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Judaïsation ✡
Observatoire de la Synagogue de Satan
Mais les juifs sont également les inventeurs et les dirigeants de la praxis communiste, de ses
tactiques efficaces de combat, de sa politique inhumaine de gouvernement, insensible et
précise, et de son agressive stratégie internationale.
Que les théoriciens du Communisme aient tous été des juifs est une chose absolument prouvée.
Et cela, malgré le système constamment employé, aussi bien par les théoriciens que par les
révolutionnaires actifs, de prendre un surnom, un nom et un prénom cachant leur origine juive
aux yeux du peuple au milieu duquel ils ont vécu.
1. Le fondateur du système fut, comme on le sait, Karl Heinrich Marx, juif allemand dont le vrai
nom était Kissel Mordekkaï, né à Trêves en Prusse Rhénane, et fils d’un avocat juif.
2. Frederich Engels, créateur avec Marx de la Première Internationale et son collaborateur intime,
était né à Bormen en Allemagne, fils d’un juif de cette ville négociant en coton. Il mourut en 1894.
3. Karl Kautski. De son vrai nom Kaus. Il est l’auteur du livre « Les Origines du Christianisme »,
dans lequel il combat principalement les fondements du Christianisme. Il fut le principal
interprète de Marx, publiant en 1887 « Les Enseignements Economiques de Karl Marx pour la
compréhension de tous », « Le Massacre de Chisinaw » ; en 1903 « La Question juive » et « La
Lutte de Classe », livre qui fut pour Mao-Tsé-Tung en Chine l’ouvrage fondamental pour
l’instruction communiste ; enfin en 1921, l’ouvrage « L’Avant-garde du Socialisme ». Il fut aussi
l’auteur du « Programme Socialiste d’Ehrfurt », en Allemagne. Ce juif était né à Prague en 1854,
et il mourut en Hollande à La Haye en 1938.Par suite de l’un de ces désaccords de famille
fréquents parmi les dirigeants juifs, il s’opposa durement à Lénine.
4. Ferdinand Lasalle, juif né à Breslau en 1825. Après s’être mêlé à la révolution démocratique de
1848, il publia en 1863 son ouvrage « Réponses Ouvertes », où il traçait un plan révolutionnaire
pour les ouvriers allemands. A partir de ce moment, il travailla sans cesse à une intense
campagne socialiste,visant à provoquer la révolte des ouvriers. A cet effet il publia un autre
ouvrage sous le titre « Kapital und Arbeit » (Le Capital et le Travail). Son socialisme, bien que
sous certains aspects différent de celui de Marx, coïncidait avec lui dans ses résultats finaux,
consistant à supprimer la propriété privée et à transférer celle-ci aux mains de l’Etat, contrôlé
naturellement par le Judaïsme.
5. Edouard Bernstein, juif né à Berlin en 1850. Ses œuvres principales sont : « Suppositions sur le
Socialisme », « En Avant le Socialisme », « Documents sur le Socialisme », « Histoire et Théorie
du Socialisme », « Social-démocratie d’aujourd’hui en théorie et en pratique », « Les Devoirs de la
Social-démocratie » et « Révolution allemande ». Toutes décrivent la doctrine communiste et
reposent sur les conceptions de Marx. En 1918, il fut nommé Ministre de l’Industrie de l’Etat
socialiste allemand, lequel heureusement ne parvint pas à survivre plus de quelques mois.
6. Jacob Lastrow, Max Hirsch, Edgar Loeeing Wirschauer, Babel, Schatz, David Ricardo et
beaucoup d’autres écrivains théoriciens du Communisme furent juifs. Et dans toutes les nations,
ce sont presque exclusivement des écrivains juifs qui prêchent le Communisme aux masses,
bien que très souvent dans leurs écrits ils se montrent très prudents, les maquillant toujours
d’humanité et de fraternité, dont nous avons déjà vu la signification dans la pratique.7)
Tous les juifs susnommés, tout en étant souvent d’importants théoriciens, ne se sont pas
contentés de poser les fondements doctrinaux du Socialisme marxiste ou Communisme, mais
chacun d’eux a également été un révolutionnaire actif, qui, dans la nation où il était, s’est
consacré à préparer, diriger ou aider la subversion. Comme chefs et membres éminents
d’associations révolutionnaires, ils ont toujours pris eux-mêmes une part active dans le
développement du Marxisme.
