TD N°4 

: droit de la famille

la conséquence du divorce :

Il y a un des époux des un couple qui s'est marié et donc forcément le mariage va avoir une incidence
sur leur vie future même si ils sont séparés ou s'il y a eu divorce lorsque on aura une rupture c'est à
dire un divorce il y a des conséquences qui vont découler en fait de la vie maritale la première chose
qui concerne Mesdames c'est le nom vous saviez très bien que avec le le mariage la femme souvent
pas toujours prendre le nom du mari que la colle à son nom ou adopte tout simplement le nom du
mari alors au divorce le principe c'est qu'il y a abandon du nom au divorce abandon du nom

2cas :

- le premier cas c'est l'accord du future divorcée a l'accord de l'époux c'est pas grave donc du
coup c'est si il est pour est d'accord que la femme va continuer à porter son nom

- 2e cas 2e exception : c'est pas autorisation judiciaire alors ce agissant de l'autorisation

judiciaire on peut retrouver 2 cas d'abord le premier c'est lorsque c'est pour les raisons
professionnelles dans l’intérêt de l’enfant que ça soit pas un sujet à conversation non plus et
donc que l'enfant se sente aussi un peu entouré toujours de ses 2 parents qui croient qu'il y a
pas de jour de mes enfants et consorts donc dans l'intérêt supérieur de l'enfant mais dans ce
dernier cas l'intérêt supérieur de l'enfant habituellement vous aurez dans le jugement les
juges qui vont dire que la femme abandonnera en fait à la majorité de l'enfant souvent ça
écrit dans les jugements mais sinon c'est dans ces 2 pas que vous aviez

- 2 eme cas : La protection du logement familial alors là ça veut dire le logement conjugal est
sacré ce n'est pas parce que le bien vous appartient en propre que au moment du divorce
forcément vous allez dégager l'autre de la maison et puis dire Ah c'est moi bien maintenant
tu quittes je prends mon billet, non, donc certains cas vous allez pouvoir même avoir des
juges qui vont vous faire sortir vous de la maison et garder l'autre à qui n'appartient pas le
bien dans la maison le temps qu'il retombe sur ses pattes donc le caractère sacré du bien
conjugal après le nom et la protection du du bien conjugal nous avons la prestation
compensatoire qui va nous occuper un peu la prestation compensatoire c'est quoi c'est
l'article 570 du code civil qui le prévoit

Document 11 : 1ere chambre civil 18 mai 2011 :

Une épouse avait demander prestation compensatoire la prestation compensatoire avait été rejetée
au motif que là disparité de niveau de vie préexistait au mariage et ne résultait pas de choix des
époux c'est ce que la cour d'appel avait dit donc la cour d'appel avait considéré que puisque cette
était déjà là avant leur mariage il fallait pas la prendre en compte pour donner une prestation
compensatoire à l'épouse et la Cour de cassation est venue casser cet arrêt de la cour d'appel. En
d'autres termes à votre question est ce qu'il faut prendre la disparité de niveau de vie antérieur au
mariage oui la Cour de cassation répond oui elle dit que la loi ne fait pas de différence entre
l'antériorité et là postériorité en vérité ce quand vous prenez l'article 270 du code civil c'était article
et non seulement qu'il faut accorder une prestation compensatoire à l'épouse mais ne dis pas du
tout qu'il faut nécessairement que le juge doit tenir compte de la période de séparation de fêtes
postérieur au mariage est antérieur au divorce

On pense à toi à l'écoute et donc la question était de savoir ici s'il fallait lui accorder une prestation
compensatoire ou pas alors la Cour de cassation a dit non en l'occurrence et elle dit le juge peut s'en
tenir aux années de mariage et ne pas prendre en compte la séparation de fait postérieur au mariage
pour le calcul de la prestation compensatoire

Pour le calcul de la prestation compensatoire : article 271 du code civil

Vous aviez en fait certains critères qui ont posé difficulté d'abord le premier critère c'est la durée du
mariage la question juridique qui c'est quoi se pose c'est est-ce qu'il faut tenir compte de la durée de
vie commune antérieur au mariage

Doc 9 : 6 oct 2010

Durée de vie antérieure au mariage dans le calcul de la prestation compensatoire En d'autres termes
il ne faut tenu compte que de la durée de vie postérieure à la célébration du mariage.

