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GESTION DE LA COMMUNICATION DE CRISE (GCC)

OBJECTIF DU COURS

- Il s’agit de réagir dans les meilleures conditions face à des conditions qui n’auraient
pas pu être envisagées
- Former les étudiants à la simulation du principe de gestion de crise
- Le préparer à une gestion en amont ou en aval d’un plan d’urgence
- La mise en situation pour une évaluation de ses propres réactions afin de permettre
aux principaux acteurs de savoir quoi faire, quand, ou, avec qui et de quelle manière

PLAN DU COURS

CHAPITRE I : QU’EST CE QU’UNE COMMUNICATION DE CRISE

- COMMENT GERER UNE SITUATION DE CRISE


- COMPRENDRE UNE CRISE (identification, contrainte supplémentaire de crise)

CHAPITRE 2 : STRATEGIE DE COMMUNICATION DE CRISE EN ENTREPRISE

- PLAN MEDIA DE CRISE


- SAVOIR REPONDRE AU DIFFERENTES CIBLE (média publicité)
- LES AUTORITES ADMINISTRATIFS OU POLITIQUES
- L’ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 3 : PREPARER L’ENTREPRISE A LA GESTION DE LA CRISE (gestion


d’information)

- PROCESSUS DE SENSIBILISATION
- ETABLISSEMENT D’UN PLAN D’URGENCE
- ANALYSE DES COUTS POTENTIELS
- HIERACHISATION DES SOURCES D4INFORMATIONS

CHAPITRE 4 : REGLES DE BASE D’UNE COMMUNICATION DE CRISE REUSSIT

- GERER ET COMMUNIQUER PENDANT LA CRISE (définition des différents


modes de communication)
- PREPARATION A LA GESTION DE L’APRES CRISE
CONTEXTE DU COURS

La communication de crise et sa gestion concerne toute les éléments et toutes les


organisations. Si les principaux acteurs internes ne sont pas préparés à affronter et gérer la
crise, une gestion aléatoire peut conduire à une aggravation involontaire de la crise. S’agissant
de la gestion d’une situation ou d’un évènement lié à la sécurité routière, il faut adopter une
attitude spécifique car il peut s’agir d’une agence de transport dont l’image est ternie par les
accidents récurrent ou une grève du personnel. Dans tous les cas d’espèce, il faut chercher à
sauver l’image de l’entreprise. Le DPCSR peut dans son unité administrative être appelé à
gérer en urgence une situation de crise.

EXEMPLE : suite à un éboulement de terrain, phénomène naturel qui bouche une ou


plusieurs voies de circulation, nécessitant une intervention rapide et appropriée. Il faut alors
une formation d’auteur leur permettant alors se préparer à gérer une situation exceptionnelle.

EN BREF il ne faut pas seulement se préparer à agir, mais il faut évaluer les modes de
réponses possibles.

CC : communication de crise

23/01/2024

LES METHODES D’EVALUATIONS

a) Méthode théorique
Il s’agit d’évaluer l’étudiant sur sa maitrise des concepts, sa capacité à assimilé les
connaissances propres à la communication de crise et comme le gérer.
b) Les techniques de communication de crise : comment établir un plan médias de crise ?
- Méthode pratique :
Etude de cas pratique sur le terrain.
Cela ce matérialise pas la descente sur le terrain, avec des étudiants dans les structures
concernées par la SR.
EXEMPLE : DDPT, service de la SR communale, agence de voyage (simulation
d’une situation de CC dans une agence de voyage suit à des accidents répétés ou à des
grèves du personnel.
Sur les routes : les étudiants peuvent descendre étudier les cas pratiques survenu en
plein circulation et nécessitant une gestion de crise.
Comment évaluer les étudiants sur les cas pratique ?
Pour y arriver on n’a recours à des outils opérationnels.
- Manuel d’utilisation d’image traitant des cas pratiques ;
- Les retro projecteurs ;
- Les débats.

INTRODUCTION

Il convient de reconnaitre que dans notre monde aujourd’hui il existe les évènements
et des situations qui amènent l’entreprise ou l’état a se trouver en position délicate et qui exige
en retour une riposte afin de mieux soigner leur image ou de préserver leur acquis. Ainsi donc
la communication crise est un domaine de la communication institutionnel qui comprend la
communication interne et externe ; la relation presse et même les publicités.

