résultats voyez-vous sur cette image ? Cette expérience sert à déterminer quel antibiotique est le plus efficace contre la bactérie en culture. Les résultats observés sont 1 1 - l’indifférence des bactéries en culture à deux antibiotiques puis qu’elles se sont 1,5 multipliées dans leur voisinage et 2- la réaction des autres antibiogrammes qui a conduit au non développement des bactéries dans la zone de culture proche des antibiotiques. c) Sachant : - que l’Amoxycilline est l’antibiotique le plus efficace avec la Novamycine - que le Céfaclor et le Céfadroxil sont inefficaces - que la Cloxacilline est plus un peu plus efficace que la Josamycine et moins que l’Amoxycilline, identifiez les buvards d’antibiotique déposés par le laborantin
II) Clostridium botulinum 0/4
Clostridium botulinum est une bactérie qui vit dans des conditions de faible concentration d’oxygène et qui est responsable du botulisme. Les symptômes de cette maladie sont une paralysie respiratoire et musculaire par blocage des fonctions nerveuses. Le botulisme humain, causé par l’ingestion d’aliments contaminés, est une maladie rare. Elle est souvent causée par l’ingestion d’aliments transformés de manière inappropriée tels que les conserves préparées à la maison. Cette bactérie sécrète une toxine qui envahit le corps. a) Comment appelle-t-on ce mécanisme de contamination ? On appelle ce mécanisme contamination par la voie digestive. b) Si la bactérie est transportée par le sang et envahit le corps, comment appelle-t-on ce mécanisme ? On appelle ce mécanisme la contamination par voie sanguine. IV) La diphtérie
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a) A quoi sert l’expérience 1 ?
L’expérience n°1 est une expérience témoin qui sert à vérifier si le sujet se défend de lui-même pour se protéger de bacille diphtérique (avec une réponse immunitaire non spécifique). b) Quelle hypothèse a été émise pour réaliser l’expérience 2 ? Quels sont les cellules mises en jeu dans ce mécanisme de défense ? 1 L’hypothèse est que les cellules immunitaires et les anticorps qui ont protégé le cobaye résistant pourraient protéger également les autres cobayes non résistants. Les cellules misent en jeu sont les lymphocytes. précision . c) Si on recommence l’expérience 2 mais que l’on injecte un bouillon de culture tétanique, quels résultats obtiendrons-nous ? Pourquoi ? Nous obtiendrons sans doute la mort de tous les cobayes car la bactérie tétanique n’est pas la même que 1 celle de bacille diphtérique : les lymphocytes mémoires étant absents V) Le schéma est une version simplifiée d’un schéma publié dans la revue scientifique « la recherche » de septembre 1998. 4,5/7 a) Retrouvez le nom des cellules de défense représentées en 1,2 et 3 d’une part, les mécanismes de défense immunitaire symbolisés par les lettres A, B et C d’autre part. La cellule 1 est un macrophage contenant sur sa paroi cellulaire des antigènes. 3 La cellule 2 est un lymphocyte T4 qui produit des anticorps pour combattre directement le virus La cellule 3 est un autre lymphocyte T4 qui se multiplie en gardant en mémoire les antigènes du virus. Les mécanismes de défense immunitaire symbolisés par les lettres A, B et C sont : - A : L’endocytose ou la phagocytose pour une réponse immunitaire non spécifique. - B : Activation des lymphocytes T4 pour produire les anticorps. - C : Réponse immunitaire : multiplication des lymphocytes T4 mémoire.
b) Parmi les réactions de défenses représentées ici, quelle
est celle qui est immédiate ? Expliquez pourquoi les autres réactions sont plus lentes. La réaction la plus immédiate est directement 1 l’endocytose ou la phagocytose avec des lysosomes permettant de détruire le virus. Ensuite les lymphocytes reconnaissent les antigènes et produisent soit des anticorps directement soit d’autres lymphocytes mémoires pour combattre une infection ultérieure. c) A l’aide de ce schéma de synthèse, montrez pour quelle raison on dit souvent que le lymphocyte T4 est le « chef d’orchestre » des réponses immunitaires spécifiques ? 0,5 le lymphocyte T4 est le « chef d’orchestre » des réponses immunitaires spécifiques car il permet de produire des anticorps spécifiques aux virus et garde en mémoire la production de ces anticorps dès qu’une nouvelle infection du même virus arrive dans le corps. manque de précision