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Géométrie non euclidienne

En mathématiques, on appelle géométrie non euclidienne une théorie géométrique ayant recours à tous les
axiomes et postulats posés par Euclide dans les Éléments, sauf le postulat des parallèles.

Les différentes géométries non euclidiennes sont issues de la volonté de


démontrer le cinquième postulat (le postulat d'Euclide) qui semblait peu
satisfaisant car trop complexe, et peut-être redondant.

Dans les Éléments d'Euclide, le postulat ressemble à la conclusion d'un


théorème, mais qui ne comporterait pas de démonstration :

Si une droite, tombant sur deux droites, fait les angles intérieurs
du même côté plus petits que deux droits, ces droites,
prolongées à l'infini, se rencontreront du côté où les angles sont
plus petits que deux droits.

qu'on peut comprendre comme :


La droite d est la seule droite
Par un point extérieur à une droite, il passe toujours une
passant par le point M et parallèle
parallèle à cette droite, et une seule.
à la droite D. Toute autre droite
passant par M (par exemple les
Durant plusieurs siècles, la géométrie euclidienne a été utilisée sans que
droites tracées en pointillé) est
l'on mette en doute sa validité. Elle a même été longtemps considérée
sécante à D.
comme l'archétype du raisonnement logico-déductif. Elle présentait en
effet l'avantage de définir les propriétés intuitives des objets géométriques
dans une construction mathématique rigoureuse.
Sommaire
Approche intuitive de la géométrie non euclidienne
Histoire des géométries non euclidiennes
Antiquité
XVIIe siècle
XIXe siècle
Différents types de géométrie non euclidienne
Géométrie hyperbolique
Géométrie elliptique
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Aspects historiques
Ouvrages de mathématiques
Ouvrages pour physiciens théoriciens
Ouvrages de philosophie
Aspects ludiques
Articles connexes
Liens externes

Approche intuitive de la géométrie non euclidienne


En 1902, Henri Poincaré propose un modèle simple dans lequel le cinquième postulat d’Euclide n’est pas
valable. La droite est ici définie par extension comme la courbe de plus court chemin qui joint deux points de
l’espace considéré.

« Supposons un monde renfermé dans une grande sphère et soumis aux lois suivantes : La
température n'y est pas uniforme ; elle est maxima au centre, et elle diminue à mesure qu'on
s'en éloigne, pour se réduire au zéro absolu quand on atteint la sphère où ce monde est
renfermé. [...] Un objet mobile deviendra alors de plus en plus petit à mesure qu’on se
rapprochera de la sphère limite. Observons d’abord que, si ce monde est limité au point de vue
de notre géométrie habituelle, il paraîtra infini à ses habitants. Quand ceux-ci, en effet, veulent
se rapprocher de la sphère limite, ils se refroidissent et deviennent de plus en plus petits. Les
pas qu'ils font deviennent donc de plus en plus petits, de sorte qu’ils ne peuvent jamais
atteindre la sphère limite. »Chapitre 4 "L'espace de la géométrie"
— Henri Poincaré, La Science et l'Hypothèse

Étienne Ghys commente ce texte de la façon suivante :

« Les êtres qui habitent dans ce monde ne peuvent pas savoir qu’ils rapetissent car s’ils se
mesurent avec un mètre ruban le mètre ruban également se rapetisse Nous savons qu’ils se
mesurent avec un mètre ruban, le mètre ruban également se rapetisse. Nous savons qu’ils se
rapetissent mais eux ont une vie tout à fait normale et tout à fait cohérente. S’ils veulent aller

d’un point à un autre par le plus court chemin, nous pensons


qu’ils auront tendance à se rapprocher du centre, car leurs pas
sont plutôt plus grands vers le centre.

Alors on peut démontrer que le plus court chemin d’un point à


un autre dans cette géométrie imaginaire est un arc de cercle
perpendiculaire au cercle limite. Leurs droites à eux sont nos
cercles à nous. Et vous voyez que dans leur géométrie,
l’axiome d’Euclide n’est pas satisfait. La droite rouge est
parallèle à la droite verte mais la droite bleue l’est également
(deux droites qui ne se coupent pas sont en effet parallèles).

