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Blandine INTRO PDF
Blandine INTRO PDF
SOMMAIRE
SOMMAIRE ........................................................................................................................................... I
LISTE DES TABLEAUXLISTE
EPIGRAPHE ......................................................................................................................................... II
DES ABREVIATIONS
DÉDICACE.......................................................................................................................................... III
REMERCIEMENTS ........................................................................................................................... IV
SOMMAIRE
AVANT-PROPOS ................................................................................................................................ V
LISTE DES ABREVIATIONS.......................................................................................................... VII
LISTE DES TABLEAUX ................................................................................................................ VIII
LISTE DES TABLEAUXLISTE
LISTE DES FIGURES........................................................................................................................ IX
DES ABREVIATIONS
RESUMÉ ............................................................................................................................................... X
ABSTRACT ......................................................................................................................................... XI
INTRODUCTION GÉNÉRALE.......................................................................................................... 1
PREMIÈRE PARTIE : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE ET DÉROULEMENT DU
STAGE ................................................................................................................................................... 2
CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE ....................................................................... 3
A. HISTORIQUE ET CREATION DE LA DRTP-OU .............................................................. 3
B. STRUCTURES ET ACTIVITES DE LA DRTP-OU............................................................. 3
C. LOCALISATION ET ORGANISATION INTERNE DE LA DRTP-OU............................ 9
CHAPITRE 2 : DÉROULEMENT DU STAGE............................................................................... 11
I. DEROULEMENT DU STAGE .............................................................................................. 11
DEUXIÈME PARTIE ; ÉTUDE DU THÈME ET BILAN DU STAGE ........................................ 21
CHAPITRE III : ESSAIS MÉCANIQUES SUR LE BÉTON DURCI .......................................... 22
I. ESSAI DESTRUCTIF ............................................................................................................. 22
II. ESSAI NON DESTRUCTIF ............................................................................................... 29
III. INCONVENIENTS DE LA METHODE SCLEROMETRIQUE : ................................ 32
IV. LES AVANTAGES DE LA MÉTHODE SCLÉROMÉTRIQUE :................................. 32
V. LIMITE DES MÉTHODES DESTRUCTIVES : ................................................................. 33
CHAPITRE 4 : BILAN DU STAGE.................................................................................................. 34
B. REMARQUES ......................................................................................................................... 34
B. SUGGESTIONS ...................................................................................................................... 34
CONCLUSION .................................................................................................................................... 35
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................................................. 35
ANNEXES ............................................................................................................................................ 35
TABLES DES MATIERES ................................................................................................................ 35
EPIGRAPHE
EPIGRAPHE
«as ;
LEON KRIE
DÉDICACE
LISTE DES
TABLEAUXLISTE DES
ABREVIATIONS
DÉDICACE
LISTE DES
TABLEAUXLISTE DES
ABREVIATIONS
Je dédie ce travaille
à la famille
TCHOMWOUA &
la famille
MBOUHO
Je dédie ce rapport a
la famille
TCHOMWOUA &
la famille
MBOUHO
Rédigée et présentée par CHEBOU NGOUNOU LISETTE Page III
ESSAI MECANIQUE SUR LE BETON DURCI
REMERCIEMENTS
LISTE
Ce mémoire a été un DES
travail de TABLEAUXLISTE
sacrifice et d’aboutissement de longues journées de
DESl’aide
réflexion. Il n’aurait pas abouti sans ABREVIATIONS
du Seigneur Tout-puissant et la participation de bien
d’autres personnes notamment :
Nous sommes reconnaissants envers l’Institut Universitaire de l’Estuaire/INSAM
REMERCIEMENTS
représenté par son promoteur Feu Dr FOYET Ignace pour la qualité de la formation donnée.
Nos remerciements vont également à l’endroit de :
LISTE DES TABLEAUXLISTE
• Au seigneur pour tous ses bienfaits car tout repose sur lui.
DES ABREVIATIONS
• M. ETCHU Manfred Tabe de nous avoir permis d’effectuer le stage a la DRTP/OU
• Mme MADJO SIMO Rosine Claire, pour son encadrement tout au long de
l’élaboration de ce rapport, pour tous les encouragements et conseils prodigués.
• A tout le personnelle de la DELEGATION REGIONALE DES TRAVAUX
PUBLICS.
• M. TCHATCHUENG Hugues pour son encadrement durant la phase pratique et sa
disponibilité pour répondre à mes questions d’ordre technique.
