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Définition d’une suite numérique : on peut définir les suites comme des fonctions de vers , un f n
1
(par exemple un
n
) ou par des relations inernes (récurrence) : un f un1 , un 2, ..., u0 comme par exemple
Une suite est croissante (décroissante) lorsque : tous ses termes vont en augmentant (diminuant), pour tout
n, on a un1 un ; décroissante lorsque un1 un .
Algorithme de calcul des n premiers termes d’une suite définie par un1 f un et la donnée de u0 :
Données : 0k
f, u0, n u0 X
Tant que k n
Variables
Faire f ( X ) X
locales : k, X
Fin tant que
Afficher X
Algorithme de calcul de la somme des premiers termes (de u0 à un) d’une suite définie par un1 f un et la
donnée de u0 :
Données : u0 S
f, u0, n 0k
u0 X
Variables
locales : k, X, S Tant que k n
Faire f ( X ) X , S X S
Fin tant que
Afficher X, afficher S
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Remarque : il n’est pas nécessaire de passer par X, on peut faire juste S f ( X ) S .
Comportement à l’infini : on considère qu’une suite un n converge vers une limite l si et seulement si
lorsqu’on choisit n’importe quel entier p alors on peut trouver un rang N à partir duquel tous les termes sont
à une distance moindre qu’un nombre de la forme 10 p de l, soit uN l 10 p .
1 1
Par exemple la suite un 1 tend vers 1 car un 1 peut devenir aussi petit que l’on veut.
n n
Algorithme permettant de dire si une suite un converge probablement vers une limite l :
Données : 0k
f, u0, n u0 X
f ( X) X
k 1 k
Fin tant que
Si k nmax alors afficher « limite probable = l au rang N » sinon afficher k.
Remarque : nmax est le nombre de boucles maximal que l’on puisse faire ; si dans la
première boucle k atteint nmax la limite n’est pas bonne ; si c’est dans la deuxième
boucle la limite semble bonne à partir du rang N (et pour la valeur de p testée).
Suites arithmétiques
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Sn u0 u1 ... un u0 u0 a ... u0 na n 1 u0 1 2 ... n a , soit
u u0 na u0 un
Sn n 1 0 n 1 ,
2 2
(nbre de termes)(1terme+dernier terme)
ce que l’on résume avec Sn .
2
Suites géométriques
Méthode de calcul de la somme S 1 q q2 q3 ... qn1 qn : on multiplie des deux côtés par 1 q , ce
1 q n 1
qui donne S 1 q 1 qn1 , soit S .
1 q
Somme des termes d’une suite géométrique ; même démarche :
1 qn1
Sn u0 u0 q ... u0 qn u0 1 q q2 ... qn u0 1 q
Si q 1 , Sn u0 (n 1) .
1 1 1
En passant à l’inverse, on a 0 0 donc lim un 0 lorsque q 1 .
qn 1 t n 1 nt n
1 qn1 1
On tient des raisonnements semblables lorsque t 0 . Lorsque q 1 , Sn u0 u0 .
1 q 1 q
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l’algorithme donnera alors les f X Y
valeurs de n0 et de la limite l.
N 1 N
Fin tant que
Sortie : N, Y.
Représentation graphique d’une suite de la forme un1 f un dont on connaît le premier terme u0 et
interprétation.
1
Exemple : f x 1 ; u0=0,5.
x
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GeoGebra (ligne de U=ItérationListe[f(x),u_0,n]
saisie) P=Séquence[Segment[(Elément[U,k],Elément[U,k+1]),
Les sont là pour (Elément[U,k],Elément[U,k])],k,1,n]
séparer les instructions Q=Séquence[Segment[(Elément[U,k],Elément[U,k+1]),
(ne pas saisir) (Elément[U,k+1],Elément[U,k+1])],k,1,n]
P_0=(u_0,0) Q_0=Segment[P_0,(u_0,u_0)]
u1 10 4 6 , u2 6 4 2 , u3 2 4 2 .
u u50 30 190
Il y a 41 termes : u10 ... u50 41 10 41 41 110 4510 .
2 2
Comme on ajoute 4 à chaque fois que l’on passe d’un terme au suivant, la suite est croissante (support =
droite de pente 4, soit croissante).
1
v1 v0 q 81 27 ; v2 v1 q 9 ; v3 v2 q 3 .
3
b. Donner l’expression de vn en fonction de n et calculer v10.
n 10
1 1 81 34 1 1
vn v0 qn 81 ; v10 81 10
10
6
.
