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Theorie de Mecanismes 2021 - Part2
Theorie de Mecanismes 2021 - Part2
Questions
L'étau serre une pièce 4 ayant la forme d'un parallélépipède rectangle. Les liaisons planes (L4) et (L5) de la pièce
avec les mors sont de normale x (figure 2).
Questions
Figure. 3
0 L1 X2 0 X 3 pX 3
12 Y1 M 1 23 Y2 M 2 31 Y3 M 3
Z N Z N Z N
O 1 1 O 2 2 O 3 3
Figure. 5
X4 0 X5 0
2 4 0 M 4 1 4 0 M 5
0 N 0 N
O 4 O 5
→ → → ;
0
O → ( x , y ,z )
0 0 0
→ → → → . → .
→ → → → → . → .
→ 0 → . → . . → .
A ( x , y ,z ) O
0 0 0
( x , y ,z )
0 0 0
→ → → →
→ → → → → . →
→ 0 → . →
B ( x , y ,z )
0 0 0
O ( x , y ,z )
0 0 0
0 0
→ → →
B → → ( x , y ,z )
0 0 0
é é :
Torseur associé à l’action mécanique extérieure sur (1), supposons que ce torseur soit un torseur couple d’axe
(o, ) [couple provenant du moteur pour maintenir (1) à sa position] :
0 0
→ 0 0
0
O ( x , y ,z )
0 0 0
Torseur associé à l’action mécanique extérieure sur le piston (3), supposons que ce torseur soit un glisseur en
B, dont la résultante → 3 est portée par (B, ) [résultante des forces de pression sur (3)]:
→ 0
→ 0 0
B 0 0 ( x 0, y 0, z 0)
Appliquons successivement le principe fondamental de la statique au solide (1), (2) et (3).
→ - → =0 (1) → - → - . → . =0 (4)
→ - → =0 (2) → - → + . → . =0 (5)
→ – → = 0 (3) . → . . → . =0 (6)
→ - → =0 (7) → → . → . =0 (10)
→ - → =0 (8) → → . → . → . =0 (11)
→ - → = 0 (9) . → . . → . . → =0 (12)
→ → = 0 (13) → =0 (16)
→ - → =0 (14) → - → =0 (17)
→ → =0 (15) → =0 (18)
. / → . /
La loi entrée-sortie dégagée par une étude cinématique peut s’écrire par sa nouvelle façon :
/ . → . . → .
/ → →
Cette équation introduit une relation entre 3 inconnues → , → et → . La connaissance de 2 permet le
ème
calcul de la 3 ; le rang du système linéaire est donc :
rs=17
Le nombre d’inconnues non principales du système est :
h=Ns- rs=19-17=2
Ces deux inconnues hyperstatiques sont :
→ ou → ou → ou → ou → ou →
→ ou → ou → ou →
Remarque : interprétation géométrique
Si on conserve les liaisons (L1) et (L4), la première inconnue hyperstatique correspond à une liberté en translation
suivant z qu'il faut donner aux liaisons (L2) ou (L3) pour que le montage de la chaîne cinématique soit possible, ou
qu'elle fonctionne sans risque de coincement.
La seconde inconnue hyperstatique correspond à une liberté en rotation suivant y qu'il faut permettre aux liaisons
(L2) ou (L3) pour les mêmes raisons que précédemment.
Première modélisation (a) : m = 3 [1 mobilité Utile et 2 mobilité internes : rotation de la bielle 2 sur elle-même et
rotation du piston 3 sur lui-même] et = 1 et Nc = 9. ==> h=3+6-9=0
Deuxième modélisation (b) : m = 3 [1 mobilité utile et 2 mobilité internes rotation du piston 3 sur lui-même et
translation de la bielle (2) suivant ( z)] et = 1 et Nc = 9. ==> h=3+6-9=0
Troisième modélisation (c) : m = 1 [mobilité utile] et = 1 et Nc = 7. ==> h=1+6-7=0
Les trois modélisations proposées sont isostatiques.
VII. MODÉLISATION D’ÉLÉMENTS TECHNOLOGIQUES PARTICULIERS
Dans le cas des engrenages cylindriques à denture droite la normale est la « ligne d’action » (appelée aussi
« droite de pression ») inclinée d’un angle α (α est généralement autour de 20°) par rapport à la tangente aux
cercles primitifs.
Ces modèles ne sont pas valables dans le cas du système roue-vis sans fin pour lequel les composantes
tangentielles d’effort de contact ne peuvent être raisonnablement négligées.
TAMBOUR-MOTEUR
22 9 23 8 4 7 3 2 10 23 21
11 1
12
34
13
17
18
18
17 16
Collé
14 15
19
13
2
24
5
27
20 6 33 30 32 29 28 31 25 26 35
18 2 JOINT A LEVRES
17 2 ANNEAU ELASTIQUE POUR ARBRE 35 1 CLAVETTE
16 2 ANNEAU ELASTIQUE POUR ARBRE 34 6 VIS HC
15 1 AXE SUPPORT 33 1 ANNEAU ELASTIQUE POUR ARBRE
14 1 AXE SUPPORT 32 1 ANNEAU ELASTIQUE POUR ALESAGE
13 2 ROULEMENT A BILLES 31 1 VIS DE PRESSION
12 2 CLAVETTE PARALLELE 30 1 ROULEMENT A BILLES
11 2 VIS DE PRESSION HC 29 1 BAGUE
10 1 CARTER DU REDUCTEUR 28 1 ROUE DENTEE
9 1 CARTER DU REDUCTEUR 27 1 PIGNON ARBRE
8 3 ECROU H 26 1 BAGUE
7 3 TIRANT (GOUJON) 25 1 ROULEMENT A AIGUILLES
6 1 BAGUE ENTRETOISE 24 1 ROUE DENTEE
5 BOBINAGE DU STATOR 23 8 VIS CHc + RONDELLE
4 1 STATOR 22 1 FLASQUE
3 1 ROTOR 21 1 FLASQUE
2 2 ROULEMENT A BILLES 20 1 TAMBOUR
1 1 AXE ROTOR (PIGNON ARBRE) 19 1 ANNEAU ELASTIQUE POUR ALESAGE
REP NB DESIGNATION REP NB DESIGNATION
Document (0)
Le document (0) du dossier technique représente le tambour moteur d’un tapis roulant.
