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ORIGINE DES NORMES INTERNATIONALES
L’IASC, l’International Accounting Standards Committee (IASC), est né en 1972
au cours d’une conversation entre deux comptables britanniques lors d’une
conférence internationale en Australie : Douglas Morphet, alors président de
l’institut des experts comptables d’Angleterre et du pays de Galles et associé
dans un cabinet d’Audit international, et Henry Benson, lui aussi associé de
Cooper & lybrand de Londres. Leur projet consistait à mettre en place un
normalisateur international pour fournir des règles comptables aux entreprises
internationales et encourager ainsi l’harmonisation des règles comptables
nationales.
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SUITE
C’est le 29 juin 1973 qu’a été signée à Londres, à l’initiative de Henry Benson,
et par les représentants des organisations comptables professionnelles
d’Australie, du Canada, de France, d’Allemagne, du Japon, du Mexique, des
Pays-Bas, de Grande Bretagne, d’Irlande et des Etats-Unis , la charte de
création d’un organisme international, le comité des normes comptables
internationales, l’IASC (International Accounting standards committee), ayant
pour objet de mettre en forme des standards comptables de base qui seraient
acceptés dans le monde entier.
Afin de professionnaliser l’organisme, une nouvelle organisation s’est mise en
place en 2001, composée notamment :
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D’une foundation IASC, l’International Accounting standards
Committee fondation (IASCF)
D’un nouveau conseil dénommé International Accounting Standards Board
(IASB)
D’un comité d’interprétation dénommé International Financial Reporting
Interpretations Committee (IFRC)
d’un comité consultatif dénommé Standards Advisory Council (SAC)
Aujourd’hui plus de cent pays représentés par les comptables exerçant en profession libérale,
mais aussi dans l’industrie, la finance, le commerce, l’enseignement, les services publics, partout
dans le monde, participent (directement ou indirectement) à la normalisation internationale.
Dates importantes
1973. Création de l’IASC à Londres par les instituts comptables 9 pays.
1975. Publication des deux premières normes IAS1 et IAS 2
1987-1993. Processus d’amélioration des normes : <<comparabilité des états financiers>>.
1989. Publication du cadre conceptuel : <<cadre pour la préparation et la présentation des états
financiers>>
1995. Accord IASC – Organisation Internationale des commissions de valeurs mobilières (IOSCO)
2001. Réforme de l’IASC : création de l’IASCF, de l’IASB, de l’IFRIC et du SAC.
2002. Règlement européen pour l’application des normes comptables internationales
(application des normes existantes. Nouvelles normes IFRS 1 à IFRS 8. Elaboration d’une norme
spécifique application aux PME.
LES ENJEUX DE L’HARMONISATION INTERNATIONALE
La comptabilité financière est un instrument permettant d’établir des états financiers qui
donnent des informations fidèles ; elle permet les prises de décision et la comparaison des
performances pour les entreprises.
Le problème est que la comptabilité financière s’inscrit au sein de plusieurs référentiels
comptables, ceux ci présentant des différences significatives entre eux.
Le rôle de l’IASCF est de contribuer au développement et à l’adoption de principes
comptables pertinents, équilibrés et comparables internationalement, et d’encourager leur
observance dans la présentation des états financiers. Les entreprises cotées européennes
utilisent déjà le référentiel IAS/IFRS depuis janvier 2005.
STRUCTURE ET OBJECTIFS DE L’IASCF (INTERNATIONAL
ACCOUNTING STANDARD COMMITTEE FOUNDATION)
L’objectif de l’IASCF est d’élaborer, dans l’intérêt général, un jeu unique de normes
comptables de haute qualité, compréhensibles et que l’on puisse faire appliquer dans le
monde entier.
L’International Accounting Standards Committee Foundation (IASCF) a été créée en février
2001, sous la forme d'une entité à but non lucratif enregistrée dans l'Etat du Delaware (USA).
L'IASCF est l'entité mère de l'IASB, instance chargée de l'élaboration des normes comptables
internationales.
L'IASCF est composée de 22 membres appelés " Trustees" qui ont pour fonction d'assurer la
direction de l'IASB ainsi que des entités qui lui sont associées (notamment le SAC et l’IFRIC).
STRUCTURE ET OBJECTIFS DU SAC
Le comité "conseil" de l'IASB, le Standards Advisory Council (SAC), a pour objectif de
permettre à des organismes ou à des particuliers qui s'intéressent à l’information
financière internationale de s'associer à son processus de normalisation.
La constitution de l’IASCF définit les responsabilités de ce comité :
Conseiller l’IASB sur son programme de travail et les travaux prioritaires ;
Informer l’IASB des avis que les organisations et les particuliers ont adressés au SAC sur les
principaux projets de normalisation ;
Conseiller, d’une manière générale, l’IASB et les Trustees (membres) de l'IASCF.
L'IASB est tenu de consulter préalablement le SAC sur tous ses projets principaux. De
même, les Trustees doivent consulter le SAC avant toute proposition de modification de la
constitution de l'IASCF.
