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1|Page LES INSTRUMENTS DE PAIEMENT

INTRODUCTION

Lors des négociations commerciales, les modalités financières du contrat relatives aux
modes et aux techniques de paiement, dont certaines sont spécifiques au commerce,
revêtent une importance primordiale.

Les moyens de règlement utilisés sont nombreux et diversifiés. La pratique des


instruments de paiement trouve sa raison d’être dans le souci d’éviter le transport
d’espèces monétaires accompagné du développement des échanges économiques.

A ce jour, la monnaie reste l’instrument par excellence, en suite nous avons le chèque
suivi du paiement par virement et par carte électronique.

Mais pour ce qui dans notre pays la monnaie fudiciaire reste le moyen le plus
utilisé vu l’insuffisance de la couverture bancaire mais aussi de la culture qui
ne pas trop promue. Ainsi dans le cadre ce travail pratique de droit et
mécanisme de crédit nous tenterons de mettre exergue les instruments
précités.

INTERET DU SUJE ET CHOIX DU SUJET

Les instruments et techniques de paiement, sont aujourd'hui, privilégiés, utilisés dans


le cadre des opérations commerciales. C'est pour cette raison que nous nous
intéressons à l'aspect pratique de ces instruments et techniques.

PROBLEMATIQUE

La notion d'instrument de paiement Les instruments de paiement sont destinés à


assurer l'exécution d'une obligation de payer une somme d'argent sans manipulation
d'espèces monétaires.
La catégorie des instruments de paiement est hétérogène. Certains d'entre eux sont
fondés sur la création d'un titre négociable, tel que le chèque qui est un titre écrit, tiré
sur une banque ou un établissement assimilé, et, qui permet d'obtenir le paiement, au
bénéfice d'un porteur, d'une somme d'argent disponible à son profit.
D'autres reposent sur la technique du mandat comme le virement, la carte de paiement
ou le prélèvement automatique dont le titre interbancaire de paiement (ou TIP)
constitue une variante. Ces nouveaux instruments de paiement forment des ordres de
paiement par inscription en compte. Pendant longtemps, le chèque a été l'instrument
de paiement privilégié.
Aujourd'hui, son utilisation est concurrencée par de nouveaux instruments de paiement
(virement, prélèvement automatique ou carte de paiement). Ce déclin tient à la
conjonction de plusieurs éléments : la multiplication des incidents de paiement due à
l'augmentation du nombre de chèques émis sans provision, le coût de traitement pour
les établissements de crédit ainsi que l'insécurité de ce mode de paiement résultant
des utilisations frauduleuses à la suite de vol ou de perte
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CHAPITRE I : LES INSTRUMENTS DE PAIEMENTS


Ce chapitre qui constitue même l’épine dorsal de notre sujet du travail pratique, nous
tenterons d’examine différents instruments de paiement et les techniques de paiement.

I.1. LA MONNAIE

I.1.1. NOTIONS ET DEFINTIONS


La monnaie se définit par ses trois fonctions d'unité de compte, d'intermédiaire des
échanges, et de réserve de valeur. Mais la monnaie est aussi un lien social et
politique fondamental dans les économies de marchés. C'est donc avant tout une
convention, une sorte de langue des échanges.
La monnaie est un instrument légal de paiement pouvant avoir, suivant les systèmes
monétaires une base métallique ou une base de papier (monnaie fiduciaire).
La monnaie métallique est constituée des pièces frappées par un Etat dans un métal
choisi(en général nickel ou cuivre) et adoptées comme unité de valeur. La monnaie de
papier ou billet de banque c’est celle qui est constituée en billet de banque convertible
en monnaie métallique.
La banque centrale dans chaque pays joue le rôle délicat et exclusif de fabriquer la
monnaie fiduciaire et elle intervient en sa qualité de conseillère du gouvernement
habilitée à donner des avis et considérations en matière monétaire et financière pour
aider l’aider dans sa mission de diriger le secteur économique et financier.
La monnaie fiduciaire est un symbole de la souveraineté nationale et il est impérieux
à ce que son émission, sa gestion et son utilisation puissent se faire dans le respect
de la loi et des principes de gestion monétaire et financière.
La monnaie scripturale est par contre un moyen de paiement constitué par les dépôts
à vue dans les banques. Il s’agit des chèques ou des cartes de paiement. (Professeur
Tshibasu, cours de droit et mécanismes de crédit, Ecopo Lubumbashi, 2022)

