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2022_Physique1_S02_Epreuve.b80ba3ffef3ca51b479a
2022_Physique1_S02_Epreuve.b80ba3ffef3ca51b479a
universelle.
Figure 1 – Étoile binaire symétrique en mouvement circulaire
𝑑 2 𝑅⃗ 𝑅⃗
= −𝐾
𝑑𝑡 2 𝑅𝑛
et expliciter les constantes 𝐾 et 𝑛.
– 7. Si l’étoile binaire forme un système lié, justifier que son mouvement est périodique et déterminer
l’expression de la période 𝑇2 du mouvement en fonction notamment des deux masses et d’une longueur
que l’on précisera.
Données numériques
Année–lumière 1AL = 9,46 · 1015 𝑚
Célérité de la lumière dans le vide 𝑐 = 3,00 · 108 𝑚 · 𝑠 −1
Constante de la gravitation universelle G = 6,67 · 10−11 𝑚3 · 𝑘𝑔−1 · 𝑠 −2
Distance Terre–Soleil (unité astronomique) 𝑑 = 1𝑈𝐴 = 1,49 · 1011 𝑚
Masse du Soleil 𝑀☉ = 1,99 · 1030 𝑘𝑔
Période du mouvement de la Terre (année) 𝑇0 = 365,25𝑗 = 3,16 · 107 𝑠
1
√2 ≈ 1,41, ≈ 0,71
√2
J
ey I
θ
O ex P x
1. Après avoir reproduit la figure, indiquer les différents vecteurs-vitesses au point M et préciser leur
nature.
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2. a) Donner dans le cas général les composantes de la base (𝐈, 𝐉) dans la base (𝐞 ⃗⃗⃗⃗𝐱 , 𝐞
⃗⃗⃗⃗𝐲 ) ; En déduire
⃗⃗⃗⃗𝐱 , ⃗⃗⃗⃗
celles de (𝐞 𝐞𝐲 ) dans la base (𝐈, 𝐉).
b) Donner dans le cas général les expressions de la position et de la vitesse d’un point en coordonnées
polaires.
3. Exprimer suivant (𝐈, 𝐉) les vitesses relative et d’entrainnemoent du nageur et en déduire la vitesse
absolue dans cette base.
4. Déduire des questions 2. b) et 3. l’équation polaire 𝐫 = 𝐟(𝛉) de la trajectoire du nageur.
𝟏
5. À quelle distance du point O, le nageur atteint-il l’autre rive ? On donne 𝐕 = 𝐔 = 𝟏 𝐦⁄𝐬 et 𝐋 =
𝟐
𝟓𝟎 𝐦 .
L’appareil utilisé est constitué (voir la figure 1) d’une lame séparatrice S semi-réfléchissante et d’une
lame dite compensatrice C, parallèle à la précédente, de même épaisseur et de même indice optique. Ces
deux lames sont toutes deux parallèles au plan (Ouz) où l’axe (Ou) est la première bissectrice des axes
(Oy) et (Ox) qui sont orthogonaux aux miroirs plans 𝑀𝑓 (fixe) et 𝑀𝑚 (mobile le long de (Ox) à la vitesse
𝑣 = 𝑣𝑒⃗⃗⃗𝑥 ).
– 1. Expliquez, au moyen d’un schéma, le rôle de la lame (C). Précisez en particulier, dans le cas de la
figure 1, si la face réfléchissante de la lame (S) est la face supérieure (1) ou la face inférieure (2).
– 2. L’appareil est éclairé par une source de lumière étendue. Quelle est la nature des franges ? Où peut-
on les observer ?
– 3. On utilise une source monochromatique de longueur d’onde 𝜆0 . On choisit l’instant 𝑡 = 0 au moment
du contact optique et on note 𝐼0 l’intensité lumineuse totale en sortie de l’appareil sur l’axe (Oy)
lorsqu’un des deux miroirs est obstrué. Exprimer, en fonction de 𝐼0 , 𝜆0 , 𝑣 et 𝑡, l’intensité 𝐼 (𝑡) observée
sur cet axe lorsque les deux miroirs sont éclairés.
En 1892, MICHELSON installe, au bureau international des poids et mesures (BIPM) de Sèvres, un
interféromètre identique à celui décrit ci-dessus pour rechercher parmi les lampes spectrales connues
On éclaire maintenant l’appareil décrit ci-dessus au moyen d’une source bichromatique émettant deux
raies de longueurs d’onde voisines, de longueurs d’onde 𝜆1 = 𝜆0 et 𝜆2 = 𝜆0 + 𝛥𝜆 et d’intensités 𝐼1 et
𝐼2 < 𝐼1 .