Il y a une infinité de parallèles qui passent par un point. Et ces


Ce schéma explicite une approche
gens sont raisonnables, ils ne savent pas qu’ils rapetissent. Mais
intuitive de la géométrie non
ils sont tout aussi raisonnables que nous qui ignorons
euclidienne proposée par Poincaré.
probablement beaucoup d’autres choses.

La morale de cette petite histoire de Poincaré est qu’on peut très


bien envisager beaucoup de mondes extrêmement raisonnables, chacun ayant sa géométrie,
chacun ayant sa logique et qui chacun peuvent nous apporter une vision de notre monde
concret […].

Le mathématicien d'aujourd’hui pour résoudre un problème, pour étudier une question, va


utiliser une géométrie, va prendre sa boite à outils, et va choisir la géométrie la plus
convenable pour comprendre le problème étudié.

Voici la phrase de Poincaré : Une géométrie ne peut être plus vraie qu’une autre, elle peut
simplement être plus commode. »
1
— Étienne Ghys

Histoire des géométries non euclidiennes


Les géométries à n dimensions et les géométries non euclidiennes sont deux branches séparées de la géométrie,
qui peuvent être combinées, mais pas obligatoirement. Une confusion s'est établie dans la littérature populaire à
propos de ces deux géométries. Parce que la géométrie euclidienne était à deux ou trois dimensions, on en
concluait, à tort, que les géométries non euclidiennes comportaient nécessairement des dimensions
2
supérieures .

Antiquité

La préhistoire de la géométrie non euclidienne est la longue suite de recherches et de tentatives


d'éclaircissement du cinquième postulat d'Euclide (le postulat des parallèles). Ce postulat — notamment car il
fait appel au concept d'infini — a toujours paru un peu « à part » et non évident aux mathématiciens, qui ont
cherché soit à le remplacer par un postulat plus simple et plus direct, soit à le démontrer à partir des autres
postulats d'Euclide. Ainsi, les mathématiciens arabes et perses dont notamment Thābit ibn Qurra, Alhazen, et
surtout Omar Khayyam ont étudié les liens entre le postulat des parallèles et la somme des angles des
quadrilatères et des triangles. Khayyam propose ainsi dès le XIe siècle une alternative au cinquième postulat
3
d'Euclide, et des tentatives de démonstration de ce postulat par l'absurde .
e
XVII siècle
Au XVIIe siècle, John Wallis et surtout Giovanni Girolamo Saccheri se sont inspirés des travaux de ces
mathématiciens et ont tenté de démontrer le postulat des parallèles. Saccheri consacra sa vie entière à essayer
de démontrer le postulat des parallèles par l'absurde, sans y parvenir. Mais, postulant « l'hypothèse de l'angle
aigu », qui postule que la somme des angles d'un quadrilatère est inférieure à quatre angles droits, non
seulement il n'aboutit à aucune contradiction mathématique flagrante, mais de plus il découvre tout un
ensemble de nouveaux théorèmes, cohérents et riches. Il est sur le point de découvrir une géométrie non
euclidienne (par exemple la géométrie hyperbolique, dans laquelle l'espace peut admettre une infinité de
parallèles à une droite donnée et passant par un point hors de cette droite), mais il n'acceptera jamais ces
a
nouveaux théorèmes qu'il considère comme « répugnants » .

Reprenant les travaux de Saccheri en 1766, Johann Heinrich Lambert reprend l'hypothèse de l'angle aigu, mais
ne conclut pas à une contradiction. Il réalise, au moins dans les toutes dernières années de sa vie, qu'il doit être
possible de bâtir des géométries cohérentes, soit à partir de l'hypothèse de l'angle aigu (géométrie
b
hyperbolique), soit celle de l'angle obtus (géométrie elliptique).
c
Lambert obtient notamment la formule , où C est une constante , qui donne l'aire Δ
d'un triangle dont les trois angles sont α, β et γ dans une géométrie fondée sur l'angle aigu (nommée de nos
jours une géométrie hyperbolique).

e
XIX siècle
4
Gauss, dès 1813 , a formulé la possibilité qu'il existe d'autres géométries que celle d'Euclide. Cependant il n'a
jamais osé publier les résultats de ses réflexions en ce sens « par crainte des cris des Béotiens », comme il
5
l'écrivit lui-même .

