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1 En France, le pouvoir réglementaire est directement exercé par : a

a) Le ministre chargé de l'économie


b) Comité européen des régulateurs de marchés de valeurs mobilières (CESR)
c) Le Comité Consultatif de la Législation et de la Réglementation (CCLRF)
2 Le Haut conseil de la stabilité financière : c
1. veille à la coopération et à l'échange d'informations entre les institutions que ses membres
représentent
2. examine les analyses de la situation du secteur et des marchés financiers et il évalue les risques
systémiques qu'ils comportent, compte tenu des avis et recommandations du comité européen
du risque systémique
3. facilite la coopération et la synthèse des travaux d'élaboration des normes internationales et
européennes applicables au secteur financier et peut émettre tout avis ou prise de position
qu'il estime nécessaire.

a) Réponse 1 uniquement
b) Réponse 2 uniquement
c) Réponses 1, 2 et 3
3 La surveillance du respect des règles par le secteur financier est assurée par : d

a) Ni l'AMF ni l'ACPR
b) L'ACPR uniquement
c) L'AMF uniquement
d) L'AMF et l'ACPR conjointement
4 L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) est l’organe de supervision français : b

a) de l’assurance uniquement
b) de la banque et de l’assurance
c) de la banque uniquement
5 Tout professionnel vendeur de biens doit mettre le consommateur en mesure de connaitre les b
caractéristiques essentielles du bien vendu :

a) Toujours dès le contrat conclu


b) Toujours et ce avant la conclusion du contrat
c) Uniquement si le client en fait la demande
6 Tout professionnel vendeur de biens doit mettre le consommateur en mesure de connaitre les a
caractéristiques essentielles du bien vendu :

a) Toujours et ce avant la conclusion du contrat


b) Toujours dès le contrat conclu
c) Uniquement si le client en fait la demande
7 L’Autorité de Contrôle Prudentiel et de résolution est chargée de veiller au respect par les acteurs a
financiers des règles destinées à assurer avant tout la protection :

a) de leur clientèle
b) des autorités
c) des émetteurs
8 Les autorités de contrôle AMF et ACPR : a

a) Coopèrent au sein d’un pôle commun


b) Ne travaillent pas du tout sur le même type d’acteur
c) Sont en concurrence afin de stimuler leur vigilance
9 L’Autorité du Contrôle effectue des contrôles : c
a) sur pièces uniquement
b) sur place uniquement
c) sur pièces et sur place
10 L’Autorité de Contrôle Prudentiel et de résolution a un pouvoir de sanction : c

a) Uniquement à l'égard des établissements qui tombent sous son contrôle ou sous celui de
l’Autorité des marchés financiers.
b) A l’égard de tout établissement inscrit au registre du commerce.
c) Uniquement à l'égard des établissements qui tombent sous son contrôle
11 L’Autorité du Contrôle Prudentiel et de résolution est une autorité administrative : b

a) subordonnée à la banque de France


b) est une autorité administrative indépendante
c) subordonnée à l’Autorité des marchés financiers (AMF)
12 L’AMF est un organisme public indépendant, doté de la personnalité morale et disposant d'une c
autonomie financière, qui a pour missions de veiller :

a) à l'information des investisseurs ;


b) à la protection de l'épargne investie dans les instruments financiers
c) les trois propositions à la fois.
d) au bon fonctionnement des marchés d'instruments financiers
13 Quels sont les objectifs assignés à l’AMF par la loi de Sécurité Financière ? b

a) Réglementer uniquement
b) Réglementer, autoriser, surveiller et sanctionner
c) Réglementer, autoriser et surveiller uniquement
14 A qui s’applique le règlement général (RG-AMF) : b

a) Aux prestataires de services d’investissements (PSI) et aux établissements de crédit même s’ils
n’interviennent pas sur les marchés financiers.
b) Aux prestataires de services d’investissement (PSI) et aux intervenants sur les marchés
financiers.
c) Aux prestataires de services d’investissements (PSI) uniquement
15 En application de son règlement général, l’AMF peut être amenée à autoriser ou non : a

a) des opérations d’émission de titres financiers


b) l’agrément d’un établissement de crédit
c) le collectif budgétaire
16 Que peut faire l’Autorité des Marchés Financiers en cas de pratiques contraires à son règlement général c
ou aux obligations professionnelles, notamment en cas d’abus de marché :

a) L’AMF n’a aucun pouvoir de sanction et ne peut transmettre de rapport au procureur de la


République par respect du secret professionnel.
b) La commission des sanctions n’est que consultative, elle transmet ses conclusions au procureur
de la République.
c) La Commission des sanctions peut prononcer des sanctions.
17 Outre sa mission d'information et de pédagogie auprès du public, le service de la médiation : b
1. reçoit les réclamations portant sur l'information financière, l'exécution des ordres, le transfert
de comptes-titres, la gestion pour compte de tiers.
2. propose un règlement à l'amiable en cas de litige entre un particulier et un professionnel.
3. valide les agréments des établissements de crédit.

a) Réponse 1 uniquement
b) Réponses 1 et 2 uniquement
c) Réponse 2 uniquement
d) Réponses 1, 2 et 3
18 Qu’est ce qui assure notamment l’indépendance de l’Autorité des marchés Financiers ? c

a) ses membres sont tous étrangers


b) ses membres sont élus à vie.
c) les mandats de ses membres ne sont pas renouvelables
19 Quelle est l’autorité compétente pour délivrer un agrément aux établissements de crédit ? b

a) aucune de ces autorités n’est compétente


b) l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de résolution
c) l’AMF
20 L’ESMA est l’autorité européenne des marchés financiers. Elle a pour objectif de renforcer la B
coordination des régulateurs des marchés financiers dans les pays de l’Union, en France l’AMF. Parmi
les missions suivantes, quelle est celle qui lui incombe ?

a) d’agréer et de contrôler les banques dont l’implantation est européenne.


b) d’agréer et de contrôler les agences de notation de crédit dont l’implantation est européenne.
c) d’agréer et de contrôler les assurances dont l’implantation est européenne.
21 Sur le plan des services financiers, quel est l’objectif de l’Union Européenne : A

a) Créer un marché unique


b) Limiter le nombre de réglementation
c) Contrôler la financiarisation de l’économie
22 Le passeport européen pour les instruments et les établissements financiers est établi par la A
réglementation européenne :

a) Marché d’Instruments Financiers (MIF ou MIFID en anglais)


b) Abus de marché.
c) Infrastructure de marché (EMIR en anglais).
23 Le passeport européen pour les instruments et les établissements financiers permet : C

a) la libre circulation de l’argent quelle que soit son origine


b) dans des cas particuliers de s’affranchir de la réglementation abus de marché
c) ce passeport permet la reconnaissance mutuelle des agréments délivrés dans chaque pays
européen par les autorités compétentes
24 Quel est, d’après la réforme de 2009 de la Directive sur les organismes de placement collectif en valeurs A
mobilières (OPCVM), le principe du passeport européen ?

a) une société de gestion agréée dans un Etat-membre pourra exercer dans tous les autres Etats
de l’Union Européenne
b) aucune de ces deux propositions
c) un gérant de portefeuille peut exercer dans une société de gestion de portefeuille située dans
un autre état membre uniquement s’il détient ce passeport
25 Lorsque dans le cadre du passeport européen un établissement financier établi une succursale : C

a) la surveillance incombe uniquement à l’autorité du pays d’origine.


b) La surveillance incombe à la Banque Mondiale.
c) la surveillance incombe à l’autorité du pays d’origine et à l’autorité du pays hôte.
26 Le passeport européen s’applique aussi aux sociétés de gestion de portefeuille et aux OPCVM qu’elles A
gèrent. Un OPCVM ainsi reconnu est dit :

a) Coordonné
b) Collatéralisé
c) Communauté
27 Le passeport européen s’applique aussi aux sociétés de gestion de portefeuille et aux OPCVM qu’elles C
gèrent. Un OPCVM ainsi reconnu est dit coordonné. Au niveau européen c’est l’acronyme issu de
l’anglais qui est utilisé, quel est-il ?
a) UETS
b) CERS
c) UCITS
28 Dans l’architecture européenne de la régulation financière, quels sont les organes en charge de la B
surveillance des marchés et des entreprises financières ?

a) Il n’y a pas de surveillance financière au niveau européen.


b) Les autorités bancaires, des assurances et des valeurs mobilières
c) Les comités bancaires, des assurances et des valeurs mobilières
29 Au niveau européen, il existe deux organes de régulation pour la banque et l’assurance, lesquels ? C

a) L’ESMA et la BCE
b) L’ESMA et l’EBA
c) L’EBA et l’EIOPPA
30 L’Autorité Bancaire Européenne (EBA en anglais) a pour objectif : B

a) de créer un fonds commun de recouvrement de toutes les dettes européennes.


b) de sauvegarder la stabilité et l’efficacité du système bancaire et se focalise particulièrement sur
tout risque présenté par des établissements financiers dont la défaillance risque d’entraver le
fonctionnement du système financier ou de l’économie réelle.
c) de superviser l’AMF.
31 Les règles communes, fondement de l’union bancaire : A

a) Prévoient une procédure de liquidation ordonnée en cas de crise bancaire


b) Interdisent toute faillite bancaire
c) Ont pour objectif la création d’une banque unique à l’échelle européenne : The Euro Bank
32 L’Autorité Européenne des Assurances et des Pensions Professionnelles a pour objectif de sauvegarder B
la stabilité et l’efficacité du système financier. Elle agit principalement dans le domaine d’activité :

a) des entreprises d’assurance uniquement.


b) des entreprises d’assurance et de réassurance.
c) des entreprises d’assurance et bancaire
33 L’ESMA est l’autorité européenne des marchés financiers. Elle a pour objectif de renforcer la B
coordination des régulateurs des marchés financiers dans les pays de l’Union, en France l’AMF. Parmi
les missions suivantes, quelle est celle qui lui incombe ?

a) d’agréer et de contrôler les assurances dont l’implantation est européenne.


b) d’agréer et de contrôler les agences de notation de crédit dont l’implantation est européenne.
c) d’agréer et de contrôler les banques dont l’implantation est européenne
34 Le comité européen du risque systémique (CERS) est chargé : B

a) de la surveillance macroprudentielle du système financier dans la zone euro


b) de la surveillance macroprudentielle du système financier dans l’Union européenne
c) de la surveillance macroprudentielle des banques uniquement
35 Dans le cadre du passeport européen un établissement financier peut offrir ses services soit par le libre A
établissement d’une succursale soit par la libre prestation de services :

a) l’autorisation ne vaut que pour les services agréés dans le pays d’origine
b) l’autorisation couvre toutes les opérations que souhaite offrir l’établissement, même celles
pour lesquelles il n’a pas d’agrément dans le pays d’origine.
c) l’autorisation ne vaut que pour les opérations de crédit
36 Dans le cadre du passeport européen un établissement financier peut offrir ses services par : D

1. le libre établissement d’une succursale


2. la libre prestation de services
3. les services de l’AMF

a) réponse 1 uniquement
b) réponse 2 uniquement
c) réponse 3 uniquement
d) réponses 1 et 2 uniquement
37 La coopération internationale s’appuie notamment sur : B

a) Le conseil de convergence financière


b) Le conseil de stabilité financière
c) L’union pour la stabilité financière
38 Le Comité de Bâle est chargé de renforcer la solidité du système financier mondial, il rassemble : B

a) Les pays du G10 uniquement


b) 27 pays uniquement
c) Les pays de la zone euro uniquement
d) La plupart des pays membres de l’ONU
39 Les accords dits de Bâle visent : A

a) A établir les standards de gestion du risque dans le secteur bancaire


b) A réduire les déficits des pays de la zone euro
c) A établir les standards de gestion du risque de change uniquement
d) A réduire les dettes des pays de la zone euro
40 Les accords dits de Bale II prévoient : C
1. Une exigence minimale de fonds propres
2. Une surveillance prudentielle individualisée
3. Des exigences en matière de communication financière

a) 1 et 2 uniquement
b) 1 uniquement
c) 1 et 2 et 3
d) 1 et 3 uniquement
41 Quel organisme a pour mission principale de veiller à la stabilité du système financier international ? A

a) Le FMI
b) La Banque Mondiale
c) Le Gafi
42 Quel organisme a pour mission principale de coordonner l’action des banques centrales ? C

a) Le FMI
b) Le Gafi
c) La BRI
d) La Banque Mondiale
43 Le groupe d’action financière (GAFI) est impliqué dans : B

a) La lutte contre les déficits publics.


b) La lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
c) La réduction des risques de marché.
44 Quels sont les services d’investissement que peut effectuer un PSI agrémenté : b
1. La réception et la transmission d’ordres
2. Le conseil en investissement
3. La gestion de portefeuille

a) Aucune des propositions


b) 1 et 2 et 3
c) 1 et 2 uniquement
d) 3 uniquement
45 Pour les organismes qui ont reçu le statut de PSI, l’AMF définit : b

a) les règles d'organisation uniquement


b) les règles de bonne conduite et d’organisation
c) les règles de bonne conduite uniquement
46 Certains acteurs sont spécialisés dans la distribution de produits financiers. Ils ne sont pas, par nature, b
PSI eux-mêmes mais distribuent les produits d’un ou plusieurs PSI. Ces intermédiaires sont
notamment :

a) Conseiller en gestion de patrimoine indépendant (CGPI)


b) les CIF et les CGPI
c) Conseillers en investissement financier (CIF)
47 Les conseillers en investissements financiers sont les personnes exerçant à titre de profession habituelle b
les activités :

a) de conseil et de gestion de portefeuille uniquement


b) de conseil en investissement et de réalisation d'opérations sur biens divers
c) de conseil en investissement uniquement
48 Si un conseiller en investissement financier décide d’offrir des services de gestion de portefeuille, il c
doit :

a) investir des actifs au plus tôt


b) investir des actifs au plus tard 30 jours après sa décision
c) demander un agrément à l’AMF avant toute opération
49 Les CIF ont aussi obligation d’adhérer à une association professionnelle. Celle-ci contrôle : b

a) le respect des conditions de compétence uniquement


b) le respect des conditions de compétence et du code de bonne conduite qu’elle a pris soin de
faire valider par l’AMF
c) uniquement le respect du code de bonne conduite qu’elle a pris soin de faire valider par l’AMF
50 Qui délivre l’agrément aux associations professionnelles des Conseillers en Investissements Financiers c
(CIF) ?

a) Aucun de ces organismes


b) La préfecture de Police
c) L’AMF
d) Le Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie
51 Un agent général d'assurance : a

a) est généralement une personne physique


b) a toujours le statut de CIF
c) les deux réponses à la fois
52 L’ORIAS est : a

a) L’Organisme pour le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance


b) L’Office des règlements internationaux pour les assurances
c) L’Organisme pour le règlement des intermédiaires en assurance
d) L’Office du registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance
53 Une association professionnelle peut demander de faire : a

a) approuver et appliquer son code de bonne conduite


b) approuver uniquement son code de bonne conduite
c) appliquer uniquement son code de bonne conduite
54 L’AFECEI a pour objet principal : a
a) la "représentation des intérêts collectifs " des établissements de crédit
b) la coordination des politiques monétaires internationales
c) la lutte contre le blanchiment d’argent
55 Tous les établissements de crédit sont tenus d’adhérer à un organisme professionnel ou à un organe a
central lui-même affilié à :

a) L’Association française des établissements de crédit et des entreprises d’investissement.


b) La Banque Mondiale
c) L’Association française bancaire
56 Quels sont les établissements financiers tenus d’adhérer à une association professionnelle elles-mêmes c
affiliée à l’Association française des établissements de crédit et des entreprises d’investissement,
l’AFECEI ?

a) les chambres de compensation


b) entreprises d'investissement
c) tous les établissements ci-dessus
d) les entreprises de marché
57 L’association Française des marchés Financiers est une association professionnelle qui a pour mission : a

a) De contribuer à la promotion et au développement des activités de marchés financiers, ou


métiers d'investment banking, exercés sur la place financière française.
b) Aucune des deux propositions précédentes
c) D’exercer l’autorité sur les acteurs des marchés financiers en France
58 L'AFG est l'organisation professionnelle de la gestion pour compte : b

a) deux tiers
b) aucune des deux propositions précédentes
c) au tiers
59 La Fédération bancaire française (FBF) est l'organisation professionnelle qui représente : c

a) uniquement les banques françaises


b) toutes les banques de la zone euro
c) toutes les banques installées en France
60 Par quel mécanisme se détermine les prix des titres financiers sur les marchés ? a

a) par le jeu de l’offre et de la demande


b) par la loi de finance annuelle
c) par la fixation autoritaire des prix par la Banque Centrale Européenne
61 Lorsque durant une crise il devient difficile de vendre ou d’acheter des titres financiers par absence c
d’offre et de demande, on dit que le marché n’est plus :

a) fonctionnel
b) solide
c) liquide
62 La volatilité des marchés financiers est une mesure : a

a) de variabilité des prix et donc de risque


b) de fiscalité
c) de performance
63 Le Produit Intérieur Brut (PIB) totalise : c

a) Les valeurs ajoutées crées par l’ensemble des facteurs de production étrangers dans le pays.
b) les valeurs ajoutées crées par l’ensemble des facteurs de production détenus par des nationaux
aussi bien dans le pays qu’à l’étranger.
c) les valeurs ajoutées crées par l’ensemble des facteurs de production situés dans un pays
64 L’Inflation mesure la variation : c
a) des taux d’intérêt
b) de la croissance
c) des prix des biens et services
65 Quel est l’objectif assigné à la BCE par le Traité de Madrid ? c

a) La croissance dans la zone euro


b) L'emploi
c) La stabilité des prix dans la zone euro
66 Le taux de change de l’Euro contre le dollar : a

a) Fluctue selon l’offre et la demande de chacune des deux monnaies


b) Est fixé chaque jour sur décision du conseil supérieur de la BCE
c) Est établit par un comité regroupant les grandes banques centrales internationales (BCE,
Federal Reserve, Banque d’Angleterre, Banque du Japon etc…)
67 Selon la loi Informatique et liberté, une donnée à caractère personnel est : c

a) toute information concernant les convictions politiques et religieuse de la personne à


l’exclusion de tout autre information
b) toute information relative à une personne physique susceptible, si elle était divulguée, de lui
porter tort.
c) toute information relative à une personne physique
68 Parmi les missions suivantes, quelle est celle qui n’est pas confiée à la CNIL ? a

a) Proposer des textes pour encadrer le traitement des données personnelles


b) Contrôler le traitement des données personnelles
c) Recevoir et instruire les réclamations
d) Informer les personnes concernées de leurs droits et obligations
69 Les données à caractère personnel peuvent être conservées : b

a) Sans limitation de durée


b) Pour la durée correspondant à la finalité pour laquelle ces données ont été collectées.
c) Pour une durée limitée de 10 ans
d) Pour une durée limitée à 5 ans
70 Le transfert de données à caractère personnel dans un état hors Union européenne est : d

a) Possible si l’état offre un niveau de protection suffisant en matière de données personnelles et


si la CNIL a donné son accord
b) Absolument impossible
c) Possible si l’état offre un niveau de protection suffisant en matière de données personnelles et
si la personne a donné son accord
d) Possible si l’état offre un niveau de protection suffisant en matière de données personnelles,
sans que l’accord de la personne soit nécessaire
71 Le traitement automatisé des données personnelles n’ayant pas de caractère sensible peut être mis en b
œuvre :

a) Après déclaration à Tracfin


b) Après déclaration à la CNIL
c) Après autorisation de la CNIL
72 En cas de non-respect de la loi Informatique et Liberté, la CNIL : a

a) Peut infliger une sanction financière dès le premier manquement


b) N’a aucun pouvoir pour infliger des sanctions financières
c) Peut infliger une sanction financière seulement en cas de récidive
73 Le non-respect de la loi Informatique et Liberté : a
a) Peut donner lieu à une peine d’emprisonnement et à amende
b) Ne peut jamais donner lieu à sanction pénale
c) Peut donner lieu uniquement à une peine d’amende
74 Le prestataire est astreint à une obligation de conservation : b

a) des deux propositions à la fois


b) d'un enregistrement de tout service fourni et de toute transaction effectuée
c) De son personnel
75 Au sein de la direction d’une entreprise d’investissement, le secret professionnel s’impose : b

a) Uniquement aux membres du conseil d’administration ou de surveillance


b) A toute personne participant à la direction, au conseil d'administration ou de surveillance
c) Uniquement au PDG
76 Au sein d’un établissement de crédit, le secret professionnel : a

a) S’impose à tous les salariés


b) Ne s’impose en aucun cas aux salariés
c) S’impose seulement à certains salariés
77 En cas de non-respect du secret professionnel au sein d’un établissement de crédit ou d’une entreprise a
d’investissement, les sanctions pénales possibles sont :

a) Emprisonnement d’un an et amende de 15000 euros


b) Emprisonnement de 3 ans et amende de 15000 euros
c) Emprisonnement d’un an et amende de 5000 euros
78 Au sein d’un établissement de crédit, le secret professionnel n’est pas opposable : b

a) Aux clients
b) A l’autorité de contrôle prudentiel et de résolution
c) Aux clients identifiés
79 Au sein d’une entreprise d’investissement, le secret professionnel : b

a) Interdit la communication d’informations sauf autorisation d’une agence de notation


b) Interdit la communication d’informations sauf accord du client ou circonstances particulières
c) Interdit absolument la communication d’informations
80 Les PSI sont tenus d’agir avec loyauté envers leurs clients en vertu : c

a) Du code monétaire et financier uniquement


b) Du code de la consommation uniquement
c) Du code de la consommation et du code monétaire et financier
81 L’abus de faiblesse est interdit par : b

a) Le code pénal
b) Le code de la consommation
c) Le code civil
82 Concernant l'information due aux clients, le non-respect des dispositions réglementaires peut justifier a
la mise en œuvre d'une sanction :

a) administrative
b) administrative et pénale
c) pénale
83 Les PSI détenant des instruments financiers appartenant aux clients : c

a) N’ont aucune obligation pour assurer la séparation de ces instruments par rapport aux leurs
b) Doivent assurer la séparation de ces instruments par rapport aux leurs par l’intervention d’un
établissement tiers
c) Doivent assurer la séparation de ces instruments par rapport aux leurs au moyen de registres et
comptes séparés
84 Le fonds de garantie et de résolution est : b

a) Une autorité sans personnalité juridique


b) Une personne morale de droit privé
c) Une personne morale de droit public
85 Doivent adhérer au fonds de garantie et de résolution : a

a) Les établissements de crédit et les PSI, à l’exception des sociétés de gestion de portefeuille
b) Les prestataires de services d’investissement uniquement
c) Les établissements de crédit uniquement
d) Les établissements de crédit et les PSI
86 Le fonds de garantie et de résolution intervient sur demande : b

a) Des clients lésés


b) De l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution
c) De la CNIL
87 Lorsque le fonds de garantie et de résolution intervient au titre de la garantie de caution : b

a) Il doit indemniser l’établissement de crédit qui ne peut pas récupérer le montant prêté à un
client auprès de la personne physique qui était caution du client
b) Il doit prendre en charge les sommes qu’un établissement de crédit aurait dû payer en vertu de
ses engagements de cautions envers une personne physique ou morale
c) les deux réponses à la fois
88 Le fonds de garantie et de résolution intervient pour indemniser les clients en cas d’indisponibilité : c

a) Uniquement des fonds en dépôt


b) Uniquement des instruments financiers
c) Des fonds en dépôt et des instruments financiers
89 Quel est le montant des dépôts garantis pour les déposants d’une banque de détail qui ferait faillite ? c

a) 50 000 euros par personne et par dépositaire


b) 70 000 euros par personne et par dépositaire
c) 100 000 euros par personne et par dépositaire
d) 25 000 euros par personne et par dépositaire
90 Quel est le plafond de garantie pour les instruments financiers ? c

a) 100 000 euros par personne


b) 50 000 euros par personne
c) 70 000 euros par personne
d) 25 000 euros par personne
91 Un établissement bancaire est une personne morale qui effectue à titre de profession habituelle la ou c
les activités suivantes :

a) services bancaires de paiement.


b) les opérations de crédit
c) Toutes ces opérations
d) réception de fonds du public
92 Parmi les établissements ci-dessous, quels sont ceux qui doivent demander un agrément de l’ACPR ? c

a) Banque uniquement
b) Institution financière spécialisée uniquement
c) Banque et institution financière spécialisée
93 Constitue une opération de crédit tout acte par lequel une personne agissant à titre onéreux : b

a) prend, dans l'intérêt de celle-ci, un engagement par signature tel qu'un aval, un cautionnement,
ou une garantie uniquement.
b) met ou promet de mettre des fonds à la disposition d'une autre personne ou prend, dans
l'intérêt de celle-ci, un engagement par signature tel qu'un aval, un cautionnement, ou une
garantie.
c) met ou promet de mettre des fonds à la disposition d'une autre personne uniquement
94 Quelles sont les activités d’un établissement de paiement : a

a) les deux propositions à la fois


b) opérations de gestion d’un compte de paiement uniquement
c) services permettant de verser ou de retirer des espèces sur un compte de paiement
uniquement
95 Une entreprise qui demande un agrément à l’ACPR pour l’activité d’établissement de paiement a c
obligatoirement :

a) le statut d’établissement de crédit


b) des fonds propres de 10.000.000 d’euros.
c) la personnalité morale
96 Un établissement dument agréé : a

a) peut avoir le statut d’établissement de crédit et de prestataire de services d’investissements


b) ne peut avoir que le statut d’établissement de crédit
c) ne peut avoir que le statut de prestataire de services d’investissements
97 Il est interdit aux établissements de crédit dont les activités de négociation sur instruments financiers b
dépassent un certain seuil de fournir des services d’investissement sans créer de filiale.
Est-ce pour :

a) Eviter les abus de position dominante


b) Garantir la stabilité financière de ces établissements
c) Limiter leurs profits à des montants raisonnables
98 Les services de l’AMF effectuent des contrôles et des enquêtes pour veiller au devoir : b

a) d’information uniquement
b) d’information et de conseil
c) de conseil uniquement
99 Quel est l’organe de l’AMF qui peut ordonner qu'il soit mis fin aux manquements aux obligations c
législatives, réglementaires ou professionnelles :

a) la commission paritaire
b) la commission des sanctions
c) le collège
100 La voie de composition administrative implique un engagement : b

a) A récupérer une somme définie par le code monétaire et financier auprès du Trésor public.
b) A verser au Trésor public une somme définie par le code monétaire et financier.
c) A verser à l’AMF une somme définie par le code monétaire et financier
101 La commission des sanctions de l’AMF est un organe : a

a) Indépendant du collège
b) Dépendant du collège
c) Sous la tutelle du collège
102 En cas de manquement grave, quel est le montant maximal de l’amende que peut infliger l’AMF à un d
opérateur ?