Mais, laissant de côté ces juifs connus principalement comme les théoriciens, nous trouvons en
outre que quasiment tous les dirigeants de la pratique active et du développement des tactiques
communistes sont aussi de la même race et accomplissent leur tâche avec la plus grande
efficacité.
En bref, dans les nations où la conjuration judéo-communiste avorta alors qu’elle était sur le
point d’éclater, comme dans celles où le Marxisme fut expulsé après avoir pris le pouvoir, les
données aujourd’hui connues dans toute leur vérité démontrent la pleine et entière responsabilité
des juifs.
L’ALLEMAGNE en 1918
L’Allemagne en 1918 fut le théâtre d’une révolution communiste dirigée par les juifs. La
République des Conseils de Munich était juive, comme le montrent ses chefs : Liebnecht, Rosa
Luxembourg, Kurt Eisner et bien d’autres.
Kurt Eisner, le Président de la République Bavaroise des Conseils, était le chef de la révolution
bolchevique de Munich ».Onze petits hommes ont fait la révolution » déclara Kurt Eisner dans
l’euphorie de son triomphe à son collègue le ministre Bauer.
Il est donc juste de conserver le souvenir impérissable de ces petits hommes, qui étaient les juifs
suivants : Max Lowenberg, le Dr Kurt Rosenfeld, Gaspar Wollhein, Max Rotschild, Carlos Arnold,
Kranold, Rosenhek, Birnbaum, Reis et Keisser. Ces dix là, avec Kurt Eisner von Israelovitch étaient
à la tête du Tribunal révolutionnaire. Ces mêmes onze étaient franc-maçons, membres de la loge
secrète N°11 qui avait son siège à Munich, Briennerstrasse n° 51. 8)
3. Landeberg à l’Industrie ;
5. Schiffer, Industrie;
7. Fritz Max Cohen, Chef du Service officiel de Renseignements (ce juif était auparavant
journaliste et correspondant du quotidien juif Frankfurter Zeitung).
3. Futran, à l’Enseignement ;
4. Arndt, à l’Enseignement ;
10. En outre, Merz, Weil Katzenstein, Stern, Leewenberg, Frankel, Schlesinger, Israelowitz,
Selingsohn, Laubenheim, etc., occupaient de hautes charges dans les ministères.
Parmi les autres juifs qui contrôlaient de secteurs vitaux de l’Etat Allemand anéanti par
l’intervention américaine dans la guerre, on trouvait en 1918 et postérieurement :
1. Kohen, Président du Comité des Soldats et Ouvriers Allemands (calqué sur le Comité
Soviétique des Soldats et des Ouvriers de Moscou, de la même année) ;
Le peuple des Etats-Unis fut trompé par son président le franc-maçon Wilson, car jamais il
n’aurait imaginé que son intervention dans la première guerre mondiale dut avoir pour résutat de
livrer l’Allemagne à la domination juive.
La Hongrie en 1919
Le 20 mars 1919, le juif Bela Kuhn, (Cohn) s’empara de la Hongrie et proclama la République
Soviétique Hongroise, plongeant la Hongrie dans un horrible bain de sang.
« Avec lui, vingt-six commissaires composaient le nouveau gouvernement, et parmi ceux-ci, dix-
huit étaient juifs : une proportion jamais vue, si l’on tient compte qu’en Hongrie il y avait un
million et demi de juifs pour vingt-deux millions d’habitants. Les dix-huit commissaires juifs
tenaient dans leurs mains la direction effective du pouvoir, et les huit autres commissaires
d’origine chrétienne ne pouvaient rien faire « .10)
« Plus de 90 % des membres du gouvernement et des hommes de confiance de Bela Kuhn
étaient aussi des juifs.
