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- Présentation de la norme
- Présentation des états financiers
bilan,
compte de résultats,
Tableau de variation des capitaux propres
Tableau des flux de trésorerie
Annexes
- Comparaison avec l’Algérie
I. Normalisation comptable internationale
- Facilité la cotation boursière des entreprises sur les places du monde entier ;
- Améliorer la transparence des états financiers élaborés par les sociétés cotées ;
- Permettre la comparaison des entreprises de différents pays ;
- Obtenir la confiance des investisseurs après les scandales financiers ;
1
Christian HOARAU, place et rôle de la normalisation comptable en France, revue française de gestion, 2003,
p13.
2
- Offrir un référentiel comptable aux pays qui en sont dépourvus.
Les objectifs de la normalisation comptable internationale :
P Amélioration et harmonisation des pratiques comptables ;
P Facilité de comparaisons spatiotemporelles entre les informations comptables ;
P Aisance dans la consolidation des comptes ;
P Meilleure compréhension des situations et de leur contrôle ;
P Elaboration de statistiques.
2. Rappel historique :
IASC International Accounting Standards Committee a été crée en 1973 à l’initiative des
experts comptables de neuf pays (Allemagne, Australie, Canada, Etats-Unis, France, Japon,
Mexique, Pays –bas et Royaune-uni )En vue d’harmoniser les règles d’établissement et de
présentation des comptes des entreprises. C’est un organisme privé dont le siège est situé à
Londres. Rapidement, d’autres membres se sont joints aux fondateurs, donnant à L’IASC une
stature mondiale. De 1973 à 2000, une quarantaine de normes ont été établies. (Les
international accounting standards IAS) couvrant la plupart des sujets comptables. Malgré
leur qualité, ces normes ont été peu suivies en pratique. Pour donner à ces normes plus de
chances d’application, L’IASC a donc décidé de se rapprocher des normalisateurs nationaux.
Cela a abouti en 2001 à sa transformation en une organisation autonome, L’IASB
International Accouting Standards Bord.
Le Parlement Européen entérine le 7 juin 2002 (par un vote massif : 492 pour, 5 contre et 29
abstentions) le règlement qui contraint près de 7 000 sociétés européennes cotées (dont
environ 1 000 groupes français et leurs 30 000 filiales) à publier leurs comptes consolidés
conformément aux normes internationales IAS (International Accounting Standards), pour les
exercices ouverts à compter du 1er janvier 2005 pour le cas général et dès 2004 pour les
sociétés cotées sur Euronext (places de Paris, Bruxelles, Amsterdam et Lisbonne).
Les normes IAS ont été rebaptisées en mai 2002 IFRS (International Financial
Reporting Standards). Ainsi, L’IASB se trouve désormais dans l’IASCF International
Accounting Standards Committee Fondation.
3. L’Organisation actuelle :
L’organisation actuelle est composée de quatre assemblées majeures
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L’IASB et de l’adoption des budgets. Ils jouent également un rôle important dans la collecte
de fonds au bénéfice de l’institution.
L’origine des trustees doit, en principe, obéir à une certaine répartition géographique et
professionnelle. Au moins six doivent venir d’Amérique du nord, six d’Europe et six de la
zone Asie-Pacifique.
Le mandat des trustees est de 3 ans et il est renouvelable une fois.
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4. Processus d’élaboration d’une norme :
L’élaboration des normes internationales est soumise à une procédure stricte appelée «
due process » définie dans la préface des IFRS qui a été révisée en 2001. La procédure est
publique et repose sur un processus de concertation avec les parties intéressées.
Une équipe technique est tout d’abord constituée par l’IASB, pour identifier et analyser le
thème étudié. A ce stade de la réflexion et de la recherche, l’IASB se fait aider par les
normalisateurs nationaux et constitue un comité consultatif (advisory group) composé de
spécialistes capables de le conseiller sur le sujet. Des comparaisons de pratiques et de règles
adoptées dans différents pays sont effectuées par les normalisateurs comptables nationaux.
