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ΘΕΜΑΤΑ 2019
Γραπτή εξέταση
Citation de Daniel Boulanger « La publicité est une organisation du mensonge »
Est -elle valable? Commentez-donnez d’ arguments.
Προφορική εξέταση
Αποσπάσματα από τον τύπο π.χ. σχετικά με το Facebook, transports, laïcité, féminisme
ΘΕΜΑΤΑ 2018
Γραπτή εξέταση
’la valeur du respect de l’opinion de l’autrui dans les relations interpersonelles’’
4 avril 2015
Sur le blog "Focus campus" du "Monde" Jean-Claude Lewandowski : "L’abandon progressif
du latin et du grec, un contresens majeur"
On peut comprendre, dans cette période où le chômage des jeunes atteint un niveau
record, où la question de leur accès à l'emploi se pose avec tant d'acuité, où le système
éducatif peine à remplir sa mission, que les pouvoirs publics aient d'autres priorités que
l'enseignement du latin et du grec à l'école.
On peut d'autant plus le comprendre qu'il n'est pas possible d'expliquer en quelques mots
l'utilité et l'intérêt qu'il y a, pour un lycéen ou un collégien, à apprendre le latin et le grec. Et
qu'à l'heure du "prêt-à-penser" et de la superficialité triomphante (notamment sur les
écrans TV, sur les réseaux sociaux et autour des terrains de sport), le défenseur des
"humanités" passe, au choix, pour un trouble-fête, un dangereux réactionnaire ou un parfait
illuminé.
Et pourtant, il faut le dire et le redire : l'abandon progressif de l'enseignement de ces
langues anciennes, depuis plusieurs décennies, constitue une erreur majeure. Et la dernière
réforme annoncée par le ministère de l'Education nationale sur ce sujet s'inscrit bel et bien
dans le droit fil de ces renoncements successifs. Sous couvert d'"interdisciplinarité" et
d'ouverture accrue, elle va conduire au saupoudrage et reléguer un peu plus ces matières au
rang de disciplines subalternes, optionnelles... et au final inutiles. D'autant qu'elle sera
conduite, pour une bonne part, par des enseignants qui n'auront eux-mêmes pas étudié le
latin et le grec...
Rappelons que ces deux langues dites "mortes" sont en réalité bien vivantes : la langue
française que nous utilisons aujourd'hui, est pour une large part - au moins 70 % - l'héritage
direct du latin (surtout) et du grec. Autrement dit, apprendre le latin ou le grec, c'est
améliorer son niveau de français. Mieux encore : c'est se faciliter grandement
l'apprentissage d'autres langues, et en particulier celui des langues latines (espagnol,
portugais, italien, roumain...). Bref, loin d'être une façon de se couper des réalités
d'aujourd'hui, c'est un moyen de s'ancrer dans la mondialisation.
Soulignons aussi qu'il est faux d'imaginer que l'apprentissage du latin et du grec va
encombrer un peu plus l'emploi du temps déjà surchargé des élèves : ces deux matières
sont une clé majeure, un fabuleux moyen d'acquisition pour les autres disciplines - le
français, bien sûr (expression écrite, expression orale, raisonnement, orthographe), mais
aussi l'histoire, les math, la physique... On y acquiert le sens du détail et de l'analyse, l'art de
la synthèse, la maîtrise de la logique et de la déduction, le sens de la beauté (la vraie, pas
celle des plateaux de télé)... Toutes choses utiles dans la plupart des autres matières, et
pour toute la vie. L'apprentissage du grec et du latin, loin d'alourdir les emplois du temps,
facilite en réalité l'ensemble des études.