SUITE
Le SAC rend compte de ses travaux auprès de l’IASB au moins trois fois
par an, lors de réunions en principe ouvertes au public.
Le SAC compte dorénavant une quarantaine de membres (la constitution
prévoit un minimum de 30 membres) nommés pour un terme de trois
ans, renouvable. Ils sont d’origine et de formation diverses, recrutés pour
leur compétence professionnelle. Ils ne sont pas rémunérés.
Depuis le 1er janvier 2009, le SAC est présidé par Paul Cherry et vice-
présidé par MM. Patrice Marteau (Actéo) et Charles Macek. Trois postes
d'observateurs ont été accordés à la Commission européenne, à l'Agence
Japonaise des Services Financiers (Financial Services Agency of Japan) et
à la US SEC (Security and Exchange Commission).
STRUCTURE ET OBJECTIFS DE L’IFRIC
Ce comité, connu jusqu'en mars 2002 sous le nom de SIC (Standing
Interpretations Committee), a pour rôle de fournir des commentaires, en temps
utile, sur :
les questions de reporting financier nouvellement identifiées qui n'ont pas été
spécifiquement traitées dans les IFRS ;
les questions qui donnent lieu ou qui pourraient donner lieu à des
interprétations non satisfaisantes ou contradictoires.
Il vise à promouvoir l'application rigoureuse et uniforme des IAS/IFRS. L'IFRIC
aide également l'IASB à assurer la convergence internationale des normes
comptables en coopérant avec des groupes similaires patronnés par des
normalisateurs comptables nationaux.
STRUCTURE ET OBJECTIFS DE L’IFRIC SUITE
• L'IFRIC est composé de 14 membres votants, en sus du président (Robert
Garnett, membre du board de l'IASB) qui ne détient aucun droit de vote
et de deux observateurs (l'OICV et la CE). Les membres votants sont
nommés par les trustees (membres) de l'IASCF pour un mandat fixe
pouvant aller jusqu'à 3 ans, renouvelable. Ils sont choisis pour leur
capacité à se tenir au courant des questions actuelles et pour leur
compétence technique à les résoudre. Il s'agit normalement de
professionnels comptables en entreprise et en profession libérale et
d'utilisateurs d'états financiers, répartis selon une diversification
géographique suffisamment large. Ils ne sont pas salariés.
CREATION D'UN COMITE DE SURVEILLANCE
Chemin à emprunter
IL sera plus judicieux de choisir la voix de l’adaptation plutôt que celle de l’adoption. Cette
adaptation se fera à travers une révision voire une actualisation du référentiel OHADA dans
un souci de rapprochement progressif mais substantiel du Système comptable OHADA aux
normes IFRS.
LES NORME IFRS EN COMPTABILITE
LES EFFETS PERVERS DE LA JUSTE VALEUR (IAS 39)
Selon la norme IAS 39, les actifs financiers s'évaluent à la Juste valeur dans le cas où ils sont «
disponibles à la vente » ou « détenus pour la vente ». C'est à la fin de chaque période qu’ils sont
ainsi évalués sur les bases du marché financier et la variation de Juste valeur qui en découle est
inscrite directement en capitaux propres (actifs disponibles à la vente) ou au compte de résultat
(actifs destinés à la vente). Si seule la seconde catégorie de variations modifie les performances de
l'entité (son résultat), toutes deux ont un impact direct ou indirect sur les capitaux propres. Or
ceux-ci déterminent le seuil d'endettement acceptable et le niveau de risque de l'entité. Ils
conditionnent également le volume des prêts à la clientèle.
Tant que les cours montent, les résultats s'améliorent et les capitaux propres s'accroissent. Le titre
s'apprécie sur le marché et l'entité peut s'endetter sans changer son degré de solvabilité pour
accroitre encore ses activités de prêts.
LES NORME IFRS EN COMPTABILITE
Traitement comptable de juste valeur en IFRS
Une entité achète des titres au cours de 100 début Nl. Fin N5, leur cours est
de 210 mais en N6 il chute à 120.
Selon l'IAS 39 :
Durant la période N1-N5, l'entité constate un écart de Juste valeur positif
(110 au total) qui accroît ses capitaux propres et peut-être ses résultats
(actifs destinés Il la vente).
En N6, la chute brutale des cours impose de constater un écart négatif de
Juste valeur de 90 qui grève ses capitaux propres et peut-être son résultat.
LES NORME IFRS EN COMPTABILITE
Traitement comptable Selon le coût historique
Les titres sont comptabilisés à 100 en N1 et demeurent à ce coût, même en
N6 puisque le cours de bourse reste supérieur au coût d'achat, bien qu'ayant
fortement baissé.
Le même phénomène comptable peut aussi concerner les Immeubles de
rapport, puisque l'IAS 40 laisse le choix entre la méthode du coût et celle de
la Juste valeur avec inscription des variations en capitaux propres. Avec la
baisse actuelle de ce secteur, la douche comptable est encore bien froide,
même si elle n'est pas la cause principale de l’écroulement du marché.