3 3 3 3 3 729
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1 q10 1 1 / 3 10 1 1 / 3 10 243 1
10
v0 ... v9 v0 81 81 1 .
1 q 1 1 / 3 4/3 4 3
La suite n’est pas monotone à cause de la raison négative (un coup positif, un coup négatif). Pour la limite,
1
comme 1 , la suite tend vers 0.
3
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u0
3. Une suite géométrique dont la raison q est telle que q 1 a une somme qui converge vers qui
1 q
1 9
vaudrait ici 8 : si on prend par exemple u0 1 , on aurait 8 1 8 8q q ce qui ne
1 q 8
1 u0
convient pas. Prenons plutôt q par exemple, alors 8 u0 4 .
2 11/ 2
4.2.3. Fastoche…
1
un est la suite géométrique de premier terme u0 = 8 et de raison q = .
2
1. Calculer les termes u1, u2, u20.
221 1
2. Montrer que la somme S u0 u1 ... u20 est égale à .
217
4.2.4. Suite arithmétique
u 125 u0 5r 11r 48 125 77 r 7
1. 5 .
u0 48 16 7 160
u16 48 u0 16 r
2. un 160 7 n .
3. un 160 7 n 127 7 n 287 n 41 .
4. un 160 7 n 250 7 n 410 n 58,.. n 59 .
u u2007
5. Il y a 2007 – 1789+1=219 termes dans la somme qui vaut donc S 219 1789 ... .
2
4.2.5. Somme de termes
un 5 n 1 4 9 4n ;
25
S u
k1
k k u1 1 u2 2 ... u25 25 u1 u2 ... u25 1 2 ... 25 , soit en utilisant les
u u25 1 25
formules : S 25 1 25 25 43 25 13 1400 .
2 2
4.2.6. Location de machines
On peut dépenser S 60 65 70 75 ... ? de sorte que le total fasse 3570. Comme on a une suite
arithmétique de premier terme u0 60 et de raison 5, on a en notant n le nombre de termes de la somme :
u un 60 60 5n
S n 1 0 n 1 3570 n 1 120 5n 7140 5n 125n 7020 0 ,
2
2 2
soit encore n2 25n 1404 0 d’où n 27 : on peut donc louer la machine 28 jours.
4.2.7. Entretien de machines
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Un chef d’entreprise paie 60 000 € par an pour l’entretien de ses machines.
Lors du renouvellement du contrat pour les dix prochaines années, une société lui propose deux formules :
Partie A
5
1. Contrat A : le contrat augmente de 5 % par an : suite géométrique de raison 1 1,05 (on a
100
5
un 1,05un ). On a donc un 1,05 u0 1,05 60000 .
n n
un1 un
100
3. Il faut trouver n pour que un 1,05 60000 120000 1,05n 2 . On fait ça à la machine et on trouve
n
n=15.
0 1 9 1,55132822
1 1,05 10 1,62889463
2 1,1025 11 1,71033936
3 1,157625 12 1,79585633
4 1,21550625 13 1,88564914
5 1,27628156 14 1,9799316
6 1,34009564 15 2,07892818
7 1,40710042
8 1,47745544
10
1 q
4. On calcule u0 u1 ... u9 u0 754673, 55 .
1 q
Partie B
1. Contrat B : le contrat augmente de 3500 € par an, la suite est arithmétique, vn 60000 3500n .
2. v9 60000 3500 9 91500 .
v v9
3. v0 v1 ... v9 10 0 757500 .
2
4. Le contrat A est le plus avantageux sur 10 ans mais B est le plus intéressant par la suite (faire un
graphique).
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2. Résoudre Sn 10000 , soit ici n=15.
n
2 puisque Sn rn2 1 2n 2 .
2
3. Raison
4. 2Sn Sn 2000 cm .
3. h 30 h 15 30 15 0, 4 17 6 23 .
4. 28 h 28 h 15 28 15 0, 4 h 15 28 5,2 22,8 .
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4.3.6. Suite homographique
2un
Soit la suite un définie par u0 = 1 et un1 .
2 3un
2u0 2 2u1 4/5 4 1
1. u1 , u2 .
2 3u0 5 2 3u1 2 6 / 5 16 4
3 3
2. u1 u0 , u2 u1 donc un n’est pas arithmétique.
5 20
u1 2 u2 5
, donc pas géométrique non plus.
u0 5 u1 8
3.
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2 2 2
c. vn v0 3n 3 3n et 1 3 3n 3n 2 un ce que vous pouvez vérifier.
un un 3n 2
2 2 6 n 4 6 n 10 6
d. On calcule un1 un 0 et losrque n tend
3 n 1 2 3n 2 3n 5 3n 2 3n 5 3n 2
2
vers , 3n 2 tend également vers l’infini et devient très petit et tend vers 0.