Erreur encore que de croire que l'apprentissage du latin et du grec est réservé à une
certaine bourgeoisie. Qu'il n'est qu'un privilège de nantis et un "marqueur social". C'est tout
le contraire : il y a belle lurette que les milieux les plus aisés s'en sont détournés pour
investir dans l'étude du chinois, du marketing ou de la finance. En réalité, l'étude des
"humanités" est un puissant moyen de promotion sociale. Ce qui manque le plus
cruellement aux jeunes des milieux défavorisés, ce sont les "codes" et la culture générale,
dit-on souvent ; or quel meilleur moyen d'accès à ces codes (linguistiques, notamment) et à
la culture que l'étude des humanités, qui constituent les fondements même de notre
civilisation ?
Au reste, nombre de nos meilleurs esprits, de nos plus brillants cerveaux, de nos patrons
d'universités et de grandes écoles ont bénéficié d'un apprentissage sérieux du latin et du
grec. Aucun d'eux, à notre connaissance, ne le regrette.
Reconnaissons toutefois que les enseignants de latin et de grec ont sans doute leur part
de responsabilité dans ce déclin de leur discipline : ils n'ont pas su en proposer un
enseignement attractif, capable d'intéresser et de captiver les jeunes élèves. Trop souvent,
ils se sont trop contentés de les faire peiner sur les textes de Cicéron, de Sénèque ou de
Démosthène, bien trop rébarbatifs pour des adolescents. Résultat, l'étude du latin et du
grec a fini par paraître à beaucoup à la fois ennuyeuse et difficile. Alors qu'il fallait, pour
séduire les jeunes, leur faire découvrir en même temps que les déclinaisons latines ou
grecques, les merveilles de l'étymologie, de la civilisation antique, de l'archéologie... Bref,
les enseignants des humanités ont un peu oublié de faire de la pédagogie. Est-il encore
temps ?
Sujets oraux
Les objets connectés au corps, les nouvelles technologies
Les enfants hospitalisés et comment faire lorsque leur domicile est loin
Le trafic et la pollution dans les grandes villes
Texte : « Que signifie de chez-nous ? » le problème de migration en France et en Grèce.
La vie quotidienne d’une française qui travaille autrefois et aujourd’hui.
Distribuer des tentes aux SDF
Le manque d’eau à l’échelle mondiale. Comment résoudre le problème
Brocante virtuelle française
Un projet de loi : mesures contre le tabagisme
Les français et les vacances : tour operating
Smartphones : les lumières des écrans nuisent à la qualité du sommeil
Le chômage en France : statistiques
Les estivants français ; pourquoi les français partent en vacances, qu’est-ce qu’ils
attendent ?
La biodiversité, influence- t-elle notre vie ? Les dangers de la disparition des espèces
animales
Les pharmacies sociales et leur rôle dans les sociétés actuelles
Les américains et le commerce en ligne
La marginalisation de l’argent liquide
Les banquets à l’antiquité
Texte : « Ma différence est dans le regard des autres » (les personnes handicapées)
Arles : capitale mondiale de la photo (L’art moderne)
Hiroshima et Tchernobyl. Le nucléaire et ses avantages (autrefois et aujourd’hui)
La cuisine : parler de cuisine à la télé. Pourquoi les acteurs présentent des émissions de
cuisine à la télé ?
« Le temps retrouve » de Marcel Proust → L’adaptation d’un roman au cinéma
L’influence de la publicité aux enfants, le côté négatif, la législation grecque (s’il y en a)
Le système éducatif en France et en Grèce : est-il un « ascenseur social » ?
Les écoles spécialisées (écoles musicales e.t.c.)
EDF : Les français produisent leur propre courant
ΘΕΜΑΤΑ 2015
" L'influence du terrorisme dans l'economie, la vie politique, les valeurs de la societe "
προφορική εξέταση
L'integration europeenne
Immigration
La crise economique
Le chomage
Θεματικές ενότητες προφορικών
1.
Α. Lisez le texte svp.
B. Idée préconçue, répandue, décrire : Τί σημαίνει:
C. Est-ce qu’il y a des idées reçues qui sont contraires à la réalité ?
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Lisez le texte.
De quoi nous parle ce texte ?
Sarment : On peut l’utiliser en agriculture ?
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