L’arbre (1) du moteur électrique transmet son mouvement de rotation au tambour (20) grâce au réducteur à
engrenage constitué par les deux couples 1 - 28 et 27 - 24.
A 18 - 19 - 20 - 21 - 22- 23-24 - 34
B 1-……………………………………………….
C 27-……………………………………………
D 5-6-7-8-9-………………………………………
A
A
Linéaire rectiligne →
B
D C
L1 L2 L1 → C
L2 O2 O1
D
B
3. Soit R (O, X , Y , Z )
un repère lié à l’axe du rotor (1).
On se propose de déterminer la liaison équivalente aux deux liaisons en parallèle entre SE B (moteur) et
SE D (support) et le schéma cinématique équivalent.
3.a. Déterminer la liaison équivalente (LBD : L1+L2) :
Par une étude statique
Par une étude cinématique
3.b. Déterminer le nombre de chaînes continues fermées (nombre cyclomatique ).
3.c. Par une étude cinématique déterminer le degré de mobilité de la chaîne complexe. En déduire
son degré d’hyperstatisme.
4. On se propose de remplacer tous les guidages en rotation par roulements en guidages par contact direct ;
pour chacune des liaisons pivot considérés, calculer les valeurs limites des jeux radiaux et axiaux.
Quelle est la liaison dont les jeux sont suffisamment importants pour être modélisé par une liaison linéaire
annulaire ? Définir celle-ci ; donner alors le nouveau graphe des liaisons du mécanisme.
A A,B,C
Pivot Liaison Ec Eb Db Da
Linéaire rectiligne
A-D 20 .
20 .
. 10 .
10 .
.
D Pivot
C B-D 12 .
12 .
. 10 .
10 .
.
Pivot
B Linéaire rectiligne D C-D 12 .
. 12 .
. 10 .
10 .
.
1/
B 1-……………………………………………….
C 13-……………………………………………
2/ Le mécanisme de transmission de mouvement en rotation de l’appareil à brosser les patins de télécabines est
modélisable par le schéma architectural suivant.
2-1/ Compléter ce schéma : (2 Pts)
Y
…
…
O3
O1
…
O6 O4
O5 O O2
X
Brosse
Les liaisons L1, L2, L3, L4, L5 et L6 sont respectivement situées aux centres O1, O2, O3, O4, O5 et O6.
On paramètre le système dans (o, x , , ) : O O ;O O ; O O ; O O
2-2/ Déterminer, par une étude statique la liaison équivalente (L1-3 : L1+L3). (3 Pts)
2-3/ Déterminer, par une étude cinématique la liaison équivalente (L2-4 : L2+L4). (3 Pts)
3/ La liaison équivalente à (L5+L2-4) au point o est une liaison pivot d’axe (o, x ) et l’épaisseur des roues dentées est
négligeable devant leurs diamètres, retracer à main levée le schéma cinématique minimal et en déduire le graphe de
liaisons. (2 Pts)
4/ Déterminer le nombre de chaînes continues fermées (nombre cyclomatique ). (1 Pts)
5/ Par une étude cinématique déterminer le degré de mobilité de la chaîne complexe. (On prend rc=5) ;
En déduire son degré d’hyperstatisme. (4 Pts)
6/ On se propose de remplacer les deux guidages en rotation par roulements en guidages par contact direct ; pour
chacune des liaisons pivots considérées, calculer les valeurs limites des jeux radiaux et axiaux.
3/
2-2/ Liaison équivalente (L1-3 : L1+L3) par étude statique : (L1et L3 sont 2 liaisons en parallèle)
0 0 0
0 0 ; 0 = 0 ; => 0
O1 0 O3 0 O1 0 O1
La liaison équivalente L1-3 est une liaison pivot d’axe (O1, ).
2-3/ Liaison équivalente (L2-4 : L2+L4) par étude cinématique. (L2et L4 sont 2 liaisons en parallèle)
0 0 0
0 ; 0 = ;
O2 0 O4 0 O2
0 0
=> 0
O2 0 O2
Les relations déduites sont :
0 0
0 0 0
0
0
La liaison équivalente L2-4 dont le torseur est : 0 0 est une liaison pivot d’axe (O2, ).
y
C 0 0
3/
A
pivot pivot
B
C B
Ponctuelle
x
Bross
A
4/ γ = L-N+1=3-3+1=1
5/ m = Nc-Rc = (1+1+5)-5 = 2 ; h = m+6 γ- Nc = 2+6-7 = 1
6/ la liaison dont les jeux sont suffisamment importants pour être modélisée par une liaison linéaire annulaire est