3n 2
4.3.7. Ouaip, c’est une suite mon gars !
1u1 4 5 2u 4 9 3u 4 13
1. u2 , u3 2 , u4 3 .
11 2 21 3 31 4
nun 4
2. Calculons vn1 vn n 1 un nun n 1 nun nun 4 nun 4 . La différence est constante,
n1
la suite est arithmétique de raison 4.
vn 4n 3
3. On a donc vn v1 4 n 1 1.u1 4n 4 4n 3 , soit un .
n n
4 n 1 3 4n 3 4n 1 n 4n 3 n 1 3
4. Calculons un1 un qui est positif puisuqe
n1 n n n 1 n n 1
tous les termes le sont.
4n 3
Par ailleurs on voit sur la calculatrice que un 4 : 4 4n 3 4n 3 0 , c’est donc vrai.
n
4n 3 3
Quand n tend vers , 4 un 4 qui tend vers 0 donc un tend vers 4.
n n
4.3.10. Y fait chô
T0 20 80 20 50 20 35 20
1. a. T1 50 , T2 35 et T3 17, 5 .
2 2 2 2
Tn 20 1
b. Tn1 Tn 10 .
2 2
Tn 20
un1 Tn1 20 2 1 1
2. a. donc un est une suite géométrique de raison et de premier terme
un Tn 20 Tn 20 2 2
u0 T0 20 60 .
n n
1 1
b, c. un 60 et donc Tn un 20 20 60 .
2 2
d. A n 5 on a T5 21,88 et à t 6 , T6 20,938 donc à partir du rang 6, on a Tn 21 . Si n représente des
heures par exemple la température du récipient sera pratiquement égale à la température de la pièce au bout
de 6 heures… (à tester…).
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4.3.11. Centre de gravité ?
1 1 1
1. un1 an1 bn1 3an 2bn 2an 3bn 5an 5bn an bn un .
5 5 5
un est constante et vaut u0 a0 b0 5 .
1 1 1 1
2. vn1 an1 bn1 3an 2bn 2an 3bn an bn vn .
5 5 5 5
1 1
vn est une suite géométrique de raison et de premier terme v0 a0 b0 1 . On a donc vn v0 qn n .
5 5
u vn 1 1
an n an 2 5 n
un an bn un vn 2an 2 5
3. On a .
vn an bn un vn 2bn b un vn b 1 5 1
n
2 n 2 5n
1 5
Comme n
tend vers 0 à l’infini, lim an lim bn .
5 n n 2
On vérifie avec le tableur par exemple :
n an bn n an bn
0 2 3 7 2,4999936 2,5000064
1 2,4 2,6 8 2,49999872 2,50000128
2 2,48 2,52 9 2,49999974 2,50000026
3 2,496 2,504 10 2,49999995 2,50000005
4 2,4992 2,5008 11 2,49999999 2,50000001
5 2,49984 2,50016 12 2,5 2,5
6 2,499968 2,500032 13 2,5 2,5
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15
3. On cherche I0 sachant que I4 15 : I4 15 I0 0,77 I0
4
42,67 .
0,77 4
1
4. On cherche n pour que In I0 I0 0,77 n 0, 25 I0 0,77 n 0, 25 . A la machine on a les résultats
4
suivants :
n In n In
0 1 9 0,09515169
1 0,77 10 0,0732668
2 0,5929 11 0,05641544
3 0,456533 12 0,04343989
4 0,35153041 13 0,03344871
5 0,27067842 14 0,02575551
6 0,20842238 15 0,01983174
7 0,16048523 16 0,01527044
8 0,12357363 17 0,01175824
Pour n=6 on est en dessous de 1/4.
n(n 1) n( n 1) n2 n
1 1 1 .................. 1 n2 ,
2 2 2
d’où n2 est atteignable.
Les seules difficultés sont le comptage des termes valant 1 et la vérification du fait que l’on reste bien dans [0 ;
n2].
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5. Si le nombre n est atteignable, il existe des ai valant 1 ou –1 tels que 1 2a2 3a3 ...... (n 1)an1 0 .
Dans cette somme on sépare les termes positifs dont on note la somme S + des termes négatifs dont on note la
somme S–. On a alors : S+=S–.
( n 1)n
On calcule ensuite 1 2 3 ....... (n 1) S S 2S , on en déduit que 2S soit n(n 1) 4S
2
et donc 4 divise le produit n n 1 . n est donc de la forme 4k ou 4k+1 : par exemple 18 n’est pas atteignable.
