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CENTRE DOCUMENTATION - VEILLE RÉGLEMENTAIRE : DOCUMENTS TECHNIQUES RÉGLEMENTAIRES

MINISTERE DE L'HABITAT ET DE L'URBANISME

DOCUMENT TECHNIQUE REGLEMENTAIRE


D.T.R. - B.E. 2.1 a

REGLES D'EXECUTION DES CHAPES


ET DALLES À BASE DE LIANTS
HYDRAULIQUES

CENTRE NATIONAL DE RECHERCHE APPLIQUEE EN GENIE-PARASISMIQUE

Rue Kaddour RAHIM (Prolongée) B.P. 252 HUSSE!N-DEY - ALGER


Tél. : 213 (0) 21.49.55.60. à 62 - Fax : 213 (0) 21.49.55.36
E.Mail : cgsd@cgs-dz.org ; cgsd@wissal.dz
Web : www.cgs-dz.org

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ARRÊTÉ DU 5 SAFAR 1425 CORRESPONDANT AU 27 MARS 2004 PORTANT


APPROBATION DU DOCUMENT TECHNIQUE RÉGLEMENTAIRE DTR BE 2.1a
INTITULÉ « REGLES D'EXÉCUTION DES CHAPES ET DALLES À BASE DE LIANTS
HYDRAULIQUES »

Le ministre de l'habitat et de l'urbanisme,

− Vu le décret n° 85-71 du 13 avril 1985, modifié et complété, portant création du centre


de recherche appliquée en génie parasismique ;
- Vu le décret n° 86-213 du 19 août 1986 portant création de la commission technique
permanente pour le contrôle technique de la construction ;
− Vu le décret présidentiel n° 03-215 du 7 Rabie El Aouel 1424 correspondant au 9 mai
2003, modifié portant nomination des membres du Gouvernement ;
− Vu le décret exécutif n° 92-176 du 4 mai 1992 fixant les attributions du ministre de
l'habitat ;

Arrête
Article 1er: Est approuvé le document technique réglementaire DTR BE 2.1a intitulé «
règles d'exécution des chapes et dalles à base de liants hydrauliques » annexé
à l'original du présent arrêté.

Article 2 : Les dispositions du document technique réglementaire, visé à l'article 1e'


Ci-dessus, sont applicables à toute nouvelle étude, trois (3) mois après
La date de publication du présent arrêté au Journal Officiel de la
République Algérienne Démocratique et Populaire.

Article 3 : Les maîtres d'ouvrage, les maîtres d'oeuvre les entreprises de réalisation, les
organismes de contrôle et d'expertise sont tenus de respecter les dispositions
du document technique réglementaire suscité.

Article 4 : Le centre national de recherche appliquée en génie parasismique (CGS) est


chargé de l'édition et de la diffusion du document technique réglementaire, objet
du présent arrêté.

Article 5 : Le présent arrêté sera publié au Journal Officiel de la République Algérienne


Démocratique et Populaire.

Fait à Alger, le 5 Safar 1425


correspondant au 27 Mars 2004

Mohamed Nadir HAMIMID

VI

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GROUPE DE TRAVAIL SPECIALISE (GTS)

PRESIDENT :
BELAZOUGUI Directeur du CGS
Mohamed

RAPPORTEUR:
Chef-de service Réglementation Technique au CGS
BOUCHEFA Ouahiba

MEMBRES :
AMEUR Boualem Chef de Dpt Réglementation Technique et
Réduction du Risque Sismique (DRS) au CGS
BELAZOUGUI Directeur du CGS
Mohamed
Représentant du CTC - Chlef
BOUAZGHI Mohamed
Chef de service Réglementation Technique
BOUCHEFA Ouahiba Au CGS
Attaché de Recherche CGS
BOUKHENFOUF
Hakim Représentant du SORT / MIHAB

CHERRERED Malek Représentante du CNIC

DJEDAI Anissa Représentant du CTC Ouest

HAJJI Lahouari Représentant du CNERIB

IDIR Mustapha Représentant du CTC Est

MEZIANI Khaled Directeur Technique du CTC-Sud

NASRI Kamal Chef de service Vulnérabilité au CGS

REMAS Abdelkader

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S O M M A I R E

CHAPITRE 1 : GENERALITES
1.1. Objet et domaine d'application 1
1.2. Fonctions et exigences à satisfaire 1
1.3, Définitions 2
1.31. Formes 2
1.311. Formes sous carrelages scellés à l'intérieur du bâtiment 2
1.312. Les formes de pentes 3
1.313. Formes utilisées pour atteindre la côte de niveau souhaitée 3
1.314. Formes localisées de faibles dimensions 4
1.32. Chapes et dalles adhérentes 4
1.321. Chapes adhérentes 4
1322. Dalles adhérentes 4
1.33. Chapes et dalles flottantes 4
1.34. Couches intermédiaires 4

