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UNIVERSITE MARIEN NGOUABI

FACULTE DES SCIENCES ET TECHNIQUES

THERMODYNAMIQUE

Dr Alain Smart HD Université Marien NGOUABI


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A smart Day In Weatherland Faculté des Sciences et techniques
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THERMODYNAMIQUE

LES MACHINES THERMIQUES


PARTIE V
Dr Alain Smart HD
Département des Licences, parcours Physique
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plan:

Introduction

Production du travail / chaleur

Machines thermiques

Cycles

Quelques rendements

Conclusion

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Introduction

l‘ homme depuis un temps (18e siècle) ne cesse de concevoir, des machines


particulièrement les machines thermiques répondant à ses besoins prioritaires: se déplacer,
se protéger et protéger ce qu’il possède . Thermodynamiquement ces machines obéissent à
des principes de base de la thermodynamique, plusieurs modèles sont développés se
basant sur la production du travail ou de la chaleur.

Dans cette partie du cours, nous aborderons des notions sur la production du travail, de la
chaleur, nous parlerons ensuite des machines thermiques en abordant quelques cycles
enfin nous présenterons quelques rendements usuels en thermodynamique.

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Cycle et production du travail /chaleur

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Construire des cycles thermodynamiques

Nous souhaitons comparer différentes manières de transformer travail et chaleur.


Pour que ces comparaisons soient valables, il faut que nous tenions toujours compte
de toutes les transformations subies par le guide jusqu’à ce qu’il soit revenu à son état
initial.

Par exemple, il est aisé de refroidir une pièce avec une bouteille d’air comprimé
(il suffi›t de le laisser travailler dans une détente pour que sa température chute) ;mais si
nous voulons refroidir la pièce en continu, alors il nous faut aussi tenir compte de l’énergie
nécessaire pour ramener l’air dans la bouteille, à sa pression et température initiales, à la
fi•
n du processus.

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Un second exemple est celui d’un moteur automobile, qui rejette de la chaleur emportée par
les gaz d’échappement. Pour tenir compte de cette énergie perdue, nous comptabilisons la
chaleur qu’il faudrait prélever aux gaz pour les ramener à la température d’entrée du moteur.

Ce refroidissement imaginaire a lieu en dehors du


moteur en pratique, mais d’un point de vue thermodynamique, il fait partie intégrante du
processus de transformation énergétique.

Ainsi, à chaque fois que nous allons analyser le fonctionnement d’une machine
thermique, nous allons prendre soin de poursuivre l’évolution du žguide jusqu’à le ramener à
son état initial (même température, même pression, même énergie
interne, etc.). Nous disons alors qu’il a parcouru un cycle thermodynamique,

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Produire un travail à partir de chaleur

Commençons par comprimer un gaz : nous augmentons sa pression et réduisons son


volume spécifique, ce qui nous demande un certain travail. Après cela, chauffons ce žguide :
sa pression et son volume ont tendance à augmenter. En détendant
le gaz jusqu’à sa pression initiale, nous allons récupérer un travail plus grand que celui que
nous avons investi à l’aller.

Pour pouvoir enfi•


n ramener le žguide à son état initial, il faut le refroidir.

Au f•inal, le žguide a dépensé moins de travail au chemin retour qu’il en a reçu à l’aller. Sur
un cycle, il aura donc produit du travail et absorbé (plus exactement, transformé) de la
chaleur. C’est le principe de fonctionnement d’un moteur.

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Cycle thermodynamique moteur ešectué en séparant les étapes dans


Cycle thermodynamique moteur. Le žguide absorbe de la chaleur fournie à
le temps (plutôt que dans l’espace comme représenté en •gure 6.2). Le žuide est
haute température TH. la puissance de compression est plus faible que la
réchaušé par une source de chaleur à haute température TH. Le travail net Wnet
puissance à la détente : la puissance nette sous forme de travail W˙net = W˙in
=Win + Wout est négatif.
+ W˙out est négative.

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Extraire de la chaleur avec du travail


Lorsque l’on fournit du travail à un žguide, sa température augmente1, et il peut ainsi fournir
de la chaleur à un corps qui était initialement à plus haute température (« plus chaud ») que
lui.

À l’inverse, lorsque l’on détend un gžuide, sa température baisse, et il peut ainsi capter de la
chaleur à un corps qui était initialement « plus froid » que lui.

En ešffectuant ces étapes l’une après l’autre, nous obtenons un cycle de réfrigération :
une machine capable de prélever de la chaleur à basse température et de la rejeter à haute
température. Un tel cycle est représenté en • gure 6.5 (étapes séparées dans l’espace) et 6.6
(étapes séparées dans le temps).