Dispositions de base
Objectifs des états financiers IFRS
L'objectif des états financiers est de fournir des informations sur la situation financière, la
performance financière et les flux de trésorerie de l’entité, qui soient utiles à un large
éventail d'utilisateurs pour la prise de décisions économiques.
Lors de l’établissement des états financiers, la direction doit évaluer la capacité de l’entité
à poursuivre son exploitation.
L’entité doit préparer les états financiers sur une base de continuité d’exploitation sauf si la
direction a l’intention, ou n’a pas d’autre solution réaliste, que de liquider l’entité ou de
cesser son activité.
Lorsque la direction prend conscience, à l’occasion de cette appréciation, d’incertitudes
significatives liées à des événements ou à des conditions susceptibles de jeter un doute
important sur la capacité de l’entité à poursuivre son activité, l'entité doit indiquer ces
incertitudes.
Lorsque l’entité ne prépare pas les états financiers sur une base de continuité
d’exploitation, elle doit indiquer ce fait ainsi que la base sur laquelle ils sont établis et la
raison pour laquelle l’entité n’est pas considérée en situation de continuité d’exploitation.
Méthode de la comptabilité d’engagement
L’entité doit établir ses états financiers selon la méthode de la comptabilité d’engagement, sauf
pour les informations relatives aux flux de trésorerie.
Lorsque la méthode de la comptabilité d’engagement est utilisée, l’entité comptabilise les éléments
en tant qu’actifs, passifs, capitaux propres, produits et charges (les éléments des états financiers)
lorsqu’ils satisfont aux définitions et aux critères de comptabilisation.
L’entité doit présenter séparément chaque catégorie significative d'éléments similaires. L’entité doit
présenter séparément les éléments de nature ou de fonction dissemblables, sauf s’ils sont non
significatifs. L’entité n'est pas tenue de fournir une information spécifique imposée par une norme
IFRS si cette information est non significative.
Non compensation
L’entité ne doit pas compenser les actifs et les passifs ou les produits et les charges, sauf si
cette compensation est imposée ou autorisée par une norme IFRS.
Un jeu complet d'états financiers IFRS (y compris les informations comparatives) doit être
présenté au moins une fois par an. Lorsque l’entité modifie sa date de clôture et présente
ses états financiers sur une période plus longue ou plus courte qu'une année, elle doit,
dans ce cas, indiquer dans ses notes annexes :
la durée de l’exercice couverte par les états financiers ;
Des informations comparatives au titre de l'exercice précédent doivent être présentées dans les
états financiers IFRS, pour tous les montants figurant dans les états financiers de l’exercice, sauf
autorisation prévue par des dispositions spécifiques.
Permanence de la présentation
Pour assurer la comparabilité des états financiers d'un exercice à l'autre, la présentation et le
classement des postes dans les états financiers doivent être conservés d'une période à l'autre sauf en
cas : d’un changement imposé par une disposition normative ;
ou d’un changement justifié par une modification importante de la nature des activités
de l’entité ou jugé approprié suite à un examen de la présentation des états financiers.
Postulat de la prééminence de la réalité
économique sur l’apparence juridique
Selon ce postulat, pour que l'information représente d'une manière pertinente les transactions et autres événements
qu'elle vise à représenter, il est nécessaire qu'ils soient enregistrés et présentés en accord avec leur substance et la
réalité économique et non pas seulement selon leur forme juridique.
Le Système comptable OHADA opte pour une application limitée de ce postulat comptable.
inscription à l’actif du bilan du locataire des biens utilisés dans le cadre d’un contrat de location acquisition (côté
preneur) et d’une créance de location financement (côté. bailleur).Ces dispositions sont limitées aux contrats de
crédit-bail, de location-vente ou tout autre contrat de location assortie d’une option d’achat dont le preneur est
raisonnablement certain d’exercer) ;
inscription à l’actif du bilan des effets remis à l’escompte et non encore échus ou honorés ;
inscription dans les « charges de personnel » du personnel facturé par d’autres entités.
Dans ces quatre cas, les conséquences comptables de ces solutions sont les suivantes :
inscription au passif, en contrepartie des valeurs d’actif, de comptes de dettes financières spécifiques (crédit-bail et
location-vente, réserve de propriété...), de dettes de trésorerie (crédits d’escompte...) ;
inscription dans les charges et les produits des éléments correspondants : dotations aux amortissements, charges
financières (crédit-bail, location-vente), charges de personnel (personnel intérimaire).
Les conventions
:
Les conventions comptables sont destinées à guider le
préparateur des comptes dans l’évaluation et la présentation
des éléments devant figurer dans les états financiers. Elles
ont un caractère de généralité moins grand que les postulats
comptables et peuvent varier d’un pays ou d’un espace
géographique à un autre.