CHAPITRE 2 : MATERIAUX
2.1. Liants hydrauliques et produits d'addition 5
2.11. Liants 5
2.12. Adjuvants et produits de cure 5
2.2. Sables, granulats et bétons 5
2.3. Eau de gâchage 5
2.4. Couches intermédiaires 5
2.40. Généralités 5
2.41. Couches de désolidarisation 5
2.42. Couches de glissement 6
2.43. Couches isolantes 6
2.431. Compressibilité des couches isolantes 6
2.432. Définition de l'essai 7

CHAPITRE 3 : EXECUTION DES OUVRAGES


3.1. Prescriptions communes 8
3.11. Nettoyage du support 8
3.12. Joints du support 8
3.13. Précautions contre la dessiccation 8
3.2. Formes utilisées pour atteindre la côte de niveau souhaitée 9
3.3. Chapes incorporées 9
3.31. Constitution 9
3.32. Exécution 9
3.4. Chapes et dalles rapportées adhérentes 9

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3.41. Cas général 9


3.411. Etat du support 9
3.412. Constitution 9
3.413. Epaisseur 10
3.414. Exécution 10
3.415. Joints de fractionnement 10
3.42. Cas particulier des formes de pentes destinées à recevoir
Des revêtements d'étanchéité 10
3.421. Etat du support 10
3.422. Constitution 11
3.423. Finition 11
3.5. Chapes et dalles flottantes 11
3.51. Etat de surface du support 11
3.52. Mise en place de l'isolant 11
3.53. Constitution 11
3.54. Joints de fractionnement des chapes 11
3.55. Epaisseur des chapes flottantes 12

CHAPITRE 4 : TOLERANCES ET ETATS DE SURFACE


4.1. Dalles 13
4.2. Dalles destinées à recevoir des revêtements de sol 13
4.3. Chapes 13
4.31. Chapes incorporées 13
4.32. Chapes rapportées 14
4.321. Cas général 14
4.222. Cas particulier 14

IX

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CHAPITRE I
GENERALTES

1.1. OBJET ET DOMAINE D'APPLICATION


Le présent document a pour objet de préciser les prescriptions d’exécution des formes,
chapes et dalles dont les définitions sont données en 1.3
Ces formes, chapes et dalles complètent le gros oeuvre sur lequel elles reposent, soit
directement, soit par interposition d'une couche intermédiaire de désolidarisation,
d'isolation ou de glissement telle que définie en 1.3.
Le présent document s'applique aux travaux exécutés à l'intérieur des bâtiments d'usage
courant, tels que les logements, les bâtiments scolaires et hospitaliers, les immeubles de
bureaux, etc.
Pour les autres bâtiments (par exemple bâtiments à usage industriel agricole, aires
sportives etc.), si les exigences sont les mêmes que celles des bâtiments courants, les
prescriptions du présent document s'appliquent; si !es exigences sont différentes, les
prescriptions du présent document ne les concernent pas.
Le présent document se limite à l'exécution des formes, chapes et dalles; Il est nécessaire
de se référer aux documents techniques réglementaires concernant les ouvrages auxquels
ils sont associés.

1.2. FONCTIONS ET EXIGENCES À SATISFAIRE


Les formes, dalles et chapes appliquées directement ou non sur le support sont
destinées, soit à rester bruts, soit à recevoir au moment de l'exécution ou après exécution
un traitement de surface comme suit :
Au moment de leur exécution
Un traitement de surface (par exemple incorporation de granulats) après
exécution :
- un traitement de surface (par exemple imprégnation)
- ou une couche de finition
- ou un revêtement de sol (y compris enduit de lissage éventuel)
- ou un revêtement d'étanchéité
Ils doivent assurer :
- la mise à niveau, le profil ou l'état de surface compatibles avec les revêtements qui les
complètent dans les limites de leurs tolérances.
- la transmission au support des charges permanentes et d'exploitation, on, compte tenu
de la couche intermédiaire éventuelle.
- enfin, le cas échéant, une participation à l'isolation acoustique ou thermique des locaux
concernés.

