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Comment un smartphone fait-il pour

indiquer sur une carte notre position.


Clara ONIMUS
Marie ALFONSO--RINGENBACH
Sommaire
• Frise chronologique
• Questions « guides »
• Conclusion
Frise chronologique
1ère carte du monde par Lancement du système Lancement du système
Ptolémée européen GALILEO chinois BEIDOU
140 1999 2000

1er récepteur GPS


Lancement du 1 er
portatif: le Magellan Google Earth
satellite: spoutnik
NAV 1000 2005
1957
1989

Lancement du système Lancement du système


Géoportail
américain GPS russe GLONASS
2006
1978 1980
Frise chronologiqu
1ère carte du monde par Ptolémée
140
Claude Ptolémée né vers 100 et mort vers 168
avait comme objectif de représenté les régions
habité ( l’écoumène) et non le globe entier.
Ptolémée pensait que l’écoumène couvrait
180° en longitude. La péninsule indochinoise
possède l’endroit le plus éloigné du coté est et
celui du côté ouest se trouve sur les îles
« Fortunata » associé au îles canaries

La deuxième projection, préférée par


Ptolémée, est plus complexe. Elle utilise
des arcs plutôt que des segments de droite
pour représenter les méridiens. Une ligne
verticale sur laquelle les distances sont
proportionnelles à la réalité représente le
segment du méridien central faisant partie
de l'écoumène.
Lancement du 1er satellite: spoutnik
1957

Le 4 octobre 1957 à 20h28 C'est à cette date


précise que le premier satellite, Spoutnik, a été
lancé. La Spoutnik 1 est une sphère métallique
d'une masse de 83 kg et d'un diamètre de 58
cm qui transmet des informations sur la
température et la pression à bord par radio.

Le Spooutnik 1 fonctionne pendant environ trois semaines, émettant des


signaux radio jusqu'à ce que ses batteries soient épuisées. Finalement, il
retourne dans l'atmosphère terrestre et se désintègre le 4 janvier 1958.
Lancement du système américain GPS
1978
Le 21 février 1978, une fusée Atlas lance le
premier satellite GPS, également connu sous le
nom de NAVSTAR (Navigation Signal Timing
and Ranging Global Positioning System).
Jusqu'en 1985, 10 autres satellites ont été
envoyés, dont 9 ont été réussis. Rockwell
International est en charge de la construction de
cette première génération, appelée Block I.
Chaque pièce, d'une masse de 760 kg, a duré en
moyenne 5 ans, mais certaines ont même duré
jusqu'à 10 ans. La principale tâche de cette
génération consistait à valider le réseau avant qu'il
ne soit complètement fonctionnel. Les satellites
du Block I avaient une précision d'environ un
mètre.
Lancement du système russe GLONASS
1980 Il faudra plus de dix ans pour que le
système Glonass soit considéré
comme entièrement fonctionnel. Le
12 octobre 1982, le premier satellite
de la constellation a été mis en orbite.
En 1991, il y a 12 satellites en orbite
dans la constellation, ce qui permet
une couverture globale avec des
performances limitées. En mars 1995,
le service de positionnement, qui était
initialement réservé aux militaires, est
désormais accessible aux utilisateurs
civils. Le système Glonass est
désormais pleinement opérationnel
après que la constellation en orbite ait
atteint 24 satellites le 24 septembre
1995.
1er récepteur GPS portatif: le Magellan NAV 1000
1989
Le premier récepteur GPS commercial portable au monde est
le GPS NAV 1000M. Magellan l'a créé en 1989. Avant de
former une armée régulière, il a d'abord équipé les forces
spéciales. Après Bravo 20, les GPS deviendront un
équipement standard pour toutes les unités de désert à haute
valeur et à haut risque.