2eme critère :

Compte c'est l'âge et l'état de santé des époux divorcé e 40 ans c'est pas la même chose que si vous
divorcez à 75 ans donc votre espérance de vie est beaucoup plus réduite à 75 ans.

3eme critère : qualification et situation des époux :

- Carrière de médecin n’est pas la même qu’un mécanicien on en prend compte.

4 -ème critère  :

-Choix professionnel

5 -ème critère :

-le patrimoine de chacun des époux mais aussi les revenus.

Ce qu’on voit souvent c'est que lorsqu'une épouse demande une prestation compensatoire on voit
souvent les époux qui viennent et qui commencent à dire oui mais vous saviez elle touche déjà 2000€
de la caf et donc du coup en plus son salaire ça fait déjà un revenu élevé donc l'idée c'est de savoir
est ce que ces allocations

On ne tient pas compte des calculs des enfants dans la prestation compensatoire

Faut il tenir compte des espérances successorales ?

Les éléments non encore réalisé au moment du divorce et qui ne présente pas à la date de celui-ci 2
caractères prévisibles ne doivent pas être pris en compte dans le calcul de la prestation
compensatoire

Prestation compensatoire le versement de la prestation compensatoire première chose elle a un

caractère forfaitaire caractère forfaitaire alors première question sous quelle forme elle doit être
versée. le principe c'est qu'elle doit être versée en capital ça sous forme monétaire attribution de
biens ou de droits c'est à dire que vous aviez par exemple un epoux qui demande une prestation
compensatoire vous aviez Madame qui a un patrimoine immobilier conséquent et donc l'époux peut
dire au lieu que l'épouse me donne en fait de de liquidité je préfère si elle est d'accord prendre juste
un immeuble qui est là c’est donc une attribution de bien.

Ext il possible de sollicité par versement un versement échelonner ?

OUI, dans la limité de 8 ans, art 275 du code civil si cela convient d’avantage au débiteur.
Est-il possible d’avoir une vente viagère:

L’article 276 du code civil:

Oui c'est possible par exception c’est possible si cela est dans l'intérêt du créancier, alors là c'est
parce que le créancier si vous voulez on a une santé un peu très fragile et puis très âgé donc voilà on
sait que va pas pouvoir reprendre une activité en raison de sa santé elle préfère avoir quelque chose
qui couvre au moins toutes les années qui lui restent a vivre.

Est-ce que je peux avoir le versement d’une pc sous la forme en capital et d’une rente, est ce que je
peux avoir les deux ?

La cour de cassation, dit oui dans certains cas, exceptionnel et que ça soit doublement motivé alors
souvent quand la Cour de cassation dit ça, ça voudra dire que sur 10 cas vous l'aurez peut-être une
fois d'accord elle dit que soit si sa pêche papa la motivation ça va pécher par le caractère
exceptionnel.

Arrêt du 23 octobre 1990 :

Madame était de bonne foi et monsieur n'est pas de bonne foi donc Madame pourra prétendre à
une réparation sur le fondement de 1382 est-ce que jusque-là ça va pour tout le monde donc ici
Madame réparation elle est de bonne foi monsieur n'est pas de bonne foi par contre elle relève que
dans cette affaire là les 2 sont de bonne foi et comme les 2 sont de bonne foi Madame ne peut plus
prétendre en fait sur une réparation au titre de l'article 1382 en réalité la cour d'appel n'a pas jugé de
la même façon que le tribunal de grande instance sur le mariage putatif et la cour de cassation

Lors du divorce on apporte une prestation compensatoire donc c'est la première chose qu'elle
rappelle ensuite elle continue elle dit que ces conditions ces modalités sont applicables en tant que
raison c'est la partie qui est essentiel dans cette phrase là en tant que de raison lorsque la rupture de
mariage résulte de la nullité de l'Union c'est à dire que elle vient dire que même si la prestation
compensatoire est appliqué seulement au divorce on peut également l'appliquer lorsqu'il s'agit d'une
nullité de cette union là.

