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UN PANORAMA DES MÉTHODOLOGIES / APPROCHES DU

FRANÇAIS LANGUE ÉTRANGÈRE

Dr. R. Sudha
Professeure retraitée
Département de français
Université de Madurai Kamaraj
Madurai
NOTRE POWERPOINT EN BREF

• La méthode traditionnelle (3 diaporamas)


• La méthode naturelle (1)
• La méthode directe (3)
• La méthode active (1)
• La méthode audio-orale (3)
• La méthode structuro-globale audio-visuelle (SGAV) (3)
• L’approche communicative (4)
• Le C.E.C.R. (Le cadre éuropeen commun de référence (5)
FLE, FLM, FLS, FOS…

• FLE : le français langue étrangère


• FLM : le français langue maternelle
• FLS : le français langue seconde
• FSOS / FOS : le français sur objectifs spécifiques
• FLE L’expression apparue sous la plume
d’André Reboullet en 1957
DEFINISSONS NOTRE DOMAINE…

• L’enseignement • Les exercices


• L’enseignant • L’interaction
• L’apprennant • L1 /L2
• La méthode • la traduction
• Le manuel • L’oral
• Les outils pédagogiques • L’ écrit
• La grammaire • L’erreur
• Le vocabulaire • L’ évaluation
LA METHODOLOGIE TRADITIONNELLE

• Appelée la méthodologie de la grammaire-traduction ou classique, car elle servait surtout à


enseigner les langues classiques comme le grec et le latin.
• Largement adoptée dans le 18ème et la première moitié du 19ème siècle.
• Conçue comme un ensemble de règles et d'exceptions.
• But fondamental : avoir accès à la littérature.
• La lecture et la traduction de textes littéraires écrits en langue étrangère.
• L’oral au second plan.
LA METHODOLOGIE TRADITIONNELLE (suite)

• L'accent est donc mis sur l'écrit, la grammaire, le vocabulaire, la traduction (L1), le professeur.
• L'apprentissage de la grammaire au premier plan.
• La grammaire enseignée de façon explicite et déductive. Elle est normative.
• Le vocabulaire enseigné sous forme de listes de centaines de mots présentés hors contexte et
que l’apprenant devait connaître par cœur.
• La langue utilisée en classe : la langue maternelle. (L1)
LA METHODOLOGIE TRADITIONNELLE (fin)

• Le professeur dominait entièrement la classe et détenait le savoir et l’autorité. (Le titre aux
enseignants « Maître » ou de « Maîtresse ». )
• L'élève mémorise la conjugaison verbale, ainsi que de nombreux mots de vocabulaire. Il joue un
rôle passif. Il doit exécuter ce que le maître dit de faire : il n'a pratiquement aucune initiative.
• L'erreur n'est pas tolérée. Le maitre veille à fournir la bonne réponse et à corriger l'erreur.
• Le professeur récompense les succès, mais surtout sanctionne les fautes. Un policier du bon usage.
• L'interaction : une action à sens unique, allant du professeur à l'apprenant.
• Comme peu d'initiative est laissée à l'apprenant et l'interaction entre les élèves est pratiquement
inexistante.
LA METHODOLOGIE NATURELLE

• Elle se situe à la fin du 19ème siècle et a coexisté avec la méthodologie traditionnelle.