On distingue les géométries à courbure négative, comme celle de Lobatchevski (1829) et Bolyai (1832)
(somme des angles d'un triangle inférieure à 180°, nombre infini de parallèles possibles à une droite par un
point, par exemple la géométrie hyperbolique), des géométries à courbure positive comme celle de Riemann
(1867) (somme des angles d'un triangle supérieure à 180°, parallèles se rejoignant aux pôles, par exemple la
géométrie elliptique).

La géométrie communément appelée « géométrie de Riemann » est un espace sphérique à trois dimensions,
espace fini et cependant sans bornes, à courbure positive régulière, alternative au postulat euclidien des
parallèles. Riemann a conçu par ailleurs une théorie étendue des géométries non euclidiennes à n dimensions
(conférence de 1854).

L'idée de « géométrie non euclidienne » sous-entend généralement l'idée d'un espace courbe, mais la
géométrie d'un espace courbe n'est qu'une représentation de la géométrie non euclidienne, précise Duncan
Sommerville (en) dans The Elements of Non-Euclidean Geometry (Londres, 1914). Il existe des espaces non
euclidiens à trois dimensions.

Différents types de géométrie non euclidienne

Géométrie hyperbolique

Lobatchevski, Klein et Poincaré ont créé des modèles de géométrie dans lesquelles on peut tracer une infinité
de parallèles à une droite donnée et passant par un même point.

Il est remarquable que seul le cinquième postulat d'Euclide ait été levé ; les géométries non euclidiennes
Il est remarquable que seul le cinquième postulat d'Euclide ait été levé ; les géométries non euclidiennes
respectent par ailleurs toutes les autres définitions d'Euclide. En particulier, une droite est toujours définie
comme la ligne de plus court chemin joignant deux points sur une surface. Il existe plusieurs modèles de
géométrie hyperbolique à deux dimensions : le disque de Poincaré, le
demi-plan de Poincaré…

Géométrie elliptique

Riemann a introduit un autre modèle de géométrie non euclidienne, la


géométrie sphérique (parfois appelée géométrie elliptique sphérique).
Dans ce cas, par un point extérieur à une droite, on ne peut mener
aucune parallèle (autrement dit, toutes les droites passant par un point
extérieur à une droite donnée sont sécantes à cette droite, ou encore
toutes les droites de l'espace sont sécantes entre elles). Le modèle est Il existe une infinité de droites qui,
très simple : comme d1, d2 et d3, passent par le
point M et sont parallèles à la droite
les points sont les paires de points antipodes d'une D.
sphère ;
les droites sont les grands cercles (c'est-à-dire les
cercles ayant le même centre que la sphère).

Cette géométrie donne une courbure positive de l'espace (la somme des
angles d'un triangle est supérieure à deux droits, ou la somme de deux
angles successifs d'un quadrilatère est supérieure à deux droits, ou
encore il existe un triangle dont tous les angles sont droits).

Notes et références

Notes
a. La conclusion de Saccheri est restée célèbre : Il n'existe aucune droite passant par
« L'hypothèse de l'angle aigu est absolument fausse car le point M et parallèle à la droite D.
cela répugne à la nature de la ligne droite. »
b. La somme des angles d'un quadrilatère est supérieure à
quatre angles droits.
c. Aujourd'hui, C est nommée la « courbure Gaussienne » du
plan hyperbolique.

