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Groupe

Plan de
vigilance Réponse au Chaine
identifié courrier Cartographie d'approvisionnement Actions adaptées Mécanisme d'alerte
Auchan x C
Avril - Sanders x C
Bel x C
Bigard
Carrefour x x C
Casino x x C
Cooperl x C
Danone x C
E. Leclerc x
Elior x x
Les Mousquetaires x C
Lactalis
LDC
x
Lidl
x
Neovia
x
Olivier Bertrand
Sodexo x x
Sodiaal x
Système U x
Terrena x
Suivi

rq

rq
rq
rq

r
rq
rq

rq
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rq
rq
Nom de la société
Fiche d'identité

Qualité générale du plan de vigilance si identifié


I. Principes transversaux
1. Publication
2. Périmètre groupe

3. Périmètre extragroupe

4. Périmètre substantiel

5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou
régionales

7. Gouvernance

8. Mise en oeuvre constante


de la vigilance
Qualité des mesures de vigilance ou de diligence en particulier à l'égard du soja et de la déforestation
1. Cartographie des risques

a. Méthodologie de la
cartographie

b. Publication exhaustive de la
cartographie

c. Identification analyse et
hiérarchisation des risques liés
aux commodités agricoles et à la
déforestation

d. Identification, analyse et
hiérarchisation des risques liés
au soja (x2)

2. Mesures d'évaluation de la
chaine d'approvisionnement

Traçabilité de la chaîne
d'approvisionnement

Mise en place de mesures


d'évaluation
Qualité des mesures
d'évaluation

3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique
déforestation
Plan d'action spécifique soja

Objectifs et calendrier

Faire cesser le dommage et


prévenir sa réitération

Engagement pour un moratoire


étendu
4. mécanisme d'alerte

Implication des syndicats

Qualité et effectivité des


mécanismes d'alerte

5. Suivi et mise en oeuvre


effective
Mise en place d'un système de
contrôle et de suivi

Présence d'indicateurs de suivi


des mesures (effectivité) et de
suivi de gestion des risques
(efficacité) ainsi que leur
méthode d'élaboration

Mesures correctives prises en


conséquence
ale du plan de vigilance si identifié

Le Plan est publié de façon 1.1 autonome 1.2 formalisée 1.3 exhaustive 1.4 accessible
Le Plan 2.1 couvre clairement la société mères et ses filiales et 2.2 indique le périmètre et la méthode de consolidation 2.3 permet d'iden
idéalement au moyen d'une liste 2.4 précisant leur localisation, contrôle, activités...)
les identifie de façon spécifique (relations commerciales, rang, volume d'ac
3.1 le plan couvre les fournisseurs et sous-traitants et 3.2
traitée....) 3.3 en particulier avec des listes 3.4 fournissant un niveau de détail suffisant (position dans la chaîne de valeur, loca
géographique, main d'oeuvre, activités...)
4.1 le plan couvre clairement et de 4.2 façon interdépendante les risques et atteintes graves aux droits humains, à l'environnement et à la santé et à la sécurité e
d'identifier les normes de référence sur lesquelles se base la société et 4.4 de potentiels conflits
la méthodologie de la consultation des parties pren
5.1 le plan fait état de l'implication des parties prenantes et en particulier 5.2 du choix et de
pertinentes 5.3 pour l'établissement et la mise en oeuvre effective des diverses mesures 5.4 indique les résultats de ces consu
de leur prise ou compte (ou non)
6.1 le plan fait état d'une ou des initiatives auxquelles la société participe 6.2 depuis quand et son niveau d'implication 6.3 décrit les travaux et les mécanismes d
se montrer critique;
le plan indique 7.1 la gouvernance globale de la vigilance 7.2 démontre son caractère transversal et précise la 7.3 gouvernance de chaque mesure 7.4 de façon
déterminer les interlocuteurs pertinents
le plan est partiellement ou totalement mis à jour de façon régulière et pas seulement au moment de la publication du document de réference, attestant ainis d'u
constamment vigilant et non d'un simple reporting à terme
esures de vigilance ou de diligence en particulier à l'égard du soja et de la déforestation

Le Plan précise a.1. la méthodologie adoptée pour réaliser la cartographie des risques a.2. Elle donne en particulier des précisions sur les sources d'information
d'analyse, les fréquences de mise à jour, la participation des parties prenantes... a.3. Il en ressort clairement que le Plan vise les risques et atteintes graves po
l'environnement et non pour la société elle-même a.4. En particulier, la hiérarchisation est faite en raison de la probabilité
du risque, avec une priorité donnée à la gravité (ampleur, étendue des dommages)
La cartographie des risques est a.1. publiée
b.2. de façon exhaustive et détaillée, c'est à dire permettant d'identifier concrètement les
localisation b.3. idéalement à l'aide de plusieurs cartographies croisées (activités, produits, localisation) et b.4. fait ressortir exp
hiérarchisation

décrit en détaille la nature du risque (impacts environnement et


La société c.1. identifie les risques liés aux commodités agricoles et c.2.
indique comment le risque a été analysé et c.4. hiérarchisé par rapport aux autres activités ou enjeux
précise la nature du risque (impacts environnementaux, humains) d.3. indiqu
Identifie spécifiquement d.1. les risques liés au soja d.2.
risque a été analysé (par exemple en fonction des volumes, des pays producteur, des exploitations, des semences OGM, pesti
d'oeuvre sur les exploitations, dates de conversion des terres et autorisations de déforestation ou de conversion s'il y a lieu) et
par rapport aux autres enjeux, matières premières ou activités, étant précisé que l'analyse et la hiérarchisation des risques ne v
exclure du Plan (sauf à ce que le risque n'existe pas) mais plutôt à en prioriser la gestion

plus particulièrement sur la déforestation et / ou


Le Plan a.1. apporte des informations sur le niveau de traçabilité de la chaîne de valeur a.2. et
apporte des éléments de précision sur l'origine exacte des matières premières (localisation spécifique, tonnage, nature des se
main d'oeuvre, utilisation de pesticides) a.3. idéalement une liste des filiales fournisseurs et sous-traitants concernés et des pré
activité et leur rang dans la chaîne (agriculteurs, éleveurs, coopératives, transformateurs, négociants, acheteurs, importateurs,
que le cas échéant, des précisions sur les fournisseurs et sous-traitants autorisés et fréquence des mises à jour de la liste s'il y
précise quelles filiales fournisseurs et sous-traitants font
Le Plan indique b.1. les procédures d'évaluation de la chaîne mises en place b.2. il
d'évaluation (par exemple leur rang dans la chaîne, la proportion d'activité représenté, le nombre d'entités...) b.3. la nature (au
non; visites par des tiers indépendants ; certifications ou labels) et b.4. la fréquence de celles-ci ;
les résultats des évaluations ainsi que si né
Le Plan c.1. donne des éléments de précision sur le cahier des charges des mesures d'évaluation c.2.
mesures correctives mises en place c.4. le cas échéant, la société sait se montrer critique à l'égard des mécanismes de ce
labellisation ou les initiatives multi-parties prenantes par lesquelles elle passe pour mener ces évaluations

La société a a.1. un plan d'actions spécifique sur la déforestation b.1 établi avec les parties prenantes pertinentes
La société a b.1. un plan d'actions spécfique au soja b.2. établi avec les parties prenantes pertinentes
Les 1. objectifs et 2. le calendrier du ou des plans d'action sont clairement identifiés et 3. présentent un niveau de détail suffisa
basé sur des indicateurs qualitatifs et ou quantitatifs
La société 1. envisage clairement la rupture des relations commerciales avec certains fournisseurs et sous-traitants 2. la société en
certaines activités / pratiques et développe des alternatives

La société 1. s'engage à soutenir un moratoire étendu à l'ensemble des écosystèmes endémiques de l'Amérique du Sud et /ou 2. est signataire du Cerrado M

leur périmètre ratione personae et ratione materiae 3. il respecte les e


1. Les mécanismes d'alerte mis en place sont indiqués 2. ansi que
d'implication des parties prenantes et en particulier des syndicats 4. et précise leur mode d'implication (idélament à la fois dan
mise en oeuvre et le suivi du ou des mécanismes).
procédures relatives à ces mécanismes 3. ces procédures gar
Le Plan 1. indique précisément les différents outils mis en place 2. il indique les
respect des principes applicables aux mécanismes non judiciaires de règlement des différents (légitimes, accessibles, prévisibl
transparents, compatibles avec les droits, source d'apprentissage permanent et fondés sur la participation et le dialogue); 4. il p
effectivement être facilement saisi relativement à la problématique du soja ou de la déforestation, notamment par des exploitan
dans la chaîne d'approvisionnement, des ONG au niveau local ou international...

Le Plan 1.fait état des procédures internes et ou externes mises en place afin de suivre l'effectivité des processus de vigilance et 2. publie les résultats de ces m

La société 1. indique les indicateurs


qu'elle utilise pour assurer 2. le suivi de l'effectivité et 3. de l'efficacité des mesures 4. ainsi que
d'élaboration ; les indicateurs comprennent notamment des indications des ressources investies dans l'établissement et la mise
mesures

La société indique les plans correctifs prévus; NB: CR de mise en oeuvre effective obligatoires uniquement à partir de 2019
Nom de la société Auchan
*effectif ETP 2017 dans le périmètre consolidé, contre 342 709 en 2016 (Rapport financier
Fiche d'identitée SA, 341 399 monde ; la société n'a pas répondu à nos courriers annuel 2017, p. 40) https://www.auchan-retail.com/fr/newsroom/articles/rapport-financier-
annuel-2017-auchan-holding
Devoir de vigilance "Plan de vigilance" Rapport financier annuel p. 17
I. Principes transversaux Analyse de la publication - 18,75 Précisions apportées par la société
Plan formalisé p. 17 du rapport annuel dans un chapitre dédié, mais ne semble pas faire l'objet d'une publication
1. Formalisme sur le site ; 2 pages ; pas de traduction identifiée
NA

p. 17, Paragraphe 2.8.2 a) Périmètre de l'entreprise ; pas de précision sur les filiales (listes ou localisation) ; p.18
"les sociétés d’Auchan Holding ont défini une politique d’éthique constituée d’une charte éthique, d’un code
2. Périmètre groupe NA
d’éthique commerciale et d’un guide de l’éthique au quotidien. Cette politique est relayée auprès des collaborateurs
et est animée par des comités Éthique par pays."

Idem, 2.8.2 p. 17 "Périmètre des fournisseurs concernés. Auchan Retail s’approvisionne pour l’ensemble de ses
activités par différents biais: achats locaux, centrale d’achat, filiale dédiée en charge de la conception et de
l’approvisionnement des produits à marque Auchan. " "Les principes de cette politique sont déclinés à l’ensemble
3. Périmètre extragroupe NA
des partenaires des trois entreprises d’Auchan Holding dont les fournisseurs doivent, en signant la charte,
s’engager à se conformer aux exigences du Pacte Mondial des Nations Unies. Auchan Retail inclut également
dans ses contrats une clause exigeant le respect des droits humains chez ses fournisseurs."

p. 17 "Périmètre de l'univers des risques: La loi sur le devoir de vigilance propose un cadre très général à la
définition de l’univers des risques à considérer. Sur cette base et en s’inspirant de référentiels internationaux
reconnus tels que les UNGPs (United Nations Guiding Principles), Auchan Retail a travaillé à la définition d’un
univers des risques adapté à la diversité de ses activités afin d’évaluer les risques réels auxquels le groupe est
potentiellement exposé" "droits humains et libertés fondamentales: travail des enfants, travail forcé, non-liberté
d’association et respect du droit de grève, discrimination et non-diversité, non-respect des droits des peuples
4. Périmètre substantiel NA
autochtones, non-respect de la réglementation liée aux travailleurs migrants, heures de travail excessives, salaires
en deçà des seuils légaux, harcèlement et abus, inégalités de salaires, non-respect du bien-être animal;santé et
sécurité: intégrité des bâtiments, accidents du travail, substances toxiques au travail, accidents industriels, santé et
sécurité du consommateur; environnement: pollution des eaux, sols et airs, destruction de la biodiversité,
changement climatique, pénurie d’eau, utilisation abusive des terres, conséquences potentielles de l’utilisation
d’intrants chimiques."

5. Parties prenantes NA

"Au Bangladesh, Auchan Retail est également signataire de l’Accord sur la sécurité incendie et la sécurité dont le
but est de veiller à l’intégrité des bâtiments et à l’existence de mesures de sécurité conformes aux exigences
6. Initiatives sectorielles ou
élémentaires de prévention des risques dans le secteur textile. L’Accord couvre la moitié des usines textiles du NA
régionales
Bangladesh dont le niveau de sécurité a nettement progressé grâce aux inspections et aux contrôles réguliers." p.
18
"Auchan Retail a mis en place un comité de pilotage chargé des thématiques liées au devoir de vigilance. Le
7. Gouvernance comité est composé de diverses fonctions, incluant notamment la direction RSE, direction de la compliance et la NA
direction des Ressources Humaines." (p.18)

"Ce processus sera suivi de procédures régulières d’évaluation et de mise à jour des risques." "Ces audits viennent
8. Mise en oeuvre constante de également alimenter en retour la cartographie des risques. Celle-ci est par essence évolutive et sera mise à jour en
NA
la vigilance cas d’évolution notable de l’activité de l’entreprise ou en cas d’identification d’un risque émergent non identifié
jusqu’alors." p. 17

SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au Informations publiées Précisions apportées par la société
regard des risques liés au soja

1. Cartographie

"La méthodologie de cartographie des risques utilisée distingue le risque inhérent, c’est-à-dire le risque brut avant
toute mesure d’atténuation et le risque résiduel, c’est-à-dire le risque subsistant après application des moyens
d’atténuation. La cartographie des risques comprend deux étapes: l’évaluation des risques inhérents suivie de
l’évaluation des risques résiduels. L’établissement de la cartographie des risques inhérents procède d’une analyse
en profondeur reposant sur des sources d’informations internes et externes à l’entreprise. Les risques sont ainsi
évalués sur la base d’entretiens avec les équipes internes les plus qualifiées (Achats, Sourcing, Qualité, Audit
Méthodologie NA
interne, Risques, RH, Conception Produits), d’un examen approfondi de la documentation existante ainsi que d’une
revue bibliographique de chacune des étapes et composantes de la chaîne d’approvisionnement d’Auchan Retail.
Chacun des outils d’atténuation mis en place par les sociétés d’Auchan (Engagements du groupe, politiques
préexistantes et audits de responsabilité sociale et environnementale du Groupe) est évalué selon son efficacité et
la portée de l’outil. Les zones de risque résiduel ainsi mises en avant représentent celles pour lesquelles un plan
d’action devrait être mis en œuvre de façon prioritaire."

La cartographie n'est pas publiée: "Afin de s’assurer de l’adéquation des mesures d’évaluation et d’atténuation
avec ses risques les plus significatifs, Auchan Retail a entrepris une cartographie de ces risques. Cette
cartographie permettra d’ajuster le plan d’action en fonction des priorités identifiées. Initiée en 2017, celle-ci
Publication NA
est en cours de finalisation au moment de la publication du présent plan de
vigilance. Ses principales conclusions seront ainsi rappelées, en même temps que le
compte rendu du plan de vigilance dans le rapport financier publié en 2019." p. 18

Commodités agricoles et L'univers des risques pour l'environnement mentionne "destruction de la biodiversité, changement climatique,
NA
déforestation pénurie d’eau, utilisation abusive des terres, conséquences potentielles de l’utilisation d’intrants chimiques"

Soja NA
2. Mesures d'évaluation chaine
d'approvisionnement

Traçabilité NA

"Auchan Retail réalise des audits sur les sites de production de ses fournisseurs. 1 046 audits sociaux ont ainsi été
réalisés en 2017, principalement chez des fournisseurs de produits non-alimentaires. Conscient du risque qu’elle
représente en matière d’atteinte grave envers les droits humains et les libertés fondamentales, la santé et la
sécurité des personnes ainsi que l’environnement, les équipes Corporate dédiées réalisent également chaque
Mesures d'évaluation NA
année de nombreux audits en matière de détection de la sous- traitance opaque." p. 17 "Enfin, les audits réalisés
de manière inopinée en matière de sous-traitance opaque ont permis de sensibiliser les fournisseurs à ces enjeux
et aux risques qu’ils faisaient porter à l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, allant même, dans certains
cas, jusqu’à provoquer une rupture immédiate de la relation contractuelle avec le fournisseur incriminé." p. 18 ;

"Les audits sociaux réalisés chez les fournisseurs, quel que soit le référentiel suivi, permettent de s’assurer de
l’absence de violation des droits humains et libertés fondamentales– travail des enfants ou travail forcé,
Qualité des mesures d'évaluation discrimination, pratiques disciplinaires, manquements graves à la protection de la santé et sécurité. Ils permettent NA
également de faire émerger de bonnes pratiques, de sensibiliser les fournisseurs, et partant de réduire à court,
moyen et long terme tout manquement, même mineur, aux droits des personnes."