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1.3. DEFINITIONS

1.31. Formes
On désigne, sous le terme général de forme, les ouvrages complémentaires dont
l'épaisseur peut être variable d'un point à un autre; ces ouvrages sont destinés à
recevoir par exemple une chape, un carrelage scellé, un revêtement d'étanchéité.
On distingue les formes suivantes

1.311. Formes sous carrelages scellés à l'intérieur du bâtiment


Lorsqu'elles sont exécutées sur plancher courant, on distingue les différents types de
forme suivants :
A) lit de sable, de classe 0,05 mm de 2 cm d'épaisseur maximale, employé à l'état
sec,
B) lit de 2 cm d'épaisseur en pierre concassée (calcaire, granit, basalte, porphyre,
pouzzolane, silex, grès, etc..) dit "grain de riz", de granularité 2 à 5 mm,
Remarque :
Pour les formes A et B, une surépaisseur ou un excès d'humidité peut entraîner des
désordres.
C) lit de sable de classe 0,05 mm de 3 à 4 cm d'épaisseur maximale stabilisé par
100/150 kg de liant hydraulique par ma de sable sec.
D) mortier ou béton maigre, de 4 à 6 cm d'épaisseur, dosé soit à 175/200 kg de ciment
par m3 ou à environ 300 kg de chaux hydraulique par m3 de sable sec,
E) 3 à 5 cm de mortier de ciment dosé à environ 300 kg/m3, éventuellement avec
armature de treillis soudé en acier doux :
- maille maximale : 50 x 50 mm,
- masse minimale au m2 : 220 g,
Par exemple, le treillis soudé 0,9 mm x 0,9 mm en mailles de 50 mm x 50 mm pèse
environ 220 g au m2.
F) 4 à 6 cm de mortier de ciment armé dosé à environ 300 kg/m3 avec armature de
treillis soudé :
- maille maximale : 100 x 100 mm,
- masse minimale au m2 : 325 g,
Par exemple, le treillis soudé 1,4 mm x 1,8 mm en mailles de 100 mm x 100 mm pèse
environ 335 g au m2.
G) 4 à 6 cm de béton ou mortier, dosé à environ 300 kg/m3, avec armature :
- maille minimale : 50 x 50 mm,
- masse minimale au m2 : 650 g,
Par exemple, le treillis soudé 1,4 mm x 1,8 mm en mailles de 50 x 50 mm pèse
environ 670 g au m2.
Le tableau ci-dessous précise les types de forme et les données relatives au mortier de
pose, compatibles avec les différents isolants.
Ces critères sont donnés pour des locaux à usage d'habitation (charge unitaire
maximale de 250 daN/m2).

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Isolant
Classe (de compressibilité Mode de pose Types de forme Mortier de pose
compressibilité) (1) (1) (2)

I Diminution Pose directe Epaisseur 4 à 5


d'épaisseur possible cm avec armature
≤0.5mm Epaisseur
supérieure à 5 cm
sans armature
Il Diminution Pose directe E La pose est
d'épaisseur non admise + armature (3) assimilée
≤3 mm Forme sur isolant à la pose sur
support
III Diminution F ou G selon le
d'épaisseur format des
≤12 m carreaux (4)

(1). Les propriétés mécaniques en compression des produits sont déterminées


conformément à la norme en vigueur.
( 2 ) . La compressibilité est déterminée suivant 2.431
C'est ainsi que :
• Les produits classés 14 et 15 présentent respectivement une diminution
d'épaisseur inférieure à 0.5 et 0.3 mm; Les produits 15 présentent par ailleurs
par rapport au produit 14 des caractéristiques améliorées vis à vis du fluage à
long terme et de la résistance au poinçonnement
• Les produits classés 13 présentent une diminution d'épaisseur inférieure à 3
mm
• Les produits classés 12 présentent une diminution inférieure à 12 mm
(3). Seul cas où l'armature n'est pas nécessaire, on pose des carreaux de format
?100 cm2 avec fractionnement de la surface carrelée tous les 15 m
(4). La forme G est réservée aux carreaux de très petites dimensions format < 100
cm

1.312. Les Formes de pentes


D'épaisseur variable, elles sont destinées à favoriser l'écoulement des eaux;
Généralement exécutées en toitures-terrasses, elles reçoivent dans ce cas soit
l'étanchéité directement appliquée et sa protection éventuelle, soit les panneaux
isolants supports d'étanchéité.
Elles peuvent être :
- soit monolithes et adhérentes à l'élément porteur -
soit fractionnées sur panneaux isolants