La réciproque est fausse puisque 5 n’est pas atteignable.
6. L’idée est de transformer une configuration de signes + – en – +, cela va ajouter 2 au nombre N.
Ensuite on complète par la suite –(N+1) + (N+2) – (N+3) + (N+4) et on trouve N+4.
On note S(i) la somme partielle des i premiers termes.
Remarquons que la séquence donnant N se termine par –(N–1)+N. La séquence commence par 1+2+3 et le
premier signe – apparaît en position i+1.
Alors S i 1 i car S 3 4 . On change alors la sous-séquence i i 1 en i i 1 , ce qui est
possible.
On ajoute alors la séquence –(N+1) + (N+2) – (N+3) + (N+4), ce qui assure que N+4 est atteignable.
4. 5. Vrai - Faux
4.5.1. Fesic 2000, Exercice 11
1 1
a0 = 2, b0 = 4 , an1 ( an 3bn ) et bn1 (3an bn ) .
4 4
1
a. Vrai : On a Un1 an1 bn1 4an 4bn an bn Un . Donc la suite est stationnaire et vaut
4
U0 = a0+b0 = 6.
1 1 1
b. Vrai : On a Vn1 an1 bn1 2an 2bn an bn Vn .
4 2 2
1
Donc Vn n est une suite géométrique de raison et de premier terme V0 2 4 2 qui converge car
2
n
1 1
1 . De plus Vn 2 .
2 2
1 1 1 1
c. Vrai : Le milieu des segments [AnBn] a pour abscisse an bn Un U0 2 4 3 . Donc pour
2 2 2 2
tout n , les segments [AnBn] ont le même milieu I, qui est le point de (Ox) d'abscisse 3.
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1
n 1
n
U n an bn a0 b0 6 2an 6 2 an 3
n 2 2
d. Faux : Pour tout n , 1 alors donc .
V a b 2 n n
n n n 1 1
2 2bn 6 2 2 bn 3 2
4.5.2. Fesic 2000, Exercice 12
1
(un) suite géométrique de raison et de premier terme u1 = 2, vn un .
3
n1
1 2
a. Faux : On a un 2 .
3 3n1
Attention au décalage de rang dû au fait que un commence à u1.
2 2 1
b. Vrai : On a vn . Donc la suite vn n est une suite arithmétique de raison et de
3n1
n1
3 3
premier terme v1 2 .
n
1
1 k n
3 1
n
3 1
c. Faux : Pour tout n 1 , on a uk u1 2 1 3 1 n .
1 2 3
3
k1 1
3
d. Faux : La somme des racines n’est pas égale à la racine de la somme…
n
k 1 2 n
Sn 2
... .
k1
n2 n2 n2
n n n
n k
k 1
a. Vrai : Pour tout entier n>0, Sn 2
k or est la somme d’une suite arithmétique de
k 1
n2 k 1 k 1
n
n n 1 n n 1 n1
k
1
raison 1 d’où et Sn .
k 1
2 n 2 2 2n
1
n1
n 1
c. Faux : lim Sn lim .
n n 2n 2
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d. Faux : D’après b) la suite est décroissante.
a. Pour tout n 2 , la fonction f n est strictement décroissante sur l’intervalle [0, 1]. Vrai Faux
b. Pour tout n 2 , l’équation fn x 0 admet une unique solution dans . Vrai Faux
1
c. Pour tout n 2 , on a : 0 un . Vrai Faux
n
fn ( x) x3 2nx 1 .
2n
a. Vrai : Calculons fn' ( x) 3x2 2n 0 x ] , 2n / 3] [ 2n / 3, [ , or 1 pour n supérieur à 2
3
donc la fonction est décroissante sur [0, 1].
Attention au « piège » et à ne pas faire 2
3 x 2n 0 x 2n / 3 …
b. Faux : Calculons les ordonnées des extremum :
2n 2n 2n 2n 4n 2n
fn
3 3 3 2n 3 1 1 3 3 qui est négatif si n vaut au moins 3 et
2n 2n 2n 2n 4n 2n
fn 2n 11 qui est positif ; on a donc le tableau de variation :
3 3 3 3 3 3
x – 2n / 3 0 1 2n / 3 +
+
1
2–2n
f(x)
–
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1 1
c. Vrai : Si 0 un , comme fn est décroissante sur [0, 1], fn (0) fn ( un ) fn ( ) , soit
n n
1 1 n3
1 0 21 , ce qui est vrai.
n3 n3
Il faut toujours avoir présent à l’esprit les propriétés des fonctions croissantes ou décroissantes.