I. 1. LES FONCTIONS ECONOMIQUES DE LA MONNAIE


a. Trois fonctions essentielles

Pour définir la monnaie, le plus simple est de distinguer ses différentes fonctions.
• La monnaie est avant toute chose une unité de compte qui permet de mesurer la
valeur des biens et services échangés avec un étalon commun. Cette unité
est propre à une zone géographique, mais il est toujours possible d'échanger les
monnaies entre elles.
• C'est ensuite un instrument d'échange, universellement reconnu. Ce moyen de
paiement unique évite les inconvénients du troc (document 1).
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• La monnaie est enfin une réserve de valeur : il est possible de la conserver sans
risque de dévalorisation à court terme. Cela permet de différer ses achats dans le
temps ou de se constituer une épargne.

 Ces trois fonctions de la monnaie font qu'elle est un intermédiaire essentiel des
échanges marchands : elles s'appliquent à toutes les formes de monnaies
possibles, de la plus liquide (les pièces et billets) à la plus longue à mobiliser (les
certificats de dépôt ou les OPCVM – Organismes de Placement Collectif en Valeurs
Mobilières).
b. Une autre approche : les motifs de détention monétaire

Keynes a cependant développé une approche originale de la monnaie, en indiquant


pourquoi les agents économiques auraient une préférence pour la liquidité. Les
individus seraient ainsi réticents à se défaire de leur monnaie liquide pour acheter
des actions par exemple, car celle-ci peut être conservée pour trois motifs.
Le premier motif est évident : la monnaie est un outil de transaction, qu'il faut
garder pour réaliser ses dépenses.
C'est ensuite le motif de précaution qui pousse les agents à conserver leur
encaisse : leur but est de se prémunir contre les aléas économiques.
Enfin, la monnaie permet d'agir sur les marchés financiers à tout instant. C'est
le motif de spéculation.

Ces motifs montrent qu'il existe une demande spécifique pour la monnaie : ce n'est
pas qu'un simple intermédiaire des échanges, mais aussi une sorte de bien
possédé pour ses qualités propres. La monnaie, selon cette approche, n'est donc
pas neutre, elle n'est pas un simple « voile » entre des échanges réels, selon le mot
de J.-B. Say.

I. 2. LE FONCTIONS SOCIALES DE LA MONNAIE


a. Un instrument du lien politique
La monnaie a pendant longtemps été un instrument de pouvoir et de
reconnaissance du suzerain. En battant la monnaie, il imposait sa souveraineté : le
monopole d'émission monétaire qu'il possédait assurait sa légitimité.
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Ce lien politique n'a pas complètement disparu, la valeur des monnaies restant un
indicateur de la puissance des nations ou des zones monétaires, ainsi qu'en
témoigne la rivalité actuelle entre le dollar et l'euro.

Par ailleurs, une monnaie sert à homogénéiser des groupes sociaux divers. Le
projet d'intégration européenne peut être vu de la sorte : la monnaie unique est un
moyen d'unification pacifique pour des peuples culturellement différents. La monnaie
est donc un lien entre les gens, un symbole de cohérence d'une communauté
politique et sociale.
b. Une langue des échanges

Parallèlement, la monnaie est un rapport social, si elle est interprétée comme un


ensemble de règles ou un système permettant l'échange. Il n'existe pas d'usage
privé de la monnaie, mais au contraire une utilisation exclusivement collective. La
monnaie est alors vécue comme une institution qui permet de coordonner les
différentes actions économiques individuelles.