• Président du jury, ainsi qu’à tous les membres du jury pour l’honneur qu’ils me font
en acceptant de juger et de contribuer à l’amélioration de ce travail.
• Au corps enseignant d’IUEs/INSAM pour la qualité de la formation reçue.
• A tonton TCHOMTHE Merlin Raoul de me soutenir physiquement, moralement et
financièrement.
• A mon grand-père TCHOMWOUA Michel pour tout son soutien et ses
encouragements envers moi.
• A ma famille pour tout ce qu’ils font pour moi car sans eux je ne serais jamais arrivé à
ce niveau dans mes études.
• Mon cousin Rostand pour tout le soutien et les conseils qu’il me donne ainsi que ses
encouragements durant mon parcours scolaire ;
• Tous les étudiants d’IUEs/INSAM pour la bonne ambiance et l’esprit de paix et
d’harmonie qu’ils ont su préserver au sein de l’institut.
Enfin, que tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à l’élaboration de ce travail,
trouvent ici l’expression de ma profonde gratitude.
AVANT-PROPOS
LISTE N90/E/60/MINSUP
Institué au Cameroun par Décret Ministériel DES du 27/12/1971, le Brevet
TABLEAUXLISTE
du Technicien Supérieur est un diplôme DES
national de l’enseignement supérieur qui s’obtient
ABREVIATIONS
après une formation professionnelle étendue sur deux années. Il offre aux étudiants la possibilité
d’être aptes et compétitifs dans le milieu professionnel. Dès lors, on assiste à la naissance
RESUMÉ
ABSTRACT
LISTE
As part of new structures or building DESas of works old state diagnostics, it is
controls,
important to implement efficient andTABLEAUXLISTE DES
adapted to this control techniques. For this, the NDT aim
ABREVIATIONS
to qualify without destruction and respecting its integrity. These tests are very convenient, fast
and at a reasonable cost and light to implement and give added a comprehensive response to
the scale of a structure or structures, In this literature review we tried to understand the different
correlations between destructive testing and non-destructive testing and whether we can replace
destructive methods by nondestructive methods for mostly non-destructive methods are
comparative methods, therefore the interpretation of non-destructive test results should be a
very meaningful way.
INTRODUCTION
GÉNÉRALE
CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION DE
L’ENTREPRISE
A. CHAPITREET
HISTORIQUE 1 :CREATION
PRESENTATION DE DRTP-OU
DE LA
L’ENTREPRISE
La Délégation Régionale des Travaux Publics de l’Ouest a été créée en 1963 et ayant à sa
tête actuellement M. ETCHU MANFRED TABE comme Délégué, est une structure Etatique
et joignable aujourd’hui aux adresses suivantes :
A la boite postale : 485 Bafoussam
Aux Fax et Téléphone : 33 44 11 90
E-mail : mintp@gmail.com
Suite au décret N°2011/110 du 29 Avril 2011 portant organisation du Ministère des Travaux
Publics, le Président de la République, vu la constitution et le décret N°2004/370 du 08
Septembre 2011 portant organisation du gouvernement décrétait la création des services
déconcentrés.
Selon l’Article 69 : Les services déconcentrés du Ministère des Travaux Publics
comprennent :
❖ Les Délégations Régionales ;
❖ Les Délégations Départementales ;
❖ Les Subdivisions des Travaux Publics.
1. LE BUREAU DU COURRIER
Le Bureau du courrier est rattaché aux services du Délégué Régional. Placé sous l’autorité
d’un chef de bureau, il est chargé :
▪ De l’accueil, de l’information et de l’orientation des usagers ;
▪ De la réception, du traitement et de la ventilation du courrier ;
▪ Du classement et de la conservation des actes signés ;
▪ De la production et de la distribution des actes individuels signés et règlementaires ainsi que
tous les autres documents de ce service ;
▪ De la relance des autres services pour le traitement des dossiers.
Placé sous l’autorité d’un chef service administratif et financier, il est chargé :
▪ De la gestion du personnel ;
▪ De la discipline ;
▪ De la mise à jour permanente des fichiers du personnel ;
▪ Des récompenses et distinctions honorifiques ;
▪ De la préparation à l’exécution des projets.
▪ Du suivi de la mise en œuvre des instruments d’évaluation des performances des entreprises
et bureaux d’études techniques du secteur du bâtiment et des travaux publics ;
▪ De la collecte des données et de l’appui à la mise à jour des systèmes d’informations
géographiques des infrastructures ;
▪ De l’appui au suivi des aspects sécuritaires des projets et leurs équipements ;
▪ De l’appui au suivi de l’application des normes et démarches qualités dans les projets de
constructions routières et civiles ;
Elle comprend un chef de cellule et cinq chargés d’études assistants.