1.313. Formes utilisées pour atteindre la côte de niveau souhaitée


(ravoir ages)
Ces formes appelées ravoir ages, sont réalisées en mortier maigre, sable ou sable
stabilisé; On y incorpore, le cas échéant, des canalisations; Ces formes peuvent
recevoir, soit un revêtement de sol scellé, soit une chape elle-même destinée à
recevoir un revêtement de sol collé.
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1.314. Formes localisées de faibles dimensions (appelées " besaces ")

1.32. Chape et dalles adhérentes

t321. Chapes adhérentes


On distingue
− Chapes incorporées
Ouvrages de finition constitués par un apport de mortier de ciment de granulométrie
fine, appliqué avant que le béton du support ait fait sa prise puis dressé à la règle,
taloché et éventuellement lissé.
− Chapes rapportées adhérentes
Ouvrages en mortier de ciment, exécutés au plus tôt après que le béton du support ait
commencé son durcissement puis dressés à la règle, talochés et éventuellement
lissés. C'est le cas des ouvrages d'interposition nécessaires en cas de support en
béton brut ou en béton surfacé courant devant recevoir un revêtement de sol mince
collé.

1.322. Dalles adhérentes

Ouvrages en béton armé ou non renforçant un plancher existant.

1.33. Chapes et dalles flottantes


Ouvrages complètement désolidarisés des parois verticales et des ouvrages sur
lesquels ils reposent par l'intermédiaire d'une couche de désolidarisation, de glis-
sement ou d'isolation, telle que définie ci-après.
On distingue :
- Les chapes flottantes réalisées en mortier de ciment avec ou sans armature.
- Les dalles flottantes réalisées en béton armé ou non

L34. Couches intermédiaires


Ces couches sont disposées entre l'ouvrage et le support.
On distingue :
- La couche de désolidarisation
Cette couche est destinée à désolidariser la forme, la chape ou la dalle du support,
afin de réduire les effets des variations dimensionnelles différentielles et des défor-
mations.
- La couche de glissement
Cette couche est destinée à permettre la désolidarisation et le glissement des dalles
flottantes par rapport à leur support.
- La couche isolante
Cette couche est destinée à atteindre les performances d'isolation thermique et/ou
acoustique requises.

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CHAPITRE 2
MATERIAUX

2.1. LIANTS HYDRAULIQUES ET PRODUITS D'ADDITION

2.11. Liants
Les liants hydrauliques doivent être choisis parmi ceux qui répondent aux spécifi-
cations de la norme algérienne "liants hydrauliques Définitions Classification et
Spécifications des ciments NA 442-1992", et suivant les prescriptions du chapitre 3.

2.12. Adjuvants et produits de cure


Les adjuvants pour mortiers et bétons doivent répondre à la définition de la norme
NA 775-1990.
D'autres produits ayant fait l'objet d'essai de convenance peuvent être utilisés
notamment pour améliorer l'adhérence.

2.2. SABLES, GRANULATS ET BÉTONS


Les sables, granulats et bétons utilisés doivent répondre aux spécifications précisées
dans les normes en vigueur; on peut citer les normes suivantes :
NA 2592-1992 relative au laitier expansé
NA 2596-1992 relative aux bétons prêts à l'emploi
NA 2593-1992 relative aux bétons de construction de laitier granulé
Autres normes agréées.

2.3. EAU DE GACHAGE


L'eau de gâchage doit satisfaire aux dispositions de la norme y afférente.

2.4. COUCHES INTERMÉDIAIRES

2.4Q. Généralités
Les matériaux constituant les couches intermédiaires doivent être imputrescibles dans
les conditions de leur emploi.

41. Cou2.ches de désolidarisation

- Film de matière plastique 90 p minimum


- Lit de sable (018) de 1 cm d'épaisseur
- Feutre bitumé type 36-S (norme NA 922-1990).

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2.42. Couches de glissement


- Panneaux isolants imputrescibles pour plancher -terrasse
- Sable complété par une couche continue de désolidarisation pour plancher courant.

2.43. Couches isolantes


Les divers types sont constitués notamment de :
1. Bétons de granulats légers (pouzzolane, laitier, argile de verre ou schiste expansé
avec un liant hydraulique)
2. Bétons de granulats très légers (par exemple liège ou vermiculite)
3. Bétons cellulaires (utilisés en plaques préfabriquées)
4. Roches micacée exfoliée bitumée compactée, qui peuvent servir de couche de
désolidarisation
5. Granulats de verre expansé, argile ou schiste expansé
6. Asphalte coulé, qui peut servir de couche de désolidarisation
7. Panneaux de polyuréthanne, polystyrène expansé, polystyrène extrudé, perlite
cellulose, verre cellulaire, liège expansé (qui peut servir de couche de désolida-
risation), fibres minérales
8. Rouleaux de fibres minérales ou végétales (qui peuvent servir de couche de
désolidarisation), rouleaux de mousse de polyéthylène

Les cas (1), (2), (4) peuvent servir de formes utilisées pour atteindre la cote de niveau
souhaitée (ravoir age).