La monnaie repose effectivement sur une convention de valeurs, ce qui peut faire
dire que c'est une langue des échanges : « la monnaie est un langage et fonctionne
comme tel. (...) Une langue permet de communiquer si on est sûr que les autres la
comprennent. Donc ce n'est pas la propriété de la langue qui compte, c'est le fait
qu'elle soit partagée par tous et qu'il existe des règles de grammaire dont tout le
monde use. La monnaie, c'est la langue de l'économie, de la marchandise »
(M. Aglietta).
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I.2. LE CHEQUE

I.2.1 DEFINITIONS ET NOTIONS

Le chèque se définit comme un titre par lequel une personne, appelée « tireur », donne
l'ordre à un établissement de crédit, dénommé « tiré », de payer à vue une somme
d'argent au profit d'une troisième personne dite « porteur ou bénéficiaire ».
Bien que cette qualification soit contestée par une partie de la doctrine, le chèque est
un effet de commerce. Il se distingue cependant de la lettre de change. Tout d'abord,
le chèque n'est pas un acte de commerce par la forme mais un acte de commerce par
son objet.
Il sera donc commercial s'il est créé par un commerçant pour les besoins de son
commerce. En outre, le chèque est un instrument de paiement et non pas un
instrument de crédit.
Cette fonction explique que la provision doit exister au jour de l'émission du chèque et
non au jour de son échéance ou de sa présentation (v. ss chapitre 20).
Mais, à l'image de la lettre de change, le chèque est un titre littéral. Rédigé à partir de
formules papier normalisées ; il doit comporter un certain nombre de mentions
obligatoires ; ce qui n'exclut pas l'insertion de mentions facultatives.

a) L'exigence d'un support papier


L'article. L. 131-2 du Code monétaire et financier impose que le chèque soit rédigé sur
un support papier. Celui-ci est en principe un imprimé normalisé délivré par un
établissement de crédit et appelé « formule ». Mais, cet usage n'est pas obligatoire.
La jurisprudence n'interdit pas en son principe les chèques sur papier libre (Paris, 2
oct. 1986, RD bancaire et bourse 1987. 8, obs. F.-J. Crédot et Y. Gérard).
La solution est souvent critiquée au motif que si le Code monétaire et financier n'interdit
pas expressément l'utilisation du papier libre, il la condamne au moins implicitement.
Les établissements de crédit doivent en effet procéder à un certain nombre de
vérifications avant la remise d'un chéquier.
L'utilisation la plus fréquente du chèque sur papier libre concerne les chèques de
casino. Ces chèques, rédigés sur papier libre ou sur une formule établie par le casino,
permettent au joueur de se procurer des fonds pour participer au jeu. Leur validité est
admise en jurisprudence. Leur cause n'est pas illicite sauf si l'avance est effectuée
pour permettre au joueur de continuer à jouer (Civ. 1re, 31 janv. 1984. D. 1985. 50,
note P. Diener)
b) Les mentions obligatoires
À l'image des solutions posées pour la lettre de change, la qualification de « chèque »
dépend du respect de mentions obligatoires énumérées par l'article L. 131-2 du Code
monétaire et financier.
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Pour valoir comme chèque, le titre doit contenir :


• la dénomination de chèque, insérée dans le texte même du titre et dans la langue
employée pour la rédaction de ce titre. La formule généralement employée est «
payez contre ce chèque la somme de… » ;
• le mandat pur et simple de payer une somme déterminée dont le montant doit être
indiqué à la fois en chiffres et en lettres. En cas de différence, le chèque vaut pour
la somme inscrite en lettres. Cette somme doit en outre être payable à vue ;
• le nom du tiré qui doit être un établissement de crédit. À défaut, le titre ne peut
valoir comme chèque (L. 131-4, al. 1er C. mon. fin) ;
• l'indication du lieu où le payement doit être fait ;
• l'indication de la date et du lieu où le chèque est créé. La date s'entend non
seulement de l'année mais aussi du jour et du mois où il est créé (Com. 24 juin
1997, RTD com. 1997. 655, obs. M. Cabrillac) ; – la signature manuscrite du tireur,
c'est-à-dire de celui qui émet le chèque

