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harmattan1@wanadoo.fr
ISBN : 978-2-296-54462-8
EAN : 9782296544628
Dieudonné MEYO-ME-NKOGHE
LES FANG
AUX XIXe ET XXe SIÈCLES
Aspects de l’histoire socioculturelle du Gabon
Études Africaines
Collection dirigée par Denis Pryen et François Manga Akoa
Dernières parutions
3
La prosopographie est utilisée en histoire sociale pour élaborer des
biographies des élites. Pour en avoir des idées plus précises, on peut
s’intéresser aux travaux de Christophe Charles.
4
METEGUE N’NAH, (2004), L’oralistique, Libreville, Raponda Walker.
8 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
5
SAUTTER Gilles, (1966), De l’Atlantique au fleuve-congo. Une géo-
graphie du sous-peuplement, Paris, Mouton.
10 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
6
Ce serait d’après Merlet une expression employée par Philippe Laburthe
Tolra pour désigner la destination de la migration fang dans son ouvrage
paru à Odile Jacob, Seuil, 1986.
7
MEDJO MVE Peter (1997), Interaction et quantité vocalique dans le
parler fang de la région de Cocobeach (Gabon), In Iboogha n° 1, p. 150-
165.
INTRODUCTION GENERALE 11
L’HISTOIRE SOCIOCULTURELLE AU
GABON :
DE VASTES PERSPECTIVES DANS UN
TERRITOIRE EN FRICHE !
8
Les analyses faites dans ce chapitre sont largement tributaires de
l’ouvrage collectif de Delacroix C., Dosse F., Garcier P. (2007), Les
courants historiques en France (XIXe-XXe) siècle), Paris, Gallimard.
22 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
9
L’histoire des marges est cette histoire qui ne s’écrit plus seulement à
partir du centre ou de celle des élites mais s’intéresse aux exclus de
l’histoire, aux marges du monde, de la société et à celui des groupes
exclus (Noirs, pauvres, femmes, homosexuels, criminels, juifs,
sorcières….) Les marginaux se définissent négativement car ils sans
domicile fixe, demeu-rant partout, gens sans aveu, inutiles au monde.
Dans l’espace de la marginalité se meuvent des groupes marginaux
formels et informels. Le caractère le plus important de l’histoire de la
marginalité et de l’exclusion est d’être avant tout une archéologie de
notre savoir, des valeurs et des refus de notre société.
24 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
10
Agulhon M., (1958), Pénitents et Franc-maçons de l’ancienne
Provence. Essai sur la sociabilité méridionale, Paris, Fayard.
11
Vovelle M., (1978), Piété baroque et déchristianisation en Provence au
XVIIIe siècle, Paris, Seuil.
30 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
14
Alain CORBIN est né en janvier 1936 à Courtomer (France). C’est un
historien français d’histoire sociale et des représentations, un historien du
sensible à cause de ses nombreuses études sur l’histoire des sens et des
sensibilités. Il a écrit de nombreux ouvrages.
DE L’HISTOIRE SOCIALE A L’HISTOIRE DES MENTALITES APPLIQUEE AU GABON 41
15
Roger CHARTIER est né à Lyon (France) le 9 décembre 1945. Il se
rattache, par ses travaux, au courant des Annales et travaille notamment
sur l’histoire du livre, de l’édition et de la lecture. Il est professeur au
collège de France et titulaire de la chaire « Ecrits et cultures dans
l’Europe moderne ».
DE L’HISTOIRE SOCIALE A L’HISTOIRE DES MENTALITES APPLIQUEE AU GABON 43
16
HEGEL, (1965) : La raison dans l’histoire, Paris, Plon.
DE L’HISTOIRE SOCIALE A L’HISTOIRE DES MENTALITES APPLIQUEE AU GABON 51
23
Les filets étaient confectionnés traditionnellement en pays fang par le
montage d’une liane résistante appelée ébobola que l’on retrouve dans la
forêt équatoriale.
