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Faculté de Chimie –
EXPOSÉ
THEME
Présenté par :
- KRIM Issam Eddine
- BOUALEM Sihem
- ELAFIFI Chaima
- CHOUIHET Youcef
Responsable Mme. BENHAMMADI
Année universitaire : 2019-2020
1. Introduction
Les procédés de séparation solide-liquide impliquent la séparation des deux phases d'une
suspension, soit la phase solide et la phase liquide. Ces procédés ont pour but la récupération, soit
de la phase solide, soit de la phase liquide, soit des deux phases séparément ou d'aucune des deux
phases (procédé de dépollution).
2. Définition de décantation
La décantation est une opération de séparation physique, par différence de gravité de phases non-
miscibles dont l'une au moins est liquide. On peut séparer des phases liquides, une phase solide
en suspension dans une phase liquide...
La décantation est effectuée dans les appareils appelés décanteurs. Ils peuvent jouer trois rôles: la
clarification, l’épaississement, le classement dimensionnel ; si c’est la phase liquide ou homogène
qui nous intéresse, on parle de la clarification, et par l’épaississement on s’intéresse à la phase
solide sous une forme plus concentrée.
4. Exemples de décantation
La vinaigrette a tendance à se séparer avec une phase organique en surface (l'huile), une phase
aqueuse (vinaigre) et un dépôt au fond constitué des ingrédients solides insolubles (épices).
La peinture (matière) entreposée forme deux phases distinctes, l'une avec les pigments au
fond, une autre en surface composée majoritairement de solvant.
La lie est un dépôt solide qui peut se former dans le vin, la bière, etc.
La sédimentation est une décantation naturelle des matières solides en suspension dans l'eau
(sables et matières organiques).
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5. Facteurs influençant la décantation
De nombreux facteurs influencent la décantation; parmi les plus importants, nous pouvons citer :
• La nature de la suspension : concentration de la phase solide, débit, température ;
• La phase liquide : nature, densité, viscosité, concentration en électrolytes ;
• La phase solide : nature, densité, granulométrie, structure (grains, fibres, colloïdes), tendance à
l’agglomération;
• L’opération de décantation : vitesse et courbe de sédimentation, durée de la sédimentation,
type d’appareil, mode de fonctionnement, adjuvants;
• Les produits résultants : concentration de la phase liquide dans le sédiment, concentration de
la phase solide dans la surverse.
Ces facteurs régissent la décantation, l’optimisation et le contrôle de celles-ci confèrent un bon
déroulement de l’opération des différents types de décantation.
6. Types de décantation
Selon la concentration en solide et la nature des particules (densité et forme), on distingue quatre
types de décantation: la décantation de particules discrètes, de particules floculantes, la
décantation freinée et en compression de boues.
On sait que
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Et
Et
3
Où
d : diamètre de la particule
En combinant les équations et on obtient
La valeur de CD, coefficient de traînée, est définie par la perturbation, elle-même fonction de la
vitesse de chute . Cette perturbation est caractérisée par le nombre de Reynolds Re défini par :
Re : nombre de Reynolds ;
µ : viscosité dynamique de l’eau (pas.s) ;
Le coefficient de traînée est donné par : CD= a. Re -n avec a et n constantes.
Le tableau 1, donne les différentes valeurs de a, n et CD en fonction du nombre de Reynolds.
Par ailleurs, pour ces particules sphériques. On peut estimer la valeur du coefficient de frottement
pour le cas suivant :
Nombre de Reynolds inférieur ou égal à 1.
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Puis, en combinant les équations et on obtient :
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Essai de décantation en colonne
Grâce à l’essai de décantation en colonne, on peut simuler en laboratoire les conditions de
décantation d'une solution diluée de particules floculantes. La réalisation de 1'essai nécessite le
recours à une colonne de décantation (figure 2) d'une hauteur égale à la profondeur du décanteur
(entre 1,8 et 2,4m). On effectue en général des prélèvements d'échantillons à 0,6, 1,2 et 1,6 m de
la surface. Le prélèvement d'échantillons à intervalles réguliers permet de tracer des courbes de
même pourcentage d'élimination des particules (figure 3).
A partir de ces résultats, on peut évaluer le pourcentage de particules éliminées par un bassin idéal
de décantation, en fonction de divers temps de rétention et de diverses profondeurs, a 1'aide de
1'équation suivante :
Où
R : pourcentage total de particules éliminées dans un bassin de décantation idéal (rendement);
R1 R2 ..., Rn : pourcentages de particules éliminées dans un bassin de décantation idéal, à une
profondeur h, et après un temps de rétention t ;
∆h1 ∆h2, ..., ∆hn : hauteurs moyennes entre deux courbes de même pourcentage d'élimination
des particules ;
H : hauteur totale de la colonne.