c) Les mentions Facultatives


Le chèque peut comporter des mentions facultatives qui ne le privent pas de la
qualification 604 de « titre cambiaire »
Les plus fréquentes concernent :
• L'indication du bénéficiaire. Le chèque est alors nominatif et peut comporter, en
ce cas, une clause à « ordre » ou « non à ordre » (art. L. 131-6 C. mon fin.).
Le chèque à ordre est endossable alors que le chèque « non à ordre »Q ne peut être
transmis que dans les conditions de droit commun de la cession de créance. Si le
bénéficiaire est généralement un tiers, il peut également être le tireur lui-même,
notamment pour permettre des retraits d'argent de son compte (C. mon. fin., art. L.
131-7) ;
• Le chèque peut aussi être émis sans indication du nom du bénéficiaire, il est alors
appelé chèque au porteur ;
• L'interdiction de tout endossement, sauf au profit d'un établissement de crédit ou
un établissement assimilé (C. mon. fin., art. L. 131-71, al. 3) ;
* Le barrement du chèque : En principe facultatif selon la loi, le barrement est
aujourd'hui la règle. Le chèque barré ne peut être payé par le tiré qu'à un banquier, à
un chef de bureau de poste ou à un client du tiré (C. mon. fin., art. L. 131-45). Le
barrement s'effectue au moyen de deux barres parallèles apposées au recto du
chèque (C. mon. fin., art. L. 131-44, al. 2)

I.2.2. LES TYPES DE CHEQUE

Il existe plusieurs espèces de chèque dont notamment


le chèque au porteur, le chèque barré ; le chèque circulaire et le chèque de voyage.
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 Le chèque au porteur : est celui qui porte la mention « au porteur ». Il est


payable à celui qui détient le titre et se transmet par tradition.

 Le chèque barré : est celui sur lequel ont été apposé deux barres parallèles
et qui ne peut être payé qu’à la personne mentionnée entre les deux barres
(barrement spécial) ou encore en l’absence de mention, à un banquier, un
établissement assimilé, ou un client du tiré.

 Le chèque de voyage : est un écrit connu également sous l’appellation


anglaise traveller’s chèque, rédigé sous une forme variable qui donne au
bénéficiaire le droit d’obtenir le paiement de la somme indiquée de l’une
quelconque des agences de l’établissement émetteur ou de ses
correspondants.

I.3. LE VIREMENT
Le virement est l’opération par laquelle la banque, à la demande de son client, débite
le compte de celui-ci pour créditer un autre compte.
Soit du client lui-même qui peut avoir plusieurs comptes, soit d’un tiers qui a son
compte dans la même banque ou dans un autre établissement bancaire.

Les banques mettent généralement à la disposition de leurs clients des formulaires


types « d’ordre de virement » qui comportent un certain nombre de mentions
obligatoires :

 le nom du donneur d’ordre ainsi que son numéro de compte,


 le montant en chiffre et en lettre,
 le nom du bénéficiaire et ses coordonnés bancaires et éventuellement
 l’objet du virement.

I.4. LA MONNAIE ELECTRONIQUE (CARTE DE CREDIT OU


PAIEMENT)

I.4.1. NOTIONS ET DEFINITIONS


On utilise souvent le terme carte de crédit pour parler d’une carte bancaire. En réalité
une carte bancaire classique, comme celle que la banque met à notre disposition à
l’ouverture d’un compte bancaire, est une carte de débit. Alors qu »est-ce qu’est
réellement une carte de crédit ?

Une carte de crédit permet de payer ses achats en utilisant une réserve d’argent mis
à notre disposition. Il s’agit généralement d’un crédit souscrit précédemment. Dans la
grande majorité des cas il s’agit ce que l’on appelle un crédit à la consommation.
Cela signifie qu’en utilisant une carte de crédit, on ne paie pas directement avec
l’argent de son compte courant.( https://www.budgetbanque.fr/)
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I.4.2. FONCTIONNEMENT

Lorsque vous souscrivez un crédit comme un crédit à la consommation par exemple,


l’organisme de crédit peut vous fournir une carte de crédit. Cela signifie que
l’organisme de crédit va vous prêter de l’argent. Vous allez pouvoir utiliser cet argent
prêté en utilisant votre carte de crédit. Vous devrez par la suite rembourser cet
argent prêté et en plus payer ce que l’on appelle des intérêts. Les intérêts permettent
de payer l’organisme de crédit pour le service qu’il vous a rendu, c’est-à-dire pour
l’argent qu’il vous a prêté.

I.4.3. FORMALITES ET OBTENTION

Une carte de crédit vous est généralement fournie lorsque vous souscrivez certains
types de crédits. Vous pouvez souscrire un crédit à la consommation auprès
d’organismes de crédit ou d’une banque. Certains grands magasins ou
supermarchés proposent aussi des cartes de crédit.

I.4.4. AVANTAGES
De nombreux établissements bancaires proposent de nouveaux moyens de paiement
avec monnaie électronique pour simplifier les dépenses en magasin et en ligne.

