploitation.

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 Bali 2013 / Nairobi 2015
Ces deux conférences ministérielles avaient pour objectif de discuter de l'aide
pour le commerce, du commerce du coton, des règles d'origine pour les pays
moins avancés, et d'aborder l'accord sur la facilité des échanges.
 Buenos Aires 2017
La Conférence ministérielle de l'OMC à Buenos Aires en 2017 a abordé des
questions cruciales telles que la stagnation des négociations du Cycle de
Doha, les subventions agricoles et le commerce électronique. Bien que des
désaccords persistent, l'événement a souligné l'importance du dialogue pour
renforcer le système commercial mondial. Aucun accord majeur n'a été
conclu lors de cette conférence.
 Genève 2022
En juin 2022, la 12e Conférence ministérielle de l'OMC s'est déroulée à
Genève, au siège de l'organisation. Des ministres du monde entier y ont
participé pour évaluer le fonctionnement du système commercial mondial,
faire des déclarations et prendre des mesures en vue des travaux futurs de
l'OMC.

2.1.3 L'organe de règlement des différends (ORD)


L'Organe de règlement des différends (ORD) est une institution unique visant
à résoudre les litiges entre les États membres de l'OMC. Le mécanisme de
règlement des différends repose initialement sur la conciliation et la
médiation. En cas d'échec de ces tentatives, l'OMC nomme un panel d'experts
qui rend un rapport dans un délai de six mois. Ce rapport comporte des
recommandations que les États doivent suivre. En cas de désaccord persistant,
les parties ont la possibilité de faire appel, conduisant à la saisie de l'organe
d'appel. L'ORD s'assure de l'application rapide du rapport de l'organe d'appel.
En cas de non-conformité avec les règles commerciales, la partie plaignante
peut prendre des mesures de rétorsion.
Le règlement des différends est un aspect très important des activités de
l'OMC. Les relations commerciales impliquent fréquemment des intérêts
contradictoires. La meilleure façon de résoudre ces différends est de recourir
à une procédure neutre établie sur une base juridiquement solide. C'est

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l'objectif du processus de règlement des différends énoncé dans les accords de
l'OMC.

3. Les principes de l’OMC


Les accords de l'OMC couvrent une vaste gamme de domaines tels que
l'agriculture, les textiles, les activités bancaires, les télécommunications, les
marchés publics, les normes industrielles, la sécurité des produits, et bien
d'autres encore. Cependant, ils reposent sur un ensemble de principes simples
et fondamentaux qui constituent le socle du système commercial multilatéral.
3.1 Le principe de la non-discrimination
Le principe du commerce sans discrimination est une règle exigeant une
égalité de traitement entre tous les pays membres de l'OMC. Selon les
accords, les pays ne peuvent généralement pas établir de discriminations entre
leurs partenaires commerciaux. Si des faveurs spéciales sont accordées,
comme la réduction des droits de douane sur un produit particulier, cela doit
être étendu à tous les autres membres.
D’une manière générale, la clause de non-discrimination commerciale,
appelée "nation la plus favorisée" (NPF), stipule que chaque fois qu'un pays
réduit une barrière, il doit le faire de manière égale pour les mêmes biens ou
services provenant de tous ses partenaires commerciaux, qu'ils soient riches
ou pauvres, faibles ou puissants.
3.2 Le principe du traitement national
Les produits importés et ceux fabriqués localement doivent recevoir un
traitement équitable une fois que le produit importé est entré sur le marché.
Le principe du traitement national encourage à accorder aux autres le même
traitement que celui réservé à ses propres nationaux. Ce principe s'applique
uniquement après qu'un produit, un service ou un élément de propriété
intellectuelle a été admis sur le marché.
3.3 Le principe de la libéralisation du commerce progressive et par voie
de négociation
L'un des moyens les plus évidents de promouvoir les échanges est de réduire
les obstacles commerciaux, tels que les droits de douane (ou tarifs) et les

