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Nom Biographie
Note : D'autres témoins ont mentionné des tortures similaires, y compris le meurtre rituel,
mais sans l'aspect religieux. Il s'agit de déclarations d'individus qui sont apparus dans les
rapports officiels de Neufchateau. Certains pourraient être sérieux alors que d'autres
pourraient tout aussi bien être de la désinformation, comme l'était la secte Abrasax. Ils sont
classés par date du premier témoignage.
Anonyme PV 100.130, 2 décembre 1996 : "Activités sectaires ou sataniques
au château de Valmont à Merbes-Le-Château. Propriétaire du
château = Pierre Ferbus (07/01/42). Homosexuel - banquier BBL.
Di Rupo et Graffe auraient été vus à ces fêtes. Une victime a
décrit un lieu lors d'un débat télévisé - la description ressemblait
au château de Valmont. Les habitants du château : Christian
Isaert (10/03/50) - jardinier ; Dominique Beroudiaux (30/04/54) ;
David Bosquion (02/10/75). Trois entrées au château, mais deux
ont été bloquées. Un rapport de la police de Lobbes[ville voisine,
au nord] obtient les mêmes informations concernant Jean-Pierre
Graffe. Dans la propriété, il y aurait une croix de 5 mètres de
diamètre. Ce serait une question de satanisme. Un rapport du
BSR de Thuin[une autre ville voisine] contient des informations
approchantes."
T4 Bref résumé du témoignage T4 dans PV 118.220 du 4 décembre
1996 : " En 1987, il a rencontré un psychothérapeute (JOHANA)
et un paramédical (EVA). Il a assisté à une messe noire dans la
banlieue de Gand en mai 1987. Une messe satanique. Il y a eu des
sacrifices d'animaux par éviscération.... Le sang des animaux a
été bu par les participants. JOHANA et EVA étaient présents. Il
rapporte que des enfants sont sacrifiés aux Etats-Unis. En
Hollande, le mouvement satanique a des liens avec le réseau de la
maltraitance des enfants. Le T4 n'a pas pu assister à toute la
cérémonie. Description de la villa. Véhicules de luxe.... T4
apporté là dans une grande Mercedes noire avec des sièges en
cuir foncé, un minibar et un téléphone - plaque d'immatriculation
néerlandaise (les yeux étaient couverts). L'Église de Satan était
alors dirigée par Anton LaVey. Ils ont parlé d'aller chercher un
certain Armand à Malines. Une vingtaine de minutes en voiture
après avoir quitté l'autoroute Bruxelles-Gand. JOHANA et EVA
ont signalé qu'il y avait des membres du parlement et d'autres
personnalités..... Incantation dans une langue inconnue. Les
prêtres et les prêtresses sont nus sous leurs robes. Tout le monde
avec des robes et des masques. Dons d'argent et demandes de
sorcellerie. La souffrance des animaux sacrifiés est le moyen
d'obtenir pouvoir et influence. Après la cérémonie, JOHANA et
EVA ont dû se rendre sur la côte belge."
Anonyme Le 13 décembre 1996, une lettre a été envoyée : "Lettre de van
Aller. Sectes - Orgies - Ballets roses en Hollande. Envoyé au
ministère de la Justice en Hollande concernant une secte dans ce
pays. Un groupe de 300 personnes a formé une secte qui existe en
Hollande. Ils organisent des orgies avec des mineurs (3 ans et
plus). Membres = avocats - juristes - juges - officiers de police.
Rencontres dans les domaines ruraux - hôtels - chez l'un des
membres. Exemple : villa Westflier à Markelo[domaine
Westerflier/Nijenhuis, qui, par coïncidence, était un pensionnat
pour filles de 1948 à la fin des années soixante et qui a appartenu
à une famille aristocratique]. [et la] plage de Noordwijk. Les
réunions ont lieu le premier samedi après la pleine lune ainsi
qu'aux dates des fêtes chrétiennes ou aux anniversaires. Groupes
de 12 personnes avec enfants. Viols et tortures des enfants.