Il convient donc de souligner que la cc est l’une des composantes de la gestion de crise ; on y
trouve donc la communication directement utile à la gestion de crise notamment lorsque l’état
peut alerter les populations, les conducteurs, les habitants d’une certaine zone sur les danger
des risque intervenus ou avenir

Deuxième type est la communication de coordination qui vise à réduire les impacts direct de
la crise à travers l’alerte lancé.

A cela, il faut ajouter la communication sur les enjeux visant à protéger la réputation de l’état
ou d’une structure en crise. En réalité une crise ne se prévoit pas en d’autre terme la crise
subvient à la suite d’un incident. Des lors, il s’agit de limiter l’impact si la crise est de nature
inattendu, elle n’est pas pour autant imprévisible cas si la communication à principalement
pour rôle d’éviter un accident ou qu’une situation sensible se transforme en crise, il faut
reconnaitre qu’une fois survenu il faut limiter l’impact.

La CC est incontournable mais une bonne CC ne garantir pas que tout ce passe bien. Mais en
Revenge une mauvaise communication peut entrainer les conséquences inattendu surtout si
l’état ne s’exprime pas rapidement sur la crise, les raisons et les conséquences.
23 /01/2024

Il n’est donc pas surprenant que les autres le face à la place de l’état. En
réalité, une mauvaise information ou la multiplication des rumeurs suite à une
mauvaise gestion de la communication, peu transformer une crise en une
« histoire sans fin »

Retenons qu’une communication de crise se fait toujours au niveau institutionnel


que ce soit l’état ou l’entreprise, mais c’est ici que les objectifs divergents car en
réalité, dans une entreprise en période de crise, toute une équipe peut se
mobiliser pour sauver l’image de l’entreprise. (Braintrust)= réunion de crise afin
de redorer son blason (sa notoriété).

Mais quant il s’agit de l’état de contexte est souvent diffèrent dès lors qu’on ne
prévoit pas l’évènement parfois ce sont les responsables de la politique ou les
responsables d’une région qui prend souvent les devants (délégué régional,
délégué départemental ou responsable de la SR) avant d’informer ensuite la
hiérarchie sur les dispositions prises auquel cas nous comprenons donc au
niveau de l’état le mécanisme peut être diffèrent. Néanmoins dans l’un ou
l’autre des cas, le résultat est identique car il s’agit de préserver à la fois l’image
de l’ensemble ou de l’état et surtout de limiter les dégâts.

Ici au Cameroun, la fréquence des accidents oblige les responsables de l’état à


mieux s’armer et surtout de maitriser les techniques et les moyens de
communication en période de crise, notamment dans le domaine de transport.

CHAPITRE I : DEFINITION DES CONCEPTS

Il faut admettre que de nos jours lorsqu’on parle de communication de crise on


fait allusion à une situation Inattendu et qui vient perturber l’ordre et surtout la
stabilité d’une entreprise ou d’une institution.
On estime le terme de communication de crise comme une dimension
importante d’une situation à risque qui a pris des proportions dans ces dernières
décennies notamment à la suite des catastrophes naturelles, inondations,
sécheresses et on a constaté beaucoup d’échec au niveau de la communication
crise.

Ainsi donc la communication de crise représente l’ensemble des dispositifs et


action de représentation que déploie l’état ou une entreprise pour lutter contre
cet évènement. Dès lors une bonne communication crise repose avant tout sur le
terrain et avec un parfait travail d’équipe. Dans la plupart des cas, la crise génère
le choc, la confusion, le stress, l’émotion, le chaos, la pression. L’émotion monte
rapidement et la capacité de chacun à prendre des décisions diminue
considérablement. On comprend donc lorsqu’on parle de communication de
crise, l’état ou la société doit toujours se préparer à disposer des outils
ressources en réserve, pour faire face à la crise lorsqu’elle survient. Il ne faut
donc pas confondre le risque majeur avec la catastrophe. En réalité « le rsique
majeur » à deux formes :

a) Le risque technologique ou l’on retrouve le piratage, l’espionnage le


cyber attaques, hackers
b) Le risque naturel on parlera ici d’inondation de catastrophe naturelle, le
séisme.
La conjonction de ces deux formes s’il survient simultanément donnent
lieu à une catastrophe de grande envergure. Le risque relève de
l’incertitude de la probabilité il peut aboutir dans l’immédiat à une
catastrophe et fragiliser une organisation présentant une certaine
vulnérabilité. Nous comprenons donc qu’on niveau du transport il est
nécessaire de faire preuve de professionnalisme pour gérer la
communication de crise.
CHAPITRE 2 : LES PRINCIPES FONDAME NTAUX DE LA
COMMUNICATION DE CRISE