La monnaie électronique garantit aux consommateurs et commerçants :

• une fiabilité et une sécurité optimale des transactions,

• La garantie des fonds monétaires, protégés par une convention de


cantonnement ;

• La rapidité : la monnaie électronique est régulièrement louée pour sa rapidité


d’exécution,

• La réduction des dangers de fraude,

• L’ absence de risque d’impayés et son faible coût (réduction des commissions


prélevées par les banques émettrices
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BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES
1- R. Bonhomme, Instruments de crédit et de paiement, 11e éd., LGDJ, 2015.
- P. Le Cannu, Th. Granier, et R. Routier, Instruments de paiement et de
crédit-Titrisation, 9e éd., Dalloz, coll. « Précis », 2016.
1) - S. Piédelièvre, Instruments de crédit et de paiement, 9e éd., Dalloz, coll. «
Cours », 2016. - J. Stoufflet, Instruments de paiement et de crédit, 8e éd.,
Litec, 2012. 417 15 Introduction international.scholarvox.com:ENCG
Marrakech:1442924460:88866152:196.200.176.177:1581011466
2) 2) La lettre de change relevé
3) - E. Chvika, « Du déclin de la négociabilité des instruments de paiement et de
crédit », D. 2000. 615 s. - P. Leclercq et Y. Gérard, « L'évolution du droit des
effets de commerce sous l'influence de l'informatique », RD bancaire et
bourse 1989. 153 s.
4) - M. Szulman, « La LCR magnétique, enfin une véritable lettre de change ? »,
Banque et Droit 2000. no 74. 10. - M. Vasseur, « La lettre de change relevé »,
RTD com. 1975. 203 s.
5) 3) La carte de paiement - F.-J. Crédot et P. Bouteiller, « Le cadre juridique des
paiements par carte bancaire », Dr. et patr. 1995. 32 s.
6) - C. Lucas de Leyssac, « Les cas d'opposition au paiement d'une opération-
carte », in Prospectives du droit économique, Dialogues avec M. Jeantin,
Dalloz, 1999, p. 329 s. - D. R. Martin, « La carte de paiement et la loi (ou la
puce maltraitée) », D. 1992. 277. 4) Le chèque
7) - Th. Bonneau, « À propos du refus de considérer le chèque comme un effet
de commerce », in Prospectives du droit économique, Dialogues avec M.
Jeantin, Dalloz, 1999, p. 323 s

II. SITES
1) https://banque.ooreka.fr/
2) www.bcc.cd
3) www.bce.cd
10 | P a g e L E S I N S T R U M E N T S D E P A I E M E N T

Table des matières


INTRODUCTION ............................................................................................................................... 1
Mais pour ce qui dans notre pays la monnaie fudiciaire reste le moyen le plus utilisé vu
l’insuffisance de la couverture bancaire mais aussi de la culture qui ne pas trop promue. Ainsi
dans le cadre ce travail pratique de droit et mécanisme de crédit nous tenterons de mettre
exergue les instruments précités. ................................................................................................... 1
INTERET DU SUJE ET CHOIX DU SUJET............................................................................................. 1
PROBLEMATIQUE ............................................................................................................................ 1
APPROCHE METHODOLOGIQUE .............................................................. Erreur ! Signet non défini.
CHAPITRE I : LES INSTRUMENTS DE PAIEMENTS ................................................................................... 2
I.1. LA MONNAIE ................................................................................................................................. 2
I.2. LE CHEQUE ........................................................................................................................................ 5
I.2.1 DEFINITIONS ET NOTIONS ....................................................................................................... 5
I.2.2. LES TYPES DE CHEQUE ............................................................................................................ 6
I.3. LE VIREMENT..................................................................................................................................... 7
I.4. LA MONNAIE ELECTRONIQUE (CARTE DE CREDIT OU PAIEMENT) ........................................... 7
BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................................ 9
ANNEXES.......................................................................................................................................... 9
11 | P a g e L E S I N S T R U M E N T S D E P A I E M E N T

ANNEXES
12 | P a g e L E S I N S T R U M E N T S D E P A I E M E N T
13 | P a g e L E S I N S T R U M E N T S D E P A I E M E N T

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