Références
1. [vidéo] Disponible (https://www.dailymotion.com/video/x1zaeyx_etienne-ghys-et-si-le-theoreme
-de-pythagore-n-etait-pas-vrai_school) sur Dailymotion. Étienne Ghys, mathématicien, directeur
de recherche au CNRS, remet en question les fondements des mathématiques : les axiomes.
2. Voir l'article Higher-Dimensional Euclidean Geometry (géométrie euclidienne en dimensions
supérieures) (http://www.math.brown.edu/~banchoff/Beyond3d/chapter9/section05.html) (en),
sur le site math.brown.edu.
3. A. Dahan-Dalmedico et J. Peiffer, Une histoire des mathématiques : Routes et dédales, 1986
[détail des éditions], chap. 4, Figures, espaces et géométries, section 11 : les géométries non
euclidiennes p. 152-153.
4. A. Dahan-Dalmedico et J. Peiffer, Une histoire des mathématiques : Routes et dédales, 1986
[détail des éditions] chap 4 Figures espaces et géométries section 11 : les géométries non
[détail des éditions], chap. 4, Figures, espaces et géométries, section 11 : les géométries non
euclidiennes p. 154.

5. « da ich das Geschrei der Böotier scheue », lettre de Gauss à Bessel du 27 juin 1829, citée
dans (de) H. Reichardt, Gauß und die Anfänge der nicht-euklidischen Geometrie, Springer-
Verlag, 2013, 250 p. (ISBN 978-3-7091-9511-6, lire en ligne (https://books.google.fr/books?id=4
6GuBgAAQBAJ&pg=PA40)), p. 40.

Voir aussi

Bibliographie

Aspects historiques

Luciano Boi, Le problème mathématique de l'espace - Une quête de l'intelligible, Springer-


Verlag (1995)
Une histoire philosophique du concept mathématique d'espace, de la géométrie
euclidienne au développement des géométrie modernes non euclidiennes, dont la
version riemannienne est indispensable pour la formulation de la relativité générale ;
niveau premier cycle universitaire minimum.
Marvin J. Greenberg, Euclidean & Non-Euclidean geometries - Development & History,
(en)
W.H. Freeman & Co., New-York (3e édition-1996)
Un livre de mathématiques qui retrace l'histoire et le développement des géométries non
euclidiennes, essentiellement à deux dimensions (géométries de Gauss, Bolai et
Lobachevsky) ; accessible à l'« honnête homme cultivé ».
(en)Max Jammer, Concepts of space - The history of theories of space in physics, Dover
Publications, Inc. (3e édition-1993)
Une histoire érudite du concept d'espace, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours ; niveau
premier cycle universitaire.
Jean-Claude Pont, L'aventure des parallèles : histoire de la géométrie non euclidienne,
précurseurs et attardés, Berne, Lang, 1986, 736 p. (ISBN 3-261-03591-9)
(en) Boris Abramovich Rosenfeld (trad. du russe), A history of non-euclidean geometry :
evolution of the concept of a geometric space, New York, Springer, 1988
(DOI 10.1007/978-1-4419-8680-1 (https://dx.doi.org/10.1007%2F978-1-4419-8680-1))
A. Papadopoulos et Guillaume Théret, La théorie des parallèles de Johann Heinrich Lambert
(édition critique du mémoire de Lambert, traduction française, avec commentaires
mathématiques et historiques), éd. Blanchard, coll. Sciences dans l'Histoire, Paris, 214 p.,
2014. (ISBN 978-2-85367-266-5)

Ouvrages de mathématiques
Jean-Pierre Bourguignon, Espaces courbes [détail des éditions]
(en) Norbert A'Campo et Athanase Papadopoulos, Notes on hyperbolic geometry, in:
Strasbourg Master class on Geometry, pp. 1--182, IRMA Lectures in Mathematics and
Theoretical Physics, Vol. 18, Zürich: European Mathematical Society (EMS), 461 pages,
2012 (ISBN 978-3-03719-105-7), DOI:10.4171/105 (https://dx.doi.org/10.4171%2F105)
Marcel Berger et Bernard Gostiaux, Géométrie différentielle : variétés, courbes et surfaces
[détail des éditions]
[détail des éditions]
(en) Marcel Berger, A Panoramic View of Riemannian Geometry, 2003 [détail de l’édition]