3. Actions adaptées de prévention


et d'atténuation
Plan d'action spécifique
NA
déforestation
Plan d'action spécifique soja NA
Objectifs et calendrier NA

"Enfin, les audits réalisés de manière inopinée en matière de sous-traitance opaque ont permis de sensibiliser les
fournisseurs à ces enjeux et aux risques qu’ils faisaient porter à l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement,
Faire cesser le dommage allant même, dans certains cas, jusqu’à provoquer une rupture immédiate de la NA
relation contractuelle avec le fournisseur incriminé." p. 18 ; semble cependant
concerner en priorité les fournisseurs de produits non alimentaires

Prévenir sa réitération: engagement


NA
pour un moratoire étendu

4. mécanisme d'alerte
Le Plan prévoit de "finaliser la mise en place du système d’alerte et recueil des signalements relatifs à l’existence
Implication des syndicats ou à la réalisation des risques liés à la loi sur le devoir de vigilance, ouvert aux parties prenantes internes et NA
externes à l’entreprise;" en 2018 (p. 18)

Qualité et effectivité des


NA
mécanismes d'alerte

5. Suivi et mise en oeuvre effective

"Auchan Retail a mis en place un comité de pilotage chargé des thématiques liées au devoir de vigilance. Le
comité est composé de diverses fonctions, incluant notamment la direction RSE, direction de la compliance et la
Mise en place d'un système de
direction des Ressources Humaines.Le comité est chargé de piloter le plan d’actions et de veiller à sa bonne NA
contrôle et de suivi
exécution. Il sera en charge de présenter son avancement en 2018" (p.18)

Présence d'indicateurs NA

"Auchan Retail a adopté un plan d’actions pour 2018 consistant à:


- finaliser la cartographie des risques inhérents, du recensement des moyens d’atténuation et de la cartographie
des risques résiduels afin de permettre de définir de nouvelles priorités d’action pour 2019;
- confronter les résultats de la cartographie à des parties prenantes internes ou externes choisies;
Mesures correctives prises en
- finaliser la mise en place du système d’alerte et recueil des signalements relatifs à l’existence ou à la réalisation NA
conséquence
des risques liés à la loi sur le devoir de vigilance, ouvert aux parties prenantes internes et externes à l’entreprise;
- déployer les comités éthiques dans les 2 derniers pays non couverts;
- développer de manière ciblée dans un premier temps les audits environnementaux de fournisseurs, sur la base
de celui mené en décembre 2017 avec pour premier objectif de limiter les risques liés aux pollutions de l’eau."
Nom de la société Groupe Avril
SCA, 7 626 collaborateurs monde ; CA= 6,2 Md d'euros en 2017; la société a répondu à nos
Fiche d'identitée
courriers ; détient notamment la marque Sanders ; possède des sites industriels au Brésil
Devoir de vigilance La société nous affirme ne pas être concernée par la loi ;
I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou
régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre
constante de la vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au
Informations publiées : rapport RSE
regard des risques liés au
soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et
identifié comme un enjeu dans le rapport RSE mais sans précision
déforestation
Soja identifié comme un enjeu sans précision
2. Mesures d'évaluation
chaine d'approvisionnement
Traçabilité Description des sources de soja français
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures
d'évaluation
3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique
déforestation
Plan d'action spécifique soja
Rapport RSE 2017 p. 30 "Avec un objectif à l’échéance 2025 : être en capacité de produire en
Objectifs et calendrier France l’équivalent de 500 à 600 000 tonnes de tourteaux de soja pour les animaux." des objectifs
également sur les enjeux globaux de RSE.
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération:
engagement pour un
moratoire étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des
mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre
effective
Mise en place d'un système
identification succincte de la gouvernance RSE dans le rapport p. 44
de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs suivi des objectifs globaux de RSE à la fin du rapport RSE 2017
Mesures correctives prises
en conséquence
Groupe Avril, Rapport RSE 2017 p.42 https://www.groupeavril.com/fr/medias/Groupe%20

Précisions apportées par la société

Dans son mail de février 2019, Avril nous a fournit un décompte des volumes et importations de soja de sa filiale
SANDERS, ainsi que des précisions sur le pays d'origine du soja, le type de semance (OGM ou non) et le degrés de
Précisions: "Vision
traçabilité apportées par la=société
nationale Utilisation globale de tourteaux de soja en France en 2017 = environ 3,3 Millions de
tonnes dont 2,8Mt importées; La consommation de SANDERS représente environ 9% de ce
total de 3,3 Millions de tonnes. Répartition par origine des tourteaux de soja utilisés par
SANDERS en 2017. Part France = 3,9%. Part import = 96,1%. Dont : Brésil 70%, USA
20%, Argentine 10%. Répartition par types de tourteaux de soja utilisés par SANDERS en
"La
2018.
"Avril maîtrise
trouve des
Tourteaux risques
précisément deenvironnementaux
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depuis de Ce sujet
nombreuses sera notamment
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soja publication
Nos de notre *résultat à valoriser
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certification
Déclaration Proterra) : 2% > Traçabilité le triturateur et la zone de collecte sont connus. car le niveau de détail
en la matièredesePerformance
structurent autour Extra-financière
de deux axes d'icidemi-2019"
travail: (réponse
sur le sojamail février
importé et 2019)
le soja français" (courrier avril 2018) est sensiblement
;DesDansaudits
son mail terrains
de févriersont 2019, réalisés.
Avril nousTourteaux de soja des
a fournit un décompte importé
volumes non OGM (sous
et importations de certification
soja de sa filiale meilleur que dans les
Proterra)
SANDERS, :ainsi 12% que > desTraçabilité
précisions sur : leleproducteur
pays d'origine du ousoja,
le groupement
le type de semance de(OGM
producteurs
ou non) et le est
degrés de autres réponses
connu. Des
traçabilité audits ci-dessous)
(cf traçabilité terrains sont réalisés. Tourteaux de soja français (donc non-OGM) : 6% reçues et / ou
: Traçabilité + achat de 12 000 crédits RTRS" "80% (en volume) des matières premières analysées
transformées
"Des audits terrainsdans nos 23 usines de nutrition animale en France sont issues de
sont réalisés."
Soutenirnationales."
"cultures la relance d'une "Sandersfilièreetsoja nationale
Sofiprotéol sont etactionnaires
non OGM. Avril est engagé
d'Extrusel, le 1erdans la
triturateur
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à Chalon-sur-Saône; une autre fédère unité de et trituration
coordonnedeles soja
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"Avril
en est également
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(...) Cette - dans Duralim,soutient
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"Sofiprotéol accompagne également financièrement la nouvelle société SELVAH qui va
construire
NA en 2019 une usine de production d'ingrédients alimentaires (pour l'alimentation
humaine) à base de protéines de soja. L'usine utilisera des graines de soja régional tracé,
NA
non OGM principalement de Bourgogne et Franche-Comté" ; "Avril s'engage de manière
volontaire à acheter chaque année 10 000 crédits RTRS afin d'aider à l'essor du soja
responsable
NA
(...)" (mail février 2019)
NA
NA
Nom de la société
Fiche d'identitée

Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme

2. Périmètre groupe

3. Périmètre extragroupe

4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou
régionales

7. Gouvernance

8. Mise en oeuvre constante


de la vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au
regard des risques liés au
soja
1. Cartographie

Méthodologie

Publication

Commodités agricoles et
déforestation
Soja

2. Mesures d'évaluation chaine


d'approvisionnement

Traçabilité

Mesures d'évaluation
Qualité des mesures
d'évaluation

3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation

Plan d'action spécifique


déforestation

Plan d'action spécifique soja

Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage

Prévenir sa réitération:
engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte

Etablissement et Implication des


syndicats

Qualité et effectivité des


mécanismes d'alerte

5. Suivi et mise en oeuvre


effective
Mise en place d'un système de
contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs

Mesures correctives prises en


conséquence
Groupe Bel
SA ; 12 743 collaborateurs ; 3 346 M€ en 2017 ; la société a répondu à nos courriers

Plan de vigilance publié à partir de la page 40 du rapport annuel 2017


Analyse de la publication

A partir de la page 40 du document de référence, plusieurs mentions de la vigilance dans les paragraphes dédiés à
l'éthique puis dans des paragraphes sur les droits humains; les informations semblent mélangées avec celles
concernant la vigilance requise par la loi Sapin II (corruption et autres atteintes à la probité) rendant ainsi
l'information concernant les différentes obligations et mesures peu lisible; le Plan ne semble pas faire l'objet d'une
publication séparée ni de traductions facilement accessibles.

"Conformément aux exigences légales, l’exercice de cartographie a été décliné dans l’ensemble des filiales du
Groupe et couvre tous ses territoires d’export." p. 40 les entités et leur localisation ne sont cependant pas précisées ;
point intéressant, la société a une politique de lobbying responsable démontrant une
prise en compte des enjeux dans des domaines d'activité même hors du coeur de
métier opérationnel

Le Plan comprend des éléments visant les fournisseurs sous traitants et distributeurs sans détail sur le périmètre
exact (rang, liste...) ; "Les sous-traitants permettent aux marques de développer leur présence sur de nouvelles
géographies. Ils fabriquent environ 5 % du volume total commercialisé par le Groupe. En
2017, 6 sous-traitants majeurs du Groupe (production supérieure à 1 000 tonnes par
an) représentaient près de 90 % du volume sous-traité."

p. 41 "Depuis 2003, le Groupe réaffirme ainsi régulièrement ses engagements et rend compte de ses progrès sur
quatre principes fondamentaux : le respect des droits de l’homme, le respect des normes de travail, la lutte contre
toute forme de corruption et le respect de l’environnement." "En 2017, et dans le cadre de sa cartographie des
risques, le Groupe a mené un chantier visant à détecter, et mesurer les risques d’atteinte aux droits
humains, en ciblant notamment les risques d’esclavage moderne, de travail forcé, de
travail d’enfants, d’atteintes à la liberté syndicale ou de négociation collective." Le
groupe vise également le respect des droits fondamentaux des collaborateurs "dans
l’ensemble des filiales du Groupe et notamment les droits relatifs au temps de travail,
à la rémunération, à la lutte contre la discrimination et à la liberté syndicale."
Se penche également spécifiquement sur le "Respect du droit des enfants en tant
qu’employeur direct ou indirect: En regard du positionnement de la plupart de ses marques,
le Groupe Bel considère que le respect du droit des enfants est un enjeu majeur. Son cadre
de référence est constitué des 10 Principes directeurs sur les droits de l’enfant et les
entreprises élaborés conjointement par l’UNICEF, l’organisation Save the Children et le
Global Compact (pour plus d’informations : www.unicef.org/csr)."
Les conventions 138 et 182 de l’OIT (l’Organisation internationale du travail) sont les textes
de référence du Code de bonnes pratiques des affaires de Bel et de sa Charte des achats
responsables.
Le risque attaché au travail des enfants a donc naturellement fait l’objet d’une attention
particulière dans le cadre du travail de cartographie des risques et le Groupe a ainsi contrôlé
que les processus de recrutement et d’accès aux sites étaient suffisamment robustes pour
limiter tout risque de travail des enfants au sein des filiales du groupe."
Les règles du code de bonne pratique des affaires "ne se substituent pas aux lois et
règlements nationaux en vigueur que les équipes sont toujours tenues de respecter,
et lorsque la réglementation d’un pays est plus rigoureuse qu’une règle éthique
stipulée dans le Code, cette réglementation nationale doit prévaloir." "Bel est conscient
que le périmètre de sa responsabilité environnementale s’étend depuis les activités
de son amont agricole jusqu’à la consommation de ses produits par le consommateur
final et la valorisation de ses déchets d’emballages.
Le Groupe a également identifié que l’utilisation soutenable des ressources naturelles
et la lutte contre le changement climatique sont des enjeux majeurs pour la durabilité de
la filière laitière et constituent ainsi un risque majeur pour la pérennité de ses activités (voir
paragraphe 2.2 « Risques liés à l’environnement externe »).
Pour répondre à ces enjeux, le Groupe met ainsi en place des plans d’amélioration continue
ou incite à en mettre en place lorsqu’il n’est pas directement acteur. Cette démarche est
détaillée dans le paragraphe 3.5. « Réduire son empreinte environnementale »." p. 42
"Bel est convaincu qu’une croissance durable passe par une démarche de co-construction avec des partenaires
externes spécialistes des enjeux clés pour le Groupe." travail notamment avec le WWF p. 45 ; "Les parties
prenantes de Bel sont variées notamment du fait de la distribution internationale de ses marques et de l’implantation
de ses sites industriels. Écoute, dialogue et concertation sont menés localement par les différentes directions avec
leurs propres parties prenantes. Cette organisation décentralisée permet de tenir compte de ces échanges de façon
très opérationnelle." p. 40

mentionne également p. 45 des initiatives interprofessionnelles ; "membre de la RTRS (Round Table on Responsible
Soy) dès 2014" ; travail avec EcoVadis et AIM PROGRESS

"Un Comité constitué des représentants des fonctions support du groupe (juridique, RSE, achats, finance, RH,
risques...) a travaillé en qualité de Comité de pilotage dans le cadre de la mise en œuvre des lois Sapin II et Devoir
de vigilance." p. 41

pas d'information sur une mise à jour

Informations publiées

"Afin d’identifier et hiérarchiser les risques bruts en matière de corruption, d’atteintes aux droits de l’homme ou à
l’environnement, le Groupe a évalué ses risques en tenant compte de trois critères (voir paragraphe 2.2.3 « Risque
de corruption et de violation des droits humains ») : la localisation de ses activités ; la nature de
ses activités (Production, Commercialisation, Services) ; le poids de ses activités. (...)
Cette première phase d’étude a été complétée par une analyse approfondie des politiques
et points de contrôle en vigueur au sein du groupe et permettant de limiter ces risques, afin
d’adopter les plans d’actions appropriés.
Afin de couvrir l’ensemble des filiales du Groupe, cette méthodologie a été déclinée
localement grâce à des questionnaires d’autoévaluation sur les risques de corruption,
d’atteintes aux droits humains et à l’environnement, dont l’analyse a permis de
mesurer le risque réel à la lumière des politiques et points de contrôle en vigueur
dans nos filiales.
Par ailleurs, Bel a toujours été particulièrement vigilant quant aux risques liés à sa chaîne
d’approvisionnement. Ainsi et au- delà des évaluations réalisées par EcoVadis depuis
2009 (voir paragraphe 3.2.3 « Promouvoir les bonnes pratiques sociales et
environnementales avec ses partenaires »), le Groupe a également mené fin 2017 un
chantier de cartographie de ses risques par catégorie d’achat lui permettant d’affiner
ses plans de vigilance.
Par ailleurs, le Groupe rappelle systématiquement à ses fournisseurs le Devoir de vigilance
qu’ils doivent eux-mêmes exercer par rapport à leur propre chaîne d’approvisionnement. Ce
point est évalué de façon spécifique par EcoVadis (...)" p. 42

La cartographie elle-même n'est pas publiée de façon exhaustive (enjeux, localisation, hiérarchisation et critères...)

La déforestation mentionnée dans le document de référence (p. 72) ; le Groupe travaille également sur l'huile de
palme ; les informations ne sont pas explicitement rattachées au plan de vigilance
idem ; "l'amont laitier" et ses impacts sont régulièrement évoqués ; notamment, le groupe semble évaluer son impact
environnemental et l'émission de GES liés au scope 3 en y incluant les matières premières agricoles

p. 44 "Dans un objectif d’alignement des outils et des pratiques entre les équipes Achats, MOM utilise depuis 2017 la
solution EcoVadis pour évaluer la performance RSE de ses fournisseurs et a adopté les mêmes règles de gestion
des scores d’évaluation que celles mises en place au sein des équipes Achats de Bel.(...)
En 2017, AIM-PROGRESS et EcoVadis ont lancé une initiative sectorielle dans le cadre de laquelle les entreprises
membres d’AIM-PROGRESS ont une visibilité sur les fournisseurs évalués par EcoVadis, en vue de réduire la
duplication des demandes d’évaluation et d’encourager la transparence dans les chaînes de valeur (1).
Cette initiative comporte deux volets :
- Bel et cinq autres membres d’AIM-PROGRESS utilisant la plateforme EcoVadis partagent les évaluations de leurs
fournisseurs à travers la plateforme ;
- les membres AIM-PROGRESS n’utilisant pas EcoVadis reçoivent à intervalles réguliers une liste de fournisseurs
évalués par ces six sociétés, en leur donnant l’opportunité de demander aux fournisseurs de partager ces
évaluations."Bel demande à tous ces fournisseurs de se faire évaluer par EcoVadis avec les mêmes règles de
gestion que les autres fournisseurs. Aucun sous-traitant évalué ne présente de risque élevé (score EcoVadis
inférieur à 25/100)." "Les fournisseurs évalués depuis moins de trois ans représentent 67,3
% du montant des achats du Groupe – hors producteurs de lait." un tableau précise le
nombre de fournisseurs évalués, le taux de couverture les notes moyennes p. 44
"Bel favorise les relations avec ses fournisseurs dont les pratiques lui paraissent compatibles avec ses objectifs de
croissance durable.Depuis 2009, le Groupe évalue la performance fournisseurs et sous-traitants qu’il considère
prioritaires au regard de leur volume d’affaires, du risque potentiel associé aux produits/services fournis ou encore
de leur implantation géographique. Menée avec EcoVadis, prestataire spécialisé dans le domaine des achats
responsables, cette évaluation est basée sur 21 critères, regroupés en quatre thèmes :
Environnement, Social, Éthique et Fournisseurs/Chaîne d’approvisionnement. Le
fournisseur évalué obtient une note pour chaque thème et un score global sur 100
(l’indice le plus favorable étant 100).
Le score moyen obtenu par le portefeuille des fournisseurs de Bel augmente
régulièrement et est toujours au-dessus du score moyen du panel évalué par
EcoVadis. Cela illustre la démarche d’amélioration continue dans laquelle ils sont engagés,
grâce à la mobilisation des équipes achats à leurs côtés." un tableau précise le nombre de
fournisseurs évalués, le taux de couverture les notes moyennes p. 44 ; d'autres précisions
sont apportées concernant les fournisseurs de lait à compter de la p. 61

Difficile à identifier au titre du plan de vigilance ; mais le Groupe travaille également sur l'huile de palme ; des
paragraphes sont dédiés à la déforestation dans le document de référence dans lesquels le Groupe indique "Le
Groupe vise à éliminer la déforestation de sa chaîne d’approvisionnement à 2025."

Le Groupe Bel indique être "membre de la RTRS (Round Table on Responsible Soy) dès 2014" ; il semblerait que le
risque a été identifié mais la publication n'est pas claire sur le point de savoir si le soja et la déforestation font l'objet
de plans d'actions / mesures spécifiques formalisées

Pas dans le Plan mais ailleurs dans le document de référence p. 72 il est mentionné que "Le Groupe vise à
éliminer la déforestation de sa chaîne d’approvisionnement à 2025."
Difficile à identifier au titre du plan de vigilance mais le document de référence indique que dans le cadre de son
engagement contre la déforestation "et de son partenariat avec le WWF France, le Groupe promeut un mode de
production durable de l’alimentation des vaches dont le lait entre de façon directe ou indirecte dans la formulation de
ses produits (voir paragraphe 3.3.1 « Agir pour un amont laitier responsable »). Dans le cadre de son
accord avec l’APBO en France, le Groupe offre ainsi une prime aux producteurs ayant
recours à une alimentation sans OGM pour leurs vaches laitières. La volonté du
Groupe est d’étendre le recours à une alimentation animale ne contribuant pas à la
déforestation à l’ensemble de ses bassins laitiers. Bel couvre également par l’achat
de certificats depuis 2016 100 % des volumes de tourteaux de soja (certification
RTRS) et de PKE (certification RSPO) utilisés au niveau mondial pour produire le lait qui
entre dans la composition de ses fromages."