2.431. Compressibilité des couches isolantes


Les couches isolantes visées dans le présent document sont divisées en 3 catégories
suivant le tassement observé sous charge dans les conditions de l'essai défini en 2.432.
Les catégories sont classées sous la dénomination :
Compressibilité I : tassement observé ≤ 0.5 mm
Compressibilité Il : 0.5 < tassement observé ≤3 mm
Compressibilité III : 3 < tassement observé ≤12 mm
Cette "compressibilité" caractérise non pas le matériau constitutif mais la (ou les)
couche(s) isolante(s) elle(s) même(s) compte tenu de son épaisseur d'emploi, de sa
densité, de son mode de fabrication et de sa forme.
Le tassement peut donc changer notamment suivant l'épaisseur de la couche.
Les isolants d'épaisseur inférieure ou égale à 3 mm restent dans la catégorie "com-
pressibilité I".
Le tassement des isolants de plus de 15 mm d'épaisseur classés en catégorie
"compressibilité Ill" ne doit pas excéder 50 % de leur épaisseur.

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2.432. Définition de l'essai

L'essai sur éprouvette est défini comme suit :


Celle-ci est constituée par un élément de 30 x 30 cm découpé dans l'isolant. L'éprouvette,
placée entre deux plaques carrées, à bords vifs, est soumise à une compression
croissante.
Les dimensions des plaques intérieure et supérieure sont respectivement de:
1) 35cm x 35cm
2) 20cm x 20cm
Le chargement est réalisé en 5 paliers :
- une pré charge de 0.01 bar est appliquée pendant une heure; à l'issue de ce délai, le
comparateur de mesure de l'affaissement est réglé à 0.
- La pression, augmentée jusqu'à 0.1 bar, est appliquée pendant 24 heures. La lecture du
comparateur est effectuée après ce délai.
- Augmenter de la même façon la charge jusqu'à 0.2 puis 0.3 et enfin 0.4 bar avec un délai
de 24 heures de maintien de chaque palier.
La valeur du tassement est relevée pour 0.4 bar.
Elle est exprimée en millimètres, à la décimale près.

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CHAPITRE 3
EXECUTION DES OUVRAGES

3.1. PRESCRIPTIONS COMMUNES


Les travaux d'exécution des chapes et dalles à base de liants hydrauliques doivent
respecter les prescriptions communes suivantes :

3.11. Nettoyage du support


Le support doit être nettoyé des dépôts, déchets, pellicules de plâtre ou autres matériaux
provenant des travaux des différents corps d'état. Les fourreaux doivent être placés
avant le début de l'exécution des travaux.

3.12. Joints du support


Lorsqu'il existe des joints de construction dans le support, ces joints doivent être
prolongés dans les formes, chapes et dalles.

Joint

3.13. Précautions contre la dessiccation


La surface du béton ou du mortier frais doit être protégée en fonction des conditions
climatiques pour limiter l'évaporation de l'eau aux premiers âges.
Cette prescription concerne particulièrement les surfaces exposées au soleil et au vent.

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Les précautions habituelles de chantier comprennent notamment :


• L'arrosage de la surface
• L'application de produits de cure par pulvérisation sur la surface du béton ou du mortier
frais.
• Les paillassons.

3.2. FORMES UTILISÉES POUR ATTEINDRE LA CÔTE DE NIVEAU


SOUHAITÉE (RAVOIRAGE)
Ces formes sont exécutées :
- en sable
- en sable stabilisé (100 kg de ciment par mètre cube au minimum)
- en mortier maigre (150 kg de ciment par mètre cube de mortier au minimum)
Elles incorporent, le cas échéant, les canalisations posées sur le support.

3.3. CHAPES INCORPORÉES

3.31. Constitution
Le dosage en ciment du mortier de la chape incorporée est au moins égal à celui du
béton du support avec un minimum de 350 kg de ciment CPA 325 par mètre
Cube de mortier.

3.32. Exécution
Le mortier de la chape est étalé, avant durcissement du béton du support sur une surface
rugueuse ou rendue telle par griffage, puis réglé, taloché et éventuellement lissé en
fonction de l'état de surface désiré.