Les conventions comptables servant de guide pour
l’élaboration des états financiers annuels
La convention du coût historique:
La convention du coût historique consiste à comptabiliser les opérations sur la base de la valeur nominale
de la monnaie sans tenir compte des éventuelles variations de son pouvoir d’achat. Il repose sur la
stabilité de l’unité monétaire qui doit permettre d’additionner des unités monétaires de différentes
périodes, sans dénaturer l’information comptable.
Selon la convention du coût historique, les actifs sont comptabilisés pour le montant payé ou pour la
valeur de la contrepartie qui a été donnée pour les acquérir. Les passifs sont comptabilisés pour le
montant des produits reçus en échange de l’obligation ou, dans certaines circonstances (par exemple, les
impôts sur les bénéfices), le montant que l’on s’attend à verser pour éteindre le passif (passif externe)
dans le cours normal de l’activité. La convention du coût historique consiste à comptabiliser les
opérations sur la base de la valeur nominale de la monnaie sans tenir compte des éventuelles variations
de son pouvoir d’achat. Il repose sur la stabilité de l’unité monétaire qui doit permettre d’additionner des
unités monétaires de différentes périodes, sans dénaturer l’information comptable.
Selon la convention du coût historique, les actifs sont comptabilisés pour le montant payé ou pour la
valeur de la contrepartie qui a été donnée pour les acquérir. Les passifs sont comptabilisés pour le
montant des produits reçus en échange de l’obligation ou, dans certaines circonstances (par exemple, les
impôts sur les bénéfices), le montant que l’on s’attend à verser pour éteindre le passif (passif externe)
dans le cours normal de l’activité.
La convention de prudence :
Cette convention est énoncée d’entrée dans les articles 3 et 6 de l’Acte uniforme
relatif au droit comptable et à l’information financière : « La comptabilité doit
satisfaire, dans le respect de la convention de prudence, aux obligations de
régularité, de sincérité et de transparence inhérentes à la tenue, au contrôle, à la
présentation et à la communication des informations qu’elle a traitées. » La
prudence est l'appréciation raisonnable des faits dans des conditions
d’incertitude afin d'éviter le risque de transfert, sur l'avenir, d'incertitudes
présentes susceptibles de grever le patrimoine ou le résultat de l'entité. Les actifs
et les produits ne doivent pas être surévalués, et les passifs et les charges ne
doivent pas être sous-évalués.
La convention de prudence est avant tout, dans le contexte socio-économique et
culturel de nos entités, un moyen d’une part, de protéger et, surtout de garder la
confiance des tiers et, d’autre part de prévenir toutes distributions de dividendes
fictifs (distribution de plus-values potentielles) susceptibles de nuire à leur
équilibre financier, leur croissance et leur capacité d’autofinancement.
La convention de régularité et transparence :
Dans le droit comptable OHADA, cette convention a été affirmée dans les articles 6, 8, 9, 10 et
11 de l’Acte uniforme relatif au droit comptable et à l’information financière. En fait, il
imprègne tous les textes relatifs à l’information externe.
Il faut inclure dans ce concept :
la conformité aux règles et procédures du Système comptable OHADA, au plan comptable et à
sa terminologie, à ses présentations d’états financiers (notion de régularité)... ;
la présentation et la communication claire et loyale de l’information, sans intention de
dissimuler la réalité derrière l’apparence (article 6 de l’Acte uniforme) ;
le respect de la règle de non-compensation, dont l’inobservation entraînerait des confusions
juridiques et économiques et fausserait l’image que doivent donner les états financiers
annuels. Sont uniquement autorisées les compensations juridiquement fondées (article 34 de
l’Acte uniforme) en vertu de la loi ou du contrat... Cette convention est rappelée à l’article 34
de l’Acte uniforme relatif au droit comptable et à l’information financière : « le bilan
d’ouverture d’un exercice doit correspondre au bilan de clôture de l’exercice précédent ».
Convention de l’importance significative :
Pour le compte de votre formation vous êtes appelés à analyser chaque opération ci-après :
les facture de location payées d’avance sont adresser à l’entreprise tous les deux mois, la dernière facture établie le 10-12-
2016 comprend le loyer du 05 Décembre au 31 Janvier 2016.
1 En cas des licenciements dite abusifs d’un employé de l’entreprise, les dommages et intérêts afférents à ce licenciement
s’élève a une somme importante.
2 Un terrain acquit il y a 10 ans figure pour sa valeur d’acquisition à l’actif du bilan.
3 Evaluation de la sortir des stocks de matière première pour cet exercice est réalisée selon la méthode FIFO, alors qu’au
cour de l’exercice précédent cette évaluation a été faite au coût moyen pondéré.
4 La prime d’assurance risque versée le 03 novembre 2016 couvre la période du 03 novembre au 31 décembre 2017.
5 Vous constatez dans le bilan de la société que le résultat observé au 31-12-2016 a diminué de 175 000 le 01-01-2017.
6 La société « LA COMPETANCE » vous demande en tant que brillant consultant qui a étudié à ESAE si elle peut chaque
année faire varier son amortissement en fonction des résultats.
