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recherche technique
acier
Production de l'Acier
Rapport
EUR 8963/11 FR
Agrandissement à partir d'un original microfiche
Commission des Communautés européennes
recherche technique
acier
Production de l'Acier
(1)
M. LARREC, (1) J. PETEGNIEF, (1) M. WANIN
(2)
P. ANTOINE, (3) J. FOUSSAL
111
Irsid
185, rue du Président Roosevelt
F-78105 SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
(2)
Usinor — France
(3)
Solmer — France
Convention n° 7210.CA/306
( 1 . 5 . 1 9 7 9 - 1.5.1982)
RAPPORT FINAL
Direction Générale
Science, recherche et développement
1984 EUR8963/IIFR
Publié par:
COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES
Direction g énérale
Marché de l'information et innovation
L-2920 LUXEMBOURG
AVERTISSEMENT
Ni la Commission des Communauté s europé ennes, ni aucune autre personne
agissant au nom de !a Commission, n'est responsable de l'usage qui pourrait
être fait des informations ci-après
ι CECA-CEE-CEEA, Bruxelles-Luxembourg,
ξ
INSTITUT DE RECHERCHES DE LA SIDERURGIE FRANÇAISE
IR5ID
©
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®. R 5 I D
R E S U M E
PLAN
Pages
INTRODUCTION 1
1. METHODE EXPERIMENTALE 2
P L A N (suite)
CONCLUSION 21
BIBLIOGRAPHIE 22
FIGURES
φ. R 5 I O
INTRODUCTION
L'intensité des échanges thermiques et de la solidification dans une lingo
tière de coulée continue dépend d'un grand nombre de paramètres de coulée dont
le choix vise en général, à répondre à un double objectif : minimiser le risque de
percées et assurer la fabrication de produits exempts de défauts.
*
IRSID
1. METHODE EXPERIMENTALE
La machine de coulée continue d'USINOR NEUVESMAISONS construite
par Fives C il Babcock, est une machine courbe de rayon 12 m, à 4 lignes, produisant
des blooms de format 250 χ 300 mm2 destinés pour une grande partie a la fabrication
de fils. Les nuances coulées sur cette machine couvrent toute la gamme des aciers
au carbone depuis les aciers doux (C < 0,10 %) jusqu'aux aciers durs (C ^ 0,85 96).
Les lingotières possèdent une conicité à la fois sur grandes et petites faces.
La définition de la conicité utilisée à NEUVESMAISONS et retenue dans ce texte
est la suivante :
L
■ Lo χ 1000
LH
où C est la conicité en 96o /m
L la dimension (en mm) de la lingotière à son bord supérie' :
Lo la dimension (en mm) de la lingotière à son bord inférieur
H la hauteur (en m) de la lingotière.
Lors de chaque coulée d'essai, les densités de flux thermique extrait loca
lement ont été déterminées en 46 points de la lingotière. Les points de mesure
retenus sont situés sur 6 axes verticaux répartis sur le périmètre de la lingotière
(Figure 2). Les axes 2, 3, 4 et 5 sont situes au milieu de chacune des 4 faces de
la lingotière. Les axes 1 et 6 ont été choisis respectivement à proximité et au centre
d'un des chanfreins de la face intrados.
IRSID
Sur chacun de ces axes, 8 niveaux de mesure situés à 100, 150, 250, 350,
450, 550, 650 et 7 00 mm du bord supérieur des plaques de cuivre ont été choisis.
Pour des raisons technologiques, les mesures n'ont pas pu être effectuées sur l'axe 6
aux niveaux 350 et 450 mm.
Φ- £ ( Τ ι - τ 2 )
Λ étant la conductibilité thermique du cuivre et e la distance entre
thermocouples.
Les thermocouples utilisés lors de cette étude sont des couples chromel
alumel à soudure chaude isolée, gainés d'inconel. Ces thermocouples de diamètre
extérieur 1,5 mm ont été disposés dans des trous de diamètre 2 mm percés vertica
lement dans les plaques de cuivre.
Les signaux délivrés par les 92 thermocouples utilisés ont été enregistrés
simultanément à l'aide d'un calculateur Hewlett Packard HP 1000 suivant des cycles
variant entre 1 et 5 secondes.