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figures réserve une surprise de taille : il s’agit exactement


Un examen attentif de ces deux •
du même agencement que pour un moteur ! La seule dišfférence porte sur les températures
de fonctionnement.

La température atteinte pendant la compression doit être supérieure à la température


haute TH, et la température atteinte pendant la détente doit être inférieure à la température
basse TB. Si ces conditions ne sont pas respectées, alors les transferts de chaleur ne peuvent
se faire dans le sens voulu.

Dans un cycle de réfrigération, le žguide a un plus grand volume lorsqu’il est compressé que
lorsqu’il est détendu : ainsi la compression demande plus de puissance
que la détente. La puissance nette W˙net sous forme de travail est donc positive, c’est-
à-dire que la machine doit être alimentée en travail par l’extérieur.

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Cycle thermodynamique de refroidissement, utilisé dans les réfrigérateurs,


climatiseurs, et pompes à chaleur. Cycle de réfrigération ešectué en séparant les étapes dans le temps (plutôt que
Une puissance Q˙in sous forme de chaleur est captée à basse température (le dans l’espace comme représenté en • gure 6.5)
gžuide est réchaufšé) tandis qu’une puissance Q˙out est rejetée à haute
température (le žuide est alors refroidi).

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Les cycles de réfrigération ont deux grands types d’application :

Les pompes à chaleur appelées aussi thermopompes sont agencées de


façon à rejeter la chaleur vers un corps à haute température, le plus souvent
une habitation
;
Les réfrigérateurs et climatiseurs sont agencés de façon à extraire de
la chaleur d’un corps à basse température, le plus souvent une chambre
froide.

Dans ces deux types d’application, il s’agit exactement de la même machine,


fonctionnant avec le même cycle. La seule diffšérence concerne l’agencement
intérieur/extérieur des composants : une pompe à chaleur n’est ni plus ni moins
qu’un réfrigérateur positionné de sorte qu’il « refroidisse l’extérieur ».

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Agencement d’une pompe à chaleur. La machine est positionnée de Agencement d’un réfrigérateur ou d’un climatiseur. La machine est
sorte à refouler à l’intérieur (où la température est plus haute) la chaleur prélevée positionnée de sorte à refouler à l’extérieur (où la température est plus haute)
à l’extérieur (où la température est plus basse) la chaleur prélevée à l’intérieur (où la température est plus basse). Il s’agit
exactement de la même machine ,

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Machines thermiques

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Les machines thermiques

Puisqu’il est impossible d’après le deuxième principe de prélever de la chaleur et de la


transformer intégralement en chaleur, une machine thermique doit nécessairement
fonctionner
entre au moins deux sources de chaleur.

 La transformation de chaleur (Q) en travail (W) à partir d’une source chaude n’est
donc possible qu’à la condition de rejeter une partie de la chaleur à une autre source
froide (cycle ditherme). Cette chaleur rejetée est donc perdue et influera sur les
performances de la machine thermique, d’où la notion de rendement thermique.

 Un transfert de chaleur ne s’effectue jamais d’une source froide vers une autre chaude,
d’où la nécessité d’un travail de moteur supplémentaire.

 Donc, on peut distinguer entre deux types de machines thermiques avec deux principes
de fonctionnement distincts.
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THERMODYNAMIQUE
Principe de fonctionnement d’une machine
thermodynamique

Machines thermodynamiques (T.D)


Les machines thermodynamiques (T.D) sont
des machines thermiques produisant du
travail, dite machines motrices.

Ces des machines thermiques qui


transforment une partie de la quantité de
chaleur prélevée d’une source chaude en
travail mécanique et le reste sera perdue.

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Exemples de machine thermodynamiques :
 Machines à vapeur.
 Moteurs à combustion à essence ou à diesel.
 Centrales thermiques ou nucléaires de
production d’électricité.

Si on fait un bilan énergétique sur cette machine (T.D) ; on peut écrire :


Selon le 1er principe de la thermodynamique: Q2 = W + Q1
Selon le 2éme principe de la thermodynamique :

Le rendement de cette machine (T.D) est toujours inférieur à l’unité, puisque la quantité de
chaleur prélevée de la source chaude n’est jamais transformée intégralement en travail
(énoncé de Kelvin).
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Machines dynamo-thermiques (D.T)

Les machines dynamo-thermiques (D.T)


dites machines réceptrices, sont des
machines de transfert de chaleur d’une
source vers une autre chaude avec la
nécessité d’avoir un travail supplémentaire
pour assurer ce transfert, c’est le cas des :

 Machines frigorifiques ou les pompes à


chaleur.
 Liquéfacteurs de gaz.

