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Identité de l'enseignement

Voici quelques idées pour vous aider à construire votre texte :


- l'enseignant
- le groupe classe
- un élève
- les collègues
- un (des) contenu(s) d'enseignement
- des méthodes d'enseignement
- le local
- la disposition spatiale
- les modalités d'évaluations
-...
Travail:
Temps 1:
Décrire sur une feuille, tous les items (comme vous les verriez dans votre situation idéale).
Temps 2:
Former des quatuors et choisissez un item sur lequel vous aimeriez échanger.
Présentez chacun vos productions, échangez sur vos similitudes et vos divergences.

Temps 3:
Regardez seul les capsules vidéos ("Pourquoi pas prof,"), qu'avez-vous appris à travers les
témoignages que vous avez écoutés?
( mettre par écrit ses réflexions)

ATTENTION: ce document écrit devra se trouver dans votre dossier de l'enseignant (Q2), donc
faites-le avec sérieux.

Situation idéale de travail

Pour moi une situation idéale serait avec un enseignant compréhensif, qui fait la part
des choses (sait rire mais sait bien travailler), qui donne l'envie d'apprendre par son
envie de donner cours. Pour moi, un enseignant doit être capable de prendre
conscience de la différence de ses élèves et doit donc savoir évaluer, encourager ses
élèves par rapport a a leur propre valeur et compétence.
Le groupe classe devrait avoir envie d'apprendre, envie d'exploiter différents sports.
Les dix non-dits Exam : donné des exemples des "dix non-dits"

1. La peur : prétendre savoir mieux que les élèves et mieux que les parents ; cette
supériorité n’est pas sans faille, ce qui expose à certains retours de bâton ;
1.1. Rendre la justice, donc être contestable et contesté au nom de l’équité ;
1.2. Exercer un pouvoir et instituer une loi, donc affronter des résistances ouvertes ou
latentes qu’on n’est pas toujours sûr de pouvoir surmonter ;
1.3. Sanctionner certaines conduites, donc prendre le risque de commettre de petites ou de
grandes erreurs " judiciaires " ;
1.4. Travailler avec des personnes complexes, sans maîtriser tout ce qu’on leur fait, et
parfois s’en mordre les doigts ;
1.5. Être souvent renvoyé à soi-même, à ses propres limites, incertitudes ou crises
identitaires ;
1.6. Être exposé chaque jour au regard des élèves et à travers eux des parents, et donc être
jugé sans pouvoir toujours s’expliquer ;
1.7. Être, de temps en temps, déstabilisé par des événements imprévisibles, et du coup être
mis à nu devant ses élèves ou ses collègues ;
1.8. Parfois s’engager dans des relations intersubjectives à hauts risques ;
1.9. Être jugé par ses collègues et sa hiérarchie, souvent sans indulgence, sur la base
d’indices assez fragmentaires ;
1.10. Vivre des dilemmes, des cas de conscience dont nul n’est certain de sortir fier
de soi.

2. La séduction niée : Pour instruire, il faut, d’une manière ou d’une autre, capter
l’attention et la bonne volonté
2.1. On peut recourir à des métaphores moins menaçantes :
2.2. Présence,
2.3. Charisme,
2.4. Art de capter le regard et l’esprit,
2.5. Sens de l’humour,
2.6. Talent pédagogique
2.7.
2.8. Faire aimer des contenus parce qu’on aime autre chose, par exemple
2.9. L’ambiance,
2.10. Le jeu,
2.11. Le suspense,
2.12. La compétition,
2.13. La solidarité,
2.14. La mise en scène,
2.15. L'émotion,
2.16. La surprise.

3. Le pouvoir honteux : le pouvoir n’est pas bien vu dans le monde enseignant


3.1. Mettre en garde,
3.2. Rappeler à l’ordre,
3.3. Sanctionner,
3.4. Menacer
4. La toute-puissance de l’évaluation une façon de scander la progression dans le
texte du savoir, de réguler l’investissement et le rythme de travail de la classe
5. Le dilemme de l’ordre : Au niveau du savoir, beaucoup de choses sont prévisibles.
Les relations sont difficilement prévisibles.

5.1. Solution 1 : VERROUILLAGE : L’enseignant doit donc prévoir les contenus, et les taches
de chacun afin d’éviter les problèmes de gestion
5.2. 5.2 Solution 2 : IMPROVISATION : laisser venir, et essayer de réagir au mieux

6. La part du bricolage: On attend aussi de l'enseignant qu’il ait " sous la main ",
presque toujours, les moyens d’enseignement et d’évaluation qui conviennent.
6.1. L’une est de se borner à donner son cours en utilisant les manuels standards, en
tournant les pages dans " le texte du savoir ", en puisant dans les exercices prévus ;
cette façon de faire convient avec certaines classes, elle fabrique de l’échec dans
beaucoup d’autres,
6.2. L’autre stratégie, parfois imposée par la réalité des classes, est d’alléger " sauvagement
" les programmes (Perrenoud, 1990), d’utiliser de façon pragmatique, voire
opportuniste, toutes sortes de moyens d’enseignement.
7. La solitude ambiguë : L’enseignant peu faire «ce qu’il veut » une fois seul dans sa
classe mais l’institution peut le «rappeler à l’ordre « si manquements ou plaintes.
Être enseignant c’est pourtant aussi devoir se confronter à ses pratiques, à celles
des autres et travailler en équipe.

