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Le thème traité dans ce stage concerne la conception et le dimensionnement d’un bâtiment « R+3
» dans le but de dimensionner avec deux normes respectives : BAEL ; DTU 13.12
Il s’agit l’approche suivant :
• Présentation de la conception conçue
• La descente des charges sur les éléments structures (poutre, poteau, semelle)
• Détermination des coffrages
• Dimensionnement de ces éléments avec la descente de charge obtenue en utilisant BAEL
• Les notes des calculs seront données, aussi les métrés sont notés mais selon BAEL car certaines
exigences ne sont pas appliquées au Maroc.
En fin, nous conclurons notre projet.
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Résume :
Le génie civil est un domaine qui tendra toujours vers la satisfaction des besoins de la vie
moderne.
L’étude que j’ai effectuée, m’a permis de faire le lien entre les connaissances acquises durant
mes études et de compléter celles-ci par des nouvelles théories et l’application dans un cas pratique.
De ce fait, ce projet m’a permis de mieux apprécier le métier de technicien en génie civil au
sein de BET et son rôle dans la réalisation des structures qui ne se limite pas simplement à la
conception et calcul du ferraillage mais aussi à proposer des solutions raisonnables et efficaces sur le
terrain ; d’une manière générale une conception justifiée doit prendre en compte premièrement la
sécurité pour éviter carrément les dégâts humains et matériels, sans oublier l’économie, l’esthétique,
et le temps d’exécution.
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Sommaire
Introduction :........................................................................................................................................... 2
Résume : .................................................................................................................................................. 3
Sommaire ................................................................................................................................................ 4
1-1 Plancher:.................................................................................................................................... 9
1-3 Maçonneries:............................................................................................................................. 9
2- Acier: ......................................................................................................................................... 12
3- Conclusion : ................................................................................................................................... 13
4
3- Combinaisons d’actions :............................................................................................................... 16
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3-10 Armatures transversales : ..................................................................................................... 31
4- Etude de fondation........................................................................................................................ 32
Conclusion ............................................................................................................................................. 39
Références ............................................................................................................................................. 42
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Chapitre 1 : Présentation de l’entreprise d’accueil
Le groupe Al Omrane est né à l'initiative de l’État marocain avec la volonté de créer un
opérateur-aménageur pour la mise en œuvre de la politique de l’État en matière d’habitat et de
développement urbain. Après la fusion en 2004 de l'ANHI (Agence nationale de lutte contre l'habitat
insalubre), de la SNEC (société nationale d'équipement et de construction) et ATTACHAROUK (Société
d'aménagement, de construction et de promotion), en 2007 les sept Établissements Régionaux
d'Aménagement et de Construction (ERAC) du Royaume sont transformés en sociétés anonymes et
intégrées à la nouvelles entité pour former le groupe Al Omrane.
1- Activités et réalisations :
Le groupe Al Omrane mène au Maroc des activités de construction de logement social,
d'aménagement et de lotissement des terrains destinés à la promotion de l’habitat social. Al Omrane
a été désigné opérateur technique du programme national de résorption des bidonvilles (Plan Villes
Sans Bidonvilles) Le groupe est également chargé de l’édification de Villes Nouvelles et de nouveaux
de pôles urbains. Par ailleurs, Al Omrane est le partenaire principal des collectivités locales dans la
lutte contre l’habitat insalubre et pour les opérations de restructuration urbaine.
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2-1- Organigramme :
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Chapitre 2 : Présentation de l’ouvrage et caractéristiques des
matériaux
Le bâtiment à étudier est constitué d’un seul bloc de forme régulière en plan, de dimensions
suivantes:
1- Description de l’ossature :
1-1 Plancher:
Nous avons optés pour des dalles en corps creux, pour les raisons suivantes :
• Facilité de réalisation.
• Les portées de notre projet ne sont pas grandes.
• Réduire le poids du plancher et par conséquent l’effet sismique.
• Raison économique.
1-3 Escaliers:
Le bâtiment comporte un seul type d’escaliers à deux volées. Les escaliers sont coulés sur place.