a) 1 000 000€
b) 50 000 000 €
c) 10 000 000€
d) 100 000 000€
103 Les règles de déontologie visent à préserver : c

a) L’investissement socialement responsable


b) La responsabilité de l’AMF
c) L’intégrité du marché
104 Les codes de bonne conduite édictés par les associations professionnelles : b

a) S’appliquent naturellement à tous les prestataires de services d’investissement


b) S’appliquent à tous les prestataires de services d’investissement si l’AMF en a décidé ainsi
c) Ne peuvent s’appliquer qu’aux membres de l’association
105 La personne en charge de la surveillance du respect des règles de bonne conduite au sein d’un PSI est le b
:
a) Commissaire aux comptes
b) Responsable conformité
c) Le Médiateur
106 Dans le cadre des règles de bonne conduite, les prestataires de services d’investissement doivent agir c
de manière :

a) Sincère, loyale et professionnelle


b) Honnête, sincère et professionnelle
c) Honnête, loyale et professionnelle
d) Honnête, sincère et loyale
107 Lorsqu’un prestataire de services d’investissement agit, il doit servir au mieux les intérêts des clients et d
favoriser :

a) La régularité du marché
b) L’efficacité du marché
c) La transparence du marché
d) L’intégrité du marché
108 Le prestataire de services d’investissement doit communiquer des informations à ses clients pour que a
ceux-ci soient en mesure de prendre leurs décisions d’investissement :

a) En connaissance de cause
b) En toute sécurité
c) En toute certitude
109 En vue de fournir le service de conseil en investissement à un client, le prestataire de services d
d’investissement :

a) Doit demander au client des renseignements concernant exclusivement ses connaissances et


son expérience en matière d’investissement
b) Doit demander au client des renseignements concernant exclusivement sa situation financière
et ses objectifs d’investissement
c) N’a aucun renseignement spécifique à demander au client
d) Doit demander au client des renseignements sur ses connaissances en matière
d’investissement, son expérience dans ce domaine, sa situation financière et ses objectifs
d’investissement
110 Un prestataire de services d’investissement doit distinguer ses clients selon deux catégories qui sont : c

a) Client de droit privé-client de droit public


b) Commerçants-non commerçants
c) Professionnel-non professionnel
d) Risqué-non risqué
111 Pour servir au mieux les intérêts des clients, les prestataires de services d’investissement doivent a
prendre toutes les mesures raisonnables pour obtenir :
a) Le meilleur résultat possible
b) Le résultat le plus satisfaisant
c) Le résultat le plus élevé possible
d) Un résultat moyen
112 Selon quelle périodicité, le prestataire de services d’investissement doit-il réexaminer sa politique c
d’exécution des ordres ?

a) Tous les cinq ans


b) Tous les deux ans
c) Toutes les années
d) Périodicité définie par le prestataire dans son règlement intérieur
113 Quelles sont les règles régissant l’information des clients par le prestataire de services d’investissement d
en ce qui concerne sa politique d’exécution des ordres ?

a) Le prestataire de services d’investissement doit donner des informations au client lorsque


l’opération dépasse un montant déterminé
b) Le prestataire de services d’investissement n’est tenu à aucune obligation d’information
c) Le prestataire de services d’investissement doit donner des informations à tous ses clients non
professionnels uniquement
d) Le prestataire de services d’investissement doit donner des informations à tous ses clients
114 La politique d’exécution des ordres définie par le prestataire de services d’investissement doit-elle être a
soumise au consentement préalable des clients ?

a) Oui, le consentement préalable des clients est nécessaire dans tous les cas
b) Non, le consentement préalable des clients n’est jamais nécessaire
c) Oui, le consentement préalable des clients est nécessaire, mais uniquement lorsque le client est
non professionnel
115 La rémunération du prestataire de services d’investissement : d

a) Ne doit jamais émaner d’un tiers


b) Peut émaner d’un tiers à condition que le client ait donné son accord préalable
c) Peut émaner d’un tiers sans condition particulière
d) Peut émaner d’un tiers à condition que le client ait été informé
116 Lorsque le prestataire de services d’investissement fait appel à des tiers pour l’exécution des b
prestations, la responsabilité du prestataire de services d’investissement :

a) Est totalement écartée


b) Peut toujours être recherchée
c) Peut être recherchée si le client n’a pas été informé au préalable
117 La responsabilité du conseil, d’administration ou de surveillance, du fait du non-respect des obligations a
professionnelles incombant au prestataire de services d’investissement :

a) Peut toujours être recherchée


b) Ne peut être recherchée que si le conseil a été spécialement mandaté pour veiller au respect de
ces obligations
c) Ne peut jamais être recherchée
118 Au sein du prestataire de services d’investissement, qui doit être informé de la désignation du a
responsable de la conformité ?

a) Le conseil d’administration ou de surveillance


b) Les actionnaires
c) Le comité d’entreprise
119 La personne désignée comme responsable de la conformité : d

a) Doit avoir obtenu une habilitation délivrée par la Préfecture


b) Peut être choisie librement et sans restriction
c) Doit avoir au moins 10 ans d’expérience professionnelle
d) Doit avoir obtenu une carte professionnelle délivrée par l’AMF
120 La fonction de conformité doit être confiée : b

a) Au commissaire aux comptes du prestataire


b) A un responsable de la conformité
c) A un tiers professionnel désigné par le tribunal sur demande du prestataire
d) Au président de l’organe de surveillance du prestataire
121 Le responsable de la conformité établit un rapport lié à la conformité au moins : a

a) Une fois par an


b) Une fois par semestre
c) Une fois par mois
d) Une fois par trimestre
122 Les rapports sur la conformité, établis par le responsable de la conformité, sont destinés : b

a) Exclusivement aux dirigeants du prestataire


b) Aux dirigeants du prestataire et à son organe de surveillance
c) A l’AMF
d) Exclusivement à l’organe de surveillance du prestataire
123 Les enregistrements des services fournis et des transactions effectuées doivent être conservés au moins b
:

a) Trois ans
b) Cinq ans
c) Dix ans
d) Un an
124 L’organisation d’une procédure permettant l’exercice du devoir d’alerte éthique est imposée : c

a) Pour les prestataires autres que les sociétés de gestion de portefeuille


b) Pour tous les prestataires de service d’investissement
c) Pour les sociétés de gestion de portefeuille uniquement
125 Outre les personnes physiques agissant pour le compte du prestataire de services d’investissement, le c
devoir d’alerte éthique est ouvert par le texte :

a) Aux clients du prestataire


b) Aux actionnaires du prestataire
c) Aux salariés du prestataire
d) Aux membres du conseil d’administration ou de surveillance
126 Lorsque le devoir d’alerte éthique est prévu par les textes, les personnes doivent faire part de leurs a
interrogations :

a) Au responsable de la conformité
b) Au commissaire aux comptes
c) Aux dirigeants du prestataire
d) Aux délégués du personnel
127 Au sein d’un prestataire de services d’investissement, qui n’a pas le statut de personne concernée dans d
la liste suivante ?

a) Un membre du conseil d’administration


b) Le directeur général
c) Un salarié
d) Le conjoint d’un salarié
128 Le prestataire de services d’investissement doit maintenir opérationnelle une politique efficace de b
gestion des conflits d’intérêt ?
a) Sauf si le prestataire est de taille importante
b) Aucune de ces deux propositions, le prestataire doit dans tous les cas maintenir opérationnelle
une politique efficace de gestion des conflits d’intérêt
c) Sauf si son activité est trop complexe
129 Les mesures que les prestataires de services d’investissement doivent prendre pour empêcher les a
conflits d’intérêts de porter atteinte aux intérêts des clients doivent être :

a) Appropriées au prestataire de services d’investissement


b) Radicales
c) Raisonnables
130 La politique de gestion des conflits d’intérêts doit définir des procédures et des mesures pour assurer d
aux personnes engagées dans des activités à risque un degré :

a) D’impartialité suffisante
b) De liberté suffisante
c) D’objectivité appropriée
d) D’indépendance appropriée
131 Les mesures prises par un prestataire de services d’investissement pour séparer les activités c
susceptibles d’engendrer des conflits d’intérêts sont appelées :

a) Mur de l’Atlantique
b) Paravent de Chine
c) Murailles de Chine
132 Si les mesures prises par le prestataire de services d’investissement ne suffisent pas à garantir, avec une a
certitude raisonnable, que le risque de porter atteinte aux intérêts des clients sera évité, l’information
est fournie par le prestataires de services d’investissement au client :

a) Par écrit sur un support durable


b) Oralement
c) Par écrit sur tout type de support
133 Si les mesures prises par le prestataire de services d’investissement ne suffisent pas à garantir, avec une c
certitude raisonnable, que le risque de porter atteinte aux intérêts des clients sera évité, quelle doit
être l’attitude du prestataire envers le client ?

a) Il ne doit pas réaliser l’opération


b) Il peut réaliser l’opération, sans avoir aucune obligation envers le client
c) Il peut réaliser l’opération, après avoir informé le client
d) Il peut réaliser l’opération, après avoir obtenu l’accord du client
134 Afin de limiter les conflits d'intérêt et les abus de marché, le PSI doit mettre en place pour ses a
collaborateurs qui souhaitent effectuer des opérations un régime :

a) De transactions personnelles
b) De transactions annuelles
c) De médiations personnelles
135 En pratique comment peut-on construire une « muraille de Chine » ? a

a) En séparant les activités dans plusieurs bâtiments


b) En formant les collaborateurs uniquement
c) Aucune des deux propositions
136 Lorsque le salarié d’un prestataire agit pour le compte d’un membre de sa famille, il y a certitude de a
transaction personnelle si la personne pour laquelle il agit est notamment :

a) Un enfant à la charge du salarié


b) La personne avec qui il vit en couple, sans être marié ou Pacsé
c) Un parent, autre qu’un enfant, à la charge du salarié
d) Un enfant majeur quelle que soit sa résidence
137 Une opération réalisée pour le compte d’une personne ayant des liens étroits avec une personne a
concernée constitue une transaction personnelle. L’existence d’un lien étroit est admise :

a) Dès qu’est établi un lien de participation d’au moins 20% ou un lien de contrôle entre les
personnes
b) Dès qu’est établi un lien de participation entre les personnes
c) Dès qu’est établi un lien de participation d’au moins 30% ou un lien de contrôle entre les
personnes
d) Uniquement en cas de lien de contrôle entre les personnes
138 Les mesures prises par un prestataire de services d’investissement en matière de transactions c
personnelles ont vocation à s’appliquer :

a) Exclusivement aux personnes concernées ayant accès à des informations privilégiées ou


confidentielles
b) Exclusivement aux personnes concernées intervenant dans des activités susceptibles de donner
lieu à conflit d’intérêt
c) Aux personnes concernées intervenant dans des activités susceptibles de donner lieu à conflit
d’intérêt ou ayant accès à des informations privilégiées ou confidentielles
139 Dans quel document, les mesures prises par le prestataire de services d’investissement en matière de b
transactions personnelles doivent-elles être mentionnées ?

a) Un rapport spécial établi à cet effet


b) Le règlement intérieur
c) Le rapport annuel
140 Lorsqu’une transaction personnelle est réalisée, le prestataire de services d’investissement doit-il être d
informé ?

a) Non, il n’a pas à être informé


b) Oui, il doit être informé si la transaction dépasse un montant fixé par décret
c) Oui, il doit être informé dans un délai de dix jours
d) Oui, il doit être informé sans délai
141 Lorsque le prestataire de services d’investissement est informé d’une transaction personnelle, il : c

a) Il est tenu de conserver un enregistrement de la transaction si elle dépasse un montant


déterminé
b) N’est jamais tenu de conserver un enregistrement de la transaction
c) Est toujours tenu de conserver un enregistrement de la transaction
142 Les prestataires de services d’investissement ont-ils le droit d’utiliser pour leur compte propre les b
instruments financiers appartenant à leurs clients ?

a)Oui, cela est autorisé sans aucune restriction


b)Oui, si le client a donné son autorisation préalable expresse
c)Non, cela est strictement interdit
d)Oui, si le client n’a pas exprimé d’opposition expresse au moment de l’entrée en relation avec
le prestataire
143 Le prestataire de services d’investissement doit faire le nécessaire pour que les instruments financiers c
détenus par un client puissent être distingués :

a) En fin de trimestre
b) En fin d’année
c) A tout moment et sans délai
144 Lorsque le prestataire de services d’investissement recourt à un tiers pour la détention des instruments d
financiers appartenant à un client :

a) Il commet une faute car cela est absolument interdit


b) Il peut prendre cette décision sans être soumis à aucune contrainte
c) Il peut prendre cette décision sous la seule contrainte d’avoir obtenu l’accord préalable du
client
d) Il peut prendre cette décision, sous la seule réserve de prendre des précautions dans le choix et
le contrôle du tiers
145 Le prestataire de services d’investissement est tenu de traiter les réclamations des clients non a
professionnel :

a) Rapidement et au plus tard sous 2 mois


b) Sans aucune considération de temps
c) Dans le délai de trente jours
d) Dans le délai de dix jours
146 Dans quels cas les prestataires de services d’investissement sont-ils tenus d’avoir une procédure de d
traitement des réclamations ?

a) Pour les réclamations de tous les clients, quel que soit leur statut
b) Pour les réclamations supérieures à un certain montant
c) Pour les réclamations des clients professionnels
d) Pour les réclamations des clients non professionnels
147 Quand les prestataires de services d’investissement traitent les réclamations des clients, un d
enregistrement :

a) N’est absolument pas obligatoire


b) Est obligatoire seulement pour les mesures prises
c) Est obligatoire seulement pour la réclamation
d) Est obligatoire pour la réclamation et les mesures prises
148 Pour quels types de litiges, les établissements de crédit ou de paiement doivent-ils avoir un processus a
de médiation interne ?

a) Uniquement les litiges avec une personne physique n’agissant pas pour des besoins
professionnels
b) Uniquement les litiges avec une personne physique, qu’elle soit ou non un professionnel
c) Tous les litiges, quel que soit le client
d) Uniquement les litiges avec une personne physique dont le montant dépasse 5000 euros
149 L’existence d’une procédure de médiation interne est obligatoire pour : b

a) Les prestataires de service d’investissement figurant sur une liste établie par l’AMF
b) Exclusivement les établissements de crédit et de paiement
c) Tous les prestataires de service d’investissement
d) Uniquement les sociétés de gestion de portefeuille
150 Dans quel cas le médiateur de l’AMF peut-il intervenir ? b

a) Pour toute réclamation émanant d’un client d’un prestataire de service d’investissement
b) Pour toute réclamation émanant d’un client non professionnel d’un prestataire de service
d’investissement à condition qu’elle ait un lien avec la compétence de l’AMF
c) Pour toute réclamation émanant d’un client professionnel d’un prestataire de service
d’investissement
151 Quel est le rôle du médiateur de l’AMF ? b

a) Rendre une décision qui est susceptible de recours par l’une des parties
b) Proposer une solution qui doit être acceptée par les deux parties
c) Rendre une décision qui s’impose aux parties
152 La cellule française de lutte contre le blanchiment d’argent s’appelle : a

a) TRACFIN
b) GAFI
c) FIU
153 Le GAFI est : b

a) la cellule française de renseignement financier


b) un organisme intergouvernemental de lutte contre le blanchiment d'argent
c) un établissement de crédit qui a été sanctionné pour blanchiment d'argent
154 En France, quel est le code rassemblant les règles en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux d
et le financement du terrorisme ?

a) Le code des douanes


b) Le code de commerce
c) Le code pénal
d) Le code monétaire et financier
155 En cas de non-respect des exigences qui incombent aux professionnels vis-à-vis de la lutte contre le d
blanchiment d’argent, ils peuvent subir :

a) Aucune sanction
b) Des sanctions administratives uniquement
c) Des sanctions pénales uniquement
d) Des sanctions administratives ou pénales
156 Lorsque des biens ou des revenus proviennent d’une infraction, le fait de faciliter la justification c
mensongère de l’origine de ces biens ou revenus constitue le délit de blanchiment de capitaux :

a) Si l’infraction commise est une contravention ou un délit


b) Si l’infraction commise est un crime uniquement
c) Si l’infraction commise est un délit ou un crime
d) Quelle que soit la nature de l’infraction commis
157 Constitue le délit de blanchiment de capitaux le fait d’apporter son concours à une opération de a
placement, de dissimulation ou de conversion du produit direct ou indirect :

a) D’un crime ou d’un délit


b) D’un crime exclusivement
c) D’une infraction quelle qu’elle soit
d) D’une infraction punis d’une peine privative de liberté supérieure à un an
158 Dans laquelle de ces circonstances, le blanchiment est-il considéré comme aggravé ? b

a) Il a un lien avec le grand banditisme


b) Il est commis en utilisant les facilités que procure l’exercice d’une activité professionnelle
c) Lorsqu’on agît seul
159 Quelles est en principe la peine d’emprisonnement maximale encourue en cas de blanchiment a
aggravé ?

a) 10 ans
b) 15 ans
c) 5 ans
d) 20 ans
160 En cas de blanchiment aggravé, la peine d’amende maximale encourue en principe est de : a

a) 750 000 euros


b) 375 000 euros
c) 175 000 euros
d) 500 000 euros
161 Dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent, le principe de vigilance constante prévoit que a
le professionnel doit maintenir :

a) Une connaissance actualisée de ses relations d’affaires tout au long de la relation


b) Une constance dans ses relations d’affaires pour ne pas éveiller les soupçons du client sous
surveillance.
c) Un niveau de risque constant sur les investissements
162 Les documents relatifs à l’identité du client et aux opérations doivent être conservés : a

a) Cinq ans
b) Sans limitation de durée
c) Dix ans
d) Deux ans
163 L’identification du client pendant et non avant la relation d’affaires est justifiée : c

a) Uniquement dans le cas de l’ouverture d’un compte


b) Si cela est justifié par la nécessité de poursuivre la relation d’affaires, quel que soit le risque de
blanchiment ou de financement du terrorisme
c) Si cela est justifié par la nécessité de poursuivre la relation d’affaires et que le risque de
blanchiment ou de financement du terrorisme est faible
164 Un client occasionnel doit être identifié : d

a) Uniquement dans le cas où il existe des soupçons que l’opération pourrait participer au
blanchiment de capitaux ou au financement du terrorisme
b) Dans tous les cas
c) Uniquement si l’opération dépasse un montant déterminé
d) S’il existe des soupçons que l’opération pourrait participer au blanchiment de capitaux ou au
financement du terrorisme ou si l’opération est d’une certaine nature ou dépasse un certain
montant
165 S’il y a absence de soupçon de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme, les a
professionnels sont dispensés des obligations de vigilance envers le client et la relation d’affaires :

a) Pour certaines opérations ou certains clients


b) Pour toutes les opérations
c) Pour tous les clients
166 Quelle est la circonstance justifiant des mesures de vigilance complémentaires ? a

a) Le client n’est pas présent physiquement au moment de l’identification


b) L’opération porte sur un montant supérieur à 15 000 euros
c) Le client réside dans un pays étranger
167 Dans le cas où le client n’est pas une personne exposée et que l’opération est une ouverture de c
compte, combien de mesures de vigilance complémentaires le professionnel doit-il appliquer ?

a) Au moins trois
b) Au moins deux
c) Au moins une
168 Lorsqu’une opération est complexe ou d’un montant inhabituellement élevé, le professionnel doit : c

a) Doit demander à un membre de la direction de prendre la décision d’établir la relation


d’affaires
b) S’abstenir d’établir la relation d’affaires
c) Effectuer un examen renforcé de l’opération en demandant des renseignements précis au
client
169 Le bénéficiaire effectif d’une relation d’affaires est : a

a) Obligatoirement une personne physique


b) Obligatoirement une personne morale
c) Une personne physique ou une personne morale
170 Lorsque, au terme des diligences de principe, il subsiste des doutes sur l’identité du donneur d’ordre ou b
du bénéficiaire effectif, le professionnel est tenu de faire la déclaration à TRACFIN :
a) Seulement s’il existe des soupçons de blanchiment de capitaux ou de financement du
terrorisme
b) Sans qu’il soit besoin d’une autre condition
c) Seulement si le client est domicilié, établi ou enregistré dans un état autre que la France
171 Sauf cas exceptionnel, qui a compétence en principe pour faire la déclaration de soupçon à TRACFIN ? c

a) Toute personne
b) Tout membre de la direction
c) La personne, dirigeant ou préposé, spécialement habilitée à cet effet
d) Tout salarié
172 Les déclarations de soupçon à TRACFIN : c

a) doivent être faites obligatoirement oralement


b) Doivent toujours être envoyées par voie postale
c) sont à faire par la plateforme ERMES
173 La déclaration de soupçon à TRACFIN : a

a) Peut intervenir après le début de l’opération dans certains cas seulement


b) Peut toujours intervenir après le début de l’opération
c) Peut intervenir après le début de l’opération seulement si l’autorité de surveillance a donné son
accord
d) Doit impérativement intervenir avant le début de l’opération
174 La révélation de l’existence de la déclaration par le déclarant est : a

a) Possible dans certains cas seulement


b) Absolument interdite
c) Possible sans aucune restriction
175 Quel est le risque pour le déclarant, si la déclaration de soupçon effectuée régulièrement et de bonne c
foi se révélait non fondée ?

a) Il encourt une sanction professionnelle


b) Il engage sa responsabilité pénale
c) Il n’encourt aucune sanction
d) Il engage sa responsabilité civile
176 Après déclaration à TRACFIN, la réalisation de l’opération est possible : c

a) Sans que TRACFIN puisse s’y opposer


b) Sous réserve d’une opposition exercée par TRACFIN, bloquant l’opération sans limite
c) Sous réserve d’une opposition exercée par TRACFIN, bloquant l’opération pour une durée de 5
jours
d) Sous réserve d’une opposition exercée par TRACFIN, bloquant l’opération pour une durée de 2
jours
177 Lorsque les investigations menées par TRACFIN mettent en évidence des faits susceptibles de relever du d
blanchiment du produit d’une infraction punie d’une peine privative de liberté supérieure à un an ou du
financement du terrorisme, TRACFIN :

a) Engage une procédure de sanction en interne


b) Saisit la police judiciaire
c) Saisit l’autorité de surveillance
d) Saisit le procureur de la République
178 Parmi les autorités suivantes, qui est chargé de veiller au respect des obligations de vigilance et de b
déclaration par les professionnels assujettis ?

a) L’autorité de contrôle prudentiel et de résolution exclusivement


b) L’AMF et l’autorité de contrôle prudentiel et de résolution selon les cas
c) L’AMF exclusivement
d) La commission de vigilance contre le blanchiment de capitaux exclusivement
179 En cas de non-respect des obligations de vigilance et de déclaration, la commission des sanctions de a
l’autorité de contrôle prudentiel et de résolution peut prononcer une sanction pécuniaire dont le
montant maximal est de :

a) 100 millions d’euros


b) 150 millions d’euros
c) 15 millions d’euros
d) 300 000 euros
180 En cas de non-respect des obligations de vigilance et de déclaration, la commission des sanctions de c
l’AMF peut prononcer :

a) Uniquement des sanctions financières


b) Uniquement des sanctions non financières
c) Des sanctions financières et/ou non financières
181 La déclaration à TRACFIN s’impose lorsque les professionnels savent, soupçonnent ou ont de bonnes c
raisons de soupçonner que les sommes proviennent :

a) D’une infraction punie d’une peine privative de liberté supérieure à 3 ans


b) D’une infraction punie d’une peine privative de liberté
c) D’une infraction punie d’une peine privative de liberté supérieure à 1 an
d) D’une infraction quelle que soit la peine prévue
182 La déclaration à TRACFIN s’impose lorsque les professionnels savent, soupçonnent ou ont de bonnes c
raisons de soupçonner que les sommes proviennent :

a) D’une fraude fiscale


b) D’une fraude fiscale en présence de plusieurs critères précis
c) D’une fraude fiscale en présence d’au moins un critère précis
183 Dans quelle circonstance, le client a-t-il la qualité de personne exposée justifiant l’application de b
mesures de vigilance complémentaires ?