8. L’ennui et la routine : Il reste que la condition enseignante moyenne condamne à


une forte répétition. Sans doute y a-t-il de la routine dans tous les métiers, même
les plus qualifiés.
8.1 Or, la structure - programmes, horaires, cursus segmenté, découpages disciplinaires -
pousse plutôt à ne lever que les lièvres qu’on pourra poursuivre

9. L’inavouable décalage : Aucun professionnel ne saurait prétendre être au fait de


tous les développements de son art. Il y nécessairement décalage entre la
recherche et la pratique
9.1 Enseigner la soustraction ou la ponctuation était, il y a trente ans encore, une affaire de
bon sens pédagogique : l’enseignant devait savoir lui-même correctement soustraire ou
ponctuer, et être capable d’expliquer clairement les règles et les techniques élémentaires.
9.2 il n’est plus suffisant de maîtriser les contenus et la communication pédagogique, il faut
assimiler assez de psychologie cognitive et de psycholinguistique pour savoir, par exemple,
par quelles opérations on produit un texte écrit de tel ou tel type et comment on en
conquiert la maîtrise
10. La liberté sans la responsabilité : e métier d’enseignant navigue entre le respect
scrupuleux des consignes de l’institution (horaires, programmes, modalités
d’évaluation, démarches didactiques) et la prise d’autonomie.
10.1 De même, il est bien difficile de donner une image nette du temps de travail des
enseignants en dehors des heures de classe. Pour maintenir le statu quo, autrement dit
l’absence de contrôle sur leur temps de préparation et de formation, ils ont besoin
d’une certaine opacité.
10.2 Il y a black-out également sur la façon dont les enseignants coopèrent avec leurs
collègues, traitent avec les parents, négocient avec leurs élèves, gèrent leur formation
continue. Sur tous ces points, le flou artistique est globalement protecteur,
Albert Jacquard, ministre de l’Éducation ; décret :

Je ne suis pas d'accord avec son deuxième article. Pour moi la cotation est importante si elle
est accompagnée d'explication. La cotation par point permet de marquer l'évolution à travers
le temps. Mais il ne faut pas oublier qu'avec des points, des explications sont nécessaire à la
compréhension d'erreur et à l'évolution.
Je pense que disposer d'un programme de réorientation avec 4 années sabbatiques peut être
bien mais uniquement si nous pouvons en disposer quand nous voulons. Si une personne en
début de carrière (vers ses 25 ans) comprend qu'elle devrait se réorienter, ou même une
personne plus âgée qui décide d'expérimenter d'autres orientations, devrait pouvoir le faire.

Obligation scolaire
Commence à 5 ans (avant 6ans)
Fini à 18 ans

Obligation à temps partielle ?


Cela veut dire que le mineur peut s'inscrire dans un type d'enseignement qui propose
de combiner la formation générale et la pratique professionnelle. Il s'agit d'un
enseignement alternatif à l'enseignement traditionnel de plein exercice. Pour ce faire, le
mineur doit donc s'inscrire dans une des filières suivantes :
 Dans l'enseignement secondaire en alternance (pour plus d'informations
consultez la page L'enseignement en alternance)
 A une formation en alternance organisée par l'Institut wallon de formation en
alternance et des indépendants et des petites et moyennes entreprises (IFAPME
https://www.ifapme.be) ou le Service formation petites et moyennes
entreprises créées au sein des services de la Commission communautaire
française (SFPME https://www.efp.be) ;

Organisation de l'enseignement obligatoire en FWB


L'organisation générale
Les établissements scolaires
L'expression "établissements scolaires" est synonyme d''école". L'établissement scolaire
désigne une entité scolaire placée sous la responsabilité d'un chef d'établissement qui
peut être répartie en plusieurs lieux d'implantation géographique.
Une implantation est un bâtiment ou un ensemble de bâtiments situés à une même
adresse.
Si une école peut avoir plusieurs lieux d'implantation, elle ne peut avoir qu'un seul chef
d'établissement qui dirige l'ensemble des implantations.
Plusieurs écoles peuvent être situées à la même adresse; dans ce cas chacune a un chef
d'établissement distinct.
Chaque école dépend d'un pouvoir organisateur et appartient à un "réseau"
d'enseignement.
(Extrait du pacte scolaire)
Les pouvoirs organisateurs
Le pouvoir organisateur d'un établissement d'enseignement est l'autorité, la ou les
personne(s) physique(s) ou morale(s), publique(s) ou privée(s),qui en assume(nt) la
responsabilité.
Les pouvoirs organisateurs sont officiels (publics) ou libres (privés)
Les pouvoirs organisateurs officiels sont:
 Wallonie-Bruxelles Enseignement
 les provinces
 les villes
 les communes
 la COCOF - Commission Communautaire française

Les pouvoirs organisateurs libres sont des associations (asbl ou autres) confessionnelles
ou non confessionnelles.(cf. notions ci-dessous)
Certains pouvoirs organisateurs n'organisent qu'une école, d'autres en organisent
plusieurs, jusqu'à plusieurs dizaines. Wallonie-Bruxelles Enseignement en organise
plusieurs centaines.

Les réseaux d'enseignement


Bien que le terme "réseau" soit très souvent utilisé dans le milieu scolaire, il n'existe pas
de définition juridique de ce terme.
On parle aussi bien de :
deux réseaux : l'officiel - le libre
trois réseaux: officiel organisé - officiel subventionné - libre subventionné
quatre réseaux: officiel organisé - officiel subventionné - libre subventionné
confessionnel - libre subventionné non confessionnel
Les organes de représentation et de coordination
La majorité des pouvoirs organisateurs de l'enseignement subventionné adhèrent à une
fédération de pouvoirs organisateurs ("Organe de représentation et de coordination")
qui les représente auprès du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Enseignement officiel Enseignement libre