• Les observations sur le processus d’apprentissage de la langue allemande de F. Gouin.
• Le premier à s’interroger sur la langue et sur le processus d’apprentissage d’une langue. Il en tire des
conclusions pédagogiques.
• C’est à partir de la méthode de F. Gouin que les méthodes didactiques vont se baser sur des théories de
l’apprentissage (psychologiques, sociologiques, linguistiques, etc.) et vont prôner l’importance de l’oral.
• Le besoin de l’homme de communiquer avec d’autres hommes et de franchir ainsi les barrières
culturelles. Il faut enseigner l’oral aussi bien que l’écrit.
• Selon Gouin, l’apprentissage d’une langue étrangère doit se faire à partir de la langue usuelle, quotidienne.
• Cet apprentissage ressemble à celui de la langue maternelle par l’enfant.
LA METHODOLOGIE DIRECTE
• A partir des années 1870, les traditionalistes opposent aux partisans de la réforme directe jusqu’en 1902.
• Les instructions officielles imposent l’utilisation de la méthodologie directe dans l’enseignement
national, ce que C. Puren nomme « le coup d’état pédagogique de 1902 ».
• Elle est considérée historiquement comme la première méthodologie spécifique à l’enseignement des
langues vivantes étrangères.
• La méthodologie était utilisée en Allemagne et en France vers la fin du 19ème siècle et le début du 20ème
siècle.
• Dès la fin du 19ème siècle, la France désirait s’ouvrir sur l’étranger. Elle ne voulait plus d’une langue
exclusivement littéraire, elle avait besoin d’un outil de communication.
• Le but est de favoriser le développement des échanges économiques, politiques, culturels et touristiques
qui s’accélérait à cette époque.
LA METHODOLOGIE DIRECTE (suite)

• L’ensemble des procédés et des techniques qui évite le recours à la langue maternelle
dans l’apprentissage : un bouleversement dans l’enseignement des langues étrangères.
• L1 est évitée en salle de classe, c’est le rejet de la traduction. (Le terme 'direct' implique
le rejet d'un lien 'indirect - la traduction.)
• L'enseignant utilise immédiatement et exclusivement L2 : le principe du 'bain de
langue', l'une des grandes caractéristiques de la MD. L'approche de la langue est directe
et intuitive.
• La méthodologie directe se base sur l’utilisation de plusieurs méthodes : méthode directe,
orale et active.
LA METHODOLOGIE DIRECTE (fin)
• La grammaire : L'apprentissage de la grammaire se fait de façon inductive.
• Le vocabulaire : la leçon qui est organisée par centres d'intérêt.
Le contenu à enseigner est basé sur des situations.
Le vocabulaire de tous les jours. L'apprenant ne mémorise pas de longues listes de mot, par
contre, il utilise le vocabulaire dans des phrases complètes.
• L’enseignant peut recourir aux objets présents de l'environnement. C’est l'environnement
immédiat de la classe.
• La réutilisation constante de ce qui est appris pour apprendre du nouveau crée un effet de
boule de neige, ce qui assure le dynamisme interne de l'apprentissage.
LA METHODOLOGIE ACTIVE

• Face au refus de la part des enseignants à la méthodologie directe, certains ont


demandé de mettre en place un compromis entre le traditionnel et le moderne.
• Cela a donné naissance en 1920 à la méthodologie active qui a été utilisée
dans l’enseignement des langues étrangères jusqu’aux années 1960.
• Cependant on constate une certaine confusion terminologique en ce qui
concerne cette méthodologie. En effet, on la nommait également
“méthodologie éclectique”, “méthodologie mixte”, “méthodologie
orale” ....
LA METHODOLOGIE AUDIO-ORALE
 

• D'origine nord-américaine, ‘aural-oral method’, et puis ‘audio-lingual method’, (d'où la


traduction française audio-orale) ou en New Key. (la 'Nouvelle Clé' de l'enseignement des
langues.)
• Naît au cours de la deuxième guerre mondiale pour répondre aux besoins de l’armée américaine
de former rapidement des gens parlant d’autres langues que l’anglais. On a alors créé “la méthode
de l’armée”. (The Army Specialised Training Programmes – ASTP).
• Elle n’a duré en réalité que deux ans, mais elle a provoqué un grand intérêt dans le milieu
didactique.
• Elle a connu un grand rayonnement aux Etats-Unis pendant une quinzaine d'années.
• On peut apprendre à comprendre et à parler une L2 dans un temps relativement court et
sans exiger une grande capacité intellectuelle.
LA METHODOLOGIE AUDIO-ORALE (suite)
Les facteurs suivant jouent un rôle plus grand que les procédures utilisées :
• Le caractère extrêmement intensif de cet enseignement,
• la compétence des enseignants et
• la motivation des étudiants, leur intéret suscité par des sessions en petits groupes, leur désir de
participer à la victoire
• 1950 : Les spécialistes de la linguistique appliquée ont créé la méthode audio-orale (MAO), en prenant pour
socle/base la Méthode de l'armée et en y appliquant l’intégration des théories interdisciplinaires
Théorie linguistique Théorie psychologique
Le structuralisme linguistique La psychologie béhavioriste.
Le structuralisme américain Le béhaviorisme
L. Bloomfield et ZS Harris JB Watson et BF Skinner
LA METHODOLOGIE AUDIO-ORALE (fin)