3.4. CHAPES ET DALLES RAPPORTÉES ADHÉRENTES


3.41. Cas général

3.411. Etat du support


Après nettoyage la surface doit être rendue rugueuse par des moyens manuels ou
mécaniques.
Après ce traitement, la surface doit être à nouveau nettoyée soigneusement, notamment
pour enlever la poussière dégagée par le traitement.
Elle doit être ensuite humidifiée ou traitée avec des produits d'accrochage.
3.412. Constitution
Le dosage du mortier est de 350 kg de ciment par mètre cube de mortier au minimum.
Le dosage du béton est de 350 kg de ciment par mètre cube de béton au minimum.

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3.413. Epaisseur
Les épaisseurs inférieures à 1 cm ne sont pas traitées dans le présent document.
Entre 1 et 3 cm, on utilise du mortier avec incorporation d'adjuvants ou de produits
spécifiques. Au-dessus de 3 cm d'épaisseur on utilise du mortier ou du béton.

3.414. Exécution
Le mortier ou le béton est étalé sur la surface du support, damé puis réglé et taloché
et éventuellement lissé suivant l'état de surface désiré.

3.415. Joints de fractionnement


Autre les joints de construction du support, des joints de fractionnement sont exé-
cutés :
- tous les 25 m2 et au plus tous les 8 m si la surface est destinée à rester nue ou à
recevoir un film de peinture.
- tous les 50 m2 et au plus tous les 10 m dans les autres cas.
Ils sont ménagés aux reprises de coulage et/ou en fonction de la configuration géo-
métrique des ouvrages.
Les joints aux reprises de coulage sont traités en joints secs.
Les joints de fractionnement sont exécutés :
- à sec
- par sciage mécanique
- par profilé plastique
Ils intéressent :
- la hauteur de la dalle ou de la chape, ou une partie de cette hauteur avec un mini-
mum de 3 cm.

3.42. Cas particulier des formes de pentes destinées à recevoir des


revêtements d'étanchéité
La forme est réalisée :
- en béton de gravillon, quand son épaisseur est supérieure à 3 cm.
- en mortier de sable et ciment, quand son épaisseur est comprise entre 1 et 3 cm.
- les épaisseurs inférieures à 1 cm ne sont pas admises.
- l'épaisseur maximale des formes en mortier est de 3 cm; ces formes sont réser-
vées :
• aux ragréages ou aux recharges localisées
• aux zones de raccordement (évacuations d'eaux pluviales, etc.)

• aux ouvrages de faibles dimensions (balcons, loggias).

3.421. Etat du support


Les prescriptions de l'article 3.411 "état du support" sont applicables.

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3.422. Constitution
Le dosage en ciment des formes de pente en béton est compris entre 200 et 250 kg
de ciment CPA 325 par mètre cube.
Le dosage en ciment des formes de pente de faible surface en mortier est de 350 kg
de ciment CPA 325 par mètre cube.

3.423. Finition
Le dressement de la surface de la forme est obtenu par réglage et talochage
manuel ou mécanique quand la granulométrie le permet ou par l'exécution d'une
chape incorporée en mortier de ciment.
3.5. CHAPES ET DALLES FLOTTANTES

3.51. Etat de surface du support

L'état de surface du support est :

- le béton brut quand il est prévu pour atteindre la côte de niveau souhaitée ou une
pose d'isolant susceptible de s'adapter à ce support.

- le béton surfacé courant dans les autres cas.

3.52. Mise en place de l'isolant


La mise en place doit être faite de façon à obtenir une continuité de l'isolation.
Des précautions doivent être prises pour empêcher la pénétration de la laitance
dans les joints entre panneaux où entre rouleaux.
Des dispositions doivent être prises au pourtour pour désolidariser les chapes ou
dalles des parois et autour des pénétrations .Parmi les solutions envisageables, on
peut utiliser une bande autocollante résiliente.

3.53. Constitution
Le dosage en ciment des chapes flottantes en mortier ou béton est de 350 kg de
ciment de classe 45 par mètre cube de mortier ou béton.

3.54. Joints de fractionnement des chapes


Outre les joints de construction du support, des joints de fractionnement sont exé-
cutés tous les 50 m2 et au plus tous les 10 m.
Ils sont ménagés aux reprises de coulage et/ou en fonction de la configuration géo-
métrique des ouvrages.
Les joints aux reprises de coulage sont traités en joints secs.
Les joints de fractionnement sont exécutés :
- à sec
- par sciage mécanique
- par profilé plastique

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Ils intéressent la hauteur de la chape ou une partie de cette hauteur avec un minimum de
3 cm.