"Depuis 2015, les collaborateursde Bel ont accès à un système d’alerte permettant de
déclarer les manquements aux principes énoncés dans le Code de bonnes pratiques des
affaires dont ils auraient connaissance." indique un mécanisme couvrant uniquement les
collaborateurs ; pas d'autre mécanisme identifié pouvant être saisi notamment par des
parties prenantes externes sur la problématique du soja ; rien concernant l'implication des
syndicats dans l'établissement ou le suivi dudit mécanisme
Le document de référence dans la partie RSE décrit dans les grandes lignes des événements marquants, des
priorités pour l'année à venir et des indicateurs sur les enjeux RSE avec des objectifs de court et moyen terme
Fromageries Bel, Document de référence 2017, p. 2 et 41

Précisions apportées par la société

"le Groupe Bel a effectivement établi et publié un plan de vigilance conformément aux dispositions
de la loi 2017-399 du 27 mars 2017. Ce plan de vigilance a été publié en page 40 et suivantes du
Document de Référence du Groupe incluant le rapport de gestion annuel de l’exercice clos le 31
décembre 2017, déposé à l’AMF et disponible sur le site corporate : www.groupe-bel.com."

"Conformément aux exigences légales, l’exercice de cartographie a été décliné dans l’ensemble
des filiales du Groupe et couvre tous ses territoires d’export."
"Il sera complété et publié de nouveau dans le Document de Référence portant sur l’exercice clos
le 31 décembre 2018, disponible à compter du 3 avril prochain"

Précisions apportées par la société

Le courrier reprend globalement les termes utilisés dans le chapitre Plan de vigilance du rapport
du groupe : "En termes de méthodologie, et afin d’identifier et hiérarchiser les risques bruts en
matière d’atteintes aux droits de l’homme ou à l’environnement, le Groupe a d’abord défini la liste
de ses enjeux - la déforestation a été identifiée comme un enjeu important - et évalué les risques
attachés à chacun d’entre eux en tenant compte de trois critères :
o La localisation des esactivités;
o La nature de ses activités (production, commercialisation, services) dans chacun des
territoires dans lesquels il opère ;
o Le poids de ses activités dans chacun de ces mêmes territoires. Conformément aux exigences
légales, l’exercice de cartographie a été décliné dans l’ensemble des filiales du Groupe et couvre
tous ses territoires d’export. Cette première phase d’étude a été complétée par une analyse
approfondie des politiques et points de contrôle en vigueur au sein du Groupe afin de limiter ces
risques et d’adopter les plans d’actions appropriés."

"la déforestation a été identifiée comme un enjeu important "


"S’agissant de la question des atteintes à l’environnement et aux droits humains constatés
spécifiquement en Amérique du Sud du fait de la culture du soja, Bel, avant même l’adoption de la
loi sur le devoir de vigilance, a réalisé une analyse de cycle de vie de ses produits à la suite de
laquelle, les filières d’approvisionnements agricoles ont été mises au cœur de son programme
RSE. En effet, l’impact des activités du Groupe sur l’environnement
provient essentiellement de l’amont laitier et de la gestion des
exploitations laitières." Travail mis en place pour identifier le risque avec le
WWF: "Lors de la première phase du partenariat (2012-2015), le WWF
France a aidé le Groupe à cartographier et à évaluer l’impact
environnemental de l’alimentation des vaches laitières. Une analyse fine de la
composition et de l’origine des matières premières entrant dans l’alimentation
des vaches laitières a été réalisée - d’abord en France et Pays-Bas, les deux
plus grands bassins de collecte pour Bel - puis sur l’ensemble des bassins
d’approvisionnement.
A l’issue de cette étude, le tourteau de soja est ressorti comme l’un des
ingrédients à travailler en priorité pour limiter son impact sur
l’environnement et en particulier sur la déforestation.
Le Groupe s’est ensuite appuyé sur la méthodologie internationale
d’évaluation du risque du WWF, adaptée au secteur de l’alimentation des
vaches laitières (Outil supply risk analysis). L’outil a permis d’évaluer la
part de soja à risque utilisée par pays et de calculer le nombre de
certificats nécessaires pour compenser les volumes de soja utilisés par
les éleveurs. Pour mémoire, l’achat de ces certificats permet de financer la
création de filières durables et encourage les agriculteurs locaux à poursuivre
un mode de production certifié." + qques informations sur les volumes

72 895
"Le tourteau de soja, utilisé pour sa teneur élevée en protéines et correspondant à
tonnes en 2017 (évaluation de la quantité réalisée avec un outil développé
par le WWF)" "en Slovaquie depuis avril 2018 et en France depuis juillet
2018, les éleveurs sont passés à une alimentation des vaches 100% sans
OGM. Cela sera le cas pour les éleveurs des Pays-Bas en 2019. Ces trois
pays représentent près de 75 % de la collecte de lait du Groupe au niveau
mondial."

"Il s’agit donc d’actions qui s’inscrivent dans le temps et qui ne peuvent être conduites qu’en
parfaite concertation avec les éleveurs. En effet, le Groupe Bel n’est pas une coopérative. Quelle
que soit l’organisation de la filière locale d’approvisionnement, (par exemple : association de
producteurs en France, coopératives en Pologne ou éleveurs indépendants en Slovaquie), les
éleveurs restent des « chefs d’entreprise » autonomes dans leurs exploitations." "En ce qui
concerne le dispositif d’évaluation des tiers, Bel a toujours été particulièrement vigilant quant aux
risques liés à sa chaine d’approvisionnement. Ainsi et au-delà des évaluations
réalisées par EcoVadis depuis 2009 (voir paragraphe 3.2.3 du Document
de Référence précité), le Groupe a également mené fin 2017, un chantier
dédié de cartographie des risques par catégorie d’achat, pour affiner les
plans de vigilance vis-à-vis des fournisseurs."
"En ce qui concerne plus particulièrement la prévention des risques et atteintes liés à la culture du
soja, et tel que précisé en introduction, le Groupe travaille depuis 2012 avec l’ONG
WWF France pour construire une filière laitière durable et travailler à la
réduction de l’impact environnemental de l’amont laitier."
Charte mondiale du Groupe Bel pour une filière amont laitier durable

"En la matière, le Groupe s’est fixé des objectifs ambitieux dans le cadre de « La Charte mondiale
du Groupe Bel pour une filière amont laitier durable » (pour plus de détails, voir plus bas) parmi
lesquels une utilisation de 100% de tourteaux de soja durables et traçables,
par les éleveurs auprès desquels il collecte, à horizon 2025." "Enfin, tout
début 2018, le Groupe a formalisé l’ensemble de ses engagements dans la
Charte mondiale du Groupe Bel pour une filière amont laitier durable, comme
évoqué ci-dessus." "Dans ce document public, Bel s’est par exemple engagé
à ce que 100 % du soja utilisé par les éleveurs soit traçable (ségrégé)
d’ici 2025, mais également à ce que 100% de l’alimentation animale soit
non OGM. Le Groupe a déjà commencé à déployer cette ambition dans
plusieurs de ses bassins laitiers. "
"Pour mémoire, l’achatde ces certificats permet de financer la création de
filières durables et encourage les agriculteurs locaux à poursuivre un mode
de production certifié. Ainsi et plus concrètement, Bel a rejoint la Table Ronde
sur le Soja Responsable (RTRS) dès 2014. En 2015, le Groupe a acheté des
certificats couvrant les volumes de soja utilisés par les éleveurs sur le
périmètre européen, puis en 2016, sur l’ensemble des bassins de collecte du
Groupe. Par ailleurs, avec l’aide du WWF France, Bel a mis en place un
projet de mécénat pour soutenir financièrement les producteurs de soja
au Mato Grosso (Brésil), les aider à mettre en place des pratiques
responsables et à accéder à la certification RTRS. En 2017, ce sont 36.000
hectares qui ont ainsi été certifiés via l’achat de près de 73 000 certificats."
"Ces engagements pour une alimentation animale sans OGM entrainent
une évolution des pratiques des producteurs de lait favorable à une
diminution de l’utilisation de soja d’importation. En effet, la faible
disponibilité de soja non OGM sur le marché conduit au développement
progressif de pratiques de substitutions par d’autres matières premières non
OGM ne provenant pas de zones déforestées d’Amérique Latine.
Par ailleurs, pour chercher à identifier et explorer des alternatives, Bel
participe à des essais de culture de soja en France avec les producteurs
de lait. Ces essais culturaux sont complétés par des essais de
transformation à la ferme pour que le soja puisse être directement
valorisé dans l’alimentation des animaux.
Aux Pays-Bas, des essais de cultures pour augmenter l’autonomie
alimentaire des exploitations, en particulier protéique, sont aussi menés
avec différents partenaires pour aider les producteurs à imaginer de nouvelles
alternatives au soja importé.
L’ensemble de ces engagements et initiatives visent à favoriser la mise en
place d’alternatives au soja d’importation dans l’alimentation des animaux
et donc à en limiter la culture dans les zones sensibles. Ces démarches
doivent impérativement être co-construites avec les éleveurs qui restent des
chefs d’entreprise autonomes dans leurs exploitations. Le Groupe Bel les
accompagne au mieux en ce sens."

Soutien au Cerrado manifesto

"Vous avez également soulevé la question de l’existence et du fonctionnement d’un système


d’alerte et de recueil des signalements. Le Groupe Bel dispose d’un système d’alerte depuis 2012,
initialement ouvert à tous ses collaborateurs lorsqu’ils sont victimes ou témoins d’agissements
contraires à l’éthique. Il a depuis été ouvert aux tiers via l’insertion du numéro
dédié sur son site Internet." "Le système a été conçu pour permettre de
traiter équitablement toute problématique d’éthique quelle qu’en soit la
nature."

"Le traitement des signalements est assuré selon les cas par des référents éthiques (du siège ou
dans les filiales) ou par le Comité d’éthique.
Dans tous les cas, la confidentialité, la rapidité de traitement, et la protection du lanceur d’alerte
sont garanties par le Groupe et rappelées dans un guide de traitement des alertes élaboré à cet
effet par la Direction Juridique du Groupe.
Lorsque l'alerte est traitée, le référent-éthique et le Comité d'éthique s'assurent que les causes de
ces faits ont été clairement identifiées et que les mesures adéquates ont été adoptées."
En pj du courrier, quelques indicateurs sur des objectifs de la politique RSE avec un suivi de
l'évolution "en Slovaquie depuis avril 2018 et en France depuis juillet 2018, les éleveurs sont
passés à une alimentation des vaches 100% sans OGM. Cela sera le cas pour les éleveurs des
Pays-Bas en 2019. Ces trois pays représentent près de 75 % de la collecte de lait du Groupe au
niveau mondial"
Nom de la société
Fiche d'identitée

Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou
régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante
de la vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au
regard des risques liés au
soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et
déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine
d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures
d'évaluation
3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique
déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération:
engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Etablissement et Implication des
syndicats
Qualité et effectivité des
mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre
effective
Mise en place d'un système de
contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en
conséquence
Groupe Bertrand (Hippopotamus, Burger King, Quick)
31 000 collaborateurs ; pas de réponse au courrier

non précisé, pas de plan identifié


Analyse de la publication

Informations publiées
Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société


Nom de la société
Fiche d'identitée

devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence

mesures correctives prises en conséquence


Bigard
14 000 collaborateurs ; la société n'a pas répondu à nos courriers ;

Pas de plan identifié


Analyse de la publication

Informations publiées
Bigard, "Chiffres clés", https://www.bigard.fr/fr/espace-professionnels/chiffres-cles.html

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société


Nom de la société

Fiche d'identitée

Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisle

2. Périmètre groupe

3. Périmètre extragroupe

4. Périmètre substantiel

5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou
régionales

7. Gouvernance

8. Mise en oeuvre constante de la


vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le
cas échéant, au regard des risques
liés au soja
1. Cartographie

Méthodologie

Publication

Commodités agricoles et à la
déforestation
Soja

2. Mesures d'évaluation chaine


d'approvisionnement

Traçabilité

Mesures d'évaluation

Qualité des mesures d'évaluation

3. Actions adaptées de prévention et


d'atténuation

Plan d'action spécifique déforestation

Plan d'action spécifique soja

Objectifs et calendrier

Faire cesser le dommage


Prévenir sa réitération: engagement
pour un moratoire étendu

4. mécanisme d'alerte

Implication des syndicats

Qualité et effectivité des mécanismes


d'alerte

5. Suivi et mise en oeuvre effective

Mise en place d'un système de contrôle


et de suivi

Présence d'indicateurs

Mesures correctives prises en


conséquence
Carrefour

SA ; 378 923 collaborateurs ; la société a répondu à nos courriers

* Document de référence 2017 Carrefour, p. 90


Analyse de la publication
Chapitre p. 88 à 93 du Document de référence 2017. Fonctionne à plusieurs reprises par renvois (voir p. 91, 5 renvois).
Pas de publication autonome accessible. Pas de traductions identifiées.
"Cet engagement se décline dans les différentes activités du Groupe" (p. 88). Pas d'indication du périmètre exact du
Groupe ni de renvoi vers une liste des filiales et sociétés contrôlées concernées.

p. 88 "cette démarche entend appliquer ses principes dans la chaîne de valeur du Groupe à travers les chartes
fournisseur et Charte éthique intégrées dans les contrats d'achats et de prestation dans tous les pays". Sans précision
permettant leur identification. Plusieurs des mesures semblent ne viser que les fournisseurs de la marque propre de
Carrefour. Aucune liste ni renvoi vers des listes de fournisseurs et sous-traitants.

Le Plan vise les risques et atteintes graves aux droits humains, à l'environnement et à la santé et à la sécurité. Le Plan
vise quelques normes internationales et de droit souple: "la Déclaration universelle des droits de l'Homme, les huit
conventions fondamentales de l'OIT" (p. 90). Renvoi aux règles en vigeur dans les pays où le groupe opère sans
précision sur la gestion des conflits de normes.

La cartographie des risques a fait intervenir "des consultations avec les équipes opérationnelles concernées, des ONG
et des partenaires sociaux" dont le WWF et la FIDH ( p. 88, 89 et 90). Le Plan mentionne également un "dialogue
social interne et externe de qualité tant au niveau Groupe que dans les pays et entités", avec la signature d'un Accord
Cadre International avec UNI Global Union. En cas d'atteinte "des programmes correctifs sont établis en collaboration
avec les parties prenantes et les communautés locales concernées en fonction des situations auxquelles elles font
face". Pas de précision sur les autres mesures ni sur la méthodologie de choix et de consultation.

Mention Accord Sécurité et Sûreté des bâtiments au Bangladesh et Clean Water Project (p. 93)

La Gouvernance du devoir de vigilance n'est pas indiquée et il est compliqué d'identifier les entités, directions ou
personnes en charge des mesures

"le plan sera ainsi révisé annuellement" p. 93

Informations publiées

Le Plan publié comporte une méthodologie de cartographie des risques plutôt exhaustive qui couvre quasiment 2
pages sur 6 pages de plan au total. Il s'agit bien des risques "que le Groupe fait porter à l'environnement et aux parties
prenantes;" et l'entreprise croise les risques relatifs aux métiers, aux secteurs, aux pays ou à certaines matière.
Néanmoins, il semble que l'entreprise fasse aussi entrer dans son analyse des aspects réputationnels du risque. En
particulier, la détermination de la gravité du risque est évaluée "selon cinq natures d'impacts potentiels sur le Groupe
ou sur ses parties prenantes: business, financier, judiciaire, humain/social, image" p. 89.

Le Plan ne comporte que la méthodologie et ne comprend pas la ou les cartographies exhaustives permettant
d'identifier clairement les risques retenus, leur localisation, leur gavité et leur probabilité.

Le Plan fait référence à la politique environnementale du Groupe qui comprend la préservation de la biodiversité "en
réponse aux risques identifiés dans la cartographie". Le programme doit couvrir "les principaux écosystèmes menacés"
et mener à des "démarches de production responsable". Il comprend le fait d'"encourager l'approvisionnement en
produits non issus de la déforestation". (p. 91) D'autres sections du document de référence permettent d'identifier ces
commodités (huile de palme, soja, viande bovine....) sans préciser leur analyse et leur hiérarchisation de façon
nécessairement très détaillée ; par contre la poltique forêts détaille bcp plus les problématiques.
Non, le soja n'est pas mentionné dans le Plan de vigilance ; aussi, à sa lecture il est impossible de déterminer si
l'entreprise utilise ou non du soja, sa provenance et les risques pouvant y être attachés (déforestation, santé,
conditions de travail...) ; pourtant le soja et la déforestation sont bien mentionnés ailleurs dans le document de
référence et surtout dans la politique forêts du groupe ; la société a inséré un encadré sur le soja et des éléments sur
sa politique concernant les viandes bovines au Brésil "le saviez vous ?" "Protéine végétale utilisée pour l’élevage, le
soja est peu produit en Europe. Souvent importé du Brésil, sa culture est l’une des principales causes de déforestation
et de perte de biodiversité dans les régions sensibles d’Amazonie et du Cerrado." mais ne semble pas forcément
établir les liens avec sa propre activité (volumes de soja, traçabilité) ; regarder la politique forêts durables (mais son
intégration dans le plan ne ressort pas) + politique boeuf brésilien

le Plan ne donne pas d'information sur la chaîne d'approvisionnement des commodités agricoles ni sur le soja en
particulier ; ceci étant, la politique forêts du groupe donne des détails sur les volumes de soja et de boeuf brésilien dans
les produits de marque carrefour (p. 05 et 08 notamment)

En général un "autodiagnostic développement durable" appelé "Valorise" et conçu avec le WWF (p. 90). "Le Groupe
instaure des procédures dans les pays et réalise des audits réguliers" (p.91). Des "audits rélisés par des auditeurs
indépendants" et des "visites fournisseurs".

(p. 93): les audits "donnent lieu à des plans d'action visant à remédier aux atteintes constatées quelle que soit leur
gravité. Ce plan d'action doit être mis en place par le fournisseur dans un délai défini pour chaque action corrective".
Des audits de suivi sont prévus. "Si les conclusions d'un audit réalisé chez un fournisseur de Carrefour comportent un
point de non-conformité critique, Carrefour est informé dans les 48 heures. Les alertes concernent notamment le travail
des enfants, le travail forcé, des mesures disciplinaires, les tentatives de corruption, de falsification de documents ou
des conditions de sécurité mettant en danger la vie des travailleurs." Pas de précisions.

Le Plan mentionne un Programme de préservation de la biodiversité qui comporte des "ambitions" pour "encourager
l'approvisionnement en produits non issus de la déforestation" et renvoie à un autre chapitre du document de
référence. La société a visiblement pris des engagements 0 déforestation d'ici 2020 mais ceux-ci ne sont pas affichés
dans le plan (autre section du document de référence). ; regarder le plan forêt néanmoins.