Sur chaque bloom d'essai, 5 plaquettes ont été prélevées à des distances
de 150, 300, 500, 700 et 900 mm environ de la tranche de métal présente au niveau
du ménisque en lingotière lors de l'introduction d'or. En pratique, la plaquette préle
vée à 700 mm permet la mesure de l'épaisseur solidifiée en sortie de lingotière.
Les figures 3 et 4 présentent, pour des vitesses de coulée de 0,7 et 0,8 m/min,
l'évolution de la densité de flux thermique mesurée le long des différents axes.
Depuis le ménisque, sur une distance de 250 mm, on observe une décrois-
sance régulière de la densité de flux thermique extrait au milieu des faces. Plus
bas dans la lingotière, on remarque une stabilisation suivie d'une décroissance de
l'extraction calorifique mesurée sur les différents axes.
Les mesures de la densité de flux thermique extrait le long des axes situés
dans le chanfrein et à proximité de celui-ci montrent par leur evolution et leur
faible niveau, qu'un retrait de la peau solide dans l'angle s'amorce à une courte
distance sous le ménisque et se poursuit jusqu'en sortie de lingotière.
φ. R S I D
b) Profil de solidification
Echanges thermiques
La figure 10 compare, pour une vitesse de coulée de 0,6 m/min, les résultats
des mesures de densité de flux thermique extrait réalisées lors de la présente étude
à ceux obtenus par IRVING et col (6) sur une lingotière de coulée continue de blooms.
On remarque, qu'à pratiquement tout niveau de la lingotière, les résultats de nos
mesures sont compris dans l'intervalle des valeurs obtenues par IRVING pour 2 poudres
de couverture différentes.
Solidification
La figure 11 présente l'ensemble des mesures d'épaisseur solidifiée effec-
tuées en lingotière à NEUVES-MAISONS, dans le cas de la coulée d'aciers durs
(C = 0,8 96). Pour chaque plaquette transversale de bloom prélevée, nous avons
reporté, en fonction du temps de séjour en lingotière, les épaisseurs solidifiées
maximum et minimum mesurées le long des faces du bloom. Sur cette figure sont
«-' IRSID
L'écart entre les mesures effectuées lors de ces 2 coulées s'explique par
le fait que l'acier à 0,8 % de carbone présente un intervalle de solidification plus
large que l'acier à 0,1 % de carbone. Les calculs de solidification en lingotière
effectués soit à l'aide du modèle conductif, soit à l'aide du modèle convectif, mon
trent que pour ces 2 nuances, l'épaisseur solidifiée finissante est identique dans
des conditions de coulée données. Par contre, l'épaisseur solidifiée commençante
calculée pour l'acier dur est, en sortie de lingotière, supérieure à celle calculée
pour l'acier doux : avec le modèle conductif, l'écart entre valeurs calculées pour
ces 2 nuances est de 5 mm.
a) Extraction calorifique
b) Solidification en lingotière
c) Usure de la lingotière
r Ces résultats^ sont assez différents de ceux établis lors de mesures d'usure
effectuées par le passé, sur 2 lingotières à produits longs :
Après chaque coulée, des coupes transversales des brames marquées ont
été effectuées, puis autoradiographiées. Ces coupes correspondent à des tranches
de métal présentes en lingotière lors du marquage et situées à des niveaux de 150,
250, 350, 450 et 550 mm sous le ménisque liquide.
Chaque angle de brame peut alors être caractérisée par une combinaison
de ces 2 faciès (1 par côté de l'angle) comme montré en exemple sur la figure 31.
Sur la figure 32 nous avons représenté, pour les 3 coulées d'essai, les réduc
tions d'épaisseur solidifiée mesurées dans les angles en fonction du niveau de la
brame sous le ménisque. Nous avons également tracé pour chaque conicité l'évolu
tion le long de la lingotière de la réduction d'épaisseur maximale observée. Audessus
du graphique, sont indiquées à chaque niveau de mesure, et pour chaque conicité,
les valeurs moyennes des sousépaisseurs mesurées.