Grandes réunions = 50 adultes et 50 enfants - drogues, alcool,
orgies, viols. Enregistrement sur vidéo de la maltraitance des
enfants. Les enfants des membres du groupe participent aux fêtes.
Elle implique la création de personnalités multiples chez les
enfants. Explication de MPS. A Noël, il y a un sacrifice
symbolique d'un enfant de 1 an qui subit une certaine quantité de
torture, mais qui est remplacé par une poupée au moment de la
vraie torture. Simulation des funérailles d'un enfant de 15 ans
comme punition. On provoque le MPS par exemple en faisant
croire aux petits enfants qu'on leur insère un chat qui grandit et
devient une panthère, et qui les surveille s'ils veulent parler ou
quitter le clan. Ces troubles de personnalité multiples sont
entretenus par des psychothérapeutes. Le MPS induit permet un
contrôle continu, même chez les adultes, tout en créant un certain
équilibre.... Membre de la secte : Baume Jacqueline. Une secte
infiltrée par Rowin Verkijk. Témoin qui apporte des preuves
matérielles : Rumke. Les autorités néerlandaises ne croient pas
aux révélations de Balm et n'agissent pas. Les déclarations et/ou
lettres ont disparu. Le baume a disparu sur ordre du clan."
Jacques Thoma 8 janvier 1997, info de Sara de Wachter et Jacques Thoma lors
d'une première conversation, BR.30.51.000250/97 : "Jacques
Thoma était dans un restaurant avec Sara de Wachter (01/10/55)
quand il est tombé en larmes. Il a participé en 1985-86 à plusieurs
sessions sataniques près de Charleroi. Lors de l'événement, le
sang d'une fillette de 12 ans a été offert à un public. Il n'a pas
participé au meurtre. Thoma n'a plus l'intention de parler, car il a
peur. Il a rencontré le grand maître, François-Joseph, qui lui a dit
qu'il était un informateur de la police et qu'il devait être prudent.
Thoma a été arrêté par des membres du CPS, à savoir Michel
Dewolf et Philippe Sala, avocat.... François-Joseph est un notaire
impliqué dans la traite des filles de l'Est à des fins de prostitution.
Après un contact téléphonique, Thoma confirme, mais refuse de
signer une déclaration." 8 janvier 1997, BOB note 264 : "Thoma
accepte une réunion dans la semaine du 13 au 19 janvier 1997,
mais en terrain neutre et sans avoir à signer son entretien." 16
janvier 1997, BOB note 466 : "Il a très peur. Il a été trésorier de
la section jeunesse de la CFP. Il a souvent rencontré Michel
Dewolf - Philippe Sala et Jean-Paul Dumont. Ils ont essayé de
diriger Thoma vers l'Opus Dei ce qu'ils considéraient comme Nec
Plus Ultra[latin pour "rien de plus au-delà"]. Sous prétexte de
tests d'initiation à l'Opus Dei, il a été amené à une messe noire
avec des actes sexuels. Il mentionne la présence de filles d'un
pays de l'Est (13-14 ans). En 1986, après une réunion politique
autour d'un vin et d'un dîner, il se rendit avec Sala et Dewolf à
une réunion dont ils annonçaient qu'elle serait épicée. Il a été
drogué avant d'être emmené dans une pièce avec des personnes
masquées qui portaient des robes noires. Les participants ont bu
du sang. Il a été placé en présence d'une petite fille nue allongée
sur un autel - elle était morte (12 ans). Il voulait partir, mais il a
été drogué à nouveau. Il s'est réveillé le lendemain dans sa
voiture. Il a quitté le parti[PSC] et a fait une déclaration au
BSR[Unité des enquêtes spéciales de la gendarmerie] à Charleroi.