1-3 Maçonneries:
La maçonnerie du bâtiment est réalisée en briques creuses :
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➢ Les murs extérieurs sont constitués en double parois de briques (10cm et 15cm d’épaisseur)
séparés par une lame d’air de 5cm d’épaisseur.
➢ Les murs intérieurs sont constitués d’une seule paroi de briques d’épaisseur 10cm.
1-4 L’acrotère:
Au niveau de terrasse, le bâtiment est entouré d’un acrotère conçu en béton armé de 60 cm de
hauteur et de 10 cm d’épaisseur.
1-5 Terrasse:
La terrasse du bâtiment est inaccessible sauf pour entretien.
2-1 Béton :
Le béton est un matériau utilisé pour construire de nombreux type d’ouvrage dans les
domaines du bâtiment des travaux publics et de l’hydraulique, il est constitué par le mélange du
ciment, de granulats (sable et gravier) et d’eau, et dans certains cas d’adjuvants.
Masse volumique :
Elle varie entre 2.2 à 2.5t/m3 suivant la qualité d’acier mise dans le béton, elle est généralement
dans les calculs prise pour béton ordinaire égale à 2.5 t/m3.
Résistances caractéristiques :
Compte tenu de la durée des réactions chimiques qui est de 28 jours (réaction achevée à
90%), on détermine à cet âge la résistance caractéristique à la traction dite ft28 et à la compression
notée fc28 par des essais ; on a été amené à se fixer une valeur de 25MPa pour fc28, et par
conséquent :
Contraintes limites :
1. A l’ELU :
Est notée fbu tel que :
f bu = fc28 = 14.16 MPa
Avec :
b : coefficient de sécurité du béton, il vaut 1.5 pour les combinaisons fondamentales et 1.15
pour les combinaisons accidentelles.
θ : coefficient qui dépend de la durée d’application de la combinaison d’actions.
Il est fixé à 1 : lorsque la durée probable d’application de la combinaison d’action considérée
est supérieure à 24h,
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0.9 : lorsque cette durée est comprise entre 1h et 24h
0.85 :lorsqu’ elle est inférieur à 1h
Le coefficient de minoration 0,85 a pour objet de couvrir l’erreur faite en négligent le fluage
du béton.
Sachant que :
La contrainte ultime du cisaillement du béton est définie par : u =
Avec:
Vu : Effort tranchant
b, d : Dimensions de pièce.
Les armatures transversales perpendiculaires à la ligne moyenne sont autorisées si u ne
dépasse pas
= Min (0,13 fc28 ; 4 Mpa) = 3,25 MPa ……………..fissuration peu nuisible.
= Min( 0,1. fc28 ; 3 MPa ) = 2,5 MPa …fissuration préjudiciable (ou très préjudiciable).
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2. Le module de déformation différée :
Ej = 3700
D’où : Ev28 = 10721,4Mpa
Coefficient de poisson :
Ce coefficient étant le rapport des déformations transversales et des déformations longitudinales
noté "".
2- Acier:
L’acier est un alliage fer carbone en faible pourcentage, son rôle est d’absorber les efforts de
traction, de cisaillement et de torsion, On distingue deux types d’aciers :
Le module d’élasticité longitudinal de l’acier est pris égale à : Es =200 000 MPa.
La caractéristique mécanique la plus importante des aciers est la limite élastique fe.
s = = = 0.174 %
s : contrainte de l’acier.
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Diagramme contraintes déformations.
o Contrainte à ELS:
Coefficient d’équivalence:
Le coefficient d’équivalence noté n est le rapport suivant : n = =15
Avec :
n : coefficient d’équivalence.
3- Conclusion :
Ρ= 2.5 t/m3 : Masse volumique
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ft28= 2.1 Mpa : Résistance caractéristique à la traction du béton
n = 15 : Coefficient d’équivalence
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Chapitre 3 : Descente De Charge
La descente de charge est la première opération de calcul à effectuer pour un projet de sorte
d’en déduire les charges et les sollicitations agissant sur les éléments porteurs (poteaux, poutres,
planchers..).