2. Sandor Garbai, Président (officiel) du gouvernement, hongrois utilisé comme écran par les
juifs ;
13.Lukacs, adjoint de Kundi, juif (en réalité du nom de Löwinger, et fils du directeur général d’une
banque de Budapest) ;
19. Mathias Rakosi, Commissaire au Commerce, juif (de son vrai nom Mathew Roth
Rosenkranz), qui sera le dictateur communiste après la seconde guerre mondiale ;
20. Ronai, Commissaire à la « Justice », juif (du nom de Rosentegl) ;
26. Oszkar Laszai, Commissaire aux Nationalités, juif (de son vrai nom Jabukovits) ;
27. Otto Korvin, Commissaire à l’Investigation Publique, juif (de son vrai nom Klein) ;
28. Kerekes, Procureur général de l’Etat, juif (de son vrai nom Kraus) ;
29. Biro, Chef de la Police Politique, juif (de son vrai nom Blau) ;
32. G. Czerny, Commandant de la bande terrorriste nommée « Les Gars de Lénine », hongrois ;
34. Czabados, Commissaire Supérieur de la Police, juif (de son vrai nom Singer) ;
36. Szabo, Commissaire Supérieur de la Police, juif ruthénien (s’appelant en réalité Schwartz) ;
37. Vince, Commissaire Populaire de la Ville de Budapest, juif (s’appelant en réalité Weinstein) ;
41. Laszlo, Président du Tribunal Révolutionnaire Communiste, juif (du vrai nom de Löwy).11)
« Ce train de la mort traversait en rugissant l’obscurité des nuits hongroises : là où il faisait arrêt,
l’on retrouvait des hommes pendus aux arbres et du sang s’écoulant sur le sol. Au long des rues,
on voyait des cadavres nus et mutilés. Szamuelly dictait ses sentences dans le train, et celui qui
s’était trouvé forcé d’y monter ne pouvait jamais raconter ce qu’il y avait vu…
« Szamuelly vivait constamment dans ce train. Une trentaine de terroristes choisis y veillaient à
sa sécurité. Des serviteurs sélectionnés les accompagnent ; le train est composé de deux
voitures-salon, deux voitures de première classe occupées par les terroristes et deux voitures de
troisième classe pour les victimes. C’est dans ces dernières que sont perpétrées les exécutions.
Le sol de ces voitures est maculé de sang ; les cadavres sont jetés par les fenêtres, pendant que
Szamuelly confortablement installé à son bureau dans sa voiture-salon tapissée de damas rose
décoré de lunes biseautées, décide de la vie et de la mort d’un geste de la main ». 12) `
Le périodique italien « La Divina Parola »(la Divine Parole) du 25 avril 1920 écrivit qu’en Hongrie,
« pendant la réaction anti-bolchevique contre le juif Bela Kuhn, on découvrit dans des souterrains
des cadavres de religieux entassés n’importe comment. Des diplomates étrangers appelés par le
peuple à constater le fait de leurs yeux ont témoigné avoir vu de nombreux cadavres de religieux
et de religieuses, dont les croix pectorales qu’ils portaient normalement sur la poitrine leur
avaient été enfoncées dans le cœur ».
10) Jérôme et Jean Tharaud : « Causerie sur Israël « ,Marcel Lesage, 1926, p. 27.
24 mars 2010
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Annexe (2)
Appendice (4)
Avertissement de l'éditeur (1)
Ière Partie : Le moteur secret du Communisme (5)
IIeme partie – Le pouvoir occulte à travers la maçonnerie (5)
IIIeme Partie – La Synagogue de Satan (11)
IVeme Partie – La cinquième colonne juive dans le clergé (44)
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Banquiers du diable (2)
Rockefeller (famille) (1)
Rothschild (famille) (1)
Le livre du Kahal (14)
Moeurs & Famille (2)
Métissage organisé (2)
Présentation
Vous trouverez ici quelques livres, essentiellement religieux, permettant de mieux comprendre le judaïsme et les juifs,
leurs méfaits, leur Histoire, leurs croyances, et peut-être aussi parfois leurs bienfaits et leurs côtés positifs. Vous ne
devriez pas trouver ici de critique portant sur la race, cela ne nous intéresse pas sur ce blog.
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