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Figure : Classification des échelles de phénomènes météorologiques
Annexe II : L'ATMOSPHERE
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Figure : Profil thermique verticale de l'Atmosphère
I.1. TROPOSPHERE :
De zéro à 10km en moyenne d'altitude. C'est une zone
dense et turbulente où se déroulent presque tous les
phénomènes météorologiques.
La température y croît d'environ 0.65°c/100m à partir d'une
température du sol moyenne d'environ 15°c. Près du sol, le
gradient de pression est d'environ 10mb/100m.
I.2. STRATOSPHERE :
De 10 à 50 km d'altitude. La température croît de -60°c à
0°c. Au milieu de cette couche, vers 30km d'altitude, se
situe la couche d'ozone. Au sommet de la Stratosphère la
densité de l'air n'est plus que le millième ce qu'elle était à la
surface du sol.
En fin à partir du 30 km, le ciel est complètement noir.
I.3. MESOSPHERE :
De 50 à 80 km en moyenne d'altitude, dans cette couche la
température décroît de 0°c à -90°c. Vers 70 km d'altitude les
sons cessent d'être transmis.
I.4. THERMOSPHERE :
Située entre 80km à 400km environ. La température croît
de -90°c jusqu'à 0°c vers 140 km au sortir de l'atmosphère
dense puis atteint et se stabilise à 700°c vers 400km. C'est la
zone où circulent les satellites artificiels.
I.5. EXOSPHERE :
C'est une enveloppe ultime dont la limite supérieure est
floue: on passe insensiblement au vide interplanétaire. Les
molécules peuvent échapper à l'attraction terrestre, c'est
"l'évaporation" de l'Hélium de l'atmosphère terrestre.
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Figure 3 : Composition de l'atmosphère
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Annexe III : Les facteurs du climat
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Avec :
S: rayonnement solaire incident reçu sur la surface
sommet de l'atmosphère
S = 175 milliard de Mégawatts, = 343 Watts/m2);
R: rayonnement solaire réfléchi, diffusé vers l'espace;
R = -53 milliard de Mégawatts = 30% de S;
T: rayonnement infrarouge Terrestre (rayonnement
propre au globe Terrestre)
T = -122 milliard de Mégawatts =70% S).
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Figure : Bilan radiatif
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Figure : Représentation simplifiée de l’effet de serre naturel.
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Annexe IV : Les éléments et les types du climat
Tableau 1 : Régimes pluviométriques du monde (Tiré de Champoux, Toutant, 1988)
Nom Caractéristiques
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Annexe V : Observation météorologique
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Les principaux paramètres météorologiques observés en surface sont :
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Figure : station météorologique
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Figure : Evaporomètre
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* Surface = 1 m²
* Profondeur = 60 cm
* Enterré à 50 cm
* Eau au niveau du sol (à 10 cm du
bord )
* couleur gris-bleu
Figure : Evapotranspiration
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Figure : Un évapotranspiromètre
Formule de PENMANN
Rn = rayonnement net de la surface (en J cm-2 mm-1) qui peut être mesuré ou Calculé:
Iga = rayonnement global en l'absence d'atmosphère (cal cm-2);
a = albedo;
h/H = fraction d'insolation = rapport de la durée réelle d'insolation et de la durée théorique
(en heure et 1/10);
= constante de Stefan-Bolzman = 5.6698 10-8 W m-2 K-4 ;
T = température de l'air en degré Kelvin;
e = tension de vapeur d'eau;
= pente de la courbe de tension de vapeur saturante à la température de l’air (en mb C-1);
Ea = pouvoir évaporant de l'air : Ea = 0.26 (ew – e) f (v)
Avec : ew = tension de vapeur saturante à la température de l'air;
e = tension de vapeur d'eau;
ew - e = déficit de saturation de l'air;
f (v) = fonction de la vitesse du vent. Si la mesure est faite à deux mètres de hauteur
alors on a f(v) = 1 + 0.54 V (en m s-1);
L = chaleur latente de vaporisation de l'eau (2.56 106 J kg-1);
g = constante psychrométrique de Bowen = 0.665 mb °C.
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* La chaleur latente de vaporisation est la quantité de chaleur qu'il faut fournir à 1 kg d'eau (à
pression et température constantes) pour obtenir 1 kg de vapeur saturée.
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Figure : schématique de la réserve utile
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1 Terre 1 UA
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Exercice N°1 :
Résolution
Le corps solide sera donc à 100°C (condition d’équilibre).
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La loi à utiliser ici est la conservation de l'énergie. La chaleur perdue par le
solide est transférée à l'eau et les deux se retrouvent à la même
température.
La chaleur gagnée par le solide est : Hs = Cs . ms . ∆ts
→ Cs = C e . me . ∆ te
m s . ∆ ts
→ Cs = 129,9 J/Kg°C
Exercice N°2 :
Calculer la quantité totale de chaleur à produire pour faire passer un bloc de glace de 2 kg de
la température de (-10°C) à l’état de vapeur d’eau à (120°C), sachant que :
C glace = 2090 J/kg°C,
C fusion glace = 335000 J/kg,
C eau = 4180 J/kg°C ,
Cvapeur eau = 2255000 J/kg
et C échauffement de la vapeur d’eau = 1880 J/kg°C
NB : que C : la chaleur spécifique et 1cal = 4,18 J ou 1 kcal = 4185 J
Résolution
On peut distinguer 5 étapes. A chaque étape correspond une certaine quantité de chaleur :
1 - Echauffement de la glace de -10°C à 0°C → Q1
2 - Fusion de la glace à 0 °C. On obtient de l'eau → Q2
3 - Echauffement de 0 °C à 100°C → Q3
4 - Vaporisation de l'eau à 100° C. On obtient de la vapeur → Q4
5 - Echauffement de la vapeur de 100° C à 120° C→ Q5
Calculons tous ces Qi et faisons la somme
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Q1 = C glace . m. ∆t = 2090 . 10-3 x 2 x (0- (-10)) = 41,8 KJ
Q2 = Cfusion .m = 355 x 2 = 670 KJ
Q3 = C eau . m. ∆t = 4180 .10-3 x 2 x (100 - 0) = 836 KJ
Q4 = CV .m = 2555 x 2 = 4510 KJ
Q5 = C Vapeur . m. ∆t = 1,88 x 2 x (120 - 100) = 75,2 KJ
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Qtot ¿ ∑ Qi = 6133 KJ
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Exercice N°3 :
Pression d’air
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Une masse de 5 kg d’air est enclose dans un réservoir de 2 m .
Correction
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