Pour chaque projet, une descente de charges manuelle est effectuée, même si une
modélisation de la structure sur un logiciel a déjà été effectuée. Cette descente de charges sera utile
tout au long du projet, permettant de retrouver rapidement les charges appliquées sur les différents
éléments de la structure. De plus, elle permet de conserver une trace de la répartition des charges et
ainsi de rester en cohérence du début à la fin du projet.
1- Charge permanente :
1-2 Terrasse :
Charge permanente :
Dalle creuse 16+4 : 285 kg/m²
Forme de 7 cm : 140 kg/m²
Carrelage : 60 kg/m²
Cloison distribué : 75 kg/m²
Enduit sous plafond de 1.5 cm : 30 kg/m²
590 kg/m²
2- Charge d’exploitation :
15
Terrasse accessible : 150 kg/m²
Terrasse inaccessible : 100 kg/m²
3- Combinaisons d’actions :
3-1 Cas des poteaux :
Dans les cas les plus courants (poteaux de bâtiment, d’angle, de rive, intérieurs), l’unique
combinaison d’actions à considérer est :
1,35G+1,5Q
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Chapitre 4: Pré-dimensionnement des éléments structuraux
Le pré-dimensionnement est très important, son but est de déterminer des sections
préliminaires économiques afin d'éviter un sur plus d'acier et béton.
0 .3h ≤ b ≤ 0 .6 h
Poutre non-chargée : h=
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2- Pré-dimensionnement des Poteaux :
Les Poteaux sont les éléments porteurs verticaux des structures de bâtiment. Ils sont
destinés à recevoir des charges verticales et à les transmettre aux fondations. Le poteau est
dimensionné de sorte à résisté aux charges mais aussi à résister au flambement. Les charges au
niveau des poteaux sont combinées à l’ELU.
1. Se fixer un élancement 35
2. Déterminer le coefficient de flambage ( = 35 ⇒ = 0.708)
3. Calculer la section réduite de béton avec A th = 0 à partir de la relation qui permet de calculer
l’effort normal.
On tire :
Br ≥ 0.9 b Nu / fc28
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Résultats :
P1 2,00 25 25 25 25 30 30
P2 3,00 25 25 25 25 30 30
P3 4,00 25 25 25 25 30 30
P4 5,00 25 25 25 25 30 30
P5 6,00 25 25 25 25 30 30
P6 7,00 25 25 25 25 30 30
P7 8,00 25 25 25 25 30 30
P8 9,00 25 25 25 25 30 30
P9 10,00 25 25 25 25 30 30
P10 14,00 25 25 25 25 30 30
P11 16,00 25 25 25 30 30 30
P12 5,00 35 35 35 35
P13 3,00 35 35 35 35
P14 4,00 35 35 35 35
P15 9,00 35 35 35 35
P16 7,00 35 35 35 35
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On a opté pour des planchers à corps creux et ceci pour les raisons suivantes :
L’épaisseur des dalles dépend le plus souvent des conditions d'utilisation et de résistance.
≤𝑒≤
Avec :
Dalle creuse
- Les poutrelles en béton armé ou précontraint qui assurent la tenue de l'ensemble et reprennent les
efforts de traction grâce à leurs armatures,
- Une dalle de compression armée ou "hourdis" coulée sur les entrevous qui reprend les efforts de
compression. Le plancher est entouré par un chaînage horizontal.
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Eléments constituant une dalle creuse
Après un calcul de e pour toutes les dalles de projet, on constate qu’une dalle creuse 16+4 est
convenable pour la totalité du projet.
4- Plan de coffrage :
Ce sont des plans représentant les planchers limités par des poutres. L'objectif est de faire
porter un plancher par le minimum de poutres possible et dans la même logique, les poutres par le
minimum de poteaux. Cependant des contraintes régissent cette conception. (voir annexe)
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Chapitre 4 : Dimensionnement des éléments structuraux
1- Calcul des poteaux :
Les règles B.A.E.L n’imposent aucune condition à l’état limite de service pour les pièces
soumises en compression centrée. Par conséquent, le dimensionnement et la détermination des
armatures doivent se justifier uniquement vis à vis de l’état limite ultime.