1
d. Vrai : C’est plus simple…comme tend vers 0, on a bien lim un 0.
n n
3 8
n
d. Vrai : Remplaçons pour calculer un : un 1 dont la limite est –.
5 3
4.5.8. Fesic 2005, Exercice 10
un = nombre de diagonales d’un polygone convexe ayant n côtés.
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C C
B B
D D
A A
E E
F
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c. Vrai : Au pif, on peut penser que les deux suites sont adjacentes puisque wn tend évidemment vers 0 ; il
faut donc que la suite v soit décroissante.
un 2vn un 2vn vn 2vn un vn wn
Plus sérieusement vn1 vn vn 0.
1 2 1 2 1 2 1 2
d. Vrai : Suites adjacentes et tutti-quanti ; les deux suites u et v convergent vers une même limite (que vous
vous ferez une joie de trouver…en partant par exemple sur l’expression de un1 un puis…).
un1 n 1
b. Faux : 2 1 , donc décroissante.
un n
n 2
n1 n1 1 1 11 3 3 3 3 n1 1
c. Vrai : un ... 2 ... 2 car 1 2.
n! n n1 n 2 2 1 4 4 4 4 n n
n 2 termes
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2 un2 3un un 1 un 2
b. Vrai : un1 un 0 donc un est décroissante ; comme elle est bornée,
un 3 un 3
elle converge.
2
2
un1 2 un 3 2 2un 6 2un 4 u 2
c. Vrai : vn1 2vn ; v0 0 1 .
un1 1 2 2 un 3 un 1 u0 1
1
un 3
un 2 v 2 2n 2
d. Vrai : On a vn 2n et vn vn un vn un 2 un vn 1 vn 2 un n , soit
un 1 vn 1 2n 1
1
le résultat demandé : un 1 .
1 2n
4 4un 8 4
3 1
un 2 un 2 u 1
a. Vrai : vn1 4 n 4 vn donc v est géométrique de raison 4.
4 un 2 4 un 2
3 2
un 2 un 2
15
411 1 411 1
b. Faux :
vk v5 1 q q2 ... q9 q10 v5 4 1
v5
3
.
k 5
20 http://laroche.lycee.free.fr
un 1 2v 1
c. Vrai : vn un vn 2vn un 1 un vn un 2vn 1 un n .
un 2 vn 1
1
2
2v 1 vn
d. Faux : un n ; comme v tend vers , la suite u converge vers 2.
vn 1 1
1
vn
1.
3 3 3
2. vn un 800 . vn1 un1 800 un 200 800 vn 800 600 vn .
4 4 4
n n
3 3
On a v0 u0 800 2000 800 1200 et vn 1200 puis un vn 800 1200 800 .
4 4
n un n un
21 http://laroche.lycee.free.fr
0 2000 9 890,1016235
1 1700 10 867,5762177
2 1475 11 850,6821632
3 1306,25 12 838,0116224
4 1179,6875 13 828,5087168
5 1084,765625 14 821,3815376
6 1013,574219 15 816,0361532
7 960,1806641 16 812,0271149
8 920,135498 17 809,0203362
A n = 17 on a un 810 .
3. Le pauvre Gaston L. n’arrivera jamais à éliminer son courrier en retard… : il en restera toujours au moins
800. Et m’oiselle Jeanne sera bien déçue…
x0 ... xn
4. a. Remarquons que : yn x0 ... xn n 1 yn ; cherchons yn1 :
n1
x0 x1 ... xn xn1 n 1 yn xn1
yn1 .
n2 n2
Si yn est croissante on a yn1 yn d’où
n 1 yn xn1
yn n 1 yn xn1 n 2 yn xn1 yn .
n2
Comme ( xn ) est croissante, on a x0 x1 ... xn xn1 xn1 ... xn1 n 1 xn1 donc
x0 x1 ... xn n 1 xn1
yn xn1 .
n1 n1
n 1 xn
En fait on avait x0 x1 ... xn xn xn ... xn n 1 xn yn xn .
n1
Voici un exemple sur une suite décroissante : xn1 0,9 xn .
n n
x
1
n xn xk k
k0
n1 k0
0 10 10 10
1 9 19 9,5
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3 7,29 34,39 8,5975
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Comme un est décroissante, Mn doit être également décroissante. La suite converge également : le terme
1 0,75n1
1 0,75n1 tend vers 1, tend vers 0 donc Mn tend vers 800.
n1
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