L'argent destiné à la CFP a été blanchi à la chaux dans les casinos
allemands par Dumont. Thoma envoyé à la gendarmerie d'Uccle
pour identifier des photos d'endroits où a lieu le trafic d'enfants
d'Orient (restaurant italien av. Charlequint). Il a donné l'identité
d'un Roumain."
Le Château des Amerois Note de prudence : avec des déboulonneurs manipulateurs
revendique notoires comme Verhaeghen et Alvarez impliqués, ainsi que des
chercheurs en conspiration évangélique comme Fritz Springmeier
et le Hollandais Robin de Ruiter, cette histoire a été rendue
presque complètement inutilisable.
PV 100.403, 14 janvier 1997 (Eddy Verhaeghen) : "Lettre d'un
officier de gendarmerie à la retraite (Mignon). Au début d'avril
1996, il a hébergé un prêtre mexicain. L'ami hollandais du prêtre
est venu le voir. Le Hollandais mentionne le château d'Amerois
comme un lieu où se déroulent des soirées sataniques et
pédophiles au cours desquelles les enfants sont sacrifiés. Cette
information lui a été donnée par un Américain de l'OTAN qui est
retourné aux États-Unis. Cet Américain avait participé à l'une de
ces soirées et en avait été dégoûté. Le prêtre est parti au Mexique
et a eu des contacts téléphoniques avec les familles Lejeune-
Russo. Prêtre = Dizan Vasquez. Hollandais = Robin de Ruiter.
Le commandant Schmidt en a été informé les 23 et 24 avril 1996.
Peut-être un lien avec les chasseurs décrits par X1[sans parler
des autres X témoins].""
PV 150.048, 12 février 1997 (Baudouin Dernicourt) : "Interview
de René Mignon (20/02/38). Il écrivit au capitaine Baulard pour
l'informer des sacrifices d'enfants au château des Amerois. Sa
femme et lui connaissaient un missionnaire espagnol travaillant
en Ouganda. Ils lui ont rendu visite en Ouganda où ils ont
rencontré un prêtre mexicain. En avril 1996, ce prêtre mexicain a
été hébergé quelques jours chez lui. L'ami hollandais du prêtre
est venu le voir[là-bas]. Ce Hollandais parlait du Château des
Amerois près de Bouillon qui appartient à la famille Solvay. Le
Néerlandais a dit qu'il connaissait un homme qui occupait un
poste à l'OTAN. Cet homme[de l'OTAN] a expliqué au
Hollandais qu'il avait été invité à une soirée au château des
Amerois au cours de laquelle des enfants ont été sacrifiés. À
l'époque, il a donné les faits au commandant Schmit. Les faits
remonteraient à 1994-1995. Trois Américains auraient participé
à ce genre de fêtes, mais probablement pas ensemble. Fritz
Springmeier aurait enquêté sur ces faits et aurait écrit un livre.
Dans ce livre, le Château des Amerois est appelé'Mères des
châteaux des ténèbres en Belgique'. Le gérant du château est
Devogelaer (061/46.71.36). Il est impossible de voir le château
de la porte des VP - il est très bien gardé (chiens). Le
Néerlandais est prêt à témoigner anonymement. Le Hollandais a
confirmé les faits par téléphone, mais ne veut pas se faire
connaître."
PV 150.311, 19 février 1997 (Eddy Verhaeghen) : "Information :
Château Amerois. Néerlandais = R. de Ruiter d'Almere. Il écrit
pour dire qu'il ne sait rien à part que ses infos viennent de
Springmeier. L'information de cette personne viendrait d'anciens
satanistes. Il mentionne "les 13 premières lignées d'Illuminati"
qui font des familles sataniques les plus puissantes sur terre et
"la formule Illuminati utilise pour créer un esclave indétectable
et contrôlé par l'esprit[sic]" qui se charge de la programmation
et de la déprogrammation des victimes. Fritz Springmeier,
Oregon City (USA),
PV 150.931, 30 avril 1997 (Cerefino Alvarez) : "Information
Château d'Amerois. Contact téléphonique avec le Père Vasquez
(Mexique), le "Hollandais". Réception de la cassette vidéo de
Springmeier, confirmation de la vision de cette vidéo,
Springmeier mentionne le Château d'Amerois comme étant un
lieu où les sacrifices d'enfants se feraient selon des rituels
sataniques."