▪ De la prise en compte des aspects liés à l’environnement en liaison avec les administrations
concernées.
Elle comprend :
- Le service des travaux d’infrastructures ferroviaires, portuaires et aéroportuaires ;
- Le service des travaux d’infrastructures, énergétiques et environnementales.
- Les bureaux des personnels de la DRTP/OU ouvrent généralement leurs portes à huit
heures du matin (8h00) et ferment au minimum à quinze heures trente minutes
(15h30min) du soir. Son personnel est composé des hommes et des femmes.
- Le nettoyage se fait tous les jeudis de huit heures (8h00) à dix heures (10h00) et les
réunions se font tous les lundi matin en vue d’organiser les activités de la semaine.
1. ORGANIGRAMME DE LA DRTP-OU
courrier
Bureau
BBM
M
SAF
CAT
5
CAT4
CAT3
BRTR
CAT2
CAT
1
CR3
IRPSR
CR2
DELEGUE REGIONAL
CR1
STIFPA
SDRATI
SSTIEE
CEA
5
CEA
4
CEA
3
CREES
CEA1 CEA2
SCSE
SDRC
SCC
SGOA
SDRR
SRC
SRP
CHAPITRE 2 : DÉROULEMENT
DU STAGE
Dès notre arrive à la DRTP/ OU suite à une réponse favorable à notre demande de
stage académique ils nous ont remis un planning de travail à suivre tout au long de notre stage.
Nous avons été reçus et entretenir le premier jour par mon encadreuse Mme .MADJO SIMO
Rosine Claire chef d’atelier HIMO et Mécanisés a la Brigade des Travaux en Régie, qui
nous à faire un bref résumé sur le fonctionnement de la Délégation Régional des Travaux
Publics de l’Ouest et les rôles des différents sous-directions, comment nous devons se
comporter quand nous allons nous rendre dans chaque service en respectant notre planning
ainsi que les question a posé durant notre séjour dans chaque direction, puis nous avons
échangé et elle nous a beaucoup donner les conseils pour le milieu professionnel et nous avons
parcouru certains documents.
Durant notre séjour à la DRTP-OU, nombreuses sont les tâches que nous avons effectuées
dans différents services notamment :
Couche de roulement
Couche de base
Couche de fondation
d) Ferraillage
Le ferraillage : est l’assemblage des éléments métalliques d’un ouvrage en béton armé.
Nous avons mis ensemble des HA et des RL pour façonner les pièces telles que :
▪ Armature pour poutre et poteaux de section 20*40 : fait en HA12 (4 filants) et HA10 (2
filants) qui constituent les armatures longitudinales et en RL06 pour cadre de longueur
développée l=110cm, pour épingle de longueur développée l=25cm.
NB : Les épingles sont là pour limiter les risques de flambement du poteau ou de la
poutre pendant et après le coulage.
▪ Armature pour nervure ; une nervure est une poutrelle de renforcement en béton armé
d’un plancher. Pour leur façonnage, nous avons utilisé les HA10 (3 filants) et en RL06
pour étrier de longueur développée l=56cm. Ici, les longueurs des aciers longitudinaux
variaient selon celles des pièces devant recevoir ces nervures ainsi, nous en avions pour
2.30m,
▪ Nappe de compression pour porte-à faux de section 01*18m avec des HA10
transversaux de longueur 1.20 espacée entre eux de 20cm.
i. Labo génie
Le LABOGENIE est une entreprise parapublique sous tutelle du MINTP. Il est
spécialisé dans les études géotechniques du sol et des matériaux à travers des essais au
laboratoire et in situ, pour des projets de bâtiments et de travaux publics.
Durant notre passage dans cette structure, nous avons effectué l’essai d’écrasement du
béton pour le Projet de construction de la Cathédrale de Bafoussam quartier HOUKAHA-
EVECHE.
ii. Mat génie
Le MATGENIE est une agence ou entreprise parapublique rattachée au MINTP et sous
la tutelle de celui-ci. Il est principalement chargé de la location, du stockage, de l’entretien et
la conduite d’engins de chantier. Dans le cadre de notre visite, nous avons eu une présentation
des différents engins suivant :
➢ La tractopelle PTP 201-11 sur chenille. P comme parc, T comme tracteur, P comme
pelle. 200 est sa puissance en cheval vapeur, 1 son numéro parmi les autres tractopelles,
11 son année d’acquisition. Elle joue multiples rôles à savoir : déblayage, pelle
chargeuse, excavatrice, et faire des tabulations.
