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Toaz - Info Compte Rendu PR
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La commande des machines électriques est l’une des applications des convertisseurs statiques.
Cette commande nécessite l’association d’une machine (courant continu, synchrones,
asynchrones ou autres) dont le fonctionnement est à une vitesse variable en lui conservant un
couple optimum, à un convertisseur statique (redresseur, hacheur, gradateur, onduleur). En
fait, le choix du moteur d’entraînement dépend du travail demandé, du lieu de travail et de la
puissance à fournir. De même, la source d’énergie dont on dispose, les contraintes sur les
paramètres que l’on doit fournir et le prix de revient de l’ensemble déterminent le type du
convertisseur à associer au moteur. Alors, on ambitionne d’étudier et d’analyser les
possibilités d’association de convertisseur en vue de la commande.
Il est essentiel de connaître les mises en équation des machines à courant alternatif,
continue et des convertisseurs pour en déduire les schémas fonctionnels à partir
desquels les commandes sont conçues. Les mises en équation des machines sont
basées habituellement sur des transformations qui existent sous différentes variantes
Enfin on peut mettre en ouvre, vérifier toutes ces équations et avoir une perspective
de notre système avant même de le réalisé grâce à un outille informatique très utiliser
en électrotechnique qui y est matlab-Simulink, voici une brève description de ce
dernier
Comme objectifs du tp :
Ensuite nous allons analyser le comportement des caractéristiques (vitesse, courant……..) des
machines cités précédemment sans et avec couple résistant.
Avant d’entamer la rédaction des équations un rappelle théorique sera bénéfique pour bien
assimiler les étapes qui seront étudiées ultérieurement.
Le hacheur :
Un hacheur est un système électronique permettant de faire varier la vitesse d'un moteur à
courant continu en faisant varier la tension moyenne d'alimentation du moteur Umot = Vcc
1
Redresseur commandé :
Comme pour le hacheur, le redresseur permet de faire varier la tension moyenne du moteur.
On fait varier la tension motrice en agissant sur l'angle d'amorçage des thyristors.
L'avantage du redresseur est qu'il transforme directement la tension alternative en tension
continue variable ce qui représente un cout moins important par rapport au hacheur.
Equation électrique :
= . + = ( - . )
= . . + . + = ( - . - )
= *
- - . =J = ( . . - - )
Si = cts = *
2
= ( - . - )
= ( . - - )
Equations magnétiques :
Equations électriques :
Equation du mouvement :
Avant d’entamer la simulation nous allons devoir procéder à quelques étapes préliminaires
dans le but est d’avoir une bonne organisation du travail qui sera effectuer durant le tp
Paramètres de la MCC:
Vq=220;
Rq=0.26;
Kf=0.001;
J=0.1;
Km=0.6;
Lq=0.0078;
Cr=0;
f=50;
w=2*pi*f;
Vmax=220*sqrt(2);
T=1/f;
alpha=50;
Paramètres du redresseur:
%paramètres du redresseur
f=50;
w=2*pi*f;
Vmax=220*sqrt(2);
Paramètres du hacheur:
%paramètres du hacheur
f=200;
w=2*pi*f;
Vmax=220*sqrt(2);
T=1/f;
alpha=50;
4
Modèle (1): outils Simulink
1 2
iq
wr
1
1
vq 1/Lq -K-
s 1
1/J
Integrator Gain2 s
Gain
Gain3 Integrator1
Rq 2
Gain1 cr
Kf
Gain4
-K-
Gain5
iq
vq MATLAB 1
Mux
Function s
Integrator MATLAB 1
MATLAB Fcn Mux 2
Function s
Integrator1 wr
MATLAB Fcn1
cr
1 1
1 -K- 2
Lq.s+Rq J.s+Kf
vq wr
Transfer Fcn Gain Transfer Fcn1
2
cr
-K-
Gain1
5
Simulation d’un pont redresseur triphasé à diodes:
MATLAB
Function
MATLAB Fcn1
MATLAB
1 max
Function
Alpha
MATLAB Fcn2 MinMax1
1
MATLAB Ured
Product
Function
MATLAB Fcn3 2
Vmax
min
MinMax
t
Clock
To Workspace
w
Gain
Alpha
Ured ured
To Workspace1
MATLAB
Function Vmax Vmax
Constant
Redresseur à diodes
6
Simulation d’un hacheur série :
7
La courbe du courant en fonction du temps :
500
400
courant(A)
300
200
100
X: 0.8931
Y: 0.6104
0
-100
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
350 X: 0.7212
Y: 366.4
vitesse de rotation(rd/s)
300
250
200
150
100
50
0
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
Iq=0,6104 (A) ;
Le courant avant qu’il atteigne son régime permanent il passe par un pique au régime
transitoire qui y est du au démarrage du moteur car pour faire tourner le rotor ce dernier doit
consommer un courant très important pour vaincre son inertie a l’état statique ; jusqu’a
atteindre une vitesse constante et voir le courant se stabiliser au régime permanent
Cem=f.wr
De même pour la vitesse elle passe par un régime transitoire (elle augmente) jusqu’a atteindre
une valeur constante (régime permanent).