• L'analyse contrastive ou différentielle : par comparaison (ressemblance et différence)


entre une description de L2 et de L1, on démontrait les interférences entre la LI et la
L2 ainsi que les erreurs commises par les étudiants. C'est la perspective contrastive
théorisée par R. Lado.)
• La méthodologie fait appel :
• à une batterie d'exercices structuraux (pattern drills).
• à l'usage d'outils d'apprentissage tels que le laboratoire de langue pour l'oral ou le livre
d'exercices pour l'écrit.
• La MAO est la première méthode interdisciplinaire.
LA METHODOLOGIE STRUCTURO-GLOBALE
AUDIO-VISUELLE (SGAV)

•Suite à la seconde guerre mondiale et à la décolonisation, la France se trouve obligée de lutter contre
l'expansion de l'anglo-américain comme langue de communication internationale. Le plan de travail est
défini par le ministère de l’Education. L’objectif à atteindre est la facilitation de l’apprentissage et la
diffusion générale de la langue.
•En 1954 les résultats des études lexicales sont publiés par le C.R.E.D.I.F. (Centre de Recherche et d'Étude
pour la Diffusion du Français) en deux listes:
•- Un français fondamental premier degré constitué de 1475 mots; second degré comprenant 1609 mots.
•Le français fondamental (FF)
Le vocabulaire déterminé suite à une enquête sur la fréquence et la disponibilité des mots du français
parlé.
Cette enquête dirigée par Georges Gougenheim au début des années 50.
LA METHODOLOGIE STRUCTURO-GLOBALE
AUDIO-VISUELLE (SGAV) suite
• Au milieu des années 1950 : P. Guberina de l’Université de Zagreb donne les premières formulations
théoriques de la méthode SGAV (structuro-globale audio-visuelle) avec Paul Rivenc de L'Ecole normale
supérieure de Saint-Cloud (France).
• La méthodologie audiovisuelle (MAV) domine en France dans les années 1960-1970.
• Le premier cours élaboré et publié par le CREDIF en 1962, est la méthode ‘Voix et images de France’ (VIF).
cours pour enfants de 8 à 11 ans. VIF est appelée la méthode Saint-Cloud Zagreb.
• On l'appelle aussi la méthode audio-visuelle ou plus rarement la méthode situationnelle.
• L’utilisation de l’image et du son : Le support sonore était constitué par des enregistrements magnétiques et
le support visuel par des images fixes.
• Une langue est un ensemble acoustico-visuel. C'est d'ailleurs la théorie verbo-tonale de Guberina, qui est
avant tout une théorie de la perception auditive, est à la base des conceptions phonétiques de la méthode
SGAV.
LA METHODOLOGIE STRUCTURO-GLOBALE
AUDIO-VISUELLE (SGAV) (fin)
• Le 'facteur affectif’ : l'expression de sentiments et d'émotions est pris en compte. Le non-
verbal aussi (gestes, mimiques, kinésique, etc.) :
• La méthode VIF comprend différentes phases successives, appelées "moments de la classe de
langue": présentation, répétition, compréhension, mémorisation, réemploi ou exploitation
• L'apprentissage de la grammaire se fait de façon inductive et implicite.
• Le vocabulaire : SGAV procède par approximations successives. Les éléments nouveaux
(lexicaux, syntaxiques, morphologiques) introduits dans une leçon sont présentés de nouveau dans
d'autres phases de la même leçon et dans des leçons subséquentes, jusqu'à ce qu'il y ait
assimilation complète.
• La méthode SGAV a le mérite de tenir compte du contexte social d'utilisation d'une langue.
L’APPROCHE COMMUNICATIVE

• L’approche communicative s’est développée en France à partir des années 1970.