Pas dans le Plan; cependant la société renvoie à ses actions de préservation de la biodiversité qui comprennent les
risques et actions liées au soja ; en particulier axe soja dans le plan forêts qui mentionne un travail en collaboration
avec divers acteurs au niveau régional notamment :
• Grupo de Trabalho de Soja(GTS):engagementdela chaîne d’approvisionnement «soja» au Brésil.
• Grupo Trabalho Cerrado in Brazil : groupe de soutien au GTS pour mettre fin à la déforestation dans le Cerrado.
• Consumer Goods Forum(CGF):initiatives en faveur d’un soja non issu de la déforestation.
• Table ronde sur le soja responsable (RTRS) : plateforme multipartite pour la mise en place d’une certification sur le
soja responsable.
• Duralim : charte collaborative française datant de 2016 pour une alimentation animale durable.

Pas dans le Plan spécifiquement: "Carrefour vise une déforestation zéro en 2020. Cet engagement a été pris en 2010
au sein du Consumer Goods Forum (CGF)." p. 56 Document de référence 2017 ; objectifs de certification concernant
l'huile de palme notamment mais pas sur le soja ; indicateurs et sous indicateurs de performance dans la stratégie
déforestation mais pas dans le Plan p. 57 document de référence "Les sous objectifs à 2020 de cet indicateur sont les
suivants :100% des ventes des 10 premières familles de bois / papier / pâte à papier provenant des sources
responsables ; 100% de l'approvisionnement en huile de palme en conformité avec les engagements
d'approvisionnement durable (certifiées RSPO ségrégé, RSPO mass balance, RSPO Next, POIG ou similaire); 100%
des fournisseurs de bovins brésiliens géoréférencés, en zéro déforestation; disposer d’une FQC issue d’animaux
nourris par des protéines végétales "zéro déforestation" dans chaque pays."

En cas de non comformité critique "une action immédiate est alors diligentée" mais pas de précision sur la nature de
ces actions.
Non

Le système mis en place dans le cadre de l'Accord signé avec UNI Global Union prévoit "une procédure de gestion des
litiges" "permettant la remontée à l'UNI et la Direction de Carrefour de toute réclamation constatée par les
représentants syndicaux ou par les équipes Carrefour et l'engagement d'en assurer le traitement" (p. 92). Le système
d'alerte éthique général s'adresse aux collaborateurs et parties prenantes et "fait partie des outils promu par les deux
parties dans le cadre de l'accord signé par Carrefour avec UNI Global Union". (p. 93)

Indique l'accès internet "http://ethics.carrefour.com/" p. 93 "La confidentialité des informations est garantie à toutes les
étapes du processus d'alerte et Carrefour s'engage à ce qu'aucune mesure de sanction ne soit prise à l'encontre d'un
collaborateur ayant signalé de bonne foi un manquement". Pas d'autre précision sur les procédures et garanties.

"L'évaluation de la pertinence et de l'exhaustivité du Plan de vigilance du Groupe Carrefour sera intégrée aux réunions
de travail organisées avec les parties prenantes, notamment les parties penantes experts des thématiques couvertes
par le plan: WWF France, FIDH, UNI Global Union." (p. 93)
Pas d'indicateurs dans le Plan ; dans le document de référence, un indicateur sur le % de conformité à la stratégie
forêts durables indique 39,8% en 2017;

"Conformément à la réglementation, le groupe Carrefour s'est organisé pour rendre compte annuellement de la mise
en oeuvre de ce Plan de vigilance. Le premier bilan sera réalisé au titre de l'exercice 2018 et rendu public en 2019"
* D'après les effectifs Total Groupe du Document de référence 2017 Carrefour, p. 70
http://www.carrefour.com/sites/default/files/carrefour_-_document_de_reference_2017_0.pdf

Précisions apportées par la société

"Le Plan d'action de Carrefour en matière de lutte contra la déforesttion fait l'objet de
concertations régulières: à l'occasion d'échanges bilatéraux avec différentes ONG et
fournisseurs, dans le cadre de panels parties prenantes dédiés organisés par Varrefour, ou
encore dans le care de groupe de travail multi-acteurs" + historique de 2013 à 2017 ;

Précisions apportées par la société

"Notre plan de vigilance publié dans notre document de référence présente la méthode
d'aidentification et de description des risques et des situations à risques établie par le groupe.
Cette approche prend en compte trois catégories de risques: les risques liés aux différents
métiers de Carrefour ; les risques liés aux secteurs 'activités avec lesquels Carrefour interagir au
quotidien, notamment dans le cadre des relations avec les fournisseurs et prestataires ; les
risques liés aux pays dans lesquels les activités ont lieu ou à certaines matières utilisées par
Carrefour. Dans le cadre de la réalisation de cette analyse des risques, les équipes Carrefour se
sont rapprochées de l'expertise de leurs partenaires FIDH, WWF ainsi que des partenaires
sociaux dont UNI Global Union et le CICE (comité d'entreprise européen, le comité d'information
et de concertation européen).

Non

Le plan d'action déforestation "concerne les matières premières les plus présentes dans nos
approvisionnements et pour lesquelles nous avons un levier d'action plus important"
"Carrefour a identifié le soja comme une des matières premières prioritaires" du Plan
d'action déforestation

"Engagement de la chaîne d'approvisionnement soja au Brésil"; développement "d'une


alimentation animale sans OGM, dont l'origine est tracée ou certifiée selon le référentiel Proterra"
"Plus de 350 produits Carrefour, notamment issus de la Filière Qualité Carrefour, vendus en
France, ont reçu une alimentation sans OGM à base de soja tracé". Pas plus de précision sur le
tonnage, l'origine ou les fournisseurs

Pas d'autre précision sur l'évaluation et le suivi de la chaîne.

Pas de précision sur le cahier des charges ou les résultats des évaluations ; pas d'analyse
critique des labels et certifications.

"Le Plan d'action de Carrefour en matière de lutte contra la déforesttion fait l'objet de
concertations régulières: à l'occasion d'échanges bilatéraux avec différentes ONG et
fournisseurs, dans le cadre de panels parties prenantes dédiés organisés par Carrefour, ou
encore dans le care de groupe de travail multi-acteurs" + historique de 2013 à 2017 ; Charte
DURALIM

Identifié comme une des 4 matières prioritaires du plan déforestation qui comprend également le
boeuf brésilien; "Nos actions pour réduire l'impact du soja sur les forêts et les écosystèmes
reposent sur trois actions clés: la collaboration, le recours à une alimentation animale durable et
le développement d'alternatives aux protéines animales." "Nous travaillons avec plusieurs
organisations au niveau local et international pour développer un soja et une alimentation
animale plus durables"

"Notre objectif est d'utiliser un ensemble de solutions pour réduire les impacts négatifs de la
production de soja sur les écosystèmes dans notre chaîne d'approvisionnement d'ici 2020." ;

"Nous avons développé des alternatives pour l'alimentation des animaux d'élevage en utilisant
des protéines végétales locales" "En France, certains animaux reçoivent désormais une
alimentation produite localement (soja et fourrage). C'est par exemple le cas des poulets (oeufs
compris) et des porcs de la filière Qalité Carrefour (FQC)." Utilisation de soja certifié ou tracé
Proterra."
"Nous soutenons le Moratoire sur le soja depuis sa mise en place en 2006. Le Moratoire s'est
traduit par des résultats positifs et Carrefour encourage son extension à d'autres biomes. Depuis
2017, nous soutenons aux côtés de plus de 60 autres entreprises le Manifeste du Cerrado."

"Enfin ce plan de vigilance présente les mécanismes d'alerte et de recueil des signalements mis
en place par Carrefour, notamment le système d'alerte éthique propre permettant aux
collaborateurs ou parties prenantes qui le souhaitent d'alerter sur des situations ou des
comportements en contradiction avec les Principes Ethiques du Groupe. Ce système d'alerte
couvre toutes les thématiques des Principes Ethiques, notamment les droits humains et
l'environnement dans le respect des réglementations applicables dans les différents pays."

"La confidentialité des informations est garantie à toutes les étapes du processus d'alerte."
** la méthodologie est plus détaillée que la moyenne
** à valoriser ; même si ce n'est pas visible dans le plan la problématique est identifiée de façon plutôt explicite et relativement
transparente dans la politique forêts du groupe, ce qui est plus que la majorité des entreprises ; mais les éléments devraient être intégrés
au plan de vigilance

* à valoriser car publication soja ; mais attention les objectifs et le calendrier ne sont vraiment pas très détaillés
Nom de la société

Fiche d'identitée
Devoir de vigilance
I. Principes transversaux
1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou
régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la
vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le
cas échéant, au regard des risques
liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication

Commodités agricoles et déforestation

Soja
2. Mesures d'évaluation chaine
d'approvisionnement

Traçabilité

Mesures d'évaluation

Qualité des mesures d'évaluation


3. Actions adaptées de prévention et
d'atténuation

Plan d'action spécifique déforestation

Plan d'action spécifique soja

Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement
pour un moratoire étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes
d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle
et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en
conséquence
InVivo / Neovia
Le groupe Invivo affiche 10 200 collaborateurs au niveau mondial, tandis que Neovia (SAS) affiche 8 950
collaborateurs ; néanmoins, Neovia a été cédé en 2019 à ADM, géant du négoce de commodités agricoles ; la société
ne nous a pas donné de réponse claire et affirme que les informations demandées dans notre courrier sont
"confidentielles"
la société ne nous dit pas si elle est concernée ou non par la loi ; pas de plan publié identifié
Analyse de la publication

Informations publiées : rapport RSE


** "ADM conclut l’acquisition de Neovia et crée un leader mondial de la nutrition
animale" Communiqué de presse Neovia, 1er février 2019 ; https://www.neovia-
group.com/adm-conclut-lacquisition-de-neovia-et-cree-un-leader-mondial-de-la-
nutrition-animale/

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société

"conscients de cette nécessité"

"concernant nos approvisionnements de soja en France, nous exigeons que le soja


non OGM provenant d'Amérique du Sud réponde au cahier des charges
"PROTERRA" et que nos fournisseurs soient engagés dans le "SOY MORATORIUM"
de 2008 s'agissant du soja OGM"

"Conscients de cette nécessité nous avons mis en place des actions concrètes en
formalisant un ensemble de lignes directrices permettant de promouvoir un
comportement responsable avec nos founrisseurs et prestataires de services. Elles
figurent dans notre "Code de conduite des relations avec nos fournisseurs et
prestataires de services"

"concernant nos approvisionnements de soja en France, nous exigeons que le soja


non OGM provenant d'Amérique du Sud réponde au cahier des charges
"PROTERRA" et que nos fournisseurs soient engagés dans le "SOY MORATORIUM"
de 2008 s'agissant du soja OGM"
Nom de la société
Fiche d'identitée
Devoir de vigilance

I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Etablissement et implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
Casino
"Ainsi, le Groupe a réaffirmé dans sa Charte Éthique Groupe au travers de neuf engagements, son respect des valeurs, principes et
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La politique d’achat de viande bovine a été lancée en mars 2016, en partenariat avec le TFT. La politique
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Cerrado Manifesto
présentée
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cas." "En Colombie, syndicales Éxito représentatives.""
travaille à la mise en place d’une politique bovine
"Dans le cadre de ses engagements
responsable en collaboration avec WWF, Climate Focus, éthiques, le groupe Casino a mis enla place un mécanisme
Fundación Natura d’alerte
et la et Nueva
de recueilFederación
des signalements de
relatifs à l’existence ou à la réalisation de risques d’atteintes graves aux droits humains, aux libertés fondamentales, à la santé et la
Ganaderos (Fédération des éleveurs de Bétail). L’objectif
sécurité des personnes ainsi qu’à l’environnement résultant de ses activités, des sociétés qu’il contrôle et de sa chaîne
est de développer les capacités de production
des élevages tout en garantissant une utilisation durable des sols et protégeant les écosystèmes. Ainsi,
d’approvisionnement."
Tout signalement afférent à la loi susvisée peut être reporté au groupe Casino en utilisant l’adresse électronique suivante :
des exigences
contact75g@deontologue.com techniques spécifiques ont été définies afin de contrôler les exploitations de bétail sur un
ensemble de thématiques telles que la conservation des ressources hydriques. En 2017, Éxito a
commercialisé dans son enseigne Carulla des viandes certifiées par Rainforest Alliance permettant de
garantir des pratiques durables."
** Casino, "Chiffres clés" https://www.groupe-casino.fr/groupe/chiffres-cles/

Précisions apportées par la société

idem
idem

Précisions apportées par la société

idem

Casino a "sollicité les 3 principaux traders présents en France afin de connaître leurs
engagements et actions pour garantir que le soja qu'ils importent n'est pas lié à la
déforestation. Ces engagements nous ont été présentés"

Prise de contact avec Duralim pour participer aux travaux en 2019 ; participe aux réunions
de travail organisées par notre partenaire le TFT afin d'étudier les solutions et a répondu aux
sollicitation de rencontres qui s'inscrivent dans cette même dynamique

Manifest Cerrado
Nom de la société
Fiche d'identitée succincte (forme juridique, nombre
d'employés)
DDV si applicable
I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Etablissement et implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
Cooperl
a répondu à nos courriers ; 7000 collaborateurs ;
pas de document identifié sur le site mais nous indique par courrier mettre en place la loi DDV et Sapin II
Analyse de la publication

Informations publiées : rapport RSE


D'après le site https://www.cooperl.com/fr/presentation-de-la-cooperative

Précisions apportées par la société

"Ainsi, dès 1999, nous nous sommes engagés au côté du groupe CARREFOUR afin de construire
une filière tracée
Précisions d’approvisionnement
apportées par la société de soja non OGM pour proposer aux consommateurs une
viande de porcs nourris sans OGM. Puis à partir de 2009 nous nous sommes assurés que
ce soja non OGM était produit en dehors des zones de déforestation de
l’Amazonie et enfin dès 2015 nous exigions la certification “ProTerra” sur
tout le soja non OGM que nous importons d’Amérique du Sud,
garantissant ainsi qu’il ne provient pas de zones de déforestation." "Cette
vigilance de nos équipes a été mise en oeuvre et se poursuit depuis 2015.
Elle
Le nous
risque estpermet,
visiblement depuis
identifiécette
mais date et pour
nous n'avons paslaobtenu
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son analyse et sa
Certification
hiérarchisation ProTerra
approvisionnements ; Relations
par la société commerciales:
de travailler avec "Pardesailleurs, depuis l’annonce
fournisseurs faite enetjuin
fiables 2018 par
investis
la société Louis Dreyfus Commodities de s’engager dans une politique d’approvisionnement « zéro
dans la mise
déforestation en avons
», nous oeuvre d’un
décidé sourcing
de réaliser sojadeissu
la totalité de filières
nos achats éco-
de produits issus du soja
responsables."
d’Amérique du Sud uniquement auprès des sociétés garantissant une origine
"Après
de avoir participé
production
Celui-ci consiste, pourhorsnotre en
des 2014 àd’intérêts
zones
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Certification ProTerra
des chaînes
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primaires d’approvisionnement
des
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Cerrado, bétail duetsoja,
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n’utiliser
argentins que pardes
etc...)." le WWF,
La matières
société nous
envisageavons
"Le cahier des charges de cette certification nous garantit un approvisionnement en soja et une
répondu,
visiblement
provenance dans
premièresconformes
dont un
et a déjà souci
onauxpeut de
décidé transparence,
considérer
impératifsded’une
cesser à
qu’elles toutes
les globale
politique achats sont
de les enquêtes
issues
auprès de de
développement Soy Scorecard
filières
durable." de
certains ;
de cette ONG.
production
fournisseurs. Puis en septembre
écologiquement 2014, nous sommes devenus membres du
“responsables”.
RTRS"
Ainsi, nous
"Depuis qques informations
privilégions
cette date, nous sur
pouravonsnos lessources
volumes
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d’approvisionnement,
nos à lasojascorecard WWF"
des "Les
des acteurs
auprès
Non précisé que nous achetons proviennent de pays d’Amérique du Sud
produits
identifiés
sociétés pour
Cargill leuretengagement
Bunge. Toutefois, en matière suite deàlutte contre la
l’annonce dedéforestation
la société Louis et la
situés
promotion
Dreyfus enCommodities,
dehors
de pratiques des zonesculturales
Bunge représentant
durablesnous
souhaite etun intérêt
respectueuses
présenter environnemental
sades équilibres
nouvelle telles
que la savane
sociaux, du Cerrado aude Brésil, la région ladu Chaco argentin ou encore
Non précisééconomiques
stratégie de développement et environnementaux
la filière dudesoja filière
en soja.
février prochain. Nous
les forêts
poursuivons primaires
Nous sélectionnons le dialogue amazoniennes."
nos fournisseurs assez
internationaux
avec ces partenaires, imprécis ; pas
au regard des
convaincus d'élément sur les
engagements
du fait que nous
volumes,
qu’ils
permettons la localisation
prennent ainsiet dont
de fairespécifique
ils justifient
évoluerau ; toutefois
travers
leurs des précisions
de leur
pratiques et leurssont
adhésion données
à la
choix sur
certification
de
les noms de certains fournisseurs et les régions d'approvisionnement
“Proterra”.
production."
Cerrado Manifesto"Notre équipe de nutritionnistes travaille également depuis
Travail avec
plusieurs les parties
années prenantes:
à la réduction dufilière,
taux de Carrefour,
protéines Cerrado
dans manifesto,
les aliments. RTRSLa
meilleure
Dans connaissance
le cadre de l'application de des besoins
la Loi ‘Sapin 2’ deset deanimaux ainsi
la loi sur le devoir que de la digestibilité
de vigilance, Cooperl dispose
"Dans
depuis la
lemesure
mois deoù
des différents nous sommes
nutriments
septembre ontdes
2018 acheteurs
permis
d'une charte et
deéthiquenonet
réduire des experts,
l’utilisation
d'un nous
dispositif nous
du
de soja basons
(moins
signalement sur
desles
de 4%
alertes.
certifications utilisées. Sans que cette procédure
pour l’ensemble du programme alimentaire d’un porc charcutier) au profit du ne soit formalisée, nous
apportons
colza et duune attention
tournesol particulière
européens. La àbaisse
l’ensemble des informations
du niveau de protéineset remontées
dans
de terrain nous permettant d’identifier des sources
l’alimentation des porcs contribue également à une très forte réduction des d’approvisionnement en soja
qui
"La pourraient
collecte de cesprésenter
informationsun nousdoute
permet ou un
après risque
analysequant à
en réunion leurs conditions
/ commission internede de
rejets azotés. Au travers de notre marque d’éleveurs BROCELIANDE, nous
décider
production. la poursuite
Les actions d’activité,
de reportingla diminution
quotidien ou
de l’arrêt
nos de nos relations
collaborateurs
nous engageons à nourrir les animaux sans OGM et les quelques pourcents de
commerciales
concernant avec
lesinclus certains fournisseurs.
informations qu’ilsissus recueillent surtracées
le terrain font l’objet
soja qui y sont sont là encore de filières certifiées ProTerra
Nous sommes
d’échanges disposés,
réguliers et dans le respect
permettent de de nos
“faire engagements
vivre” une veille contractuels
permanente etsur
lorsqu’il provient d’Amérique du Sud."
des règlements applicables au plan international, à partager les informations
ces sujets.
dont nous disposons sur l’ensemble de ces questions et à contribuer ainsi au
développement d’une agriculture globale toujours plus respectueuse du droit
des personnes et de leur environnement."
Nom de la société
Fiche d'identitée
Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme

2. Périmètre groupe

3. Périmètre extragroupe

4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou régionales

7. Gouvernance

8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie

Méthodologie

Publication

Commodités agricoles et déforestation

Soja

2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement


Traçabilité

Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation

3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation

Plan d'action spécifique déforestation

Plan d'action spécifique soja


Objectifs et calendrier

Faire cesser le dommage

Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire


étendu
4. mécanisme d'alerte

Etablissement et implication des syndicats

Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte

5. Suivi et mise en oeuvre effective

Mise en place d'un système de contrôle et de suivi

Présence d'indicateurs

Mesures correctives prises en conséquence


Danone
a accusé réception du second courrier mais n'a pas transmis de réponse au questionnaire
oui p. 165 document de référence
Analyse de la publication

On peut saluer le travail de synthèse et de formalisation de l'information réalisé par Danone: le tableau
de synthèse précisant à chaque fois l'état des lieux pour le groupe et les fournisseurs et pour chaque item
de la vigilance donne une vue d'ensemble des mesures et de leur périmètre d'application ; mais méritrait
d'être plus détaillé avec notamment des objectifs et des indicateurs ; par ailleurs ne remplace pas un
document plus détaillé et exhaustif ; le document prête cependant à confusion par moment: le plan est-il
composé uniquement de ce tableau récapitulatif ou des paragraphes suivants ? ces derniers mentionnent
par moment la loi vigilance mais également la loi Sapin ; certains passages semble relever du reporting
non financier spécifiquement ; pas de publication séparée (site) identifiée ; fonctionne par renvois par
moments ; ne semble pas faire l'objet de traductions et d'une diffusion au délà du doc de réf ?

