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contenu des pages web. Voici une fiche de lecture de l’ouvrage “Géopolitique du
risque” de Sarah Perret et J. Peter Burgess, basée sur le contexte de la page web que
vous avez ouverte dans votre navigateur Microsoft Edge.

 Préface : Thierry Balzacq présente l’ouvrage comme une approche originale


et exigeante du risque, qui prend en compte ses échelles d’action, ses
vibrations politiques, sociales et culturelles, et ses urgences. Il souligne le
rôle de la Chaire de géopolitique du risque de l’ENS, où les auteurs ont
développé leur réflexion interdisciplinaire, et invite le lecteur à trouver dans
l’ouvrage des outils pour penser et agir à hauteur humaine.
 Introduction : Les auteurs exposent le contexte et les enjeux de la question
du risque dans les sociétés contemporaines, marquées par l’incertitude, la
complexité et la globalisation des menaces. Ils critiquent les limites des
approches positivistes, cloisonnées et occidentales du risque, et proposent
une géopolitique réflexive du risque, qui décentre le regard, interroge les
représentations, les acteurs et les technologies, et articule les dimensions
locales et globales. Ils annoncent le plan de l’ouvrage, qui se compose de
trois parties : des risques au risque, les protagonistes du risque, et la
géopolitisation du risque.
 Des risques au risque : de la globalisation des menaces : Cette partie
analyse l’évolution du concept et de l’expérience du risque, de la possibilité
du danger à l’incertitude de la menace. Les auteurs distinguent les risques
objectifs, liés à la nature, des risques subjectifs, liés à la culture, et montrent
comment la modernité produit une hybridation de ces risques1. Ils s’appuient
sur la notion d’inconnu inconnu, popularisée par Donald Rumsfeld, pour
illustrer la dimension épistémologique et émotionnelle du risque, qui
fonctionne dans une économie de la connaissance. Ils examinent ensuite le
rapport entre le risque et la politique, en montrant comment le risque devient
un objet de gouvernance, de régulation et de légitimation. Ils soulignent
enfin l’évolution du paysage de la menace, qui passe de la sécurité à la
sûreté, et qui intègre des dimensions transversales, globales et
multidimensionnelles.
 Les protagonistes du risque : entre capitalisation politique et
commerciale : Cette partie s’intéresse aux acteurs qui produisent, gèrent et
exploitent le risque, en mettant en évidence les logiques de capitalisation
politique et financière qui les animent. Les auteurs distinguent les acteurs
étatiques, qui utilisent le risque comme un outil de pouvoir, de contrôle et de
légitimation, des acteurs non étatiques, qui profitent du risque comme une
opportunité de marché, de profit et de compétitivité. Ils analysent les
stratégies, les discours et les pratiques de ces acteurs, en montrant comment
ils façonnent les perceptions, les représentations et les comportements du
risque. Ils soulèvent également les enjeux éthiques, sociaux et démocratiques
que pose la capitalisation du risque, notamment en termes de responsabilité,
de justice et de participation.
 La géopolitisation du risque : une gouvernance par l’incertitude : Cette
partie aborde le rôle des technologies dans la production et la gestion du
risque, en montrant comment elles contribuent à la géopolitisation du risque,
c’est-à-dire à sa spatialisation, sa temporalisation et sa visualisation. Les
auteurs examinent les effets des technologies numériques, algorithmiques et
artificielles sur le risque, en mettant en lumière les opportunités et les défis
qu’elles représentent, ainsi que les risques qu’elles génèrent. Ils interrogent
les effets épistémiques de la géopolitisation du risque, en questionnant les
sources, les formes et les limites de la connaissance du risque, ainsi que les
rapports de pouvoir, de domination et de résistance qu’elle implique. Ils
invitent à repenser les sujets du risque, en tenant compte de leur diversité, de
leur positionnalité et de leur agency.
 Conclusion : repenser les sujets du risque : Les auteurs concluent
l’ouvrage en résumant les principaux apports de la géopolitique du risque,
qui permet de dépasser les approches classiques, territoriales et binaires du
risque, et d’ouvrir la réflexion à des dimensions plus complexes,
transversales et réflexives. Ils insistent sur la nécessité de prendre en compte
les subjectivités, les imaginaires et les émotions qui alimentent le risque,
ainsi que les contextes, les expériences et les interactions qui le façonnent.
Ils appellent à une démocratisation du risque, qui implique une participation
plus large, plus critique et plus responsable des acteurs concernés, qu’ils
soient individuels ou collectifs, locaux ou globaux, humains ou non humains.

Bien sûr ! Voici une fiche de lecture de l’ouvrage “Géopolitique du risque : De la


possibilité du danger à l’incertitude de la menace” écrit par Sarah Perret et J.
Peter Burgess :

1. Préface :
o L’ouvrage est présenté comme une approche originale et exigeante du
risque.
o Il combine les perspectives épistémologiques, les échelles d’action et
les contextes culturels.
o Les auteurs ont développé leur réflexion au sein de la Chaire de
géopolitique du risque de l’ENS.
2
o La notion de “géopolitique réflexive du risque” est introduite .
o Le lecteur est invité à trouver des outils pour penser et agir face au
risque.
2. Introduction :
o Le risque est repensé au XXIe siècle dans un contexte de
mondialisation, de complexité et d’incertitude.
o Critique des approches positivistes, cloisonnées, occidentales et
médiatiques du risque.
o La géopolitique du risque permet de saisir les modalités, les acteurs et
les évolutions du risque.
5
o Le risque fonctionne dans une économie de la connaissance .
3. Des risques au risque : de la globalisation des menaces :4
o Transformation du risque : de la potentialité calculable à l’incertitude
affective et imaginaire.
o Temporalité anticipatrice du risque : connaissance et maîtrise de
l’avenir versus inconnu et ignorance.
o Deux types d’inconnu : inconnu connu (menaces futures identifiables
et gérables) et inconnu inconnu (menaces imprévisibles et
anxiogènes).
o Exemple de l’invasion de l’Irak par les États-Unis en 2003 :
justification fondée sur l’inconnu inconnu des armes de destruction
massive.
o Économie de la connaissance du risque : rapport au monde dominant
mais source d’insécurité épistémologique.
4. Les protagonistes du risque : entre capitalisation politique et
commerciale :1
o Acteurs étatiques et non étatiques produisent, gèrent et exploitent le
risque.
o Stratégies, discours et pratiques des acteurs.
o Enjeux éthiques, sociaux et démocratiques de la capitalisation du
risque.
o Responsabilité, justice et participation.
5. La géopolitisation du risque : une gouvernance par l’incertitude :3
o Technologies numériques, algorithmiques et artificielles influencent la
production et la gestion du risque.
o Effets épistémiques de la géopolitisation du risque.
o Sources, formes et limites de la connaissance du risque.
o Rapports de pouvoir, de domination et de résistance.
o Repenser les sujets du risque : diversité, positionnalité et agency.
6. Conclusion : repenser les sujets du risque :6
o Géopolitique du risque permet de dépasser les approches classiques et
d’ouvrir la réflexion à des dimensions plus complexes et réflexives.
o Subjectivités, imaginaires et émotions qui façonnent le risque.
o Contextes, expériences et interactions du risque.
o Démocratisation du risque : participation plus large, critique et
responsable.

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