IRSID |7
Pour cela chaque face du produit est assimilée à une poutre d'épaisseur e
et les hypothèses suivantes sont utilisées :
<r = k (Τ) ε η i m
avec <r : contrainte
£ : déformation
έ : vitesse de déformation
Τ : température
VIRSID 18
(1)
h (z)
<Tdy=^ (2)
r
avec £(y) = £ T ( y ) + £ m (z)
F(z)
p g z (H h (z) )
Les équations (1) et (2) étant résolues par des méthodes de dichotomie,
la contraction de la peau du produit depuis le ménisque d'acier liquide jusqu'au
niveau z de la lingotière est :
Pour les aciers durs (C = 0,8 96) nous avons considéré un coefficient û(
ition linéaire égal à 20,49
de dilatation 20,4Í χ 10" /°C. Pour les aciers doux (C ^ 0,1 96) nous
avons supposé <X= 23,38 χ 10 /°C.
D ans le cas de SOLMER, par contre, seule la conicité la plus forte parmi
celles ayant fait l'objet d'essais, permet de satisfaire le premier objec
tif. D ans ce cas, le serrage de la lingotière est de beaucoup supérieur
au retrait de l'acier calculé à l'aide de notre modèle, ce qui doit se
traduire par une usure importante du bas de la lingotière.
CONCLUSION
Dans tous les cas cependant, l'utilisation d'une conicité variable sur la
hauteur de la lingotière doit permettre de minimiser l'usure des faces de cuivre.
' I R S I D
BIBLIOGRAPHIE
(4) B. TARTMANN
Kokillen in Bogenanlagen
Radex Rundschau, (1971), 5, p. 591-605
(9) M. WOLF
Investigation into the relationship between heat flux and shell growth in conti-
nuous casting molds
Transactions ISIJ (1980), 20, p. 710-717
G*-» I R S I D
23
(17) J. FOUSSAL
Modèle pratique de gestion du refroidissement secondaire à la coulée continue
de SOLMER à FOS/MER
Revue de Métallurgie (1978), 6, p. 403-414
©. R S I D
Figure 5 Comparaison entre les isothermes calculées dans l'angle d'un bloom
(200 χ 200 mm2) pour différentes formes du coin de la lingotière
FIGURE CAPTIONS
Fig. 8 Comparison between the overall heat transfer in the mold for
the cases of the Neuves-Maisons bloom caster and of a slab
caster (1)
Fig. 9 Comparison between the local heat transfer in the mold for
the cases of the Neuves-Maisons bloom caster and of a slab
caster (2)
Fig. 10 Comparison between the present work and IRVING et al's (6)
Fig. 19 Heat transfer through the side faces of the mold as a function
of superheat
Fig. 25 Heat transfer through the lateral faces of the mold as a func
tion of their taper
ι
Fig. 26 Heat transfer through the lateral faces of the mold as a func
tion of their taper.
Middle carbon steel (0.3 % C)
Fig. 27 Heat tranfer through the lateral faces of the mold as a func
tion of their taper.
High carbon steel (0.8 % C)
Bild 8 Vergleich zwischen den Messungen der aus der Kokille entzogen mittlere
thermische Flussdichte bei Usinor NeuvesMaisons auf der Brammenmaschine
ausgeführt. (1)
Bild 9 Vergleich zwischen den lokalen Messungen des Wärmeentzugs auf der Brammen
kokille und in USINOR NeuvesMaisons ausgeführt.
Bild 10 Vergleich zwischen den lokalen Messungen des Wärmeentzugs aus der gegen
wärtigen Studie und der Werte von IRVING u . a . (6) ausgeführt.
Bild 12 Vergleich zwischen den mittels Radioelement gemessenen und den anhand
des Konduktionsmodells der Verfestigung errechneten Schalendicke.
Fall von Weichstahl (C = 0,1%).
Bild 17 Einfluss der Giessgeschwindigkeit auf den Wärmeentzug entlang der Kokille.
Bild 18 Einfluss der Giessgeschwindigkeit auf die Schalendicke gemessen auf der
Kokille.
Bild 19 Einfluss der Uberhitzung des flüssigen Stahls im Verteiler auf den Wärme
entzug entlang den lateralen Flächen der Kokille.
Bild 20 Einfluss der Uberhitzung des flüssigen Stahls im Verteiler auf die Schalen
dicke gemessen entlang der Kokille.