WBE - Wallonie-Bruxelles Enseignement FELSI - Fédération des Etablissements Libres
Wallonie Bruxelles Enseignement c'est le Subventionnés Indépendants
réseau d'enseignement organisé par la C'est l'organe représentant les pouvoirs
Communauté française. Ce service public organisateurs d'enseignement libre
accueille chaque jour plus de 210 000 élèves subventionné de caractère non
ou étudiants de la maternelle à confessionnel.
l'enseignement supérieur et emploie plus de Contact
30 000 personnes. Avenue Jupiter, 180 1190 BRUXELLES
Contact Tel: 02/527.37.92 - Fax: 02/527.37.91
City Center Site: http://www.felsi.eu
Boulevard du Jardin Botanique, 20 - 22 1000
Bruxelles
Site : http://www.w-b-e.be SeGEC - Secrétariat Général de
l'Enseignement Catholique
CECP - Conseil de l'enseignement des Le SeGEC est l'organe de représentation et de
communes et provinces coordination des pouvoirs organisateurs de
Le CECP est l'organe représentant les l'enseignement libre catholique en
pouvoirs publics subventionnés (communes, Communauté française (et aussi en
provinces) organisant un enseignement Communauté germanophone).
fondamental ordinaire ou spécialisé
(maternel et primaire), un enseignement
secondaire spécialisé et un enseignement
secondaire artistique à horaire réduit.

CPEONS - Conseil des Pouvoirs organisateurs


de l'Enseignement officiel neutre
subventionné
C'est l'organe représentant les pouvoirs
publics subventionnés qui organisent des
établissements scolaires de l'enseignement
secondaire, supérieur, de promotion sociale
et des centres Psycho-Médico-Sociaux .

Caractère
On distingue également les écoles et les pouvoirs organisateurs selon leur caractère
confessionnel et non confessionnel
Enseignement confessionnel
Relèvent de l'enseignement confessionnel les écoles et les pouvoirs organisateurs qui
organisent un enseignement inspiré d'une confession particulière (catholique, protestante,
israélite, islamique ou orthodoxe)
Enseignement non confessionnel
Relèvent de l'enseignement non confessionnel les écoles dont le pouvoir organisateur ne se
réclame d'aucune confession.
En font partie:
 toutes les écoles organisées par Wallonie-Bruxelles Enseignement (dont les enseignants
doivent respecter le décret du 31 mars 1994 sur la neutralité);
 les écoles organisées par les pouvoirs organisateurs affiliés au CPEONS, au CECP et à la
FELSI (ces pouvoirs pouvant adhérer au principe de neutralité)

Un enseignement discriminatoire ?

En Belgique les différences socioéconomiques ont pour conséquence que les enfants de
milieu de modeste aura de moins bons résultats qu'un enfant de famille favorisée.
En Belgique la ségrégation socioéconomique est importante mais contrairement aux
autres pays, la ségrégation basée sur la réussite scolaire est beaucoup trop élevée.
Conséquence ? Un élève dans une école avec un entourage modeste ou en difficulté,
progressera beaucoup moins qu'un élève avec un entourage favorisé. Cela peut
provenir de plusieurs causes : climat de classe, manière des enseignants d'exercer leur
métier, moins de mains d'œuvre enseignante.

Possibilités de trajectoires du primaire au secondaire


Le premier degré (c’est-à-dire les 1re et 2e années) de l’enseignement secondaire vient d’être
réorganisé.
Au premier degré, l’élève poursuit la construction des savoirs et des compétences entamées à
l’école maternelle et primaire.
En juin, l’élève présente un examen pour obtenir le Certificat d’Etudes de Base (CEB).
- Si l’élève obtient le C.E.B., il entre en 1re année commune (1)
- Si l’élève n’obtient pas le C.E.B., il entre en 1re année différenciée.

Au terme de la 1re année commune, l’élève passe en 2e année commune. Toutefois, s’il
éprouve des difficultés, il peut être orienté vers une année complémentaire. Par la prise en
compte de ses besoins spécifiques, cette année complémentaire doit aider l’élève à combler ses
lacunes.
Au terme de la 2e année commune, l’élève passe au 2e degré. Toutefois, s’il éprouve des
difficultés, il peut être aussi orienté vers une année complémentaire.
Au terme de la 1re année différenciée, l’élève présente un examen pour obtenir le C.E.B.
S’il obtient le C.E.B., l’élève intègre le parcours commun.
S’il n’obtient pas le C.E.B., l’élève passe en 2e année différenciée.
Au terme de la 2e année différenciée, l’élève représente l’examen pour obtenir le C.E.B.
S’il obtient le CEB, l’élève intègre le parcours com
Les indicateurs :
• Environnement et bien-être
Deux indicateurs ont été produits en regard du septième objectif d’amélioration défini par le
Pacte pour un enseignement d’excellence « Accroitre les indices du bien-être à l’école et du
climat scolaire ». Ils se basent sur les enquêtes PISA 2012, PISA 2015 et TALIS 2018. Le premier
indicateur traite des relations au sein de la communauté scolaire du point de vue des
enseignants et des élèves de 15 ans en Fédération Wallonie–Bruxelles et le second présente
des informations relatives à l’attrait du métier d’enseignant telles que la motivation, la
satisfaction professionnelle, la valorisation du métier.
L’analyse des perspectives d’évolution de la population scolaire fait apparaitre, à l’horizon
2032-2033, une diminution de 1 % des effectifs scolaires par rapport à 2017-2018. Selon le
niveau, la population scolaire augmenterait de 4 % dans le maternel, mais diminuerait de 3 %
dans le primaire et de 1 % dans le secondaire.
Les éléments marquants de cette édition 2019 des Indicateurs de l’enseignement sont
particulièrement utiles en regard du nouveau pilotage du système éducatif dans le cadre des
travaux du Pacte pour un Enseignement d’excellence. Il est à présent essentiel de mettre tout
en place pour que chaque acteur du système éducatif (pouvoir régulateur, pouvoirs
organisateurs, fédérations de pouvoirs organisateurs, établissements, directions, équipes
pédagogiques) puisse adopter une posture réflexive quant à ses pratiques, d’acquérir une vue
globale de ce que produit notre système, s’emparer de tels constats et de s’en saisir pour
assurer l’évolution de notre enseignement vers un enseignement à la fois plus efficace,
efficient et équitable, qui allie exigence et bienveillance et amène chaque enfant vers un
niveau d’acquisition de compétences accru.