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Figure 3 : Colonne de décantation.
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6.3. Décantation freinée
Ce type de décantation est caractérisé par une concentration élevée de particules ; ce qui entraîne
la formation d’une couche de particule et, par conséquent, l’apparition d’une démarcation nette
entre les solides décantés et le liquide surnageant. On trouve ce type de décantation dans la partie
profonde des décanteurs.
8. La sédimentation centrifuge
La sédimentation centrifuge est une séparation sous l'effet d'une force centrifuge, en
écoulement libre (décantation centrifuge) ou à travers un milieu poreux (essorage),
9. Definition Decanteur
Est un appareil qui permet la séparation par décantation de mélanges de deux ou trois phases.
Les décanteurs sont construits et opérés de façon à obtenir un solide aussi dense que possible et
un surnageant aussi propre que possible. Cette technique peut être améliorée par l'ajout de
substances appelées floculants
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10.1. Décanteur simple
Le décanteur le plus simple est constitué d’une cuve parallélépipédique munie d’une zone d’entrée
et de deux zones de sortie (une pour la sur-verse et l’autre pour les boues). Les décanteurs
classiques sont caractérisés par la surface de décantation égale la surface de base.
Dans ces bassins, la condition pour qu'une particule soit retenue et qu'elle ait le temps d'atteindre
le fond avant le débordement ou la sortie de l'ouvrage. Un décanteur horizontal est caractérisé
par :
le débit traversier Q ;
sa surface S ;
sa hauteur entre le plan d'eau libre et le radier h.
S.h
Le temps de rétention dans l'ouvrage sera : t = Q
Une particule en suspension arrivant en surface à l'entrée du décanteur décante avec une vitesse
constante V0.La décantation est terminée lorsque la particule s'est déposée sur le radier, la durée
de chute est égale à h / V. La possibilité pour les particules d'atteindre le fond de l'ouvrage est
évidemment envisageable seulement si
t > h / V, ou encore V0> Q / S.
Le terme Q / S est appelée vitesse de Hazen.
Modèle de Hazen
Le dimensionnement des décanteurs sont souvent effectués à partir de calcul fondé sur la théorie
de Hazen qui est une des théories qui sont basé les modèles conceptuels où semi-empiriques
intègrent les facteurs complexe en essayant de décrire le concept physique du comportement du
système par une représentation plus simple.
Théoriquement, l'efficacité d'un décanteur horizontal ne dépend que de sa vitesse de Hazen et
non de sa hauteur ou de son temps de rétention. Généralement cette vitesse est comprise entre
0.5 et 1.5 m/h.
Cependant, les particules contenues dans l'eau floculée entrant dans le décanteur présentent toute
une gamme de dimensions. Pendant leur parcours dans l'ouvrage les plus petites peuvent
s'agglutiner entre elle, c'est le phénomène decoalescence. Leur taille, et donc la vitesse de
sédimentation augmente avec le temps. La trajectoire devient de ce fait curviligne et l'efficacité de la
décantation dépend donc aussi du temps de rétention.
Pour optimiser le rendement du décanteur on le fait souvent précéder d'un compartiment de
tranquillisation dans lequel une sensible diminution de la vitesse de transfert permet la décantation
des particules les plus grosses et la coalescence du floc le plus fin .
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Il existe de nombreux types de décanteurs simples qui se distinguent, d’une part d’après le sens
d’écoulement des eaux et, d’autre part, d’après les dispositions adoptées pour l’évacuation des boues:
Décanteur longitudinal à pont racleur (figure 5)
Décanteur longitudinal à chaînes (figure 6).
Le raclage s’effectue au moyen d’un pont racleur qui entraîne une ou plusieurs lames poussant les
boues vers une ou plusieurs trémies.
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Figure 7: Décanteur horizontal à étages
Les décanteurs horizontaux à plusieurs étages visent au respect des conditions suivantes :
• répartir uniformément l'eau à l'entrée et la sortie du décanteur ;
• éviter les zones mortes ;
• supprimer les éléments perturbateurs.
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du voile de boue est essentiel il joue également le rôle de filtre pour les flocons de faible
dimensions. En son sein sa produit le phénomène de coalescence
Ce sont des ouvrages de forme conique ou pyramidale pour permettre un contrôle plus aisé du
voile de boues.
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10.1.3. Décanteurs cylindriques
ce type d'appareil est constitué essentiellement d'un pont support de mécanisme fixé sur le bord
d'une cuve cylindrique. Le groupe d'entraînement, monté au milieu de ce support, entraîne le
mécanisme de raclage constitué d'un arbre vertical et de deux bras munis de raclettes. Différents
modèles de mécanisme de raclage peuvent équiper ce type de décanteur selon le cas
d'application. Ce type d'appareil existe dans la gamme de 2 à 45 m.
