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Université Ferhat Abbas Sétif 1

Faculté de Technologie
Département de Génie Civil
Module : TP RDM
2 éme Année Ingénieur

TP N ° 1 :

Calcul du moment Fléchissant par deux méthodes

Par :
• Chougui Sedrat El Mountaha
• Katib Hadil
• Ghanem Anfal
• Djalab Fatima Zohra
• Djerfi Ikram
• Hadjou Ahmed Yacine

Sous Groupe : 3 , GC 1

2023 / 2024
Le Plan de Travail :

1. Définitions

2. Objectif de l’essai

3. Matériels utilisée

5. Le Mode Opératoire

6. Les Calcules

7. Conclusion

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1- Définitions :
. Le moment Fléchissant : Une poutre est dite en flexion lorsqu’elle est soumise à des
forces ainsi que des couples se trouvant dans un plan contenant l’axe longitudinal de
la poutre. Ces forces agissent perpendiculairement à l’axe longitudinal et le plan
contenant les forces est un plan de symétrie de la poutre.
2- Objectif de l’essai :
Déterminer le moment fléchissant par deux méthodes (théorique et pratique). Et faire
une comparaison.

3- Matériels utilisés :
• Un banc d’essai de flexion ESSOM « ST 011 ».
• des barres (éprouvettes) de flexion équipée d’une jauge d’extensomètre.

4- Mode opératoire :
a) pour mesurer le moment fléchissant expérimentalement il suffit de couper la
poutre au niveau de la section où on veut savoir la valeur de l'effort tranchant ou le
moment fléchissant ou bien les deux au même temps, et de faire l'équilibre de l'une de
ces parties (soit la gauche ou la droite) bien sur après connaître les réactions des
appuis.
Pour obtient une mesure d'un moment fléchissant à partir de la mesure de tension du
dynamomètre on règle l'horizontalité de la poutre toujours après chaque chargement,
et on note la tension du dynamomètre c'est-à-dire une lecture directe de la force.
D'où le moment fléchissant est égal à la tension multipliée par la distance "L"
(L = 1000mm), et on refaire le travail pour chaque chargement.
b. Moment fléchissant sous charge ponctuelle.
Les moments mesurés sont presque les mêmes aux moments calculés sauf une petite
différence due au la précision du matériel et à l'observateur et les frottements eu

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niveau de la section et aux appuis.
C. La somme des moments calculés dans les cas 1, 2, 3, 4 pour une charge bien
déterminer est égale au moment de la superposition de ces charges.

5- Les calcules
Cas 1 : Q1=1N, Q2=2N

.Calculer les réactions d’appuis :

∑ 𝑀 𝑝𝑡𝐵 = 0 ⇒ 𝑀 ( 𝑅 𝐴 ) + 𝑀 (𝑄1) + 𝑀 (𝑄2) + 𝑀𝑡 ∗ 2

⇒ − 𝑅𝐴 ∗ 1000 + 𝑄1 ∗ 900 + 𝑄2 ∗ 300 − 𝑀𝑡 + 𝑀𝑡


1∗900 +2∗300
⇒ 𝑅𝐴 = = 1.5 𝑁
1000
. Calculer le moment théorique :

∑ 𝑀 𝐶 = 0 ⇒ − 𝑅𝐴 ∗ 300 + 𝑄1 ∗ 200 + 𝑀𝑡 = 0

⇒ 𝑀𝑡 = 1.5 ∗ 300 − 1 ∗ 200 = 250 𝑁. 𝑚𝑚

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Cas 2 : Q1=1N, Q2=2N, Q3 = 3N

.Calculer les réactions d’appuis :


3 ∗ 100 + 2 ∗ 300 + 1 ∗ 900
∑ 𝑀 𝐵 = 0 ⟹ 𝑅𝐴 = = 1.8 𝑁
1000
. Calculer le moment théorique :

∑ 𝑀 𝐶 = 0 ⟹ 𝑀𝑡 = 1.8 ∗ 300 − 200 = 340 𝑁. 𝑚𝑚

Cas 3 : Q1=1N, Q2=2N, Q3 = 3N

.Calculer les réactions d’appuis :


3 ∗ 200 + 2 ∗ 400 + 1 ∗ 850
∑ 𝑀 𝐵 = 0 ⟹ 𝑅𝐴 = = 2.25 𝑁
1000

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. Calculer le moment théorique :

∑ 𝑀 𝐶 = 0 ⟹ 𝑀𝑡 = 2.25 ∗ 300 − 150 = 525 𝑁. 𝑚𝑚

Cas 4 : Q1=3N, Q2=1N, Q3 = 2N

.Calculer les réactions d’appuis :


2 ∗ 200 + 1 ∗ 400 + 3 ∗ 850
∑𝑀 𝐵 = 0 ⟹ = 3.35 𝑁
1000

. Calculer le moment théorique :

∑ 𝑀 𝐶 = 0 ⟹ 𝑀𝑡 = 3.35 ∗ 300 − 3 ∗ 150 = 555 𝑁. 𝑚𝑚

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6- Conclusion :
Grâce à ce travail pratique, nous avons calculé le moment de flexion de deux
manières différentes : la méthode théorique et la méthode expérimentale,
chacune donnant des résultats différents mais proches. Après avoir calculé
l'erreur à travers le processus mathématique décrit ci-dessus, nous avons
constaté que cette différence change de d'une expérience à l'autre, par exemple
Dans la quatrième expérience, nous avons enregistré la valeur d'erreur la plus
faible, qui était de 6,30. Dans la deuxième expérience, la valeur d'erreur la plus
grande a été estimée à 41,17, et cela était dû à plusieurs raisons, notamment :
erreurs expérimentales, telles que la qualité des outils utilisés dans l'expérience,
une mauvaise méthode de suivi ou une erreur humaine représentée par
l'expérimentateur.

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