Rédigée et présentée par CHEBOU NGOUNOU LISETTE Page 19
ESSAI MECANIQUE SUR LE BETON DURCI
➢ GRUE PGU 104-82. Parc grue de puissance 100, de numéro 4 et d’année d’acquisition
1982. Elle sert principalement à soulever des lourdes charges.
➢ NIVELLEUSE PNA 642-11 parcs niveleurs auto de puissance 600 de numéro 42 et
d’année d’acquisition 2011. Elle permet de faire des rejets, des rigoles, des pentes, et de
niveler un site.
➢ CAMION CITERNE PCC 404-15, pour contenir une grande quantité d’eau mobile.
➢ PELLE CHARGEUSE PPC 203-82. Idéale pour déplacer des matériaux, chargé,
foisonner.
➢ COMPACTEUR VIBRANT PCV 402-11. Sert au compactage des plateformes avec des
vibrations.
❖ INTRODUCTION
Le béton est considéré comme un solide après achèvement de la prise, mais il s’agit
en fait d’un matériau en perpétuelle évolution :
- La poursuite des réactions d’hydratation du ciment dure plusieurs années.
- Les variations du milieu ambiant amènent des changements lents dans la structure du
béton.
Nous allons étudier les essais qui permettent de mesurer les caractéristiques de
résistance du béton en compression et en traction ainsi que ses déformations sous
contraintes.
Les deux 02 grandes familles d’essais envisageables sont les suivants :
• Les essais DESTRUCTIFS qui sont menés sur les échantillons de béton (éprouvettes
cylindriques de section 16𝑐𝑚 × 32𝑐𝑚). Ce type d’essai pose entre autres les problèmes
de la représentativité des échantillons prélevés et du nombre d’essai limité.
• Les essais NON DESTRUCTIFS qui sont menés sur la structure elle-même :
scléromètre, auscultation sonique. Le nombre de mesure est illimité et
d’échantillonnage n’existe pas. Mais les mesures étant indirects (mesure de la hauteur
de rebondissement d’une bille, mesure la vitesse du son dans le béton) ; l’interprétation
n’est toujours pas aisée : problèmes d’étalonnage des appareils ; d’homogénéité du
matériau. Nous utiliserons uniquement le scléromètre.
Dans les cas courants, un béton est défini par la valeur de sa résistance à la compression à l’âge
de 28 jours, dite valeur caractéristique requise (ou spécifique), celle-ci, notée, est mesurée sur
des éprouvettes cylindriques ayant un diamètre de 16cm et une hauteur de 32cm,
Écrasée en compression centrée. On peut admettre la résistance à l’âge (j) jours notée fcj avec
les formules suivantes :
𝑗. 𝑓𝑐28
𝑓𝑐𝑗 = 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑐28 ≤ 40 𝑀𝑃𝑎
4,76 + 0,83. 𝑗
𝑗. 𝑓𝑐28
𝑓𝑐𝑗 = 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑐28 ≥ 40 𝑀𝑃𝑎
1,40 + 0,95. 𝑗
1) BUT DE L’ESSAI
Il s’agit d’un essai destructif mené sur un échantillon de béton. Cet essai
couramment utilise en laboratoire, permet de connaitre le comportement mécanique du béton
en compression simple et notamment sa résistance ultime à 07 jours et 28 jours.
2) MATÉRIELS UTILISÉS
Nous avons effectué l’essai au LABOGENIE et nous avons utilisé les matériels
suivants :
- Une balance : elle doit être équipée d’un étrier permettant de peser l’échantillon
aussi bien dans l’eau qu’à l’air libre, avec une précision égale à 0,1% de masse ;
- Une presse hydraulique ;
- Une marmite : qui doit nous permettre de chauffer le souffre ou encore de
faire dissoudre le souffre ;
- Une plaque et une bouteille à gaz ;
- Une louche ;
- Une cuve à eau ;
- Les gants.
Nous pouvons prélever les matériaux soit dans une carrière, mais nous avons prélevé
les nôtres au chantier pour le projet de construction de la Cathédrale de Bafoussam quartier
HOUKAHA-EVECHE réalisation du murs voile incline haut.