"Le tableau ci-après synthétise le plan de vigilance de Danone" "2 périmètres d’activités : les activités de Danone et celles de ses
fournisseurs." tous les items du tableau constituant le plan sont classés d'abord au regard des activités de l'entreprise" puis au regard
des activités des fournisseurs et sous-traitants ; Le périmètre de consolidation est indiqué mais semble concerner le reporting non
financier et non le Plan de vigilance spécifiquement "PÉRIMÈTRE DE CONSOLIDATION ET PÉRIMÈTRES DE
COUVERTURE Le périmètre de consolidation est constitué des filiales de Danone consolidées par
intégration globale pour l’établissement des états financiers consolidés, soit les filiales dont Danone
détient, directement ou indirectement, le contrôle exclusif. Toutefois, certaines filiales ne reportent pas
l’intégralité des indicateurs sociaux, sécurité, environnementaux et nutrition santé. Ces entités sont
consolidées financièrement au 31 décembre 2017 et des plans d’actions sont planifiés et/ou en cours pour
assurer la disponibilité et la fiabilité des données. Il s’agit principalement d’entités plus récemment
acquises en Afrique, dont les plus significatives sont les sociétés du groupe Fan Milk (EDP International,
Afrique de l’Ouest), et de DanoneWave sur le périmètre relatif aux activités de WhiteWave. Enfin, la liste
des filiales ne reportant pas certains indicateurs peut différer selon la nature de ces indicateurs. Le
périmètre de couverture varie selon les catégories d’indicateurs, comme détaillé dans les paragraphes ci-
après ": la société a publié par ailleurs une liste de ses filiales et participations par pays ; il serait
intéressant d'y renvoyer dans le Plan et d'indiquer rapidement pour chacune d'elle, les risques prioritaires
par exemple https://www.danone.com/content/dam/danone-corp/investors/danone-at-a-glance/Liste
%20des%20filiales%202017%20V2.pdf

"Le tableau ci-après synthétise le plan de vigilance de Danone" "2 périmètres d’activités : les activités de Danone et celles de
ses fournisseurs." tous les items du tableau constituant le plan sont classés d'abord au regard des activités de l'entreprise" puis au
regard des activités des fournisseurs et sous-traitants ; "Compte tenu des spécificités des chaînes d’approvisionnement du secteur
agricole, Danone a décidé d’étendre ses actions au-delà des fournisseurs avec lesquels une relation
commerciale est établie, et de considérer également la partie amont de ses chaînes
d’approvisionnement en cas de risques graves sociaux ou environnementaux."

"3 catégories d’enjeux : droits de l’Homme, environnement, et santé et sécurité des personnes ;" le
tableau qui synthétise le Plan regroupe ces enjeux sur trois colonnes ;" Danone a adhéré au Pacte Mondial
des Nations-Unies (en 2003 puis engagement renouvelé en 2009) qui intègre les conventions
fondamentales de l’OIT. L’engagement de Danone de respecter et promouvoir les conventions
fondamentales de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) a été formalisé, déployé et animé auprès
des salariés et des fournisseurs par différents moyens et suivant plusieurs étapes. Les sept Principes
Sociaux Fondamentaux (abolition du travail des enfants et du travail forcé, principes de non-discrimination,
liberté d’association, santé et sécurité au travail, temps de travail et rémunérations, issus des conventions
de l’OIT font l’objet d’un accord signé entre Danone et l’UITA."
"Pour l’élaboration de son plan, Danone a pris en compte ses échanges menés dans le cadre du dialogue avec ses parties prenantes"

Plusieurs paragrahpes dédiés à la Gouvernance ; "La conformité aux programmes achats responsables et droits de l’Homme est gérée
par l’équipe Nature & Cycles Sustainability au sein de la Direction des achats, sous la responsabilité du Chief Procurement & Cycles
Officer." ; décrit également les différents comités "sustainability"

Informations publiées : rapport RSE

"En 2017, Danone a révisé sa matrice de matérialité afin de déterminer ses priorités en matière de développement durable à partir
d’une consultation interne et d’une enquête quantitative externe. Ainsi, les 41 enjeux recensés ont
été positionnés dans la matrice suivante" "Les enjeux sont reliés les uns aux autres et leur
positionnement sur la matrice doit être interprété en prenant en compte cette interdépendance. De plus,
certains enjeux peuvent être matériels seulement d’un point de vue externe (pour les parties prenantes) ou
interne (pour le succès de l’entreprise). Par conséquent, Danone considère que ces enjeux doivent aussi
être pris en compte dans la stratégie ; bien qu’ils ne soient pas nécessairement localisés dans le premier
tiers de la matrice. L’explication détaillée de l’analyse de matérialité est disponible sur
www.iar2017.danone.com."
Plus spécifiquement, Danone a réalisé en 2017 une cartographie des risques potentiels majeurs pour ses
vingt catégories d’achats les plus exposées.
Danone a analysé les risques selon une grille basée sur les standards ISO 26000, GRI G4 et SA 8000,
prenant en compte les incidences potentielles des produits achetés (risques potentiels inhérents
aux catégories et zones géographiques) principalement sur les droits sociaux et les droits de
l’Homme, mais également sur les communautés locales, les consommateurs, la loyauté des
pratiques et l’environnement." "Couplé avec les attentes des parties prenantes, cet exercice a permis de
déterminer les catégories d’achats de biens et de services prioritaires sur lesquelles l’Entreprise
concentrera son attention en matière de droits de l’Homme sur les trois prochaines années : travailleurs
employés via des agences ou des prestataires de main d’œuvre, huile de palme, cacao, sucre de
canne et fruits. Les risques potentiels mis en évidence se situent majoritairement au niveau des
exploitations agricoles et des plantations, en amont des chaînes d’approvisionnement. Pour
chacune des catégories prioritaires, l’évaluation de la situation réelle de la chaîne d’approvisionnement
nécessite un travail de traçabilité, afin d’identifier et de localiser ses acteurs."

publication d'une analyse de matérialité présentant une quarantaine d'enjeux sans entrer dans leur détail (les droits humains sont
globalement visés sans plus de précision) ; mais chaque item du tableau commence par l'identification d'un enjeu spécifique pour
l'entreprise ou les fournisseurs, type "Priorité sur les problématiques de travail forcé suite à l’engagement au sein du Consumer Goods
Forum"

cartographie des risques environnement pour les fournisseurs : " Analyse


des risques de déforestation dans le cadre
de la Politique Forêt ; Priorité sur l’agriculture durable pour l’approvisionnement en lait : climat, eau,
biodiversité, bien-être animal et utilisation des sols"

cartographie des risques droits humains spécifie pour les fournisseurs " Enjeux de l’approvisionnement en lait pris en
compte historiquement" ; politique soja
"Démarche de traçabilité sur 4 catégories agricoles prioritaires : huile de palme, fruits, cacao et sucre de canne" ; Certifications :
RSPO, RTRS, FSC et Non-GMO project verified ; "Danone s’approvisionne, directement et indirectement, en lait auprès de plus de
140 000 producteurs dans une trentaine de pays différents. La collecte de lait de Danone reflète la grande diversité des systèmes de
production mondiaux. Plus de 70 % de ces producteurs sont des petits producteurs possédant moins de
10 vaches, situés notamment dans les pays émergents d’Afrique et d’Amérique Latine. La collecte
s’organise dans ce cas auprès de centres de collecte auxquels les petits producteurs livrent
quotidiennement leur production. En Europe, en Russie, ou en Afrique du Sud, les exploitations sont de
type familial et comprennent quelques dizaines jusqu’à plusieurs centaines de vaches. Ces producteurs
représentent seulement 15 à 20 % des fournisseurs laitiers de Danone mais la majorité du volume. Le lait
de ces producteurs est généralement collecté directement par Danone et ce, souvent depuis plusieurs
générations." ; "Le soja utilisé par DanoneWave est entièrement cultivé aux États-Unis tandis que
celui utilisé par Alpro provient essentiellement de pays d’Europe (France, Pays-Bas, Belgique, Italie
et Autriche) et du Canada."

Pour l'entreprise : "Auto-évaluationDanone Way - volet Ressources Humaines, enjeux sociaux; Audits
GREEN des sites de production ; Évaluation approfondie des bassins hydrographiques avec l'outil Water
Risk Filter du WWF ; • Évaluation des risques au niveau des sites ; Document Unique d’Évaluation
des risques applicable dans l’Union Européenne ; Audits WISE2 menés au niveau des sites • Suivi de
l’accidentologie" Pour les fournisseurs "• Programme RESPECT pour les fournisseurs de rang 1 hors
lait cru - Méthodologie RESPECT jusqu’en 2017 - Analyse proactive des fournisseurs selon trois niveaux
de priorités et audit SMETA pour priorité élevée, à partir de 2018" " Programme FaRMs pour les
fournisseurs directs de lait cru ; "
Plans d'actions ; "Danone intègre à sa démarche RESPECT, mise en œuvre en 2005, ses Principes de Développement Durable. Elle
est fondée sur trois piliers, social, environnemental et éthique: les sept principes sociaux fondamentaux issus des normes de l’OIT en
2001 (voir paragraphe Promotion et respect des conventions fondamentales de l’OIT). Ils ont été complétés en 2017 afin d’intégrer les
trois Principes Prioritaires relatifs au travail forcé définis par le Consumer Goods Forum (CGF) en 2016 : tout travailleur doit bénéficier
d’une liberté de mouvement, aucun travailleur ne doit payer pour son emploi, et aucun travailleur ne doit être contraint ou forcé à
travailler ; ces principes sociaux ont été complétés en 2009 par cinq prin- cipes environnementaux : préservation des ressources ; utili-
sation des produits chimiques ; changements climatiques et émissions de gaz à effet de serre ; gestion de l’environnement et
expérimentation animale; des principes d’éthique des affaires ont également été intégrés pour prendre en compte l’équité et la légalité
des transactions. Ils ont été complétés en 2017 afin de refléter les dispositions du Code de conduite destiné aux partenaires
commerciaux de l’Entreprise.
Ces Principes de Développement Durable sont intégrés dans une clause contractuelle avec les fournisseurs. Aux termes de cette
clause, le fournisseur s’engage à ce que les Principes sociaux et éthiques soient déjà en place dans sa propre organisation et à ce que
ses salariés, mandataires, fournisseurs et sous-traitants s’y conforment." ; "Les équipes achats suivent la mise en œuvre des plans
d’action par les fournisseurs lorsque des non-conformités critiques sont identifiées. La majorité des non-conformités relevait de
questions telles que la santé et la sécurité, les horaires de travail ou les rémunérations.
Depuis juillet 2017, Danone suit un indicateur relatif au lancement et à la clôture dans des délais appropriés des audits SMETA : 65 %
des fournisseurs de l’Entreprise se sont conformés aux standards de Danone ; pour les achats en central ce taux s’élève à 100 %."
""L’évaluation des fournisseurs de rang 1, soit les fournisseurs directs de Danone repose, sur leur auto-déclaration de performance
RSE sur la plateforme d’information Sedex (Supplier Ethical Data Exchange). Cette auto-déclaration est complétée par une analyse de
risques réalisée par Sedex. À fin 2017, 4 082 sites de fournisseurs étaient enregistrés sur la plateforme contre 4 282 en 2016. Cette
baisse s’explique par des changements de périmètre suite à la cession de filiales en 2017 et à la poursuite de la centralisation des
achats chez Danone.
Les fournisseurs identifiés à risque par Sedex sont audités par des organismes tiers certifiés selon le protocole SMETA (Sedex
Members Ethical Trade Audit) qui couvre les dimensions sociale, environnementale et éthique. Danone a également accès sur Sedex
à des audits commandités par ses pairs sur leurs fournisseurs communs, grâce à la reconnaissance mutuelle des audits du consortium
AIM Progress. En 2017, 195 audits SMETA ont été réalisés sur des fournisseurs de Danone, à l’initiative de l’entreprise ou de ses
pairs." la démarche FaRMs. Celle-ci permet d’évaluer la performance des éleveurs au- près desquels Danone achète directement son
lait, sur la qualité, la sécurité des aliments et la traçabilité. La démarche a ensuite évolué en prenant également en compte des critères
économiques, sociaux et environnementaux. En 2017, sur la base des résultats consolidés à fin 2016, cet outil a couvert environ 90 %
des producteurs de lait avec qui Danone travaille en direct. La couverture sera mise à jour en avril 2018 pour l’exercice 2017.
L’outil FaRMS est progressivement réorganisé en différents outils plus spécialisés et dédiés sur les thématiques telles que le bien- être
animal, les émissions de gaz à effet de serre (Cool Farm Tool), la consommation d’eau ou le social. Tous ces outils auront pour but
d’être complémentaires et une coordination globale sera mise en place pour une accessibilité optimale des données collectées. Ainsi et
à terme, FaRMS couvrira uniquement les sujets relatifs à la qualité, la traçabilité et la sécurité des aliments." "RESPECT s’appliquent à
tous les fournisseurs sur les catégories d’achats de Danone hors lait cru soit les matières premières (préparations de fruits, poudres de
lait, etc.), les emballages, les machines de production et les prestations de transport et diverses prestations de services.
S’agissant des agences de travail temporaire ou des prestataires de main d’œuvre qui emploient des travailleurs pour le compte de
Danone, l’Entreprise a élaboré en 2017 une politique spécifique im- posant à ces agences le respect des libertés et droits
fondamentaux des travailleurs, et visant en particulier les pratiques constitutives de travail forcé, tels que les frais de recrutement.
Les sous-traitants, c’est-à-dire les fournisseurs fabriquant des produits finis pour le compte de Danone, sont également couverts par la
démarche RESPECT. Toutefois, Danone a peu recours à la sous-traitance car la majorité des produits finis sont fabriqués dans ses
sites de production.""

oui ; "Pour ce faire, Danone a mis en place depuis 2012 sa Politique Empreinte Forêt qui vise à :
• évaluer les risques de déforestation liés aux matières premières utilisées directement ou indirectement par les activités de Danone ;
• proposer des politiques spécifiques ;
• mettre en place des actions hiérarchisées selon les risques et
les impacts associés.
Six grandes matières ont été priorisées : emballages papier/carton, huile de palme, soja pour alimentation animale, bois énergie, canne
à sucre et matières premières bio-sourcées pour emballages."

oui ; "Danone s’est engagé à contribuer au développement d’une filière de soja plus responsable, avec les principaux acteurs
concernés, les agriculteurs ainsi que les producteurs d’alimentation animale et les principales entreprises de négoce de soja."
Dans le cadre de sa politique soja, Danone vise une
traçabilité de 100% : "de la zone de production à la zone de
consommation ;" "Danone n’applique pas encore sa politique à l’approvisionnement en soja du Métier
Produits Laitiers et d’Origine Végétale pour les produits de WhiteWave." "En 2017, 67 % des filiales ont
défini un plan d’action avec les équipes
achats locales ou centrales visant l’élimination de la déforestationliée au soja en application de la Politique
Soja (Périmètre Danone Way, voir Note méthodologique). "encourager des cultures locales riches en
protéines, alternatives aux importations de soja, contribuant ainsi à rendre les agriculteurs
autonomes pour la production de l’alimentation du bétail, comme en Europe par exemple ;
promouvoir les approvisionnements en soja de pays exempts de risques de déforestation (Inde,
États-Unis, etc.) ; assurer la traçabilité depuis des régions sans risques, si le soja provient d’un pays à haut
risque de déforestation, notamment au travers de standards de certification comme ProTerra ou RTRS ;
contribuer à conduire le changement à l’échelle globale et sur le long terme à travers la participation à des
alliances internationales, comme le Consumer Goods Forum, la Sustainable Agriculture Initiative et à
prendre toute autre initiative permettant à Danone d’atteindre ses objectifs."

"Danone a signé fin 2017 le Cerrado Manifesto. L’ensemble des entreprises signataires (aujourd’hui plus de 60) se sont engagées à
enrayer la déforestation 5 du Cerrado, une région de savane principalement située au Brésil"

Danone Ethics Line étendu aux fournisseurs ; Procédures spécifiques de remontée des risques ou accidents graves ; "En 2017, dans
le cadre de l’établissement de son plan de vigilance, Danone et en accord avec les instances représentatives du personnel, a intégré
deux nouvelles catégories de signalements relatifs à la violation des droits de l’Homme et la violation environnementale."