3.55. Epaisseur des chapes flottantes


Les épaisseurs de chapes sont indiquées en valeur minimale.
Pour respecter en tout point cette épaisseur minimale, l'épaisseur d'exécution est
supérieure, et il faut donc en tenir compte pour les réservations.
Le tableau suivant concerne les bâtiments à usage d'habitation et les bureaux, les cloisons
étant montées avant mise en place de l'isolant et de la chape.

Isolant Chape
Classe d e Epaiss Armature
compressibilité eur
I épaisseur ≤3 mm 3 0,9 x 0,9150 x 50 (220 g/m2)
4 possibilité de ne pas mettre d'armature
tassement ≤0,5 mm 4 0,9 x 0,9150 x 50 (220 g/m2)
et épaisseur > 3 mm 5 possibilité de ne pas mettre d'armature

II 0,5 < tassement ≤3 mm 4 0,9 x 0,9 / 50 x 50 (220 g/m 2)


5 possibilité de ne pas mettre d'armature pour
des isolants de classe Il et d'épaisseur s12
mm
III 3 < tassement ≤.12 mm 4 1,4 x 1,8 / 100 x 100 (335 gfm 2)
5 0,9 x 0,9/ 50 x 50 (220 glm 2)

Dans le cas particulier où des cloisons légères (150 kg/m) sont montées après exécution
de la chape, l'épaisseur minimale de celle-ci est de 5 cm avec armatures 0,9 x 0,9 / 50 x
50 pour des isolants de classe I et Il et de 6 cm pour des isolants de classe III.
Si des cloisons d'un poids compris entre 150 et 200 kg/m sont montées après exécution
de la chape, les prescriptions du paragraphe précédent sont complétées par un
renforcement transversal d'armatures au droit de ces cloisons.

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CHAPITRE 4
TOLERANCES ET ETATS DE SURFACE

4.1. DALLES
Les tolérances d'exécution des dalles sont définies,dans le cas général, par référence aux
tolérances d'exécution des ouvrages en béton armé du DTR BE 2.1 "Exécution des
ouvrages en béton armé".

4.2. DALLES DESTINÉES À RECEVOIR DES REVÊTEMENTS DE SOL SCELLÉS


Dans le cas particulier de formes ou dalles destinées à recevoir des revêtements de sol
scellés, les tolérances d'exécution sont définies ci-après :

Caractéristiques

Matériaux Planéité Niveau (2) Alignement des


(1) en mm joints (3) en mm

Grès cérames ≤2
Carreaux ≤3 10
Eléments 10 ≤2
10 ≤2
Grès étiré ≤3
≤3 ≤2
Terre cuite 10
Carreaux à liant ≤2
Ciment ≤3 10
Pierres ≤3 10 ≤2
Formes ≤3 10 _
Régulières
Opus
10 _
Granito ≤3
(1) flèche maximale sous règle de 2 m à laquelle s'ajoute la toi~~rance
admise pour le matériau considéré.
(2) Ecart de la surface finie au niveau prévu.
(3) Ecart maximal sous règle de 2 m à laquelle s'ajoute la tolérance
admise pour le matériau considéré.

4.3. CHAPES

4.31. Chapes incorporées


Sous la règle de 2 m aucune flèche supérieure à 7 mm rie doit être observée après
déplacements en tous sens sur la surface du support.

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Sous le réglet de 0,20 m aucune flèche supérieure à 2 mm ne doit être observée


après déplacements en tous sens sur la surface du support.
L'état de surface obtenu après dressage à la règle, talochage manuel ou mécanique,
et lissage, est fin et régulier.

4.32. Chapes rapportées

4.321. Cas général

Sous la règle de 2 m aucune flèche supérieure à 5 mm ne doit être observée après


déplacements en tous sens sur la surface du support.
Sous le réglet de 0,20 m aucune flèche supérieure à 2 mm ne doit être observée
après déplacements en tous sens sur la surface du support.
L'état de surface obtenu après dressage à la règle, talochage manuel ou mécanique, et
lissage, au fer est lisse, fin et régulier.

4.322. Cas particulier où la chape est destinée à recevoir un revêtement de


sol collé ou une peinture :
Sous la règle de 2 m aucune flèche supérieure à 5 mm ne doit être observée après
déplacements en tous sens sur la surface du support.
Sous le réglet de 0,20 m aucune flèche supérieure à 1 mm ne doit être observée après
déplacements en tous sens sur la surface du support.
L'état de surface obtenu après dressage à la règle, talochage manuel ou mécanique, et
lissage, au fer est lisse, fin et régulier.