Nom et différentes compétences de nos ministres :


1. Pierre-Yves Jeholet (MR)
1.1. Ministre-Président, est compétent pour :
1.2. La coordination de la politique du Gouvernement et celle de sa communication ;
1.3. Les relations intra-belges, en ce compris la saisine du Comité de concertation Gouvernement
fédéral, Gouvernements des Communautés et des Régions, le fonctionnement des institutions
et les relations avec le Parlement ;
1.4. Les relations internationales, en ce compris les relations avec les institutions européennes et la
coopération au développement telle que visée à l'article 6ter de la loi ;
1.5. La demande d'ordonner des poursuites, la participation à l'élaboration des directives de
politique criminelle et la participation aux réunions du collège des procureurs généraux ;
1.6. La coordination des dossiers relatifs aux fonds structurels européens, de leur mise en œuvre et
de leur évaluation, y compris les relations avec les institutions européennes, nationales et
régionales ; l'évaluation, la prospective et la statistique ;
1.7. La répartition des moyens reçus de la Loterie Nationale

2. Frédéric Daerden (PS)


2.1. Vice-Président et Ministre du Budget, de la Fonction publique, de l’Egalité des chances
et de la tutelle sur Wallonie-Bruxelles Enseignement, est compétent pour :
2.2. le budget, les finances et la trésorerie ;
2.3. la fonction publique et l'administration ;
2.4. la simplification administrative ;
2.5. l'e-gouvernement et l'informatique administrative ;l'implantation des services et
organismes, ainsi que la gestion immobilière ;
2.6. l'authentification des actes à caractère immobilier
2.7. l’égalité des chances et l’interculturalité ;
2.8. la tutelle sur Wallonie-Bruxelles Enseignement ;
2.9. les bâtiments scolaires.
3. Bénédicte Linard (Ecolo)
3.1. Vice-Présidente et Ministre de l’Enfance, de la Santé, de la Culture, des Médias et des
Droits des Femmes est compétente pour :
3.2. Les matières culturelles ;
3.3. Le contrôle des films, en vue de l'accès des mineurs aux salles de spectacle
cinématographique ;
3.4. La politique de santé qui relève des missions confiées à l'Office de la naissance et de
l'enfance ; l'aide aux personnes qui relève des missions confiées à l'Office de la
naissance et de l'enfance ;
3.5. Les centres de vacances ;
3.6. Les activités et services de médecine préventive destinés aux nourrissons, aux enfants,
aux élèves et aux étudiants ;
3.7. L'accueil de l'enfance ;
3.8. La coordination de la politique du Gouvernement relative à la réalisation des droits de
l'enfant ;
3.9. L'Office de la Naissance et de l'Enfance ;
3.10. Les aspects de contenu et techniques des services de médias audiovisuels et
sonores ;
3.11. Le soutien à la presse écrite ;
3.12. Les droits des femmes.
4. Valérie Glatigny (MR)
4.1. Ministre de l’Enseignement supérieur, de l’Enseignement de la Promotion sociale, des
Hôpitaux universitaires, de l’Aide à la jeunesse, des Maisons de Justice, de la Jeunesse,
des Sports et de la Promotion de Bruxelles, est compétente pour :
4.2. L'enseignement supérieur ;
4.3. Les allocations et prêts d'études ;
4.4. Les hôpitaux universitaires ;
4.5. L'Académie royale de Médecine ;
4.6. L'agrément et le contingentement des professions des soins de santé ;
4.7. La Société scientifique de médecine générale ;
4.8. La recherche scientifique ;
4.9. Les crédits de recherches fondamentales provenant des S.P.P.S., de la Santé publique,
des Affaires économiques et ceux destinés au F.N.R.S. et au F.R.I.A. ;
4.10. L'Académie royale des Sciences ;
4.11. L'enseignement de promotion sociale ;
4.12. Les statuts des personnels de promotion sociale ;
4.13. L'enseignement à distance ;
4.14. L'aide aux personnes ;
4.15. La politique de la jeunesse ;
4.16. L'organisation, le fonctionnement et les missions des maisons de justice et du
service compétent pour assurer la mise en œuvre et le suivi de la surveillance
électronique ;
4.17. Le financement des infrastructures touristiques sur le territoire de la Région
bilingue de Bruxelles-Capitale ;
4.18. La promotion de Bruxelles au niveau national et international ;
4.19. La tutelle sur la Commission communautaire française de la Région de
Bruxelles-Capitale ;
4.20. Assister au Collège de la Commission communautaire française de la Région de
Bruxelles-Capitale et au Collège réuni de la Commission communautaire commune de
la Région de Bruxelles-Capitale.
4.21. L’éducation physique, les sports et la vie en plein air ;
4.22. Le contrôle médico-sportif.
5. Caroline Désir (PS)
5.1. Ministre de l’Education, est compétente pour :
5.2. L'enseignement, à l'exception de l'enseignement de promotion sociale.

Le pacte d'excellence vise à améliorer l'enseignement donc que progressivement on aille vers
un tronc commun : pendant 12 ans (de 3 ans à 15 ans) tous les enfants vont avoir le même type
d'enseignement. Le but = renforcer les savoirs de base et augmenter le niveau de connaissance
des élèves. Il y a 7 domaines dans lesquels ils veulent travailler.
En maternel : école gratuite + donnera 50 € par élèves pour donner des fournitures aux élèves.
Obligation 5 ans à la place de 6. Pédagogique : plus d'enseignant, logopède, psychomotricien, …
à 15 il y aura un certificat sur les savoirs, savoir faire et compétences.
A la fin du tronc commun 2 choix : transition (études sup) – qualifiant (vers un métier)

Objectifs : Vise moins de redoublement, Lutter contre décrochage scolaire, Renforcer la


connaissance du français, modification du rythme scolaire (moins de vacance d'été mais &
semaine en plus a toussaint et une semaine en plus au carnaval)

Réformes : étude d'une autre langue plus tôt, Apprentissage latin, Passage de 2 à 3 période
hebdomadaire pour éducation physique

Plus d'éducation physique et plus de français.