Suite
Note : Ne fait pas partie des X-dossiers et peut difficilement être considéré comme une
victime. Ses informations ont fait surface un an après la fermeture de tous les X-dossiers. Il
s'est suicidé un an plus tard.
Comte Yann de Meeus La famille de Meeus est née en Belgique. Le comte Ferdinand de
d'Argenteuil Meeus (1798-1861), surnommé à l'époque "le Rothschild de
Belgique", devient gouverneur de Société Générale en 1830, lors
de la révolution qui sépare la Belgique des Pays-Bas. Ferdinand a
reçu le titre de comte après avoir aidé le roi Léopold de Belgique
à prendre le contrôle de Société Générale auprès des princes
d'Orange.
ARGUMENT : Le bâtiment X1
décrit n'était certainement pas
l'endroit où Christine avait été
trouvée.
EXPLICATION : Personne, et
certainement pas X1, n'a prétendu
que Christine avait été assassinée
dans l'immeuble. X1 avait toujours
fait une distinction entre le
bâtiment où les mauvais
traitements et la torture ont
commencé et le sous-sol, situé à
environ 30 pieds de là, où
Christine avait été assassinée. La
description de X1 de l'ensemble de
l'emplacement a été jugée
parfaitement exacte par les anciens
propriétaires. Somers reconnaîtra
plus tard que la description de X1
était exacte, mais ajoute
rapidement que le bâtiment n'était
pas accessible au moment du
meurtre.
ARGUMENT : Les enquêteurs ont
trouvé un tampon, mais seulement
dans un bâtiment adjacent à
l'endroit où Christine a été trouvée.
Ce bâtiment était scellé au moment
du meurtre. De plus, le tampon ne
contenait qu'un peu de sang et
n'était pas "trempé".
EXPLICATION : Des cahiers
brûlés et un cartable appartenant à
Christine ont été trouvés dans le
même bâtiment que celui où le
tampon a été trouvé. Le premier
incendie découvert le soir du
meurtre a également commencé
dans ce bâtiment. Selon X1, la
torture de Christine a commencé
quand son groupe est entré dans ce
bâtiment. Le degré exact de
sanglant du tampon est un détail
relativement mineur.
ARGUMENT : Il n'y avait pas de
blessure au poignet de Christine.
Un clou ou un tube creux avait
fondu dans le poignet de Christine
après qu'on lui ait mis le feu.
EXPLICATION : Les relecteurs
ont essayé de convaincre le
policier qui avait décrit la scène du
crime qu'il avait tort lorsqu'il a
écrit dans son rapport officiel : "Un
clou est planté dans le poignet
gauche". Même après lui avoir
montré des photos de 1984, le
policier ne voyait aucune raison de
se rétracter de ce qu'il avait vu.
Apparemment, cela n'avait pas
d'importance pour les relecteurs.
ARGUMENT : X1 avait pris
toutes ses informations dans de
vieux journaux.
EXPLICATION : Aucune coupure
de presse sur le meurtre de
Van Hees
n'a été trouvée en possession de
X1. Beaucoup de petits détails que
X1 a mentionnés n'ont jamais paru
dans les journaux. La description
de X1 de l'immeuble est une
indication claire qu'elle a
effectivement été à la
champignoniere.
ARGUMENT : Les parents de
Christine Van Hees ont piégé X1
au cours d'une confrontation en lui
posant des questions sur le voyage
de Christine au Canada dans les
semaines précédant sa mort. Selon
la magistrate Paule Somers, "X1
s'est immédiatement souvenu de ce
que Christine avait dit à ce sujet.
Mais mère Van Hees a piégé X1.