a) Il réside et exerce en France des fonctions politiques, juridictionnelles ou administratives


b) Il réside et exerce dans un état autre que la France des fonctions politiques, juridictionnelles ou
administratives
c) Il réside dans un état autre que la France, quelle que soit l’activité qu’il y exerce
d) Il n’est pas présent physiquement pour son identification
184 Sont considérées comme des « pratiques de marché admises » : a

a) les pratiques susceptibles d’être mises en œuvre sur un ou plusieurs marchés financiers et
acceptées par l’AMF
b) diffusion d’une fausse information
c) délit d’initié
185 Dans la liste ci-dessous, quels sont les critères que prend au moins en compte l’AMF dans l’évaluation b
de l’acceptabilité d’une pratique de marché particulière :
1. transparence de la pratique
2. non remise en question de l’interaction de l’offre et de la demande
3. effets sur la liquidité et l’efficience du marché
4. adéquation de la pratique avec les mécanismes de négociation du marché concerné
5. risque pour l’intégrité des marchés
6. exposition des investisseurs non professionnels à la pratique

a) 3 uniquement
b) tous les critères énoncés de 1 à 6
c) 1 uniquement
186 Parmi les pratiques suivantes, lesquelles peuvent être qualifiées d’abus de marché : a
1. délit d’initié ;
2. manipulation de cours ;
3. diffusion d’une fausse information ;
4. late trading & market timing

a) 1, 2, 3 et 4
b) 2 uniquement
c) 1 uniquement
187 La directive de la commission européenne dite directive abus de marché, sur les opérations d'initiés et d
les manipulations de marché s’applique :

a) Uniquement aux personnes morales


b) Uniquement aux personnes physiques
c) Uniquement aux personnes physiques et aux personnes morales
d) Aux personnes physiques, aux personnes morales et à toute entité
188 Lorsque le collaborateur d’un prestataire de service d’investissement soupçonne un abus de marché b
potentiel, il doit prévenir :

a) La préfecture de police
b) Le département conformité
c) Le responsable des risques
189 La directive de la commission européenne dites directive abus de marché, sur les opérations d'initiés et b
les manipulations de marché, s’applique :

a) Aucune des deux propositions précédentes


b) A toutes les opérations sur les produits financiers même celles exécutées en dehors d’un
marché réglementé.
c) Aux opérations uniquement exécutées sur un marché réglementé
190 La directive de la commission européenne 2003/6 dite abus de marché s’applique aux instruments b
financiers admis aux négociations
1. sur un marché réglementé
2. un système multilatéral de négociation
3. un marché réglementé d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen
4. l’ensemble des marchés réglementés des pays de l’OCDE

a) 4 uniquement
b) 1, 2 et 3 uniquement
c) 1 uniquement
191 L’AMF a précisé pour les personnes chargées de l’exécution d’ordres sur instruments financiers, la c
notion d’information privilégiée. Pour ces personnes, constitue également une information privilégiée
toute information transmise par un client :
1. qui a trait aux ordres en attente de ce client.
2. est d’une nature précise.
3. se rapporte directement ou indirectement, à un ou plusieurs émetteurs d’instruments
financiers ou à un ou plusieurs instruments financiers.
4. Serait susceptible, si elle était rendue publique, d’avoir une influence sensible sur le cours des
instruments financiers concernés ou le cours d’instruments financiers qui leur sont liés.

a) 3 uniquement
b) 2 uniquement
c) 1, 2, 3 et 4
192 Une information privilégiée est une information précise : a
1. qui n’a pas été rendue publique
2. qui concerne directement ou indirectement un ou plusieurs émetteurs d’instruments financiers
3. qui si elle était rendue publique serait susceptible d’avoir une influence sensible sur le cours
des instruments financiers.
a) 1, 2, et 3
b) 1 uniquement
c) 3 uniquement
193 De par leur fonction, certaines personnes sont amenées à avoir régulièrement accès à de l'information a
privilégiée, qu’elle doit être leur attitude vis-à-vis de cette information :

a) Elles doivent se montrer particulièrement vigilantes au regard de ces informations


b) Il n’y a aucune mesure particulière à prendre
c) Elles doivent faire en sorte de les oublier au plus vite
194 Tout détenteur d’une information privilégiée doit s’abstenir : b
1. D’essayer d’en tirer profit en effectuant des opérations sur les instruments financiers auxquels
ils se rapportent
2. De communiquer cette information à une autre personne en dehors du cadre normal de son
travail
3. De recommander à une autre personne d’acquérir ou de céder les instruments financiers
auxquels se rapporte cette information

a) 2 uniquement
b) 1, 2 et 3
c) 1 et 2 uniquement
195 Parmi les opérations suivantes qu’elles sont celles qui peuvent être considérées comme un délit c
d’initié :
1. communiquer une information à une autre personne en dehors du cadre normal de son travail,
de sa profession ou de ses fonctions.
2. recommander à une autre personne d'acquérir ou de céder sur la base d'une information
privilégiée, les instruments financiers auxquels se rapporte cette information.
3. d'acquérir ou de céder sur la base d'une information privilégiée, les instruments financiers
auxquels se rapporte cette information.

a) 3 uniquement
b) 1 et 3 uniquement
c) 1 et 2 et 3
196 En cas d'opération d'initié et si la sanction n'est qu'administrative et non pénale on parlera : c

a) de délit d'initié
b) de notion d'initié
c) de manquement d'initié
197 Le market timing est l’opération qui consiste à : c
a) Fermer le marché à la clôture.
b) Toutes les propositions précédentes.
c) Tirer profit d’un décalage entre la valeur comptable et la valeur de marché d’un fonds
d) Transmettre un ordre après l’heure limite inscrite sur le prospectus.
198 Toute personne doit s’abstenir de procéder à des manipulations de cours. A moins que la personne b
ayant effectué les opérations ou émis les ordres établisse la légitimité des raisons de ces opérations ou
de ces ordres et leur conformité aux pratiques de marché admises sur le marché réglementé concerné,
constitue une manipulation de cours le fait d’effectuer des opérations ou d’émettre des ordres :

a) Qui donnent ou sont susceptibles de donner des indications fausses ou trompeuses sur l’offre, la
demande ou le cours d’instruments financiers
b) Les deux propositions à la fois
c) Qui fixent, par l’action d’une ou de plusieurs personnes agissant de manière concertée, le cours
d’un ou plusieurs instruments financiers à un niveau anormal ou artificiel.
199 Dans le cadre de la directive de la commission européenne dite directive abus de marché, il y a deux cas b
d’exemption de manipulation de cours :
1. Interventions des émetteurs sur leurs propres titres
2. Emissions d’ordre fictif pour maintenir le carnet d’ordre en l’état
3. Stabilisation d’un instrument financier
4. Utilisation d’une information privilégiée

a) 2 et 4
b) 1 et 3
200 Emettre un avis positif (conseil d’achat) sur un instrument financier juste après avoir acheté cet b
instrument est il un abus de marché ?

a) Non, précisément pas puisque l’opération est dans le même sens (achat) que la
recommandation
b) Non pas dans le cas ou le conflit d’intérêt est rendu public de manière explicite
c) Oui, dans tous les cas
201 Lorsqu’il y a soupçon d’abus de marché, une déclaration doit être effectuée b

a) Dans les 45 jours après information du client soupçonné


b) Obligatoirement et sans délai
c) Dès que le client soupçonné est averti
d) Obligatoirement dans les 45 jours qui suivent
202 Le règlement général de l’AMF précise les conditions dans lesquelles est faite la déclaration de soupçon a
de délit d’initié ou de manipulation de cours. La déclaration doit être effectuée de manière :

a) Indifféremment de manière écrite ou orale mais dans ce dernier cas l’AMF demande une
confirmation écrite.
b) Indifféremment de manière écrite ou orale sans que dans ce dernier cas l’AMF demande une
confirmation écrite.
c) Écrite
d) Orale
203 Des poursuites pour atteinte au secret professionnel peuvent être intentée contre les personnes qui c
ont effectué une déclaration de soupçon de bonne foi auprès de l’AMF.

a) Vrai, notamment par la défense


b) Vrai pendant un délai de 2 ans
c) Faux
204 Toutes les transactions sur instruments financiers cotés sur un marché doivent être déclarées à l’AMF, a
ceci afin :

a) De permettre à l’AMF de surveiller au plus près les marchés financiers


b) Que l’AMF puisse anticiper les mouvements de marché
c) De calculer la CSG
205 Lorsqu’un cas d’abus de marché est établi, on a l’obligation de répondre du dommage que l’on a causé : a

a) Eventuellement par une peine d’emprisonnement


b) Uniquement en le réparant par des dommages et intérêts
c) Aucune de ces deux propositions
206 La peine d’emprisonnement pour un délit d’initié ne peut pas dépasser : c

a) deux ans
b) cinq ans
c) sept ans
d) un an
207 On dira qu’il y a démarchage bancaire et financier lorsque : a

a) Il y a une prise de contact non sollicitée quel que soit le lieu y compris en agence bancaire
b) Il y a une prise de contact non sollicitée au domicile du démarché uniquement
c) Il y a une prise de contact non sollicitée dans un lieu public uniquement (gare, aéroport,
marchés…)
208 Lors de la commercialisation de services financiers, dans quelle situation la législation sur le d
démarchage bancaire et financier ne s’applique-t-elle pas ?

a)Le prestataire se rend physiquement au domicile du prospect


b)Le prestataire se rend physiquement sur le lieu de travail du prospect
c)Le prestataire prend l’initiative de contacter le prospect par quelque moyen que ce soit
d)Le prestataire se rend physiquement sur un lieu destiné à la commercialisation de produits,
instruments et services financiers
209 Quelles sont les personnes et entités qui sont légalement habilitées à procéder au démarchage a
bancaire et financier ?
1. Les établissements de crédit
2. Les entreprises d’investissement
3. Les entreprises d’assurance

a) 1, 2 et 3
b) 1 uniquement
c) 1 et 2 uniquement
d) 2 uniquement
210 Les personnes légalement habilitées peuvent procéder au démarchage bancaire et financier par elles- a
mêmes, mais aussi en faisant appel aux services d’une tierce personne indépendante, laquelle sera
alors mandatée.
En cas de manquement du démarcheur mandaté à l’égard du démarché, la personne qui donne mandat
(le mandant) engage-t-elle sa responsabilité juridique à l’égard de ce dernier ?

a) Le mandant engage sa responsabilité civile du fait du démarcheur mandaté


b) Le mandat la dégage de toute responsabilité du fait du démarcheur mandaté.
211 En matière de démarchage bancaire et financier, par quelle personne ou entité la carte de démarcheur c
est-elle délivrée ?

a) par l’Autorité des marchés financiers


b) par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution
c) par la personne pour le compte de laquelle le démarcheur agit
212 Aucun démarchage ne peut être réalisé pour la commercialisation des produits : a

a) dont le risque maximum n'est pas connu au moment de la souscription


b) dont le risque est supérieur au risque du marché des actions
c) dont le risque est nul
213 Les personnes légalement habilitées peuvent procéder au démarchage bancaire et financier par elles- c
mêmes, mais aussi en faisant appel aux services d’une tierce personne indépendante, laquelle sera
alors mandatée.
Lorsqu’un établissement de crédit, mandate un démarcheur personne morale afin de procéder au
démarchage, entre quelles personnes est conclu le contrat relatif au service ou à l’opération proposé au
démarché ?

a) Entre la personne démarchée et la personne morale mandatée


b) Entre la personne démarchée et l’AMF
c) Entre la personne démarchée et l’établissement de crédit
214 Lorsque le démarchage aboutit à une prestation de service d’investissement, dans quel délai la c
personne démarchée est-elle en droit de se rétracter ?

a) La personne démarchée ne dispose, en principe, d’aucun droit de rétractation


b) 10 jours à compter du jour ou le contrat est conclu ou du jour où le démarché reçoit les
conditions contractuelles, si cette dernière date est postérieure
c) 14 jours à compter du jour ou le contrat est conclu ou du jour où le démarché reçoit les
conditions contractuelles, si cette dernière date est postérieure
d) 7 jours à compter du jour ou le contrat est conclu ou du jour où le démarché reçoit les
conditions contractuelles, si cette dernière date est postérieure
215 Le démarcheur bancaire et financier qui enfreint les règles et lois propres au démarchage s’expose à c
des sanctions :

a) disciplinaires uniquement
b) pénales uniquement
c) pénales ou disciplinaires
216 Les entreprises ou personnes habilitées à procéder au démarchage bancaire et financier peuvent : b

a) Employer leurs ressources humaines propres (les salariés)


b) Les deux réponses à la fois
c) Externaliser la ressource par mandatement
217 Lorsqu’un contrat de prestation de services d’investissement est conclu à distance, dans quelle b
situation les règles relatives à la fourniture à distance de services financiers, issues du Code de la
consommation, s’appliquent :

a) dans le cas de fourniture de produits ou de services financiers par un professionnel à un


professionnel
b) dans le cas de fourniture de produits ou de services financiers par un professionnel à un
consommateur
c) dans le cas de fourniture de produits ou de services financiers par un consommateur à un
consommateur
218 Le prestataire qui entend conclure à distance une convention portant sur la fourniture de services a
financiers est légalement tenu de transmettre au consommateur diverses informations, tel que
l'existence d'un droit de rétractation:
Selon quelles modalités le prestataire doit-il transmettre au consommateur ces informations ?

a) Par écrit ou sur un autre support durable


b) Par écrit uniquement
c) Par écrit ou sur tout autre support
d) Par voie électronique uniquement
219 Le prestataire qui entend conclure à distance une convention portant sur la fourniture de services a
financiers est légalement tenu d’informer le consommateur de la possibilité pour ce dernier de se
rétracter.
A quel moment cette information doit-elle être transmise au consommateur ?

a) En temps utile et avant que le contrat ne soit conclu.


b) Au moment de la conclusion du contrat
c) Vingt jours avant que le contrat ne soit conclu.
d) Dix jours avant que le contrat ne soit conclu.
220 Lorsque le contrat de prestation de services d’investissement est conclu à distance, le consommateur b
dispose d’un droit de rétractation. Dans quel délai le consommateur est-il en droit de se rétracter ?

a) 14 jours calendaires révolus à compter du jour où le contrat à distance est conclu et ceci sans
exception.
b) 14 jours calendaires révolus soit à compter du jour où le contrat à distance est conclu, soit à
compter du jour où le consommateur reçoit les conditions contractuelles et les informations
légalement requises, si cette date est postérieure
c) 7 jours à compter du jour à compter du jour où le contrat à distance est conclu.
d) 7 jours calendaires révolus à compter du jour où le contrat à distance est conclu, soit à compter
du jour où le consommateur reçoit les conditions contractuelles et les informations légalement
requises, si cette date est postérieure.
221 Lorsque le contrat de prestation de services d’investissement est conclu à distance, le consommateur a
dispose d’un droit de rétractation. Si le consommateur se rétracte, à quel remboursement est
légalement tenu le prestataire ?
a) Le prestataire est tenu de rembourser au consommateur toutes les sommes qu'il a perçues de
celui-ci en application du contrat, à l’exception du montant payé pour le service financier
effectivement fourni dans l’hypothèse où le consommateur avait demandé que le contrat soit
mis en œuvre avant même l’expiration du délai de rétractation.
b) Le prestataire est tenu de rembourser au consommateur toutes les sommes qu'il a perçues de
celui-ci en application du contrat, y compris le montant payé pour le service financier
effectivement fourni dans l’hypothèse où le consommateur avait demandé que le contrat soit
mis en œuvre avant même l’expiration du délai de rétractation.
c) Le prestataire n’est tenu à aucun remboursement
222 Lorsque le contrat de prestation de services d’investissement est conclu à distance, le consommateur d
dispose d’un droit de rétractation. Si le consommateur se rétracte, quelle sanction pénale encourt le
prestataire en cas de manquement à son obligation de remboursement ?

a) Une peine d’amende prévue pour les contraventions de la 1re classe.


b) Une peine d’emprisonnement de cinq ans.
c) Une peine d’emprisonnement de un an.
d) Une peine d’amende prévue pour les contraventions de la 5e classe.
223 Dans le cadre du commerce électronique, le fournisseur est tenu : c

a) aucune des deux réponses


b) de donner la possibilité à l’acheteur de vérifier le détail de son ordre uniquement
c) les deux réponses à la fois
d) d’accuser réception sans délai de l’ordre uniquement
224 Quelle est la définition légale d’un service de conseil en investissement ? a

a) fournir une ou plusieurs recommandations personnalisées concernant une ou plusieurs


transactions portant sur des instruments financiers
b) délivrer au public une ou plusieurs recommandations concernant une ou plusieurs transactions
portant sur des instruments financiers
c) fournir une étude, information ou opinion, produite dans un cadre professionnel et destinée à
être rendue publique, recommandant ou suggérant une stratégie d'investissement
225 Dans la liste suivante, quelles sont les personnes ou entités qui sont habilitées à exercer l’activité de b
conseil en investissement ?
1. Les conseillers en investissements financiers.
2. Les prestataires de services en investissement.
3. Les agents qui sont liés aux prestataires de services en investissement.

a) 2 uniquement
b) 1 et 2 et 3
c) 1 uniquement
226 Lorsqu’un prestataire de services en investissement entend exercer l’activité de conseil en a
investissement, à quelle(s) obligation(s) est-il tenu, préalablement à la délivrance de l’agrément délivré
par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) ?

a) Obtenir l'approbation de son programme d'activité par l'AMF.


b) Elaborer un code de bonne conduite à propos de cette activité de conseil.
c) Ouvrir un compte bancaire auprès de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution
227 Parmi les propositions suivantes, quel critère doit notamment satisfaire le conseil que le prestataire de a
services en investissement entend délivrer à son client ?

a) Le service répond aux objectifs d'investissement du client.


b) Le service permet d’obtenir la meilleure des rentabilités
c) Le coût du service est modéré car déconnecté des objectifs du client
228 Pour pouvoir accéder à la profession de conseiller en investissement financier, il faut pouvoir justifier c
d’un niveau d’étude équivalent :
a) il n’y a pas de niveau d’étude requis
b) à 5 années d’études supérieures
c) à 3 années d’études supérieures
d) au baccalauréat
229 A quelles obligations statutaires sont notamment soumis les conseillers en investissements financiers a
(CIF) ?
1. Etre en mesure de justifier de l'existence d'un contrat d'assurance garantissant leur
responsabilité civile professionnelle.
2. Adhérer à l’Association Française des Trésoriers d’Entreprise (AFTE).
3. Adhérer à une association chargée de la représentation collective et de la défense des droits et
intérêts de ses membres CIF.

a) 1 et 3
b) 1 et 2
c) 2 uniquement
230 A quelles obligations statutaires sont notamment soumis les conseillers en investissements financiers b
(CIF) ?
1. Avoir le statut de PSI
2. Etre immatriculé au registre des intermédiaires en assurance, banque et finance
3. Suivre chaque année des formations adaptées à leur activité et à leur expérience

a) 1 uniquement
b) 2 et 3
c) 1 et 3
231 Avant de formuler tout conseil à un client, un conseiller en investissement financier doit lui faire signer : c

a) un bon du trésor
b) aucune des trois propositions
c) une lettre de mission
d) une réduction aux acquêts
232 Selon quelle modalité doit être formalisé le conseil au client délivré par le conseiller en investissements a
financiers ?

a) Dans un rapport écrit justifiant les différentes propositions, leurs avantages et les risques
qu’elles comportent
b) Dans un rapport écrit comportant uniquement la solution proposée
233 A quelles obligations statutaires sont notamment soumis les conseillers en investissements financiers c
(CIF) ?
1. Etre immatriculé au registre national des CIF
2. Etre immatriculé au registre des intermédiaires en assurance, banque et finance
3. Suivre chaque année des formations adaptées à leur activité et à leur expérience

a) 1 et 3
b) 1 uniquement
c) 2 et 3
234 Dans quelles situations l’AMF pose des exigences supplémentaires en matière de communication c
promotionnelle adressée par un prestataire de services d’investissement ?

a) Tous les clients doivent recevoir le même traitement en matière de communication


promotionnelle.
b) Lorsque la communication est adressée à un client professionnel.
c) Lorsque la communication est adressée à un client non-professionnel
235 Une communication promotionnelle à destination d’un client non professionnel en particulier doit être a

a) suffisante et compréhensible
b) très courte et sans aucun détail technique
c) complète même si elle utilise parfois des termes techniques
236 Quels sont les caractères essentiels que doivent présenter les communications à caractère c
promotionnel adressées par un prestataire de services d’investissement à ses clients ?
1. Présenter un contenu exact, clair et non trompeur.
2. Présenter un contenu formel, précis et exhaustif.
3. Contenir des informations permettant de comprendre la nature du service d'investissement et
du type spécifique d'instrument financier proposé ainsi que les risques y afférents, afin d’être
en mesure de prendre des décisions d'investissement en connaissance de cause.

a) 2 et 3
b) 1 et 2
c) 1 et 3
237 Lorsqu'une communication promotionnelle contient une offre contractuelle et inclut un formulaire à c
utiliser pour toute réponse, celui-ci doit comporter des informations prévues par le règlement général
de l’AMF. Dans quel cas, le PSI est-il dispensé de délivrer ces informations ?

a) le PSI est toujours dispensé de délivrer ces informations


b) Lorsque la communication contient une offre portant sur un instrument connu du grand public
du type action ou obligation
c) Lorsque, pour répondre à l'offre ou à l'invitation, le client non professionnel potentiel doit se
référer à un ou plusieurs autres documents qui contiennent ces informations.
238 Lorsque le prestataire de services d’investissement entend établir des documents à caractère a
publicitaire à propos d’instruments financiers, à quelle obligation est-il soumis ?

a) Prévoir contractuellement avec les personnes responsables de la publication des documents


d'information relatifs aux instruments financiers les conditions dans lesquelles il devra les
soumettre à ces personnes, préalablement à leur diffusion
b) Obtenir l’autorisation préalable de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution pour ce
document précisément
c) Prévoir contractuellement avec les personnes responsables de la publication des documents
d'information relatifs aux instruments financiers les conditions dans lesquelles il devra les
soumettre à ces personnes, concomitamment à leur diffusion
d) Obtenir l’autorisation préalable de l’AMF pour ce document précisément
239 Dans une communication promotionnelle à destination des consommateurs d’instruments financiers, il c
doit être indiqué :

a) qu’il est interdit de rapporter des performances passées


b) que les performances passées sont une bonne indication des performances futures
c) que les performances passées ne préjugent pas des performances futures
240 Les opérations d'offre au public de titres financiers ou d'admission d'instruments financiers aux c
négociations sur un marché réglementé peuvent faire l'objet de communications à caractère
promotionnel.

a) Elles ne doivent pas être transmises à l’AMF


b) Elles doivent être transmises à l’AMF après leur diffusion.
c) Elles doivent être transmises à l’AMF préalablement à leur diffusion
241 Quelle(s) mesure(s) l’AMF peut prendre lorsqu'elle soupçonne qu’une communication promotionnelle b
sur une opération d'offre au public de titres financiers est contraire aux exigences posées dans son
règlement général ?

a) Elle peut uniquement suspendre la communication pendant dix jours de bourse


b) Elle peut suspendre la communication pendant dix jours de bourse et peut interdire la
communication.
c) Elle ne peut ni interdire, ni suspendre la communication.
d) Elle peut uniquement interdire la communication
242 Les catégorisations de clients suivantes sont possibles : a
1. Client professionnel
2. Client non professionnel
3. Contrepartie non éligible

a) 1 et 2 uniquement
b) 2 et 3 uniquement
c) 1, 2 et 3
243 Le prestataire de services d’investissement peut classer ses clients dans les catégories suivantes : a

a) Client professionnel, client non professionnel, contre-partie éligible


b) Client professionnel ou client non professionnel uniquement
c) Investisseurs ou particuliers
244 La catégorisation des clients est faite par : b

a) Le client lui-même
b) Le prestataire de services financiers
245 Le changement de classification du client résulte : c
1. D’une décision de l’établissement financier
2. D’un choix du client

a) 1 uniquement
b) 2 uniquement
c) 1 et/ou 2
246 Le changement de catégorie de clients : a

a) Peut être réalisé à l’initiative du prestataire de services d’investissements ou à la demande du


client
b) Ne peut résulter que d’un choix discrétionnaire du prestataire de services d’investissements
247 Les unions de mutuelles : b

a) Peuvent être qualifiées de clients professionnels au cas par cas


b) Sont des clients professionnels par nature
248 Le client non professionnel peut renoncer à la protection qui lui est offerte : b

a) De façon unilatérale par lettre recommandée avec accusé réception


b) En suivant une procédure spécifique sous le contrôle du prestataire de services financiers
249 Une contrepartie éligible peut demander à être traitée comme un client professionnel ou non b
professionnel :

a) Cela ne peut concerner que certaines opérations


b) Cela concernera alors toutes les opérations ou seulement certaines
c) Cela concernera alors toutes les opérations
250 L’identification des personnes exposées politiquement a pour but : a

a) La lutte contre le blanchiment


b) La protection d’une catégorie spécifique de clients pour des raisons politiques
251 Les motifs justifiant la qualification de personne exposée politiquement peuvent résulter : b
1. De l’objet de la transaction
2. De la nature de l’opération
3. De la nationalité du client

a) Réponses 1 et 3
b) Réponses 1 et 2
252 La vérification de personne exposée politiquement doit se faire : c
1. Pour les relations d’affaires durables
2. Pour les relations d’affaires occasionnelles
a) 2
b) 1
c) 1 et 2
253 La qualification de personne exposée politiquement peut s’étendre : a

a) Au bénéficiaire effectif
b) Au bénéficiaire indirect
254 L’identification formelle du client doit se faire : b

a) Dès que possible


b) Lors de l’établissement de la relation d’affaire
c) Au plus tard 45 jours après l’établissement de la relation d’affaire
255 L’identification formelle du client doit se faire : a
1. Avant l’établissement de la relation d’affaire
2. Pendant toute la durée de la relation d’affaire

a) 1 et 2
b) 2 uniquement
c) 1 uniquement
256 Le contrôle des personnes exposées politiquement peut être réalisé : b
1. Par l’établissement financier
2. Par des tiers autorisés

a) Réponse 1
b) Réponses 1 et 2
c) Réponse 2
257 L’identification des personnes concernées peut résulter : b

a) De la communication par toute personne située ou ayant son siège social en France
b) De la communication par un tiers
258 L’identification des personnes concernées revient notamment : b
1. Aux services comptables
2. Aux avocats
3. Aux personnes se livrant habituellement au commerce ou organisant la vente de pierres
précieuses

a) 1 uniquement
b) Réponses 1, 2 et 3
c) 2 uniquement
259 Si l’établissement de crédit ne parvient pas à identifier son client ou d'obtenir des informations sur b
l'objet et la nature de la relation d'affaires :
1. Il ne doit pas établir de relation d’affaire
2. Il doit mettre fin à la relation d’affaire existante

a) 1 uniquement
b) Réponses 1 et 2
c) 2 uniquement
260 Certains clients sont dits ‘politiquement exposés’ parce qu’ils sont exposés à un risque politique : a

a) Du fait de leur fonction


b) Du fait de leurs opinions politiques
c) Du fait de leur nationalité
261 L’information à donner aux clients sur les tarifications et les coûts doit avoir lieu : b

a) Après la signature du contrat


b) Avant la signature du contrat
262 Dans le cadre d’une prestation de service d’investissement, l’information à communiquer au client b
porte sur :
1. la nature du service d'investissement,
2. le type spécifique d'instrument financier proposé,
3. les risques y afférents