7 Le DG de la société OLOUXY FOSTER utile le véhicule PRADO de la société pour se rendre à ITA-DJEBOU tous les
dimanches pour visiter sa maman
TAF Analyser chaque opération afin de faire ressortir chaque postulat, convention comptable et l’hypothèse de base si
nécessaire
APPLICATION SUR LED NOTIONS DU MODULE
Les actifs et les passifs doivent être présentés dans le Bilan (ou Etat de situation
financière) en distinguant séparément les éléments courants et non courants, sauf
lorsqu'une présentation en fonction de la liquidité apporte des informations fiables
et plus pertinentes.
Lorsque cette exception s'applique, tous les actifs et passifs doivent être présentés
par ordre de liquidité.
Quelle que soit la méthode de présentation adoptée (selon la distinction
courant/non courant ou par ordre de liquidité), l’entité doit donner une ventilation
entre montants courants et non courants dans ses états financiers.
Actif courant/actif non courant
Un actif est classé en actif courant lorsqu'il satisfait à l'un des quatre critères
suivants : l'entité s'attend à réaliser l'actif, le vendre ou le consommer dans le cadre
du cycle normal de son exploitation, et ce même s'il est réalisé dans un délai
supérieur à douze mois après la date de clôture (par exemple, les stocks ou créances
clients) ; l'entité le détient essentiellement aux fins d'être négocié (par exemple, les
titres de placement) ; l'entité s'attend à réaliser l'actif dans les douze mois suivant la
date de clôture de l'exercice (par exemple, certaines avances et acomptes versés aux
fournisseurs à échéance de 3 mois) ; l'actif constitue de la trésorerie ou un équivalent
de trésorerie sauf s'il ne peut être échangé ou utilisé pour régler un passif dans les
douze mois qui suivent la date de clôture.
Un actif courant est un actif qui va pouvoir être réalisé, vendu ou consommé dans le
remplit l’une des trois cycle d’exploitation normal de l’entreprise.
conditions suivantes : est détenu principalement dans un but de transaction
ou pour une courte durée et l’entité s’attend à le
réaliser dans les douze mois qui suivent la clôture de
l’exercice.
représente de la trésorerie ou équivalent
Un passif courant est un passif • doit être réglé dans le cadre du cycle d’exploitation
qui remplit l’une des trois normal de la société.
conditions suivantes : • est détenu essentiellement aux fins d’être négocié.
• doit être réglé dans les douze mois suivant la clôture.
Passif courant/passif non courant
Un passif est classé en passif courant lorsqu'il satisfait à l'un des quatre critères suivants :
l'entité s'attend à régler le passif au cours du cycle normal d'exploitation et ce, même s'il doit
être réglé plus de douze mois après la date de clôture (par exemple, les dettes fournisseurs et
dettes envers le personnel) ; le passif est détenu essentiellement dans le but d'être négocié ; le
passif est à régler dans les douze mois à compter de la date de clôture et ce même si l'échéance
d'origine est fixée à plus de douze mois et qu'un accord de refinancement ou de
rééchelonnement des paiements à long terme est conclu après la date de clôture et avant la
date d'approbation des comptes (par exemple, un emprunt à échéance 5ans, remboursable en
totalité à échéance le 30 Avril N+1, est à classer en passif courant à la clôture de l'exercice N ;
l'entité ne dispose pas sur le passif d'un droit inconditionnel de différer le règlement du passif
pour au moins douze mois à compter de la date de clôture. Tous les autres passifs doivent être
classés comme des passifs non courants (notamment les passifs d'impôts différés).
ETAT DE L’ETAT FINANCIER
Compte de résultat
Bilan
Charges par
Eléments classés :
fonction ou par
Courants / non
courants nature
§ Fiabilité accrue
§ Meilleure
comparabilité
Notes Annexes
Informations plus
nombreuses et plus
qualitatives
1 ( IA 1
3 S )
Actifs non courants
Immobilisations incorporelles
Capitaux propres
Immobilisations corporelles
Capital émis
Titres de participations
Réserves et résultat
Prêts
Passifs non courants
Actifs courants
Emprunt
Stocks
Provisions
Créances clients et autres créances
Passifs courants
Trésorerie Dettes fournisseurs
Provisions
Emprunts et découverts
APPLICATION SUR LE BILAN EN IFRS
La SA KABATO est une société Béninoise appartenant à un groupe international qui établit ses états financiers
selon les règles du système comptable OHADA, mais qui souhaite dans le cadre des exigences de la société Mère
du groupe présentera aussi des états financiers conformément aux normes IFRS.