• En réaction contre la méthodologie audio-orale et la méthodologie audio-visuelle.
• Elle rappelle les méthodes grammaire-traduction et directe. On explique les règles
grammaticales et on accepte la traduction. On cherche aussi à présenter une L2 des natifs.
• Elle est connue sous les noms de méthode cognitive, de méthode fonctionnelle, ou
notionnelle-fonctionnelle, de méthode communicative, voire de méthode interactionnelle.
• L'expression ‘l'approche communicative’ parue en 1975. Elle est appelée approche et non
méthodologie, puisqu’on ne la considérait pas comme une méthodologie solide.
L’APPROCHE COMMUNICATIVE (suite)

• Le fruit de plusieurs courants de recherches en linguistique et didactique et la suite


à différents besoins.
• Une approche diversifiée : s’adapter aux besoins langagiers de chaque public.
• En 1972, le Conseil de l'Europe réunissait un groupe d'experts chargés de préparer un
cours de langue pour adultes.
• En 1975 est sorti Threshold Level English et en 1976 Un Niveau seuil.
• Une des caractéristiques de ce volumineux document : il spécifie, pour chaque 'acte de
parole' ou 'fonction langagière', des formes linguistiques ou une liste d'énoncés
possibles.
L’APPROCHE COMMUNICATIVE (suite)

• La langue est vue comme un instrument de communication ou mieux comme un


instrument d'interaction sociale.
• Une communication efficace implique :
Une adaptation des formes linguistiques
à la situation de communication (statut de l'interlocuteur, âge, rang social, lieu physique) et
à l'intention de communication (ou fonction langagière: demander d'identifier un objet,
demander une permission, donner des cadres, etc.).
C'est ce que l'on appelle 'la double dimension adaptive de la langue'.
L’APPROCHE COMMUNICATIVE (fin)

• Pour communiquer efficacement, il faut une connaissance des règles, et une connaissance aussi des règles
d'emploi de cette langue.
• Il s'agit d'acquérir la compétence linguistique de L2, et aussi sa compétence communicative.
• L'erreur est vue comme un processus naturel d'apprentissage et elle est considérée inévitable.
• Une des caractéristiques de l'approche communicative est des documents authentiques.
• Le but de l'AC est de rendre l'élève acteur de son apprentissage, et c'est bien pourquoi on le nomme à
présent 'apprenant'.
• La relation pédagogique est donc bouleversée par l'A.C :
Il n'y a plus d'enseignant actif et d'enseigné passif.
Tout est centré autour de l’apprenant.
LE CADRE EUROPÉEN COMMUN DE RÉFÉRENCE
POUR LES LANGUES (CECRL)
apprendre, enseigner, évaluer

• Il ne s'agit ni de manuel ni de référentiel de langues.


• Publié en 2001, il constitue une approche totalement nouvelle.
• Le but de repenser les objectifs et les méthodes d'enseignement des langues et, surtout, il
fournit une base commune pour la conception de programmes, de diplômes et de certificats.
• Le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) est le fruit de deux
décennies de recherche linguistique menée par des experts des Etats membres du Conseil de
l'Europe.
• En 2018, un volume complémentaire avec de nouveaux descriptifs a été publié. (le Portfolio
européen des langues (PEL)
LE CADRE : UN OUTIL CONÇU POUR RÉPONDRE À
L'OBJECTIF GÉNÉRAL DU CONSEIL DE L'EUROPE