a) 2 uniquement
b) Réponses 1,2 et 3
c) 3 uniquement
d) 1 uniquement
263 Dans le cadre d’une prestation de service d’investissement, l’information à donner au client : b

a) Ne concerne que les prestations de services d’investissement


b) Peut concerner le prestataire de services d’investissement lui-même
264 Dans le cadre d’une prestation de service d’investissement, les communications à caractère a
promotionnel :

a) Doivent être clairement identifiables en tant que telles


b) Font l’objet d’une information similaire à toute autre communication
265 L’information que le PSI doit communiquer concernant les risques diffère lorsque le client est : a
1. Client professionnel
2. Client non professionnel
3. Contrepartie éligible

a) Réponses 1, 2 et 3
b) 3 uniquement
c) 1 uniquement
d) 2 uniquement
266 La description des risques que le prestataire de service financier doit fournir au client, varie en fonction a

a) Du type de client, et donc du niveau de connaissance de celui-ci


b) Des commissions payées par le client
267 Dans le cadre d’une prestation de service d’investissement, l’information donnée au client : b

a) Peut utiliser le nom d'une autorité compétente, quelle qu'elle soit, d'une manière qui puisse
indiquer ou laisser entendre que cette autorité approuve ou cautionne les produits ou services
du prestataire de services d'investissement.
b) Ne peut utiliser le nom d'une autorité compétente, quelle qu'elle soit
268 L’information à donner aux clients sur les risques porte notamment sur : c
1. Le risque de perte totale ou partielle de l’investissement,
2. Toute exigence de dépôt de couverture ou de marge ou obligation similaire applicable au type
d'instruments en question

a) 1 uniquement
b) 2 uniquement
c) Réponses 1 et 2
269 Lorsque les risques associés à un instrument financier composé de deux ou plusieurs instruments ou a
services financiers sont susceptibles d'être plus élevés que les risques associés à chacun de ses
composants :

a) Le prestataire de services d'investissement fournit une description adéquate des composants


de l'instrument et de la manière dont leur interaction accroît les risques
b) Le prestataire de services d'investissement fournit une description adéquate des composants
de l'instrument le plus risqué
270 Le prix total à payer par le client en rapport avec l'instrument financier ou le service d'investissement b
ou le service connexe :

a) N’inclut pas les taxes payées par l'intermédiaire du prestataire de services d'investissement
b) Comprend tous les frais, commissions, charges et dépenses connexes
271 Si le prix d’une prestation de service d’investissement n’est pas déterminé : a

a) Il faut indiquer au client les modalités de calcul qui permettront de l’établir


b) Il faut informer le client dès que possible lorsque le prix devient déterminable
272 L’information sur le prix d’une prestation de service d’investissement doit inclure : a
1. Le prix total de l’instrument financier
2. Sa conversion au besoin en euros

a) Réponses 1 et 2
b) 2 uniquement
c) 1 uniquement
273 Dans le cas d'instruments financiers incorporant une garantie : a

a) L’information doit porter sur le garant et la garantie


b) L’information doit porter sur le garant
274 Dans le cas d'instruments financiers incorporant une garantie fournie par un tiers, l'information sur la b
garantie doit inclure suffisamment de précisions sur le garant et la garantie :

a) Pour le client professionnel


b) Pour le client non professionnel
c) Pour les contreparties éligibles
275 Lorsque l’information donnée au client contient des données sur les performances futures et fondées b
sur des performances brutes, il faut mentionner :
1. l'effet des commissions
2. l’effet des redevances
3. tous les autres frais

a) 1 uniquement
b) Réponses 1,2 et 3
c) 2 uniquement
d) 3 uniquement
276 Lorsque l’information donnée au client contient des performances passées d'un instrument financier, b
d'un indice financier ou d'un service d'investissement, elle doit clairement mentionner :
1. La période de référence
2. La source des données

a) 1 uniquement
b) Réponses 1 et 2
277 L’information à donner aux clients sur la politique d’exécution est due : c

a) Aux clients professionnels


b) Aux contreparties éligibles
c) Aux clients non professionnels
278 Le client doit être informé de la politique d’exécution : a

a) Sur un support papier ou Internet


b) Sur un support papier et Internet
279 Le prestataire de services d'investissement surveille l'efficacité de ses dispositifs en matière d'exécution c
des ordres :
1. En vérifiant si les systèmes d'exécution prévus permettent d'obtenir le meilleur résultat
possible pour le client
2. En modifiant sa politique d’exécution au besoin
a) 1 uniquement
b) 2 uniquement
c) Réponses 1 et 2
280 L’information sur la politique d’exécution comprend notamment : b
1. Une liste des lieux d'exécution auxquels le prestataire de services d'investissement fait le plus
confiance pour honorer son obligation de prendre toutes les mesures raisonnables en vue
d’obtenir avec régularité le meilleur résultat possible
2. Un avertissement clair précisant que, en cas d'instructions spécifiques données par un client, le
prestataire de services d'investissement risque d'être empêché, en ce qui concerne les
éléments couverts par ces instructions, de prendre les mesures prévues et appliquées dans le
cadre de sa politique d'exécution

a) 1 uniquement
b) Réponses 1 et 2
c) 2 uniquement
281 L’information à donner aux clients sur la politique de gestion des conflits d’intérêt : b

a) Porte sur les hypothèses de conflit d’intérêts identifiés par le prestataire, à l’exclusion des
procédures pour y remédier
b) Porte sur les hypothèses de conflit d’intérêts identifiés par le prestataire les procédures à suivre
et les mesures à prendre en vue de gérer ces conflits
282 La politique de gestion des conflits d’intérêt varie en fonction de : b

a) Le nombre de clients du prestataire de service


b) La nature de l’activité du prestataire de service
283 L’information à donner aux clients sur la politique de gestion des conflits d’intérêt : b

a) Ne s’étend pas aux éléments résultant de l’appartenance du prestataire à un groupe


b) S’entend aussi des éléments résultant de l’appartenance du prestataire à un groupe
284 Le prestataire de service d’investissement (PSI) tient : b

a) Un registre de mise à jour des conflits d’intérêts


b) Un registre consignant les types de services d'investissement et de services connexes objet de
la politique de conflit d’intérêts
285 La confirmation de l’exécution d’un ordre d’achat ou de vente intervient : b

a) Au plus tard au cours du 1er jour ouvrable suivant l’exécution de l’ordre quelle que soit la
catégorie de client
b) Au plus tard au cours du 1er jour ouvrable suivant l’exécution de l’ordre pour un client non
professionnel
286 Le prestataire qui transmet un ordre pour le compte d’un client : a

a) Doit systématiquement lui transmettre les informations relatives à l’exécution de celui-ci


b) Peut transmettre au client les informations relatives à l’exécution de celui-ci à sa demande
287 Le prestataire de services d'investissement, dans le cas des ordres de clients non professionnels portant b
sur des actions ou des parts d'OPCVM qui sont exécutés périodiquement lui délivre l’information :

a) Tous les mois


b) Tous les semestres
c) Tous les trimestres
288 Lorsqu'un ordre n'est pas exécuté immédiatement, le prestataire de services d'investissement informe b
le client de l'état de l'exécution de son ordre :

a) D’office
b) A la demande du client
289 « L’avis d’opération d’un ordre ne doit pas contenir : b

a) L’indicateur d’achat/vente
b) Le nom de l'opérateur
c) La nature de l’ordre
290 Les procédures à suivre et les mesures à prendre en vue de gérer les conflits d’intérêt : b

a) Sont transmises au client à sa demande


b) Sont systématiquement transmises au client
291 En vue de fournir un service autre que le conseil en investissement : b

a) Le prestataire de services d’investissements n’a pas à s’enquérir de l’expérience du client en


matière d’investissement
b) Le prestataire de services d’investissements doit s’enquérir de l’expérience du client en matière
d’investissement
292 Lorsque les clients ne communiquent pas leurs connaissances en matière d’investissement : b

a) Le prestataire de services d’investissements peut recommander des instruments financiers


b) Le prestataire de services d’investissements doit s’abstenir de recommander des instruments
financiers
293 Une recommandation destinée au public : b

a) Est présumée adéquate et appropriée


b) N’est pas présumée adéquate et appropriée
294 Le caractère adéquat ou approprié du produit/service dépend : b

a) De la nature du produit ou service


b) De la catégorie à laquelle le client appartient
295 L’obligation de vérifier le caractère adéquat ou approprié du produit/service résulte : b

a) De l’acceptation par le client de procéder à la transaction recommandée


b) De la connaissance et de l’expérience du client à comprendre les risques inhérents à la
transaction recommandée
296 Le caractère adéquat et approprié du produit ou service proposé à un client s’apprécie notamment en b
fonction de :
1. La capacité du client à faire face au risque lié à la transaction
2. Au fait que le service réponde aux objectifs d’investissement du client

a) 1
b) Réponses 1 et 2
c) 2
297 Un client qui possède l'expérience et les connaissances nécessaires pour comprendre les risques b
inhérents à la transaction recommandée ou au service de gestion de portefeuille fourni :

a) Est par conséquent réputé en connaître le caractère adéquat


b) N’est pas réputé en connaître le caractère adéquat
298 Lorsque le client émet une instruction spécifique : b

a) Le PSI suit l’instruction spécifique seulement si elle permet d’obtenir le meilleur résultat
possible
b) Le PSI doit la suivre
299 Les prestataires de services d'investissement prennent toutes les mesures raisonnables pour obtenir, c
lors de l'exécution des ordres, le meilleur résultat possible pour leurs clients compte tenu :
1. Du prix, du coût, de la rapidité d’exécution et de la probabilité d'exécution et du règlement
2. De la taille, de la nature de l'ordre
3. De toutes autres considérations relatives à l'exécution de l'ordre
a) 1
b) 3
c) Réponses 1,2 et 3
d) 2
300 Dans le cas de l’exécution d’ordres, la protection des intérêts du client : b

a) Ne peut pas justifier que les ordres ne soient pas transmis dans leur ordre d’arrivée
b) Peut justifier que les ordres ne soient pas transmis dans leur ordre d’arrivée
301 Le régime d’exécution simple : a

a) Ne peut porter que sur des instruments financiers non complexes


b) Peut porter sur tout type d’instrument financier
302 Dans le cadre du régime d’exécution simple : a
1. Le client ne bénéficie pas de la protection correspondante des règles de bonne conduite
2. Le PSI doit informer le client de l’étendue de la protection dont il bénéficie

a) Réponses 1 et 2
b) 2
c) 1
303 Lorsque les clients, notamment les clients potentiels, ne communiquent pas les informations b
nécessaires ou lorsque les prestataires estiment, sur la base des informations fournies, que le service
ou l'instrument ne sont pas adaptés :

a) Le PSI informe le client qu'il n'est pas tenu d'évaluer le caractère approprié du service ou de
l'instrument financier
b) Le PSI met en garde ces clients, préalablement à la fourniture du service dont il s'agit
304 La politique d’exécution des ordres aux conditions les plus favorables : c
1. Prend en considération la qualité du client
2. Prend en considération les caractéristiques des lieux d’exécution vers lesquels l’ordre peut être
acheminé

a) 2
b) 1
c) Réponses 1 et 2
305 La politique d’exécution des ordres aux conditions les plus favorables : b
1. Varie en fonction des lieux d’exécution vers lesquels l’ordre peut être acheminé
2. Varie en fonction des caractéristiques de l’ordre concerné

a) 2
b) Réponses 1 et 2
c) 1
306 Le lieu d’exécution est pris en considération dans le cadre de la recherche des conditions les plus b
favorables. Il peut s’agir :
1. D’un marché réglementé
2. D’un marché frauduleux
3. D’un système multilatéral de négociation

a) Réponses 1 et 2
b) Réponses 1 et 3
307 Selon la politique d’exécution des ordres aux conditions les plus favorables, le prestataire de services b
d'investissement évalue et compare les résultats qui seraient obtenus pour le client en exécutant
l'ordre :

a) Sur au moins deux des lieux d'exécution inclus dans la politique d'exécution
b) Sur chacun des lieux d'exécution inclus dans la politique d'exécution
308 Pour le compte d'un client non professionnel, le meilleur résultat possible est déterminé sur la base du b
coût total, composé du prix de l'instrument financier augmenté :
1. Des coûts liés à l'exécution (dépenses encourues par le client directement liées à l'exécution de
l'ordre) et des frais propres au lieu d'exécution
2. Des frais de compensation et de règlement
3. Des autres frais éventuellement payés à des tiers ayant participé à l'exécution de l'ordre

a) Réponses 1 et 2
b) Réponses 1,2 et 3
c) Réponses 1 et 3
309 Il y a ordre spécifique lorsque : a

a) Son contenu est fixé par le client


b) Son contenu n'est pas fixé par le client
310 Un ordre spécifique émanant du client peut viser : b
1. Le lieu d’exécution et la taille de l’ordre
2. Le moment de l’exécution et le prix

a) 2
b) Réponses 1 et 2
c) 1
311 Lorsqu’une instruction spécifique ne couvre qu’une partie ou un aspect de l’ordre : b

a) La politique d’exécution cesse de s’appliquer quant aux aspects de l’ordre non couverts
b) La politique d’exécution continue de s’appliquer quant aux aspects de l’ordre non couverts
312 Dans le cadre d'une instruction spécifique, le PSI s’acquitte de son obligation de ‘meilleure exécution’ : b

a) Si il exécute l’ordre conformément à sa politique de meilleur exécution habituelle


b) Si il exécute l’ordre conformément à cette instruction spécifique
313 En cas d'instructions spécifiques données par un client : b

a) Il n'y a pas d'avertissement clair à donner même si le PSI risque d'être empêché de prendre les
mesures prévues et appliquées dans le cadre de sa politique d'exécution
b) Un avertissement clair doit préciser que le PSI risque d'être empêché de prendre les mesures
prévues et appliquées dans le cadre de sa politique d'exécution
314 Lorsque les ordres peuvent être exécutés en dehors d’un marché réglementé ou d’un système b
multilatéral de négociation :

a) Le client est réputé l’avoir accepté au vu de la politique de meilleure exécution


b) Le client doit l’accepter expressément
315 En l’absence de réponse du client sur l’exécution d’ordres hors marché réglementé : c

a) Le silence du client vaut acceptation de passer l’ordre


b) Le silence du client, après trois relances, vaut acceptation de passer l’ordre
c) L’ordre n’est pas exécuté car il faut l’accord exprès du client
316 En l’absence de réponse du client sur l’exécution d’ordres hors marché réglementé : b

a) Le silence du client vaut acceptation de passer l’ordre


b) Le silence du client s’interprète comme un refus de passer l’ordre
317 Le consentement exprès du client pour l’exécution d’ordres hors marché réglementé : a

a) Résulte du principe d’exécution ‘au mieux’


b) Reflète le devoir de diligence du conseiller
c) N’est pas nécessaire
318 L’entreprise qui requiert les services d’intermédiaires pour exécuter effectivement les ordres : a
a) Est tenue de communiquer les critères sur lesquels leur sélection repose
b) N’est pas tenue de communiquer les critères sur lesquels leur sélection repose
319 Le devoir d’agir au mieux aux intérêts du client est dû par : a
1. L’entreprise qui requiert les services de l’intermédiaire
2. L’intermédiaire exécutant effectivement les ordres au bénéfice du client

a) Réponses 1 et 2
b) 2
c) 1
320 Le PSI doit mettre en place une politique de sélection des intermédiaires. Celle-ci : a

a) Est réexaminée tous les ans


b) Est réexaminée tous les 2 ans
321 La politique de sélection des intermédiaires : a

a) Doit notamment prendre en compte les critères liés à la qualité de l’analyse financière produite
b) Se fait sur la base de critères librement choisis par le PSI
322 La politique de sélection des intermédiaires est communiquée : b
1. A chaque échange avec le client
2. Sur le site Internet du PSI

a) Réponses 1 et 2
b) 2
c) 1
323 Les frais ou droits de garde sont payés par le titulaire du compte à la banque en raison : b

a) De l’exécution d’ordres sur valeurs mobilières


b) De la conservation d’un portefeuille de valeurs mobilières
324 Durant une année calendaire, les frais de bourse supportés par un compte titres dont le titulaire a a
effectué une ou plusieurs opérations financières englobent notamment :
1. Les frais de courtage
2. Les frais de garde

a) Réponses 1 et 2
b) 2
c) 1
325 Les frais de tenue de compte perçus par la banque : A

a) Peuvent être assortis d’un minimum annuel de perception par compte


b) Ne peuvent pas être assortis d’un minimum annuel de perception par compte
326 La commission de souscription à un OPC par exemple : A
1. S'ajoute à la valeur liquidative du moment pour constituer le prix de souscription proposé à
l'investisseur
2. Se retranche à la valeur liquidative du moment pour constituer le prix de souscription proposé à
l'investisseur
3. Aucune des deux réponses précédentes

a) 1
b) 3
c) 2
327 Les commissions de souscription et de rachat : C
1. Augmentent le prix de la souscription ou diminuent le prix du remboursement
2. Augmentent le prix du rachat ou diminuent le prix de souscription
3. Aucune des deux réponses précédentes

a) 3
b) 2
c) 1
328 Si une personne démarchée pour des services bancaires ou financiers exerce son droit de rétractation : C

a) Elle doit motiver sa décision par écrit


b) Elle doit motiver sa décision
c) Elle ne doit pas motiver sa décision
329 Une personne démarchée pour des services bancaires ou financiers dispose d’un délai de rétractation : C

a) De 48 heures
b) De 45 jours calendaires
c) De 14 jours calendaires
d) De 72 heures
330 Lorsqu’une personne démarchée pour des services bancaires ou financiers exerce son droit de C
rétractation :

a) Elle peut être tenue au paiement du prix de l’ensemble du service auquel s’ajoute une pénalité
b) Elle ne peut être tenue qu'au paiement d’une pénalité
c) Elle ne peut être tenue qu'au paiement du prix correspondant à l'utilisation du produit ou du
service financier effectivement fourni entre la date de conclusion du contrat et celle de
l'exercice du droit de rétractation
331 Après conclusion du contrat, le démarcheur peut exiger de la personne démarchée qui ne s’est pas A
rétracté le paiement du produit ou du service mentionné :

a) S'il peut prouver que la personne démarchée a été informée du montant dû


b) Sans qu’aucune limite ne lui soit opposée
332 Le délai de rétractation en cas de démarchage pour des services bancaires ou financiers peut A
commencer à courir :
1. A compter du jour où le contrat est conclu uniquement
2. A compter du jour où la personne contactée reçoit les conditions contractuelles si cette date est
postérieure à celle où le contrat est conclu

a) 1 et 2
b) 1
333 A l'issue de l'expiration du délai de réflexion, le silence de la personne démarchée pour des services a
bancaires ou financiers :

a) Ne peut pas être considéré comme signifiant le consentement de celle-ci


b) Peut être considéré comme signifiant le consentement de celle-ci
334 Le contrat liant le prestataire de services financiers à son client est régi par : c
1. Le code civil
2. Le code monétaire et financier

a) 2
b) 1
c) Réponses 1 et 2
335 A l’ouverture d’un compte bancaire, les mentions devant obligatoirement figurer sur la convention a
écrite passée entre le client et son établissement de crédit figurent :

a) Dans le code monétaire et financier


b) Dans le code civil
336 Les établissements de crédit peuvent limiter les services bancaires de base liés à l’ouverture d’un d
compte :

a) En fonction du statut matrimonial du demandeur


b) En fonction du genre du demandeur
c) En fonction du mois de l’année en cours
d) Aucune des réponses ci-dessus
337 Qui parmi les personnes suivantes peut demander l’ouverture d’un compte : a

a) Un majeur sous sauvegarde de justice


b) Un majeur sous curatelle
c) Un majeur sous tutelle
338 Les personnes suivantes peuvent demander l’ouverture d’un compte : e
1. Une personne mariée sous le régime légal
2. Une personne mariée sous le régime de la communauté réduite aux acquêts
3. Une personne mariée sous le régime de la séparation de biens

a) 2
b) 3
c) Réponses 1 et 2
d) 1
e) Réponses 1, 2 et 3
339 Un établissement de crédit peut refuser la fourniture au client d’une convention établie sur support c
papier :

a) Si la convention a été conclue par Internet


b) Si la convention a été conclue il y a plus de 30 jours
c) L’établissement de crédit ne peut jamais refuser de produire la convention sur support papier à
son client
340 La convention de compte peut être résiliée : b

a) A tout moment sans aucune possibilité de préavis


b) A tout moment, sauf stipulation contractuelle d'un préavis qui ne peut dépasser trente jours
c) La convention de compte ne peut pas être résiliée
341 La procuration est : c

a) Une procuration ne permet pas la représentation


b) Une assimilation donnée par le titulaire du compte sur acceptation du mandataire
c) Une représentation donnée par le titulaire du compte sur acceptation du mandataire
342 La procuration est juridiquement : a
1. Un mandat
2. Un contrat

a) Réponses 1 et 2
b) 1
c) 2
343 Si une procuration est donnée : c

a) Le titulaire du compte est le mandataire.


b) Les termes mandant et mandataire ne s’appliquent pas
c) Le titulaire du compte est le mandant
344 Les opérations prévues par le mandat engagent la responsabilité : b

a) Du mandataire
b) Du mandant
c) Du mandant et du mandataire
345 Les opérations non expressément prévues par le mandat engagent la responsabilité : b

a) Du mandant et du mandataire
b) Du mandataire
c) Du mandant
346 Le mandat ou procuration est un acte par lequel une personne, le mandant, donne à une autre, le b
mandataire, le pouvoir de faire quelque chose au nom du mandant. Le mandataire :

a) Peut si nécessaire ne pas rendre compte de sa gestion


b) Est tenu de rendre compte de sa gestion
c) Ne doit pas rendre compte de sa gestion
347 A défaut de mention contraire, le mandat est réputé couvrir b
1. Les actes d’administration uniquement
2. Les actes d’administration et de décision
3. Aucune des deux réponses précédentes

a) 2
b) 1
c) 3
348 Le mandat ou procuration est un acte par lequel une personne, le mandant, donne à une autre, le a
mandataire, le pouvoir de faire quelque chose au nom du mandant. En cas de pluralité de mandataires :

a) Leur responsabilité n’est pas solidaire


b) Leur responsabilité est solidaire
349 Le bénéficiaire de la procuration peut y renoncer : b

a) Sans avis particulier


b) En avisant le titulaire du compte
c) En avisant le PSI
350 Un compte ouvert sous l’intitulé « Monsieur et Madame » : b
1. Donne le droit à chacun de demander le paiement d’une créance
2. Se caractérise par une solidarité active

a) 2
b) Réponses 1 et 2
c) 1
351 Les titres figurant sur un compte indivis : b

a) Sont considérés comme appartenant pour moitié aux co-titulaires


b) Sont considérés comme appartenant conjointement aux co-titulaires
c) N’appartiennent pas aux co-titulaires
352 Lors d’une indivision, chaque indivisaire peut : a
1. User des biens indivis conformément à leur destination
2. Jouir des biens indivis
3. Disposer des biens indivis

a) Réponses 1 et 2
b) 1
c) 2
353 Dans le cadre d’un compte ouvert sous l’intitulé « Monsieur et Madame » : b

a) Chaque époux ne doit au maximum que la moitié des sommes dues


b) L’un ou l’autre des époux est redevable de l’intégralité des sommes dues
354 Dans le cadre d’un compte ouvert sous l’intitulé « Monsieur et Madame » : a
1. Les co-titulaires ne sont solidaires à l’égard des tiers qu’en cas d’accord en ce sens
2. Les co-titulaires sont toujours solidaires à l’égard des tiers

a) 1
b) 2
c) Réponses 1 et 2
355 En cas d’émission d’un chèque sans provision sur un compte joint : b
a) Seul le titulaire du compte ayant signé le chèque est sanctionné
b) Tous les titulaires du compte sont sanctionnés
c) Il n’y a pas de sanction pour l’émission d’un chèque sans provision
356 Si l'un des co-titulaires se trouve hors d'état de manifester sa volonté : a

a) Un autre peut se faire habiliter par la justice à le représenter, d'une manière générale ou
simplement pour certains actes particuliers
b) Un autre peut se faire habiliter par la justice à le représenter, d'une manière générale
uniquement
c) Personne ne peut se faire habiliter par la justice à le représenter
357 L’usufruit d’un compte bancaire : a
1. Peut résulter d’un contrat
2. Peut résulter d’une disposition légale

a) Réponses 1 et 2
b) 1
c) 2
358 L’usufruitier peut : c

a) Ne peut disposer ni de la totalité ni des intérêts du compte


b) Librement disposer de la totalité du compte
c) Librement disposer des intérêts du compte
359 Avoir l’usufruit sur un compte bancaire : c

a) Signifie qu’on en est propriétaire


b) L’usufruit ne s’applique pas à un compte bancaire
c) Permet de l’utiliser
360 Le mandat ou procuration est un acte par lequel une personne, le mandant, donne à une autre, le a
mandataire, le pouvoir de faire quelque chose au nom du mandant. Lorsqu’un mandataire accepte un
contrat, notamment pour des services financiers, celui-ci peut prendre fin notamment :
1. Par révocation du mandataire
2. Par renonciation du mandataire
3. Par démission du mandant

a) 1 et 2
b) 3
c) Réponses 1 et 3
d) 1
361 En cas d’insolvabilité et de faillite du client, les créanciers du client peuvent se protéger contre une c
perte totale en demandant en justice :

a) Un écrou mobilier
b) Un acquêt immobilier
c) Une sureté mobilière
362 Il existe plusieurs manières de protéger le créancier dès la mise en place du crédit : c
1. le nantissement
2. la qualité de créancier privilégié
3. la réduction aux acquêts

a) 1, 2 et 3
b) 1 et 3
c) 1 et 2
363 Le nantissement de valeur mobilière : a

a) Est un acte effectué par le client au bénéfice d’un créancier


b) Est un acte effectué par le prestataire de services financiers au bénéfice de son client
364 Le nantissement d’un compte titre est réalisé par : b

a) Une attestation du titulaire du compte comportant l’inventaire des titres financiers inscrits en
compte à la date de délivrance de cette attestation
b) Une déclaration du titulaire du compte comportant l’inventaire des titres financiers inscrits en
compte à la date de délivrance de cette déclaration
c) Aucune des deux réponses précédentes
365 Les conditions dans lesquelles le créancier nanti peut disposer des titres nantis est défini : b

a) Par le créancier et le prestataire de services financiers


b) Par le créancier et le titulaire du compte nanti
c) Aucune des deux propositions précédentes
366 Le créancier dit ‘privilégié’ ou privilégié par nature : a

a) Possède une garantie supérieure sur sa créance,


b) Bénéficie d’une convention de place
c) Obtient ce statut par une procédure bancaire
367 La déclaration de cessation des paiements peut conduire à reconstituer tout ou partie de l'actif de b
l'entreprise, notamment grâce :

a) il est impossible d’annuler des opérations financières a posteriori


b) à l'annulation des actes anormaux détectés pendant la période « suspecte »
c) à l’annulation de l’ensemble des actes pendant la période « suspecte »
368 Les informations contenues dans une communication à caractère promotionnel : a

a) Sont compatibles avec toutes les informations que le prestataire de services d'investissement
fournit à ses clients
b) Sont incompatibles avec toutes les informations que le prestataire de services d'investissement
fournit à ses clients
369 N’ont pas en principe la qualité de client professionnel par nature: b
1. Les organismes de placement collectif
2. Les personnes physiques

a) 1
b) Réponses 1 et 2
c) 2
370 L’information générale due au client porte nécessairement sur : b

a) La politique suivie en cas de conflit d’intérêt


b) L’agrément dont le prestataire des services bénéficie
371 La perception de paiement de la part de tiers par le PSI est: b

a) Incompatible avec l’obligation d’agir au mieux aux intérêts du client


b) Compatible avec l’obligation d’agir au mieux aux intérêts du client
372 Le régime d’exécution simple implique que : c
1. Le PSI n'est pas tenu d'évaluer si l'instrument financier est adapté au client
2. Le PSI n'est pas tenu d'évaluer si le service est adapté au client

a) 2
b) 1
c) Réponses 1 et 2
373 Parmi les propositions suivantes, quelle est la seule qui est vraie : a

a) tous les titres financiers sont des instruments financiers


b) aucune des deux propositions n'est vraie
c) tous les instruments financiers sont des titres financiers
374 En théorie financière, plus un titre est risqué et plus : b

a) Le risque et le rendement sont, en théorie, sans lien.