– 4. En admettant que |𝛥𝜆| ≪ 𝜆0 , montrer que l’expression du contraste des franges s’écrit de la manière
suivante :
4𝐼1 𝐼2 2 (2𝜋𝑣𝑡
𝛥𝜆
𝐶 (𝑡) = √1 − 𝑠𝑖𝑛 )
(𝐼1 + 𝐼2 )2 𝜆20
puis calculer les contrastes maximal et minimal en fonction de 𝐼2 et 𝐼1 .
– 5. Réalisant la mesure du spectre de cette raie, MICHELSON a observé, en déplaçant le miroir mobile
d’une longueur 𝛥𝑥 = 8,5𝑚𝑚 depuis le contact optique, une diminution progressive du contraste qui
atteint alors sa valeur minimale 𝐶𝑚𝑖𝑛 = 15%. En déduire 𝐼2 ⁄𝐼1 puis la valeur de 𝛥𝜆⁄𝜆0 puis commenter
l’ordre de grandeur obtenu.
Il contient 𝑛 cellules identiques, si l’on excepte la dernière résistance à droite. Il est alimenté par une
tension de référence 𝑉𝑟é𝑓 , et sa sortie en courant 𝐼𝑠 dépend de l’état des inverseurs ; ceux-ci sont
commandées par le signal numérique à 𝑛 bits à convertir, du bit de plus faible (LSB) qui commande 𝐾0
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au bit de plus fort poids (MSB) qui commande 𝐾𝑛−1 . Pour un bit à la valeur 1 l’inverseur correspondant
est connecté au bloc C, et pour la valeur 0 à la masse. 𝑉𝑛−1 , 𝑉𝑛−2 , … , 𝑉1 , 𝑉0 désignent les potentiels des
nœuds successifs par rapport à la masse. Le but est de reconstruire à tout instant le signal analogique
suivant :
𝑘=𝑛−1
𝑢𝑠 = 𝛽 ∑ 𝑎𝑘 2𝑘
𝑘=0
Où 𝛽 est une constante, et 𝑎𝑘 = ±1 représente l’état du bit de rang 𝑘.
1. Bloc C
a) Quelle est la valeur du potentiel 𝑉𝐴 du point A par rapport à la masse ? Justifier le résultat.
b) Montrer que le bloc C constitue un convertisseur tension-courant idéal et qu’il vérifie ainsi la relation
𝑢𝑠 = 𝛼𝐼𝑠 . Préciser l’expression de 𝛼.
2. CNA
c) Montrer que les potentiels 𝑉𝑘 et les courants 𝐼𝑘 sont indépendants de la position des inverseurs.
d) Montrer que 𝐼0′ = 𝐼0 , et que 𝑉1 = 2𝑉0 .
e) En raisonnant par récurrence, en déduire que, pour tout 𝑘, 𝐼𝑘′ = 𝐼𝑘 , et 𝑉𝑘+1 = 2𝑉𝑘 .
f) Exprimer le courant 𝐼 et la tension de sortie 𝑢𝑠 et montrer que la CNA fonctionne bien. Quelles sont
les valeurs minimales et maximales de 𝑢𝑠 , et dans quels cas les obtient-ton ?
g) Qu’est ce qui limite le temps de réponse du CNA ? Commenter.
h) Le signal analogique converti reste en réalité
quantifié (pour bien le comprendre, voir
l’exemple de la figure où sont représentés les
chronogrammes d’un signal qui a été numérisé
sur 𝑛 = 3 bit après le CAN, et en pointillé le
vrai signal analogique de départ avant
l’échantillonnage). Comment pourrait-on, à
partir de ce signal continu par morceaux obtenir
une courbe régulière.
Exercice 5 : Tuyère
Une tuyère horizontale calorifugée éjecte, en régime permanent, de l'air à vitesse 𝑣 élevée, celui-ci
entrant avec une vitesse négligeable.
𝑅
Données : 𝑇𝑒 = 1600 K , 𝑃𝑒 = 52 bars , 𝑇𝑠 = 550 K , 𝑃𝑒 = 1 bar, 𝑐𝑝 = 1 kJ. kg −1 et 𝑟 = =
𝑀
290 J. kg −1 . K −1