A partir de ces premières analyses, et des propositions rendues par les instances techniques,
l’IASB publie un Document de Discussion (Discussion document) ou un projet d’énoncé des
principes ou DSOP (draftstatement of principles) pour appel à commentaires qui peuvent être
émis pendant une période de 90 jours. Pour les normes qui ne donnent pas lieu à la rédaction
d’un Document de Discussion, l’IASB publie directement un projet de norme ou de révision
de norme, appelé exposé-sondage (ED, exposuredraft) qui est diffusé auprès de toutes les
organisations membres de l’IASB et qui intègre obligatoirement les arguments divergents des
membres du Board, appelées « basics for conclusions ». En principe les exposés-sondages
sont accompagnés d’informations complémentaires qui sont le résumé des réflexions et des
intentions des normalisateurs et constituent une aide pour les utilisateurs lors de l’application
des normes. La publication des exposés-sondages nécessite l’approbation de l’IASB par au
moins 9 votes favorables sur un total de 14 membres. Les commentaires reçus sur l’exposé-
sondage pendant une période maximale de 90 jours sont analysés et sont la meilleure occasion
pour les préparateurs et les utilisateurs des états financiers de donner leur avis sur les projets
en cours. Pendant cette période, l’IASB peut tenir des réunions publiques qui ont lieu une fois
par mois et effectuer des tests sur le terrain. A l’issue de cette période d’analyse et après prise
en compte des commentaires reçus, l’IASB publie la norme définitive qui doit être approuvée
par au moins 9 voix favorables sur 14. La publication est accompagnée en annexe de
renseignements complémentaires sur l’application concrète de la norme. Le processus
complet de l’élaboration d’une nouvelle norme dure environ 2 ans.
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Les normes IAS/IFRS sont élaborées pour s’appliquer aux états financiers individuels et
consolidés à vocation générale de toutes les entités à but lucratif, quel que soit leur secteur
d’activité et leur forme, ainsi qu’à toute information publiée par ces entités. Mais ces normes
peuvent aussi s’appliquer aux entités à but non lucratif et aux entreprises gouvernementales
commerciales à chaque fois que cela est jugé approprié.
Les textes approuvés par l’IASB sont ceux publiés par l’organisme international en langue
anglaise. Pour les besoins des utilisateurs, ils peuvent être traduits dans la langue du pays par
les organismes professionnels. Les normes publiées comprennent généralement les rubriques
suivantes :
- Objectifs
- champ d’application
- définitions
- développements spécifiques
- informations à fournir
- date d’application
- annexes
6. application en Algérie :
C’est ainsi qu’en 1996 le ministre des finances charge le CNC (conseil national de la
comptabilité) de mettre en place un plan comptable sur la base du référentiel IFRS. Les
travaux de la modernisation du plan comptable ont été financés par la banque mondiale. Ainsi
en 2007 fut adopté la loi 07/11 de 25/11/2007 portant SCF (système comptable financier)
s’inspire des normes comptables IAS/IFRS, prévoit initialement son application à compte de
01/01/2009, un décret complémentaire08/156 porte application du SCF a reporté son
application au 01/0/2010.
Les normes IAS /IFRS s’inscrivent au sein d’un cadre préalable dénomme cadre
conceptuel qui est un ensemble de concepts sur lesquels il faut se baser dans la préparation et
la présentation des états financiers, et auxquels il faut se référer pour traiter un problème non
traité par une norme. Il comporte trois volets :
- ce que l’en comptabilise ;
- comment on évalue les actifs et les passifs ;
- les informations données pour expliquer les comptes.
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1. Contenu du cadre conceptuel :
Le cadre conceptuel fixe l’objectif à atteindre par les états financiers et donne une liste
des principes comptable à respecter en résumé il :
- indique à qui s’adresse les états financiers et quels sont les objectifs de ces derniers ;
- fixe la liste des principes comptables à respecter ;
- indique les caractéristiques qualitatives qui déterminent l'utilité de l'information contenue
dans les états financiers ;
- donne la définition, les règles de comptabilisation et de l'évaluation des éléments à partir
desquels les états financiers sont construits ;
- traite du concept de capital et de maintien du capital.
