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L A ROBOTIQUE
C O U R S G S A 3 – E N S E I G N A N T E / L O VA T I A N A A N D R I A T S I H O A R A N A
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE 1
I. QU’EST-CE QU’UN ROBOT?
1ère définition :
• Un robot est un dispositif mécatronique, conçu pour
accomplir, automatiquement, des tâches, imitant, ou
reproduisant, dans un domaine précis, des actions
copiées sur les humains, ou ressemblant aux humains.
La conception de ces systèmes, est l’objet d’une
discipline, scientifique, qui est une branche de
l’automatisme, nommée robotique.
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I. QU’EST-CE QU’UN ROBOT?
II -ème définition :
• Un robot est, aussi, appelé, une intelligence artificielle :
Les accomplissements de leurs tâches, se font, ou se
réalisent, grâce à des programmes informatiques. Les
contenants des robots, sont, les systèmes embarqués, des
pièces mécaniques, des moteurs, plusieurs sortes de
montages, des circuits, des fonctions, des logiques en
électroniques, des langages de programmations.
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II. QU'EST-CE QUE L’INTELLIGENCE
ARTIFICIELLE OU IA?
• C’est une avancée technologique, qui permet le contact, et la
communication entre l’homme, et une machine virtuelle, et
artificielle. Elle est très répandue, en émergence, et participe
à de grandes avancées, dans le domaine de la Robotique
actuellement.
• L’intelligence artificielle, concerne aussi, les agents
conversationnels, qui peuvent intégrer, des programmes dans
les robots. Il s’agit des « chats », ou conversations, et
discussions entre un internaute et un robot. 4
III. QUELS SONT LES BUTS DE L’IA?
• L’intelligence artificielle ou IA, est destinée, à
apporter, de nombreux changements : des évolutions
et des développements, dans tous les secteurs
professionnels, et plus précisément, dans les industries
manufacturières.
• Il est évident, que les robots sont utilisés, dans les
loisirs et les modélismes. L’IA est, donc, ainsi, une
animation dans les jeux d’applications, les jouets, et
les secteurs sportifs, et culturels. 5
IV. QU’EST-CE QUE LA ROBOTIQUE?
• C’est la science, qui étudie les programmations des
robots., et des systèmes des robots.
• C’est les mouvements des robots, programmés, grâce à
un ou des langages de programmations : C, C#, C++,
Python, Grafcet, les réseaux de Pétri, et tous les
langages des cartes embarquées.
• Son application se fait, ou se réalise, ou se pratique,
grâce à des logiciels, spécifiques, à chaque langage de
programmation. 6
IV. QU’EST-CE QUE LA ROBOTIQUE?
• La Robotique, c’est l’ensemble, des techniques,
permettant, ou induisant, les conceptions et les
réalisations des machines automatiques, et ou des
robots.
• C’est le dérivé, du mot, « robot ». Toutes les
techniques, liées à la fabrication complète des robots,
s’appelle, la branche de la ROBOTIQUE.
• La robotisation, est, l’action de ROBOTISER.
Ainsi, c’est les applications liées, à la Robotique. 7
V. LES DIFFÉRENTS TYPES DE ROBOTS :
LES HUMANOÏDES
Robot Dessin
Robot NAO
Robot LUXAI
8
V. LES DIFFÉRENTS TYPES DE ROBOTS:
LES HUMANOÏDES : APPARENCES DE L’HOMME
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EXEMPLE : ON VEUT RECONNAÎTRE, LES
ARTICULATIONS, ET LES PARTIES DU CORPS, DU
ROBOT « QUORI »SUIVANT :
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EXEMPLE : ON VEUT RECONNAÎTRE, LES ARTICULATIONS,
LES PARTIES DU CORPS, DU ROBOT « QUORI »SUIVANT :
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EX EM P L E 2 : M ODEL E D ’ UNE T ÊT E DE R OB OT
L A ROBOTIQUE-
AUTOMATISME
C O U R S G S A 3 – E N S E I G N A N T E / L O VA T I A N A A N D R I A T S I H O A R A N A
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE 15
*QUELQUES DÉFINITIONS DE L’AUTOMATISME
1)Processus ou machine, ou un système automatisé(e).
Précisément, son système, (interne, et constitutif), de
contrôle automatique.
2) La technologie de l’automatisation, des processus
automatisés, en général.
3) Partie d’une machine destinée, à remplacer, l’être humain,
dans des tâches simples, et répétitives.
4) L’ automatiseur, ou l’automate, est le dispositif, appelé
aussi, le logiciel et matériel, permettant l’automatisation
d’une tâche, appliquée, et pratiquée par un robot.