Il faut donc reconnaitre que l’efficacité de la communication de crise


repose fortement sur la rapidité. Il est indispensable de prendre des
décisions assez courtes et claires.
❖ Qu’appelle ton une chaine de décision claire ?

La communication en situation de crise nécessite de réagir immédiatement ainsi


donc une explosion, un accident un glissement de terrain peu générer des
réactions émotionnelles forte de la part du public et nuire très rapidement à
l’image de l’état. Il revient donc au délégué de limiter l’impact de la crise en
prenant sur le coup une décision afin de préserver l’autorité de l’état. Il faut
donc faire preuve d’efficacité parce que certains délégués ne communiquent pas
à temps tout au moment ou le public attend une prise de parole forte, claire. Le
pire peut arriver. Il faut savoir se préparer et savoir communiquer en situation de
crise. Dans le cas il faut respecter la démarche à suivre avant de se lancer dans la
gestion de la crise.

1- Il faut rendre sur les lieux du sinistre et recueillir le maximum


d’information
2- Il faut déterminer le niveau de la crise (quel est la gravité de la situation)
3- Cela signifie une connaissance du problème, et surtout l’organisation
attentive, le regroupement des informations sur le triste évènement.
4- Voir quel type de médiation envisager.
5- Quelle solution immédiate utiliser pour résoudre la crise.
Il convient de rappeler qu’en votre qualité de responsable de la SR vous pouvez
prendre des mesures conservatoires en attendant ce que vous allez dire. Et ce
que vous risquez de perdre des minutes et des instants précieux qui peuvent
entrainer un manquement (une grogne)

❖ Etapes à suivre dans la gestion de crise

On distinguera 10 étapes :

ETAPE 1 : apprendre à garder son calme et essayer de contrôler la situation

ETAPE 2 : mener une enquête très rapide surtout ne réagissez pas


immédiatement si vous ne savez pas ce qui s’est passé exactement

ETAPE 3 : comprendre rapidement la situation et mesurer l’impact. En votre


qualité de délégué il faut vite évaluer la situation et voir quel son les
conséquences dans les heures qui suivent

26-02-2024

ETAPE 4 : préparer une réaction efficace et rapide pour cela il faut envisager
des scénarios et organiser une cellule de crise en conséquence

ETAPE 5 : savoir se préparer à la communication et voir les décisions à prendre


dès lors qu’on a les éléments clés en main

ETAPE 6 : choisir son canal de communication et partager son message

ETAPE 7 : élaborer rapidement son dispositif en limitant l’impact les émotions


et du stresse sur la prise de décision et pour cela il faut envisager les fiches en
mettant en évidence la transparence dans la gestion des faits et tenir compte de
la gestion du temps en apportant des informations d’heures en heures. Il fut
reconnaitre que l’absence de l’information est l’un des facteurs de reproche que
l’on fait au responsable

ETAPE 8 : le suivi des réactions et l’une des étapes les plus importantes qui
permet de prendre la température de l’événement il s’agit en fait de savoir la
réaction de la population. Des médias et même du gouvernement à l’issue de
nombreuse prise pour embringuer le fléau, il nous revient de calmer l’opinion et
surtout la presse en lui envoyant minute par minute la suite des événements.

ETAPE 9 et 10 : chaque crise est différentes l’une de l’autre et il se peut que


rien ne ce passe comme prévu, on doit donc faire preuve de maitrise et
d’innovation en cette période difficile parce qu’il n’existe pas de recette magie,
la transparence dans la gestion des faits doit être très utile.