b) Son rendement moyen devrait être élevé
c) Son rendement moyen devrait être faible
375 Le risque de volatilité du marché des actions est avant tout lié à : c

a) la contrepartie de l’opération
b) La liquidité de l’entreprise qui achète l’action
c) la variabilité du prix des actifs
376 Le risque de marché d’un portefeuille d’actifs est aussi appelé : a
1. le risque systématique
2. le risque spécifique

a) 1
b) 2
c) Ni la réponse 1 ni la réponse 2
377 Sans tenir compte du taux sans risque, lorsque le coefficient de sensibilité (bêta) d’un portefeuille est b
de 0,8 cela signifie qu’en moyenne lorsque le rendement du marché est de 1% :

a) celui du portefeuille est de -0,8%


b) celui du portefeuille est de 0,8%
c) celui du portefeuille est 1%
378 Un portefeuille d’actifs est dit parfaitement diversifié si: a

a) son taux de rentabilité est uniquement sensible à la performance globale de l’économie


b) son taux de rentabilité futur est uniquement sensible à quelques titres
c) son taux de rentabilité est sensible au prix du baril de pétrole
379 Quelle est la transaction, parmi les suivantes, qui exposerait une entreprise française au risque de c
change :

a) Une émission d’actions en Euros


b) Une émission d’obligations à taux variables en Euros
c) Une émission d’obligations en francs suisse
380 Une entreprise allemande, qui vient de recevoir une livraison de matières premières payable en won a
coréen à son fournisseur dans 3 mois, s’expose au risque :

a) de change
b) de crédit
c) de solvabilité
381 Une entreprise française achète des matières premières pour 1 million de dollars (USD) à une autre b
entreprise française et vend pour la même somme en dollars des produits finis à une entreprise
chinoise. Si les deux paiements se font exactement au même moment, peut-on dire que cette
entreprise :

a) s’expose au risque de change sur le montant dû à l’entreprise française


b) s’expose à aucun risque de change
c) s’expose au risque de change sur le montant dû par l’entreprise chinoise
382 Le risque de taux d’intérêt est lié : b

a) A la fluctuation des taux de change


b) A la fluctuation des taux d’intérêt
c) A la fluctuation du prix des actions
383 Un investisseur qui achète des obligations à taux d’intérêt fixe redoute : a
a) Une hausse des taux d’intérêt de marché
b) La stabilité des taux d’intérêt de marché
c) Une baisse des taux d’intérêt de marché
384 Un émetteur qui place des obligations à taux d’intérêt fixe redoute : b

a) La stabilité des taux d’intérêt de marché


b) Une baisse des taux d’intérêt de marché
c) Une hausse des taux d’intérêt de marché
385 Le risque opérationnel, c’est notamment : a

a) le risque de panne matérielle


b) risque systématique
c) le risque de défaut
386 Le risque de dysfonctionnement du marché est un risque : a

a) opérationnel
b) aucune des deux propositions précédentes
c) de crédit
387 Le risque qu’un investisseur ne puisse pas revendre ses titres sur le marché est appelé : c

a) le risque de crédit
b) le risque de crédit et de liquidité
c) le risque de liquidité
d) ni risque de crédit, ni risque de liquidité
388 Le risque de liquidité décrit : c
1. le risque de défaut
2. le risque de ne pouvoir acheter ou vendre un instrument financier à tout moment

a) ni 1, ni 2
b) 1
c) 2
d) 1 et 2
389 Le risque de liquidité est lié pour un détenteur d’actions à l’impossibilité de les revendre parce que: b

a) l’éventuel acheteur n’a finalement pas les liquidités pour payer


b) il n’y a pas d’acheteur sur le marché
c) l’entreprise émettrice des actions n’est pas française
390 Lorsqu’un investisseur français achète des obligations émises en euros sur un marché de gré-à-gré, il a
s’expose entre autre au :

a) risque de contrepartie
b) risque de liquidité et de change
c) risque de change et de contrepartie
391 L’acheteur d’un titre obligataire à taux fixe s’expose au(x) risque(s) : b

a) De crédit uniquement
b) De taux d’intérêt et de crédit
c) De taux d’intérêt uniquement
392 Le risque de défaut est la possibilité que l’émetteur d’obligations : a

a) ne sera pas en mesure de rembourser sa dette


b) devra racheter les obligations à un prix plus élevés en cas de baisse des taux d’intérêt
c) subira des pertes de change en raison de la hausse des taux d’intérêts
393 Le risque de crédit est aussi appelé : c

a) risque opérationnel
b) risque de marché
c) risque de défaut
394 Quels sont les droits conférés à un actionnaire par la détention d’actions ordinaires : a

a) Un droit de vote et un droit au bénéfice


b) Un droit de vote ou un droit au bénéfice
c) Un droit de vote seul
d) Un droit au bénéfice seul
395 Les actions ordinaires confèrent : c

a) Un droit de vote par obligataire


b) Un droit de vote par obligation
c) Un droit de vote par action
d) Un droit de vote par actionnaire
396 Le dividende versé à un actionnaire est : b

a) le bénéfice de l’entreprise divisé par le nombre d’actions


b) une fraction du bénéfice distribué de l’entreprise divisé par le nombre d’actions
c) le montant net de trésorerie divisé par le nombre d’actions
397 Les actions ordinaires versent un dividende d’un montant : c

a) minimum correspondant à un pourcentage de la valeur en Bourse de l’action


b) minimum fixe
c) calculé sur une fraction des bénéfices de l’année ou des bénéfices passés
398 Les bénéfices non distribués deviennent : b

a) Des pertes
b) Des réserves
c) Des dividendes
399 Les actions à droit de vote double permettent à l’actionnaire : b

a) d’augmenter de manière illicite le nombre votes


b) d’avoir deux fois plus de droits de vote qu’avec les actions ordinaires
c) de voter une deuxième fois en cas d’erreur
400 Certaines actions ne confèrent pas de droit de vote mais permettent de percevoir un dividende en c
priorité par rapport aux actions ordinaires.

a) Il s’agit d’actions ordinaires sans droit de vote


b) Cette situation est interdite car tous les actionnaires bénéficient de droits identiques
c) Il s’agit d’actions à dividende prioritaire
d) Il s’agit de stock options
401 Parmi les actions suivantes, laquelle n’est pas considérée de fait comme une action de préférence ? b

a) le certificat d’investissement
b) l’action attribuée gratuitement
c) l’action à droit de vote aménagé pour une durée déterminée
d) l’action à dividende prioritaire
402 Une société peut émettre à la fois des actions de préférence et des actions ordinaires : c

a) faux, elle ne peut émettre que l’une ou l’autre de ces deux catégories
b) vrai, sans limitation
c) vrai, mais les actions de préférence sont émises en quantité limitée par rapport aux actions
ordinaires
403 Certaines actions confèrent un droit de vote double : b

a) Elles donnent droit également à un dividende double


b) Elles confèrent un droit à dividende identique à celui des actions ordinaires
c) Cette situation est interdite car tous les actionnaires bénéficient de droits identiques,
d) Le droit au dividende est interdit sur ces actions
404 Parmi les actions suivantes, lesquelles sont considérées comme des actions de préférence ? d

a) les actions en autocontrôle


b) les actions en autodétention
c) les actions attribuées gratuitement
d) les actions de priorité
405 L’attribution d’actions gratuites par une entreprise, toutes choses égales par ailleurs : b

a) augmente la valeur en Bourse du patrimoine de l’actionnaire


b) est neutre sur la valeur en bourse du patrimoine de l’actionnaire
c) est interdite
d) diminue la valeur en Bourse du patrimoine de l’actionnaire
406 Le montant du patrimoine de l’entreprise qui figure à l’actif du bilan, estime correctement la valeur de b
marché des actions de l’entreprise.

a) faux car il faut tenir compte du dividende


b) faux car il faut tenir compte des dettes
c) Vrai dans tous les cas
407 Le price earning ratio d’une action est le rapport du : a

a) Prix de l’action sur les bénéfices par action


b) Prix de l’action sur les ventes par action
c) Prix de l’action sur les dettes par action
408 Le PER (Price Earning Ratio, ou ratio Prix / Bénéfice) d’une société indique l’opinion suivante des b
investisseurs :

a) un PER faible, de l’ordre de 5 ou 6, indique une forte croissance des dividendes à venir
b) un PER élevé, de l’ordre de 25, indique une forte croissance des bénéfices à venir
c) un PER faible, de l’ordre de 5 ou 6, indique une forte croissance des bénéfices à venir
409 Lorsque le PBR (Price to Book ratio, ou ratio Prix / capitaux propres comptables) d’une entreprise est a
supérieur à 1, cela signifie aux yeux des investisseurs, que :

a) Les perspectives de croissance sont bonnes


b) L’entreprise est trop endettée et au bord de la faillite
c) Le service comptabilité a fait correctement son travail
410 Dans une approche actuarielle, la valeur des actions de l’entreprise est calculée par : c

a) Les bénéfices passés accumulés


b) Les dividendes distribués l’an prochain uniquement
c) Les flux futurs actualisés
411 Pour estimer la valeur d’une action cotée, quel critère ne devrait-on pas appliquer ? d

a) L’actif net comptable par action


b) les multiples de sociétés cotées comparables, comme le PER
c) les cash flows futurs de cette société (ou flux de trésorerie futurs) actualisés
d) Le nombre de salariés de l'entreprise
412 Les cours de Bourse reflètent : c

a) la valeur exacte de l’action calculée par le PER


b) la valeur exacte de l’action calculée par l’actif net
c) les anticipations des investisseurs quant à la santé des entreprises
413 Les investisseurs sont propriétaires d’une part du capital des entreprises auxquelles ils procurent des a
fonds lorsqu’ils détiennent ou reçoivent :
a) Des actions
b) Des dettes
c) Des obligations
414 Les investisseurs sont créanciers des entreprises auxquelles ils procurent des fonds lorsqu’ils détiennent c
ou reçoivent :

a) Des actions
b) Des stock options
c) Des obligations
415 Lorsque les obligataires confient des fonds à une entreprise, ils en deviennent : c

a) Actionnaires
b) Propriétaires
c) Locataires
d) Créanciers
416 Les OAT sont des : c

a) obligations émises par les entreprises cotées, d’une durée inférieure à deux ans
b) obligations émises par les entreprises cotées, d’une durée supérieure à deux ans
c) obligations émises par l’Etat français, d’une durée supérieure à deux ans
d) obligations émises par l’Etat français, d’une durée inférieure à deux ans
417 La dette de l’Etat est gérée par : a

a) l’Agence France Trésor


b) la Banque de France
c) la Banque Centrale Européenne
418 Quels sont les droits conférés à un obligataire par la détention d’obligations ordinaires ? b
1. droit de vote
2. droit au bénéfice
3. droit aux intérêts
4. droit au remboursement

a) 1,2 et 3
b) 3 et 4
c) 1 et 4
d) 2 et 4
419 Lors d’une émission obligataire, l’émetteur n’est pas contraint de : c

a) d’indiquer une durée de remboursement


b) d’indiquer le mode de calcul du coupon
c) fixer un prix d’émission identique à la valeur nominale de l’obligation
420 Si le prix auquel les souscripteurs peuvent se procurer une obligation lors de son émission est inférieur c
à sa valeur nominale, on dit qu’elle est :

a) Emise au pair
b) Emise au dessus du pair
c) Emise au dessous du pair
d) Emise à l’impair
421 La date de maturité d’une obligation est la date : b

a) à partir de laquelle l’obligation est suffisamment mature pour être utilisée


b) précise du dernier flux monétaire associé à l’obligation
c) à partir de laquelle le souscripteur pourra demander le remboursement anticipé de l’obligation
422 En achetant aujourd’hui une obligation in fine de coupon 4% durée 15 ans émise il y a 6 ans, b
l’obligataire détient :
a) une obligation émise ce jour, servant un coupon de 4% qui sera remboursée en totalité dans 15
ans
b) une obligation émise il y a 6 ans, servant un coupon de 4% qui sera remboursée en totalité dans
9 ans
c) une obligation émise il y a 6 ans, servant un coupon de 4% qui sera remboursée en totalité dans
15 ans
d) une obligation émise ce jour, servant un coupon de 4% qui sera remboursée en totalité dans 9
ans
423 Le détenteur d’une obligation dite in fine perçoit : c

a)Les intérêts et la totalité du capital à la date de maturité


b)Un versement identique au terme de chaque période jusqu’à et y comprise la date de maturité
c)Les intérêts au terme de chaque période et la totalité du capital à la date de maturité
d)Une fraction identique du capital et des intérêts décroissants au terme de chaque période,
jusqu’à la date de maturité
424 Lorsqu’il détient une obligation zéro coupon, l’obligataire reçoit : d

a) les coupons à chaque période et 100% du remboursement à la fin de vie de l’obligation


b) les coupons sur le montant non remboursé, et une fraction identique du capital en
remboursement chaque période
c) les coupons sur la totalité du capital et une fraction identique du capital en remboursement
chaque période
d) 100% du remboursement à la fin de vie de l’obligation
425 Si une obligation présente une période de grâce ou différé de remboursement, cela signifie que : b
1. les intérêts ne sont capitalisés ni versés durant cette période
2. les intérêts sont capitalisés mais versés à l’issu de cette période

a) 1
b) 2
c) Ni la réponse 1 ni la réponse 2
426 Le taux de rendement actuariel d’une obligation correspond : d

a) Au taux qui actualise tous les flux futurs après impôts perçus par le détenteur
b) Au taux d’intérêt du coupon
c) Au taux qui actualise tous les flux futurs après impôts versés par l’émetteur
d) Au taux qui actualise tous les flux futurs avant impôts perçus par le détenteur
427 A son émission, si le prix auquel les souscripteurs peuvent se procurer une obligation est inférieur à sa d
valeur nominale, le taux actuariel, toutes choses égales par ailleurs :

a) Est inférieur au taux facial de l’obligation


b) Est égal au taux facial de l’obligation
c) Est compensé par la prime de remboursement
d) Est supérieur au taux facial de l’obligation
428 Parmi les risques suivants, quels sont ceux supportés par le détenteur d’une obligation à taux fixe : a
1. le risque de défaut de l’émetteur
2. le risque d’une modification du coupon
3. Le risque provenant de l’évolution des taux d’intérêt sur le marché
4. Le risque d’une modification du mode de remboursement

a) 1 et 3
b) 1 et 2
c) 2 et 3
d) 1 et 4
429 Sur le marché secondaire, pendant la durée de vie de l’obligation à taux variable : a
a) La valeur de l’obligation ne change pas ou peu lorsque les taux d’intérêt augmentent
b) La valeur de l’obligation augmente lorsque les taux d’intérêt augmentent
c) La valeur de l’obligation est donnée par sa valeur nominale
d) La valeur de l’obligation baisse lorsque les taux d’intérêt augmentent
430 Lorsque le coupon d’une obligation est indexé sur l’Euribor 6 mois, on dit que cette obligation est : a

a) A taux variable
b) A taux fixe
c) A taux actuariel
431 En France, une OATi designe : c

a) une Obligation Assimilable du Trésor indéxée à l’intérêt


b) une Obligation Assimilable du Trésor Internationale
c) une Obligation Assimilable du Trésor indéxée à l’inflation
432 Démembrer une obligation signifie : b

a) est l’inverse de l’opération qui permet d’assimiler des obligations


b) découper l’obligation en autant d’instruments financiers qu’il y a de flux futurs
c) empêcher certains membres de la communauté financière de pouvoir spéculer avec cette
obligation
434 Comment évolue généralement la valeur d’une obligation à taux fixe sur le marché secondaire ? d

a) Elle reste égale à la valeur nominale


b) Elle augmente lorsque les taux d’intérêt de marché augmentent
c) Elle ne change pas lorsque les taux d’intérêt de marché augmentent
d) Elle baisse lorsque les taux d’intérêt de marché augmentent
435 A une date donnée, on mesure le risque lié à la détention d’une obligation à taux fixe par : a

a) Le coefficient de sensibilité
b) Le taux de coupon de l’obligation
c) la maturité de l’obligation
436 Le marché monétaire est le segment du marché dédié : a

a) Aux emprunts de court terme


b) Aux emprunts de long terme
437 Sur le marché monétaire sont émis et négociés : a
1. Des actions
2. Des billets de trésorerie
3. Des certificats de dépôts

a) 2 et 3
b) 1 et 2
c) 1 et 3
438 L’EONIA est un taux d’intérêt : c

a) Au jour le jour fixé par décision de la Banque Centrale Européenne


b) A long terme issu du marché interbancaire en Euro
c) Au jour le jour issu du marché interbancaire en Euro
439 Parmi les échéances indiquées, lesquelles sont publiées pour l’EONIA ? b
1. Au jour le jour (Overnight)
2. 1 semaine
3. 3 mois
4. 10 ans

a) 1,2 et 3
b) 1
c) 4
d) 1 et 2
440 L’Euribor est un taux d’intérêt : c

a) A court terme décidé par la Banque Centrale Européenne, pour indexer les emprunts à taux
variable,
b) A court terme décidé par la Banque Centrale Européenne, pour les emprunts à taux fixe,
c) A court terme issu du marché interbancaire, pour indexer les emprunts à taux variable
441 Parmi les échéances indiquées, lesquelles sont publiées pour l’EURIBOR ? c
1. Au jour le jour ( Overnight)
2. 1 semaine
3. 3 mois
4. 10 ans

a) 1, 2 et 3
b) 1 et 2
c) 2 et 3
d) 1, 2, 3 et 4
442 Le montant nominal minimum d’un TCN Titre de Créance Négociable, est de : a

a) 150 000 €
b) 50 000 €
c) 500 000 €
d) 1 000 000 €
443 Quel instrument parmi les suivants n’est pas un TCN (Titre de Créance Négociable) ? a

a) Le prêt bancaire
b) Le billet de Trésorerie
c) Le CDN, certificat de dépôt négociable
d) Le Bon du Trésor
444 Les BTF, Bons du Trésor à taux Fixe, sont émis par l’Etat : a

a) Pour une durée inférieure à 1 an


b) Pour une durée de 2 à 5 ans
c) Pour une durée de 10 ans
d) Pour une durée supérieure à 10 ans
445 Les CDN, certificats de dépôt négociables, sont des titres émis par : c

a) Les entreprises
b) Les collectivités locales
c) Les établissements de crédit et les institutions financières
d) L’Etat
446 Les billets de trésorerie, sont des dettes émises par : c
1. Les banques et établissements financiers
2. L’Etat
3. Les entreprises
4. Les collectivités locales

a) 2 et 4
b) 1,2,3 et 4
c) 3 et 4
d) 3 uniquement
447 Une obligation convertible est un titre hybride qui permet au porteur : c

a) De convertir la fiscalité du titre


b) De convertir la devise de cotation
c) De convertir le titre en actions
448 La période de conversion d’un titre hybride est la période durant laquelle ? b

a) Le titre ne peut pas être converti


b) Le titre peut être converti
c) Le titre est converti automatiquement
449 Soit une obligation convertible (OC) au taux de conversion de 4 pour 1 et à la valeur nominale de 1000€. c
Quel est son prix de conversion ?

a) 200 euros
b) 400 euros
c) 250 euros
450 On estime le prix d’une obligation convertible à 965€ sur le marché. Si le prix d’une obligation classique a
équivalente est 950€, quelle est la valeur de l’option contenue dans l’obligation convertible ?

a) 15 euros
b) 50 euros
c) 35 euros
451 Une obligation à bon de souscription en action (OBSA) permet : c

a) D’acquérir des obligations


b) D’acquérir des bons de souscription
c) D’acquérir des actions
452 Une obligation remboursable en action (ORA) : b

a) Est transformée en action à la demande du porteur


b) Est automatiquement transformée en action
c) Est transformée en action à la demande de l’émetteur
453 Les titres super subordonnés : c

a) Sont de même rang que les actions


b) Sont subordonnés aux actions
c) Sont subordonnés aux autres titres obligataires
454 Un compte à terme est : b

a) un dépôt à vue
b) un placement de court terme
c) un type de crédit de long terme
455 Les intérêts acquis sur les compte à terme sont soumis : b

a) aux taxes sociales mais pas à l’impôt sur le revenu


b) à l’impôt sur les revenus ainsi qu’aux taxes sociales
c) à l’impôt sur le revenu, mais pas aux taxes (contributions) sociales
456 Laquelle des affirmations suivantes est vraie : a

a) le taux d’intérêt du livret A est un taux administré


b) Il faut au minimum déposer 2000 euros sur un livret A
c) les établissements bancaires sont libres de prêter les sommes récoltées sur le livret A à leur
guise
457 Le Livret d’Epargne Populaire est destiné : a

a) Aux seuls foyers fiscaux ne dépassant pas un certain plafond d’imposition


b) A toutes les personnes morales résidant en France
c) Aux entreprises les plus populaires
458 Le compte d’épargne logement (CEL) a une durée : b
a) de 15 ans
b) illimitée
c) de 5 ans
459 La durée d’un plan d’épargne logement (PEL) ne peut excéder : b

a) 25 ans
b) 15 ans
c) 5 ans
460 Dans le cadre d’un plan d’épargne retraite populaire : c

a) Le capital constitué est reversé en une seule fois obligatoirement


b) Le capital constitué est reversé sous forme de rente viagère obligatoirement
c) Le choix est laissé entre versement du capital ou rente viagère
461 La sortie d’un contrat PERP est possible: c

a) A l’occasion d’une naissance


b) A l’occasion d’un mariage
c) En cas d’invalidité sévère
462 En matière de fiscalité des contrats PERP : a

a) le montant déductible de l’impôt sur les revenus est limité


b) la totalité des versements est déductible de l’impôt sur les revenus
c) il n’y a pas de déduction d’impôt
463 Dans le cadre de l’assurance vie, les versements sont conservés : c

a) En unités de compte uniquement et de manière obligatoire


b) En euros uniquement et de manière obligatoire
c) En une combinaison d’euros et d’unités de compte laissée au choix du client
464 Dans le cadre du PERCO : c

a) Il n’y a pas d’abondement dans un PERCO


b) Le trésor public abonde au plan
c) L’employeur abonde au plan
465 Une sortie anticipée d’un contrat PERCO est possible en cas b

a) D’achat d’une nouvelle voiture


b) De décès du bénéficiaire
c) D’achat d’une résidence secondaire
466 Le compte à terme (CAT) est un contrat d’épargne dans lequel : a

a) la somme épargnée est bloquée pendant toute la durée du contrat et le taux d’intérêt garanti
peut être fixe ou progressif
b) la somme épargnée peut être retirée à tout moment sans pénalités et le taux d’intérêt n’est pas
garanti
c) la somme épargnée est bloquée pendant toute la durée du contrat et le taux d’intérêt n’est pas
garanti
467 Un contrat à terme de type forward s’échange : a
1. Sur des marchés organisés
2. Sur des marchés de gré à gré

a) 2
b) 1 et 2
c) 1
468 Acheter des contrats futures pour des raisons spéculatives signifie que : c

a) l’acheteur estime que le marché est très peu volatil


b) l’acheteur estime que le marché est baissier
c) l’acheteur estime que le marché est haussier
469 Quel est le droit de l’acheteur d’un put? a

a) droit de vendre le sous-jacent


b) droit d’acheter le sous-jacent
c) droit d’acheter ou de vendre le sous-jacent
470 Un acheteur de livres sterling achète des options de type call pour couvrir son risque, il est alors certain b
que le taux de change maximum pour lui ne dépassera pas :

a) le prix d’exercice
b) le prix d’exercice plus la valeur de la prime
c) le prix d’exercice moins la valeur de la prime
471 Un cross currency swap permet : b

a) l'échange de flux à taux fixes contre des flux à taux variables uniquement
b) l'échange de flux financiers libellés en devises étrangères
c) la couverture du risque de crédit
472 Un Crédit Default Swap permet : b

a) la couverture du risque de change


b) la couverture du risque de crédit
c) l’échange de la performance de deux actions
473 L’entreprise Mihar SA vient d’exporter des marchandises en Suède pour une valeur de 50 millions de a
couronnes suédoises. Elle reçoit donc un flux monétaire libellé en couronnes. Si elle souhaite se couvrir
contre des variations de la couronne sur le marché des Futures, que lui conseillez-vous ?