"En ce qui concerne le Conseil d’Administration, le Comité de Responsabilité Sociale (voir paragraphe La gouvernance sur les enjeux
de responsabilité d’entreprise) suivra la mise en œuvre du Plan de vigilance et les diligences relatives aux droits de l’Homme que
Danone développe dans ses propres opérations et sa chaine d’approvisionnement." "Suivi des résultats Danone Way
• Augmentation de la fréquence des audits GREEN en fonction des risques
• Suivi des plans d’actions des audits GREEN
• Suivi des plans d'actions pour les risques
hydriques au niveau des Métiers ;• Mesure et suivi de l’accidentologie
• Mesure de l’efficacité du programme WISE2 avec les audits WISE2"

"• Suivi des indicateurs de performance du programme RESPECT • Indicateurs d’enregistrement des fournisseurs sur Sedex et suivi
des plans d'actions des audits en cas de non-conformité • Suivi des indicateurs de performance du programme FaRMS • Suivi des
indicateurs de performance environnementale;• Suivi de l’accidentologie pour les travailleurs externes présents sur les sites de Danone
• Suivi des indicateurs de performance du programme RESPECT • Suivi des indicateurs de performance du programme FaRMS" ; sur
le suivi , par référence au document de référence 2018 le groupe indique " En 2017, 67 % des filiales ont défini un plan
d’action avec les équipes achats locales ou centrales visant l’élimination de la déforestation liée au
soja en application de la Politique Soja (Périmètre Danone Way, voir Note méthodologique)."

• Développement d'autres outils de mesure et d’évaluation à partir de 2018


Document de référence 2017, Danone, p. 176

Document de référence 2017, Danone, p. 165


Précisions apportées par la société
Précisions apportées par la société
0% rouge 25 % orange 50% jaune 75% vert 100%

Le Plan est publié de façon 1.1 autonome 1.2 formalisée 1.3 exhaustive 1.4 accessible

Le Plan 2.1 couvre clairement la société mères et ses filiales et 2.2 indique le périmètre et la méthode de consolidation 2.3 permet
d'identifier lesdites filiales idéalement au moyen d'une liste 2.4 précisant leur localisation, contrôle, activités...)

3.1 le plan couvre les fournisseurs et sous-traitants et 3.2 les identifie de façon spécifique (relations commerciales, rang, volume
d'activité sous-traitée....) 3.3 en particulier avec des listes 3.4 fournissant un niveau de détail suffisant (position dans la chaîne de
valeur, localisation géographique, main d'oeuvre, activités...)

4.1 le plan couvre clairement et de 4.2 façon interdépendante les risques et atteintes graves aux droits humains, à l'environnement et à
la santé et à la sécurité et 4.3 permet d'identifier les normes de référence sur lesquelles se base la société et 4.4 de potentiels conflits
5.1 le plan fait état de l'implication des parties prenantes et en particulier 5.2 du choix et de la méthodologie de la consultation des
parties prenantes pertinentes 5.3 pour l'établissement et la mise en oeuvre effective des diverses mesures 5.4 indique les résultats de
ces consultations et justifie de leur prise ou compte (ou non)

6.1 le plan fait état d'une ou des initiatives auxquelles la société participe 6.2 depuis quand et son niveau d'implication 6.3 décrit les
travaux et les mécanismes de l'initiative et 6.2 sait se montrer critique;

le plan indique 7.1 la gouvernance globale de la vigilance 7.2 démontre son caractère transversal et précise la 7.3 gouvernance de
chaque mesure 7.4 de façon assez précise pour déterminer les interlocuteurs pertinents
le plan est partiellement ou totalement mis à jour de façon régulière et pas seulement au moment de la publication du document de
réference, attestant ainis d'un comportement constamment vigilant et non d'un simple reporting à terme

0% rouge 25 % orange 50% jaune 75% vert 100%

Le Plan précise a.1. la méthodologie adoptée pour réaliser la cartographie des risques a.2. Elle donne en particulier des précisions sur
les sources d'information utilisées, les méthodes d'analyse, les fréquences de mise à jour, la participation des parties prenantes... a.3. Il
en ressort clairement que le Plan vise les risques et atteintes graves pour les tiers et l'environnement et non pour la société elle-même
a.4. En particulier, la hiérarchisation est faite en raison de la probabilité et de la gravité du risque, avec une priorité donnée à la gravité
(ampleur, étendue des dommages)

La cartographie des risques est a.1. publiée b.2. de façon exhaustive et détaillée, c'est à dire permettant d'identifier concrètement les
risques et leur localisation b.3. idéalement à l'aide de plusieurs cartographies croisées (activités, produits, localisation) et b.4. fait
ressortir explicitement la hiérarchisation

La société c.1. identifie les risques liés aux commodités agricoles et c.2. décrit en détaille la nature du risque (impacts environnement
et humain) et c.3. indique comment le risque a été analysé et c.4. hiérarchisé par rapport aux autres activités ou enjeux

Identifie spécifiquement d.1. les risques liés au soja d.2. précise la nature du risque (impacts environnementaux, humains) d.3. indique
comment le risque a été analysé (par exemple en fonction des volumes, des pays producteur, des exploitations, des semences OGM,
pesticides, main d'oeuvre sur les exploitations, dates de conversion des terres et autorisations de déforestation ou de conversion s'il y a
lieu) et d.4. hiérarchisé par rapport aux autres enjeux, matières premières ou activités, étant précisé que l'analyse et la hiérarchisation
des risques ne vise pas à les exclure du Plan (sauf à ce que le risque n'existe pas) mais plutôt à en prioriser la gestion
Le Plan a.1. apporte des informations sur le niveau de traçabilité de la chaîne de valeur a.2. et plus particulièrement sur la déforestation
et / ou le soja a.3. il apporte des éléments de précision sur l'origine exacte des matières premières (localisation spécifique, tonnage,
nature des semances, volumes, main d'oeuvre, utilisation de pesticides) a.3. idéalement une liste des filiales fournisseurs et sous-
traitants concernés et des précisions selon leur activité et leur rang dans la chaîne (agriculteurs, éleveurs, coopératives,
transformateurs, négociants, acheteurs, importateurs, grossistes) ainsi que le cas échéant, des précisions sur les fournisseurs et sous-
traitants autorisés et fréquence des mises à jour de la liste s'il y a lieu

Le Plan indique b.1. les procédures d'évaluation de la chaîne mises en place ; b.2. il précise quelles filiales fournisseurs et sous-
traitants font l'objet de mesures d'évaluation en matière sociale et environnementale (par exemple leur rang dans la chaîne, la
proportion d'activité représenté) b.3. la nature et b.4. la fréquence de celles-ci (audits annoncés ou non; visites par des tiers
indépendants, taux de renouvellement);
Le Plan c.1. donne des éléments de précision sur le cahier des charges des mesures d'évaluation c.2. les résultats des évaluations
ainsi que si nécessaire, c.3. les mesures correctives mises en place c.4. le cas échéant, la société sait se montrer critique à l'égard des
mécanismes de certification et de labellisation ou les initiatives multi-parties prenantes par lesquelles elle passe pour mener ces
évaluations

La société a a.1. un plan d'actions spécifique sur la déforestation b.1 établi avec les parties prenantes pertinentes

La société a b.1. un plan d'actions spécfique au soja b.2. établi avec les parties prenantes pertinentes
Les 1. objectifs et 2. le calendrier du ou des plans d'action sont clairement identifiés et 3. présentent un niveau de détail suffisant 4.
Idéalement basé sur des indicateurs qualitatifs et ou quantitatifs
La société 1. envisage clairement la rupture des relations commerciales avec certains fournisseurs et sous-traitants 2. la société
envisage de cesser certaines activités / pratiques et développe des alternatives
La société 1. s'engage à soutenir un moratoire étendu à l'ensemble des écosystèmes endémiques de l'Amérique du Sud et /ou 2. est
signataire du Cerrado Manifesto

1. Les mécanismes d'alerte mis en place sont indiqués 2. ansi que leur périmètre ratione personae 2. et ratione materiae 3. il respecte
les exigences d'implication des parties prenantes et en particulier des syndicats 4. et précise leur mode d'implication (idélament à la fois
dans l'élaboration, la mise en oeuvre et le suivi du ou des mécanismes).

Le Plan 1. indique précisément les différents outils mis en place (mécanisme de centralisation et mécanismes décentralisés au niveau
local) 2. il indique précisément les procédures relatives à ces mécanismes 3. ces procédures garantissent le respect des principes
applicables aux mécanismes non judiciaires de règlement des différents (légitimes, accessibles, prévisibles, équitables, transparents,
compatibles avec les droits, source d'apprentissage permanent et fondés sur la participation et le dialogue); 4. il pourra effectivement
être facilement saisi relativement à la problématique du soja ou de la déforestation, notamment par des exploitants, les travailleurs dans
la chaîne d'approvisionnement, des ONG au niveau local ou international...

Le Plan 1.fait état des procédures internes et ou externes mises en place afin de suivre l'effectivité des processus de vigilance et 2.
publie les résultats de ces mesures

La société 1. indique les indicateurs qu'elle utilise pour assurer 2. le suivi de l'effectivité et 3. de l'efficacité des mesures 4. ainsi que leur
métholodogie d'élaboration ; les indicateurs comprennent notamment des indications des ressources investies dans l'établissement et
la mise en oeuvre des mesures
La société indique les plans correctifs prévus; NB: CR de mise en oeuvre effective uniquement à partir de 2019
Nom de la société Elior
a répondu à notre second courrier ; 131 736 collaborateurs ETP ; SA ; CA = 6 694 MILLIONS
Fiche d'identitée D'EUROS
Devoir de vigilance oui

I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme plan d'une page; pas de publication autonome ni de traductions identifiée ; nombreux renvois
2. Périmètre groupe Les engagements sont pris "sur l’ensemble de sa chaîne de valeur".

3. Périmètre extragroupe Les engagements sont pris "sur l’ensemble de sa chaîne de valeur".

Signataire du Global Compact des Nations unies, Elior Group s’engage à promouvoir et à respecter (...)
les principes relatifs au respect des droits de l’Homme, des normes internationales de travail et de
4. Périmètre substantiel
l’environnement (voir paragraphe 2.1.1, « Les éléments fondateurs du Positive Foodprint Plan »). Il
veille également à ne pas se rendre complice de leur violation."

5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou
régionales

"Elior Group a créé en 2018 un comité de pilotage pluridisciplinaire (achats, audit, RSE, qualité, etc.)
7. Gouvernance afin d’établir une première cartographie des risques pour ses principales familles d’achats (alimentaires
et non alimentaires) en France."

8. Mise en oeuvre constante


de la vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au
Informations publiées : rapport RSE
regard des risques liés au
soja
1. Cartographie

Description succincte de la méthodologie; pas de précision sur l'analyse et la hiérarchisation :


"L’identification et la hiérarchisation des principaux risques liés à la chaîne d’approvisionnement d’Elior
France est le fruit d’une démarche réalisée en quatre étapes :
– Identification des risques par famille d’achats ;
Méthodologie
– Identification des pays d’implantation, des fournisseurs et des risques par pays ;
– Conduite d’entretiens (en interne et auprès d’un panel externe) et de recherches bibliographiques
complémentaires afin de hiérarchiser les risques identifiés ;
– Cartographie des risques et mise en place d’un plan d’action."

"Les 12 principales familles d’achats d’Elior en France (produits de la mer, fruits et légumes, produits
d’entretien, etc.), représentant plus de 30 000 références alimentaires et non-alimentaires, ont été
analysées et plusieurs catégories de risques ont été identifiées : Conditions de travail : rémunération,
travail forcé, travail des enfants, etc. ; Santé et sécurité des travailleurs et des consommateurs ;
Publication Communautés et développement local : conditions de vie et de logement, droits fonciers et accès aux
ressources naturelles ; Environnement : utilisation des ressources, biodiversité,
pollution, déchets et climat ; Bien-être animal : conditions d’élevage et
d’abattage."

mentionné au titre de la politique RSE mais pas clairement relié au Plan de vigilance: "La stratégie de
responsabilité Positive Foodprint Plan a pour objectif de limiter au maximum l’impact causé
Commodités agricoles et par les approvisionnements du Groupe sur les écosystèmes et le climat via
déforestation une sélection rigoureuse de ses produits. Elior Group a fait le choix de
travailler en priorité sur les thématiques du bien-être animal, de la pêche
responsable, de la saisonnalité des produits et de l’huile de palme."
idem mentionné au titre de la politique RSE mais pas clairement intégré au Plan de vigilance (chapitre
distinct; p. 85): "Le Groupe est également vigilant sur l’impact environnemental de la filière soja et
a clairement identifié les risques (déforestation notamment) liés à
Soja l’alimentation animale des viandes servies dans ses menus." Evaluation en
cours "Pour y répondre, Elior France a mis en place un dispositif destiné à évaluer
ce risque et participe à un groupe de travail multipartite (constitué d’ONG,
d’entreprises du secteur agroalimentaire, etc.) sur cette thématique."

2. Mesures d'évaluation chaine


d'approvisionnement

Traçabilité

Audits et contractualisation (attention cependant ces éléments ne sont pas visés par le chapitre plan de
vigilance et se trouvent à un autre endroit dans le document de référence): "Elior France dispose depuis
2012 d’une charte des achats responsables qui formalise les exigences du Groupe envers ses
fournisseurs dans plusieurs domaines tels que la qualité et de la sécurité alimentaire, le respect de
l’environnement, l’éthique et les normes de travail. Cette charte a été mise à jour en 2017 pour intégrer
les principes d’éthique du Groupe et renforcer la notion de vigilance sur la chaîne de valeur et la sphère
d’influence. Elior Services a également adapté à son activité cette charte en 2017. Destinée à tous les
fournisseurs d’Elior en France (actuels ou nouveaux), cette charte est adjointe
à tous les nouveaux contrats depuis janvier 2018. Au 30 septembre 2018, 99 % des fournisseurs d’Elior
Mesures d'évaluation
en France étaient signataires de la charte.
Elior France met à disposition de ses fournisseurs la plateforme d’auto-évaluation et de contrôles
Acesia. Développé par l’Afnor (Association française de normalisation), cet outil permet au Groupe de
vérifier le respect par les fournisseurs de ses exigences en matière de responsabilité et d’entretenir le
dialogue avec eux.
Au Royaume-Uni, tous les fournisseurs d’Elior UK sont tenus de signer le supplier’ code of conduct
(version anglaise de la charte des achats responsables France).
En Italie, plus de la moitié des fournisseurs d’Areas ont signé le code d’éthique de l’entreprise ou sont
certifiés SA 8000 (norme de responsabilité sociale)."

Qualité des mesures


d'évaluation
3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique
déforestation

en cours ? peu clair, le soja est mentionné dans la politique RSE et il semble qu'un travail soit en cour
Plan d'action spécifique soja
au sein d'un "groupe de travail" sans plus de précisions (p. 85)

Objectifs et calendrier

globalement et sur tous les risques il est simplement affirmé : "Des recommandations ont été émises
pour chacune des familles d’achats analysées et des outils déployés auprès des acheteurs pour
prévenir les risques identifiés." ; "Par ailleurs, en réponse au cahier des charges de ses clients, les
Faire cesser le dommage achats d’Elior France sont délibérément diversifiés en terme de labels porteurs d’exigences sur
l’alimentation animale : biologique, Label Rouge, etc. Depuis 2005, Elior France référence des produits
« Bleu- Blanc-Cœur » qui favorisent l'introduction de sources naturelles en oméga 3 dans l'alimentation
des animaux (lin par exemple) et qui diminuent la proportion de soja d'importation."

Prévenir sa réitération:
engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Etablissement et implication
des syndicats
Qualité et effectivité des
mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre
effective

Mise en place d'un système de


contrôle et de suivi

Présence d'indicateurs

"Le Groupe publiera le bilan d’effectivité des mesures adoptées dans son prochain document de
Mesures correctives prises en référence.
conséquence Au cours des exercices à venir, Elior Group étendra son plan de vigilance à d’autres sujets (ressources
humaines notamment) et le déploiera à l’ensemble de ses entités dans le monde."
Elior, Document de référence 2017-2018, p. 93, 15 et 11

Elior, Document de référence 2017 - 2018, p. 78

Précisions apportées par la société

"Dans le cadre du devoir de vigilance, nous avons créé en 2018 un comité de pilotage
pluridisciplinaire afin d’établir une cartographie des risques pour nos principales familles
d’achats (alimentaires et non- alimentaires) en France. "

Précisions apportées par la société


"Concernant la filière soja importé, Elior Group a
parfaitement conscience de son
impact négatif sur l’environnement, en particulier du fait de sa
contribution à une déforestation accélérée." "Dans ce cadre, la
déforestation liée à la culture du soja en Amérique latine a bien été
identifiée comme un risque. "

"Pour mieux appréhender cet enjeu, Elior a rejoint l'initiative soja lancée en France par le WWF
au mois d'octobre 2018. Cette initiative rassemble plusieurs acteurs de la chaîne
d'approvisionnement française en soja (distributeurs, transformateurs, etc.) autour d'un objectif
commun : identifier les actions les plus pertinentes par secteur et par filière pour parvenir à des
chaînes d’approvisionnement zéro conversion, dans un état d’esprit orienté solutions."

