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Les droit de l’homme

Les droits humains peuvent être répartis dans différentes catégories qui relèvent de contextes
historiques distincts. On admet habituellement trois catégories principales:
1) les droits civils et politiques (ou libertés et droits fondamentaux),
2) les droits économiques, sociaux et culturels (ou droits sociaux)
3) les droits collectifs.
Essentiellement, les droits civils et politiques, aussi appelés droits de première génération, sont le
droit à la vie, à la liberté et à la sécurité; les libertés fondamentales de croyance, de religion et
d'opinion, d'expression, d'association; le droit à l'égalité sans discrimination; les droits
démocratiques comme le droit de voter et d'être éligible à des élections; la liberté de circulation
et d'établissement; les garanties juridiques qui servent à protéger les individus arrêtés, détenus,
accusés ou condamnés en vertus des lois pénales. Ils sont consacrés dans nos chartes canadienne
et québécoise, de même que dans plusieurs instruments internationaux.

Le droit de vote permet aux citoyens d'un État de voter pour exprimer leur volonté, à l'occasion
d'un scrutin. Dans son application contemporaine, il pose un choix et permet, soit d'élire des
gouvernants à but représentatif, soit de répondre à une question posée par la gouvernance, sous
forme de plébiscite ou de référendum. Les démocraties modernes présentent le droit de vote
comme un droit civique fondamental.

Le premier régime politique qui donne son nom à la démocratie est né dans la cité
d'Athénes durant l'Antiquité. L'élection ne fut pas immédiatement retenue comme mode de
désignation des responsables politiques, on lui préféra d'abord des tirages au sort. Avec les
réformes de Périclès au milieu du v siècle av. J.-C. le droit de vote est étendu aux citoyens. La
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notion de citoyenneté est alors réservée aux hommes nés de père athénien et d'une mère, fille de
citoyen, excluant :
les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures,
les métèques (généralement grecs mais étrangers à la cité, placés sous la responsabilité
obligatoire d'un logeur ou hébergeur) ainsi que les étrangers (non grecs, dénommés barbares).
Le droit de suffrage masculin a généralement été étendu de manière progressive, étant à l’origine
presque systematiquement censitaire.

Comme on voit les femmes étaient privées de leurs droits par lesquels elles étaient dotées depuis
leur naissence.
Elle ne pouvaient pas participer aux élections parce que elles n’étaient pas égales aux hommes et
on a considéré que les femmes n’ont pas les capacités intellectuels pour élire quelqu’un.

Les droits des femmes


LES DROITS DES FEMMES SONT DES DROITS HUMAINS !
Toute personne a droit au respect de ses droits humains. Ces droits comprennent le droit de vivre
libre de toute violence et discrimination, le droit au meilleur état de santé physique et mentale
susceptible d’être atteint, le droit à l’éducation, le droit à la propriété, le droit de voter et le droit
à un salaire égal.
Mais, partout dans le monde, de nombreuses femmes et filles sont toujours victimes de
discrimination sur la base du sexe et du genre.
Le philosophe grec Aristote est à l'origine de l'idée que l'homme est un «animal rationnel» et en
tant que tel une puissance naturelle de la raison. Les concepts de la nature humaine dans la Grèce
antique dépendent du sexe ou de l'appartenance ethnique par exemple.
Inspirés par les philosophes classiques, les philosophes Thomas Hobbes, Jean-Jacques Rousseau
ou John Locke développent aux XVII et xviii siècles la théorie du droit naturel. Ils soutiennent
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que les droits naturels ne sont pas dérivés de Dieu, mais sont "universels, évidents et intuitifs"
comme les lois de la nature. Ils considèrent les femmes comme les enfants, les esclaves et les
non-blancs, comme n'étant ni « rationnels » ni « civilisés » et affirment que le statut inférieur des
femmes est une question de « bon sens » en raison de sa « nature inférieure ».
Pendant longtemps les femmes ont lutté pours leur libertés et droits comme le droit de
l’éducation, droit de propriété, droit de sécurité,de libre circulation etc.
Mais aujourd’hui aussi dans certains coins du monde les femmes continuent souffrir à cause de
discrimination et de traitement inhumaine.
Le droit de vote des femmes
Comme on a discutées les femmes étaient privées de droit de vote pour longtemps, mais enfin un
jour quelque chose a commencé a changer ce stereotype accepté dans le monde.
Au cours du xix siècle, certaines femmes commencent à demander, exiger, puis manifester pour
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le droit de vote - le droit de participer à leur gouvernement et à l'élaboration de ses lois.