Maintenant on va se comparer au divorce donc la rétroactivité ici ça efface tout le passé passé je
prends l'action en divorce, une action en divorce l'action en divorce ne peut pas effacer le passé
parce que le mariage a existé donc l'action en divorce affectent tout simplement l'avenir donc ici
c'est fin de la vie commune pour l'avenir, ça veut dire que dans mon cas ici il y a eu mariage dans
mon cas ici il y a eu époux et dans mon cas ici il doit avoir des effets et au-dessus de ses effets j'ai la
Pension compensatoire, maintenant la cour de cassation vient vous dire que lorsque le mariage est
annulé en réalité on peut avoir cet effet-là pourquoi parce que tout simplement il y a ça comme une
bonne foi donc mariage putatif.

Donc ça veut dire qu'on considère que il y a eu vraiment mariage pendant certains temps on
considère également qu'il y a eu des époux pendant un certain temps au nom de la bonne foi qui est
là et donc c'est l'action en nullité qui vient seulement supprimer en fait ce mariage là et comme le
mariage putatif a existé il a eu mariage il y a eu des époux ça voudra dire que le la rétroactivité qu'on
a dans la nullité ici ne peut pas s'appliquer au mariage putatif c'est une exception au principe de
rétroactivité parce qu'on considère que ce mariage a survécu.

Ici parce que son mariage à survécu a créé des liens aurait des conséquences et l'autre qui ne savait
même pas que son mariage était affecté dans le bus et qui a également cette disparité serait privé de
conséquence il faut nécessairement également lui accorder les conséquences que l'autre devrait
avoir alors Cela dit le le principe posé quand même difficulté quelles sont les difficultés qu'on peut
relever par rapport à cet arrêt on peut la prouver par rapport à l'équité l'équité d'abord entre le mari
et la femme l'équité ensuite entre divorce et action mais la critique va se porter sur quoi sur plusieurs
choses d'abord vous voyez que en accordant la PC ici la Cour de cassation nous fait un mélange de
gens total entre l'action en unité et l'action en divorce c'est à dire c'est un peu comme si on a une
confusion de l'action en unité et de l'action en divorce normalement l'action en unité rétroactivité on
ne devrait jamais avoir de fais comme elle est en train de d'accorder un effet là elle est en train de
contredire un peu ce que la cour d'appel disait c'est à dire que quand aujourd'hui vous saviez que
vous pouvez vous être vous sur le principe de la 13 182 parce que plus n'a commis une faute cette
réparation ne sera pas vraiment conséquente pour vous donc qu'est-ce que vous allez faire vous allez
contourner la règle si vous avez la bonne foi au lieu d'aller sur 300 contre 82 vous allez tout
simplement aller ici parce que vous saviez que vous allez avoir plus là vous voyez donc c'est la
première chose cette confusion la 2e chose c'est que ça pose quand même une grande insécurité
juridique parce que là PCc'est quoi c'est 270 du code civil et cet article-là se trouve dans le mariage et
est prévu dans le mariage comme une conséquence du divorce Or ici ce n'est pas une conséquence
du divorce c'est une conséquence de la nullité et aucun fondement textuel ne prévoit d'indemniser
une personne lorsqu'il s'agit de la nullité donc sans aucun fondement textuel la Cour de cassation
vient indemniser une conséquence de la nullité ce qui pose difficulté.