EXPLICATION : Au début de
1999, l'avocate bruxelloise Patricia
Vandersmissen s'est portée
volontaire pour aider X1 à se
défendre contre le flot constant
d'attaques de la presse. Par
conséquent, on lui a donné un
aperçu d'une partie du X-dossier.
L'une des premières choses que
Vandersmissen voulait savoir était
ce que X1 avait dit exactement en
réponse à la déclaration selon
laquelle Christine avait été au
Canada dans les semaines
précédant sa mort. Vandersmissen
a lu toute la transcription de
l'affrontement du début à la fin et
de l'arrière vers l'avant. Il s'est
avéré que la seule chose que X1
avait dite au sujet du prétendu
voyage de Christine au Canada
était : "Je ne pense pas qu'on ait
jamais eu l'occasion de parler de
ces choses." C'est ça, c'est ça. Les
journaux et les magistrats avaient
menti.
ARGUMENT : X1 n'a pas pu
identifier la photo de Christine Van
Hees.
EXPLICATION : Cette erreur
d'identification s'est produite le 13
novembre 1996, à 7 heures du
matin, après 8 heures d'entrevues.
X1 a reçu cinq photos et a
correctement déclaré que Christine
en faisait partie. Cependant,
comme cela s'est produit plusieurs
fois avant et après cette interview,
X1 a eu beaucoup de difficulté à
regarder des photos. Parce qu'elle
avait MPS/DID, regarder les
bonnes photos a déclenché
d'horribles souvenirs refoulés.
Comme elle avait déjà été
interviewée pendant huit heures,
elle avait déclaré à plusieurs
reprises que cela avait été suffisant
pour cette nuit-là. Cependant, De
Baets continuait à pousser, et selon
X1, elle savait que si elle identifiait
correctement Christine, l'interview
continuerait pendant au moins une
heure. Par conséquent, elle a choisi
au hasard parmi les autres visages
et a dit clairement qu'elle ne faisait
que faire une déclaration. X1 : "Si
vous pouviez regarder la cassette,
vous verriez qu'après avoir montré
la photo P10, j'ai regardé De Baets
et Hupez avec un regard exultant
sur mon visage. Comme : et
maintenant c'est ton tour ! Je
voulais leur faire comprendre que
j'étais sérieux et que je voulais
rentrer chez moi. J'étais furieuse
contre eux, alors." Les
intervieweurs ont apparemment
compris le message et non
seulement ils ont interrompu
l'entrevue, mais ils ont aussi noté
que X1 a choisi intentionnellement
la mauvaise photo. PV 116.990, 13
novembre 1996, 7e entrevue de X1
: "X1 reconnaît Christine sur la
photo." Explication dans PV
117.487, 12 décembre 1996
(Hupez), qui a été ignorée par les
relecteurs : "Sujet : identification
de l'image X1-P10. Au cours de
son entretien, décrit dans le rapport
officiel sous la référence A, X1 a
décrit le meurtre de la victime,
Christine..... X1 a témoigné avoir
reconnu Christine entre les photos
qui lui ont été présentées, mais n'a
pas identifié la photo qu'elle
reconnaît. La question est à
nouveau posée à X1 (ligne 1305 et
suivantes), qui hésite
continuellement, avec les mêmes
arguments concernant cette
reconnaissance : - Si je fais cela,
tout redevient réel - j'ai peur
d'avoir tort - Cela fait si longtemps
- je doute moi-même - je la
connaissais, mais je doute, car
c'était dans des circonstances
différentes, certainement pas sur la
photo. Enfin, X1 pointe vers
l'image X1-P10. Nous avons
identifié la personne sur la photo
P10 comme étant D. Anik.... Il ne
s'agit pas de la victime X1 a
parlé.... 414 Nous en concluons : 1.
l'image P10, montrée par X1, n'est
pas la victime dont elle a parlé,
Christine. 2. Mais la photo de la
victime faisait partie de celles
montrées à X1[5 au total], qu'elle
n'a pas montrées
intentionnellement."
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