Les particularités du cadre conceptuel sont :
- Propose des principes généraux
- Ne constitue pas une norme en tant que tel
- Doit servir de référence en cas d’absence de traitement prévu par le référentiel IFRS
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_ Les fournisseurs de capitaux (propriétaire, actionnaires, banques et autres
bailleurs de fonds),
_ L’Administration et autres institutions dotées de pouvoirs de réglementation et
de contrôle (autorités fiscales, statistiques..)
5. Conventions comptables :
6. Principes comptables :
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5/ Importance relative (Seuil de signification) : Les états financiers mettent en évidence
toute information significative, c’est à dire toute information pouvant avoir une influence sur
le jugement que les utilisateurs de l'information peuvent porter sur l’entité.
Les montants non significatifs peuvent être regroupés avec des montants correspondant à des
éléments de nature ou de fonction similaires.
6/ Principe de Prudence : La prudence est l'appréciation raisonnable des faits dans des
conditions d’incertitude afin d'éviter le risque de transfert, sur l'avenir, d'incertitudes présentes
susceptibles de grever le patrimoine ou le résultat de l'entité.
Les actifs et les produits ne doivent pas être surévalués, et les passifs et les charges ne doivent
pas être sous-évalués.
7/ Permanence des méthodes : La cohérence et la comparabilité des informations
comptables au cours des périodes successives impliquent une permanence dans l'application
des règles et procédures relatives à l’évaluation des éléments et à la présentation des
informations.
Toute exception à ce principe n’est justifiée que par la recherche d'une meilleure information
ou par un changement de la réglementation.
8/ Coût historique : les éléments d’actifs, de passifs, de produits et de charges sont
enregistrés en comptabilité et présentés dans les états financiers au coût historique, c’est à dire
sur la base de leur valeur à la date de leur constatation sans tenir compte des effets de
variations de prix ou d’évolution du pouvoir d'achat de la monnaie.
9/ Intangibilité du bilan d’ouverture : Le bilan d’ouverture correspond au bilan de clôture
de l’exercice précédent.
10/ Prééminence de la réalité économique sur l’apparence juridique (Substance over
form) : Les opérations sont enregistrées en comptabilité et présentées dans les états financiers
conformément à leur nature et à leur réalité financière et économique, sans s’en tenir
uniquement à leur apparence juridique.
11/ Principe de non compensation : Les compensations entre éléments d’actifs et éléments
de passif au bilan ou entre éléments de charges et éléments de produits dans le compte de
résultat, ne sont pas autorisées sauf si cette compensation est imposée ou autorisée par le
présent règlement.
12/ Image fidèle : Les états financiers doivent donner une image fidèle de la situation
financière de l’entité.
L’image fidèle implique notamment le respect des règles et des principes comptables.
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P Fiabilité : La fiabilité d’une information repose sur l’absence d’erreurs ou de biais
significatifs. Une information financière fiable doit être :
- Une information reflétant l’image fidèle: l’information doit présenter une
image fidèle des transactions et autres événements qu’elle vise à présenter ou
dont on s’attend raisonnablement à ce qu’elle les présente.
- Une information respectant la prééminence de la substance sur la forme :
Les transactions et évènements doivent être comptabilisés et présentés
conformément à leur substance et leur réalité économique et non pas seulement
au regard de leur forme juridique.
- Exemple : Sur un plan juridique, un crédit-bail est un contrat de location d’un
bien mobilier ou immobilier pour une période donnée avec une option de rachat
en fin de contrat et, pendant la durée du contrat, le bailleur reste propriétaire du
bien.
- Or, d’un point de vue économique, pour le preneur du bien en crédit-bail, il
s’agit d’une opération d’acquisition d’un bien mobilier ou immobilier assortie
d’un financement spécifique.
- Une information neutre: l’information contenue dans les états financiers doit
être présentée sans partis pris. Elle ne doit pas influencer les prises de décisions
ou le jugement afin d’obtenir un résultat ou une issue prédéterminée.
- Une information exhaustive: l’information présentée doit être exhaustive de
telle sorte qu’une omission ne puisse rendre l’information fausse ou trompeuse.
