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03/03/2021

Sécurité industrielle

1. Un peu d’histoire de désastres industriels


1966 à Feyzin : explosion dans une industrie pétrochimique , 18 morts
1974 à Flixborough (Grande Bretagne) : explosion sur un site industriel,
28 morts
1976 à Seveso (Italie) : fuite de dioxine d ’une usine chimique , pas de
mort mais 37000 personnes touchées
1984 à Bhopal (Inde) : fuite d ’un gaz toxique, environ 2500 morts et

E
250000 blessés

LL
1984 à Mexico (Mexique) : explosion d ’une citerne de gaz de pétrole
liquéfié, plus de 500 morts et 7000 blessés
1986 à Tchernobyl : Explosion et fuites radioactifs, plusieurs milliers de
cancéreux et 30 morts par irradiation immédiate,

E
2000 à Enschede (Pays-Bas) : explosion d ’un dépôt de feux d ’artifices

RI
de divertissements, au moins 20 morts et plusieurs centaines de
blessés
DU E
2001 à Toulouse : explosion sur un site industriel, 30 morts et plus de Réacteur nucléaire de Tchernobyl 1986
2000 blessés
IN RT
ST 2
E
TE IZ
RI B

Sécurité industrielle, notion de risques


E
CU D
SE ET

2. Notions de risques
Il existe plusieurs types ou familles de risques professionnels
qui diffèrent les uns des autres par leur nature, leur origine,
IS

leurs caractéristiques et leurs conséquences ainsi que par les


mesures de prévention qu’ils nécessitent.
Par exemple, le risque électrique n’a rien à avoir avec les
risques chimiques ou avec le risque de surdité et les mesures
de prévention sont différentes les unes des autres.
Il existe différents moyens pour regrouper et classer les risques
professionnels ; celle qui a été choisie ici est la présentation en
fonction de la nature et de l’origine du risque et qui se traduit
par des mesures de prévention à peu près similaires pour
l’ensemble des situations dans lesquelles existent ces risques.

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Sécurité industrielle, notion de risques

2-1. Risques mécaniques


Nombreux et variés, ils sont présents partout, dans toutes les
activités humaines.
Ils ont pour origine les déplacements des corps qui par suite de
leurs mouvements, possèdent une énergie susceptible d’agresser
les hommes.

E
Si ce risque s’explique par les mouvements des objets, il existe
également lorsque ce sont les hommes qui bougent, l’objet

LL
restant immobile ou en mouvement. Un marteau qui s’abat sur un
doigt peut l’écraser ; des engrenages en mouvement peuvent
entraîner la main ou les cheveux ; une lame de scie peut couper la
chair.

E
Nota : Bien qu’il s’agisse ici d’un phénomène physique, par son

RI
importance, par la nature des risques et par les mesures de
DU E
prévention à mettre en œuvre, les risques mécaniques seront
étudiés séparément des autres risques physiques.
IN RT
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E
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RI B

Sécurité industrielle, notion de risques


E
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SE ET

2-2. Risques physiques


Sous cette appellation sont groupés plusieurs risques ayant
pour origine des phénomènes physiques variés, souvent très
IS

différents les uns des autres et faisant appel à des mesures de


prévention distinctes:
– Les risques dus aux vibrations mécaniques ;
beaucoup de machines, outils portatifs et véhicules
vibrent. Ces vibrations transmises au corps humain
portent atteinte à la santé.
– Les risques de surdité dus aux bruits à des niveaux
élevés produits par les installations industrielles
notamment.
– Les risques électriques qui se traduisent par les
électrocutions et les électrisations accidentelles.
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Sécurité industrielle, notion de risques

2-2. Risques physiques


Sous cette appellation sont groupés plusieurs risques ayant
pour origine des phénomènes physiques variés, souvent très
différents les uns des autres et faisant appel à des mesures de
prévention distinctes:
– Les risques dus aux rayonnements ionisants

E
comme la radioactivité ou bien les rayons X qui
conduisent à des atteintes graves de la santé.

LL
– Les risques dus aux rayonnements non ionisants
comme les infrarouges ou les rayons lasers qui
peuvent conduire à des brûlures.

E
– Les autres risques physiques dus à des pressions

RI
atmosphériques élevées ou faibles, ou encore aux
DU E
travaux dans les mines.
IN RT
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E
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Sécurité industrielle, notion de risques


E
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SE ET

2-3. Risques de manutention manuelle et


mécanique
Les manutentions sont à l’origine de nombreux
IS

risques qui se traduisent par des accidents et des


maladies professionnelles. Les manutentions
manuelles sont encore courantes, malgré
l’automatisation et la robotisation de nombre
d’entre elles comme les déplacements, les
levages, les transports, etc. Dans les deux cas, les
risques existent et conduisent à des Troubles
Musculo-Squelettiques (TMS) ainsi qu’à des
accidents mécaniques.

