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Objectif Général du TP :
1) Pour la première expérience : il s’agit de voir l’effet de la
masse sur les oscillations des mouvements.
2) Pour la deuxième expérience : le but de cette expérience est
de trouver expérimentalement l’inertie en rotation d’un anneau et
d’un disque et vérifier que ces valeurs correspondent aux valeurs
théoriques calculées.
3) Pour la troisième expérience : le but de cette activité est de
mesurer la période d’oscillation d’une masse attaché à un ressort
et comparez la valeur mesurée à la valeur théorique.
1
Matériel expérimental :
Partie 1 : Pendule simple :
Procédure :
La nature ponctuelle du pendule
simple permet de
déterminer sa période grâce à la
relation suivante:
T = 2π
Q 4 : Tableau :
Ex Mass Période Période Période Période Période moyenn
p e 1 2 3 4 5 e
(kg)
1 0.7 1.1 1.15 1.13 1.12 1.12 1.124
2 0.14 1.1 1.15 1.13 1.12 1.12 1.124
3 0.21 1.1 1.15 1.13 1.12 1.12 1.124
Q 5 : Forme Graphique :
La forme du graphique de la position par rapport au temps pour
le pendule est de la forme sinusoïdale.
Q 6 : Effet de la Masse :
La masse n’a aucun effet sur la période du pendule.
D.Conclusion :
D’après les expériences réalisées, on constate que la variation de
la masse ne modifie pas la durée de la période, le pratique est donc
cohérent avec le théorique selon lequel la période est donnée par :
T = 2π
et a = rα
Alors I =
I : Le rayon de la poulie , r = 2.5
cm M : La masse suspendue m=20 g
α : accélération angulaire , dans ce cas elle est égale à : 4.48 rad/s
Application Numérique :
= 4.84 (SI)
Q 2 : La valeur expérimentale de I le moment d’inertie de
l’anneau
On
a:
D’ou
Alors :
:I=
Q 6 : Tableau
1 er Cas : disque + cylindre creux
Accélération Angulaire α Valeur
Essai 1 4,48
Essai 2 4,45
Essai 3 4,55
Moyenne 4,49
Moment d’Inertie :
L’objet ayant le plus grand moment d’inertie est le cylindre creux.
Q9 : Objet le plus difficile à accélérer :
L’objet le plus difficile à accélérer est le disque + anneau
Q10 : Compatibilité des Valeurs Théoriques et
Mesurées On a l’ expression : I = 9, 63.10 kg.m
On remarque que les valeurs de I mesurées expérimentalement est
presque égale à celles calculées théoriquement si on considère les
erreurs commises au cours de l’expérience.
D.Conclusion :
La compatibilité des valeurs théoriques et mesurées prouvent
la validité des relations physiques.