58 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
24
DU CHAILLU Paul, Voyages et aventures en Afrique équatoriale, CCF,
SEPIA, Libreville, 1990, décrit la manière dont les Fang tuaient les
éléphants à l’aide de la technique du piège à trous.
60 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
Quant aux petits filets, aux mailles plus réduites, ils sont de
pose facile et permettent de capturer les rongeurs tels que les
rats palmistes, les porcs-épics, les écureuils… A ces premiers
outils, on peut ajouter les lances, les couteaux, les machettes,
les morceaux de bois, la corne d’antilope et les gourdins.
Fang Français
Me ne éyola na, me ne e « Je m’appelle tel, je suis le fils de
mone tare… Ba nane… tel autre et de telle autre… jusqu’à
(généalogie).Me ne l’ancêtre fondateur. J’appartiens à
mone ayong … Be lé tel lignage. J’ai été désigné pour
mena me va mine meti vous bénir parce que je suis
akana ma me ligne ya actuellement le dernier de vos
ndzo bore besô. pères vivant. Tous mes frères s’en
BObezand be mana ke si sont allés auprès de Dieu. Si je
ayat. Ngue mava mine vous bénis ce matin c’est pour que
meti etchire nyi akana tous vos péchés soient lavés et que
minseme mikore mine la chasse à laquelle vous vous
ngoul yefe na mine shui rendez soit fructueuse et sans
betsire abii more gue den heurts pour tous… ».
dzume.
LA SOCIABILITE ANTHROPOLOGIQUE LORS DE LA CHASSE AU FILET 67
Fang Français
Me ne Ndong Fulu, « Je suis Ndong Fulu, fils de
emone Fulu Bengone ba Fulu Bengone et de Oyane Esso.
oyane Esso. Ayong tare, De par mon père je suis Oyerk
me ne mone Oyerk me to et Yefale par ma mère. Je bénis
ke mongone yefale. Mava le chasseur (x) fils de (y) et de
we meti na miyeng wake, (z) afin que vous lui permettiez
bevame bebona owui de prendre tous les animaux
betsir abii na aku nécessaires à la cérémonie de
dayidzere eyere lort. retrait de deuil qui aura lieu
dans quelques jours.».
27
NGUEMA François, 70 ans, habitant Bikélé. Entretien du 20 janvier
2001.
68 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
29
Pour comprendre la sociabilité voir MEYO–ME–NKOGHE Dieudonné,
« Les formes de sociabilité dans les rues de Libreville », in Iboogha 3,
ENS, Libreville, 1999, p. 53-79.
76 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
30
La sociabilité à table. Commensalité et convivialité à travers les âges,
Actes du colloque de Rouen, 14-17 novembre 1990, PUR, n° 178.
31
Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales.
32
FLANDRIN Jean Louis, (1999), Table d'hier. Table d'ailleurs, Paris,
Odile Jacob.
78 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
33
MERLET, Annie(1990), Le pays des trois estuaires 1471-1900,
Libreville, SEPIA et (1989) Légendes et Histoire des Myéné de l’Ogooué,
Libreville, SEPIA.
34
L'alimentation demeure au cœur des relations sociales d’un peuple et
favorise les rapports sociaux. La fréquence de la consommation influence
le psychisme et, par conséquent, les manières de manger des populations
dont le dispositif symbolique varie selon les circonstances.
35
Le professeur METEGUE N’NAH Nicolas fait débuter cette période à
l’année 1839 marquant la date de signature du premier accord de cession
de territoire entre Bouët Willaumez et le roi Denis Rapontchombo.
36
Le code de l’indigénat est ce fameux code entré en vigueur en 1910 et
qui prévoit des peines de police (enfermement, bastonnade…) contre les
DES COMMENSALITES EVOLUTIVES AU GABON 79
37
MEYO-M’OBIANG, Moïse, entretiens à Libreville le 15 décembre 2000.