Éducation physique plus éducation bien être : . Ces dispositifs traitent de plusieurs objets
d’enseignement-apprentissage en éducation à la santé. Ils peuvent être classés en quatre
catégories : estime de soi, compétences sociales, habitudes de vie et comportements sains et
sécuritaires (Turcotte et al., 2011). La majorité d’entre eux concernent les habitudes de vie. Ces
derniers visent à amener les enfants à reconnaître les effets positifs de l’activité physique versus
les effets négatifs des comportements sédentaires. Il s’agit également d’apprendre aux enfants
à relever des indicateurs (fréquence cardiaque, etc.) et à gérer la mise en œuvre d’une vie
physiquement active (savoir s’échauffer, s’étirer, gérer la fréquence, l’intensité, la durée, la
récupération, etc.). Il convient également de faire comprendre aux enfants le fonctionnement
du corps humain et de la physiologie de l’effort. Cet objet est un formidable prétexte pour créer
des projets interdisciplinaires avec les instituteur(trice)s ou les enseignant(e)s en sciences. Enfin,
d’autres habitudes de vie sont abordées à travers différents dispositifs : les habitudes
alimentaires, la gestion du stress et l’hygiène corporelle.

Il existe un parlement de la fédération Wallonie Bruxelles . Ce parlement est composé de


75 membres élus en qualité de membres du Parlement wallon et de 19 membres élus par le
groupe linguistique français du Conseil de la Région de Bruxelles-Capitale en son sein.Ces
membres sont élus pour 5 ans.
Compétence : enseignement, formation, recherche, culturel, santé, aide social, relations
internationales, emploi des langues, défense langue française.
Il existe une administration fwb : Le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles comprend :
o Le Secrétariat général
o L'Administration générale de l'Aide à la jeunesse
o L'Administration générale de l'Enseignement
o L'Administration générale du Sport
o L'Administration générale de la Culture
o L'Administration générale des Maisons de Justice

L'Administration générale de l'Enseignement ; Sa composition :


- L'administration générale de l'Enseignement est composée des entités suivantes :
- Services de l'Administratrice générale
- Direction générale du Pilotage du Système éducatif
- Direction générale des Personnels de l'Enseignement
- Direction générale de l'Enseignement obligatoire
- Direction générale de l’Enseignement supérieur, de l’Enseignement tout au long de la
vie et de la Recherche scientifique
- Service général de Coordination, de Conception et des Relations sociales
- Service général de l'Enseignement organisé par la Fédération Wallonie-Bruxelles (W-BE)
- Entités autonomes en matière d'Enseignement

Inspections :
L'organisation du service. Réunis au sein d'un Service général de l'Inspection dirigé par un
Inspecteur général coordonnateur, les inspecteurs sont répartis en six services :
 Un Service de l'Inspection de l'Enseignement fondamental ;
 Un Service de l'Inspection de l'Enseignement Secondaire ;
 Un Service de l'Enseignement spécialisé ;
 Un Service de l'Inspection de l'Enseignement de Promotion sociale et de
l'Enseignement à distance ;
 Un Service de l'Inspection de l'Enseignement artistique ;
 Un Service de l'Inspection des Centre psycho-médico-sociaux.
Ces services sont dirigés soit par un inspecteur général (fondamental et secondaire) soit par un
inspecteur chargé de la coordination (pour les 4 autres services).
En ce qui concerne les niveaux fondamental et secondaire, l'Inspecteur général est chaque fois
assisté de trois inspecteurs chargés de la coordination.
Au-delà de la structure, la réforme vise également les missions des services d'inspection.

Missions des services d'inspection :


Le décret « Inspection » du 10/01/2019 charge le Service général de l'Inspection de la
réalisation des cinq missions essentielles suivantes, à savoir :
 Les missions d'audit d'établissement réalisées à la demande notamment d'un membre
du Service général de Pilotage des Écoles et des Centres psycho-médico-sociaux ou par
le pouvoir organisateur concerné, soit dans le cas de refus ou d'incapacité d'un
établissement à établir son plan de pilotage, soit à la suite de l'évaluation
intermédiaire ou finale du contrat d'objectifs. Ces missions seront également menées
dans les établissements présentant un écart significatif de performances.
 Les missions d'évaluation portant sur la mise en œuvre d'un dispositif pédagogique ou
éducatif au sein du système scolaire ou éducatif en application d'une disposition
décrétale ou réglementaire ou en application d'un dispositif expérimental autorisé par
le Gouvernement.
 Les missions d'investigation et de contrôle spécifiques portant sur la présomption d'un
ou de plusieurs manquement(s)substantiel(s).
 Les missions portant sur l'appréciation de l'aptitude pédagogique d'un membre du
personnel de l'équipe éducative (et de l'aptitude professionnelle d'un membre du
personnel d'un Centre PMS), exécutées à la demande d'un directeur dans
l'enseignement organisé par la Communauté française ou du pouvoir organisateur
concerné dans l'enseignement subventionné.
 Les missions d'expertise pédagogique dans le cadre de la mise en œuvre des épreuves
externes et des outils d'évaluation.
Outre ces principales missions, le Service général de l'Inspection est toujours chargé d'évaluer
les élèves instruits à domicile, de collaborer avec les établissements d'enseignement supérieur
en charge de la formation initiale des enseignants, d'analyser les programmes d'études, etc.
Selon les besoins, les missions visées ci-dessus sont effectuées par un ou plusieurs membres du
Service général de l'Inspection.
Le statut des inspecteurs :
Les inspecteurs bénéficient d'un statut propre qui leur assure notamment une totale
indépendance par rapport aux écoles et aux pouvoirs organisateurs.
Ils sont dorénavant recrutés sur la base d'une épreuve d'admission à la formation initiale, d'une
formation initiale suivie d'une certification donnant accès à un stage de deux ans.