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* QUELQUES APPLICATIONS OU LOGICIELS, UTILISES,
DANS LA ROBOTIQUE OU L’AUTOMATISME INDUSTRIELS
M M
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Le pied, du robot, est un socle, fixé, sur le
sol, du restaurant. Une barre de métal et
quelques visses, permettent, les fixations de
son écran. 18
* EXEMPLE : UN ROBOT, AYANT, DES BOUTONS DE
COMMANDES, SUR SON ECRAN. IL PREND LE RÔLE
DE PLUSIEURS SERVEURS, DANS UN RESTAURANT.
• L’intelligence artificielle ou IA, qui l’incarne, aboutit, à la somme
totale, du nombre de menus achetés, et servis pour des clients.
• On souhaite, calculer, pour un samedi, le nombre de menus total,
vendus; ainsi que, la recette totale, provenant des prix suivants:
a) 50 menus , appelés M1, dont un menu coûte 4000 Ariary.
b) 20 menus, appelés, M2, dont chaque menu coûte 2000 Ariary.
c) 38 menus, appelés M3, dont , chaque menu coûte, 1500 Ariary.
d) 36 menus, appelés M4, dont , chaque menu, coûte, 3500 Ariary.
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* EXEMPLE : UN ROBOT, AYANT, DES BOUTONS DE
COMMANDES, SUR SON ECRAN. IL PREND LE RÔLE
DE PLUSIEURS SERVEURS, DANS UN RESTAURANT.
1) On souhaite, programmer, dans la fonction void main(){}, en
langage C : le nombre de fois, des appuis des boutons, pour
chaque menu. On appellera ces variables : Bp_M1, Bp_M2,
Bp_M3, Bp_M4. Déclarez ces dernières, dans la fonction void
main() {}. Et, initialisez-les à zéro (0), chacune, au début, des
contenus (instructions), de la fonction void main() {}.
2) Ecrivez, les suites de ces instructions robotiques, en utilisant des
boucles for (en C), qui permettent de, calculer/COMPTER, le
nombre d’appuiements des quatre boutons, de commandes, des
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menus, dans le restaurant.
* EXEMPLE : UN ROBOT, AYANT, DES BOUTONS DE COMMANDES, SUR SON
ECRAN. IL PREND LE RÔLE DE PLUSIEURS SERVEURS, DANS UN
RESTAURANT.
3) Créez, une nouvelle fonction, que vous nommerez, void
recette() {}. Ecrivez, les instructions, simples, suivantes,
dans cette nouvelle fonction : Les variables, de type float :
float prix_M1;
-Ne faîtes pas, d’appel de
float prix_M2;
fonction dans la fonction
float prix_M3; main() {}.
float prix_M4; -Ne pas écrire, le
prix_M1 = 4000; prototype, de la fonction
prix_M2 = 2000; void recette(); qui devrait,
être externe aux deux
prix_M3 = 1500;
fonctions. 21
*EXEMPLE : UN ROBOT, AYANT, DES BOUTONS DE
COMMANDES, SUR SON ECRAN. IL PREND LE RÔLE DE
PLUSIEURS SERVEURS, DANS UN RESTAURANT.
4) Ecrivez les dernières lignes suivantes, dans la fonction :
void main () {//Avec des variables float
//instructions//Déclarez les variables qui manquent//
cptA = Bp_M1*prix_M1;//prix de revient, pour le menu M1
cptB = Bp_M2*prix_M2;//prix de revient , pour le menu M2
cptC = Bp_M3*prix_M3; //prix de revient, pour le menu M3
cptD = Bp_M4*prix_M4; //prix de revient, pour le menu M4
Cpt =cptA + cptB + cptC + cptD;//TOTAL DES PR (menus)
}
//Ne plus, continuer les programmes de calculs
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V. QU’EST-CE QUE L’AUTOMATISME
INDUSTRIEL ?
• Par définition, l’automatisme industriel,
désigne, l’usage, d’un automate programmable
industriel (API), qui permet, d’automatiser,
entièrement une ligne de production(s).
• C’est l’activité d’un industrie, ou d’une usine
de productions, utilisant ses automates
(programmables). 23
VI. LES NORMES SUR LES ROBOTS
• Ce sont les normes, et les lois, qui permettent et autorisent la Société, et les
différents secteurs privés et publics, de créer un ou des robots.
• Pour, pouvoir, utiliser, des robots COLLABORATIFS, dans les secteurs
privés, et publics; il doivent respecter plusieurs normes établies. Cela
concerne, leurs droits de conceptions, leurs règles, et normes, de
productions; et tous ceux qui collaborent, dans leurs environnements et
entourages.