Bild 21 Einfluss des Kohlgèhalts des gegossenen Stahls auf den Wärmeentzug in der
Kokille. Resultate der Literatur.
Bild 22 Evolution des aus der Kokille entzogener thermischen Flussdichte in Funktic
des Kohlegehalts.
Bild 23 Einfluss des Kohlegehalts auf die Schalendicke gemessen entlang der Ko
kille.
Bild 24 Einfluss des verwendeten Giess pulvers auf die globale thermische
Bilanz der Kokille.
Bild 25 Einfluss der Konizität zwischen den lateralen Flächen der Kokille auf
den Wärmeentzug.
Bild 26 Einfluss der Konizität zwischen den lateralen Flächen der Kokille auf
den Wärmeentzug. Fall eines Stahls mit 0,3% C.
Bild 27 Einfluss der Konizität zwischen den lateralen Flächen der Kokille auf
den Wärmeentzug. Fall eines Stahls mit 0,8% C.
Bild 28 Einfluss der Konizität zwischen den lateralen Flächen der Kokille auf
die Schalendicke gemessen entlang der Fläche.
Bild 29 Einfluss der Konizität auf die Schalendicke gemessen entlang der Kokille.
Fall eines Giessblockes aus Hartstahl (C = 0,8%).
Bild 32 Vergleich der Verdünnung der Schalendicken an den Ecken im Bezug auf die
Konizität der kleinen Flächen (Versuchen mit Brammenkokillen).
ANNEXE 1
Calcul de l'erreur relative maximum commise sur les mesures de flux de chaleur
Δ.Ψ Δλ Δ ( g 1 <?2) Ae
+ +
f λ (<9l -Θ2) e
La source d'erreur la plus importante réside dans le jeu latéral éventuel des
thermocouples de diamètre extérieur 1,5 mm dans leurs logements respectifs (02 mm).
Ce jeu peut entraîner une erreur de 0,5 mm pour une distance moyenne entre axes
de 10 mm, soit une erreur relative de 5/100.
L'erreur totale commise sur la mesure de flux est Ίυ..- de 7,2 96.
Petite face
Canaux de refroidissement
Grande face
Axe 3 Axe 5
Axe 6
Axe 2
Axe 1
_
I
I Ik POSITION DES THERM0C0UPLEE
.100
150
o
in
m
<
o
o
oo
o
m
O
in
o
m
g'
I 1
(cotes en mm)
Axes 3 et 5
chanfrein = Axe 1
s 3 et
- Ax
uno
coupé dc 18 χ 18
droit
1200
woo
800 —
600
Temos en (s)
W 15 20 25 30 35 4>
Hauteur dans la lingotière en
pour une vitesse de 0,6 m/mn .
Epaisseur solifiée
.mm)
Voisinage de l'angle
Distance au ménisque
Í run!
Densité moyenne de flux thermique
(io4W/m2)
I I
160
Valeurs mesurées
USINOR Neuves-Mai
Acier doux (C = 0,
120
Hh
0,5 Vitesse de coulée
(m/min)
180 * \
V s.
160
40
Distance au haut
de la lingotière
0
10 20 30 40 50 60
Distance au haut
► de la lingotière
50 (cm)
B Mesures effectuées par Irving
et coli - Lingotière à blooms V 0,6 m/min
A USINOR Neuves-Maisons
Acier dur C = 0,8%
V = 0,6 m/min
Poudre de couverture F
Figure 10 : Comparaison entre les mesures locales d'extraction calorifique
effectuées lors de la présente étude et celles présentées par Irving et coli (6)
Epaisseur solidifiée ^ épaisseur solidifiée commençante
(mm)
20 30 40 50
Temps de séjour en lingotière (s¡
Mesures par
radio-traceur
Distance au ménisque
Epaisseur solidifiée
!mm
20
10
10 20 30 40 50
Temps de séjour en lingotière (s)
Résultats expérimentaux
Epaisseur solidifiée
commençante
Epailsseur solidifiée finissante
Epaisseur solidifiée
(mm)
30 Mesures par radiotraceur
Epaisseur soli
difiée commen
Epaisseur solidifiée finissante çante
20
Niveau 628 mm sous le
ménisque
10
Coefficient d'échange
par convection
0 * (W/m2K )à
4000 8000 12000 16000 20000 24000
0 Epaisseur solidifiée
commençante
w Epaisseur solidifiée
finissante
10
15
25
356
45
55
65
70
Distance au haut de
la lingotière (cm)
Faces latérales (Axes 3 et 5!