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Sécurité industrielle, notion de risques

2-4. Risques chimiques

Ils s’expliquent par la présence de produits


chimiques plus ou moins dangereux, toxiques
ou inflammables, dont l’absorption par le
corps humain se traduit par des intoxications

E
accidentelles ou chroniques ainsi que par
des incendies et explosions.

LL
Les risques chimiques sont fréquents et on
les rencontre pratiquement dans toutes les

E
activités humaines, tant en milieu
professionnel que chez soi ou pendant les

RI
loisirs.
DU E
IN RT
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Sécurité industrielle, notion de risques


E
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SE ET

2-5. Risques biologiques

Ils sont dus à des micro-organismes


IS

pathogènes vivants qui, introduits dans le


corps humain, induisent des maladies dont
certaines peuvent être très graves comme
les hépatites virales. Ces risques
nécessitent des mesures de prévention
spécifiques.
On rencontre les risques biologiques dans
de nombreuses activités, souvent
inattendues, comme les blanchisseries
industrielles ou encore les laboratoires
toxicologiques.
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Sécurité industrielle, notion de risques

2-6. Risques de circulation et de transport

Les salariés se déplacent fréquemment tant dans


leurs ateliers que dans leurs entreprises ainsi que
sur la voie publique.

E
Ces déplacements sont à l’origine de chutes de
plain-pied ou de dénivelés, de glissades, de chocs

LL
ou d’autres blessures qui sont des accidents du
travail.
Les accidents de la route sont également

E
considérés sous certaines conditions comme

RI
ayant un caractère professionnel.
DU E
IN RT
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E
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Sécurité industrielle, notion de risques


E
CU D
SE ET

2-7. Les autres risques

Sous cette rubrique, on peut grouper


IS

un certain nombre de situations


dangereuses particulières à
différentes activités, comme celles
rencontrées sur les chantiers de
bâtiments et de travaux publics ou
encore des troubles psychosociaux
comme le stress, qui ont une
influence certaine sur
l’accidentabilité des opérateurs.

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Ergonomie et conditions de travail

1. Introduction

Les notions d’ergonomie et de conditions de


travail sont distinctes de celles des risques
professionnels et de la prévention.

E
Il existe cependant des relations quelquefois
étroites entre elles.

LL
Travailler dans de bonnes conditions, dans
des ateliers correctement conçus et des
postes de travail respectant les règles

E
ergonomiques, favorise la sécurité des

RI
opérateurs.
DU E
IN RT
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E
TE IZ
RI B

Ergonomie et conditions de travail


E
CU D

1. Introduction
SE ET

Des facteurs technologiques, économiques, d’organisation


ainsi que des facteurs à l’homme influencent son
comportement et son bien être au sein du système de travail.
IS

La conception des systèmes de travail donc satisfaire les


exigences humaines par application des connaissances
ergonomiques, compte tenu des expériences de la pratique.
Les principes ergonomiques s’appliquent à la conception de
conditions de travail avec pour buts:
 Le confort et la réduction de la fatigue de l’homme,
 La santé de l’homme et les conditions hygiéniques de
travail,
 La réduction des contraintes du travail répétitif ou en
chaîne, la création de postes plus autonomes et à
contenu plus élevé. 13

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Ergonomie et conditions de travail

2. Principes directeurs généraux


2.1-Conception du poste de travail et des
moyens de travail
2.2.1-Conception en fonction des
mensurations corporelles

E
Le poste et les moyens de travail doivent être
conçus compte tenu du processus de travail

LL
en fonction des mensurations du corps
humain:
 Hauteur de travail,

E
 Siège anatomique,

RI
 Espace pour mouvements,
DU E
 Position d’organe de commande …etc.
IN RT
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E
TE IZ
RI B

Ergonomie et conditions de travail


E
CU D
SE ET

2.2.2-Conception en fonction de postures,


des efforts musculaires et des mouvements
corporels
IS

Les efforts musculaires mis en jeu doivent se


situer dans des limites physiologiques
satisfaisantes.
 Posture: préférer la posture assise,
éviter la fatigue statiques,
 Efforts musculaires: ils doivent être
adaptés aux capacités physiques du
travailleur et à la fréquence du geste,
 Mouvements corporels: on doit
rechercher un bon équilibre du corps
et préférer des déplacements à une
grande immobilité prolongée. 15

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Ergonomie et conditions de travail

2.2.3- Conception de point de vue de la perception et de


la transmission d’informations
 Les moyens de signalisation doivent être faciles à
lire (grosseur, couleur), clairs (symbolisation), bien
placés (éviter les mouvements) et peu agressifs
(fatigue visuelle) sauf pour la sécurité.

