Le féminisme

Comme tous mouvements, le mouvement féministe est traversé par

différents courants de pensée. Pourquoi et comment les femmes
obtiennent une position subordonnée dans la société ? Comment les
décrire ? Comment les inventorier ? Vouloir classer les femmes est
seulement une tentative arbitraire de ses idées.

Le féminisme peut s’incarner sous tous les angles et personnalités. Celui-

ci a un objectif simple qui est de mettre fin aux inégalités entre les
hommes et les femmes. Femmes et hommes devraient avoir les même
opportunités, droits, occasions de choisir, salaire et condition matérielle
tout en respectant les spécificités.

La bonne nouvelle c’est que durant les dernières décennies la

fréquentation scolaire des filles a atteint des records, le fossé entre les
sexes s’est réduit, les femmes ont gagné des victoires considérables au
niveau économique, social et dans le domaine du développement.

Pendant longtemps les femmes ont étaient tenu à l’écart de la vie

publique. A la naissance des démocraties modernes, elles et d’autres
catégories de la population sont exclues du droit de vote. En 1893, La
Nouvelle-Zélande est le 1er pays où elles obtiennent le droit de vote.

Le terme féminisme prend son sens actuel à la fin du 19ème siècle sous la
plume d’Alexandre Dumain, écrivain et d’Hubertine Auclerct, journaliste,
écrivaine, militante française féminisme qui s’est battue en faveur de
l’éligibilité des femmes au droit de vote. Les idées de libération et
d’émancipation prennent racines au siècle des Lumières.

L’objectif principal de la 1ère vague féministe est que hommes et femmes

soient égaux devant la loi. La 2ème vague est une période de lutte qui
commence fin 1960. Cette dernières s’étend dans le monde occidental.
Elle se focalise sur la sexualité, la place de la femme dans la famille, le
viol et les violences conjugales.
Dès la naissance de la 2ème vague féministe une critique se fait entendre
de la part des femmes noires qui ne se sentent pas incluses à ce
mouvement. Pour elles, il représente les femmes blanches et bourgeoises
mais pas toutes les femmes.

En 1982, le livre “All fiminist are white, All black are men : but some OF
are Brave” qui regroupe les textes féminisme. « Femmes, Race et Classe »
d’Angela Devise tente d’analyser historiquement pourquoi les femmes de
couleurs ne se sentent pas concernées par les luttes féministes. Kimberlé
Crenshaw définit alors la notion : Intersectionnalité ; Discrimination dans
la société.

Malgré d’importantes avancées, les femmes sont encore moins payées,

harcelées dans la rue, freinées dans les accès aux responsabilités etc…
Le sexisme est encore omni-présent autant dans la sphère
professionnelle, privée ou quotidienne.
Ce pourquoi, ce combat continu de défendre la parité entre hommes et
femmes.

Avis Khaoula : ton article est intéressant et complet, quelques détails

inutiles et très peu des fates d’orthographe, l’article est compréhensible et
bien organisé. Seulement améliorer les détails.