6 services :
1 fondamentale
1 promotion sociale
1 primaire
1 artistique
1 centre pms
1…
Aller voir doc sur padlet

A quoi ça sert ? (savoir ce que peut faire l'inspection plus les service)
Ils sont mandaté : ils viennent aider les école pour améliorer l'enseignement de l'école, école
pilote, mission de contrôle spécifique si il y a des manquement, vérifie nos aptitude
pédagogique : il va regarder journal de classe, comment on planifie les choses, si on applique le
socle de compétences, ….

PMS (à connaitre !!!) Lieu d'accueil d'écoute de dialogue destiné aux jeunes et à sa famille
Peut aborder les études, la vie sociale, orientation scolaire, … à disposition a partir de la
maternelle jusqu'à la fin de secondaire.
Un lieu d'accueil, d'écoute et de dialogue où le jeune et/ou sa famille peuvent aborder les
questions qui les préoccupent en matière de scolarité, d'éducation, de vie familiale et sociale,
de santé, d'orientation scolaire et professionnelle, ….
Le Centre PMS est à la disposition des élèves et de leurs parents, dès l'entrée dans
l'enseignement maternel et jusqu'à la fin de l'enseignement secondaire. Il développe également
des activités au bénéfice des élèves fréquentant les Centres d’Education et de Formation en
Alternance (CEFA), ainsi que de leur famille.
Le Centre PMS est composé de psychologues (conseillers et assistants psychopédagogiques),
d'assistants sociaux (auxiliaires sociaux) et d'infirmiers (auxiliaires paramédicaux) qui travaillent
en équipe. Un médecin est également attaché à chaque Centre PMS.
Le Centre Psycho-Médico-Social est un service public gratuit.
Tout comme un établissement scolaire, le Centre PMS appartient à un réseau organisé ou
subventionné par la Communauté française. Il y a donc des Centres PMS de la Communauté
française, provinciaux, communaux et libres.
Le personnel est soumis au secret professionnel. Il travaille en toute indépendance vis-à-vis des
écoles.
La connaissance approfondie du monde scolaire et de son environnement lui permet une
approche pertinente des situations rencontrées par les élèves et leur famille.
Le Centre PMS développe des partenariats avec différents services, dans le respect du secret
professionnel et de l'intérêt de l'élève. Ses principaux partenaires sont les personnels scolaires
et les services de promotion de la santé à l'école (SPSE).
Les avis du Centre sont donnés à titre consultatif, c'est-à-dire que les parents ou ceux qui
exercent l'autorité parentale gardent toujours leur liberté de décision.
D’autre part, lors de la première inscription d’un élève dans une école, les parents sont libres
d’accepter ou de refuser les interventions du Centre PMS de l’école (refus de guidance)
Ils sont parfois présents dans les conseils de classe (obligatoire ! membre du personnel,
directeur, enseignent décide du redoublement, du passage à l'étape supérieur, … ils se basent
sur les études antérieures, sur les examens, test, sur les éléments dans le dossier scolaire, par le
pms.)
Ils sont à voix consultative : leur voie ne compte pas mais il conseil.

Identité professionnelle :
Avoir une identité professionnelle c'est que tout enseignant possède une formation de base,
des compétences fondamentales, des missions qui se retrouverons chez tous les professeurs
peut importe le niveau d'étude.

Cette professionnalisation du métier d’enseignant va de pair avec la prise de conscience


d’une identité professionnelle forte. Lorsqu’ils commencent leurs études, les futurs
enseignants possèdent tous des représentations implicites de leur profession. Ils les ont
forgées durant leur propre scolarité en observant leurs propres enseignants. Grâce à
des activités de formation appropriées, ils vont être amenés à prendre conscience de
ces représentations, à analyser les stéréotypes et les préjugés accolés à leur métier pour
s’en débarrasser et acquérir une image de leur profession plus conforme à sa réalité et
à ses exigences. Ils vont pouvoir alors développer leur identité professionnelle, réfléchir
sur leur rôle, sur l’enseignant qu’ils veulent être, se projeter dans un avenir
professionnel. Ce travail, extrêmement important, doit être mené avec la même
exigence dans toutes les études qui mènent à la formation d’enseignant.

13 compétences dans le référentiel de compétences

1. Mobiliser des connaissances en sciences humaines pour une juste interprétation des
situations vécues en classe et autour de la classe ainsi que pour une meilleure
adaptation aux publics scolaires.
=> une formation en sociologie de l’éducation et une approche théorique de la diversité
culturelle (histoire de l’immigration, notions d’anthropologie, … )

2. Entretenir des relations de partenariat efficace avec l’institution, les collègues et les parents
d’élèves.
=> des cours de psychologie de la relation et de la communication, une sensibilisation à la
gestion des conflits. L’enseignant est donc amené à s’exprimer dans tous les domaines de son
champ professionnel. Le travail de l’expression orale fait donc tout naturellement partie de sa
formation.