Les lames sont disposées de telle sorte que le fond de la cuve soit balayé une ou deux fois par
tour. Pour les boues lourdes, deux bras courts de raclage supplémentaires balayent la zone
centrale de la cuve quatre fois par tour.
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Tableau 2: Avantages et inconvénients des types de décanteurs lamellaires et leurs vitesse limite
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A partir d’une courbe de sédimentation obtenue par décantation statique d’une suspension dans
une éprouvette d’au moins un litre de capacité, la surface d’un décanteur continu et sa profondeur
peuvent être déterminées par les procédures empiriques proposées par des chercheurs.
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a) Méthode de Talmage et Fitch
Talmage et Fitch ont permis à déterminer la surface de décantation à partir de simple
construction graphique effectuée sur la courbe de sédimentation. Le laboratoire d’EMT (1985)
propose la procédure suivante :
Tracer la courbe de sédimentation ;
Déterminer Hu (la hauteur du sédiment) tel que Ho. Co=Hu. Cu ;
Tracer une droite horizontale dont les point ont pour ordonnée Hu ;
Tracer la tangente à la courbe passant par un point de cette dernière ;
L’abscisse du point d’intersection de l’horizontale passant par Hu et la tangente
précédente sera notée
Sur la courbe de décantation, deux points caractéristiques doivent être considérés pour la
détermination de la surface, il s’agit :
Du point origine initiale de coordonnées H=Ho et t=to=0. Ho est le niveau initial de
l’interface ;
Du point d’entrée en compression de coordonnées H=Hc et t=tc. Il s’agit du point
critique. Le point critique est déterminé par différentes méthodes, qui dans ce présent
travail nous exploiterons la méthode de la bissectrice : qui consiste à tracer des tangentes
aux deux extrémités de la courbe de sédimentation et tracer ensuite une bissectrice à
l’angle formé par les deux tangentes. L’intersection de la bissectrice avec la courbe de
sédimentation est le point critique.
Hormis ces méthodes, il existe d’autres qui permettent à déterminer le point critique que nous
citerons ici qu’à titre indicatif. Il s’agit de:
La méthode de Mondal et Majumdar ;
La méthode de la courbe de sédimentation bilogarithmique ;
La méthode de Barnea ;
La méthode de Roberts ;
De ces qui précédent, la surface requise peut être déterminée par :
c’est l’abscisse du point d’intersection entre la tangente au point critique et l’horizontale passant
par le point de fin de compression.
Ho est le niveau initial de l’interface (exprimé en mm, en cm ou en m) alors que Co est la
concentration initiale des solides dans la pulpe exprimée en t/m.
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La hauteur de sédiment Hu est déterminée après 24 heures de sédimentation en éprouvette ou
par la relation proposée par le laboratoire d’EMT (1986) qui Hu est calculée en fonction de la
densité de soutirage de la sousverse désirée. Il s’exprime aussi en mm, en cm ou en m.
La concentration Cf des boues de sousverse étant imposée, il suffit en effet de tracer la ligne de
soutirage, horizontale d’ordonnée Hu, telle que Co. Ho = Cf .Hu. Ensuite, nous construisons la
droite d’OLTMANN en joignant le point de compression et le point initial de la partie linéaire de
la courbe. L’abscisse du point d’intersection de la ligne de soutirage et de la droite d’Oltmann est
le temps ty recherché. L’aire unitaire U.A. (surface du décanteur rapportée à la charge en solides)
vaut tout simplement :
U.A : est la surface unitaire du décanteur exprimée en m2/t/h ;
ty : est l’abscisse du point d’intersection entre l’horizontale passant par le point de fin de
sédimentation et la droite d’Oltmann. Il s’exprime en heures ;
Co et Ho ont les mêmes sens que précédemment.
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Le graphique représenté ci-dessous (Figure 11) permet de ressortir la démarche utilisée pour la
détermination du temps est :
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On peut exprimer la relation d’une autre manière en écrivant que le volume V nécessaire pour la
zone de compression est égal à la somme du volume occupé par les solides et du volume occupé
par le liquide. Ce qui s’écrit:
Q : le débit massique des solides prenant toutes les valeurs de dilution obtenues entre tf et tc;
D : la dilution, rapport massique moyen du liquide et des solides.