CHAPITRE 3 : LA COMMUNICATION DE CRISE DANS LE DOMAINE


DU TRANSPORT

Parlant du Cameroun, il n’est pas facile de gérer la communication de crise on


doit savoir que le MINT occupe une position clé dans la formulation des actes
stratégiques en matière de prévention et de sécurité routière au Cameroun. On
constate que malgré la mise en place de LA STRATEGIE NATIONALE POUR
LA SECURITE ROUTIERE les accidents ne cessent de se répéter impliquant
inévitablement les responsables régionaux et départementaux à maitriser
d’avantage la communication de crise afin de reporter et surtout réagir devant
les catastrophe liées aux accidents entrainants les pertes en vie humaine. Parfois
la cause peut être une catastrophe naturelle :

- éboulement de talus
- les arbres qui s’abattent sur la chaussée
- l’inexpérience de certains conducteurs
Dans chacun des cas les DPCSR et IPCSR doivent intervenir

REMARQUE : Tout en reconnaissant que la communication de crise nécessite


certains dispositions il y’a lieu de lever les équivoques au niveau du concept de
crise qui a en deux endroit différentes

A- La crise renvoi d’un coté à la gestion de crise et par ailleurs à un


travail qui fait ressortir l’incident qui engendre la situation de
communication de crise, dans le premier cas : il s’agit de faire recours
au processus d’urgence et de gestion de la crise et dans le deuxième cas :
il s’agit de communiquer

TAF : nous sommes DPCSR dans la région de l’ouest et vous êtes réveiller
par un accident survenu sur la national N5 à bâtie suite à un événement qui
obstrue la route entre 3heures et 4heures du matin au moment ou les gros
camions et les bus de transport effectue leur activité vous êtes appelé en
urgence pour résoudre c’est incident lié à la catastrophe naturelle. IL s’agit
en votre qualité de DPCSR de gérer cette catastrophe de crise

- Vous êtes Délégué régional des transports dans le littoral, vous êtes
réveillé par les coup de file vous annonçant une cause des accidents
sur la N3 au cour de 5h un grumier est entré en collision avec un
camion de transport de marchandise coupant le trafic dans les deux
sens. En votre qualité de délégué de transport dans le littoral vous
devez intervenir urgemment pour résoudre ce problème

TAF

1- Quel est le plan à adopter pour résoudre ce problème


a) Au niveau de la stratégie adopter
b) Le plan de communication
2- Rédiger ce communiqué :
a) A l’attention de la hiérarchie
b) A l’attention des médias
c) A l’attention du public

COMMUNIQUER A L’ATTENTION DES MEDIAS

Cas 1 : Le délégué départemental de la Sanaga maritime responsable de la


sécurité routière informe l’opinion public qu’un accident de la circulation
opposant un grumier à un camion de marchandise est survenu ce matin dans les
environs de 4h au lieu dit PUMA sur la national de n3 les dégât humain et
matériel sont considérable notamment avec 2 morts enregistrés et de blessé
grave qui ont été transporté à l’hôpital de PUMA pour les premier soins, la
circulation étant interrompu ce matin les autorités sont à pied d’œuvre pour un
rétablissement. Une voie de contournement est envisagé à en attendant le
dégagement de la chaussée par les services compétant.

Le DDP de la Sanaga Maritime

Cas 2 : depuis la construction de la route DOUALA - BAFOUSSAM par


BAFANG la zone KEKEM - BAFANG à un relief assez accidenté ce tronçon
est l’objet des affaissements de terrain ou des éboulements qui entraine
l’obstruction total de la chaussée. La semaine dernière à la suite des plus
diluviennes ayant entrainée une obstruction totale de la voie, le trafic routier a
été interrompu mettant la population dans la grogne.

En votre qualité de délégué départemental des transports du HAUT NKAM vous


êtes appelez, comment allez-vous y prendre ?