3. Être informé sur son rôle au sein de l’institution scolaire et exercer la profession d’enseignant
telle qu’elle est définie dans les textes légaux de référence.
=> une bonne connaissance des institutions belges en général et des institutions scolaires en
particulier et une approche sérieuse des grands textes de lois qui les régissent.
4. Maîtriser les savoirs disciplinaires et interdisciplinaires qui justifient l’action pédagogique.
=> Lui-même est donc tenu de posséder une bonne connaissance de la langue écrite et orale

5. Maîtriser la didactique disciplinaire qui guide l’action pédagogique.

6. Faire preuve d’une culture générale importante afin d’éveiller les élèves au monde culturel.
=> initiation aux arts et à la culture

7.Développer les compétences relationnelles liées aux exigences de la profession.


=> relation élève : des cours de psychologie du développement, mais aussi par le travail sur les
réactions spontanées lors des ateliers de formation professionnelle et des séminaires d’analyse
des pratiques
=> relation équipe : le travail en cycles, les articulations interdisciplinaires supposent une réelle
collaboration entre enseignants.

8. Mesurer les enjeux éthiques liés à sa pratique quotidienne.


=> pouvoir dépasser leurs réactions spontanées, leurs émotions, leurs préjugés… Cet
apprentissage passe par des cours de psychologie du développement, mais aussi par le travail
sur les réactions spontanées lors des ateliers de formation professionnelle et des séminaires
d’analyse des pratiques

9. Travailler en équipe au sein de l’école.


=> être en contact avec nos collègues afin d'inclure les cours généraux dans le sport/ créer des
projets avec d'autres professeurs.

11. Concevoir des dispositifs d’enseignement, les tester, les évaluer, les réguler.
=> l’instituteur et le professeur doivent remettre régulièrement en question leurs pratiques et
leurs connaissances et les actualiser, il passe par des activités comme la recherche
documentaire, l’initiation à la recherche en éducation, l’épistémologie des disciplines et
s’exerce de manière privilégiée à l’occasion du travail de fin d’études.

11. Entretenir un rapport critique et autonome avec le savoir scientifique passer et à venir.

12. Planifier, gérer et évaluer des situations d’apprentissage.


=> à choisir une méthode d’enseignement, planifier une action pédagogique sur une longue
durée, identifier les obstacles… passe par la formation à l’évaluation des apprentissages, l’étude
critique des grands courants pédagogiques, la psychologie des apprentissage

13. Porter un regard réflexif sur sa pratique et organiser sa formation continuée.


=> suivre régulièrement des nouvelles formations, des stages, des conventions, se documenter,

6 axes de formation :
1. L’enseignant adhère aux objectifs de l’enseignement définis dans le décret « Missions » et il
les met en œuvre en jouant son rôle dans l’institution scolaire : il est un acteur social.
2. l’enseignant remet régulièrement en question ses connaissances et ses pratiques et il les
actualise : il est un chercheur.
3. l’enseignant maîtrise parfaitement les contenus disciplinaires qu’il enseigne et il les situe dans
un contexte plus vaste : il est un maître instruit.
4. l’enseignant est capable d’entrer en relation avec ses élèves, leurs parents, ses collègues, les
autres acteurs de l’école et sa hiérarchie : il est une personne sociale.
5. l’enseignant est amené chaque jour à initier, gérer, réguler des situations d’apprentissage, à
les évaluer : il est un pédagogue.
6. tous les savoirs de l’enseignant sont indissociables de leur exercice professionnel : il est un
praticien. Chacun de ces axes permet d’acquérir et de développer de manière cohérente les
compétences nécessaires à l’exercice de la profession. Tous convergent vers le cœur de
l’identité professionnelle de l’enseignant : être un praticien réflexif, c’est-à-dire capable de faire
évoluer ce référentiel, de manière autonome et critique, au rythme de l’évolution de la
profession.

Maître instruit Personne


4,6 7, 8, 9

Praticien Praticien Chercheur


10, 12 réflexif 11

Pédagogue Acteur social


5,13 1, 2, 3
Mixité :
Pour moi, la mixité est une excellente idée. Premièrement la mixité en sport permettrait
l'égalité entre homme et femme. De plus, l'inégalité se poursuit même sur le cours en lui-même.
Même en haute école, la différence entre le cours des garçons et des filles se fait ressentir. Par
exemple, les garçons ont déjà pu faire des matchs de foot, volley, basket alors que nous n'avons
fait aucun match dans aucun sport.
Deuxièmement, certaines filles ou certains garçons n'ont des amis que du sexe opposé et du
coup ne veulent pas suivre le cours de sport. Les cours mixtes pourraient apporter une
motivation supplémentaire pour certaines filles motivées à suivre des cours similaires au
garçons (et vice versa).
Troisièmement, les examens de sport seraient de mêmes difficultés pour les deux sexes et les
élèves ne pourrons plus se plaindre d'inégalité.

Segec : Secrétariat général de l’enseignement catholique

Cpeons : Conseil des Pouvoirs organisateurs de l’enseignement officiel


neutre subventionné organisé sous l’égide des communes, des villes et des
provinces

Pk est ce important d'encourager le sport a l'école ?


 Évite risque d'obésité plus problème lié a la sédentarité
 Augmente les performances scolaires en améliorant le comportement des jeunes car ils
se sentent mieux dans leur peau.
 Fait changer l'image du sport aux jeunes
 Les élèves se sentent appartenant à un établissement
 Protège du décrochage scolaire
 On peut voir émerger des sportifs de haut niveau

Pk pratiquer dés le plus jeune âge ?