Cette formule est valable dans tout système cohérent d’unités et peut s’écrire en prenant une
valeur moyenne Dm pour D pendant la période de temps considérée :
Pour déterminer (tf –tc) et dpm le laboratoire d’EMT (1986) propose la procédure suivante :
a. Détermination de (tf –tc)
Dans la zone de compression, la descente de l’interface liquide solide au cours d’un essai obéit à
la loi suivante :
𝛼 une constante ;
Hc le niveau de l’interface liquide solide au point de compression (mm) ;
Hu le niveau final de sédimentation (mm) ;
tc le temps requis pour entrer en compression (seconde).
En mettant en graphique semi logarithmique (H – Hu) en fonction de (tf –tc), on obtient une
droite dont l’extrapolation à (𝐻−𝐻𝑢) ≈1.
Où tf est le temps nécessaire pour atteindre la densité de soutirage de sousverse désirée.
b. Détermination de dpm
L’estimation de la densité moyenne des boues pendant la période de compression est donnée par
la relation suivante :
Avec
dpu la valeur de la densité de pulpe désirée pour le soutirage ;
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dpc la densité de la pulpe correspondant au point d’entrer en compression.
La densité de la pulpe correspondant au point d’entrer en compression est déterminée (dpc) par
la relation suivante :
Pour avoir la hauteur totale du décanteur à sa périphérique, il faut tenir compte au-dessus du
niveau des boues d’une hauteur d’environ 0,6 m. Mais dans le cas des décanteurs cylindro-
conique, on ajoute à la valeur de 0,6 m une mesure environ égale à :
Où S est la surface du décanteur (exprimée en m2) et 𝛼 est l’angle au sommet du cône inférieur
du décanteur.
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Dans ce cas, la hauteur à retenir est celle qui vérifiera la condition suivante :
Avec
H : hauteur du décanteur (m) ;
S : surface du décanteur (m2) ;
𝛼 : angle au sommet du cône inferieur du décanteur.
13. Conclusion
La décantation est une technique très importante qui a poussé les chercheurs et les spécialistes en
la matière, à la recherche pour l’amélioration des techniques de la décantation en jouant sur
certains paramètres (vitesse de décantation, surface de décantation, etc.), ce qui a permis
l’apparition de plusieurs décanteurs performants qui ont des avantages non négligeable, et qui
permettent surtout de gagner l’argent, le temps et l’espace.
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Liste des figures
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Références
Desjardins R. (1997) : Traitement des eaux ; Edition de l’école polytechnique de Montréal,
2éme édition revue et améliorée.
Saïd Ouali M., 2001 : Cours de procédés unitaire biologique et traitement des eaux ; Office des
publications universitaires ; 1 place centrale de Ben-Aknoun(Alger).
Kettab A., 1992 : Traitement des eaux (les eaux potables); Office des publications universitaires
(OPU), Alger.
Hernández De León H.R., 2006 : Supervision et diagnostic des procédés de production d’eau
potable, Mémoire pour l’obtention de diplôme de Docteur de l'Institut National des Sciences
Appliquées de Toulouse.
Raymond Desjardins. 1997 : (le traitement des eaux) édition de l’école polytechnique de
Montréal.
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Sommaire
1. Introduction ...............................................................................................................................1
2. Définition de la décantation .................................................................................................... 1
3. Classification des matières décantables ................................................................................. 1
4. Exemples de décantation........................................................................................................... 1
5. Facteurs influençant la décantation.......................................................................................... 2
6. Types de décantation ................................................................................................................ 2
6.1. Décantation de particules discrètes ..................................................................................... 2
6.2. Décantation de particules floculantes .................................................................................. 5
6.3. Décantation freinée ............................................................................................................... 8
6.4. Décantation en compression de boue ................................................................................ 8
7. Les limites de la décantation.......................................................................................................8
8. La sédimentation centrifuge ......................................................................................................8
9. Definition Decanteur...................................................................................................................8
10. Types des décanteurs .............................................................................................................. 9
10.1. Décanteur simple ................................................................................................................ 10
10.1.1. Les décanteurs à flux verticaux ...................................................................................... 11
10.1.2. Décanteurs statiques ..........................................................................................................12
10.1.3. Décanteurs cylindriques ....................................................................................................13
10.2. Décanteur lamellaire ............................................................................................................ 13
10.2.1. Type de decanteur lamellaire..............................................................................................13
11. Problémes Iiés å Ia décantation ..............................................................................................14
12. Théories sur le dimensionnement du décanteur....................................................................14
12.1. Détermination de la surface de décantation........................................................................15
a) Méthode de Talmage et Fitch.....................................................................................................16
b) Méthode d’Oltmann.................................................................................................................... 17
12.2. Détermination du volume et de la hauteur de décantation...............................................18
a Détermination de (tf –tc) .............................................................................................................19
b. Détermination de dpm.................................................................................................................19
13. Conclusion ..................................................................................................................................21
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