Bilan de SA KABATO (avant affectation) au 31/12/N (en KF)
•il s’agit de titres de participation pour 300 et d’un prêt accordé à une autre filiale pour un montant de
50. Ce prêt doit être remboursé dans 6 mois.
•Dont 60 correspondant à des créances à échéance supérieure à 12 mois ( hors exploitation)
•Il s’agit d’un litige avec un salarié. La décision du tribunal est attendue dans 3 mois.
•Dont 150 de découverts et 50 remboursables dans les 12 mois.
•Ces dettes ont une échéance inférieure à 12 mois.
Travail à faire :
Présentez le bilan de KABATO selon la présentation courant/non courant requise par la norme IAS 1.
Actifs immobilisés Capitaux propres
Immobilisations incorporelles 200 Capital social . 300
Immobilisations corporelles 800 Réserves 400
Immobilisations financières (1) 350 Résultat de l’exercice 150
L'état du résultat net et des autres éléments du résultat global (ou état du résultat
global) doit
(1) Achats de matières premières, soit 3 800 000 (95 000 x 40) + variation du stock de matières
premières, soit 400 000 – 600 000
B- Présentation du compte de résultat par destination
Le coût de production des produits vendus est de : 25 000 x 80 + 75 000 x 85,555= 8 416 750 (montant
arrondi).
Compte de résultat par destination
Ventes (100 000 X 150) 15 000 000
- coût de production des produits vendus - 8 416 750
- frais de commercialisation (1 400 000 + 2 x 100 000) - 1 600 000
- frais d’administration générale ( 1 000 000 + 80 000) - 1 080 000
- impôt sur les bénéfices - 1 200 000
= Résultat net - 2 703 250
LE RESULTAT DE (BASE) PAR ACTION (IAS 33)
Un chiffre clé pour l’appréciation de la performance d’une
entreprise en générale ou l’évaluation de ses actions en
particulier est le résultat par action (earnings per share : EPS)
Les modalités de calcul du résultat par action : le résultat
de base par action doit être calculé en divisant le résultat net
de l’exercice attribuable aux actionnaires ordinaires par le
nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation au
cours de l’exercice.
Résultat de l’exercice attribuable aux actionnaires ordinaires de l’entité
Résultat de base par mère après déduction des dividendes préférentiels
action
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation au cours de l’exercice
Illustration
Ajustement du nombre moyen d’actions ordinaires dans le cas d’une émission d’actions gratuites
Bénéfice net de l’exercice N-1 attribuable aux 180
porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère
Dans la mesure où l’émission d’actions gratuite est sans contrepartie, elle est traitée comme si elle s’était
produite avant l’ouverture de l’exercice N-1, plus ancien exercice présenté.
Résultat de l’exercice attribuable aux actionnaires ordinaires de
l’entité mère ajusté des effets de toutes les actions ordinaires
potentielles dilutives
Résultat
dilué par =
Nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation
action au cours de
l’exercice ajusté des effets de toutes les actions ordinaires
potentielles dilutives
Illustration Cas d’obligations convertibles
Bénéfice net attribuable aux porteurs d’actions ordinaires de l’entité mère 1 004
Actions ordinaires en circulation 1 000
Résultat de base par action 1
Obligations convertibles 100
Chaque bloc de 10 obligations est convertible en trois actions ordinaires.
ACTIF TRESORERIE
IMMOBILISE ACTIF
BILAN
PASSIF
PASSIF
EXTERNE
INTERNE
Dettes
CAPRO
exigibles
81
Présentation proprement dite
Pour faire la présentation du bilan suivant le système normal, les éléments d’actif et de
passif doivent être regroupés par masse.
Total Total
83
APPLICATION SUR LE BILAN COMPTABLE
:
L’entité « HUMILITE » vous communique les informations suivantes sur son patrimoine au 31-12-N
Terrains 1.600.000F
Matériels 2.000.000F
Bâtiments 7.000.000F
Subventions d’investissement 1.200.000F
Emprunts et dettes financières diverses 1.500.000F
Provisions pour risques et charges 1.000.000F
Clients et comptes rattachés 6.500.000F
Titres de placement 2.000.000F
Capital social 20.000.000F
Réserves 3.000.000F
Résultats (A déterminer)
Titres de participation 3.000.000F
Stocks de marchandises 5.300.000F
Caisse en monnaie nationale 300.000F
Banques en monnaie nationale 5.900.000F
Découverts bancaire 700.000F
Fournisseurs 2.600.000F
Etat 900.000F
Organisme sociaux 300.000F
Caisse en devise 4000€ (1€ = 650F CFA)
NB le chiffre d’affaire est de 35.000.000 et les charges font 18.000.000 ; l’impôt 30%. Le solde du compte marchandise donne une
valeur de 5.550.000F
86
Détermination de résultat
Résultat = TA - TP
88
TOTAL ACTIF
IMMOBILISATION INCORPORELLE
IMMOBILISATION CORPORELLE
TOTAL
ACTIL IMMOBILISATION FINANCIERE
TRESOREIES ACTIF
PASSIF TOTAL
CAPRO
DETTE FINANCIERE
TOTAL
TRESOREIES PASSIFS
A SUIVRE …
MODULE 3 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE (IAS 7)
O
P
INTERNE
FLUX E
R
A
ÉCONOMIQUES T
I
O
N
S EXTERNE
FLUX ÉCONOMIQUES
Dans une autre classification des flux économique, on
peut faire la distinction suivante :
Flux réel : C’est le mouvement des biens et services
Flux monétaire : C’est le mouvement de monnaie
(espèces, chèques, carte bancaire, monnaie
électronique,…)
Flux de créances ou de dettes : C’est la
matérialisation des mouvements de crédit (obtention
de crédit, remboursement de crédit)
CONSTATATION DES FLUX
ECONOMIQUES
La constatation des flux économiques se fait à travers un
certain nombre de documents. On distingue entre autres:
Le bon de commande,
Le bon de livraison,
Le bon de réception,
La facture de doit,
La facture d’avoir,
Le chèque bancaire,
La lettre de change,
Le billet à ordre,
La pièce de caisse
SCHEMA DES FLUX
A FAIRE AU COURS
Activité :
Consigne : Lire attentivement le texte ci-après et effectuer la tâche qui suit.