- Une information prudente: le principe de prudence nécessite de prendre en
compte un certain degré de précaution dans l’exercice des jugements nécessaires
pour préparer les estimations dans des conditions d’incertitude de façon à ce que
les actifs ou les produits ne soient pas surévalués et que les passifs ou les charges
ne soient pas sous-évalués.
Comparabilité : Les utilisateurs doivent être informés de tous les éléments
susceptibles d’altérer la comparabilité des états financiers. Les utilisateurs doivent
pouvoir comparer les états financiers :
- Dans le temps pour une même entreprise.
- Avec les états financiers d’autres structures.
Célérité : Les utilisateurs souhaitent obtenir les informations le plus tôt possible. Il
faut donc parfois arbitrer entre fiabilité et pertinence.
Ratio coût / avantages : Les coûts nécessaires pour produire une information doivent
être inférieurs aux avantages liés à cette information.
Équilibre entre les caractéristiques qualitatives: le but est d’atteindre un équilibre
approprié entre les caractéristiques qualitatives afin de satisfaire aux objectifs des
états financiers. C’est souvent une affaire de jugement professionnel.
Image fidèle /présentation fidèle: il doit résulter de l’application des principales
caractéristiques qualitatives et des dispositions normatives comptables, une
présentation des états financiers donnant une image fidèle de la situation financière,
de la performance et des variations de la situation financière de l’entreprise.
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9. Les méthodes d’évaluation :
P le coût historique :
Les actifs sont comptabilisés pour le montant de la trésorerie ou d’équivalent de trésorerie
payé ou pour la juste valeur de la contrepartie donnée pour les acquérir au moment de leur
acquisition.
Les passifs sont comptabilisés pour le montant des produits reçus en échange de
l’obligation, ou de certaines circonstances (par exemple les impôts sur le résultat), pour le
montant de trésorerie ou d’équivalents de trésorerie que l’on s’attend à verser pour
éteindre le passif dans le cours normal de l’activité.
P le coût actuel :
Les actifs sont comptabilisés pour le montant de la trésorerie ou d’équivalents de
trésorerie qu’il faudrait payer si le même actif ou un actif équivalent était acquis
actuellement. Les passifs sont comptabilisés pour le montant non actualisé de trésorerie ou
d’équivalents de trésorerie qui serait nécessaire pour régler l’obligation actuellement.
P la valeur actuelle :
Les actifs sont évalués pour la valeur actualisée des entrées nettes futures de trésorerie que
l’élément génère dans le cours normal de l’activité. Les passifs sont comptabilisés à la
valeur actualisée des sorties de trésorerie nettes futures que l’on s’attend à devoir
consentir pour éteindre les passifs dans le cours normal de l’activité.
Un concept financier de capital est adopté par la plupart des entreprises pour préparer
leurs états financiers. Selon un concept financier de capital, tel que celui de l'argent
investi ou du pouvoir d'achat investi, le capital est synonyme d'actif net ou de capitaux
propres de l'entreprise.
Selon un concept physique de capital, tel que la capacité opérationnelle, le capital est
considéré comme la capacité productive de l'entreprise, fondée, par exemple, sur les
unités produites par jour.
Le choix du concept de capital approprié pour une entreprise doit être fondé sur les
besoins des utilisateurs de ses états financiers.
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En termes généraux, une entreprise a maintenu son capital si elle a autant de capital à la
clôture de l'exercice qu'elle en avait à l'ouverture de l'exercice.
La loi 07- 11 du 25 novembre 2007 portant système comptable financier a défini en premier
lieu le cadre conceptuel du nouveau référentiel comptable qui s’apparente au référentiel
international à quelque spécificité près, essentiellement due à la réalité économique national et
du fait de l’inexistence d’un véritable marché financier.