STRATEGIE

Le contexte est complètement différent et les auteurs de la catastrophe ne sont


par des êtres humains ainsi le responsable du drame ici c’est la nature
1er démarche : descendre sur le terrain pour identifier la zone sinistré, lieu dit
KEKEM département du HAUT NKAM, les dégâts sont considérables, la
chaussée entièrement dégradée, les tonnes de pierres, de gravât et de terre
évalués à) 4 tonnes

PLAN DE COMMUNICATION

- S’entourer de son équipe de crise ;


- Sécuriser la zone sinistré avec la matériel adéquat ;
- Bloquer l’axe MELONG-KEKEM ;
- Bloquer l’axe BAFANG-KEKEM ;
- Informer rapidement la hiérarchie (le préfet du HAUT NKAM par téléphone afin de
demander le secours) ;
- Ensuite informer la gendarmerie et la police pour une sécurisation des lieux et des
usagers ;
- Informer ensuite la cellule technique de communication du ministère de transport du
DTR, pour venir en aide dans cette gestion de la crise ;
- Demandé au sous-préfet de MELONG qui prendra des dispositions pour orienter les
usagers vers la voie de contournement qui mène vers DSCHANG ;
- Informer le délégué des transports du MOUNGO pour une plus grande synergie ;
- Informer le sous-préfet de BANDJOUN, de BANA, de BANGOU afin qu’ils orientent
la circulation sur l’axe BAFOUSSAM-DSCHANG.
Dès lors que vous avez sécurisé le trafic grâce à cette de voie de contournement vous-
vous rapprocher des différents services techniques afin d’étudier comment gérer
efficacement cette crise. Bref il s’agit de voir avec votre équipe et les secours du
gouvernement comment gérer cette catastrophe.
REDACTION DU COMMUNIQUE
a) Préfet du HAUT-NKAM
Le délégué départemental
A
L’attention de monsieur le préfet du HAUT-NKAM

Honneur de vous informez que suit à un éboulement de terrain survenu au lieu dit
KEKEM national N° 5 département du HAUT-NKAM la circulation est
momentanément suspendu entre KEKEM et BAFANG mais une voie de
contournement a été trouvé au niveau de MELONG- SANTCHOU - DSCHANG et
BAFOUSSAM pour les voyageurs en provenance du LITTORAL ou à destination du
LITTORAL.
Nous restons à votre entier disposition pour d’éventuelles recommandations et
attendons vos décisions pour la remise en service la N°5 entre KEKEM et BAFANG
très haute considération.

Copie à :
M. le gouverneur
M. le préfet (MOUNGO, MIFI)
Sous-préfet (BANDJA, MELONG)
Le DDP du HAUT-NKAM

Thème de recherche : comment la communication de crise peut-être


un outil de gestion au service de l’image de marque de l’état
Remarque : dans le domaine de transport il existe un ordre des sujets sur
lequel on peut communiquer lorsqu’une catastrophe survient :
- Les personnes
- Les dommages matérielles , il faut évoquer le cas des victimes potentielles
notamment l’état du véhicule et même celui de l’environnement.
EXEMPLE : un camion citerne qui dérape et prend feu les dégâts
matériels considérables.
Les pertes financiers savoir présenter ces pertes et surtout ceux qui sont
les plus concernés. Il faut aussi établir la différence entre une attitude
responsable et être responsable.
❖ Que signifie avoir une attitude responsable, c’est adopté un
discours clair et précis sur la crise et immédiatement prendre en
compte le problème causé et fait son possible pour le résoudre.

❖ Etre responsable, on se refaire à une approche juridique, la


responsabilité d’une personne ou d’une entreprise se refaire
généralement à des textes de loi précis ce sont les experts ou le juge
qui déterminent éventuellement cette responsabilité légale.

CHAPITRE IV : IMPACT D’INTERNET ET DE RESEAU SOCIO SUR LA


CXOMMUNICATION DE CRISE

Il faut comprendre que dans notre monde aujourd’hui les catastrophes, les
accidents ne peuvent plus se gérer sans le concours des réseaux socio qui
répercute les fausses informations et se mette à déformer la réalité il revient dont
au responsable de faire preuve de vigilance et essayer de faire triomphé la vérité.

