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I. Oscillations libres
4. Après validation par le professeur, réaliser les expériences, noter les résultats et conclure pour chacun
des paramètres.
5. La théorie prévoit que la période T est proportionnelle à √𝑙. Le vérifier à l’aide de vos mesures.
Protocole
Le mouvement d’un pendule de 1,0 m de long avec une masse de 50 g a été enregistré à l’aide d’une
webcam : voir fichier Pendule.
Ø A l’aide du logiciel Aviméca, effectuer les pointages sur la vidéo pour enregistrer la position du
pendule au cours du temps. On choisira un axe (Oy) orienté vers le haut et l’origine à la position
d’équilibre du pendule.
Ø Transférer les coordonnées dans le logiciel Regressi en utilisant le Presse-papier (PP) et tracer les
courbes x(t) et y(t)
Ø Déterminer la période T des oscillations.
Ø Ouvrir la fenêtre Graphe : afin d’observer la courbe y = f (x) cliquer sur l’icône Coordonnées
permettant de choisir x en abscisse et y en ordonnée ; dans l’onglet Mécanique, cocher la case Vitesse
et valider : les vecteurs vitesses apparaissent sur la trajectoire ; leurs coordonnées vx et vy et les
valeurs des vitesses v se retrouvent dans la fenêtre Grandeurs.
Ø Cliquer sur Y+ pour créer successivement les grandeurs énergétiques (énergies cinétique, potentielle
de pesanteur et mécanique) en précisant le type de grandeur et leur expression. Les valeurs sont
calculées par le logiciel et on les retrouve dans l’onglet Tableau.
Questions
1. Donner la valeur maximale de l’énergie potentielle de pesanteur.
A quelle position du pendule correspond-elle ?
3. Décrire dans un tableau l’évolution des différentes formes d’énergie au cours d’une période T en
précisant les positions du pendule pour lesquelles les énergies cinétiques et potentielles sont soit
maximales, soit minimales.
5. Comment évolue l’énergie mécanique ? Quelle force permet d’expliquer cette évolution ?
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II. Oscillations amorties
L’oscillateur est maintenant soumis à une force de frottement visqueux (air, liquide,…) :
ð voir les oscillations d’un flotteur
Il existe 3 régimes possibles :
• Si l’amortissement est faible à modéré : régime pseudopériodique (ou périodique amorti)
Évolution temporelle :
Dans cette épreuve, le candidat est debout attaché sur un trapèze juste au-dessus de la salle du trésor... et donc
des tigres ! Le trapèze fait initialement un angle θ0 = 20° par rapport à la verticale. A t = 0 s, celui-ci est lâché sans
vitesse initiale et fait un mouvement de va-et- vient. Ses équipiers vont alors tirer sur une corde pour donner de
plus en plus d'amplitude au trapèze, tout comme s’ils sonnaient une cloche. Ainsi, le candidat malmené pourra
attraper l'indice qui se trouve suspendu en hauteur à condition bien sûr que l’amplitude des oscillations soit
suffisante.
Pour une efficacité maximale, la technique consiste à tirer sur la corde lorsque le trapèze est à son point le plus
haut afin d’en augmenter l’amplitude à chaque oscillation.
Courbe 1
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Exercices
Quelques données :
• La pseudo-période 𝑇% est supérieure à la période propre 𝑇& et augmente quand l'amortissement croît.
'())
• Décrément logarithmique : 𝛿 = 𝑙𝑛 '() , - ) ; lorsque 𝛿 est constant, on dit que l’amortissement est
!
exponentiel.
.
• Coefficient d’amortissement : 𝜆 = -
!
Exercice 1
On réalise le relevé expérimental de la réponse d'un oscillateur en fonction du temps. On représente en plus
sur le relevé, les courbes enveloppes des extrema.
1. D'après l'allure de la courbe précisez de quel type de régime il s'agit.
2. Mesurer le décrément logarithmique pour chaque pseudo-période ; s'agit-il d'un amortissement
exponentiel ?
3. Déterminer la pseudo-période et le coefficient d’amortissement.
Exercice 2
On considère un oscillateur mécanique constitué d'une masse 𝑚 attachée à
l'extrémité d'un ressort horizontal, l'autre extrémité étant fixe.
Le système est en oscillation et on mesure la position instantanée de la masse.
Le graphe suivant décrit cette évolution.