"De ce fait, nous avons délibérément décidé de diversifier nos


approvisionnements de viandes en France en privilégiant des labels
porteurs d’exigences sur l’alimentation animale (Bio, Label Rouge, etc.). Par
ailleurs, depuis 2005, Elior France a référencé des produits Bleu-Blanc-
Cœur qui favorisent l'introduction de sources naturelles en oméga 3, comme
le lin, et qui diminuent la proportion de soja d'importation dans l'alimentation
des animaux."
Nom de la société Lactalis
80 000 collaborateurs dans le monde ; 18,4 Milliards
Fiche d'identitée d'euros de chiffre d'affaires ; la société n'a pas répondu à nos
courriers
Devoir de vigilance La société ne publie pas de plan
I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
Informations publiées
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
Lactalis "Chiffres clés"

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société


Nom de la société
Fiche d'identitée

Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
Lidl
30 000 collaborateurs
Formellement, pas de ;Planelle publié
a répondu à notre
identifié second
mais courrier
mentionne la loi dans son rapport RSE
et indique travailler à l'identification des risques sociaux et environnementaux "dans le
cadre notamment de notre devoir de vigilance"
Analyse de la publication
La loi est mentionnée
"L’intégralité dans le
de nos rapport RSE mais
partenaires pas de chapitredirects
commerciaux ou document
et Plan de
vigilance identifié
indirects sont contractuellement
Pas d'informations tenus de respecter
identifiées relativement au Plan lesdelégislations
en vigueur; àailleurs
vigilance l’échelle régionale,
dans le rapport nationale
RSE, il et
est internationale.
indiqué que la société
"Nous
En nous conformons
complément, nousau avons
droit en vigueur
rédigé etun
aux directives
Code de internes"conduite
bonne ; le code de
implique ses parties prenantes: "Tout au long de notre
conduite "exige le respect de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, chaîne delequi
définit
respect nos
valeur,denotre attentes sur
activitésur
la déclaration le
impliqueplan environnemental
les droitsdes partiesfondamentaux
et principes et
prenantes. du social
Outre vis-à-vis
travailcelles
de qui
de
sontnos lesfournisseurs
l’Organisation plus Internationale directs
du Travail
visibles telles que et(OIT)
indirects,
nos ainsi et ce
que ses
collaborateurs dans le monde
conventions
ou nos clients,
entier."
internationales.
notre mission
Accord
Des standards locaux complémentaires sont également ajoutés."
est de lesSocial
Bangladesh,Business identifi er afi n de
Compliance comprendre
Initiative (BSCI); dans aud'autres
mieux les
impacts du
passages que l’enseigne
rapport a sur elles.
RSE, la société mentionneCela nousinitiatives
d'autres permetauquelles
ensuite elle
"Chez Lidl,
participe le département
(RSPO, ProTerra,conformité
RTRS) est en charge du déploiement, du suivi continu
d’adapter
et de la misenos à jourprises de
de notre décisiondeenconformité
programme connaissance
au service dedes
cause
valeursaude
travers de nos rôles de distributeur, d’employeur, de partenaire
l’entreprise."
commercial et d’acteur engagé sur le territoire français."

Informations publiées

Le sujet n'est pas mentionné dans le rapport RSE


idem

Plusieurs mesures d'audit et d'évaluations mentionnées s'agissant notamment des


fournisseurs et sous-traitants pour les produits non alimentaires; "Depuis juin 2017, Lidl
participe à la création de Valorise, une plateforme d’auto-évaluation de nos
Le sujet n'est
partenaires pas explicitement
commerciaux. Cettetraité en lien s’inscrit
plateforme avec le devoir démarche; ailleurs
de vigilance
dans une bienveillante
dans le Rapport
d’identification RSE, la des
et de valorisation société mentionne
démarches toutefoisen
les plus exemplaires "6terme
chartes
de
durabilité etresponsable
d’achat d’accompagnement avec de des
nos fournisseurs
objectifspour l’amélioration
précis (huile de continue
palme, des
pratiques de production."
cacao, café, thé, poisson, oeufs)" "Depuis 2017, Lidl formalise ses
engagements en matière d’achats responsables à travers des
chartes,2020
"Objectif consultables
: 50 % de cafésur notre
certifié" site internet
"Objectif enrouteversdemain-
2019 : 100 % de thé certifié " "Produits
lidl.fr, par catégorie
alimentaires d’achats.
: 100% de l’huile de palme Aujourd’hui,
contenue dans 6 nos
catégories sont
produits alimentaires en
couvertes
gamme par une
permanente de charte : le poisson
marque propre certifiée (pêche et aquaculture),
RSPO Segregated d’ici 2018 -lesProduits
non alimentaires : 80% de l’huile de palme contenue dans nos produits non
œufs et ovo produits, l’huile de palme (palmiste), le cacao, le café et
alimentaires en gamme permanente de marque propre certifiée RSPO Mass Balance
le thé."
d’ici 2019"

Indicateurs GRI dans le rapport RSE mais pas d'indicateurs spécifiques dédiés au plan
de vigilance
Lidl, Rapport RSE 2018, voir notamment p.5

Lidl, Rapport RSE 2018, voir notamment p.40


Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société

"L'analyse de notre empreinte soja fait partie de notre plan d'action" "Néanmoins, cela
nécessite un travail de fond et nous ne souhaitons pas communiquer sur cette
thématique pour le moment"
"Comme vous le savez certainement, le sujet du soja est particulièrement complexe et
de nombreuses problématiques nationales et internationales y sont associées.En
raison travaillons
"Nous de cette nature complexe
également des chaînes
en étroite d'approvisionnement
collaboration du soja,
avec l'organisation RTRS.il est
Bien
difficile,
que nousà reconnaissions
l'heure actuelle,qu'il
d'appréhender entièrement
y ait toujours des limitesles
auxorigines
systèmesphysiques du soja
de certification,
qui entre
nous dans
avons nosde
choisi chaînes d'approvisionnement".
travailler avec RTRS car il s'agit d'une initiative multipartite qui
implique l'industrie du soja dans tous les aspects du processus décisionnel. La norme
"Afin
RTRSd'avancer sur cette
exige la mise thématique,
en oeuvre nous avons
des exigences légales récemment signé
pertinentes (telles que leun code
partenariat
forestier avec
au Brésil) et al'organisation
été comparée aux TFT lignesqui nousdeaccompagne
directrices la Fédération sur
européenne descommodités
différentes fabricants d'aliments pour animaux sur
et notamment (FEFAC) pour l'approvisionnement
le sujet du soja.
en soja selon la Sustainable Agriculture Initiative (SAI)."
L'analyse de notre empreinte soja fait partie de notre plan d'action"
"Nous avons décidé d'intégrer le groupe de travail créé par le WWF
"En 2018, nous avons ainsi décidé d'acheter des certificats RTRS "Book and Claim
qui rassemble
Direct Trade" pour plusieurs
couvrir 100 actuers de la filière
% de l'empreinte soja deafin de réfléchir
nos produits laitiers." La
ensemble
société à avoir
affirme une choisi
stratégie d'action
ce système pourcommune"
s'"assurer que"Nous vous invitons
les certificats que nous à
obtenons auront un impact
vous rapprocher du WWFaussi positif que possible,
pour toute tant sur
question liéele àplan
cesocial
groupe de
qu'environnemental. Pour cette raison, nous avons identifié trois fermes basées dans
travail."
les états du Piaui et du Maranho au Brésil, toutes situées dans des régions "vertes" de
catégorie 4 du RTRS."
Nom de la société
Fiche d'identitée

Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
E. Leclerc
société coopérative ; 127 000 collaborateurs ; ont répondu à notre courrier

pas de précision apportée ; pas de plan publié identifié


Analyse de la publication

Informations publiées

Engagements en faveur de l'huile de palme et de bois tropicaux durables d'après leur


site ;
E. Leclerc "Le Mouvement"

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société

Notre enseigne a défini il y a plus de 10 ans, avec l'aide des équipes de la fondation
"Sur le soja, nous sommes en train de travailler avec eux sur la
Earthworm(...) un plan de réduction de son empreinte forestière,
cartographie globale, qui se révèle être un exercice assez
initialement décliné en 3 axes (le bois, le papier et l'huile de
complexe à mener, puisque comme vous le savez, nous sommes un
palme durables) auquel a été rajouté le soja il y a 2 ans"
Mouvement de magasins indépendants, non intégré, contrairement à
la grande majorité de nos concurrents, que ce soit Auchan, Carrefour
ou Casino"

nous
"nous sommes conscients des problématiques liées à la culture du soja ;
avons inclus ce sujet dans notre plan Froêt ; nous y travaillons
avec l'appui de la Fondation Earthworm"
Nom de la société
Fiche d'identitée

Devoir de vigilance
I. Principes transversaux

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs

Mesures correctives prises en conséquence


LDC (Le Gaullois, Loué, Marie...)
16 929 collaborateurs en France et 19 260 monde ; 3,8 Md € de chiffre d’affaires dont
17,7% à l’international; la société n'a pas répondu à nos courriers
un paragraphe identifié
Analyse de la publication

; cependant la société publie la liste des


indiqué mais non détaillé
filiales consolidées dans son document de référence

"la direction du Groupe L.D.C. a constitué un groupe de travail chargé de mettre en


place un « plan de vigilance » visant à identifier et à prévenir les atteintes graves aux
droits humains et aux libertés fondamentales, à la santé et à la sécurité des personnes
ainsi qu’à l’environnement, résultant de ses activités, des sociétés qu’elle contrôle,
ainsi que de celles de ses sous-traitants ou fournisseurs."

Informations publiées

Il est indiqué que "Pour répondre aux besoins de ces volailles en protéines végétales,
L.D.C. privilégie les matières premières locales : tourteaux de
colza, pois... mais développe également le soja français." " les
alternatives aux protéines de soja essentiellement importées de pays
lointains ; en partenariat avec un important acteur du monde végétal,
une étude a été menée afin de chercher de nouvelles valorisations
de protéines de colza ou tournesol ;" cependant ces mentions ne
sont pas présentes dans la partie Plan de vigilance de la société p.
47 et 51

"Parmi les mesures qui seront mises en place au cours de l’exercice 2018/2019,
figurent notamment :
- la réalisation d’une cartographie des risques,
- des procédures d’évaluation régulière de la situation des filiales, des sous-traitants ou
fournisseurs du Groupe L.D.C., - des actions adaptées d’atténuation des risques ou de
prévention des atteintes graves,
- un mécanisme d’alerte et de recueil des signalements,
- un dispositif de suivi des mesures mises en œuvre et d’évaluation de leur efficacité."
LDC, Rapport annuel p. 34

LDC, Rapport annuel p. 52


Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société


Légende et explication de la notation couleur = 0% rouge 25 % orange 50% jaune 75% vert 100%
1.1 autonome 1.2 formalisée 1.3 exhaustive 1.4 accessible
2.1 le plan couvre clairement la société et ses filiales et 2.2 permet de les identifier précisément (au moins leur
3.1 le plan couvre les fournisseurs et sous-traitants et 3.2 les identifie de façon spécifique 3.3 en particulier avec
localisation)
des listes 3.4 fournissant un niveau de détail suffisant (position dans la chaîne de valeur, localisation
4.1 le plan couvre
géographique, main clairement
d'oeuvre,etactivités...)
de 4.2 façon interdépendante les risques et atteintes graves aux droits humains, à
l'environnement et à la santé et à la sécurité et 4.3 permet d'identifier les normes de référence sur lesquelles se
5.1
baselela
plan fait état
société de de
et 4.4 l'implication
potentielsdes parties prenantes et en particulier 5.2 du choix, de la méthodologie et des
conflits
résultats de la consultation des parties prenantes pertinentes 5.3 pour l'établissement et la mise en oeuvre
effective des diverses mesures
6.1 le plan fait état 6.2 de façon critique, des initiatives auxquelles la société participe
le
le plan
plan est partiellement
indique ou totalement
7.1 la gouvernance mis et
globale à jour de façon de
transversale régulière et pasetseulement
la vigilance au moment
7.2 de chaque mesurede la publication
du document de réference, attestant ainis d'un comportement constamment vigilant et non d'un simple reporting à
terme

Le Plan précise 1. la méthodologie adoptée pour réaliser la cartographie des risques, 2. en particulier les sources
d'information utilisées, les méthodes, les fréquences de mise à jour; 3. Il ressort clairement que le Plan vise les
risques et atteintes pour les tiers et l'environnement et non pour la société elle-même. 4. La hiérarchisation est
faite en raison de la probabilité et de la gravité du risque, avec une priorité donnée à la gravité (ampleur, étendue
La
descartographie
dommages...) des risques est 1. publiée de façon exhaustive et 2. avec un niveau de détail suffisant pour
identifier concrètement les risques pour le Groupe et leur localisation, en termes d'activité ou de localisation ou par
Identifie spécifiquement 1. les risques liés au soja et apporte 2. une analyse et une hiérarchisation de ce risque et
produits par exemple
en
La particulier 3. provenance
société 1. identifie (paysliés
les risques producteur, exploitation),
aux commodités semences
agricoles OGM,l'analyse
et 2. précise pesticides, main
et la d'oeuvre surde
hiérarchisation lesce
exploitations,
risque dates de conversion des terres et autorisations de déforestation ou de conversion s'il y a lieu; étant
Le Plan 1. identifie la chaîne de valeur relativement au risque de déforestation et plus particulièrement 2.
précisé que l'analyse et la hiérarchisation des risques ne vise pas à les exclure du Plan (sauf à ce que le risque
relativement au soja: tonnage et traçabilité du soja avec des informations notamment sur la certification /
n'existe pas) mais plutôt à en prioriser la gestion
labellisation et 3. idéalement une liste des filiales fournisseurs et sous-traitants concernés et précision selon leur
activité et leur rang dans la chaîne (agriculteurs, éleveurs, coopératives, transformateurs, négociants, acheteurs,
importateurs, grossistes) ; fournisseurs et sous-traitants autorisés et fréquence des mises à jour de la liste s'il y a
Le
lieuPlan indique 1. les procédures d'évaluation de la chaîne mises en place ; 2. il précise quelles filiales
fournisseurs et sous-traitants font l'objet de mesures d'évaluation en matière sociale et environnementale, la nature
Le Plan
et la 1. précise
fréquence le cahier ;des charges, et les résultats des évaluations ainsi que si nécessaire, les mesures
de celles-ci
correctives mises en place ; 2. le cas échéant la société sait se montrer critique à l'égard des mécanismes de
certification et de labellisation

La société a un plan d'actions spécifique sur la déforestation établi avec les parties prenantes pertinentes
La société a un plan d'actions spécfique au soja établi avec les parties prenantes pertinentes
Les 1. objectifs et 2. le calendrier du ou des plans d'action sont clairement identifiés
La société 1. envisage clairement la rupture des relations commerciales avec certains fournisseurs et sous-
traitants 2. la société envisage de cesser certaines activités / pratiques
La société s'engage à soutenir un moratoire étendu à l'ensemble des écosystèmes endémiques de l'Amérique du
Sud.
1.
LeLes
Plandifférents mécanismes
1. indique précisémentd'alerte mis en outils
les différents place etson indiqués, ainsi
procédures misesque en leur
placepérimètre ratione
et 2. assure personae
notamment le et
materiae: celui-ci :permet
respect des principes légitimes,en principe prévisibles,
accessibles, de couvriréquitables,
les problématiques liées au soja
transparents, compatibles avec ;les
2.droits,
l'implication obligatoire
source d'apprentissage des syndicats
permanent et fondés surest indiquée, et
la participation ainsi que 3.; 3.
le dialogue leIlmode
pourra d'implication.
effectivement être
facilement saisi relativement à la problématique du soja, notamment par des exploitants, les travailleurs dans la
chaîne d'approvisionnement, des ONG au niveau local ou international...

Le Plan 1.fait état des procédures internes et ou externes mises en place afin de suivre l'effectivité des processus
La
de société
vigilance1.etindique lesles
2. publie indicateurs
résultats qu'elle
de cesutilise pour assurer 2. le suivi de l'effectivité et 3. de l'efficacité des
mesures
mesures 4. ainsi que leur métholodogie d'élaboration ; les indicateurs comprennent notamment des indications des
ressources investies dans l'établissement et la mise en oeuvre des mesures

La société indique les plans correctifs prévus; NB: CR de mise en oeuvre effective uniquement à partir de 2019
Nom de la société Les Mousquetaires
Fiche d'identitée ont répondu à notre second courrier ; 150 000 collaborateurs
Nous indiquent dans leur courrier faire un Plan devoir de vigilance mais ne pas le publier ; il est
Devoir de vigilance également mentionné dans leur rapport développement durable

I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme
2. Périmètre groupe

3. Périmètre extragroupe

4. Périmètre substantiel

5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou
régionales

7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante
de la vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au
regard des risques liés au
soja
1. Cartographie

Méthodologie

Publication

Commodités agricoles et travaille avec TFT sur la


Le rapport développement durable indique que la société
déforestation déforestation importée en visant plusieurs commodités, mais pas le soja

Soja

2. Mesures d'évaluation chaine


d'approvisionnement

Traçabilité

Mesures d'évaluation

Qualité des mesures


d'évaluation
3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique Le rapport développement durable indique que la société travaille avec TFT sur la déforestation
déforestation importée en visant plusieurs commodités, mais pas le soja

Plan d'action spécifique soja

Objectifs et calendrier

Faire cesser le dommage


Prévenir sa réitération:
engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Etablissement et implication
des syndicats
Qualité et effectivité des
mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre
effective

Mise en place d'un système de


contrôle et de suivi

Présence d'indicateurs

Mesures correctives prises en


conséquence
Rapport développement durable 2018, p. 6/7

Les Mousquetaires, Rapport développement durable 2018, p. 12/13

Précisions apportées par la société

"Dans ce cadre et avec la parution de la loi sur le devoir de vigilance, nous avons
formalisé un plan qui n’est pas rendu public."

Le plan "définit pour chaque catégorie de fournisseur et de filières d’achat les dispositifs
d’engagements et de suivi de nos fournisseurs."

"Concernant les questions 2.a à 6d, nous ne sommes actuellement pas en mesure de vous
répondre."
idem

idem

"Nous sommes bien sûrs conscients des problématiques environnementales et sociales liées au
soja mais nous n’avons à ce jour pas encore cartographié les risques sur
nos chaines d’approvisionnement liés au soja."

"Nous nous questionnons de plus sur la meilleure méthodologie à appliquer pour cartographier
la chaine d’approvisionnement :
- depuis les produits finis, ce qui nécessite l’implication d’absolument tous les acteurs
- via une action portée directement et uniquement à partir des fabricants d’alimentation animale
qui représentent un nœud de la chaine d’approvisionnement, les données de traçabilité
importantes étant situées en amont de ces acteurs et non en aval."

"Concernant les questions 2.a à 6d, nous ne sommes actuellement pas en mesure de vous
répondre."

idem
"Concernant les questions 2.a à 6d, nous ne sommes actuellement pas en mesure de vous
répondre."

