La rationalité limitée et la théorie d’information
L’histoire de la pensée économique permet de mettre en évidence 3 principaux
courants autour duquel gravitent plusieurs théories et écoles de pensées, fournissant des explications alternatives aux problèmes économiques contemporaines, le sujets en question nécessite de mettre l’accent sur la NME, après de jeter un coup d’œil sur le modèle de CPP.
Alors, quelle est la place de la RL au niveau de la théorie d’information ?
En réaction à la problématique notre sujet sera décortiqué en adoptant le plan
suivant qui s’articule autour de deux axes fondamentaux :
Axe 1 : vue d’ensemble sur la rationalité illimitée
Axe 2 : la RL dans le cadre de la théorie d’information
Axe 1 : vue d’ensemble sur la rationalité illimitée :
Dans un contexte libéral ou l’intervention de l’Etat est néfaste pour l’économie,
le marché s’autorégule grâce a une main invisible et selon la loi de l’offre et de la demande.
A cet égard l’agent économique ou ce qu’on appel l’homo-economicus, ce
dernier est un agent rationnel qui cherche a atteindre une satisfaction optimale, grâce a l’hypothèse de la transparence par laquelle se caractérise le model du cpp, ou le libéralisme en général.
Axe 2 : la RL dans le cadre de la théorie d’information :
Tout d’abord la théorie d’information fait partie de la NME, approche qui
cherche a dépassé les limites du model de la cpp, en effet la RL joue le role de la pierre angulaire dans cette approche, ce qui implique une asymétrie d’information, cela veut dire que les agents économiques (offreurs/demandeurs) ne possèdent pas les mêmes quantités d’information sur le bien échangé.
Autrement-dit les agents économiques ont des capacités cognitives limités, la
chose qui constitue un obstacle face aux agents économiques pour atteindre leurs optimum économique, ce qui aboutit par la suite a un aléa moral ou a une sélection adverse. En guise de conclusion, on trouve que l’hypothèse de la RL, a permis de renouveler la manière dont les économistes ont analysés la décision en réintroduisant notamment la notion de contrainte temporelle et de la contrainte cognitive.