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Burkina Faso

Groupe N°1 Unité-Progrès-Justice


Prof : Mr TRAORE Date de passage : 11.04/2019
Heure :15-17h

Membre du groupe

BIEBOURE Isaac

DOH BOUE Ferdinand

KYELEM Zacharie

OUEDRAOGO Bachirou

GIURA Mariam

SCIENCE DE LA VIE ET DE LA TERRE

PLAN
Introduction

I. Définition
II. Cause
1. Les Cause économiques
2. Les Cause moderne
III. Les conséquences
1. La perturbation de la dynamique des populations
2. La mutilation d’animaux
3. La migration de la disparition de certaines espèces
 La migration
 La disparition
 La pèche non sélective
IV. Moyens de lutte
1. Création du ministère de l’environnement
2. Réglementation de la pèche et de al chasse
3. Élaboration de lois ou législation pour la protection de
la faune
Conclusion
SOURCE :
Introduction

L'Homme influe énormément sur son environnement : il déplace, met en


danger et sauvegarde les différentes espèces animales ; il tente aussi de
préserver la biodiversité ainsi que la chaîne alimentaire. La portée des effets du
braconnage diffère selon qu'il concerne les espèces dites sédentaires,
ou grandes migratrices (dans ce dernier cas, le braconnage dans une région
ou un pays peut affecter la survie de la population de l'espèce dans un autre
pays). Mais que fait l'Homme pour protéger les espèces ?
I. Définition
Action de chasser ou pêcher en violation des lois et des règlements.
Concernant le permis de chasse, la date et le lieu ainsi que l’espèce
concernée. Il se définit donc par rapport à la législation, et relativement à
la règlementation qui l'applique ; concernant le permis de chasse ou pêche, les
dates et lieux de chasse autorisées, et les listes d'espèces autorisées à la
chasse/pêche (avec des tailles et âge à respecter le cas échéant).
II. Cause
1. Les Cause économiques

Le massacre d'animaux par les braconniers sont souvent encouragés par des
réseaux mafieux, qui alimentent le commerce illégal d'animaux sauvages
(morts ou vifs) et de leurs produits dérivés – fourrures, trophées, viande,
remèdes de charlatan…, qui pèse, selon le Fonds international pour la
protection des animaux (IFAW) 15 milliards d'euros par an, ce qui en fait le
quatrième trafic par le montant derrière ceux de la drogue, de la contrefaçon et
des êtres humains .
2. Les Cause moderne

-Non prise en compte des besoins vitaux locaux dans les lois (Abattage d’un
éléphant pour les cérémonies du Djenguichez les Pygmées)
–Loi jugée discriminatoire ou inéquitable (populations locales comprennent
mal comment on leur interdit la chasse pour se nourrir et autorise aux touristes
pour s’amuser)
–Légitime défense (conflits hommes-faune)
Habitude alimentaire (contrairement à l’affirmation selon laquelle on se rabat
sur les viandes de brousse à cause son bas prix)
–Absence de système d’approvisionnement légal en viande de brousse
–Pauvreté ( viande de brousse = source de revenus)
–Ignorance de la loi .
III. Les conséquences
1. La perturbation de la dynamique des populations

Les modèles matriciels et l’analyse de la viabilité de la population (AVP) sont


devenus d’utiles outils pour comprendre la dynamique et les caractéristiques
des populations. L’analyse démographique à travers les modèles matriciels
périodiques permet de déterminer quelles transitions du cycle de vie
contribuent le plus à l’accroissement de la population étudiée, et quelles
transitions sont les plus sensibles aux perturbations. À partir de ces modèles
matriciels, il est aussi possible de créer différents scénarios d’évolution de
cette population selon les conditions environnementales, d’évaluer l’effet
d’une menace particulière sur l’état de la population et ce sur différentes
classes d’âge ou même d’estimer l’efficacité des différentes stratégies mises
en place pour conserver les espèces en danger.
2. La mutilation d’animaux

La mutilation de bétail est un phénomène où des animaux (généralement


des vaches, des moutons ou des chevaux) sont retrouvés morts et mutilés
dans des circonstances anormales. Ce phénomène est caractérisé par
différents éléments inexpliqués tels que la précision chirurgicale de la
mutilation, le drainage complet du sang de l'animal, l'ablation de certains
organes internes et des organes sexuels. Ce phénomène est répertoriée dans
différents endroits du monde, notamment aux États-Unis, depuis le début
des années 1970.
Différentes hypothèses ont été émises sur l'origine de ce
phénomène : décomposition, prédateurs (animaux
ou cryptides), extraterrestres, rituels satanistes ou organismes secrets. Les
mutilations de bétail ont été l'objet de deux enquêtes fédérales indépendantes
aux États-Unis.