Texte
La société commercial « Faithful » est spécialisée dans la commercialisation de
produits alimentaires.
Au cours du mois de novembre 2015, elle a effectué les opérations suivantes :
08/11/2015 : Acquisition d’un véhicule Peugeot pour 5.200.000F à crédit.
10/11/2015 : Vente à crédit de marchandises pour 18.450.000F
15/11/2015 : Achat de marchandises contre espèce pour 24.370.000F
19/11/2015 : Règlement d’un client pour 11.573.000F par mobile money
22/11/2015 : Réglé les fournisseurs pour 28.625.000F par virement bancaire
25/11/2015 : Vente de marchandises pour 23.150.000F par chèque postal (coût
d’achat des marchandises vendues 21 450 000F)
Tâche : A partir de l’exemple précédent, faites la description comptable des flux
Application
Ressources propres :
Ce sont des moyens propres à l’entité. Elles sont issues des activités
de l’entité et des ressources fournies par l’exploitation ou par les
associés.
Exemple : Le Capital, les réserves, le résultat …
Ressources étrangères :
Ce sont des moyens, ou des dettes contractées auprès des institutions
financières qui doivent être remboursées à plus ou moins d’un an. Les
dettes fournisseurs sont classées aussi dans cette catégorie de
ressources.
Exemple : Les emprunts, les dettes diverses, …
ANALYSE COMPTABLE
104
ANALYSE COMPTABLE
105
EXEMPLE
106
EXERCICE
• Activité :
• Consigne : Lire attentivement le texte ci-après et effectuer la tâche qui suit.
• Texte
• La société commercial « Faithful » est spécialisée dans la commercialisation de
produits alimentaires.
• Au cours du mois de novembre 2015, elle a effectué les opérations suivantes :
• 08/11/2015 : Acquisition d’un véhicule Peugeot pour 5.200.000F à crédit.
• 10/11/2015 : Vente à crédit de marchandises pour 18.450.000F
• 15/11/2015 : Achat de marchandises contre espèce pour 24.370.000F
107
SUITE DE L’EXERCICE
110
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
111
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
Exonérations
112
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
115
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
IMPOSITION DES PETITES ENTREPRISES
Les petites entreprises s’entendent des personnes physiques
ou morales qui réalisent, par exercice comptable, un chiffre
d’affaires supérieur à vingt millions (20 000 000) de francs
CFA et inférieur ou égal à cinquante millions (50 000 000)
de francs CFA.
Toutefois, les petites entreprises peuvent opter pour le
régime du bénéfice réel simplifié dans les conditions
prévues à l’article 32 du présent code.
116
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
117
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
Recouvrement
La TPS est payée en deux versements. Le premier au plus tard le
31 janvier et le second, au plus tard le 30 avril lors de la
souscription de la déclaration.
Le premier versement est calculé sur la base du montant de
l’impôt dû au titre du dernier exercice connu.
Les nouvelles entreprises payent la TPS, en totalité, au plus tard le
dernier jour du mois suivant celui au cours duquel elles ont
commencé à exercer. Toutefois, lorsque l’entreprise est créée en
décembre, la taxe est exigible, en intégralité, au plus tard le 31 du
même mois.
Tout retard dans le paiement donne lieu à l’application d’une
majoration de 10% du montant des sommes dont le versement est
différé.
119
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
120
3- REGIME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE SYNTHETIQUE LF 2018
124
DIFFERENTS REGIMES D’IMPOSITION
125
DIFFERENTS REGIMES D’IMPOSITION
126
TABLEAU SYNTHESE REGIME D’IMPOSITION,
ECHEANCES DE DECLARATION, SERVICES DGI
127
A SUIVRE …
4 – ORGANISATION DE LA DIRECTION GENERALE
DES IMPÔTS (DGI)
130
I- LES DIRECTIONS CENTRALES
Ainsi, peuvent avoir des durées d'utilisation différentes, un immeuble et ses ascenseurs,
un avion et ses moteurs ou ses sièges, un four et son revêtement intérieur, un bateau de
transport de passagers et son moteur ou ses hélices.