"Nous faisons partie d’un


groupe d’échange et de réflexion initié par TFT,
sur les actions à mettre en œuvre pour stopper la déforestation / la
conversion des biomes et limiter les conflits d’usage des terres ainsi
que l’esclavage liée à la culture du soja. Il regroupe différents
distributeurs ainsi qu’une association qui a pour mission de promouvoir et
améliorer la durabilité de l’alimentation des animaux d’élevage, comprenant
des acteurs de l’ensemble de la filière, de la production jusqu’à la
distribution. Ce groupe a pour but de créer une dynamique pour avancer de
manière similaire et efficace.
Nous souhaitons au travers de ce groupe trouver la méthodologie la plus
adaptée et la plus pertinente, au regard des différents travaux en cours"

"Concernant les questions 2.a à 6d, nous ne sommes actuellement pas en mesure de vous
répondre."
idem

Sur la question du moratoire, nous sommes prêts à envisager une signature du moratoire.
Pouvez-vous nous le transmettre afin que nous en prenions connaissance et l’étudions ?

idem

idem

idem

idem

"Nous souhaitons donc étudier ces différentes initiatives afin de voir lesquelles sont les plus
pertinentes. N’hésitez pas à nous faire part de votre avis sur l’ensemble de ces initiatives.
Nous pouvons, si vous le souhaitez, vous tenir au courant de l’avancée de ce groupe d’échange,
et vous êtes conviés à participer à notre prochaine réunion d’échanges organisée par TFT si
vous le désirez."
Nom de la société Sodexo
Fiche d'identitée ont répondu au second courrier ;
DDV si applicable Oui

I. Principes transversaux Analyse de la publication

Plan avec tableau récapitulatif mais peu de développements (fonctionnement par renvois ; pas de
traduction ni de publication distincte identifiée) "Ces mesures sont développées dans le chapitre 2 du
1. Formalisme présent Document. Concernant la cinquième obligation, les informations sont également détaillées dans
le chapitre 5.4 du présent Document de référence."

"Sodexo exerce ses activités dans plus de 72


pays dans des contextes économiques et
socio-culturels variés et complexes.
2. Périmètre groupe
Le Plan de vigilance couvre les activités de Sodexo et de ses filiales et
s’inscrit dans la continuité de notre feuille de route en matière de responsabilité
d’entreprise. Ce premier plan de vigilance a été construit autour des cinq
obligations édictées par la Loi"

3. Périmètre extragroupe

Le schéma "détaille les mesures mises en œuvre par le Groupe dans le respect des cinq obligations
4. Périmètre substantiel concernant les trois catégories d’enjeux (droits humains et libertés fondamentales, santé et sécurité,
environnement"

5. Parties prenantes

6. Initiatives sectorielles ou
régionales

7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante
de la vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou
vigilance le cas échéant, au
regard des risques liés au
soja
1. Cartographie
Matrice de matérialité et cartographie ; renvoi au chapitre 2 du document de référence qui concerne les
Méthodologie
risques pour la société.
"Identification des trois catégories
Publication
à risque : Textile : Uniformes ; Produits de la mer : Thon ; Produits Agricoles : Bœuf"
Commodités agricoles et
boeuf ; huile de palme
déforestation
Soja

2. Mesures d'évaluation chaine


d'approvisionnement

Traçabilité
"• Procédures opérationnelles normalisées pour les responsables des sites
• Formation sur les pratiques durables
• Déploiement des politiques Groupe : Huile de palme, Produits de la mer, Œufs, Bien-être animal
• Code de conduite fournisseurs Sodexo
• Cadre de gestion des risques, Politique santé et sécurité globale Sodexo • Conduite responsable des
affaires – déploiement ; Gestion des contrats fournisseurs (clauses contractuelles ;
Right Supplier, right terms)
• Contrôle régulier des fournisseurs (certification, atténuation et prévention)"
"Monitoring of Supplier : Sodexo continue le déploiement de son outil
d’enregistrement en ligne pour centraliser les informations des fournisseurs. Cet
Mesures d'évaluation
outil intègre toutes les exigences de Sodexo liées à la capacité, la certification, la
couverture géographique et réglementaire. Cet outil est également utilisé pour
collecter des données relatives à la responsabilité sociétale. Les fournisseurs
bénéficient d’une interface simple, qui leur permet de fournir facilement toutes les
informations nécessaires. De son côté, Sodexo bénéficie d’une « passerelle »
pour la collecte d’informations adaptées aux exigences de responsabilité sociétale
du Groupe. Les fournisseurs sont invités à répondre à diverses questions liées à
nos engagements en matière de responsabilité sociétale et sont tenus de les
mettre à jour pendant toute la durée de leur relation avec Sodexo.
À fin août 2018, plus de 11 000 fournisseurs ont été évalués à travers cet
outil."

Qualité des mesures


d'évaluation
3. Actions adaptées de
prévention et d'atténuation

Plan d'action spécifique


déforestation

Plan d'action spécifique soja

Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération:
engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte

"Système d’alerte Speak up (étendu aux fournisseurs) ; Ce mécanisme d’alerte interne permet aux
Etablissement et implication
collaborateurs, où qu’ils soient dans le monde, de signaler tout soupçon de pratiques abusives, toute
des syndicats
violation de nos normes éthiques ou toute atteinte à l’intégrité et à la sécurité des personnes. "

"Un processus de traitement des signalements a également été mis en place. Sodexo Speak Up fournit
un canal alternatif permettant aux collaborateurs du Groupe de faire part de leurs préoccupations de
manière anonyme ou non, selon le souhait de chacun et la législation locale, et dans leurs propres
Qualité et effectivité des langues. Par ailleurs, à travers des campagnes sur l’ensemble de nos sites, les collaborateurs sont
mécanismes d'alerte encouragés à contacter leur responsable ou le service Ressources Humaines lorsqu’ils ont des
inquiétudes liées à l’éthique, au respect des droits humains ou au respect des procédures de sécurité.
Actuellement, Sodexo Speak Up est déployé progressivement dans chaque pays en remplacement des
systèmes d’alerte locaux déjà existants."
5. Suivi et mise en oeuvre
effective

• Audit par un organisme tiers indépendant (KPMG)


• Autres audits indépendants
Mise en place d'un système de
• Enquête d’engagement biennale
contrôle et de suivi
• Certifications externes
• Auto-évaluations

Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en
conséquence
Sodexo, Doucment de référence 2018, p. 231

Précisions apportées par la société

le plan concerne également les "activités des fournisseurs et sous-traitants"

la principale
"Par exeple chez Sodexo, nous n'achetons pas de graines de soja. Cependant,
quantité de soja que nous utilisons est de manière indirecte à travers
nos achats de produits dérivés d'animaux nourris au soja (viande,
eoufs, poisson d'élevage, produits laitiers). Nous travaillons avec les
acteurs de nos filières pour progressivement sourcer des produits plus
responsables."
"Nous avons sollicité l'expertise et l'appui du WWF pour nous aider à mettre en place les
meilleures pratiques pour réduire notre impact sur l'environnement (...) Réduire l'impact
de nos activités sur la déforestation étant au coeur de nos disucssions
depuis le début de notre partenriart, nous avons commencé par
déveloper et mettre en place des politiques d'approvisonnement
responsables pour le boeuf, l'huile de palme et le papier"

"Nous travaillons avec les acteurs de nos filières pour progressivement sourcer des produits
plus responsables.""Sodexo a rejoint l'initiative lancée par le WWF au mois
d'octobre 2018"
Sodiaal (Candia, YOP, Panier de yoplait, Perle de lait, Entremonts, Le Rustique,
Nom de la société
Coeur de Lion)
Fiche d'identitée succincte (forme juridique, nombre La société a répondu à notre relance de février sans répondre au questionnaire ; 9
d'employés) 100 collaborateurs ;
La société ne semble pas publier de plan ; elle ne nous indique pas si elle est
Devoir de vigilance couverte ou non par la loi
I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
Informations publiées
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
Sodiaal, Activity Report 2017, p. 12

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société

"Vous trouverez ci-dessous les données que nous souhaitions partager avec vous pour répondre
à votre enquête, en ce qui concerne la durabilité de l’alimentation animale qu’utilisent les
éleveurs de la coopérative Sodiaal, à laquelle Candia appartient.Nous tenons avant tout à
rappeler les données génériques sur l’origine de l’alimentation des
vaches laitières de nos adhérents : 98% de l’alimentation des vaches
laitières françaises est française, dont plus de 90% produite directement sur
les exploitations. Les 2 % restants correspondent aux tourteaux de soja, qui
ne sont pas produits en France et proviennent généralement d’Amérique du
Sud Source CNIEL : https://www.produits-laitiers.com/elevage/alimentation-
Nous prenons très au sérieux l’impact de notre activité sur l’environnement et cette question de
du-troupeau/"
l’origine de l’alimentation utilisée dans les élevages de nos adhérents
est au cœur de nos actions en matière de responsabilité. Pour permettre
Dans le cadre de notre participation à la plateforme Duralim, nous sommes déterminés
de garantir
à peser pour la que
durabilité de ces approvisionnements
les engagements et les échéances en aliments
pris au nom de ce
d’élevage, nous avons décidé d’adhérer à la charte
collectif soient respectés pour garantir des approvisionnements « zéro d’engagement
Duralim le 29 janvier
déforestation », au plus2018.
tard en 2025 : http://ra2018.duralim.org/100-
durable-zero-deforestation/
Nom de la société Système U
SA Coopérative ; 65 000 collaborateurs ; 19,49 milliards d'euros de chiffre d'affaire ;
Fiche d'identitée
fin 2018, la proportion de produits commercialisés sous leurs marques atteint 25%
Devoir de vigilance d'après le courrier ; mais pas de plan identifié sur le site
I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la vigilance

SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le cas échéant,
Informations publiées
au regard des risques liés au soja
1. Cartographie
Méthodologie
Publication
Commodités agricoles et déforestation
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement pour un moratoire
étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en conséquence
d'après le courrier transmis ; voir également Système U "qui sommes-nous ?"

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société

"Dans le cadre de la politique déforestation, les risques liés au soja ont été
identifiés depuis 2012. Afin d'affiner cette cartographie, d'en mesurer
les enjeux
"Nous et dedans
avons intégré déterminer
le cadre deles notreplans d'actions
responsabilité prioritaires,
sociétale nous avons
et environnementale des
effectuévisant:
exigences un état à lutter
des lieuxcontre desla déforestation
produits les plus (...) contributeurs
à limiter la présence à notre de
substancessoja,
empreinte controversées
ceci avec; l'aide au respect de TFT. desCette
droitspremière
des travailleurs
étape nousdansales
pays
permis ded'identifier
production" les catégories prioritaires suivantes: produits où
l'alimentation animale a une part prépondérante et les volumes de produits
vendus sont les plus importants: les produits bruts, peu développés, de
boucherie, de volaile, oeufs. L'empreinte soja Uformalisé
Enseigneen est2018
ainsi
"Au
"cesregard la cartographie
engagements se concrétisent grâcenous
effectuée, avons
à un travail de proximité, de transparence, unede feuille
globalement
de route sur
série d'engagements la suivante:
5 ans:sur l'origine
les oeufs
différents france >
produits 50% ; volailles
des produits
avec les années :
; 35%
des par
nous ; proc
filières
nous : 10 %,
construction de filières avec les fournisseurs partenaires qui se traduti animales
laengaeons
signature de
boeuf, lait et produits transformés : <5%". d'élevage
contrats pluriannuels avec des engagments de volume, de prix et des
également
pour une à meilleure
compter de 2019 à construire
maîtrise des un reporting
pratiques des quantités
; la de soja
recherche de
produits
prioritaire
respect des contribuant
d'alternatives
spécifications majoritairement
protéiques
et de plans àdenotre
(légumineuses: empreinte
progrès lin, les
sur soja
soja, (produits
féverole
produits etc)
et
ci-dessus)
en subsitution en co-construction
du soja / maïs (...)
l'amont agricole (bien-être et alimentation animale)" avec
; la les fournisseurs
réintroduction de et les
proténines parties sur le
prenantes,
territoire européen de façonet à identifier
idéalement les français
indicateurs lesdeplus
afin pertinents
contribuer à suivre
à l'efficacité
dans
économiqueles années et deà la venir" ; dansdes
pérennité le cadre de Duralim,
exploitations engagment
agricoles sur 3Elle
françaises. ans
sur
permet
"membreplusieurs
également
fondateursaxes:de de"origine france
développer
l'association "Pour des desagriculture
une matièresdu
cultures premières
alternatives de
en l'alimentation
vivant" qui partage France. Dans
les bonnes
des animaux
pratiques
l'intervalle, d'élevage
et notamment
pour soja des
lel"autonomie produits
des élevages
résiduel, à marque
notre U, largement
enengagement
protéines et fourragères"
est de majoritaire
"U enseigne ; la
est
adhérent
connaissanceà l'association
des Bleu Blan Coeur
conditions de depuis plus dedes
production 15 ans et déploitpremières
matières la démarchedansà travers
cartographier les initiatives
ses produits U" (valorisation des sources existantes,
de protéinesen cours
locales de développement
susceptibles de remplacer ou et de
leurs
diminuer pays
les systèmes d'origine:
le soja) ; or récolteBCC
del'association
certification de données
destinés
"vient sur l'alimentation
à garantir
également de prendre une animalede
culture
l'engagement des
soja
d'une
produits
exigence
respectant 0de boucherie
protéines issues dans
des critères notre gamme
de l'importation pour 2019
socio-environnementaux majoritaire (Marque(...)
et années suivantes.
établis, U Elle
afinnouvelle
devapouvoir
banir
l'utilisation
mettre endes
agriculture) ;tourteaux
oeuvre de soja (même "sans OGM")
les approvisionnements
l'alternative durablesàen
la plus adaptée nos protéines
sources végétales, en
favorisant le recours aux
d'approvisonnement" protéines
; charte DURALIM végétales produites en France et aux
importations présentatn le plus de garanties de durabilité: faovriser les
produits BBC"
Nom de la société Terrena
Fiche d'identitée 15 754 collaborateurs groupe ; 5 141 M€ de CA pour le groupe ; nous a répondu

Devoir de vigilance Pas de plan identifié ; la société ne précise pas dans son courrier
I. Principes transversaux Analyse de la publication

1. Formalisme
2. Périmètre groupe
3. Périmètre extragroupe
4. Périmètre substantiel
5. Parties prenantes
6. Initiatives sectorielles ou
régionales
7. Gouvernance
8. Mise en oeuvre constante de la
vigilance
SOJA
Diligence raisonnable ou vigilance le
cas échéant, au regard des risques Informations publiées
Il s'agit d'une matrice de matérialité ; "Cette cartographie des enjeux RSE
liés au soja
1. Cartographie pour le Groupe a été établie selon quatre piliers : économique et
Méthodologie
gouvernance, environnemental, social, et sociétal. Elle a été réalisée
en mais
oui cohérence avec
sans entrer dansles lignes
le détail directricesaude
: apparaissent lades
sein Global Reporting
enjeux "environnement"
Publication Initiative
les thèmes 4 qui vise à"changement
"biodiversité" rendre compte des "impacts
climatique" enjeux environnementaux
pertinents pourliés à
nos activités" "agriculture écologiquement intensive"
Commodités agricoles et déforestation l’organisation"
Soja
2. Mesures d'évaluation chaine
d'approvisionnement
Traçabilité
Mesures d'évaluation
Qualité des mesures d'évaluation
3. Actions adaptées de prévention et
d'atténuation
Plan d'action spécifique déforestation
Plan d'action spécifique soja
Objectifs et calendrier
Faire cesser le dommage
Prévenir sa réitération: engagement
pour un moratoire étendu
4. mécanisme d'alerte
Implication des syndicats
Qualité et effectivité des mécanismes
d'alerte
5. Suivi et mise en oeuvre effective
Mise en place d'un système de contrôle
et de suivi
Présence d'indicateurs
Mesures correctives prises en
conséquence
Terrena, Rapport annuel 2017, p. 8

Précisions apportées par la société

Précisions apportées par la société

"Dans le cadre de la démarche La Nouvelle Agriculture® que nous avons initiée depuis 2008, nous
avons engagé plusieurs chantiers pour assurer un approvisionnement durable sur cette matière
première. L’une des composantes de cette dynamique de progrès partagée
par plus de nos 2000 producteurs est une alimentation animale non OGM
(<0,9%)." "Mais au-delà de favoriser l’approvisionnement durable en protéines
végétales, notre volonté est de favoriser la recherche et le développement de
solutions qui tendent vers l’autonomie protéique. C’est un enjeu d’avenir
"Cet engagement nous permet de garantir l’origine et la traçabilité complète des filières. Notre
pour nos territoires
filière soja non OGM et la durabilité de
brésilienne nos pratiques
repose par exempleagricoles.
sur unLa contrat-
nature
polyvalente de notre coopérative nous permet de
cadre certifié Proterra qui engage nos fournisseurs au respect desfavoriser les synergies entre
productions végétales et animales et
exigences en matière environnementale et sociale." ce, dans un objectif de performance
environnementale et économique. A ce titre, nous avons déjà réalisé les
actions suivantes : • La transformation en 2014 d’un de nos sites industriels
"Nous sommes par exemple signataires de la charte Duralim, première
de nutrition animale situépour
plateforme collaborative à Ingrandes-sur-Vienne
l’alimentation durable(86) desdédié à la cuisson-
animaux d’élevage
extrusion
(www.duralim.org). Cette charte nous engage sur plusieurs axestechnologie
de graines oléo-protéagineuses. L’intégration de cette dont
innovante
notammentsur la ce territoire
collecte et permet à nos agriculteurs
la compilation coopérateurs,
d’informations relativesdes à
débouchés
l’origine des locaux pour premières.
matières de nouvellesCet cultures oléo-protéagineuses
engagement vise à réduire, telles queà
voire
le lin (3000 ha) et le lupin (500 ha). Ces cultures favorisent
supprimer, la consommation de matières premières qui ne seraient pas la diversité des
assolements,
issues de conditionsla fertilitéde
desproductions
sols ainsi que la biodiversité,
cohérentes avecréduisent
nos valeurs les
émissions
coopératives." de gaz à effet de serre et l’usage de produits phytosanitaires et
rapprochent la production des matières premières agricoles de leur
transformation, avec un meilleur rendement économique. L’impulsion en 2015
du projet de recherche PROLEVAL en partenariat avec l’INRA, Valorex,
Sofiprotéol et Dijon Céréales. Ce projet collaboratif, retenu dans le cadre du
programme d’investissements d’avenir, a pour objectif de structurer une
filière des oléo- protéagineux français pour l’alimentation des animaux
d’élevage. L’engagement en 2016 aux côtés des régions Pays de la Loire et
Bretagne dans le programme SOS PROTEIN et plus précisément dans le
cadre de l’action 4AGEPROD. Celle-ci vise à expérimenter des itinéraires
de production et de valorisation zootechnique de fourrages à base de
luzerne, afin de favoriser l’autonomie protéique des exploitations
bovines sur ces territoires. La signature en 2016 à travers PROTEINES
FRANCE, consortium français auquel nous participons, d’un accord avec
l’Etat sur le développement de la filière française de protéines. L’objectif est
de saisir les opportunités de croissance offertes par la hausse de la demande
de protéines végétales et animales dans le monde et de faire de la France un
leader sur ce secteur."

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