3. La migration de la disparition de certaines espèces


 La migration
Le changement de la température et des concentrations en oxygène( O2 )et
en gaz carbonique (CO2 ) peuvent créer des barrières « invisibles » qui
vont restreindre l’habitat de certaines espèces. Celles qui peuvent se
déplacer, comme les poissons ou le zooplancton, vont alors migrer vers des
nouvelles zones, où l’environnement sera plus propice à leur développement
et leur reproduction.

Actuellement, de nombreuses descriptions empiriques de ces déplacements


vers les hautes latitudes et/ou en profondeur des organismes marins viennent
confirmer cette tendance.

Ces migrations des espèces toujours plus vers le nord peuvent aboutir à
des problèmes de capacité trophique. Par exemple, entre les proies et leurs
prédateurs, il peut ne pas y avoir la même migration, ce qui crée un décalage
dans la répartition des espèces. Cela peut aboutir à une moins bonne
alimentation de certains poissons, à des difficultés de reproduction et à
terme, à une réduction de la production halieutique.

 La disparition

La disparition des espèces animales est un phénomène inquiétant parce qu’il


modifie beaucoup de choses dans la nature, notamment la chaîne alimentaire.
Elle appauvrie aussi la belle diversité qui règne sur la terre. Savoir pourquoi les
animaux peuvent disparaitre permet de mieux les protéger. On fait le point.
Les animaux, susceptibles d’être en danger et selon leur nombre actuel, sont
classés en 3 catégories :
- vulnérables : il faut y faire attention et surveiller leur démographie (leur
nombre)
- en danger : il faut les protéger pour que les choses n’empire pas.
- en critique danger d'extinction : il faut tenter de préserver l'espèce en
protégeant un par un chacun de ses individu.
Cette dernière catégorie est la plus grave et l’animal est alors menacé à
disparaître rapidement.
La disparition de certains animaux est causée par divers facteurs, tels que :
1- La pollution : cela joue un rôle important dans la voie de disparition de
certaines espèces. La mer étant polluée, les poissons avalent des produits
toxiques, qui eux-mêmes sont mangés par des phoques, et ainsi de suite.
Comme tu peux le comprendre, toute la chaîne alimentaire est touchée.
2- La modification de l’environnement : en construisant ses villes, l’homme a
détruit des forêts entières, des lieux de nature, des espaces qui abritent
beaucoup d’espèces. De même, les gaz toxiques rejetés par les usines ont un
impact sur le réchauffement de la planète et donc sur les glaciers. Tu vois, la
fonte des glaciers est terrible pour certaines espèces, comme les ours
polaires.
3 – La pêche et la chasse : avec une population toujours plus importante sur
terre, les hommes ont besoin de se nourrir. La pêche massive impacte sur la
quantité de saumons, de thons ou d’autres poissons dans la mer. Ils
deviennent de plus en plus rares.

 La pèche non sélective

À travers les médias, les scientifiques de la Réserve ont eu l’occasion


d’exprimer leurs opposition à cette pêche au milieu d’un espace naturel riche
toujours en reconstruction et donc particulièrement fragile. De toute évidence,
une telle pêche dans un espace protégé va à l’encontre des intérêts
écologiques de la réserve qui a pour mission officielle la préservation optimale
de toutes les espèces, tant l’inter relations sont fortes entre faune piscicole et
coraux constructeurs.
Rappelons que de nombreuses espèces de requins,
espèces clés dans l’écosystème et les chaînes alimentaires des océans,
sont considérées comme menacées par l’UICN (2). Les captures sans plus
d’étude quant à leurs population, leurs mouvements et leurs comportements
engendre nécessairement des conséquences néfastes pour l’ensemble de
l’équilibre de l’océan, et plus particulièrement pour l’espace côtier réunionnais
déjà bien fragilisé.

IV. Moyens de lutte


1. Création du ministère de l’environnement

On dit souvent que le ministère de l’environnement est né à Chicago. On


fait allusion par là au discours que le président Georges Pompidou
prononça le 28 février 1970, lors du voyage présidentiel aux États-Unis,
et qui exprime combien celui qui était venu à bout de mai 1968 avait de
par sa culture compris et intégré les messages écologistes de ce moment
particulier. En même temps, comme en témoigne l’extrait suivant, il
annonce tous les grands thèmes qui seront traités par le futur ministère
jusqu’à aujourd’hui : « L’emprise de l’homme sur la nature est devenue
telle qu’elle comporte le risque de destruction de la nature elle-même.