Avant la formulation du béton nous devons tout d’abord prélever les échantillons des
différents matériaux pour faire les différents essais dessus et pour cela nous avons :
✓ SABLE les essais réalisés sur le sable sont les suivants :
- Equivalence du sable
- Analyse granulométrique
- Densité apparente
- Poids spécifiques
- La teneur en eau
- La porosité.
✓ GRAVIERS
- Essai de propriété
- Analyse granulométrique
- Poids spécifiques.
✓ CIMENT
- Essai de prise
- Essai de consistance.
Etant donné que nous avons prélevé l’échantillon déjà préparé pour la réalisation du
mur, voile de hauteur 60 de 20,80 à 24,76 ici nous allons réaliser 06 éprouvettes.
• Apres avoir réalisé les différents essais nécessaires sur le béton frais, comme l’essai
au cône D’Abrams pour déterminer ouvrabilité et la maniabilité du béton frais, on
dispose au sol les moules métalliques.
6) MODE OPÉRATOIRE
Figure 11 : Le souffre
7) ÉCRASEMENT
• Nettoyer le plateau de la presse
• Mettre en place les éprouvettes verticalement et le centre sur le plateau
::
Figure 15 : La presse à béton
❖ Condition requise :
L’éprouvette doit être soumise à une sollicitation de type COMPRESSION SIMPLE :
rebondit et comprime les ressorts qui entraient un index le long d’une échelle graduée ; la lecture
sur l’échelle permet de définir un indice sclerometrique : Is.
Plus la hauteur de rebondissement est grande, plus la surface essayée est dure.
Lorsqu’il est utilisé en position horizontale (surface verticale) l’appareil donne la
résistance du béton en compression en fonction de l’indice sclérometrique mesurée, nous
devrons utiliser l’abaque correspondant à l’appareil et fournir ci-dessous.
NB : avant d’effectuer l’essai il faut impérativement nettoyer ou décaper la surface à
essayer.
1) But de l’essai
Cet essai permet de tester l’homogénéité du béton in situ et d’obtenir une estimation
rapide de la résistance du béton d’un ouvrage, sans procéder à des prélèvements de béton durci
par carottage.
2) Matériels utilisés ou appareillage
• Le scléromètre : Il s’agit sans aucun doute de l’instrument le plus utilisé dans le
diagnostic des ouvrages déjà bâtis. Le scléromètre est composé d’une tige en acier,
sortant d’un cylindre, qui est appuyée sur le béton et comprime un ressort. En fin de
course, ce ressort projette une masse sur la tige, sur laquelle elle rebondit ; ce
rebondissement, d’autant plus important que le béton est dur, est mesuré par la dureté
soit par index (sur les anciens modèles) soit sur un cadran digital pour les modèles
récents ;
• Il existe plusieurs modèles de scléromètres selon le type de recul ainsi que l’énergie
d’impact. Le modèle le plus utilisé est le scléromètre SCHMIDT (Suisse) ;
• L’appareil est composé d’une masselotte chargée par un ressort qui se projette sur une
tige métallique appelée tige de percussion. Il est livré avec une pierre à polir et un bloc
d’étalonnage. [NET 4]
3) PRINCIPE
Le principe de base de l’essai au scléromètre est que le rebondissement d’une masse
élastique dépend de la dureté de la surface sur la quelle frappe la masse.
Dans l’essai au scléromètre une masse approximative de 1.8 kg montée sur un ressort a
une quantité potentielle fixe d’énergie qui lui est transmise par un ressort tendu à partir d’une
position fixe, ce que l’on obtient en pressant la tête du marteau contre la surface du béton mis
l’essai. Lors de son relâchement, la masse rebondit depuis la tête, toujours en contact avec la
surface du béton et la distance qu’elle parcourt, exprimée en pourcentage de l’extension initiale
du ressort est appelée l’indice de rebondissement. Cet indice est indiqué par un curseur qui se
déplace le long d’une règle graduée.
Quelques modèles de scléromètres impriment le relevé des résultats sur un rouleau de
papier paraffiné. L’indice de rebondissement est une mesure arbitraire, car elle dépend de
l’énergie emmagasinée par le ressort et de la dimension de la masse.
Tableau 3 : Moyens de mesure selon le type de recul au scléromètre.