E
 Les organes de commande doivent être compatibles
avec les mouvements naturels du corps (ex.

LL
manette à lever pour lever une charge …)
 La forme des manettes doit être adaptée à

E
l’opérateur et aux efforts, le déplacement et la
résistance des commandes doivent permettre une

RI
sensation de position (trop dure difficile, trop douce
DU E
pas de sensation de placement)
IN RT
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E
TE IZ
RI B

Ergonomie et conditions de travail


E
CU D
SE ET

2. Principes directeurs généraux


2.2-Conception de l’environnement de travail
L’environnement doit permettre un travail en toute sécurité
IS

(protection contre agressions extérieures) et dans une


ambiance préservant la santé.
 Locaux adaptés au travail,
 Renouvèlement d’air,
 Conditions thermiques proches de la normale,
 Éclairage et décoration appropriés,
 Ambiance sonore de travail évitant d’incommoder le
personnel,
 Protection évitant l’exposition à des matières
dangereuses (vapeurs, fumées, poussière,
rayonnement …etc.)
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Ergonomie et conditions de travail

2. Principes directeurs généraux


2.3-Conception des processus de travail
Les processus de travail doivent être conçus de manière à préserver le bien-être,
la santé la sécurité et l’efficience des opérateurs en évitant de trop fortes ou de
trop faibles sollicitations.
Parmi les mesures susceptibles d’avoir une influence sur ces caractéristiques du

E
processus de travail on peut citer:

LL
 L’exécution par un même opérateur de plusieurs tâches successives
appartenant à une même fonction (ex. différents montages) 
élargissement des tâches.

E
 L’exécution par un même opérateur de tâches appartenant à des
fonctions différentes (ex. montages + contrôle)  enrichissement des

RI
tâches.
DU E
 Le changement d’activité par rotation de postes,
IN RT

ST
Possibilités de pauses ou aménagement d’horaires, 18
E
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RI B

Ergonomie et conditions de travail


E
CU D
SE ET

Remarque importante:
Lorsque on veut définir un poste de travail ou les
dimensions d’un objet manipulable on est tenté de
IS

chercher des dimensions moyennes d’un moyen. Or


l’homme moyen n’existe pas, un homme peut être
moyen de taille, c-à-d avoir la taille d’au moins 50%
des gens et avoir de longs bras ( par ex. 60% des
gens ont des bras plus courts que lui), un grand
buste et de petites jambes (par ex. seulement 40%
des gens ont des jambes plus courtes que lui)
Toutes solution sera un compromis pour satisfaire
la plus grande population possible sans gêner outre
mesure. Cela dépend de l’objet : poignée de porte à
ouvrir par tous ou levier de commande de pelle
hydraulique.
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Ergonomie – Postures et dimensions

1- Introduction
Les dimensions données dans les Diapos qui
suivent sont des éléments qui doivent aider au choix
de la posture ainsi qu’à la conception des postes de
travail.

E
Ces valeurs sont à interpréter avec leur utilisation.

LL
Il n’existe pas de postes bien dimensionnés pouvant
satisfaire à la fois les femmes de petite taille et les
hommes de grande taille, Tout choix sera

E
compromis qui devra satisfaire le maximum
d’opérateurs dans la population désignée.

RI
DU E
IN RT
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E
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RI B

Ergonomie – Postures et dimensions


E
CU D
SE ET

2- Domaine d’application
2-1. Postes « assis normal » et « assis debout »
IS

Dans ce cas l’effet de taille est atténué et les


conséquences dimensionnelles entre femmes et
hommes atténuées
2-2. Postes « debout »
Dans ce cas, les dimensions et volumes de travail
actifs aux postes debout conviennent:
- À tous les hommes quelle que soit leur taille;
- Aux femmes de tailles égales ou supérieures à
la moyenne.

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Ergonomie – Postures et dimensions

2- Domaine d’application

E
E LL
RI
DU E
IN RT
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E
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Ergonomie – Postures et dimensions


E
CU D

4- Critères de choix de la posture


SE ET

4-1. Posture « assis »


Si le travail est à poste fixe, on doit privilégier la posture
IS

« assis ». Elle est la moins fatigante.