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mesures telles que les interdictions à l'importation. Bien que l'ouverture des
marchés puisse apporter des avantages, elle nécessite également des
ajustements. Les accords de l'OMC permettent aux pays d'introduire
progressivement des changements par le biais d'une libéralisation graduelle.
En général, les pays en développement bénéficient d'un délai plus long pour
s'acquitter de leurs obligations.
3.4 Le principe de la prévisibilité
Le système commercial multilatéral représente les efforts déployés par les
gouvernements pour instaurer un environnement commercial stable et
prévisible. Lorsqu'il y a stabilité et prévisibilité, cela encourage les
investissements, la création d'emplois et permet aux consommateurs de
bénéficier pleinement des avantages résultant de la concurrence, tels que le
choix et la baisse des prix. De nombreux accords de l'OMC obligent les
gouvernements à notifier à l'OMC les mesures et pratiques adoptées. La
surveillance régulière des politiques commerciales nationales par le biais du
Mécanisme d'examen des politiques commerciales est un moyen de
promouvoir la transparence, tant au niveau national que multilatéral.
3.5 Le principe de la transparence
Les individus et les entreprises impliqués dans le commerce international
doivent être bien informés des conditions commerciales. Il est donc crucial
que les règles et les politiques soient transparents. À l'OMC, cette
transparence est assurée de deux manières :
- Les gouvernements sont tenus d'informer l'OMC et leurs collègues membres
des mesures politiques ou lois spécifiques par le biais de notifications
régulières.
- L'OMC examine régulièrement la politique commerciale des différents pays.
Les examens font partie de l'accord du cycle d'Uruguay, bien qu'ils aient
commencé quelques années avant la fin du cycle. Contrairement à l'examen,
qui permet aux membres de comprendre la politique et la situation d'un pays,
l'examen donne au pays faisant l'objet de l'examen des informations en retour
sur son niveau de performance dans le système.

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4. Les défis de l’OMC
4.1 La recherche du consensus
Selon les règlements de l'OMC, les négociations doivent aboutir à un
consensus. Cependant, avec 153 membres, la recherche d'un consensus
représente un obstacle significatif en cas de désaccord profond entre les pays.
Cette recherche de consensus reflète la volonté de l'OMC de promouvoir une
approche collaborative du commerce mondial, mais elle souligne également
les défis inhérents à la prise de décisions collectives entre un grand nombre
d'acteurs aux intérêts variés. C'est un équilibre complexe entre la nécessité
d'une représentation équitable et la capacité de prendre des décisions efficaces
pour faire progresser le système commercial international.
4.2 Le développement des accords commerciaux régionaux (ACR)
« Le développement des accords commerciaux régionaux est un phénomène
qui touche l’ensemble des continents. Il se traduit par la création d’unions
économiques entre pays désireux de supprimer les barrières commerciales
entre eux » Karine Constant, Patrick Domingues, Gérard Duchene, Amélie
Guillin, Sandrine Kablan, Patrick Lenain, Julie Lochard, dans Économie
internationale (2018).
« Les accords commerciaux régionaux (ACR) représentent aujourd’hui plus
de la moitié des échanges internationaux, et se mettent en place
parallèlement aux vastes accords multilatéraux de l’Organisation mondiale
du commerce (OMC). Ces dernières années, de nombreux pays ont cherché à
créer de nouveaux accords commerciaux bilatéraux et régionaux– souvent
plus modernes et plus progressistes – afin d’accroître les échanges et
stimuler la croissance économique. Cette multiplication des ACR témoigne
en partie d’une demande d’intégration plus poussée que ne le permettaient
auparavant les accords multilatéraux ». L'Organisation de coopération et de
développement économiques

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https://www.oecd.org/fr/echanges/sujets/accords-commerciaux-regionaux/

Les Accords Commerciaux Régionaux (ACR) octroient des droits


préférentiels aux pays signataires, excluant ainsi les pays extérieurs. Les
quatre principaux accords commerciaux régionaux, à savoir l'Union
européenne (1967), l'ASEAN (Association des nations de l'Asie du Sud-Est,
1967), le MERCOSUR (Marché commun des pays d'Amérique du Sud,
1991), et l'ALENA (Association de libre-échange nord-américain, 1994),
représentent à eux seuls 70% des échanges mondiaux. Cependant, ces accords
entraînent des préjudices importants pour le commerce mondial en
introduisant des règles internes qui deviennent des obstacles au commerce
pour les pays extérieurs. De plus, ils marginalisent les pays en développement
qui se trouvent isolés et exclus de ces accords régionaux.