 Quand c'est entrer dans leur mode de vie, les enfants n'ont plus de chance de devenir
des adultes actifs
Pk c'est important d'inclure les parents dans le sport
Des études [4] montrent que le support parental [5] est associé positivement au niveau
d’activité physique chez les enfants.
Le soutien parental se traduit par :
 Le transport de son enfant vers ses activités physiques ;
 Une présence aux activités de son enfant ;
 Des encouragements ;
 La pratique d’activités physiques AVEC son enfant.
Alors impliquer les parents dans les activités scolaires peut être une stratégie payante. Si vous
travaillez dans une école et que vous souhaitez encourager les familles à bouger davantage.
Voici quelques pistes d’actions :
1. Inviter les parents à prendre une part active à des événements sportifs, aux
spectacles de danse, aux marches parrainées… L’atmosphère festive et l’adaptation des
exercices physiques au rythme de chacun facilitent l’implication.
2. Pensez à des échanges interclasses avec des « tournois parents-enfants » par
exemple.
3. Mettez en place des environnements favorables à des déplacements actifs dans votre
établissement. Parents et enfants pourraient ainsi faire à pied, en vélo ou à trottinette
le trajet de l’école (de préférence sur des parcours aménagés).
Place du sport à l'école :

Le sport fait partie du cours d’éducation physique. Il doit permettre d’atteindre les objectifs
généraux qui sont l’amélioration de la santé, de la sécurité, de l’expression et de la culture
motrice et sportive.

FINALIT2S DE L'ENSEIGNEMENT !!! Il y a 4 finalités qu'il faut aller chercher dans les décrets
mission
Il faut étudier dans le doc clé … pour les finalités dans l'introduction.

Test eurofit : Batterie de tests d'aptitude physique (méthode internationale


d'évaluation). Ces tests travails les aptitudes physiques, la mécanique musculaire,
l'endurance, qualités psychomotrices ; l'équilibre, la dextérité, la vitesse.

Baromètre (bmi) : outil permettant aux élèves et aux jeunes sportifs de se situer dans
la population des jeunes du même âge et du même sexe

"prof d'eps un métier qui bouge" :


Activité physique : On entend par activité physique tout mouvement produit par les muscles
squelettiques, responsable d'une augmentation de la dépense énergétique

Impact de l'activité physique (5 catégories) :


1. Santé (physique et mentale) et maladie
1.1. Taux de mortalité
1.2. Maladies cardio-vasculaires, cancer, diabète
1.3. Arthrose, ostéoporose, chutes, obésité
1.4. Santé mentale
2. Modification des fonctions cognitives
2.1. Activation cérébrale
2.2. Fonctions exécutives dans l’apprentissage
2.3. Performance scolaire
3. Modification de la manière d’être
3.1. Intégration sociale
3.2. Limitation d’autres comportements à risque
4. Aspects économiques
4.1. Limitation de l’absentéisme
4.2. Diminution de certaines dépenses
4.3. Réduction des coûts des soins de santé
5. Modifications du corps
5.1. Système cardio-vasculaire (fréquence cardiaque)
5.2. Système respiratoire (ventilation)
5.3. Système musculaire (force, souplesse)
Que faut-il recommander :
Jeunes (5-17 ans)
- Accumuler au moins 60 minutes par jour d’activité physique d’intensité modérée à
soutenue (périodes de 10 minutes minimum)
- Plus de 60 minutes par jour apportera un bénéfice supplémentaire pour la santé (ne pas
se contenter de 60’)
- L’activité physique quotidienne devrait être essentiellement une activité d’endurance
- Des activités d’intensité soutenue (renforcement du système musculaire et des os)
devraient être incorporées au moins trois fois par semaine
- Les périodes de plus de 2 heures d’affilée passées assis devraient être évitées
- Le temps de loisir passé devant un écran devrait être limité à 2 heures par jour

De 18 ans à 64 ans
- Cumuler au - 150 min d’activité d’endurance d’int. modérée ou au - 75 minutes
d’activité d’endurance d’int. soutenue, ou une combinaison des deux types, chaque
semaine
- L’activité d’endurance devrait être pratiquée par périodes d’au moins 10 min
- Pour davantage de bénéfices, atteindre 300 minutes d’AP modérée par semaine ou
pratiquer 150 minutes d’AP d’int. soutenue
- Exercices de renforcement musculaire à pratiquer au moins deux jours/semaine

Après 65 ans
- Idem 18 à 64 ans
- Les personnes âgées dont la mobilité est réduite devraient pratiquer une activité
physique visant à améliorer l’équilibre et à prévenir les chutes au moins 3
jours/semaine
- Lorsque des personnes âgées ne peuvent pratiquer la quantité recommandée d’activité
physique en raison de leur état de santé, elles devraient être aussi actives
physiquement que leurs capacités et leur état le leur permettent

Rôle spécifique de prof d'ep ?


Rôle de base de l’EP dans la promotion d’un style de vie actif (Cloes, 2010)
- Lutte contre l’inactivité (représentations)
- Sauvetage aquatique ; réanimation ; DEA
- Echauffement ; retour au calme ; stretching ; fitness
- Principes ergonomiques, contrôle respiratoire ; relaxation
- Sélection de son intensité de travail ; contrôle des pulsations ; fonctionnement des
muscles et du corps
- Amélioration de la motricité (équilibre, habiletés de manipulation, travail en hauteur,
postures, …) …
- Et – bien sûr – apprentissage des bases en sport !

Action spécifique de l’EP dans la promotion d’un style de vie actif (Cloes et al., 2009)
- Activités diversifiées
- Portfolio élèves, dossiers thématiques
- Activités en lien avec la communauté
- Initiation à des sports originaux
Nouveau rôle de l’EP dans la promotion d’un style de vie actif (Cloes, 2010)
- Alimentation (hydratation, diététique sportive, …)
- Sommeil
- Stress (relaxation dans la vie de tous les jours, …)
- Tabagisme, alcool, drogues, médicaments
- Hygiène (douche, …)
Former des citoyens physiquement responsables :
L’éducation physique doit être plus ancrée socialement et préparer des adultes physiquement
éduqués et capables de gérer leurs ressources motrices et physiques. Autrement dit,
l’enseignant doit proposer des leçons qui ont du sens et permettre aux élèves d’acquérir des
compétences mobilisables tout au long de leur vie et pas seulement dans le cadre de l’école.

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