Cette loi défini en premier lieu, les personnes sujette du nouveau cadre comptable « …à toute
personne physique ou morale astreinte par voie légale ou réglementaire à la mise en place
d’une comptabilité financière sous réserve des dispositions qui lui sont spécifiques… ». Tout
en excluant Les personnes morales soumises aux règles de la comptabilité publique. Cette
mesure implique l’application du nouveau cadre comptable dans les comptes sociaux que se
soit individuel ou de groupes de société a pied d’égale. C’est a l’inverse de se qui a été
appliqué dans la majeur partie des pays de l’union européenne notamment celui de la France «
Plan comptable général » ou l’application de 2005 n’a concerné que les groupes de société
coté en bourse et par option pour les groupe non coté
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il est probable que tout avantage économique futur qui lui est lié ira à l'entreprise ou
en proviendra ;
et
l'article a un coût ou une valeur qui peut être évalué de façon fiable.
Un article qui possède les caractéristiques essentielles d'un élément mais qui ne satisfait pas
aux critères de comptabilisation peut néanmoins mériter une information dans les notes
annexes, textes explicatifs ou tableaux supplémentaires.
1. Bilan :
Le bilan est un état récapitulatif des actifs, des passifs et des capitaux propres de l’entité à une
date donnée.
• Actifs
• Passifs
• Capitaux propres
La présentation des actifs et des passifs dans le corps du bilan fait ressortir la distinction entre
éléments courants et éléments non courants.
Actifs : ce sont des ressources contrôlées par l’entité du fait d’évènements passés et
dont elle attend des avantages économiques futurs.
Un avantage économique est le potentiel qu’un actif contribue directement ou indirectement
à des flux de trésorerie.
Les actifs courants sont :
- l’actif que l’entité s'attend à pouvoir réaliser, vendre ou consommer dans le cadre de
son cycle d'exploitation normal.
- L’actif que l’entité s'attend à réaliser dans les douze mois suivant la date de clôture.
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Passif : c’est Une obligation actuelle de l’entité résultant d’évènements passés et dont
l’extinction devrait se traduire pour l’entité par une sortie de ressources.
Une obligation consiste dans le devoir ou la responsabilité d’agir ou de faire quelque chose
d’une certaine façon.
Les passifs courants sont :
- Le passif que l’entité s’attend à régler dans le cadre de son cycle d'exploitation
normal.
- Le passif qui doit être réglé dans les douze mois après la date de clôture.
- Le passif pour lequel l’entité ne dispose pas d’un droit inconditionnel pour en différer
le règlement au moins douze mois après la date de clôture.
Tous les autres passifs doivent être classés en tant que passifs non-courants.
Les capitaux propres : sont l’intérêt résiduel dans les actifs de l’entreprise après
déduction de tous ses passifs.
2. Le compte de résultat :
Le compte de résultat est un état récapitulatif des charges et des produits réalisés par l’entité
au cours de la période considérée.
Produits – Charges = Résultat.
• Charges
• Produits
• Résultat net
5. L’annexe
L’annexe est un document de synthèse, faisant partie des états financiers. Elle fournit les
explications nécessaires pour une meilleure compréhension du bilan et du compte de résultat
et complète autant que de besoin les informations utiles aux lecteurs des comptes.
Les éléments d’information chiffrés de l’annexe sont établis selon les mêmes principes et dans
les mêmes conditions que ceux figurant sur les autres documents constituant les états
financiers.
Une inscription dans l’annexe ne peut cependant en aucun cas se substituer à une inscription
dans un des autres documents des Etats Financiers.
L’annexe comporte des informations portant sur les points suivants, dès lors que ces
informations présentent un caractère significatif ou sont utiles pour la compréhension des
opérations figurant sur les états financiers :
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2. Compléments d’information nécessaires à une bonne compréhension du bilan, du
compte de résultat, du tableau des flux de trésorerie et de l’état de variation des
capitaux propres,
3. Informations concernant les entités associées, filiales ou société mère ainsi que les
transactions ayant éventuellement eu lieu avec ces entités ou leurs dirigeants :
4. Informations à caractère général ou concernant certaines opérations particulières
nécessaires à l’obtention d’une image fidèle.
Deux critères essentiels permettent de déterminer les informations à faire figurer dans
l’annexe :
- le caractère pertinent de l’information,
- son importance relative.
- Un compte de résultats ;
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