Les poteaux reprennent les efforts venant des poutres du plancher pour les transmettre aux
blocs de fondations. Ce sont donc des éléments qui travaillent principalement en compression. Dans
leur dimensionnement il faut donc tenir compte des instabilités de formes qui peuvent avoir lieu au
niveau de ces éléments et particulièrement le risque de flambement.
Poteau 11 (30*30)
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1/2 poids propre de la poutre N3 (horizontale) : 1.52*0.25*0.3 *25Kn/m3= 2.85 KN.
- Armatures longitudinales :
Lf = 0.7*L = 0.7* (3.01+0.36) = 2.36 m
= = = <
= = =
Ath ≤
A.N. Ath ≤
A (4u) = 4% * u = 4% * 25 * 4 = 4 cm²
On choisit 4ᶲ12
- Armatures Transversales :
Diamètre des armatures transversales :
Øt > Ølmax /3
Øt > 12/3
Øt > 4 mm
On prend Øt = 6 mm
La longueur de la zone critique lc :
RDC:
Lc = Max (he/6; b; 45cm) = Max (380/6; 30; 45)
Lc=63.33cm
Espacement dans la zone critique Sc :
Sc = Min (15cm; 8Øl; 0.25b) = Min (15; 8*1.2;0.25*30)
Sc = 7.5 cm on prend Sc=8cm
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Espacement dans la zone courant St :
St = Min (30cm; 12Øl; 0.5b) =Min (30cm; 12*1.2; 0.5*30)
St =14.40cm on prend St=14cm
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2-2 Armatures longitudinales :
On a, le moment aux appuis de la poutre est :
Mo = = = 144.78 KN.m
Moment réduit :
= = = u = 0.186
l = 0.2
D’où :
st = 10‰
AS = = = 9.24 cm²
As ≥ 0.23 *0.9*0.55*0.25
t mm
On prend t = 8mm
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- Espacement maximum des cours d’armatures :
Smax ≤ min (0.9d ; 0.40 m; )
Avec :
Smax ≤ 0.25 m
vec :
= = = 917.57 KN/m²
Et : Vu = = 113.55 KN
D’où : St
St m
St > Stmax
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- placer le 1ercours d’armature transversale à une distance du nu de l’appui égale à
Stmax /2 = 12.5 cm.
- disposer les autres cours d’armature à une distance constante égale à Stmax = 25 cm.
On a :
= = = 917.57 KN/m²
Avec : Vu = = 113.55 KN
POUTRE N3(25*30)
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3- Calcul d’une poutre continue par la méthode forfaitaire :
3-1 Vérification des conditions de la méthode :
Le règlement BAEL 91 propose une méthode simplifier dite méthode forfaitaire ; cette
méthode n’est applicable que si les quatre conditions suivantes sont remplies :
1)- La charge d’exploitation est dite modérée c’est-à-dire Q < (5KN/m2; 2G):
Dans notre cas, la poutre à trois travées de longueurs respectivement 1.6m, 1.5m et 1.25m; calculant
la charge G :
G = charge de revêtement + charge de la dalle + poids propre de la poutre
G = 4.79 + 1.94 25*0.20
G = 11.73 KN/m²
Et on a : Q = 1.5 KN/m²
Q < (5KN/m2; 2G) est équivalente à dire que : 1.5 < (5 KN/m² ; 23.46 KN/m²)
D’où la première condition est vérifiée
2)- Les moments d’inertie des sections transversales sont les même dans les différentes travées.
Vérifiée puisque on a la même section de poutre dans les trois travées.
3)- Les portées successives des travées sont dans un rapport compris entre 0.8 et 1.25.