En 1893, la Nouvelle-Zélande est devenue le premier pays à accorder aux femmes le droit de
vote au niveau national. Le mouvement a pris de l’ampleur et s’est diffusé dans le monde entier.
Grâce aux efforts de toutes les personnes qui ont participé à ce combat, le droit de vote des
femmes est aujourd’hui inscrit dans la Convention sur l’élimination de toutes les formes de
discrimination à l’égard des femmes (1979).
Cependant, en dépit de ces évolutions, il reste encore beaucoup d’endroits dans le monde où il
est très difficile pour les femmes d’exercer ce droit. Prenons l’exemple de la Syrie, où les
femmes sont exclues de toute participation politique, y compris dans le cadre du processus de
paix en cours.
Au Pakistan, bien que le vote soit un droit constitutionnel, les femmes ne peuvent pas l’exercer
dans certaines régions car des personnes d’influence au niveau local s’appuient sur des coutumes
patriarcales pour les empêcher de se rendre aux urnes.
En Afghanistan, les autorités ont décrété récemment la prise de photo obligatoire dans les
bureaux de vote, ce qui pose problème dans les régions conservatrices, où la plupart des femmes
se couvrent le visage en public.

Il n’existe pas un histoire unique qui présent comment les femmes ont obtenu leur droit de vote,
parce que dans chaque pays les développements étaient différant.
Pour que notre presentation soit plus variée et intéressante on peut presenter les examples de
certains pays.

France
.Les deux principales organisations d'orientation réformiste qui mènent la lutte pour le droit de
vote des femmes sont l'Union française pour le suffrage des femmes (U.F.S.F.), créée à Paris en
1909 et la Ligue française pour le droit des femmes, dirigée par Maria Vérone. Ces deux grandes
fédérations féministes, composées pour l'essentiel de femmes issues de la bourgeoisie parisienne,
cherchent à étendre le réseau de leurs soutiens au sein des organisations politiques masculines
mais surtout en province où leur implantation est moins importante.
Les féministes réformistes cherchent à imposer le thème du vote des femmes sur l'agenda
politique, cultivant les relations qu'elles ont pu nouer avec les hommes qui soutiennent leur cause
dans les partis politiques. Les élections sont l'occasion de faire valoir leur point de vue. En 1919,
elles réussissent à obtenir un accord de principe de l'ensemble des partis sur le suffrage féminin,
à l'exception de l'Action française.
Mais plutôt La Seconde Guerre mondiale constitue une accélération du débat sur le suffrage des
femmes en France.

À coté d’un pays démocratique comme la France c’est aussi très interessant d’observer
l’example d’un pays ou les droit des femmes sont assez violés.
Arabie Saoudite
La loi prévoit par ailleurs une stricte séparation des hommes et des femmes, aussi bien dans les
salles de vote que lors de la campagne électorale : les hommes ne peuvent présenter leur
programme aux femmes que par vidéo interposée, et réciproquement. Pour résoudre la question
polémique de la possibilité de diffuser la photo d'une femme sur une affiche électorale, il est
décidé que les photos seront interdites aux membres des deux sexes. 1 000 femmes se portent
candidates, contre 6 428 hommes. Une femme est élue dans la région de La Mecque le 12
décembre 2015, ce qui est une première dans ce pays63. Vingt femmes au total sont élues64.
En 2015, le 12 décembre, les femmes d'Arabie saoudite ont pu voter, alors que c'était le dernier
pays où elles ne le pouvaient pas. Les hommes, comme les femmes, y sont privés du droit de
vote au niveau national (le pays étant une monarchie absolue avec un corps législatif nommé par
le roi), mais les hommes pouvaient voter aux élections municipales. Ce droit, ainsi que le droit
de se porter candidates aux municipales, a été accordé en 2011 et a été appliqué en décembre
2015.

En parlant des États-Unis peut présenter une femme qui a un role principale dans le
développement de droit de vote aux États-Unis.
C’est Elizabeth Cady Stanton.
Elle Stanton était une dirigeante américaine du mouvement des droits des femmes.
Elle est devenue active dans le mouvement anti-esclavagiste.
Dans les années 1880, Stanton avait 65 ans et se concentrait davantage sur l'écriture que sur les
voyages et les conférences. Elle a écrit trois volumes de History of Woman Suffrage (1881-85)
avec Anthony et Matilda Joslyn Gage. Dans cet ouvrage complet, publié plusieurs décennies
avant que les femmes n'obtiennent le droit de vote, les auteurs ont documenté l'activisme
individuel et local qui a construit et soutenu un mouvement pour le suffrage des femmes.
Parallèlement à de nombreux articles sur le thème des femmes et de la religion, Stanton a publié
la Woman's Bible (1895, 1898), dans laquelle elle exprime sa croyance en un État laïc et exhorte
les femmes à reconnaître à quel point l'orthodoxie religieuse et la théologie masculine entravent
leurs chances de s'épanouir. -la souveraineté.

En Arménie le droit de vote est inscrit au niveau de la Constitution de la République de


Arménie,et comme un État de droit l’Arménie donne ce droit également aux hommes et aux
femmes.
Les femmes arménienne avaient ce droit depuis la premiere république arménienne en 1918.

Pour faire la conclusion de ma présentation je voudrai dire que le droit de vote des femmes est
un des garanties principales de démocratie parce que dans la vie politique d’un État il faut que le
choix des femmes aussi soit reflété parce que les femmes sont une partie essentiel de la société,
elles doivent être educée, être au milieu des action etetiques et politiques et toujours presenter
leur volonté dans la gouvernance de leur patrie.

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