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES Exemple d’approche par composants :
Cas d’un bâtiment
Gros œuvre
Infrastructures Etanchéité, toiture
Façades
Ascenseurs
Installations électriques
Groupes électrogènes
Climatisation, désenfumage
Installations
techniques Câblages techniques
Installations de sûreté et de
surveillance
Plomberie, canalisations
Protection incendie
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES
Les modalités de la décomposition dès l’origine
Même si les composants ne sont pas identifiables à l'origine, ils le deviennent en principe lors de
la survenance de la dépense de remplacement.
Pour le renouvellement, la loi de finances ou une mesure administrative pour préciser si une correction
est nécessaire ou le composant renouvelé sera considéré comme une simple acquisition
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES
Exemple applicatif
1. Décomposition du bâtiment
En utilisant l’approche par composant, le bâtiment sera décomposé de la façon suivante :
Bâtiment – structure : 120 000 000 F (150 000 000 – 30 000 000) ;
Bâtiment – composant ascenseur : 30 000 000 F.
2. Comptabilisation de l’acquisition du bâtiment (02/01/N) :
02/01/N
23131 Bâtiments administratifs - structure 120 000 000
23132 Bâtiments administratifs – composant 30 000 000
ascenseur
4812 Fournisseurs d’investissements 150 000 000
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES
Solution
31/12/N
6813 Dotations aux amortissements des immobilisations corpo. 7 000 000
Dotation fiscale= soit 5000.000 la valeur du composant l’ascenseur n’est pas soutenue par une
pièce justificative
A SUIVRE …
6 – CONTRAT DE LOCATION
DEFINITION
Exemple applicatif
NB : KF millier de francs
Passer les écritures nécessaires
162
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES Solution
1. Qualification du contrat
Il s’agit d’un contrat de location acquisition car le preneur est raisonnablement certain d’exercer l’option
(option d’achat est incitative).
164
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES Solution
5. Comptabilisation
Au 01/01/N (à la signature), on passe l’écriture suivante :
01/01/N
2411 Matériel Industriel 500 000
173 Dettes de location acquisition/crédit-bail 450 000
mobilier
4812 Fournisseurs d’investissements 50 000
15/01/N
4812 Fournisseurs d’investissements 50 000
521 Banques 50 000
165
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES Solution
31/12/N
623 Redevances de location acquisition 80 650
4454.1 TVA récupérable SE (cpte d’attente) X
401 Fournisseurs 80 650+X
166
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES Solution
Règlement de la redevance
31/12/N
401 Fournisseurs 80 650
521 Banques 80 650
31/12/N
4454 TVA, récupérable sur SE X
4454.1 TVA, récupérable (cpte d’attente) X
167
A SUIVRE …
7 – LES CONTRATS PLURI-EXERCISES
171
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES
Après la réforme
Avancement
Achèvement
Bénéfice partiel
172
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES
Au plan fiscal (une seule méthode)
Avancement
Achèvement
Bénéfice partiel
au plan fiscal, la TVA sur facture à établir ne sera exigible qu’au paiement car il s’agit d’une
prestation de service
177
Frais de constitution
Avant la réforme
178
Frais de constitution
Après la réforme
179
Frais de constitution
Pour la loi de Vérifier l’existence d’un seuil pour l’étalement de la charge sur plusieurs exercices
Finances 2019
S’assurer de l’actualisation de la note circulaire relative au taux des amortissements
180
A SUIVRE …
OPERATIONS ET PROBLEMES
SPECIFIQUES
182
Les frais d’émission et les charges à étaler
Avant la réforme
183
Frais d’émission et les charges à étaler
Après la réforme
184
Frais d’émission et les charges à étaler
Pour la loi de Vérifier l’existence d’un seuil pour l’étalement de la charge sur plusieurs exercices
Finances 2019
185
FIN DU SEMINAIRE
PLACE AUX QUESTIONS / REPONSES
JE VOUS REMERCIE
TROISIEME SEMINAIRE DE FORMATION DES
ENSEIGNANTS DU SECONDAIRE ET DU SUPERIEUR SUR
LE SYSCOHADA RÉVISÉ du 20 au 30 Août 2018
MODULE FISCALITE
GBAGUIDI Ahontondji Christian Sylvie KOUDJINA Foly Serge
Expert en Finance d’Entreprise Inspecteur des Impôts
Conseil Fiscal Inspecteur Vérificateur Grandes Entreprises
Chargé de cours dans les Universités du Bénin
Cel : 96 41 85 64
Cel : 95 05 46 56
Courriel : gprincelines@yahoo.fr Courriel : koudjinas@gmail.com
187