On a : = = 1.06
Donc : 0.8 < < 1.25
Et = = 1.2
Donc : 0.8 < < 1.25
La troisième condition est vérifiée
M0=PL²/8
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1.3 KN.m 5.24 KN.m 5.24 KN.m 1.09 KN.m
➢ Travée de rive :
➢ Travée intermédiaire :
Avec
α : Le rapport des charges d’exploitation "Q" à la somme des charges permanentes "G" et les charges
d’exploitation "Q" :
α= = 0.11
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3-5 Résultats :
Mo (KN.m) Mt (KN.m)
Travée 1 8.7 6.51
Travée 2 10.49 5.77
Travée 3 7.28 5.02
µ= Mu x 10-3 (b*d*d*fbs)
Z= d (1-0.4 α )=0.9*0.2*(1-0.4 α)
On a : =
Avec : Vui =
30
Charge linéaire pi Vu (KN) (KPa) ≤
(KN/ml)
Travée 1 40.68 32.54 723.11 OK
Travée 2 56.77 42.57 946 OK
Travée 3 56.77 35.48 788.44 OK
On prend 3ha10 (2.36cm2) comme tendues en travées et 3HA10 comme tendus en appuis.
St ≤ == = 0.39 m
On prend comme espacement maximal dans la zone courant Stmax =St /2=8.1 cm
Avec : At=235.5 mm2
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Poutre Continue
N1(25*20)
4- Etude de fondation
4-1 Exemple de semelle centrée (S11) :
- Pré-dimensionnent :
Nu=673.7 kN et Nser=488.37 kN
-Condition de rigidité :
max ( (B-b)/4 ; (A-a )/4) < da
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db < min (A-a, B-b)
-Ferraillage de la semelle
On suppose que la fissuration est préjudiciable, donc on garde les sections d’aciers trouvées à l’ELU :
Semelle S11
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4-2 Exemple de semelle excentrée (S6):
- Pré-dimensionnent :
Nu=673.7 kN et Nser=488.37 kN
-Ferraillage de la semelle
Tout d’abord on calcule le moment :
e=
Pu=728.7
d=0.56 m
Méthode de bielle:
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Semelle S6
On a A=1.95 m et B = 4.5 m
-Ferraillage de la semelle
Ab= 37HA12
Espacement e=12cm
La condition : 12.5< e < 25 cm donc vérifie
2* N u (A − a) 2*0.673(1.95 − 0.6)
Aa = = =14.5cm2
8dfu 400
8*0.45*
1.15
On choisit les barres d’acier de diamètre 12 avec section =1.13 cm² donc n=12
35
Aa=12HA12
Espacement e=17cm
Pu (L) B b
M= − Pu ( B − )
2(L− e) 2
e b
T = Pu (1 − (1 − ) )
L B
6* M max
H=
b. bu
M max
= = u = 0.376
b * d 2 * bu
l = 0.376
D’où :
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st = 10‰
AS = = 31.92 cm²
On adopte 16HA16
-Effort tranchant :
On a : T=0.56 MN
On adopte St = 20 cm
Smax ≤ 0.40 m
St< Stmax
-On place le 1ercours d’armature transversale à une distance du nu de l’appui égale à 10 cm.
-On effectue la répartition des cours en appliquant la progression de CAQUOT définie par les valeurs :
7 – 8 – 9 – 10 – 11 – 13 – 16 – 20 – 25 – 30 – 35 – 40 .
- On répéter chacune des valeurs de la progression autant de fois qu’il y a de mètres dans la demi
portée.
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Semelle avec poutre de redressement
38
Conclusion
Dans ce présent projet, nous avons été appelé a faire une étude d’un bâtiment R+3.
Dans cette étude, le pré-dimensionnement des éléments de structure : poutres, , planchers,
poteaux et semelles a été fait manuellement. On a aussi mené des calculs manuels en vue de
déterminer le ferraillage de quelques éléments de structure.
Durant ce présent projet, nous avons acquis des connaissances diverses. En effet, il
nous a permis de:
- Faire des recherches sur les normes et les méthodes de calcul des ouvrages génie civil ;
- Comprendre les procédés de calcul pour aboutir aux dimensionnements ;
- Connaitre des références donnant des informations dans le cadre de la construction et bien
d’autres domaines.
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Annexe 1:Les plans d’Architecturals
40
Annexe 2 : Les plans de coffrage
Fondation RDC
ETAGE
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Références
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