a) vendre des contrats en couronne


b) les contrats future ne permettent pas de se couvrir
c) acheter des contrats en couronne
474 Les OPC sont : c

a) des organismes de portage collectif


b) des organismes de placement commun
c) des organismes de placement collectif
475 Les Organismes de Placement Collectif (OPC) sont : c

a) des produits dérivés


b) des titres financiers
c) des instruments financiers
d) aucune des propositions
476 Les sociétés forestières sont : d

a) Toutes les propositions


b) des OPCVM
c) des sociétés d'investissement à capital fixe
d) des OPC
477 Les SICAV sont : c

a) Sont obligatoirement à capital fermé


b) Cotées en bourse
c) Ne sont pas cotées en bourse
478 Les Organismes de placement collectif en biens immobiliers peuvent être de types : c

a) FCP et SCPI
b) SICAV et SICAF
c) OPCI et SCPI
479 Les sociétés d'épargne forestière sont : a

a) Des OPC
b) Des OPCI
c) Des SICAV
d) Des SICAF
480 L’entreprise Mihar SA a émis il y a deux ans des obligations aux conditions suivantes : taux d’intérêt c
LIBOR à 6 mois, nominal 1000€, durée 5 ans. Si aujourd’hui elle craint une hausse future de taux
d’intérêt, que doit-elle faire pour se protéger.

a) signer un contrat Swap dans lequel elle payera le taux flottant et recevra le taux fixe
b) Un contrat swap ne permet pas de se couvrir face à la variation des taux d’intérêt
c) signer un contrat Swap dans lequel elle recevra le taux flottant et payera le taux fixe
481 Un contrat swap est un contrat par lequel deux entités s’engagent à : b

a) Fusionner leurs activités financières


b) Echanger des flux financiers sur une certaine période
c) Développer le risque de contrepartie
482 Pour le calcul hebdomadaire de la valeur liquidative il est précisé, dans le prospectus d’un OPCVM, que
l’heure limite de transmission d’ordre est le Vendredi avant 11 heures et que les valeurs liquidatives
sont calculées le Lundi à 17H30. Mlle Adiza donne un ordre de vente à son intermédiaire le Lundi à
10H05. La valeur liquidative pour cet ordre sera :

a) celle du Lundi suivant car la transmission aura été faite après le vendredi Correct
b) celle du mardi
c) celle du jour même car elle a passé l’ordre avant 17H30
483 Un OPCVM dit « fonds de fonds » est un OPCVM qui investit :

a) Directement dans des parts d’OPCVM Correct


b) Le plus rapidement possible
c) Dans les entreprises de la plus mauvaise qualité
484 Quand une entreprise parvenue à maturité verse un dividende élevé et régulier eu égard au prix de b
l’action, on parle de :

a) valeur de santé
b) valeur de rendement
c) valeur de croissance
d) dividende de croissance
485 Les BTAN, Bons du Trésor à taux annuel normalisé, sont émis par l’Etat : c

a) Pour une durée de 10 ans


b) Pour une durée supérieure à 10 ans
c) Pour une durée de 2 à 5 ans
d) Pour une durée inférieure à 1 an
486 Un OPCVM à compartiments est un organisme de placement : b

a) qui est composé d’investisseurs distincts; actionnaires et obligataires


b) qui est composé d’un portefeuille à capitalisation pure et d’un autre à distribution pure
c) qui est en même temps une SICAV monétaire et un FCP
487 Pour le calcul quotidien de la valeur liquidative il est précisé, dans le prospectus d’un OPCVM, que c
l’heure limite de transmission d’ordre est à 11 heures. Si un investisseur donne un ordre d’achat à son
intermédiaire le Lundi à 10H50 la valeur liquidative sera celle du jour même :

a) si l’ordre est transmis avant la fin de la journée


b) Si l’ordre est transmis avant midi
c) si l’ordre est effectivement transmis avant 11h
488 La valeur liquidative d’un OPCVM est : a

a) La valorisation du fonds à chaque date de calcul de celle-ci


b) La valorisation du fonds uniquement le jour de sa liquidation Incorrect
c) Le total des liquidités perçues chaque jour
489 Quand elles recourent à une délégation, les Sociétés de Gestion de Portefeuille : a

a) Restent responsables de leur activité y compris pour la part déléguée


b) Sont déchargées de la responsabilité de leurs actions
c) Partagent la responsabilité avec le délégataire
490 Lorsque la gestion d’un portefeuille est dédiée à un client unique, on dira qu’elle est de type : d

a) Collective
b) Unique
c) Concentrée
d) Discrétionnaire
491 Les Sociétés de Gestion de Portefeuille c

a) Peuvent ne pas être agréées si elles adhèrent à une association professionnelle


b) Doivent uniquement être agréées
c) Doivent obligatoirement être agréées et adhérer à une association professionnelle
492 Dans le cadre de la gestion collective, le distributeur est tenu de b
1. Rendre publique la valeur liquidative des fonds gérés
2. Communiquer la valeur liquidative au seul dépositaire central

a) Ni la réponse 1 ni la réponse 2
b) 1
c) 2
493 Parmi les acteurs de la gestion collective, le dépositaire a la garde de, et exécute les opérations portant c
sur

a) Le compte de résultat
b) Le passif d’un fonds
c) L’actif d’un fonds
494 Un prime broker ou société de courtage peut offrir la possibilité a
1. D’emprunter des titres
2. De bénéficier de conseils en investissement

a) 1 et 2
b) 2 uniquement
c) 1 uniquement
495 Le valorisateur d’un OPCVM est chargé de : c

a) Tenir le registre de toutes les émissions de titres réalisées en France


b) aucune de ces deux réponses
c) Calculer la valeur liquidative du fonds
496 Dans le cadre de la gestion de fonds, le commissaire aux comptes : c

a) Est tenu au secret professionnel vis-à-vis de l’ACPR


b) Peut choisir de signaler à l’ACPR les problèmes relevés
c) Est tenu de signaler à l’ACPR les problèmes relevés
497 Le commissaire aux comptes : a

a) Certifie la composition de l’actif du fonds avant sa publication


b) Conseille le gérant de portefeuille
c) Offre un service d’intermédiation
498 Le mandat discrétionnaire est une forme de gestion pour compte de tiers b
1. Qui permet la gestion collective
2. Qui permet la gestion individualisée
3. Est un contrat de droit civil

a) 1 et 3
b) 2 et 3
c) 3 uniquement
499 Le mandat discrétionnaire doit contenir : a
1. Les instruments financiers autorisés
2. La rémunération du mandataire

a) 1 et 2
b) ni 1 ni 2
c) 1 uniquement
d) 2 uniquement
500 Un OPCVM est : c

a) un Organisme Prioritaire de Coupons Valorisé par Multiples


b) Un Organisme Prioritaire de Valorisation Mobilière
c) Un Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières
d) un Office de Placement Commun en Vue de Management
501 La directive AIFM a créé les fonds d’investissement alternatifs (FIA). Ces fonds : c

a) Relèvent de la directive OPCVM V


b) Ne sont pas soumis à la surveillance de l’AMF
c) Ne sont pas des OPCVM
502 Les parts d’un OPCVM peuvent : a

a) Etre rachetées à leur valeur liquidative


b) Etre rachetées à leur valeur historique
c) Etre rachetées à leur coût moyen pondéré
503 La gestion discrétionnaire : b

a) Est un type de gestion collective


b) S’adresse à des clients uniques
c) Cherche à contourner la réglementation
504 En Général, pour un OPCVM, la proportion de titres d’un même émetteur ne peut pas dépasser : c

a) 200% de son actif en contrats à terme


b) 30% de son actif
c) 5% de son actif
d) est libre
505 La souscription des parts / actions d’un fond/organisme d’épargne collective c
1. Ne peut se faire qu’une fois par an
2. Se fait à la demande de l'acquereur
3. Peut être limitée par des dispositions du prospectus complet.

a) 1 et 2
b) 2 uniquement
c) 2 et 3
506 La souscription et ou le rachat des parts d’un OPCVM b

a) Donne toujours lieu à des frais de l'ordre de 10%


b) Peut donner lieu à des commissions de rachats ou commissions de souscription
c) Ne donne lieu à aucun frais
507 Un ordre de souscription ou de rachat est : a

a) Irrévocable
b) Révocable sur demande du mandataire
c) Révocable sur demande du mandant
508 Un fonds de gestion peut dans certains cas cesser temporairement d’émettre des parts notamment si : b

a) faux car tout ordre est irrévocable


b) notamment si l'OPC est dédié à un nombre limité de porteurs et ce nombre est atteint
509 Pour le calcul quotidien de la valeur liquidative il est précisé, dans le prospectus d’un OPCVM, que a
l’heure limite de transmission d’ordre est à 11 heures. Si un investisseur donne un ordre d’achat à son
intermédiaire le Lundi à 10H50 la valeur liquidative sera celle du jour même :

a) si l’ordre est effectivement transmis avant 11h


b) si l’ordre est transmis avant la fin de la journée
c) Si l’ordre est transmis avant midi
510 Pour le calcul hebdomadaire de la valeur liquidative il est précisé, dans le prospectus d’un OPCVM, que b
l’heure limite de transmission d’ordre est le Vendredi avant 11 heures et que les valeurs liquidatives
sont calculées le Lundi à 17H30. Mlle Adiza donne un ordre de vente à son intermédiaire le Lundi à
10H05. La valeur liquidative pour cet ordre sera :

a) celle du mardi
b) celle du Lundi suivant car la transmission aura été faite après le vendredi
c) celle du jour même car elle a passé l’ordre avant 17H30
511 Le document d’informations clés pour l’investisseur d’un OPCVM doit a
1. Contenir des explications en termes techniques
2. S’il contient des termes techniques, les expliciter
3. Etre compréhensible pour tout investisseur
4. S’adresser à des financiers avertis

a) 2 et 3
b) 2 et 4
c) 1 et 2
d) 1 et 3
512 Si le prospectus d’un OPCVM est rédigé dans une langue autre que le Français a

a) Il doit être traduit s’il est diffusé sur le territoire de la République Française
b) Il doit être diffusé tel quel à tous les investisseurs
c) Il peut ne pas être traduit s’il est dans une langue usuelle en matière financière
513 Le document d’information clé pour l’investisseur (DICI) : b

a) Est un document standardisé au niveau européen


b) Les deux réponses à la fois
c) Aucune des deux réponses
d) Mentionne l’ensemble des catégories de parts
514 En matière d’information sur les OPCVM, la note détaillée donne b
1. L’identité de la Société de Gestion de Portefeuille
2. L’identité des mandants du fonds
3. L’identité du dépositaire

a) 2 et 3
b) 1 et 3
c) 1 et 2
515 Le prospectus complet d'un OPCVM doit b
1. Contenir le prospectus simplifié
2. Mentionner un résumé du code monétaire et financier
3. Indiquer le règlement ou les statuts de l’OPCVM

a) 1 et 2
b) 1 et 3
c) 2 et 3
516 Les frais supportés par les investisseurs dans un OPCVM sont précisés dans d

a) Le réglement général AMF


b) La description de poste du gérant
c) Le code monétaire et financier
d) Le prospectus
517 Les frais supportés par les investisseurs dans un OPCVM b

a) Sont présentés Hors Taxe


b) Sont présentés Toutes Taxes Comprises
c) Ne sont communiqués que sur demande, au format désiré
518 Pour les frais auxquels sont soumis les porteurs d’un OPCVM, il est indiqué d

a) Le taux minimum de la part de commission de souscription et de rachat acquise à l’OPCVM


b) Le taux minimum de la part de commission de souscription et de rachat non acquise à l’OPCVM
c) Le taux maximum de la part de commission de souscription et de rachat acquise à l’OPCVM
d) Le taux maximum de la part de commission de souscription et de rachat non acquise à l’OPCVM
519 L’indication du taux de frais de gestion et de fonctionnement maximum d’un OPCVM est c
éventuellement complétée par :

a) Les frais d’intervention à termes moyens


b) Les frais d’intermédiation effectivement supportés le mois précédent
c) Les règles de calcul des commissions de mouvement
d) Les valeurs rapportées au passif initial
520 Pour un OPCVM, la valeur liquidative correspond à : b

a) La valeur non réévaluée de l’actif total de l’OPCVM


b) La valeur actuelle des parts ou actions de l’OPCVM
c) La valeur espérée lorsque le fonds sera liquidé
521 La valeur liquidative d’un OPCVM est : b

a) Le total des liquidités perçues chaque jour


b) La valorisation du fonds à chaque date de calcul de celle-ci
c) La valorisation du fonds uniquement le jour de sa liquidation
522 La valeur liquidative d’un OPCVM se calcule en : a
1. Divisant l’actif en valeur de marché, majoré des dettes, par le nombre de parts ou actions.
2. Divisant l’actif en valeur de marché, minoré des dettes, par le nombre de parts ou actions

a) 2
b) Ni la réponse 1 ni la réponse 2
c) 1
523 Lorsqu’il y a plusieurs catégories de parts ou d’actions dans l’OPCVM b
1. La valeur liquidative, pour chaque catégorie, est la quote-part de l’actif net, rapportée au
nombre d’actions/parts de cette catégorie
2. La valeur liquidative est la quote-part de l’actif majoré des dettes, rapporté au nombre
d’actions/parts par catégorie

a) 2
b) 1
c) Ni la réponse 1 ni la réponse 2
524 La valeur liquidative est calculée et publiée : c

a) Uniquement si les actionnaires/porteurs le demande


b) Suivant une périodicité fixée dans le prospectus complet, généralement une fois par an
c) Suivant une périodicité fixée dans le prospectus, généralement chaque jour de bourse
525 La valeur liquidative d’un OPCVM est calculée par : c

a) Le distributeur, sauf s’il est également gestionnaire


b) L’AMF
c) Le valorisateur
526 Une SICAV : b
1. Dispose de la personnalité morale
2. Est une société d’investissement collectif à action variable
3. Est une société d’investissement à capital variable
4. Dispose d’une personnalité éthique

a) 1
b) 1 et 3
c) 2 et 4
d) 2 et 3
527 Un organisme de placement collectif dont les détenteurs sont des actionnaires est : a

a) Une SICAV
b) Une FCIAV
c) Un FCP
528 Il existe un capital requis minimum pour établir une SICAV : b

a) Non
b) Oui, de 300 000 euros
c) Non, mais il est recommandé de réunir au moins 750 000 euros
d) Oui, de 750 000 euros
529 Les FCP sont des entités : c

a) Dépendantes d’une SGP, qui n’ont pas de personnalité juridique, mais doivent publier leurs
comptes
b) Indépendantes d’une SGP, qui ont une personnalité juridique et doivent publier leurs comptes
c) Dépendantes d’une SGP, qui n’ont pas de personnalité juridique et ne doivent donc pas publier
leurs comptes
530 Le capital minimum pour la constitution d’un FCP est : a

a) Requis et identique à celui demandé pour une SICAV


b) Requis et inférieur à celui demandé pour une SICAV
c) Indicatif et identique à celui demandé pour une SICAV
d) Indicatif et inférieur à celui demandé pour une SICAV
531 Un OPCVM coordonné : b

a) Ne peut pas bénéficier du passeport européen


b) Peut bénéficier du passeport européen
c) Pourra bénéficier du passeport européen lorsque celui-ci sera mis en place
532 Les directives Européennes portant coordination des OPCVM les désignent en anglais comme des c
UCITS, c'est-à-dire :

a) Units of Collective Investment in Transferable Savings


b) Units of Collective Investments in Transferable Securities
c) Undertakings for Collective Investments in Transferable Securities
d) Undertakings for Collective Investments in Transferable Savings
533 Les règles applicables aux Fonds d’Investissement Alternatifs (FIA) sont précisées dans : b

a) La directive OPCVM V
b) La directive AIFM
c) Aucune de ces deux directives
534 Un FCP : b

a) Est un Fonds Commun de Placement, il ne nécessite pas d’agrément.


b) Est un Fonds Commun de Placement, et doit être agréé.
c) Est un Fonds à Capital Préservé, il ne nécessite pas d’agrément
d) Est un Fonds à Capital Préservé, il doit être agréé.
535 L’agrément d’un OPCVM relève normalement de b

a) L’autorité compétente du pays des apporteurs de fonds


b) L’autorité compétente du pays où il est constitué
c) L’autorité compétente des pays où il est commercialisé
536 Dans le cas du non-respect de la procédure d’agrément pour un OPCVM : b
1. Les sommes en gestion sont confisquées
2. Le ou les dirigeants sont passibles de 20 ans de prison
3. Le ou les dirigeants, de fait ou de droit, peuvent recevoir une amende
4. Le ou les dirigeants risquent 2 ans de prison

a) 2 et 3
b) 3 et 4
c) 1 et 2
537 Dans le cadre du Passeport Européen, un OPCVM étranger : a
1. Peut être commercialisé en France si l’autorité de tutelle dans le pays de constitution a vérifié
la conformité aux réglementations françaises
2. Peut être commercialisé en France si l’autorité de tutelle dans le pays de constitution a vérifié
la conformité aux directives européennes
3. Doit obtenir une autorisation de commercialisation de l’AMF

a) 2 et 3
b) 3 uniquement
c) 1 uniquement
538 Quels OPCVM ne peuvent pas être coordonnés ? b
1. Les SICAV d’Actionnariat Salarié.
2. Les FCP d’Entreprise
3. Les SICAV indicielles
4. Les Fonds Communs de Placement pour l’Innovation

a) 1 et 2
b) 1,2 et 4
c) 2,3 et 4
d) 1,2 et 3
539 Les FCIMT sont : b

a) Des Fonds Communs d’Investissement Monétaire et de Taux et peuvent être coordonnés


b) Des Fonds Communs d’Intervention sur les Marchés à Terme et ne peuvent pas être
coordonnés
c) Des Fonds Communs d’Intervention sur les Marchés à Terme et peuvent être coordonnés
d) Des Fonds Communs d’Investissement Monétaire et de Taux et ne peuvent pas être
coordonnés
540 Certains fonds sont dispensés de l’agrément AMF et soumis à simple déclaration, il s’agit : c
1. des fonds non ouverts au public et dont les investisseurs sont supposés informés des risques
2. des fonds ouverts au public dont les investisseurs sont supposés qualifiés et informés des
risques
3. des Fonds Communs de Placement à Risque à procédure Allégée

a) 2 et 3
b) 1 et 2
c) 1 et 3
541 Un Fonds Commun de Placement à Risque : c
1. Est investi à plus de 50% en titres participatifs ou titres de sociétés non cotés sur les marchés
2. Peut être investi jusqu’à 15% en avances en compte courant
3. Est contraint de détenir des produits dérivés

a) 1 uniquement
b) 2 et 3
c) 1 et 2
d) 1,2 et 3
542 Un OPCI, Organismes de Placement Collectif Immobilier, doit avoir au moins : c

a) 50% de son actif investi en indices boursiers


b) 50% de son actif investi en biens immobiliers
c) 60% de son actif investi en biens immobiliers
d) 60% de son actif investi en indices boursiers
543 Un fonds ARIA est : a

a) Un fonds Agrée à Règles d’Investissement Allégées


b) Un fonds à Activités Régulées d’Investissement en Actions
c) Un fonds Agrée Régulé d’Investissement Assuré
d) Un fonds à Activités Régulées d’Investissement Allégée
544 Les OPCVM Indiciels : c
1. Cherchent toujours à ce que leurs valeurs liquidatives enregistrent des variations opposées aux
évolutions d’un indice boursier
2. Cherchent à ce que leurs valeurs liquidatives suivent les évolutions d’un indice boursier
lorsqu’ils sont cotés.
3. Sont aussi appelés parfois « trackers ».

a) 1 et 2
b) 1,2 et 3
c) 2 et 3
545 Un OPCVM dit « fonds de fonds » est un OPCVM qui investit : c

a) Le plus rapidement possible


b) Dans les entreprises de la plus mauvaise qualité
c) Directement dans des parts d’OPCVM
546 Dans le cadre de la gestion de portefeuille, un fonds à formule : b

a) Utilise une formulation simple pour ses déclarations fiscales


b) Utilise une formule mathématique pour établir sa gestion et sa performance
c) Utilise une formule mathématique pour lisser ses valeurs liquidatives
547 Un OPCVM à compartiments est un organisme de placement : a

a) qui est composé d’un portefeuille à capitalisation pure et d’un autre à distribution pure
b) qui est composé d’investisseurs distincts; actionnaires et obligataires
c) qui est en même temps une SICAV monétaire et un FCP
548 La crise des « subprimes » est une crise liée au risque : a
1. De crédit
2. Opérationnel
3. De liquidité
4. De contrepartie

a) 1 et 3 et 4 seulement
b) 1 et 2 et 3 et 4
c) 1 et 3 seulement
d) 1 seulement
549 Un OPCVM « Obligations et autres titres de créances en Euro : » d
1. Doit en permanence être investi majoritairement en produits de taux d’intérêt de la zone Euro.
2. Est soumis à des obligations ponctuelles de détenir des titres de créances
3. Ne peut pas détenir plus de 10% de son actif en actions
4. Doit investir au moins 10% de son actif sur des marchés actions de pays de la zone Euro

a) 2 et 3
b) 1 et 4
c) 1 et 2
d) 1 et 3
550 Un OPCVM « Monétaires à vocation internationale » a

a) Doit avoir une sensibilité comprise entre 0 et 0,5


b) Doit avoir une sensibilité comprise en 1 et 1,5
c) Ne peut pas être investi en titres de créances de la zone Euro
d) Peut détenir des actions
551 Un fonds investi uniquement dans des titres d’entreprises spécialisées dans le développement de b
sources d’énergie alternatives (à l’exception de tout autre type de stratégie) est :
1. Un fonds à gestion thématique
2. Un fonds à gestion alternative
3. Un fonds à gestion indicielle

a) 2 et 3
b) 1 uniquement
c) 1 et 2
552 Un fonds qui consacre une large part de son actif à des actions d’entreprises Gazières Russes : c
1. Fait de la gestion thématique
2. Fait de la gestion géométrique
3. Fait de la gestion sectorielle

a) 1 et 2
b) 2 et 3
c) 1 et 3
553 Un OPCVM détenant 70% de son actif dans des actions de très grandes entreprises : d

a) Est un fonds « mid caps »


b) Est un fonds « blue caps »
c) Est un fonds « mid chips »
d) Est un fonds « blue chips » ou « large caps »
554 Une gestion ISR est avant tout basée sur : c

a) Les Indices Spécifiques Régionaux


b) Des critères de performance de la zone géographique concernée
c) L’Investissement Socialement Responsable
555 On dira d’une gestion qu’elle est active lorsque : c

a) Elle ne porte que sur l’actif du fonds


b) Le gérant vérifie chaque jours ses investissements.
c) Le gérant prend des positions différentes de celles de l’indice de référence
556 La gestion alternative vise : a
a) un rendement absolu, décorrélé d’un indice actions
b) la réplication des performances d’un indice actions.
c) à minimiser le rendement
557 Les ventes à découvert : c
1. Consistent à vendre au comptant des titres sans couverture
2. Consistent à vendre à terme des titres que l’on ne possède pas
3. Sont interdites pour une gestion alternative
4. Permettent de retirer des gains d’une baisse des cours

a) 2 et 3
b) 1 et 2
c) 2 et 4
d) 1 et 3
558 En France, le marché boursier est : b

a) A Nanterre depuis sa délocalisation du palais Brognart en 1987


b) Un système informatique de cotation en continu
c) A Paris au palais Brognart, place de la bourse
559 Un marché réglementé peut être géré par : B

a) Aucune des deux réponses


b) Une entreprise de marché
c) Les deux réponses à la fois
d) Un prestataire de service d’investissement
560 Sur un marché de gré à gré, les transactions : C

a) Sont toujours standardisées


b) S’effectuent toujours dans un cadre réglementaire strict
c) S’effectuent directement entre l’acheteur et le vendeur
561 Sur un marché au comptant la livraison des biens échangés et leur paiement ont lieu : A

a) Au plus tard à J+2


b) Immédiatement
c) Le dernier jour de bourse du mois
562 Les marchés à terme permettent d’effectuer une transaction : C

a) Aujourd’hui, au prix de marché


b) Ultérieurement, au prix de marché de cette date
c) Ultérieurement, à un prix fixé aujourd’hui
563 Un marché réglementé d’instruments financiers est un système multilatéral qui assure ou facilite la B
rencontre d’intérêts acheteurs et vendeurs exprimés par des tiers sur des instruments financiers :

a) De manière à comparer les avoirs de chacun


b) De manière à conclure des transactions sur ces instruments
c) Aucune des deux propositions
564 L'entreprise de marché établit les règles du marché. Ces règles fixent, entre autres : B
1. Les conditions d’admission des membres du marché
2. Les conditions d’admission aux négociations des instruments financiers
3. Les conditions de suspension des négociations d'un ou plusieurs instruments financiers

a) 1 Uniquement
b) 1, 2 et 3
c) 2 et 3
565 Dans le cas d’un ordre d’achat avec SRD : B
a) Le négociateur diffère l’exécution de l’ordre sur le marché jusqu’au dernier jour de bourse du
mois
b) Le négociateur exécute l’ordre au comptant sur le marché, mais diffère le paiement par
l’acheteur et la livraison au compte de ce dernier jusqu’au dernier jour de bourse du mois
c) Le négociateur exécute l’ordre au comptant sur le marché, effectue la livraison sur le compte
de l’acheteur, mais diffère le paiement par ce dernier jusqu’au dernier jour de bourse du mois
566 Dans le cas d’un ordre d’achat ou de vente avec SRD, le donneur d’ordres doit disposer à son compte A
d’un montant couvrant :