DES COMMENSALITES EVOLUTIVES AU GABON 81
38
Epice locale que les Européens ne connaissent pas sinon il aurait été
peu probable qu’ils se rendent en Asie pour en trouver. Elle a une odeur
qui améliore le goût de certains mets.
39
Cf. MEYO-ME-NKOGHE, D. D., « L’Afrique, l’Europe et les épices », in
Revue de l’IRSH, n° 4-5, Juin 2000.
82 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
42
Pour en savoir davantage sur les Bantou, lire notamment Théophile
OBENGA, (1985) Les Bantu, langues, peuples, civilisations, Paris,
Présence africaine.
86 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
43
Ces derniers boivent de l’eau à la fin du repas en se rinçant
brouillamment la bouche. Ce bruit est le signal pour les femmes et les
enfants de débarrasser la table, d’après AMBOUROUËT Avaro (1980).
92 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
Conclusion de la partie
46
Il faut entendre par peuples premiers, les Pygmées, les Aborigènes, les
Indiens, les Papous…
Deuxième partie :
50
En 1958 il existe cinq groupes de quartiers habités par les autochtones.
On peut citer le premier groupe : Glass, London, Toulon, Naïdja, Oloumi
et Lalala ; le deuxième groupe, Louis, Orety, Plaine Orety, Quaben,
Kringer, Gros-Bouquet et Gué-Gué ; le troisième groupe, Montagne-
Sainte, Mont-Bouët, Nombakélé, Akémidjogoni et Abénélang ; le
quatrième groupe, Nkembo, Cocotiers et Atong-Abé ; et enfin le
cinquième groupe, Derrière-Hôpital, Avenue de Cointêt, Watermann et
Saint Benoit. Cette répartition géographique obéit à la fois à la proximité
de quartiers et à l’origine de leur population. Il existe cependant des
regroupements des quartiers mixtes.
112 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
par une leçon de morale, ce qui n’est pas forcément le cas des
pratiques liées à l’ésotérisme.
Du point de vue ésotérique, il existe des danses rituelles et
celles de réjouissance. Les premières comportent des aspects
secrets et des phases populaires. Dans la partie populaire « il
est fréquent de croiser sur les routes qui partent de Libreville
de longues processions de femmes vêtues de blanc, portant
nattes, torches et ustensiles divers, le visage enfariné ou
moucheté de blanc… » (Lasserre, 1958 : 313). Après la phase
secrète de l’initiation, le groupe de responsables regagne le
village ou le quartier entonnant des chansons d’initiés. Mais
ces manifestations heurtent souvent les chrétiens. En effet,
deux conceptions de Dieu opposent les adeptes des religions
initiatiques africaines et les pratiquants de la religion
chrétienne. D’après les derniers, les agissements des groupes
initiatiques ne seraient pas voués à Dieu, d’où l’antinomie
entre les deux groupes. C’est dans ce contexte que le lundi de
Pâques 1954, se produit un incident qui opposa les membres
de la secte initiatique dénommée « Ndeya Kanga » dont les
adeptes sont reçus « à coup de pierre et de bâton par les
jeunes catéchistes et les fidèles redoutant les intentions de
ces bouitistes » (Lasserre, 1958 : 317). Cette quête du
mysticisme se poursuit jusque dans les cimetières.