• Ce sont celles de l’ANNEXE 1, de la Directive Machine (DM), 2006/42/CE
établie, par la Commission Européenne.
• Elle vise, à harmoniser, les exigences de santé, et de sécurité, applicables
aux machines, sur la base, d’un niveau élevé, de protection, de ces dernières.
• Toutes les machines installées, dans l’Union Européenne (UE), doivent 24
VI. LES NORMES SUR LES ROBOTS
• LES PRINCIPALES NORMES A RESPECTER, ET QUI
S’APPLIQUENT A TOUS LES ROBOTS INDUSTRIELS, ET AUX
COBOTS, SONT LA NORME ISO 10218-1, QUI CONCERNE LES
FABRICANTS DE ROBOTS, LA NORME ISO 10218-2, ADRESSEE
AUX INTEGRATEURS DE ROBOTS ET LES NORMES ISO 13849-1
et -2.
• LES NORMES ISO 10218-1, ISO 13849-1, SONT D’AILLEURS
HARMONISES AU SEIN DE CETTE DIRECTIVE MACHINE (DM).
• TOUTES LES NORMES ISO DE SECURITE ROBOTIQUE SONT
CONCUES PAR LE CT ISO 299 (Comité Technique).? ET LES
ROBOTS INDUSTRIELS PAR LE CT ISO 300.
universal-robots.com.fr 25
VII. QU’EST-CE QU’UN P.C ?
• Un P.C, est considéré, puis classé tel un vrai robot. Il est capable, de
gérer, et de stocker des milliards de données, en GIGABITS (GB),
MEGABITS (MB), en TERABITS (TB). Ce sont des volumes de
données, et d’informations, placées ou enregistrer, dans/sur le PC,
pour servir l’opérateur humain.
• Tous les services d’un P.C, sont ses tâches, en tant que vrai robot.
Ils concernent les tâches informatiques, appliqués et pratiqué par
l’être humain, au quotidien, domestiques et professionnels.
• Et tous les dérivés d’un P.C, tels les tablettes, les iPads, et les
smartphones, et IPhones, sont aussi appelés, des petits robots de
services, destinés, pour les êtres humains (l’opérateur humain).
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VIII. EXEMPLE DE CALCULS EN LANGAGE C
• Le programme suivant , affecte, une valeur (12.85), à la variable flottante (float) valeur; il en calcule le
carré (carre), et le cube (cube), dont il affiche la valeur. Enfin, il calcule, la partie entière, de ce cube, (par
affectation, à une variable entière, nommée « ent ».
void main()
{ /*Déclarations de variables*/
float valeur =12.85; /*initialisation à 12.85*/
float carre, cube;
int ent;
/*Calculs dans les instructions*/
carre = valeur*valeur; //surface a x a
cube = carre*valeur; //volume a x a x a
printf( « la valeur de %f a pour carre %f et pour cube %f \n », valeur , carre, cube); /*afficher*/
//ou afficher
ent = cube;
return(ent);
Claude Delannoy, EYROLLES, 1994 27
ISO 13849-1 et -2
ROBOT EPSON
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ISO 13849-1 et -2
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VII. LES SECTEURS OU DOMAINES,
CONCERNES DANS LA ROBOTIQUE
SECTEURS INDUSTRIELS ROBOTS INDUSTRIELS
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VIII. NOMINATIONS DES ROBOTS DANS CHAQUE
SECTEUR /
1) SECTEURS INDUSTRIELS/ Les robots de manutentions, de palettisations, d’usinages.
2) SECTEURS DOMESTIQUES/ Les aspirateurs, les robots cuisiniers, les robots de
repassages, de nettoyages, les robots vaisseliers, les robots des commandes dans les
restaurants.
3) SECTEURS MEDICAUX/ Les robots chirurgiens, les robots neurochirurgiens,
cardiologues, radiologue, urologue, physiologue.
4) SECTEURS MILITAIRES/ Les drones et les armes autonome, précurseurs.
5) SECTEURS SOCIAUX/ Les Chats virtuels, les personnages synthétiques et virtuels
sociaux, les avatars, et les écrans virtuels conversationnels. Les opérateurs, liés à la
communication (portable et smartphone Telma).
6) SECTEURS ECONOMIQUES / Les porte-monnaies virtuels (pocket Money), Le Grand
Livre virtuel, les distributeurs de billets, les robots de virements dans les banques.
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IX . CAHIER DES CHARGES D’UN APPAREIL DE CONCEPTIONS ET
GRAFCET
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X. LES SYNTAXES DU GRAFCET
• LES ETAPES/ CE SONT LES ACTIONS ACCOMPLIES/DUES, PAR LA MACHINE/LE
ROBOT
• LES TRANSITIONS/ CE SONT LES CAPTEURS POUR DEMARRER OU PERMETTRE
LE DEMARRAGE D’UNE ACTION, souvent des verbes pour déclencher les étapes.