= . . + . + = ( - . - )
- - . =J = ( . . - - )
( - . - 0 ( - . - 0
( . - - 0 ( . - - 0
0
Vq=220;
Rq=0.26; 0.6wr+0.26iq=220 ……. (1)
Kf=0.001; on aura donc 0.6iq-0.001wr=0 ……… (2
Km=0.6;
9
a.4.La valeur maximal du courant au début du régime transitoire :
( - . - )
( . - - )
km Δvq(p) 0
Ensuite on cherche iq(t) et on la dérive par rapport a t, on va trouver une valeur de t quant va
remplacer dans l’équation de iq(t) et on aura le courant maximal environ (567.1A).
10
3-1-2) Simulation de l’action d’un couple résistant qui entre en action à un instant
donné : (t=0.6s Cr=50N.m):
500
400
courant induit(A)
300
200
X: 0.9296
Y: 84.36
100
-100
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
Interpretation :
Le courant augumente consedirablement au moment de l’aplication du couple resistant , car
c’est la charge qui éxige cette augmentaion cela peut se traduit par la relation suivante : Ce =
Pe/(2.pi.n) = E'*I / 2.pi.n =K*I
350
300 X: 0.8985
Y: 330.1
250
vitesse(rd/s)
200
150
100
50
-50
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
Interprétation :
Au moment de l’application du couple résistant la vitesse du moteur diminue à cause de la
charge qui agit comme un frein mécanique.
a-3 : Les valeurs du courant induit, et de la vitesse de rotation à (t=0.6s et avec Cr = 50) :
N.m) :
iq= 84, 36 (A), wr=330 ,1 (rd/s).
11
a-4 : Interprétation des resultats numériques :
= . . + . + = ( - . - )
- - . =J = ( . .if - Cr- f r)
diq d
Au régime permanant =0et dt r 0 donc on aura :
dt
1
Lq
( q - m. r - q iq 0 ( q - m. r - q iq 0
1
( m . iq - Cr - f r 0 ( m . iq - Cr - f r 0
Vq=220;
Rq=0.26; 0.6wr+0.26iq=220 ……. (1)
Kf=0.001; on aura donc
Km=0.6; 0.6iq-50-0.001wr =0 ……… (2
Cr=50 ;
12
3-2 : Simulation de l’ensemble MCC-redresseur-hacheur :
500
400
courant induit(A)
300
200
100
-100
-200
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
Interprétation :
Vu que le moteur est alimenté avec du courant continue et commandé avec un ensemble
(redresseur / hacheur) On remarque des oscillations du courant induit cela est du au rapport
cyclique alpha qui agit sur la période.
13
a-2 : Traçage de la vitesse de rotation sans couple résistant :
250
X: 1.84
vitesse de rotation(rd/s)
Y: 254.6
200
150
100
50
0
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
Interprétation :
Le rapport cyclique infecte la vitesse de rotation du moteur étudie en d’autres terme la vitesse
varie avec la variation du rapport cyclique alors, on peut conclure que le hacheur est très
fiable pour la commande d’un moteur a courant continu.