5. L'assistance aux pays en développement de l'OMC


Les pays en développement constituent les trois quarts des membres de
l'OMC, et avec ceux qui poursuivent leur transition vers une économie de

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marché, leur rôle au sein de l'OMC devrait probablement augmenter, étant
donné que le nombre de membres continue de croître.
L'OMC s'efforce de répondre aux besoins spécifiques des pays en
développement, accordant une attention particulière aux pays moins avancés.
Tous les accords de l'OMC reconnaissent la nécessité d'accorder aux pays en
développement la plus grande flexibilité possible. Les membres plus avancés
sont encouragés à déployer des efforts supplémentaires pour réduire les
obstacles à l'importation auxquels sont confrontées les exportations des pays
en développement.
Les pays en développement bénéficient d'une assistance spéciale ainsi que
d'un soutien juridique de l'OMC. Certains membres de l'OMC ont également
fourni un soutien financier aux ministres des pays les moins avancés pour les
aider à participer au commerce international.

Conclusion
Les individus présentent des disparités notables tant dans leurs compétences
productives spécifiques que dans leurs besoins, ce qui explique pourquoi les
échanges commerciaux sont avantageux. L'Organisation mondiale du
commerce (OMC), à travers ses accords, vise à faciliter le commerce mondial
en éliminant les obstacles, assurant un traitement équitable et promouvant la
transparence. Elle s'engage également à protéger les intérêts des pays en
développement, favorisant ainsi le développement économique global.
Cependant, les malentendus persistent et la technologie, si elle n'apaise pas
les tensions humaines et tend vers la violence, risque d'aggraver les conflits.
Le progrès, bien qu'il apporte des améliorations significatives dans la vie
humaine, peut également entraîner des excès qui rendent l'homme vulnérable.
Dans le contexte du passage du General Agreement on Tariffs and Trade
(GATT) à l'OMC, il est essentiel de reconnaître les efforts déployés pour
faciliter le commerce mondial, promouvoir l'équité et soutenir le
développement économique des nations en développement. Toutefois, il est
crucial de rester vigilant face aux possibles dérives technologiques et aux
tensions persistantes qui pourraient compromettre les bénéfices du commerce
international. En conclusion, on peut dire que le commerce international

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suscite des débats passionnés, suscitant des réactions diverses, le sujet ne
laisse personne indifférent.

Bibliographie/Webographie

 De Jean-Christophe Graz Aux sources de l'OMC: la charte de la


Havane, 1941-1950
 https://shs.hal.science/halshs-00197072/
 https://www.oecd.org/fr/echanges/sujets/accords-commerciaux-
regionaux/
 Karine Constant, Patrick Domingues, Gérard Duchene, Amélie Guillin,
Sandrine Kablan, Patrick Lenain, Julie Lochard, dans Économie
internationale (2018).
 https://www.wto.org/french/thewto_f/whatis_f/tif_f/org2_f.htm
 https://www.wto.org/french/thewto_f/whatis_f/whatis_f.htm
 https://www.wto.org/french/thewto_f/minist_f/
minist_f.htm#:~:text=Les%20Conf%C3%A9rences%20minist
%C3%A9rielles,pays%20ou%20des%20unions%20douani
%C3%A8res.
 https://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/gatt
 https://aitec.reseau-ipam.org/Principes-generaux-et-exceptions-prevus-
par-l-OMC
 https://www.wto.org/french/res_f/publications_f/wto_at_twenty_f.htm
 https://www.vie-publique.fr/fiches/38315-les-accords-commerciaux-
regionaux-font-ils-concurrence-lomc

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