Type de recul Moyen de mesure
Recul linéaire Un indicateur à lame
Recul angulaire Un système de freinage
4) Mode Opératoire
i. Préparation de la surface :
Les mesures doivent être effectuées sur des surfaces nettes ne présentant pas de nids de
gravier, des écaillages, de texture grossière, de porosité élevée ou d’armatures affleurâtes. La
préparation de la surface consiste à éliminer tout enduit ou peinture adhérant où poncer si cette
surface est constituée d’une couche superficielle fiable. Toute trace d’eau sur la surface doit
être essuyée.
• Mesures locales (ne peuvent être généralisées, sans information préalable peuvent être
Effectuées au hasard, dans des zones pas forcément représentatives)
• Prélèvements pas toujours réalisables (accessibilité, sensibilité des ouvrages,
Esthétique)
• Coûteux ; ce procédé est cher et endommage la structure, pour cette raison on doit
Limiter le nombre et les endroits de prélèvement où le béton à examiner.
• L’information acquise n’est pertinente qu’à l’échelle de l’échantillon prélevé qui peut
Ne présenter qu’un millionième, voir un milliardième de la structure.
Si le laboratoire est le lieu idéal pour la caractérisation fine de l’interface pâte - granulat, il n’est
pas forcément adapté à l’analyse d’objets ou de phénomènes couvrant des échelles plus larges.
• Les grandeurs issues de mesures sur carottes sont locales : elles ne peuvent être
Généralisées sans hypothèse supplémentaire.
De plus, sans information préalable, la localisation du prélèvement est généralement réalisée de
manière subjective sur des zones pas forcément représentatives, qui sont supposées saines ou
altérées.
• Il n’est pas toujours possible de réaliser des prélèvements : soit pour des raisons
D’accessibilité, soit pour des raisons de sensibilité de l’ouvrage (une centrale nucléaire).
B. REMARQUES
Durant notre stage a la Délégation Régional des Tavaux publics de l’Ouest nous avons
faire des remarques positives et négatives.
i. Remarque positives
• L’intégration facile à l’environnement de la Délégation Régional des Travaux Publics
de l’Ouest et du personnel qui était chaleureux,
• Les taches et les travaux bien reparties et ordonnée,
• La collaboration remarquable entre personnelle et stagiaires,
• Le nettoyage général de la DRTP/OU est effectué tous les jeudi matin par l’ensemble
du personnel des stagiaires
B. SUGGESTIONS
• Les chefs de services devront redoubler d’effort pour être à l’heure afin de
fournir un meilleur rendement
• Mettre à la disposition des stagiaires et des chefs services des véhicules pour
faciliter leurs déplacements et descentes sur le terrain
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
SOMMAIRE ............................................................................................................................... I
EPIGRAPHE ............................................................................................................................. II
DÉDICACE .............................................................................................................................. III
REMERCIEMENTS ................................................................................................................ IV
AVANT-PROPOS .................................................................................................................... V
LISTE DES ABREVIATIONS ................................................................................................. V
LISTE DES ABREVIATIONS ...............................................................................................VII
LISTE DES ABREVIATIONS ...............................................................................................VII
LISTE DES TABLEAUX ..................................................................................................... VIII
LISTE DES FIGURES ............................................................................................................. IX
RESUMÉ ................................................................................................................................... X
RESUMÉ ................................................................................................................................... X
ABSTRACT ............................................................................................................................. XI
INTRODUCTION GÉNÉRALE................................................................................................ 1
PREMIÈRE PARTIE : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE ET DÉROULEMENT DU
STAGE ....................................................................................................................................... 2
CHAPITRE 1 : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE .......................................................... 3
A. HISTORIQUE ET CREATION DE LA DRTP-OU ....................................................... 3
B. STRUCTURES ET ACTIVITES DE LA DRTP-OU ..................................................... 3
1. LE BUREAU DU COURRIER .......................................................................................... 4
2. LE SERVICE ADMINISTRATIF ET FINANCIER ....................................................... 4
3. CELLULE REGIONALE DES ETUDES, ENQUETES ET STATISTIQUES .......... 4
4. Sous-Direction Régionale de la Construction ................................................................... 5
5. SOUS-DIRECTION REGIONALE DES ROUTES ........................................................ 5
6. INSPECTION REGIONALE DE LA PROTECTION ET DE LA SURVEILLANCE
DU RESEAU ROUTIER ..................................................................................................................... 6
7. SOUS-DIRECTION REGIONALE DES AUTRES TRAVAUX
D’INFRASTRUCTURES ................................................................................................................... 6
8. BRIGADE REGIONALE DES TRAVAUX EN REGIE ............................................... 7