La mauvaise maitrise ou la non maitrise dans la gestion de la crise peut


avoir ou entraine des conséquences assez grave. Ce pendant il existe une nuance
entre communication opérationnelle et communication de crise, on n’a tendance
à confondre à tord la communication opérationnelle et la communication de
crise. Si en réalité la CC est utilisé avec les objectifs précis par exemple : gérer
une situation, communiquer avec le public, la communication opérationnelle est
utilisé par la SR, les forces armés et même la sécurité civil afin de rendre compte
la nature des opérations sur le terrain. Cet outil mis à leur disposition à pour
objet d’informer la population via les médias dès les premiers instant du
développement d’un incident majeur ou d’un conflit. C’est une communication à
chaud qui permet d’informer ou de rassurer la population sur la gestion d’une
catastrophe ou même d’un accident donc la gravité n’est plus à démontrer, mais
qui nécessite une information graduelle, cette communication opérationnelle est
destiné à la presse ou au média.

Dans quelle mesure les réseaux socio peuvent être u service des réseaux
routier ?

La SR occupe les responsables en plus haut niveau et dans différent domaine.


Cas malgré toutes les énergies pour en rayer les accidents sur la route, les
familles entières continues d’être endeuillées.il faut néanmoins reconnaitre que
malgré tout cela la SR à également mise sur la puissance virale des réseaux
socio Pour faire évaluer de manière sensible les mentalités. On n’a observé dans
certain pays occidentaux la campagne de sensibilisation ces appuyé sur les
réseaux socio, les télévisions, les sales de cinéma pour diffuser les spots qui
illustre les séquences d’accidents meurtrier et surtout les gens en détresse. Cet
ainsi qu’a travers ces réseaux socio on essaye d’atteindre un grand nombre
d’internaute pour les montrés les infractions au code de la route. Certains chaine
de télévision sont mobilisés pour parler de la sécurité routière mais de plus en
plus on constat dans les messageries des internautes des messages envoyés par le
MINT, des ONG pour attirer l’attention des usagers sur le nom respect du code
de la route. On se rend donc compte que la SR a décidé d’aller plus loin en
créant des sites , on peut citer à titre d’exemple NET INTELLIGENT /
PUBLICS CONSULTING et intitulé les danger de la route. Ce site
revendique pleinement sa vocation social et cette plate forme se veux avant
tout un espace de rencontre et de dialogue entre les internautes et
particulièrement ceux qui ont eu à souffrir des conséquences d’un accident
de la route.

A titre d’exemple le débat peut porter sur comment empêcher le conducteur du


bus de conduire en état de brièveté ou en état de grande fatigue ; certains pays
européens se sont appuyé sur les réseaux socio notamment à travers le
slogan : « sécurité routière toue responsable ». Pour justifier cet engagement
dans le domaine numérique les responsables de la SR justifies la réalité de la
gravité dans laquelle les accidents de la route longent les vies humaines. On se
rend donc compte que c’est un sujet qui touche quasiment n’importe qui,
paradoxalement les discutions sont isolées et demeure un cercle vicieux en
créant sur internet un espace participatif sur la SR, les autorités ont souhaitées
élargies et catalyser cette discutions afin que chacun puis fait pas de son
expérience, réagir et modifier sont regard sur les comportements routier auteur
d’accident. Il convient de souligner encore que dans la perspective de se tourner
vers les réseaux socio pour sensibiliser d’avantage les internautes sur la SR
d’autres espaces ont vu le jour, il y’a le site tweeter sans oublier la page
facebook qui en très peu de temps à pu rassembler beaucoup d’internautes. Ainsi
les anciennes victimes des accidents peuvent déposer le récit de leur calvaire ou
encore raconter l’épisode douloureux les ayants frappés c »st ainsi que beaucoup
d’internautes ont déposées les histoires qui ont marqués leurs vie à jamais.
Cependant une question demeure. Est-il possible de croire que l’action des
réseaux socio peut se venter d’être plus efficace que le matraquage des radars
contre les conducteurs ? Il semble prématuré de tirer des conclusions mais on
constate que dans beaucoup de pays, l’organisme officiel s’empare des réseaux
socio pour sensibiliser les usagers de la route. Au pays bas on à constaté qu’une
étude portant sur l’influence des réseaux socio sur le comportement des usagers
de la route n’a pas porté des résultats immédiat mais la transmission des idées et
des témoignages ont contribués à transformer progressivement la mentalité des
usagers de la route.

LES REFORME DU PERMIS DE CONDUIRE AU CAMEROUN ENTRE


MYTHE ET REALITE ?