a-4 : traçage du courant induit avec couple résistant à : (t=1.6 et Cr=50 N.m):
500
400
courant induit (A)
300
200
100
-100
-200
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
14
Interprétation :
a-5 : traçage de la vitesse de rotation avec couple résistant à : (t=1.6 et Cr=50 N.m) :
250 X: 1.879
Y: 218.9
vitesse de rotation(rd/s)
200
150
100
50
0
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
Interprétation :
15
Partie2 : convertisseur- machine asynchrone
Paramètres de l'onduleur:
%Paramtres de l'onduleur
f=50;
w=2*pi*f;
Vpmax=12;
16
Vrefmax=10;
m=21;
Veo=220*(3/2)*sqrt(2);
MATLAB
idr iar 4
Function
MATLAB 1 MATLAB Fcn6 iar
Function s
Mux MATLAB
MATLAB Fcn Integrator iqr ibr
1 Vas Function
Va MATLAB 1 MATLAB Fcn7 Terminator4
Vds
Function s
2 Vbs MATLAB Fcn1 Integrator1 Tetar icr
Vb
Terminator5
MATLAB 1
Mux idsr ia 3
3 Vcs Function s transformation
Vc Integrator2 ias inverse de park1
MATLAB Fcn2
Vqs
4 Teta MATLAB 1
iqsr ib
Teta 5 Function s
MATLAB Fcn3 Integrator3 Terminator2
transformation Cr
de park MATLAB
1 Tetas ic
Function
6 Cem Terminator3
MATLAB Fcn4
ws transformation
MATLAB 1
2 inverse de park
Function s
wr 1
MATLAB Fcn5 Integrator4 s
Integrator5
t
Clock t
w
omega
v s1 Va
Vmax Vmax Cem Cem
Vmax Cem
v s2 Vb
Teta2 wr wr
v s3 Vc
wr
Bloc alimentation Teta
ias ias
Cr ias
Cr
w/p ws
iar iar
iar
w
MAS
17
Bloc Transformation de Park:
1 MATLAB
1
Vas Function
Vds
2 MATLAB Fcn8
Vbs Mux
3
Vcs MATLAB
2
Function
4 Vqs
MATLAB Fcn9
Teta Mux
MATLAB
1
Function
1 ia
MATLAB Fcn1
idsr
MATLAB
2 Mux 2
Function
iqsr ib
MATLAB Fcn2
3
MATLAB
Tetas Mux 3
Function
ic
MATLAB Fcn3
18
Simulation de l’Onduleur triphasé commandé par MLI «Modulation de Largeur
d’Impulsion» :
Bloc onduleur à MLI :
vr ca
To Workspace1 To Workspace
Vref 1 Vref 1 C1 C1
Va 1
1 teta
Va
teta Vref 2 Vref 2
C2 C2
2 Vref max
Vref 3 Vref 3
Vb 2
Vrefmax Vb
Tensions de référence C3 C3
Vp
3 teta1
Onduleur à MLI
6 Veo
Vc 3
teta1 Vc
Veo
4 m vp vp Onduleur
m To Workspace2
5 Vpmax
Vpmax
Porteuse
Sub-systeme :
t
Clock
To Workspace
w
teta
Va va
Gain
Vrefmax Vref max To Workspace1
Constant
teta1
Vb vb
m m To Workspace2
Constant1
Vpmax Vpmax
Constant2 Vc vc
Veo Veo
To Workspace3
Constant3
Onduleur à MLI
MATLAB
1
Function
1 Vref1
MATLAB Fcn
teta MATLAB
Mux 2
Function
Vref2
MATLAB Fcn1
2
MATLAB
3
Vrefmax Function
Vref3
MATLAB Fcn2
19
Matlab Fcn : u(2)*sin(u(1))
Matlab Fcn1 : u(2)*sin(u(1)-2*pi/3)
Matlab Fcn2 : u(2)*sin(u(1)-4*pi/3)
teta1
MATLAB
Mux
Function
MATLAB Fcn MATLAB
2 Mux 1
Function
m MATLAB Fcn1 vp
3
Vpmax
1
1 1
Vref1 0 C1
Switch
2 2
Vref2 0 C2
Switch1
3 3
Vref3 0 C3
4 Switch2
Vp
Bloc Onduleur :
1 MATLAB
1
C1 Function
Va
MATLAB Fcn
2
MATLAB
C2 Mux 2
Function
3 Vb
MATLAB Fcn1
C3
MATLAB
3
4 Function
Vc
MATLAB Fcn2
Veo
20
Matlab Fcn: (u(4)/3)*(2*u(1)-u(2)-u(3))
21
a-1-1 : Tracé du courant statorique :
60
40
X: 0.9211
20 Y: 8.263
ias(A)
-20
-40
-60
-80
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
40
20
iar(A)
-20
-40
-60
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
22
a-1-3 : Tracé du couple électromagnétique :
Fig 10 : couple électromagnétique en fonction du temps
300
250
200
cem (N.m)
150
100
50
X: 0.9408
Y: 1.568
0
-50
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
120
100
wr(rd/s)
80
60
40
20
0
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
Interprétations :
Dans la figure 9 on remarque l'établissement de courant à sa valeur de référence nulle en un
temps de réponse satisfaisant. A vide l'induit ne débite aucun courant. Le rotor est entraîné à
la vitesse nominale n constante
Pour la figure10 il faut noter qu’au démarrage le courant est très important ce qui engendre
un couple pulsatile peuvent causer l’échauffement de la machine
La caractéristique de figure 11 est similaire à celle d'une MCC (Machine à Courant Continu)
comme on le constate à travers de l’allure exponentiel de la vitesse qui s’établie à une valeur
constante après un régime transitoire
Régime permanent
ias(A) 8.26
iar(A) 0
Cem(N.m) 1.568
wr(rd/s) 156.8
23
Calcul de la fréquence rotorique :
60
40
X: 0.9225
20 Y: 13.08
ias(A)
-20
-40
-60
-80
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
40
X: 0.7969
20 Y: 9.713
iar(A)
-20
-40
-60
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
24
b-1-3 : Tracé du couple électromagnétique :
250
200
cem(N.m)
150
100
X: 0.9281
Y: 51.46
50
-50
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
140 X: 0.9335
Y: 146.5
120
100
wr(rd/s)
80
60
40
20
0
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1
temps(S)
Interprétation :
Ces figures sont le résultat de la simulation après insertion d’un couple résistant de Cr=50N.m
a t=0.5 s une augmentation du couple. Cette dernière provoque une diminution de vitesse qui
stabilise a 146 .5 rd /s et une augmentation dans le courant statorique, on obtient un couple
qui temps vers sa valeur finale.