a) Au minimum 20% de la position


b) Au minimum 50% de la position
c) Au maximum 50% de la position
567 Un système multilatéral de négociation peut être géré par : A
1. Une entreprise de marché
2. Un prestataire de service d’investissement
3. L’Autorité des Marchés Financiers

a) 1 ou 2
b) 1 ou 3
c) 1 uniquement
568 En cas de manquements importants aux règles établies au sein d’un système multilatéral de B
négociation, l’entreprise de marché ou le prestataire de service d’investissement qui gère ce système
doit immédiatement :

a) Prendre elle-même toutes les dispositions nécessaires aux sanctions et/ou exclusion de la
personne en cause
b) Informer l’Autorité des Marchés financiers de ces manquements
c) Informer l’émetteur des titres concernés par ces manquements
569 Les valeurs négociées sur le marché libre : C

a) Ont fait l’objet d’une procédure d’admissions similaires aux marchés réglementés
b) N’ont pas fait l’objet d’une procédure d’admission mais leurs émetteurs sont soumis à des
obligations de diffusion d’information
c) N’ont pas fait l’objet d’une procédure d’admission et leurs émetteurs ne sont pas soumis à des
obligations de diffusion d’information
570 Les opérations de règlement livraison sur le marché libre : B

a) bénéficient de la garantie d’une chambre de compensation


b) ne bénéficient pas de la garantie d’une chambre de compensation
c) bénéficient de la garantie d’une chambre de compensation gérée par l’AMF
571 Les internalisateurs systématiques publient un prix ferme en ce qui concerne les actions admises aux B
négociations sur un marché réglementé pour lesquelles ils ont décidé de remplir cette fonction :

a) Oui toujours et pour toutes les actions


b) Uniquement pour les actions pour lesquelles il existe un marché liquide
c) Uniquement pour les actions pour lesquelles il n’existe pas de marché liquide
572 Un internalisateur systématique est un prestataire de services d’investissement qui, de façon organisée, C
fréquente et systématique, négocie pour compte propre en exécutant les ordres de ses clients :

a) Dans le cadre d’un marché réglementé


b) Dans le cadre d’un système multilatéral de négociation
c) En dehors d’un marché réglementé
573 Lorsqu’un client transmet à un intermédiaire un ordre sur un instrument financier admis à la A
négociation, cet ordre pourra être exécuté :
1. sur un marché réglementé
2. Sur un système multilatéral de négociation
3. En internalisation systématique

a) 1, 2 et 3
b) 1 uniquement
c) 1 et 3
d) 1 et 2
574 L’obligation de publication de prix s’applique : B

a) A tous les internalisateurs systématiques


b) Aux internalisateurs systématiques qui effectuent des transactions ne dépassant pas la taille
standard de marché
c) Aux internalisateurs systématiques qui effectuent des transactions supérieures à la taille
standard de marché
575 Dans le carnet d’ordre, ceux-ci sont classés : b
1. Par taille
2. Par limite de prix
3. Chronologiquement

a) 1 et 2 et 3
b) 2 et 3 uniquement
c) 1 uniquement
d) 2 uniquement
576 Les ordres de bourse sont exécutés sur les marchés par application d’une règle de priorité : d

a) Selon le temps
b) Selon le prix
c) Selon le temps d’abord, le prix ensuite
d) Selon le prix d’abord, le temps ensuite
577 Selon les libellés des ordres, il est possible de privilégier : d
1. La rapidité d’exécution au risque d’un prix plus élevé à l’achat et plus bas à la vente
2. Le prix quitte à retarder l’exécution

a) ni la réponse 1 ni la réponse 2
b) 2 uniquement
c) 1 uniquement
d) 1 ou 2
578 Si l’acheteur (le vendeur) ne définit pas de prix maximal (minimal) lorsqu’il passe un ordre, il s’agit : a

a) D’un ordre au marché


b) D’un ordre à cours limité
c) D’un ordre indexé
579 Un ordre « à cours limité » est : c

a) Exécuté immédiatement, éliminé sinon


b) Exécuté s'il y a des contreparties offrant un cours inférieur à la limite pour un achat ou
supérieur pour une vente, éliminé sinon
c) Exécuté s'il y a des contreparties offrant un cours inférieur à la limite pour un achat ou
supérieur pour une vente, introduit dans le carnet d’ordres sinon
580 Un ordre « indexé » est un ordre d’achat ou de vente de titres : b

a) A un cours indexé à un autre titre


b) A un cours limité qui suit en permanence la meilleure demande ou la meilleure offre sur le
Carnet d’ordres
c) A un cours qui suit en permanence l’indice de marché correspondant
581 Les ordres « à déclenchement » ou ordres « stop » permettent à un investisseur de se porter acheteur c
ou vendeur :
a) Immédiatement au cours de marché
b) A la clôture du marché uniquement
c) A partir du moment où le cours touche un niveau déterminé
582 Un ordre « à plage de déclenchement » : c

a) Ne comporte qu’une seule limite


b) Peut comporter une ou deux limites
c) Comporte nécessairement deux limites
583 Les ordres de bourse peuvent être valables : c
1. Pour la journée de négociation en cours
2. Pour une période spécifique ou jusqu’à une certaine heure de la journée de négociation
3. Jusqu’à une date déterminée

a) 1 et 2
b) 1
c) 1,2 et 3
584 Si un ordre « exécuté ou éliminé » ne peut être exécuté dans sa totalité, alors : b

a) Le solde de l'ordre reste sur le marché


b) Le solde de l’ordre est éliminé
c) L'ordre entier est éliminé
585 Si seule la quantité minimale spécifiée dans un ordre « à quantité minimale » est immédiatement et a
totalement exécutée :

a) Le solde de l'ordre reste dans le carnet d’ordre


b) Le solde de l’ordre est éliminé
c) L'ordre entier est éliminé
586 Suite à l’exécution de la quantité dévoilée d’un ordre « à quantité cachée », l’ordre est immédiatement b
renouvelé :

a) Avec le même positionnement


b) Avec un positionnement postérieur à celui des ordres existants à la même limite de prix
c) Avec un positionnement antérieur à celui des ordres existants à la même limite de prix
587 Les membres du marché peuvent exécuter des transactions en dehors du carnet d’ordres central c
pendant la séance ou en dehors de la séance, sous réserve de respecter certaines conditions :

a) Sur le nombre de titres


b) Sur le prix
c) Sur le nombre de titres et le prix
588 Sur le marché des actions françaises, les ordres sont effectués : a

a) de 9h30 à 17h35 si on tient compte du fixing de clôture


b) à toute heure grâce au système de cotation assistée en continu (CAC)
c) uniquement entre 9h30 et 17h30 et rien au-delà
589 L’entreprise de marché est habilitée, si elle l’estime nécessaire, à interrompre provisoirement les b
cotations :

a) Faux, seule l’AMF peut interrompre le marché


b) Vrai dans tous les cas
c) Vrai après validation du ministre des finances
d) Vrai après validation de l’AMF
590 L’Entreprise de Marché d’Euronext Compétente peut suspendre la négociation d’un titre afin : a

a) d’empêcher un fonctionnement erratique du marché


b) de permettre la conclusion d’une transaction illicite
c) de permettre l’achat des autres titres du même secteur
591 L’Entreprise de Marché d’Euronext Compétente peut annuler de son propre chef des transactions déjà b
enregistrées s’il lui apparaît qu’elles ont été effectuées :
1. En infraction à ses règles, en particulier à celles relatives au fonctionnement d’un marché
équitable, ordonné et efficace
2. Dans des conditions incorrectes de négociation
3. A la suite d’une erreur matérielle manifeste

a) 2 et 3
b) 1,2 et 3
c) 3
592 Un ordre « à seuil de déclenchement » : b

a) Permet de maitriser le prix d’exécution


b) Assure une exécution optimale mais ne permet pas d’en maitriser le prix
c) Assure une exécution immédiate
593 Les obligations de transparence sont : b

a) Post négociation uniquement


b) Les deux réponses à la fois
c) Pré négociation uniquement
d) Aucune des deux réponses
594 Les obligations de transparence applicables aux transactions sur actions admises à la négociation sur un c
marché réglementé sont applicables lorsque ces transactions :
1. Passent par des marchés réglementés
2. Passent par des systèmes multilatéraux de négociation
3. Sont effectuées par des internalisateurs systématiques
4. Se déroulent en dehors de ces plates-formes de négociation

a) 2 et 3
b) 1,2 et 3
c) 1,2,3 et 4
d) 1
595 Les exigences de transparence sont conçues pour promouvoir la concurrence entre plates-formes de b
négociation sur le plan des services d'exécution, afin de :

a) Rigidifier le mécanisme de détermination des prix


b) Elargir le choix des investisseurs et abaisser le coût des transactions
c) Favoriser la fragmentation de la liquidité
596 Dans certaines circonstances, précisées par le règlement de l’AMF, les autorités compétentes peuvent b
accorder :
1. Des dérogations aux obligations de transparence pré-négociation
2. Le report de certaines obligations de transparence post-négociation

a) 1 uniquement
b) 1 ou 2 selon les cas
c) 2 uniquement
597 Dans un système dirigé par les ordres, les systèmes multilatéraux ont l’obligation de publier : b

a) La meilleure limite à l’achat et à la vente, et la quantité de titres et nombre d’ordres


correspondants
b) Les cinq meilleures limites à l’achat et à la vente, et la quantité de titres et nombre d’ordres
pour chaque limite
c) Les dix meilleures limites à l’achat et à la vente, et la quantité de titres et nombre d’ordres pour
chaque limite
598 Dans un système dirigé par les prix, les systèmes multilatéraux ont l’obligation de publier : a
a) le meilleur prix à l’achat et à la vente de chaque teneur de marché, ainsi que les volumes
correspondant à ces prix
b) Les trois meilleures limites à l’achat et à la vente, et la quantité de titres et nombre d’ordres
pour chaque limite
c) Les cinq meilleures limites à l’achat et à la vente, et la quantité de titres et nombre d’ordres
pour chaque limite
599 Les opérateurs de marché ont l’obligation de communiquer les informations relatives : c

a) aux transactions qu’ils ont effectuées de gré à gré uniquement


b) à aucune transaction
c) à toutes les transactions
600 L’entreprise de marché a l’obligation de publier les transactions portant sur les actions admises aux c
négociations sur un marché réglementé qu’elle gère :

a) Dans les deux jours ouvrés suivant la transaction, quel que soit le type et la taille de la
transaction
b) En temps réel, quel que soit le type et la taille de la transaction
c) En temps réel, sauf si la transaction porte sur des tailles élevées par rapport à la taille normale
de marché
601 Les négociateurs membres du marché exécutent les ordres d’achat et de vente : c

a) Pour le compte de clients uniquement


b) Pour leur propre compte uniquement
c) L’un et/ou l’autre selon leur agrément
602 Les compensateurs se chargent : c

a) De l’exécution des ordres d’achat et de vente


b) De l’exécution des ordres d’achat et de vente et des opérations de règlement / livraison
c) des opérations de règlement / livraison une fois que les ordres ont été exécutés par les
négociateurs
603 Lorsqu’ils ne sont pas membres d’Euronext, les intermédiaires financiers qui collectent des ordres b
auprès de leurs clients :

a) Exécutent ces ordres sur le marché


b) Transmettent les ordres à un négociateur
c) Transmettent les ordres à un valorisateur
604 Un teneur de marché est un établissement financier qui joue le rôle : a
1. D'animateur sur le marché d'un actif donné
2. D'autorité sur le marché d'un actif donné

a) 1
b) 1 ou 2 selon le cas
c) 2
605 Un apporteur de liquidité est : b

a) un système multilatéral non membre d'Euronext


b) un négociateur membre d'Euronext
c) un système multilatéral membre d'Euronext
d) un négociateur non membre d'Euronext
606 Lorsque l’entreprise de marché d’Euronext compétente considère qu’il est dans l’intérêt du marché b
d’améliorer la liquidité d’un instrument financier admis, elle peut :

a) Intervenir directement sur le marché pour améliorer la liquidité de cet instrument


b) conclure des contrats avec un ou plusieurs membres acceptant de jouer le rôle d’apporteur de
liquidité pour cet instrument
c) Faire appel à d’autres marchés pour améliorer la liquidité de cet instrument
607 Les agences de notation : c

a) Assurent la compensation du marché


b) Sont des autorités de marché au même titre que l'AMF
c) Évaluent la qualité de crédit des émetteurs
608 Les diffuseurs de données financières : c

a) Se procurent les données sous forme électronique auprès d’autres entreprises


b) Saisissent les données manuellement
c) L’un ou l’autre selon le type de données et leur disponibilité
609 Par données financières, on entend : c

a) Des données descriptives des instruments financiers cotés uniquement


b) Des données relatives aux places boursières et aux marchés uniquement
c) Tous types de données relatives aux instruments, aux émetteurs et aux marchés
610 Les données financières sont : b
1. Mises à disposition des clients en consultation
2. Diffusées sous forme électronique au format le plus adapté pour les besoins des clients

a) 2
b) 1 ou 2
c) 1
611 Les qualités attendues pour les données financières sont : a
1. Facilité d'intégration dans le système d'information du client
2. Rapidité de mise à disposition
3. Possibilité de sélectionner les données voulues

a) 1,2 et 3
b) 2
c) 1 et 2
612 Le rôle des diffuseurs de données financières est de : c

a) D’atténuer la portée des données financières


b) Diffuser auprès de l’AMF les données financières
c) Acquérir, centraliser, traiter et diffuser des données financières destinées aux investisseurs
613 Les négociateurs peuvent choisir d’être également compensateurs de manière à : a

a) Prendre eux-mêmes en charge l’ensemble des opérations


b) Limiter leur activité à l’exécution des ordres
c) Sous-traiter les opérations de règlement / livraison
614 Les termes de titres financiers nominatifs purs s’entendent des titres financiers nominatifs : d

a) dont l’administration est confiée à l’AMF


b) dont l’administration est confiée par leur titulaire à un teneur de compte conservateur.
c) Aucune des trois propositions précédentes
d) dont l’administration est confiée par leur titulaire à l’émetteur lui-même.
615 Les termes de titres financiers nominatifs administrés s’entendent des titres financiers : a

a) nominatifs dont l’administration est confiée par leur titulaire à un teneur de compte
conservateur
b) dont l’administration est confiée par leur titulaire à l’émetteur lui-même.
c) qui permettent de fausser le libre jeu de l’offre et de la demande
d) dont l’administration est confiée à l’AMF
616 Quels intervenants sur les marchés financiers doit être titulaire d’une carte professionnelle, délivrée par c
l’AMF ou le prestataire de services d’investissement :
1. Un négociateur ;
2. Un analyste financier ;
3. Un compensateur ;
4. Un client final ;

a) 1 uniquement
b) 4 uniquement
c) 1, 2 et 3 uniquement
d) 2 et 3 uniquement
617 SWIFT est : b

a) Un dépositaire central
b) Un transporteur de message
c) Un conservateur
d) Une chambre de compensation
618 SWIFT assure la non-répudiation des échanges : c

a) Faux
b) Vrai uniquement si les contreparties sont de l’Union Européenne
c) Vrai dans tous les cas
619 La fonction de dépositaire central consiste notamment à : c
1. enregistrer dans un compte spécifique l’intégralité des instruments financiers composant
chaque émission admise à ses opérations
2. ouvrir des comptes courants à ses adhérents que sont les teneurs de comptes conservateurs ;
3. assurer la circulation des instruments financiers entre ses adhérents par virement de compte à
compte.

a) 1
b) 2
c) 1, 2 et 3
620 Un dépositaire central est une société commerciale : b
1. à qui l’AMF peut demander toute information complémentaire ;
2. pour laquelle L’AMF s’assure que les règles de fonctionnement qui lui sont soumises sont
conformes aux dispositions du règlement général AMF ;
3. qui n’est pas surveillée par l’AMF.

a) 3 uniquement
b) 1 et 2
c) 1 uniquement
621 Un dépositaire central doit notamment : a
1. vérifier que le montant total des émissions admises à ses opérations est égal à la somme des
instruments financiers enregistrés aux comptes courants de ses adhérents ;
2. prendre toutes dispositions nécessaires pour permettre l’exercice des droits attachés aux
instruments financiers enregistrés en comptes courants

a) 1 et 2
b) 2
c) 1
622 Les dépositaires centraux d’instruments financiers doivent mettre en place des systèmes d’évaluation a
et de gestion des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme :

a) Oui
b) non car c’est l’AMF qui les met en place
c) non car il n’existe pas de gestion des risques de blanchiment de capitaux
d) non car c’est l’investisseur final qui les met en place
623 Le dépositaire : c
1. désigne un responsable de la fonction dépositaire ;
2. n’a pas obligation de désigner un responsable de la fonction dépositaire ;
3. informe l'AMF de l'identité de cette personne.
4. Doit signaler à l’AMF qu’il ne désigne pas de responsable de la fonction dépositaire

a) 1
b) 2
c) 1 et 3
d) 2 et 4
624 Le teneur de compte-conservateur : c
1. conserve les instruments financiers
2. comptabilise les instruments financiers
3. contrôle les mouvements des instruments financiers dans les comptes des titulaires
4. assure le suivi des droits attachés aux titres financiers

a) 1
b) 1 et 2
c) 1, 2, 3 et 4
625 En cas de négociations effectuées sur un marché réglementé ou sur un système multilatéral de d
négociation, l’acheteur bénéficie de la propriété des droits financiers détachés (coupon, dividende) :

a) 2 jours calendaires après l’exécution de l’ordre ;


b) 2 jours ouvrés après l’exécution de l’ordre ;
c) 7 jours calendaires après l’exécution de l’ordre.
d) dès le jour de l’exécution de l’ordre ;
626 Le teneur de compte-conservateur : a

a) organise ses procédures internes de manière à garantir que tout mouvement affectant la
conservation d’instruments financiers pour compte de tiers qu’il a en charge est justifié par une
opération régulièrement enregistrée dans un compte de titulaire ;
b) peut, si nécessaire, transférer la propriété des instruments financiers sans l’accord exprès de
leur titulaire.
c) peut faire usage des instruments financiers inscrits en compte et des droits qui y sont attachés
627 Le teneur de compte conservateur : a
1. l’obligation de restituer les instruments financiers inscrits en compte dans ses livres ;
2. est tenu d’informer dans les meilleurs délais le titulaire de compte des éléments nécessaires à
l’établissement de sa déclaration fiscale.

a) 1 et 2
b) 1
c) 2
628 Un compte individuel ordinaire d’instruments financiers peut être débiteur en date de règlement- b
livraison de tout instrument cédé.

a) Vrai si la situation de débit n’excède pas une journée


b) Faux, le teneur de compte conservateur établit les procédures permettant de faire ressortir
toute négociation ou cession susceptible de rendre un solde de compte d'instruments
financiers débiteur en date de règlement-livraison ainsi que toute procédure prévenant
l’avènement d’un tel solde débiteur.
c) Aucune des propositions précédentes
d) Vrai si le débit n’excède pas un million d’euros
629 Afin d’éviter un défaut de livraison, le teneur de compte peut : c

a) Refuser de dénouer l’opération


b) Utiliser les titres enregistrés sur le compte d’un titulaire tiers
c) Emprunter des titres
630 Le teneur de compte conservateur se dote de procédures permettant de lutter contre le blanchiment a
de capitaux et le financement du terrorisme :

a) Vrai
b) Faux car c’est le dépositaire central et l’AMF qui s’en charge
c) Faux car c’est l’AMF qui s’en charge
d) Faux car c’est l’investisseur final sous contrôle de l’AMF qui s’en charge
631 Le dépositaire établit avec l'OPC ou, le cas échéant, sa société de gestion, une convention écrite qui b
comporte notamment les clauses suivantes :
1. Une description des procédures, y compris celles relatives à la conservation, qui seront
adoptées pour chaque type d'actif de l'OPC confié au dépositaire
2. Une description des moyens et des procédures par lesquels le dépositaire aura accès à toutes
les informations dont il a besoin pour s'acquitter de ses missions
3. Une description des procédures au moyen desquelles le dépositaire peut s'informer de la
manière dont l'OPC mène ses activités et évaluer la qualité des informations obtenues,
notamment par des visites sur place

a) 1 et 2
b) 1, 2 et 3
c) 1 uniquement
d) 2 et 3
632 La chambre de compensation : c

a) Est responsable du fonctionnement du système multilatéral de négociation (SMN)


b) Sert de dépositaire pour la majorité des PSI
c) Transfère les ordres bruts vers le système de règlement-livraison
633 En cas d’absence de dénouement total de la cession dans un délai fixé par les règles de la chambre de c
compensation ou du système de règlement et de livraison :

a) l’enregistrement comptable est annulé mais les droits de propriété conservés.


b) les droits de propriété sont conservés.
c) l’enregistrement comptable et les droits de propriété sont annulés.
634 Parmi les employés d’une chambre de compensation, qui est tenu au secret professionnel ? b

a) les dirigeants uniquement ;


b) les dirigeants, les salariés et les préposés des chambres de compensation.
c) les dirigeants et les salariés
635 A l’initiation d’une transaction, la chambre de compensation demande : a

a) Le versement d’un dépôt de garantie et la déclaration des caractéristiques de la transaction.


b) Le versement d’une marge uniquement
c) La déclaration des caractéristiques de la transaction uniquement
636 Les chambres de compensation assurent : a
1. la surveillance des engagements et positions des adhérents;
2. l'appel des marges ;
3. le cas échéant, la liquidation d'office des positions.

a) 1, 2 et 3
b) 2
c) 1
637 Les adhérents aux chambres de compensation : c

a) peuvent opposer le secret professionnel à toute demande de la chambre de compensation


b) Aucune des propositions
c) Doivent impérativement répondre aux demandes formulées par celles-ci aux fins d'assurer la
surveillance des positions
638 Les membres adhérents d'une chambre de compensation s'engagent à remplir, vis-à-vis de la chambre a
de compensation, l'intégralité des obligations découlant des transactions inscrites au nom des tiers
dans leurs comptes.

a) Le paiement des sommes dues à ce titre ne peut être différé.


b) Le paiement des sommes dues à ce titre peut être différé 7 jours ouvrés.
c) Le paiement des sommes dues à ce titre peut être différé 7 jours calendaires
639 Dans la liste suivante, seuls peuvent avoir la qualité de participants d'un système de règlements d
interbancaires ou d'un système de règlement et de livraison d'instruments financiers :
1. Les établissements de crédit et les entreprises d'investissement ayant leur siège social ou, à
défaut de siège social, leur direction effective dans un État membre de la Communauté
européenne ou dans un autre État partie à l'accord sur l'Espace économique européen ;
2. Les institutions ou entreprises mentionnées à l'article L. 518-1 ;
3. Les adhérents d'une chambre de compensation mentionnés à l'article L. 440-2
4. Les particuliers

a) 1 uniquement
b) 4 uniquement
c) 2 et 4
d) 1, 2 et 3 uniquement
640 Dans la phase de règlement-livraison, le paiement contre paiement (PvP) concerne : b

a) Le marché des obligations


b) Le marché des changes
c) Le marché des actions
641 Le règlement européen EMIR contraint les contreparties financières ou non-financières à enregistrer c
leurs opérations de gré-à-gré auprès :

a) D'une chambre de compensation


b) Du Trésor Public
c) D'un référentiel central
642 Le règlement européen EMIR concerne : b

a) Uniquement les contreparties non-financières


b) Les contreparties financières et non-financières
c) Uniquement les contreparties financières
643 Afin d’identifier au plus tôt tout désaccord entre les parties lors d’une transaction concernant un a
produit dérivé de gré à gré :

a) Les intervenants réconcilient les portefeuilles


b) Les intervenants passent par le dépositaire central
c) Les intervenants passent par une chambre de compensation pour toutes les transactions
644 A compter de la clôture de chaque exercice de l’OPC, le dépositaire doit notamment attester de b
l’existence des actifs dont il assure la tenue de compte conservation :

a) Dans un délai maximum de douze semaines


b) Dans un délai maximum de sept semaines
c) Dans un délai maximum de trois mois
d) Dans un délai maximum de trois semaines
645 Quels sont, parmi les agents économiques suivants, ceux qui émettent des obligations sur les marchés a
financiers ?
1. Les collectivités publiques
2. Les Etats
3. Les entreprises

a) 1, 2 et 3
b) 2 et 3
c) 1 et 2
646 Sur quel marché l’émission de nouveaux titres financiers par un émetteur est-elle réalisée ? b

a) Le marché gris
b) Le marché primaire
c) Le marché secondaire
647 Le fait pour un émetteur de confier le placement de titres financiers à un groupe de plusieurs banques a
représentées par un chef de file est appelé :

a) Syndication
b) Adjudication
c) Titrisation
648 De quelle autorité le prospectus établi préalablement à une offre au public ou à une admission de titres B
aux négociations sur un marché règlementé doit-il faire l’objet d’un visa ?

a) Le Ministère des Finances


b) L’AMF (ou autorité compétente d’un autre Etat européen le cas échéant)
c) La Banque de France
649 Dans le cadre d’une émission de titres financiers, les services de placement peuvent être notamment : A

a) La prise ferme
b) La vente ferme
c) La garantie ferme
650 Les contrôleurs légaux (commissaires aux comptes) de l’émetteur doivent-ils attester que les C
informations prévisionnelles, estimées ou pro forma, éventuellement présentées dans le prospectus
ont été adéquatement établies ?

a) Non car ces informations ne font pas partie des comptes annuels
b) Non car ces informations sont de la responsabilité de l’émetteur
c) Oui
651 Dans le cadre d'une émission de titres, le sondage de marché permet de connaître : A

a) Le prix et le volume que les investisseurs sont susceptibles d'acheter


b) La pratique du sondage n'existe pas sur les marchés financiers
c) Le prix et le volume que les investisseurs sont susceptibles de vendre
652 Les communications à caractère promotionnel concernant une offre au public ou une admission de B
titres aux négociations sur un marché règlementé doivent-elles être :
1. Communiquées à l’AMF préalablement à leur diffusion
2. Communiquées à l’AMF lors de leur diffusion
3. Attirer l’attention sur la rubrique « facteurs de risques » du prospectus.