Comme l'indique son titre, le grand géomètre français nous convie ici à une longue (824
pages) promenade panoramique dans le monde de la géométrie riemannienne ; les
divers résultats sont pour la plupart donnés sans démonstrations détaillées, mais avec
les références idoines pour le lecteur qui souhaiterait mettre « les mains dans le
cambouis » ; le dernier chapitre donne les bases techniques du domaine.
Jean-Marc Daudonnet, Bernard Fischer, Courbure des surfaces. Introduction aux géométries
non euclidiennes, JIPTO 2009 (ISBN 2-35175-028-4)
Boris Doubrovine (de), Anatoli Fomenko et Sergueï Novikov, Géométrie contemporaine -
Méthodes et applications, 1984 [détail des éditions] (Première partie : géométrie des surfaces,
des groupes de transformations et des champs).
Une introduction très pédagogique à la géométrie, avec des applications à la physique,
écrite par des spécialistes russes. L'approche étant plutôt intuitive, cet ouvrage est
accessible à partir du premier cycle universitaire pour un « bon » étudiant motivé.
(en) Birger Iversen, Hyperbolic Geometry, London Mathematical Society Student Texts 25,
Cambridge University Press, 1992 (ISBN 0-521-43528-5)
(en) Nikolai I. Lobachevsky, Pangeometry, Translator and Editor: A. Papadopoulos, Heritage
of European Mathematics Series, Vol. 4, European Mathematical Society, 2010
(en) Michael Spivak, (A Comprehensive Introduction to) Differential Geometry [détail des
éditions]
Traité de référence en cinq volumes.
(en) John Stillwell, Geometry of Surfaces, 1992, coll. « Universitext », 1995, 236 p.
(ISBN 978-0-387-97743-0, lire en ligne (https://books.google.fr/books?id=PTNHBGAtjTYC))

Ouvrages pour physiciens théoriciens


(en) Yvonne Choquet-Bruhat et Cécile DeWitt-Morette, Analysis, Manifolds and Physics -
Part I: Basics, North-Holland, 1989 (ISBN 978-0-44486017-0)
(en) Theodore Frankel, The Geometry of Physics - An introduction, Cambridge University
Press, 2004, 2e éd. révisée et illustrée (ISBN 978-0-52153927-2)
(en) Mikio Nakahara, Geometry, Topology and Physics, Institute of Physics Publishing, 2003,
2e éd. illustrée (ISBN 978-0-75030606-5)
(en) Charles Nash et Siddhartha Sen, Topology and Geometry for Physicists, Academic
Press, 1983 (ISBN 978-0-12514080-5)

Ouvrages de philosophie
Gaston Bachelard, Le nouvel esprit scientifique, 1934.
Introduction non technique au sujet.
Imre Toth, Liberté et vérité. Pensée mathématique et spéculation philosophique, Paris,
Éditions de l'Éclat, 2009, 144 p.
Une critique des réticences frégéennes sur la GNE.
Imre Toth, Palimpseste. Propos avant un triangle, Paris, Presses universitaires de France,
2000, 528 p., (ISBN 9782130500032).

A t l di
Aspects ludiques

Jean-Pierre Petit, Le Géométricon, bande dessinée de la collection Les Aventures d'Anselme Lanturlu, éd.
Belin, (ISBN 2-7011-0372-X)

Articles connexes
Courbure
Géométrie absolue
Géométrie dans l'espace
Géométrie différentielle
Relativité générale
Théorème de plongement de Nash
Quatrième dimension (art)

Liens externes
Promenade non euclidienne (http://www.ens-lyon.fr/asso/groupe-seminaires/seminaires/voirs
em.php?id=cboubel), conférence donnée par Charles Boubel, ENS Lyon.
Tractrices, pseudosphère (http://matthieu.net/cheminlepluscourt/autres_geometries.php)
Géométries planes non euclidiennes (http://www-cabri.imag.fr/abracadabri/GeoNonE/GeoNo
nE.htm) sur le site universitaire associé à Cabri Géomètre
Plan hyperbolique (http://xavier.hubaut.info/coursmath/var/planhyp.htm), par Xavier Hubaut

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