25
b-2 : Les valeurs du courant rotorique, statorique, la vitesse et le couple et le couple
électromagnétique au régime permanent :
Régime établi
ias(A) 13.08
iar(A) 9.715
Cem(N.m) 51.46
wr(rd/s) 146.5
c) Simulation de la MAS alimenté par un onduleur commandé par MLI sans couple
résistant :
c-1 : Tracé du courant statorique et rotorique, du couple électromagnétique et de la
vitesse de rotation en fonction du temps:
40
30
20 X: 1.881
Y: 8.354
10
ias(A)
-10
-20
-30
-40
-50
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
26
c-1-2 : Tracé du courant rotorique :
fig16: courant rotorique en fonction du temps
40
30
20
X: 1.877
10 Y: 3.17
iar(A)
-10
-20
-30
-40
-50
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
120
100
80
cem(N.m)
60
40
X: 1.926
Y: 14.78
20
-20
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
120
vitesse de rotation(rd/s)
100
80
60
40
20
-20
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
27
Interprétations :
Pour la fig15 on remarque une intense ondulation périodique.
Pour la fig16 Nous constatons l'établissement de courant à sa valeur de référence en un temps
de réponse satisfaisant.
Ces figures sont le résultat de la simulation sans couple résistant on remarque de grandes
ondulations et harmoniques pour les courants statorique et rotorique et le couple sauf pour la
vitesse on a pas de dépassement reste linéaire.
Régime permanent
ias(A) 8.53
iar(A) 3.17
Cem(N.m) 14.78
wr(rd/s) 156.4
D : Simulation de la MAS alimenté par un onduleur commandé par MLI avec le couple
résistant (Cr=40N.m):
D-1 : Tracé du courant statorique et rotorique, du couple électromagnétique et de la
vitesse de rotation en fonction du temps:
40
30
X: 1.941
20 Y: 15.55
10
ias(A)
-10
-20
-30
-40
-50
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
28
D-1-2 : Tracé du courant rototorique :
fig20: courant rotorique en fonction du temps
40
30
20
10
0
iar(A)
-10
-20
-30
-40
-50
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
140
120
100
80
cem(N.m)
X: 1.928
60 Y: 52.49
40
20
-20
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
160
140
vitesse de rotation(rd/s)
120 X: 1.929
Y: 130.4
100
80
60
40
20
-20
0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8 2
temps(S)
29
Interprétations :
De la figure 20 à l’instant d’insertion de couple résistant on remarqua l’apparition d’un
courant sinusoïdale ondulé.
De la figure 21 On obtient un couple qui temps vers sa valeur finale avec des ondulations à
cause des harmoniques Ce=Cr à l’établissement.
Cette dernière figure 22 est le résultat de la simulation après insertion d’un couple résistant de
Cr=40N.m a t=1s l'application d'une charge(Cr) introduit une chute de vitesse.
Ces figures sont le résultat de la simulation après insertion d’un couple résistant de Cr=40N.m
a t=0.5 s une augmentation du couple. Cette dernière provoque une diminution de vitesse qui
stabilise a 149 .5 rd /s et une augmentation dans un courant statorique avec un courant
rotorique sinusoïdale et pas de dépassement pour la vitesse.
Conclusion :
À travers cette partie du tp nous avons simulé les caractéristiques d’une machine asynchrone,
à vide et en charge en exigent un coupe résistant, associée à un ensemble hacheur- onduleur à
fin de minimiser les harmoniques.
Certes cette manipulation n’est pas complète car elle ne contient pas de filtre, c’est pour ca en
remarque des ondulations qui nous empêchent d’avoir un signal sinusoïdale parfait.
Enfin La nécessité d'obtenir des ondes sinusoïdales conduit à l'utilisation de la M.L.I. mais la
tension à ses bornes est une succession de pulses de tension de largeur variable.
Conclusion général :
La première partie illustre la simulation d’un moteur à courant continue avec et sans couple
résistant à travers une alimentation directe, ensuite on a refait les mêmes essais en alimentant
le moteur à coutant continue par un ensemble redresseur-hacheur.
La deuxième partie présente la simulation d’un moteur asynchrone avec et sans couple
résistant en alimentation direct, ensuite le même moteur sera alimenté avec un onduleur
commandé par MLI.
30
31