Travaux dirigé :
Cas 1 : il y’a quelques mois le Cameroun a vécu les scènes d’horreur à la falaise
DSCHANG ou un bus est entré en collision avec un camion transportant du
carburant frelaté. Sous l’effet du choc le bus s’est renversé et le camion
transportant le carburant a pris feu entrainant des dégâts, de dommages corporels
et matériel assez considérable. La vie humaine a été calciné et une défaillance
professionnel au niveau de la communication n’a fait qu’aggravé le drame dans
la mesure où les sapeurs pompiers de la ville au regard de l’information reçu se
sont précipité urgemment sans armé contre les flammes sauvages, la
catastrophes aurait pu être moins grave et l’incendie circonscrit si les pompiers
avaient été bien informé. Aujourd’hui au regard du sinistre bien des choses ont
été dite fort et heureusement quelque mois après l’incident vous êtes nommez
délégué départemental au transport de la MENOUA, au regard du film observé
vous auriez bien voulu limiter les dégâts. On vous demande donc de présenter de
manière assez détaillé la stratégie que vous aurez pu mener se jour ?

Cas 2 : la mission du DPCSR ne doit pas se cantonner uniquement dans la


gestion des cas d’accidents. Bien au contraire à regarder plus près il doit
s’attaquer à un problème crustial : la délivrance du permis de conduire qui se fait
dans un flou artistique, à titre d’exemple la délivrance des permis du poids
lourds c'est-à-dire conducteur de bus qui se passe dans un cadre ubuesque. On
n’a arrive à ce demandé à quoi doit servir le DPCSR si une fois sur le terrain son
incapable de poser des actes congres pour assurer la sécurité des usagers ?

De quelles armes vont-ils disposés pour combattre les agences de voyage


clandestin qui n’observent la réglementation en vigueur ?

Comment résoudre le fléau de phénomène grandissant des motos taxis dans


votre zone? Devant une situation aussi complexe vous êtes affectez comme DRT
du littoral ou vous devez livrer un combat entre David et Goliath en vu
d’indiquer le fléau de moto taxi dans votre zone, tant il vrai, près de 90% ne
possède pas des papiers de permis de conduire, quel est à votre niveau le plan de
bataille que vous comptez mettre sur pied pour réduire de manière considérable
se fléau.

RECCUEIL DES TEXTES INDISPENSABLES A TOUT DPCSR

a- Niveau national
b- Niveau régional
c- Niveau de l’Afrique
A- Sur le plan nationalSS
1- La loi n° 96 /07 portant profession du patrimoine routier national
2- Loi n°2001/015 du 23 juillet 2001 régissant les professions du
transporteur routier et auxiliaire du transport routier
3- Décret n° 79/341 du 03 septembre 1979 portant réglementation de la
circulation routier modifier et complété par le décret n° 86/818 du 30
juin 1986
4- Décret n° 98/162 du 26 aout 1998 fixant les modalités de
fonctionnement du fonds routier
5- Décret n°99/524/PM du 29 septembre 1999 portant création du
comité national de sécurité routier modifier et compléter par le décret
n° 2004/ 0606/PM du 17 mars 2004
6- Décret n° 2005/567 du 09 mai 2005 portant création organisation et
fonctionnement du conseil national de la route
7- Décret n° 2012/ 250 du 01 juin 2012 portant organisation du MINT
8- Arrêté n°009/MINT/ DTT du 23 février 1998 portant réglementation
du transport des marchandises dangereuse
9- Arrêté n°010/A/MINT du 23 février 1998 portant organisation de
l’homologation des véhicules et de leurs dispositifs d’équipement
10- Arrêté n° 011/A/MINT du 23 février 1994 portant réglementation
de la visite technique automobile
11- Arrêté n°00406/A/MINT/DTT du 28 avril 2000 portant
réglementation du permis de conduire et des auto-écoles
12- Arrêté n°00184/MINT du 16 février 2006 fixant les modalité
d’exploitation à titre onéreux de service du transport urbain et péri
urbain des personnes
13- Arrêté n°00181/MINT du 16 février 2006 fixant les conditions et
les modalités d’exploitation à titre onéreux du service de transport
mixte pour véhicule dont le poids total en charge autorisé est inférieur
à 3,5 tonnes

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