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Si on fait un bilan énergétique sur cette machine (D.T) ; on peut écrire :


Selon le 1er principe : Q2 = W + Q1
Selon le 2éme principe :

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Les cycles

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Cycles thermodynamiques

Les machines thermodynamiques fonctionnent avec plusieurs transformations successives


formant ainsi un cycle.

Dans la pratique, ces transformations ne sont pas réversibles, alors on remplace ces
processus irréversibles par des transformations réversibles plus facilement calculables, d’où
on obtient des machines idéales.

Il existe plusieurs cycles thermodynamiques :

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Cycle de Carnot
C’est un cycle de rendement maximal et le plus efficace. L'efficacité des autres cycles et
des machines réelles est toujours comparée à celle du cycle de Carnot par le biais du
rendement.
Le cycle de Carnot est un cycle thermodynamique théorique pour un moteur fonctionnant
entre deux sources de chaleur, constitué de quatre processus réversibles :

 1→2: Détente isotherme (avec apport de chaleur).


 2→3: Détente adiabatique.
 3→4: compression isotherme (avec refroidissement).
 4→1: Compression adiabatique.

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Le rendement du cycle de Carnot pour une machine thermodynamique est :

Avec :
Q1 est la quantité de chaleur perdue à la source froide de température Tf; donc Q1 = Qf
Q2 est la quantité de chaleur prélevée de la source chaude de température Tc; donc Q2 = Qc
Donc :

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Cycle de Beau Rochas (OTTO)
C’est un cycle théorique des moteurs à combustion interne à allumage commandé. Exemple
du moteur à essence. Ce cycle appelé cycle de Beau Rochas ou Otto (1862) est aussi dit cycle
de moteur à essence.

Le cycle théorique est composé des transformations suivantes :


 1→2 : compression adiabatique du mélange (air-carburant).
Le rapport de compression (V1/V2) est entre 4 et 10.
 2→3 : Combustion (apport de chaleur) isochore.
 3→4 : détente adiabatique.
 4→1 : refroidissement (mise à l’atmosphère) isochore.

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Cycle de Diesel
Le moteur Diesel est conçu par Rudolf Diesel (1893-
1897). Le moteur Diesel est un moteur à combustion
interne dont l'allumage est spontané au contraire du
moteur à essence.

Le cycle théorique du moteur Diesel est composé de


quatre transformations réversibles représenté dans le
diagramme de Clapeyron ci-dessous :

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 1→2 : compression adiabatique qui s’effectue seulement sur l’air. Le rapport de


compression (V1/V2) est entre 14 et 25.
 En point 2, le carburant est injecté dans la chambre de combustion remplie d’air porté à la
température T2 < Ti (température d’inflammation du carburant).
 2→3 : combustion du carburant (apport de chaleur) isobare.
 3→4 : détente adiabatique.
 4→1 : mise à l’atmosphère par échappement (refroidissement) isochore.

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Cycle de Rankine
Il est à la base des machines utilisant la vapeur d’eau dans les centrales thermiques ou
nucléaires, comme les turbines à vapeur il comprend :

Le cycle théorique est composé de quatre transformations réversibles suivantes :


 1→2 : Compression adiabatique.
 2→3 : Vaporisation isobare .
 3→4 : Détente adiabatique.
 4→1 : Liquéfaction isobare.

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Cycle de Stirling
C’est le cycle du moteur à air chaud qui comprend :

 Deux transformations isothermes (compression et détente).


 Deux transformations isochores.

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Rendement des cycles

Le rendement ou l’e›cacité η d’une machine thermique compare le transfert ou


la transformation utile qu’elle effectue, avec le coût énergétique qu’elle engendre.
Nous retiendrons la définition de principe suivante :

η ≡ ∣dépense énergétique/ transfert utile ∣

Par convention le rendement est toujours exprimé sous la forme d’un nombre positif ;
ainsi nous utilisons une valeur absolue dans l’équation 6/3. Pour chacun des trois types de
machines thermiques, nous allons définir et quantifier ce « transfert
utile » et cette « dépense énergétique ».

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THERMODYNAMIQUE

Quelques rendements usuels

Machines thermiques : servent à produire


Du travail pour les moteurs ; r=1- T1/T2
De la chaleur pour les pompes ; e=Q2/W
Du froid pour les réfrigérateurs ; e=Q1/W

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Moteur Refrégirateur_Climatiseur Pompe à chaleur

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Conclusion:
Les machines thermiques ont une importance considérable du point de vue qu’elles
remplissent nos quotidiens, toutes les activités de l’homme restent dépendant de
ces dernières, cependant leur réalisation reste l’ entente entre l’ ingénieur et le
chercheur.

La production du travail, de la chaleur font appel aux principes de base de la


thermodynamique, le rendement reste la notion la plus importante pour un cycle.

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