On distingue:
 la posture « assis normal » pieds au sol;
 La posture « assis debout » le tronc est au même
niveau, qu’ne position debout et permet de se lever
fréquemment.
4-2. Posture « debout »
Un impose pour une grange mobilité et pour manipuler des
charges lourdes ou encombrantes.
On doit prévoir des périodes et aires de repos, le schéma
ci-contre permet d’aider au choix de la posture
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Ergonomie – Postures et dimensions

E
E LL
RI
DU E
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Ergonomie – Postures et dimensions


E
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SE ET
IS

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Ergonomie – Postures et dimensions

E
E LL
RI
DU E
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E
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Ergonomie – Postures et dimensions


E
CU D
SE ET
IS

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Ergonomie – Efforts admissibles

Les efforts admissibles sont en fonction des paramètres


inhérents à la population (sexe, âges, conditions
physiques …) mais aussi de la fréquence du mouvement
lui-même.
Les valeurs du tableau suivant sont exprimées en daN

E
pour une main; elles sont valables pour un effort d’une
durée voisine de 6 secondes (=courte durée).

LL
Pour chaque type d’effort, sont portés 3 groupes de 3
valeurs. Chaque groupe correspond à une fréquence
horaire de répétition. Pour une même fréquence, les

E
valeurs indiquées correspondent à catégories de
personnes.

RI
DU E
IN RT
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E
TE IZ
RI B

Ergonomie – Efforts admissibles


E
CU D
SE ET

La première valeur est compatible avec la capacité


d’effort des hommes adultes en bonne santé.
La deuxième valeur concerne les femmes dans mêmes
IS

limites que celles hommes.


La troisième valeur est adaptée aux personnes, femmes ou
hommes, a capacités réduites (parmi les plus de 50 ans ou
en mauvaise santé).
• Pour les types d’efforts repérés par un astérisque (*),
exercés hors de la zone « bonne » des tableaux
précédents, prendre la moitié de la valeur indiquée.
• Pour les efforts exercés des deux mains, debout,
doubler la valeur indiquée.
• Pour les fréquences intermédiaires entre celles
indiquées, interpoler.

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Ergonomie – Organes de commande - Efforts admissibles


- Dimensions

E
E LL
RI
DU E
IN RT
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E
TE IZ
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Ergonomie – Organes de commande - Efforts admissibles


E

- Dimensions
CU D
SE ET
IS

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Ergonomie – Principes de signalisation

Ces principes s’appliquent à toutes les


machines et installations aux pupitres de
contrôle ou de commande ou de surveillance
de tout processus technique ou administratif
concourant à la marche des ateliers et des
services. On distingue trois types de
signalisation:
1. Tactile

E
Utilisant un relief, l’état de surface, le contour

LL
de tout objet pouvant être en contact de la
peau, particulièrement au niveau des mains et
des doigts. Ceci peut permettre une commande
« aveugle » sans avoir à regarder.

E
2. Auditif

RI
Signal constitué par des sons qui permettent
DU E
de communiquer avec un opérateur même si
celui-ci se déplace.
IN RT
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E
TE IZ
RI B

Ergonomie – Principes de signalisation


E
CU D

3. Visuel
SE ET

Signal constitué par une source


de lumière ou bien par des objets
ou signes éclairés.
IS

Le signal visuel permet de


communiquer une grande
diversité d’informations.
Les zones partageant le champ
de vision sont représentées par
les figure (1) et (2).
Suivant la fréquence du contrôle
visuel, on placera par exemple un
signal en zone bonne pour un
contrôle fréquent et en zone
acceptable en occasionnelle pour
un contrôle rare.

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Ergonomie – Principes de signalisation

3-1. Conditions d’identification


Le signal doit être perçu sans déformation ni atténuation, sans erreur de
parallaxe et la durée de présentation du signal doit être suffisante.
3-2. Chiffres et lettres
Les formes sont normalisées. l’éclairage doit aider à une bonne lecture.
3-3. Indicateur gradué

E
 La graduation doit correspondre à la précision de la mesure – fig (3)

LL
 Éviter les graduations qui nécessitent des interpolations – fig (4)
 Les indicateurs doivent être du même type.

E
 La plage de mesure doivent être adaptée à la grandeur à mesurer –
fig (6)

RI
 Les mouvements relatifs des aiguilles doivent être conformes à ceux
DU E
des figs (5) et (7)
IN RT
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E
TE IZ
RI B

Ergonomie – Principes de signalisation


E
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SE ET

REGLES IMPORTANTES
 On peut combiner plusieurs signaux
IS

entre eux si besoin est.


Ex. : Signal visuel + signal auditif pour
attirer l’attention de l’opérateur sur le
dépassement d’une valeur affichée.
 On doit adapter le type d’indicateur
au contrôle.
Ex. : L’affichage digital permet un relevé
très simple de valeurs mais ne convient
pas pour une estimation de fluctuations.

Signalisation sur écran d’une machine CNC


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