Le cimetière, situé au bout d’un sentier a un double rôle. Il
est l’endroit où l’on enterre les morts, mais aussi celui où ont
lieu les rituels mystiques, car les « vivants sont convaincus de
la présence spirituelle des morts autour d’eux » (Mollat,
1989 : 240). Une conséquence de cette conviction et de cet
attachement est que les vivants essaient d’entrer en commu-
nion avec les morts qui, en retour, leur apporteraient des
bienfaits capables d’améliorer leur condition matérielle. Pour
atteindre ce but « on s’aide de quelques rites immémoriaux
comme le repas funéraire, les offrandes apportées au tom-
beau des défunts… » (Goubert, Roche, 1984 : 161), rites qui
LIBREVILLE ET SES SOCIABILITES MENEES PAR LES JEUNES (1849-1960) 119
La rue est un univers que les enfants utilisent à leur gré. Ils
y jouent souvent jusque « dans les escaliers…près du puits
de la cour, dans l’allée (…) et au beau milieu de la ruelle. Ils
jouent, transgressent les interdits, occupant pleinement
l’espace et provoquant souvent la colère des piétons »
(Farge, 1979 : 70). La principale activité qui projette les
jeunes dans la rue est liée à leur scolarité. Lorsque Libreville
est créée, en 1849, les écoles ne sont pas nombreuses. En
effet, le volet social de la politique coloniale est confié aux
congrégations chrétiennes dont la plus active est celle du
Saint esprit. Ces congrégations réalisent la construction de
nombreuses écoles. L’administration ne se ressaisit que plus
tard. Parmi les écoles confessionnelles, on peut citer l’école
protestante de Baraka, les écoles catholiques de Mont-Fort et
de Sainte Marie et l’école publique urbaine qui est une
réalisation de l’administration. Dans ces écoles, pendant les
pauses, les élèves jouent au football dans les cours de
recréation, alors que d’autres se retrouvent en groupes et font
du saute-mouton ou racontent les péripéties du village
auxquelles ils ont été mêlés. Vers 8 ou 9 ans, le jeu préféré
des jeunes de Libreville est la petite guerre et, à cet effet, ils
se servent comme armes « De minuscules bouts de carton
découpés, l’un en forme de fusil, l’autre en forme d’épée »
LIBREVILLE ET SES SOCIABILITES MENEES PAR LES JEUNES (1849-1960) 121
Situation
Cadre
Musique Géogra- Enseignes Total
agréable phique
7 5 5 3 20
Pour-
35 % 25 % 25 % 15 % 100 %
centage
La musique tonitruante, (35 %), est un attrait pour de
nombreux clients qui souhaitent écouter, dans un autre cadre,
les morceaux qui passent à la télé et pouvoir parfois s'exhiber
en public. Les enseignes situées sur des voies principales
BISTROTS, ECHOPPES ET SOCIABILITE DANS LES BARS DE LIBREVILLE 145
51
MERLET Annie (1990), Le pays des trois estuaires, SEPIA.
52
GIRAULT, René (1979), Diplomatie européenne et impérialisme (1871-
1914), Paris, Masson.
53
EYEGHE Jean André (1998), « Les relations entre Européens dans les
régions de Lambaréné de 1867 à 1960 », in Ibogha n° 2, Libreville, les
Editions du silence.
DES RUPTURES DE SOCIABILITE AU GABON JUSQU’AU XXE SIECLE 149
54
Moulengui-Boukosso Vincent (1984), Une population flottante dans un
espace non maîtrisé : La population flottante de la forêt gabonaise,
Montpellier, thèse de 3ème cycle, Université Paul Valéry.
55
Meyo-Me-Nkoghe Dieudonné, (1995), Les élites africaines dans trois
territoires de l’Afrique Equatoriale Française (Gabon, Moyen-Congo et
Oubangui-Chari) de 1930 à 1960, Thèse N.R., Université de Rouen.
150 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
56
EYEGHE Jean André, (1998), « Les relations entre Européens dans la
région de Lambaréné de 1867 à 1960 », In Iboogha n° 2, Libreville, Les
Editions du Silence, p. 5-23.
DES RUPTURES DE SOCIABILITE AU GABON JUSQU’AU XXE SIECLE 161
58
Sur neuf provinces que comptent le Gabon (267 667 Km 2), les Fang
habitent l’Estuaire, le Moyen-Ogooué, l’Ogooué-Ivindo, l’Ogooué Mari-
time et le Woleu Ntem. Les quatre autres provinces du Gabon habités par
d’autres ethnies sont la Ngounié, la Nyanga, le Haut-Ogooué et l’Ogooué
Lolo.