• En suivant, le cahier des charges
0
OU
BIE
N
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X. LES SYNTAXES DU GRAFCET (SUITE)
• B) Les étapes, qui suivent (les transitions, et,) la première étape, ou
initialisation, sont toutes représentées, par un carré simple, portant, son
adresse ou son numéro :
Transition t3
Transition t4
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X . A . Q U ’ E ST- C E Q U ’ U NE T R A NSI T I O N, E NT R E D E UX ÉTAP E S, Q U ’ E ST- CE Q U ’ U NE L I A I SO N?
• LA LIAISON et LA
Qui relie la transition et TRANSITION sont,
l’étape : la barre verticale OBLIGATOIRES,
« UN TRAIT ENTRE DEUX
HORIZONTAL » =
la transition
ETAPES, DANS LES
SYNTAXES DU
GRAFCET.
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XI. LES ÉTAPES ET LES CHRONOGRAMMES
• L’action
dure , tant
que l’étape
est active
A= X10
ETAPES CHRONOGRAMMES
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XI. LES ÉTAPES ET LES CHRONOGRAMMES
37
XII. LES ÉTAPES OU LES ACTIONS DE TEMPORISATIONS
38
XIII. LES ÉTAPES OU LES ACTIONS DE DETEMPORISATIONS
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XIV. LES ÉTAPES OU LES ACTIONS DE DETEMPORISATIONS
40
XV. ADDITIONS D’ETAPES, DE SES CHRONOGRAMMES
41
XVI. NOTIONS DE « SET » ET DE « RESET »
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CAHIER DES CHARGES D’UN PLATEAU TOURNANT
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44
XVII. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT D’UN SYSTÈME
INFORRMATIQUE EMBARQUE
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XVII. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT D’UN SYSTÈME
INFORRMATIQUE EMBARQUE
JACK
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***UNE CARTE UNO ET UN SERVOMOTEUR
PRISE D’ENTREE
MICROCONTROLEUR JACK
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XIX. LES DIFFERENTES CARTES PROGRAMMABLES
POPULAIRES
• La carte
RaspberryPi2 est
sortie en 2012 avec,
un système
d’exploitation intégré.
On peut également la
programmer en
PYTHON. Elle
dispose aussi, des
fonctionnalités, sans
fil ou non filaires.
55
***LEGENDES SUR LA CARTE RASPBERRYPI
GPIO, GND, V+
+
JACK
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*FONCTIONNEMENT EN MERE-FILLE, OU EN BINÔME
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**FONCTIONNEMENT AVEC UN SERVOMOTEUR
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XIX . LES DIFFERENTES CARTES PROGRAMMABLES POPULAIRES
• La carte micro:bit est
sortie, en 2015, et a
dans un premier temps
été utilisée, par usage
éducatif. Elle dispose
de nombreux capteurs
intégrés, et d’une
matrice leds.
• Elle se programme elle
aussi, en PYTHON.
C’est donc, à elle toute
seule, un système
informatique embarqué.
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XIX.A. LEGENDES DE LA CARTE MCRO:BIT
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* C A R T E « F R O N T » ET C A R T E « B A C K »
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**CARTE « FRONT »
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****CARTE « FRONT » -EXEMPLE 16 LEDS SUR 25 LEDS
o SEIZE LEDS
ALLUMEES,
GRACE A UN
PROGRAMM
E PYTHON,
ET
FORMANT
UN COEUR
63
* * * L A CA R T E « FR ONT »
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XX . CARACTÉRISTIQUES DES INFORMATIQUES EMBARQUÉES
• En informatique embarquée, un système embarqué, doit , respecter les contraintes
dans les règles, des conceptions, des fabrications, de l’ISO:
• Contrainte d’autonomie : il doit remplir sa mission pendant les longues périodes,
sans l’intervention humaine.
• Contrainte de fiabilité : il doit assurer une continuité de services, et fournir des
résultats exacts.
• Contrainte de réactivité : il doit réagir, avec son environnement, ce qui implique,
des temps de réponse adaptés. On parle souvent de temps réel.
• Contrainte de faible encombrement : l’informatique embarquée nécessite souvent
d’être contenue dans un faible volume.
• Contrainte de sécurité : certaines données peuvent être confidentielles, il faut donc
collecter, et conserver ces données, en toute sécurité.
• Contrainte de puissance de calcul adaptée : le système embarqué doit ajuster la
puissance de calcul afin d’éviter les éventuelles surconsommations d’énergie. 65