• « parvenir à une plus grande unité parmi ses membres » et d'atteindre ce but par l'«adoption d'une
démarche commune dans le domaine culturel ».
Cette échelle permet :
• de fixer des objectifs d’enseignement/apprentissage
• de (ré)organiser des curriculums
• de concevoir des manuels pédagogiques et
• de comparer des tests et des examens en différentes langues
• de fournir une base pour la reconnaissance mutuelle de certifications en langues,
• de favoriser la mobilité éducative et professionnelle.
LES SIX NIVEAUX DU CECR
LE CADRE EN CAPSULE
• Le Cadre de référence commun de référence pour l’enseignement / apprentissage des
langues, Cadre ou CECR comporte 200 pages.
• « L’usage d’une langue, y compris son apprentissage, comprend les actions accomplies par des
gens qui, comme individus et comme acteurs sociaux, développent un ensemble de compétences
générales et, notamment une compétence à communiquer langagièrement. Ils mettent en œuvre
les compétences dont ils disposent dans des contextes et des conditions variés et en se pliant à
différentes contraintes afin de réaliser des activités langagières permettant de traiter (en réception
et en production) des textes portant sur des thèmes à l’intérieur de domaines particuliers, en
mobilisant les stratégies qui paraissent le mieux convenir à l’accomplissement des tâches à
effectuer. Le contrôle de ces activités par les interlocuteurs conduit au renforcement ou à la
modification des compétences » (CECR, 2001 : 15).
LES COMPÉTENCES GÉNÉRALES

• Dans le cadre de l’approche actionnelle de l’usage de la langue, les « compétences » sont l’ensemble des
connaissances, des habiletés et des dispositions qui permettent d’agir.
• (a) du savoir, (b) du savoir-être, (c) du savoir-faire et (d) du savoir-apprendre.
• a. La catégorie du savoir comprend trois types de connaissances nécessaires à la mise en œuvre de
compétences actionnelles : la culture générale, le savoir socioculturel et la conscience interculturelle.
• b. La catégorie du savoir-être regroupe les facteurs personnels liés à la personnalité propre et caractérisés par
les attitudes, les motivations, les valeurs, les croyances, les styles cognitifs et les traits de personnalité.
• c. La catégorie du savoir-faire comprend toutes les aptitudes pratiques de réalisation d’actions contribuant à
l’accomplissement de la tâche impartie.
• d. On entend par « savoir-apprendre » la capacité à observer de façon autonome de nouvelles expériences, à y
participer et à intégrer ainsi de nouvelles connaissances.
LES COMPÉTENCES COMMUNICATIVES

• 3 types de compétences :
• (a) la compétence linguistique,
• (b) la compétence sociolinguistique et
• (c) la compétence pragmatique.
• a. La compétence linguistique : des compétences lexicale, grammaticale, sémantique, phonologique, orthographique..
• b. La compétence sociolinguistique - la connaissance et la détention des habiletés exigées pour faire fonctionner la langue
dans sa dimension sociale, par exemple aux plans des marqueurs des relations sociales, des règles de politesse, des
expressions de la sagesse populaire, des différences de registre, des dialectes/idiolectes et des accents.
• c. La compétence pragmatique, enfin, est la connaissance que l’utilisateur a des principes selon lesquels les messages sont
organisés (« compétence discursive »), utilisés (« compétence fonctionnelle ») et segmentés (« compétence de conception
schématique ») (CECR, 2001 : 96).
LES GRANDS CENTRES D’ENSEIGNEMENT ET
RECHERCHE DU FLE EN FRANCE
• Le Centre international d’études pédagogiques (CIEP) en
1946,
• Le CLA de Besançon en 1958,
• le CREDIF et le BELC (ex BEL) en 1959,
• Le CAVILAM de Vichy en 1964,
• Le CAREL de Royan en 1966,
• le CUEF de Grenoble en 1975.
RÉFERENCES
• BIKULČIENĖ Regina, Cours de didactique du français langue étrangère, Šiaulių
universitetas, 2007
• PUREN Christian, Histoire des méthodologies de l’enseignement des langues, CLE
International, Paris, 1998. 448 p
• Galisson Robert, D'hier a aujourd'hui la didactique des langues étrangères. Du
structuralisme au fonctionnalisme, Clé International, «Didactique des langues
étrangères», 1980.
• Tagliante Christiane, La Classe de langue, Clé International, «Techniques de classe»,
1994.
GALISSON – PUREN – CUQ
Merci de votre attention

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