Acier doux : C = 0,1 %
Poudre de couverture F
Figure 18 : Influence de la vitesse de coulée sur
l'épaisseur solidifiée mesurée en lingotière
Cas de la coulée d'acier dur : C = 0,8 %
Surchauffe = 18°C - Poudre de couverture F
Epaisseur solidifiée
Distance au ménisque
(cm)
Densité de flux thermique (10 W/m2)
10 ■ ^ IN '
15
^ ^
^ ^
25
/ /
/ /
35 _à
/
45 _
\
\
\
55 „ V «
/
Λ
/
/ /
65
ff
70 À J
— — — A T = 20°C
Distance au haut de
la lingotière (cm)
Epaisseur
30 solidifiée (mm
Distance au ménisque
(cm)
D e n s i t é de flux
(cal/cn2.s)
—r—ι 1—ι 1—Γ
. ^rr. , w\\t\ ai
I «
Ν
Ta X \
u | /
\
% Q
1 R e s u l t a t s de G r i l l e t Brimacombe (11
wf 1/
/ Ν
Densité de f l u x W/m 2 .s
(xl04)
% C
560-
KO
V-
50
% C
7777777777 7 7 / 7 / /'
125 L / / / /
I r / τ
100
Epaisseur solidifi
30 _ (mg
¿0
Distance au ménisque
(cm)
Figure 24 : Influence du type de poudre de couverture utilisée
sur le bilan thermique global de la lingotière
150
140
130
120
10
Densité de fl ux thermique
(1
°4 W/m2)
200 25
Distance au haut de
la lingotière (cm)
■X· 10,8 %o m
A 12,3 %0 m"
Densité de flux thermique
200 (104 W/m2)
Distance au haut de
la lingotière (cm) CONICITE
12,3 %o m"
•1
' 10,8 %„ m'
Distance au haut de
la lingotière (cm) CONICITE
12,3 %«, m -1
10,8 %o m -1
Epaisseur solidifiée
30 (π™)
CONICITE
I- H 12,3 %.m1
I— — H 10,8 %om1
Θ0
Distance au ménisque
Variation d'épaisseur
solidifiée (mm)
CONICITE 12,3 %„
Vitesse 0,7 m/min - Surchauffe 42°C
• Référence
Conicité 10,8 %0
Distance au ménisque
(cm)
Figure 29
Influence de la conicité sur l'épaisseur solidifiée mesurée le long de la lingotière
(-as de la coulee de blooms en acier dur (C = 0,8 %)
Figure 30 : Evolution du profil de la lingotière
mesuré entre faces latérales
Largeur de la lingotière
303 30¿ 305 306 (mm)
Conicité 10,8 %0
Après 21 coulées
Exemples
configuration A B
configuration BB
configuration A A
25
Variation de larg<
(mm)
- Conicité 10,8 %.
Retrait calculé
Distance au haut de
la lingotière (cm)
Figure 34 : Retrait calculé de l'acier en lingotière.
Coulée de blooms de largeur 300 mm
Vitesse 1 m/min - Acier dur (C = 0,8 %)
Variation de largeur
► (mm)
- Conicité 10,8 %„
Retrait calculé
Distance au haut de
la lingotière (cm)
Figure 35 : Retrait calculé de l'acier en lingotière
Coulée de blooms de largeur 300 mm
Vitesse 1 m/min - Acier doux (C = 0,1 %)
Variation de largeur
^" (mm)
— Conicité 10,8 %»
Retrait calculé
Distance au haut de
la lingotière (cm)
Figure 36 : Retrait calculé de l'acier en lingotière
Coulée de brames de largeur 1550 mm
Vitesse = 1,4 m/min
D 2 :ì L 5 6 Variation
var
. de largeur
0 (mm)
j
10
s/
20 /
/
/ /
/ /
30
/ •
¿0
/ι
50
60
70
80
la lingotière (cm)
CDNB08963FRC