59
Ministère de la Planification et de la Programmation du
Développement, Recensement Général de la Population 1993. La
population totale fang des trois pays est estimée à près de 800 000
personnes d’après Medjo Mve (1998), « Approche dynamique des
systèmes phonologiques de huit parlers fang : Essai de synthèse », In
Iboogha n° 2, Libreville, Les Editions du silence
DE LA MENTALITE A LA MEMOIRE COLLECTIVE CHEZ LES FANG DU GABON 167
60
Cf. Meyo-Me-Nkoghe D., (2001), « Les enseignes de bars « bistrots »
de Libreville (Gabon) : Contribution à l’histoire des mentalités ? » In
Plurilinguismes n° 18, Université René Descartes, p. 147-168.
DE LA MENTALITE A LA MEMOIRE COLLECTIVE CHEZ LES FANG DU GABON 171
63
LEGRAND D’AUSSY, (1782), Histoire de la vie privée des Français,
Paris
64
MEYO M’ENGONE, entretien le 23 novembre 2004 à Bikelé.
174 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
65
Adzep est un arbre de la forêt équatoriale qui symboliserait l’entrée des
Fang dans ce milieu.
66
NDONG NTOUTOUME, entretien le 30 septembre 2004 à Bikelé.
DE LA MENTALITE A LA MEMOIRE COLLECTIVE CHEZ LES FANG DU GABON 175
67
MINKUE Marie, entretien le 28 octobre 2004 à Bikelé.
176 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
68
OGOULA Sébastien, 70 ans, habitant Bikelé, entretien le 22 décembre
2004 à son domicile de Bikelé.
69
Selon D’ALMEIDA-TOPOR « l’Afrique noire mobilisa environ 200 000
hommes…dont 30 000 à 35 000 (tués) “sénégalais”. La proportion des
victimes militaires originaires des colonies (est) évaluée entre 21,6 et
22,4 % des recrutés » (1999 : 86).
178 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
70
BRAUDEL Fernand, (1966), La Méditerranée et le monde
méditerranéen à l’époque de Philippe II, Paris, Armand Colin.
180 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
72
Le philosophe allemand affirme dans La raison dans l’histoire que
«ce que nous comprenons en somme sous le nom d’Afrique, c’est un
monde anhistorique non développé, entièrement prisonnier de l’esprit
naturel et dont la place se trouve encore au seuil de l’histoire
universelle » (1964 : 269).
73
VANSINA Jean, (1961), De la tradition orale. Essai de méthode
historique, Tervuren, Annales série n° 8, Sciences Humaines, n° 36.
184 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
74
Aperçu historique du Gabon.
188 LES FANG AUX XIXe ET XXe SIECLES
Personnes ressources
Bibliographie
Première partie :
L’Histoire socioculturelle au Gabon : de vastes
perspectives historiques ! …………………………… 19
Chapitre I :
De l’histoire sociale à l’histoire des mentalités
appliquée au Gabon : un chantier immense !.......... 21
Chapitre II :
La sociabilité anthropologique lors de la chasse au
filet chez les Fang du Gabon (1849-1960)………….. 55
Chapitre III :
Des commensalités évolutives dans le territoire du
Gabon (XIXe-XXe siècles)…………………………… 75
Deuxième partie :
Des sociabilités nouvelles dans le Gabon pré et post
indépendant (1849-1960)…………………………… 101
Chapitre V :
Bistrots, échoppes et sociabilité dans les bars de
Libreville (1960-1990) ……………………………..... 125
Chapitre VI :
Les ruptures de sociabilité au Gabon jusqu’au XXe
siècle ………………………………………………….. 147
Chapitre VII :
La mentalité et la mémoire collective des Fang
du Gabon (1898-1960) !............................................ 165
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