Cette manipulation a pour but de déterminer le modèle linéaire du moteur ainsi elle comprend :
Après alimentation du moteur à partir du réseau alternatif on trouve les valeurs suivantes :
U =400 v
V 0=240,7 v
I 0=23 A
P10=1500 W
Q 10=16,65 KVAR
N 0=1490 tr / min
Ω s−Ωr 60 f
Comme g= Ω s=
Ωr p
D’où g=0 car les vitesses des champs rotoriques et statoriques sont synchrones.
U2 4002
On a :
{ R0=
X 0=
P10
U2
Q10
{ R 0=
X0=
1500
400
16650
=106.6 Ω
2
=9.6Ω
b. Essai en court-circuit :
Le rotor étant en CC et à l’arrêt, après alimentation du stator sous tension réduite on règle la
tension appliqué pour que le courant absorbé par le stator ait sa valeur nominale et on obtient les
valeurs suivantes :
V 1 cc =34.2 v
I 1 cc =22 A
P1 cc =360 W
Q 1 cc =2170,5 VAR
U 1 cc=60 v
P1 cc 360
{ {
R 1+ R 2 = 2 R 1+ R 2 = =0.24 Ω
3 I 1 cc 3∗222
On a:
Q1 cc 2170.5
X 0= X 0= =1.49 Ω
3 I 1 cc 2 3∗222
2. Essai en charge :
g=f(Cu)
g
0.04
0.04
0.03
0.03
0.02
0.02
0.01
0.01
0
0 5 10 15 20 25 30
I=f(Cu)
I(A)
24
23.8
23.6
23.4
23.2
23
22.8
22.6
22.4
22.2
22
0 1 2 3 4 5 6 7
cos𝛗=f(Cu)
cos 𝛗_xded7_
0.45
0.4
0.35
0.3
0.25
0.2
0.15
0.1
0.05
0
0 5 10 15 20 25 30
Interprétation :
Les trois courbes g(Cu), I(Cu) et cos𝛗(Cu) sont des courbes croissantes, c’est à dire que le
coefficient de glissement g et le courant I dépendent du couple Cu.
III. Conclusion :