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TITRES DÉJÀ PARUS


DOCUMENTS TECHNIQUES REGLEMENTAIRES

D.T.R. - B.C.2.2 Charges permanentes et charges d'exploitation (1989)

D.T.R. - B.C.2.1 Principes généraux pour vérifier la sécurité des ouvrages


(1989).

D.T.R. - B. E.2.1 Règles d'exécution des travaux de construction des ouvrages


En béton armé (1991).

D.T.R. - B.E.1.2 Règles d'exécution des travaux de terrassement pour le


Bâtiment (1991).

D.T.R. - B.E.1.31 Règles d'exécution des travaux de fondations superficielles


(1991).

D.T.R. - B.E.2.2 Règles d'exécution des travaux de construction des parois et


Murs en béton banché (1991).

D.T.R. - B.C.2.33.1 Règles de calcul des fondations superficielles (1992).

D.T.R. - B.C.2.31 Dénomination provisoire des sols et des roches (1993).

D.T.R. - B.C.2.32 Méthodes de sondages et d'essais de sols (1992).

.D.T.R. - B.E.2.31 Travaux de fondations profondes (1994)

D.T.R. - B.C.2.33.2 Méthodes de calcul des fondations profondes (1994).

D.T.R. - B.C.2.41 Règles de conception et de calcul des structures en béton


Armé "C.B.A 93". (1994).

D.T.R. - B.E.11 Travaux de sondages et d'essais de sol (1995).

D.T.R. - B.C.2.43 Règles de conception et de calcul des structures


Métalliques (1999).

D.T.R. - B.C.2.42 Règles de conception et de calcul des parois et murs en


Béton Version révisée 1997 - (2000)

D.T.R. - B.C.2.48 Règles Parasismiques Algériennes - R.P.A. 99/ Version (2003).

D.T.R. - B.E. 2.1a Règles d'exécution des chapes et dalles à base de liants
Hydrauliques (2004).

D.T.R. - B.E. 2.1b Règles particulières d'exécution des dalles et voilées


D’escalier préfabriquées en béton armé posées sur
Appuis horizontaux (2004).

D.T.R. - B.E. 2.3 Règles générales pour la fabrication, le transport et la


Mise en oeuvres des murs extérieurs en panneaux
Préfabriqués (2004).

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Autres Publications

ƒ Contrôle de qualité des ouvrages de Génie Civil (1989) (1).


ƒ Calcul pratique des structures métalliques (1).
ƒ Actes des journées du séisme de Tipaza (1990).
ƒ Aléa sismique et micro zonage "cas de l'Algérie" (1991) (2).
ƒ Evaluation et vulnérabilité du risque sismique, en Algérie (1991).
ƒ Recommandations techniques pour la réparation et le renforcement des ouvrages
(1992).
ƒ Catalogue des méthodes de réparation et de renforcement. (1992).
ƒ Catalogue d'exemples de calcul du RPA 88 (1989).
ƒ Risque sismique en Algérie. (1994).
ƒ Comment se comporter en cas de séisme. (bilingue) (1994).
ƒ Guide de construction parasismique des maisons individuelles et bâtiments
Assimilés. (1994).
• Réglementation Technique Algérienne de Bâtiment (RETAB). (1998).
• Actes du Vème séminaire maghrébin de génie parasismique Tome 1 (1993).
• Actes du Vème séminaire maghrébin de génie parasismique Tome II (1993).
• Actes des journées d'études prévention et action post-sismiques (1990).
• Actes du premier colloque national de génie parasismique (1996) (3).
• Actes des journées du séisme de Béni-Chougrane (1998).
• Séisme du Chenoua rapport final (1995).
• Actes du deuxième colloque national de génie parasismique (2000).
• Séisme de Aïn Témouchent (rapport n° 2 - 2001).
• Séisme de Béni-Outilane (rapport n° 2 - 2001).

A PARAÎTRE

• Recommandations d'exécution des constructions en charpente métallique.


• Travaux de cuvelages.

(1 ) - Coédition OPU/CGS.
(2) - Titre épuisé.
(3) - Publication AGS diffusée par CGS.

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Composé par :
EI-Mokhtar BENBOUKHA
(Nassim-Print)

Imprimé par :
L’Office des Publications
Universitaires
(O.P.U.)

4eme Trimestre 2004

ISBN 9961-923-08-1
Dépôt légal 429-2000

Prix Public T.T.C. : 120 DA

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