a) 1
b) 1 et 3
c) 2 et 3
653 Lorsque ses titres sont admis aux négociations sur un marché réglementé, un émetteur doit diffuser au D
public:
1. Les rapports financiers annuels
2. Les rapports financiers semestriels
3. D’autres informations réglementées.

a) 2 et 3 uniquement
b) 1 et 3 uniquement
c) 1 uniquement
d) 1, 2 et 3
654 Dans quel cas les dirigeants d’une société cotée sur un marché règlementé doivent-ils faire une A
déclaration à l’AMF lorsqu’ils acquièrent ou cèdent des actions de cette société ?

a) Si le montant de ces opérations excède 5 000 € par an


b) Si le montant de ces opérations excède 3 000 € par an
c) Quelque soit le montant de l’opération
655 Une personne physique ou morale qui franchit, seule ou de concert, le seuil de 2 % de détention des a
actions ou des droits de vote d’une société dont les actions sont admises aux négociations sur un
marché règlementé doit en informer :

a) Aucune des deux


b) Les deux
c) L’AMF
d) La société émettrice des titres
656 Une personne physique ou morale doit, en cas de franchissement de certains seuils de détention des a
actions ou des droits de vote d’une société dont les actions sont admises aux négociations sur un
marché règlementé, déclarer publiquement ses objectifs vis-à-vis de la société concernée. Ces seuils
sont :

a) 10%, 25% et 50% uniquement


b) Tous les 5% entre 5% et 30%
c) 5% et 10% uniquement
657 Dans le cadre d’un placement privé, l’obligation de publier un prospectus visé par l’AMF : C

a) S’applique de manière identique au placement public


b) Est retardé de 30 jours ouvrés
c) Ne s’applique pas
658 Le financement participatif permet aux entreprises : C

a) De participer au prix de l’entreprise innovante


b) De profiter d’une participation de l’Etat sous forme de subvention
c) De se financer directement auprès d’un grand nombre de personnes via des sites internet
spécialisés
659 Lors de l’introduction en bourse d’une société, quelle est l’origine des actions mises à la disposition du A
public ?
1. Ce sont des actions nouvelles émises par la société
2. Ce sont des actions existantes cédées par les actionnaires.

a) 1 et/ou 2
b) 1 uniquement
c) 2 uniquement
660 Lors d’une fusion de deux sociétés, la société acquise peut devenir : C

a) Aucune des deux propositions


b) Une filiale de l’acquéreur uniquement
c) Les deux propositions à la fois
d) Etre l’objet d’une fusion absorption uniquement
661 Une OPA est une : A

a) Offre de rachat d’action aux actionnaires par une entreprise tierce


b) Opération publique amicale
c) Opération publique anticipée
d) Offre d’échange d’action aux actionnaires par une entreprise tierce
662 L’initiateur d’une offre publique peut stipuler certaines conditions de réalisation à son offre. B
Lesquelles ?
1. Obtention d’un pourcentage minimal du capital de la société visée
2. Obtention de l’autorisation de l’assemblée générale de ses actionnaires (en cas de paiement par
titres)
3. Obtention de l’accord de son conseil d’administration ou de surveillance
4. Obtention de l’accord des autorités de la concurrence

a) 1 seulement
b) 1, 2 et 4 seulement
c) 2, 3 et 4 seulement
d) 1 et 2 seulement
663 Une offre publique est qualifiée d’amicale lorsque : A

a) Le conseil d’administration de la cible recommande aux actionnaires d’apporter leurs titres à


l’offre.
b) L’initiateur de l’offre et la cible ont des administrateurs communs
c) L’AMF considère que l’ensemble des procédures requises sont respectées
664 A quelle date la période d’offre commence-t-elle lors d’une offre publique ? C

a) Lors de la déclaration de conformité de l’offre par l’AMF


b) Lors du dépôt par l’initiateur du projet d’offre à l’AMF
c) Lorsque l’AMF publie les principales dispositions de l’offre
665 Dans le cadre d’une offre publique d’achat, la durée de l’offre est de : D

a) 5 à 25 jours
b) 5 jours
c) 25 jours
d) 25 à 35 jours
666 Quel est le niveau de détention du capital ou des droits de vote d’une société à partir duquel une D
personne doit obligatoirement déposer un projet d’offre portant sur la totalité des titres du capital de
ladite société ?

a) 50 %
b) 95 %
c) Un tiers
d) 30 %
667 A partir de quel pourcentage de détention des droits de vote d’une société un actionnaire (ou un d
groupe d’actionnaires) majoritaire peut-il déposer un projet d’offre publique de retrait (OPR) sur les
titres qu’il ne détient pas ?

a) Les deux tiers


b) 90 %
c) 50 %
d) 95 %
668 Suite à une offre publique, l’actionnaire (ou le groupe d’actionnaires) majoritaire d’une société peut C
demander un retrait obligatoire, c’est-à-dire se voir transférer contre indemnisation des minoritaires les
titres non présentés, lorsque ces derniers représentent moins de :

a) 3 % du capital ou des droits de vote de la société


b) 10 % du capital ou des droits de vote de la société
c) 5 % du capital ou des droits de vote de la société
669 Dans quels cas la procédure simplifiée d’offre publique s’applique-t-elle ? : c
1. Offre émise par un actionnaire détenant déjà 10 % au moins du capital ou des droits de vote de
la société visée
2. Offre de rachat par une société de ses propres actions
3. Offre émise par un actionnaire détenant déjà la moitié au moins du capital ou des droits de
vote de la société visée
4. Offre portant sur des actions à dividendes prioritaires.
a) 1, 2 et 3
b) 1 et 2
c) 2, 3 et 4
d) 1, 2 et 4
670 A qui sont attribués les droits préférentiels de souscription lors d’une augmentation de capital en b
numéraire ?

a) Uniquement aux actionnaires existants désirant souscrire à l’opération


b) A tous les actionnaires existants
c) Uniquement aux investisseurs non actionnaires désirant souscrire à l’opération
671 Qu’est-ce qu’un split ? d

a) La scission d’une société


b) Une option de souscription d’actions
c) Une technique de défense anti-OPA
d) La division du nominal d’une action
672 Le bilan d’un groupe de sociétés est dit : c

a) Agrégé
b) Cumulé
c) Consolidé
673 Qu’est-ce qu’un actif ? a

a) Un actif est un élément identifiable du patrimoine ayant une valeur économique positive pour
l’entité, c’est-à-dire un élément générant une ressource que l’entité contrôle du fait
d’évènements passés et dont elle attend des avantages économiques futurs.
b) Un actif est un passif certain dont l'échéance et le montant sont fixés de façon précise.
c) Un actif est un élément du patrimoine ayant une valeur économique négative pour l'entité,
c'est-à-dire une obligation de l'entité à l'égard d'un tiers dont il est probable ou certain qu'elle
provoquera une sortie des ressources au bénéfice de ce tiers, sans contrepartie au moins
équivalente attendue de celui-ci.
674 Qu’est-ce qu’un passif ? a

a) Un passif est un élément du patrimoine ayant une valeur économique négative pour l'entité,
c'est-à-dire une obligation de l'entité à l'égard d'un tiers dont il est probable ou certain qu'elle
provoquera une sortie des ressources au bénéfice de ce tiers, sans contrepartie au moins
équivalente attendue de celui-ci.
b) Un passif est une somme reçue ou à recevoir en contrepartie de la fourniture par l'entreprise
de biens, travaux et services.
c) Un passif est un élément identifiable du patrimoine ayant une valeur économique positive pour
l’entité, c’est-à-dire un élément générant une ressource que l’entité contrôle du fait
d’évènements passés et dont elle attend des avantages économiques futurs.
675 En comptabilité, qu’est-ce qu’une dette ? a

a) Une dette est un passif certain dont l'échéance et le montant sont fixés de façon précise.
b) Une dette est une somme reçue ou à recevoir en contrepartie de la fourniture par l'entreprise
de biens, travaux et services.
c) Une dette est un passif éventuel dont l'échéance et le montant ne peuvent être fixés de façon
précise.
676 En comptabilité, qu’est-ce qu’une provision ? a

a) Une provision est un passif dont l’échéance ou le montant n’est pas fixé de façon précise.
b) Une provision est un actif.
c) Une provision est un passif dont l'échéance et le montant sont fixés de façon précise.
677 A quoi est égal le résultat de l’exercice ? c
a) Le résultat de l’exercice est égal à la variation des actifs entre le début et la fin de l’exercice.
b) Le résultat de l’exercice est égal à la différence entre les actifs et les passifs en fin d’exercice.
c) Le résultat de l'exercice est égal tant à la différence entre les produits et les charges qu'à la
variation des capitaux propres entre le début et la fin de l'exercice sauf s'il s'agit d'opérations
affectant directement le montant des capitaux propres.
678 Laquelle des sommes suivantes est une charge pour une entreprise ? a

a) Sommes versées ou à verser en contrepartie d’immobilisations corporelles.


b) Sommes reçues ou à recevoir en contrepartie de la fourniture par l'entreprise de biens, travaux
et services.
c) Sommes versées ou à verser en contrepartie de marchandises, approvisionnements, travaux et
services consommés par l'entreprise.
679 Laquelle des sommes suivantes est un produit pour une entreprise ? a

a) Sommes reçues ou à recevoir en contrepartie de la fourniture par l'entreprise de biens, travaux


et services.
b) Sommes versées ou à verser en contrepartie de marchandises, approvisionnements, travaux et
services consommés par l'entreprise.
680 Qu’est-ce que la trésorerie d’une entreprise ? c

a) La trésorerie d’une entreprise correspond au montant de ses capitaux propres.


b) La trésorerie d’une entreprise correspond au solde entre les ressources à plus d'un an, dites
stables, et les immobilisations (emplois stables à plus d'un an).
c) La trésorerie d'une entreprise à un instant donné est égale à la différence entre ses emplois de
trésorerie (placements financiers et disponibles) et son endettement bancaire et financier à
court terme.
681 Que signifie « cash flow » ? c

a) Cash flow signifie : capitaux propres du bilan.


b) Cash flow signifie : résultat de l’exercice.
c) Cash flow signifie : flux de trésorerie.
682 Qu’est que le besoin en fonds de roulement (d’exploitation) ? c

a) Le besoin en fonds de roulement (BFR) vise à montrer comment les capitaux durables (appelés
aussi "permanents") à la disposition de l’entreprise ont financé les immobilisations (qui font
partie des actifs de l'entreprise).
b) Le besoin en fonds de roulement (BFR) correspond au montant des capitaux propres.
c) Le besoin en fonds de roulement (BFR) est la différence entre les éléments de l’actif destinés à
l’exploitation courante (stocks et crédit clients) et les dettes aux fournisseurs (ou crédit
fournisseurs).Il représente le besoin de fonds nécessaires au fonctionnement à court terme de
l’entreprise.
683 A quoi correspond le résultat d’exploitation ? b

a) Le résultat d’exploitation correspond à l’EBITDA (Earnings Before Interest, Taxes, Depreciation


and Amortization) anglo-saxon.
b) Le résultat d’exploitation correspond approximativement à l’EBIT (Earnings Before Interest and
Taxes) anglo-saxon.
c) Le résultat d’exploitation correspond aux flux nets de trésorerie générés par l’activité.
684 Quelles sont les présentations possibles du compte de résultat dans les comptes consolidés selon les c
normes IFRS ?

a) Le compte de résultat des comptes consolidés selon les normes IFRS ne doit être présenté que
sous une seule forme : compte de résultat par fonction.
b) Le compte de résultat des comptes consolidés selon les normes IFRS ne doit être présenté que
sous une seule forme : compte de résultat par nature.
c) Le compte de résultat des comptes consolidés selon les normes IFRS peut être présenté au
choix, selon 2 formes : compte de résultat par nature ou compte de résultat par fonction.
685 Que mesure la capacité d’autofinancement ? b

a) La capacité d’autofinancement mesure le montant des capitaux propres de l’entreprise.


b) La capacité d’autofinancement mesure l'ensemble des ressources internes sécrétées par
l'entreprise.
c) La capacité d’autofinancement mesure l’ensemble des ressources externes qui financent
l’entreprise.
686 Qu’est-ce que le fonds de roulement ? a

a) Le fonds de roulement correspond au solde entre les ressources à plus d'un an, dites stables, et
les immobilisations (emplois stables à plus d'un an).
b) Le fonds de roulement correspond au montant des capitaux propres.
c) Le fonds de roulement est la différence entre les éléments de l’actif destinés à l’exploitation
courante (stocks et crédit clients) et les dettes aux fournisseurs (ou crédit fournisseurs).
687 Comment calcule-t-on le ratio de rentabilité financière (ROE : Return On Equity) ? c

a) Le ratio de rentabilité financière (ROE) est le rapport du résultat net sur les capitaux investis.
b) Le ratio de rentabilité financière (ROE) est le rapport du coût de l’endettement financier net sur
l’endettement financier net.
c) Le ratio de rentabilité financière (ROE) est le rapport du résultat net sur les capitaux propres.
688 A quoi correspondent les capitaux investis ? a

a) Les capitaux investis correspondent à la somme des capitaux propres et de l'endettement


financier net.
b) Les capitaux investis correspondent au montant uniquement des capitaux propres.
c) Les capitaux investis correspondent au montant uniquement de l’actif immobilisé
689 Comment calcule-t-on le ratio de rentabilité économique (ROCE : Return On Capital Employed) ? a

a) Le ratio de rentabilité de rentabilité économique (ROCE) est le rapport du résultat


d’exploitation (ou résultat opérationnel) après impôt sur le montant de l’actif économique.
b) Le ratio de rentabilité économique (ROCE) est le rapport du résultat net sur le montant de
l’endettement financier net.
c) Le ratio de rentabilité économique (ROCE) est le rapport du résultat net sur le montant des
capitaux propres.
690 Qu’est-ce que le gearing ? b

a) Le gearing est le ratio du coût de l’endettement financier net sur le montant de l’endettement
financier net. Il mesure le coût de l’endettement financier net.
b) Le gearing est le ratio de la dette financière et bancaire nette sur les capitaux propres de
l'entreprise. Il mesure le risque de la structure financière de l'entreprise.
c) Le gearing est le ratio du résultat net sur les capitaux propres de l'entreprise. Il mesure la
rentabilité des capitaux propres.
691 A quoi est égal le bénéfice par action (BPA) ? a

a) Le bénéfice par action (BPA) est égal au montant des capitaux propres divisé par le nombre
total d’actions.
b) Le bénéfice par action (BPA) est égal au résultat net divisé par le nombre total d’actions.
c) Le bénéfice par action (BPA) est égal au montant total des dividendes distribués divisé par le
nombre total d’actions.
692 A quoi est égal le Price Earning Ratio (PER) ? c

a) Le Price Earning Ratio (PER) est égal au montant du dividende distribué pour une action divisé
par le cours boursier de l’action.
b) Le Price Earning Ratio (PER) est égal au montant du résultat net divisé par le nombre total
d’actions.
c) Le Price Earning Ratio (PER) est égal au cours de l’action divisé par le bénéfice par action.
693 Comment calcule-t-on le dividende par action ? a

a) Le dividende par action est égal au rapport du dernier dividende versé sur le cours de l’action
b) Le taux de rendement d’une action est égal au bénéfice par action (BPA) divisé par la valeur
nominale de l’action.
c) Le taux de rendement d’une action est égal au rapport des bénéfices non distribués et
conservés sous forme de réserves divisés par le montant du capital.
694 Qu’est-ce qu’un bilan ? c

a) Le bilan récapitule les charges et les produits de l’exercice


b) Le bilan est un tableau qui analyse la variation de la trésorerie en distinguant les flux provenant
de l’exploitation, des investissements et du financement.
c) Le bilan décrit séparément les éléments actifs et passifs de l’entreprise et fait apparaître de
façon distincte les capitaux propres.
695 Parmi les informations périodiques indiquées ci-dessous, quelle est celle qui doit être publiée et c
déposée auprès de l’AMF par les émetteurs français dont les titres sont admis sur un marché
réglementé ?

a) Un bilan prévisionnel dans les 6 mois qui suivent la clôture de l’exercice.


b) Un rapport financier trimestriel dans les 15 jours qui suivent la fin d’un trimestre civil.
c) Un rapport financier annuel dans les quatre mois qui suivent la clôture de l’exercice
696 Quel est le délai de publication du rapport financier annuel : a

a) 4 mois
b) 2 mois
c) 1 mois
d) 3 mois
697 Sous quelle forme et sous quel délai les sociétés françaises dont les actions sont inscrites sur un marché b
réglementé doivent publier leurs comptes annuels individuels, leur décision d’affectation de résultat et
le cas échéant leurs comptes consolidés ?

a) Dans un JAL (journal d’annonces légales) dans les 3 mois qui suivent la date de clôture de
l’exercice comptable.
b) Au BALO (bulletin des annonces légales obligatoires) dans les 45 jours qui suivent l’approbation
des comptes par l’assemblée générale ordinaire.
c) Uniquement sur leur site internet dans les 45 jours qui suivent l’approbation des comptes par
l’assemblée générale ordinaire.
698 Parmi les propositions suivantes, que doit faire un émetteur qui possède une information privilégiée qui b
le concerne directement et qui est susceptible d’avoir, si elle était rendue publique, une influence
sensible sur le cours des instruments financiers ?

a) L’émetteur ne doit pas porter à la connaissance du public cette information.


b) L’émetteur doit porter à la connaissance du public cette information.
c) L’émetteur doit porter à la connaissance du public cette information uniquement si elle est de
nature à porter atteinte à ses intérêts légitimes.
699 Le dispositif "anti-rumeur" permet : b

a) de révéler une information concernant une offre publique uniquement.


b) d'arrêter la diffusion d'une fausse rumeur quel qu'en soit l'objet.
c) aucune des deux propositions
700 A partir de quels dépassements de pourcentages de détention du nombre d’actions d’une société dont b
les actions sont admises aux négociations sur un marché réglementé, toute personne physique ou
morale a-t-elle l’obligation d’informer la société émettrice et l’AMF ?

a) 10% uniquement.
b) 5%, 10%, 15%, 20%, 25%, 30%, 33,33%, 50%, 66,66%, 90%, 95%.
c) 10% et 50% uniquement.
701 Les sociétés cotées sur Alternext doivent rendre public toute information les concernant susceptible c
d’avoir une influence sur le cours de leurs titres :

a) Dans un délai de 7 jours ouvrables


b) Dans un délai de 30 jours calendaires
c) Sans délai comme les sociétés cotées sur un marché réglementé
702 Quelles sont les dépenses déductibles des produits bruts pour obtenir le revenu imposable à l’impôt sur c
le revenu pour chaque catégorie de revenu ?

a) Uniquement les dépenses effectuées pour l’acquisition du revenu.


b) Uniquement les dépenses effectuées pour la conservation du revenu.
c) Les dépenses effectuées en vue de l’acquisition et de la conservation du revenu
703 Le revenu net global soumis à l’impôt sur le revenu est composé de quels revenus ? c

a) Pour tous les contribuables, uniquement des traitements et salaires.


b) Pour tous les contribuables, uniquement des traitements et salaires et des revenus des
capitaux. Mobiliers
c) Pour tous les contribuables, de tous les revenus qu’ils ont acquis ou qu’ils ont perçus
704 Parmi les propositions suivantes, quelles sont les personnes qui sont considérées comme ayant leur b
domicile fiscal en France ?

a) Les personnes domiciliées à l’étranger.


b) Les personnes qui ont en France le centre de leurs intérêts économiques.
c) Les personnes qui séjournent en France pendant au moins 100 jours dans l’année
705 Quel est le nombre de parts à prendre en compte pour le calcul du quotient familial d’un couple marié b
ayant 3 enfants mineurs à charge ?

a) 5 parts
b) 4 parts.
c) 3,5 parts
706 Quelles sont les caractéristiques du barème de l’impôt sur le revenu ? a

a) C’est un barème progressif d’imposition par tranche de revenus dont les taux d’imposition vont
de 0% à plus de 40%.
b) C’est un barème qui est composé de deux taux d’imposition : 19% et 33 1/3%.
c) C’est un barème fixe d’imposition à 33 1/3%.
707 Sur quels revenus s’appliquent la CSG (Contribution Sociale Généralisée) et la CRDS (Contribution au b
Remboursement de la Dette Sociale) ?

a) Uniquement sur les traitements et salaires.


b) Sur tous les revenus d’activité et tous les revenus du patrimoine et les produits de placement (à
l’exception de ceux qui sont exonérés).
c) Uniquement sur les revenus du capital (revenus des capitaux mobiliers, revenus fonciers, plus-
values immobilières des particuliers, plus-values sur cessions de valeurs mobilières des
particuliers,..).
708 Pour quelle valeur, les biens professionnels sont-ils pris en compte dans la détermination de l’assiette b
(base imposable) de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ?

a) Ils sont pris en compte pour 50% de leur valeur.


b) Ils ne sont pas pris en compte.
c) Ils sont pris en compte pour la totalité de leur valeur.
709 Comment seront imposés les dividendes perçus à compter de 2015 par les personnes physiques ? a

a) Ils seront soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu


b) Ils seront exonérés d’impôt sur le revenu
c) Ils seront imposés à un taux proportionnel de 20%
710 Comment seront imposés les produits de placement à revenus fixes perçus à compter de 2015 par les c
personnes physiques et qui ne sont pas exonérés d'impôt ?

a) Ils seront imposés à un taux proportionnel de 20%


b) Ils seront imposés à taux proportionnel de 75%
c) Ils seront soumis au barème progressif de l'impôt sur le revenu
711 La France a mis en place une taxe sur les transactions mobilières : a

a) Qui est directement prélevée par le PSI qui effectue la transaction.


b) Qui est prélevée lors du paiement de l’IR et de L’IS
c) Qui doit être directement réglée au trésor public par l’investisseur
712 Comment seront imposés (sauf exceptions, abattements pour durées de détention ou reports a
d’imposition) les gains nets de cessions sur valeurs mobilières et droits sociaux réalisés à compter de
2015 ?

a) Ils seront pris en compte pour la détermination du revenu net global et seront donc soumis au
barème progressif de l’impôt sur le revenu
b) Ils seront imposés à un taux proportionnel de 75%
c) Ils seront imposés à un taux proportionnel de 20%
713 Comment sont imposés les gains nets provenant de retraits d’un plan d’épargne en actions (PEA) après a
5 ans ?

a) Ils sont exonérés d’impôt sur le revenu mais pas des prélèvements sociaux
b) Ils sont totalement exonérés d’impôts y compris des prélèvements sociaux
c) Ils sont totalement imposables
714 Comment sont imposés les produits d’assurance-vie en cas de rachat du contrat ? c

a) Ils sont exonérés d’impôt


b) Ils sont imposables de la même manière indépendamment de l’antériorité du contrat
c) Ils sont imposés différemment en fonction de l’antériorité de la durée du contrat
715 Comment est imposé le bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie, lors du dénouement de ce contrat c
par décès de l’assuré ?

a) Le bénéficiaire est toujours exonéré de la totalité des droits de mutation à titre gratuit.
b) Le bénéficiaire doit acquitter la totalité des droits de droits de mutation à titre gratuit dus dans
les conditions de droit commun.
c) Le bénéficiaire est exonéré de droits de mutation à titre gratuit dans certaines limites et sous
certaines conditions
716 Quel est le pourcentage du capital d’une société A soumise à l’impôt sur les sociétés (droits de vote et c
droits financiers) qui doit être détenu par une autre société B soumises à l’impôt sur les sociétés pour
que cette société B puisse opter pour le régime des « sociétés mères » qui permet une exonération des
dividendes perçus de la société A ?

a) 15%
b) 10%
c) 5%
717 Quelle est le montant de la valeur nette du patrimoine d’un contribuable qui le rend redevable de c
l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ?

a) 3 000 0000€.
b) 800 000 €.
c) 1 300 000 €.
718 Quel est le taux proportionnel d’impôt sur le revenu pour les plus-values à long terme c
professionnelles ?
a) 33 1/3%
b) 5%.
c) 16%
719 Quelle est la société dont les bénéfices sont soumis de plein droit (sans option) à l‘impôt sur les sociétés c
?

a) La SNC (Société en Nom Collectif)


b) L’EURL (Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) dont l’associé est une personne
physique.
c) La SA (Société anonyme)
720 Quel est le taux normal de l’impôt sur les sociétés ? c

a) 17%.
b) 50%.
c) 33 1/3%
721 A quelle valeur sont évalués, pour la détermination du résultat imposable des entreprises soumises à b
l’impôt sur les sociétés, les titres d’Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières détenus (à
l’exception des parts d’OPCVM investis principalement en actions et des parts de fonds commun de
placement à risques) ?

a) Leur valeur n’intervient pas dans la détermination du résultat imposable.


b) Les titres d’OPCVM sont évalués à leur valeur liquidative à la clôture de l’exercice.
c) Les titres d’OPCVM sont évalué leur prix de rachat (prix de vente) prévisionnel.
722 Quels sont les bénéfices imposables dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) c
pour l’application de l’impôt sur le revenu ?

a) Les bénéfices réalisés par des personnes physiques et provenant de l’exercice d’une profession
libérale.
b) Les bénéfices réalisés par des personnes physiques et provenant de placements financiers.
c) Les bénéfices réalisés par des personnes physiques et provenant de l’exercice d’une profession
commerciale, industrielle ou artisanale.
723 Préalablement à la réalisation de toute « offre au public ou de toute admission aux négociations sur un c
marché réglementé de titres financiers » que faut-il établir ?

a) Il faut établir uniquement une note relative aux titres financiers.


b) Il faut établir uniquement un document de référence.
c) Il faut établir un projet de prospectus soumis au visa préalable de l’AMF
724 Le prospectus est composé de plusieurs documents distincts, quels sont-ils ? c

a) Le prospectus est composé du rapport financier annuel et d’une note relative aux titres
financiers.
b) Le prospectus est composé d’un document de référence et d’une note relative aux titres
financiers.
c) Le prospectus est composé d’un document de référence ou d’un document de base, d’une note
relative aux titres financiers et d’un résumé.
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