2. Réglementation de la pèche et de al chasse

La réglementation varie selon les pays et les pêcheries, et selon le fait que le
navire pêche dans des eaux territoriales ou internationales.
De l’international on parlera du droit de la mer qui est constitué par l’ensemble
des règles relatives à l’utilisation des espaces maritimes, c’est-à-dire « les
étendues d’eau salée, en communication libre et naturelle » par les sujets du
droit international, au premier rang desquels figurent les États.
Le droit de la mer définit donc juridiquement d'une part les espaces maritimes
(eaux intérieures, mer territoriale, zone contiguë, zone économique
exclusive, plateau continental, haute mer, régimes particuliers
des détroits internationaux et des États archipels), d'autre part les droits et les
devoirs des États dans ces espaces, notamment ceux de navigation et
d'exploitation des ressources économiques, ainsi que ceux de la protection du
milieu marin. Le droit de la mer est au centre d'enjeux géopolitiques.
L'Organisation maritime internationale (OMI ou IMO en anglais) est une
institution spécialisée des Nations unies, spécialisée dans les questions
maritimes. Son siège se situe à Londres.
Un exemple sur réglementation de la pèche et de al chasse au Burkina Faso,
LOI N°006/97/ADP du 31 janvier 1997 PORTANT CODE FORESTIER AU
BURKINA FASO et LOI N°003-2011/AN PORTANT CODE FORESTIER AU
BURKINA FASO.

Le présent code a pour objet de fixer les principes fondamentaux de gestion


durable et de valorisation des ressources forestières, fauniques et
halieutiques.

3. Élaboration de lois ou législation pour la protection de


la faune

Loi n° 65-225 relative à la protection de la faune et à l'exercice de la chasse


La présente loi est relative à la protection de la faune et à l'exercice de la
chasse. La protection de la faune est assurée par la création de réserves
naturelles intégrales ou partielles et de parcs nationaux, la protection des
espèces rares ou menacés d'extinction, l'établissement de mesures techniques
de limitation de l'exercice de la chasse et l'interdiction de certains moyens de
chasse, la répression des infractions et l'éducation de la population.
En orientant les politiques, la législation ainsi que les choix budgétaires à
l’échelle nationale et internationale, les décisions prises dans le cadre
de internationaux influent sur la conservation de la faune sauvage et le bien-
être animal. IFAW fournit des études sur certains sujets et milite pour la prise
en compte du bien-être animal dans les conventions et les accords
internationaux, à l’instar de la Convention sur le commerce international des
espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), la
Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune
sauvage (CMS), la Convention sur la diversité biologique (CDB), l’Organisation
mondiale de la santé animale (OIE) ou encore la Commission baleinière
internationale (CBI).
Nous mettons à profit notre expertise et contribuons à l’élaboration de
solutions pratiques à même de réduire les souffrances des animaux et de
protéger leurs populations, notamment les ours polaires, les éléphants, les
rhinocéros, les requins ou les pangolins.
Aux niveaux national et régional, IFAW milite pour l’adoption de lois sur la
protection des animaux et pour l’intégration des valeurs d’éthique animale
dans d’autres règlements et législations.
Une législation nationale efficace établit des normes homogènes pour le
traitement des animaux au sein d’un pays. Outre qu’elles sont souvent plus
faciles à faire appliquer qu’un patchwork de réglementations communales,
provinciales ou régionales, les lois nationales démontrent l'engagement d'une
nation en faveur du bien-être des animaux, que les dirigeants nationaux
peuvent représenter dans le cadre d’accords internationaux.

CONCLUSION
On a dit souvent que « le braconnage est la chasse du pauvre ». Cela était vrai dans les
périodes où la chasse était réservée (en Europe) aux propriétaires des terres (donc aux
riches ou aux aristocrates) et explique une partie du braconnage de viande de brousse (en
partie liée à une chasse de subsistance, voire de survie), mais quand il concerne le trafic
d'animaux vivants, de fourrures, de peaux de reptiles ou d'ivoire ou encore les bois
précieux ou la pêche illégale de civelle ou d'autres espèces menacées, il est organisé au
sein de filières locales, nationales et de réseaux mafieux internationaux
Dans certains pays, les interdictions frappant l’importation de produits dérivés
d’animaux sauvages ou les mesures de protection d’espèces menacées
d’extinction permettent parfois de protéger la faune sauvage dans d’autres
pays.
SOURCE :
https://www.ifaw.org/
https://www.ecolex.org/fr/
ttps://www.idkids.fr
https://www.erudit.org/f

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