Les équipes de patrouilles en


profondeur (DPV) et certains autres
véhicules, y compris les Unimogs, ont
utilisé un kit voiture. Ils ont également
été remis aux commandants des
groupes de combat sur leur land rover
Lancement du système européen GALILEO
1999

Le projet Galileo a été annoncé


par la Commission européenne le
10 février 1999. Le 26 mai 2003,
après plusieurs années de
pourparlers, un accord a été
conclu pour créer le système en
partenariat avec l'Agence spatiale
européenne (ESA). Le but est de
mettre en orbite 30 satellites, dont
certains sont destinés à la réserve,
afin de couvrir la totalité du
monde à une altitude d'environ 23
000 kilomètres.
Lancement du système chinois BEIDOU
2000

En 2000, le déploiement de Beidou-1 a commencé


et le système a été rendu opérationnel en 2003.
Avec un système de transmission bidirectionnel,
ce système régional permettait de déterminer sa
position uniquement en Chine et dans les régions
avoisinantes avec une précision d'environ 100
mètres ou 20 mètres. En 2007, un quatrième
satellite de sauvetage sera mis en orbite. En 1983,
le projet Beidou commence à être développé par
Chen Fangyun, qui suggère de créer un système
de navigation qui couvre exclusivement la région
en utilisant deux satellites géostationnaires.
Google Earth
2005

Google Earth est un logiciel créé par Google


qui permet une visualisation de la Terre à
l'aide d'une combinaison de photographies
aériennes ou satellitaires. Ce programme
permet aux utilisateurs de survoler la Terre et
de zoomer sur n'importe quel endroit qu'ils
souhaitent. Les informations disponibles
varient selon les régions géographiques.
Géoportail
2006

Le Géoportail est un site Web accessible au


public en France qui offre des services de
recherche et de visualisation de données
géographiques ou géolocalisées. Il est
principalement destiné à diffuser des
informations géographiques de référence
concernant tout le territoire français. Il est
réalisé par deux organismes publics, l'IGN
et le BRGM, et a été inauguré le 23 juin
2006 par Jacques Chirac, président de la
République française.
Questions « guides »
• Pour indiquer sa position à l’utilisateur, un smartphone envoie-t-il une demande au
réseau, à un central, à un satellite ou plusieurs ?
• Que reçoit-il d’un satellite ?
• Comment calcule-t-il sa distance avec un satellite ?
• Quel matériel embarqué sur le satellite assure la précision ?
• Où sont situés, géométriquement, tous les points à la même distance d’un satellite
S1 ?
• Deux sphères se coupent. Le long de quelle courbe géométrique ?
• Et si trois sphères se coupent, quelle est l’intersection ?
• Comment faire pour n’obtenir qu’un seul point ?
• La carte affichée par le smartphone est-elle envoyée par le satellite ?
Pour indiquer sa position à l’utilisateur, un smartphone envoie-t-il une
demande au réseau, à un central, à un satellite ou plusieurs ?

Pour indiquer sa position à l’utilisateur, un smartphone envoie une


demande à 3 satellite.
Que reçoit-il d’un satellite ?

Les coordonnées géographiques en trois dimensions : longitude,


latitude, altitude.
Comment calcule-t-il sa distance avec un
satellite ?

Un appareil muni d'un récepteur GPS peut ainsi calculer le temps de


transmission. En multipliant ce temps par la vitesse de la lumière
(vitesse connue d'environ 300 000 km/s), il obtient donc la distance qui
le sépare du satellite.
Quel matériel embarqué sur le satellite
assure la précision ?

Les satellites GPS, GALILEO, GLONASS, BEIDOU… disposent


d'horloges atomiques qui fournissent une datation extrêmement précise.
Où sont situés, géométriquement, tous les
points à la même distance d’un satellite S1 ?

Ils sont situés, géométriquement, dans une sphère.


Deux sphères se coupent. Le long de quelle
courbe géométrique ?

Deux sphères se coupent le long d’un cercle.


Et si trois sphères se coupent, quelle est
l’intersection ?

L’intersection est représentée en 2 point.


Comment faire pour n’obtenir qu’un seul point ?

Pour n’obtenir qu’un seul point on utilise la triangulation.


La carte affichée par le smartphone est-elle envoyée par le
satellite ?

Non. Le satellite envoie des coordonnées GPS mais pas la carte.


Conclusion

En conclusion, pour indiquer sur une carte notre position le smartphone


fait appel aux satellites pour obtenir ses coordonnées précises obtenus
grâce à une triangulation faite par trois satellites. Le smartphone se
charge par la suite de reporter ses coordonnées sur une carte
préenregistrée.

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