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Cinéma 2 Cours 02 10
Cinéma 2 Cours 02 10
Gros plan sur le visage féminin qui chante puis on élargit vers la foule militariste.
Utilisation des ombres chinoises pour performer le message dans l’univers du
spectacle. Message de l’individu -> spectacle collectif
L’alcoolique héros de guerre, chanteuse prostituée qui garde son identité et qui
se confronte à l’autorité policière : dynamique entertainement / problématique
sociale.
Ombres chinoises : permet de montrer ce qu’on ne peut pas montrer (les corps
féminins dénudés) -> C’est une forme d’émancipation féminine. >< Code
La primauté de l’objet fait que la symétrie des formes et des visages rendent
caduques les référents narratifs.
L’histoire se termine par un suicide. Le rêve est tellement puissant qu’il impacte
la réalité et la vie.
On a du plaisir à montrer que dès leur enfance les gangsters ne respectent rien,
transgressent. Ils sont dans l’écart de la norme et dans une liberté totale. Ils
donnent leurs propres règles et leurs propres rythmicités.
Le réalisateur va chercher ce qui crée de la vitesse pour faire des séquences qui
accrochent (ex : escalator).
Logique de sympathie envers celui qui incarne le mal (ex : à table avec le frère
vétéran mais antipathique et surtout qui n’est pas le centre de l’action).
Scène téléphone : Plan de dos, alternance de lieu, langage cru, on rentre dans
l’intimité du gangster + geste violent avec pamplemousse sans consentement de
l’actrice. Le mal est représenté dans sa diversité. Attitude passive du personnage
féminin entretenu.
Hopital : relation mère-fils (// culture immigré des frères Warner). Le perso
principal est fragisilisé mais plus puissant que jamais. Le parlé permet ce double
discours.
Montage alterné